Articles de yvesh

Dans Sciences
ceinture-vanallen-nasa.jpg

Découverte d'une troisième ceinture de radiations inconnue

Par Le 05/03/2013

Découverte d'une troisième ceinture de radiations inconnue

soleil-eruption-3-9-2012.jpg

Le moment de la formation de l’anneau suggère qu’une grosse éruption solaire le 31 août 2012 (immortalisée par la sonde SDO de la NASA, l’image ci-dessus) a peut-être contribué à déclencher sa formation.

La NASA a récemment lancé sa mission Van Allen Probes, une paire de sondes spatiales automatiques, lancées en aout dernier pour enquêter une paire éponyme de ceintures de radiation (Ceinture de Van Allen) et elles ont déjà dévoilé quelques résultats très inattendus. Le plus important : une troisième ceinture éphémère de radiations, jusque-là inconnue de la science, qui entoure notre planète.

La NASA dit que la découverte était un coup de chance. Seulement trois jours après le lancement des sondes, une équipe de chercheurs dirigée par le planétologue Daniel Baker ont fait une inhabituelle demande de dernière minute : que leur Relativistic Electron Proton Telescope (REPT – embarqué sur les sondes) soit allumé plus tôt que prévu, dans l’espoir que leurs observations ne se chevauchent avec celle d’une autre mission appelée SAMPEX. Ce qui s’est passé ensuite était tout à fait inattendu.

Presque immédiatement, l’instrument REPT a détecté un certain nombre d’autres particules de haute énergie piégées dans les deux ceintures de Van Allen précédemment établies, mais au cours des jours suivants, les particules ont commencé à s’installer dans une configuration encore jamais vu : une troisième grande bande d’énergie s’est intégrée dans la partie extérieure des ceintures de Van Allen, environ 19 000 à 22 000 km au-dessus de la surface terrestre.

Ci-dessous : la nouvelle ceinture de radiations est présentée ici, en utilisant les données actuelles, comme l’arc du milieu de l’orange et du rouge des trois arcs vus sur chaque côté de la Terre. La nouvelle ceinture a été observée pour la première fois par le REPT à bord des Sondes jumelles Van Allen de la NASA.

ceinture-vanallen-nasa.jpg

Après avoir vérifié qu’ils n’avaient pas un problème de détection avec leurs instruments, ce qui n’était pas le cas, les chercheurs ont constaté que la troisième ceinture persistait dans sa position et ceux-ci pendant quatre semaines. Mais le 1er octobre, la troisième ceinture a disparu, apparemment dissoute et « virtuellement anéantie » (pour reprendre les chercheurs) par une onde de choc interplanétaire d’un puissant vent solaire.

Le moment de la formation de l’anneau suggère qu’une grosse éruption solaire le 31 août 2012 (immortalisée par la sonde SDO de la NASA, l’image tout en haut) a peut-être contribué à déclencher sa formation.

La ceinture de Van Allen était, à bien des égards, la première découverte de l’ère spatiale et cinquante ans après il est exaltant de constater qu’on continu à dévoiler ses secrets.

A partir de la NASA : NASA’s Van Allen Probes Discover a Surprise Circling Earth.

Source : gurumed + http://www.foxnews.com/science/2013/03/04/nasa-discovers-new-radiation-belt-around-earth/

SFH 03-2013

Dans Humour
gotham-city.jpg

Londres : Un homme déguisé en Batman livre un escroc à la police

Par Le 05/03/2013

Londres : Un homme déguisé en Batman livre un escroc à la police

gotham-city.jpg

LONDRES Un homme déguisé en Batman a causé la stupéfaction dans un commissariat britannique en débarquant en pleine nuit pour livrer un individu recherché pour des délits, avant de repartir incognito dans le même accoutrement.

Portant l'uniforme du célèbre super-héros, l'homme a fait irruption dans un poste de police de la ville de Bradford, dans le nord de l'Angleterre, très tôt le 25 février 2013, selon la police du West Yorkshire.

Les forces de l'ordre ont publié une image tirée de la vidéo-surveillance montrant le justicier arriver avec un homme de 27 ans, recherché par la police et qui a été depuis inculpé pour recel et fraudes.

"La personne qui a amené l'homme recherché au poste était habillé d'un déguisement complet de Batman", a déclaré un porte-parole de la police. "Son identité reste toutefois inconnue".

La photo publiée sur Facebook a déclenché une avalanche de commentaires sur les réseaux sociaux, certains suggérant que "Batman" devait connaître son "prisonnier" étant donné l'absence de résistance apparente de la part de ce dernier.

http://www.dhnet.be/infos/monde/article/427022/un-homme-deguise-en-batman-livre-un-escroc-a-la-police.html

A noter que nous avons bien à faire à plusieurs clones du héros américain car celui-ci agit en même temps dans plusieurs villes américaines, même si toutes les autorités n'ont pas accepté son aide en-dehors de Gotham City et qu'il se fait parfois arrêter... Les Britanniques de leur côté ont affirmé qu'ils avaient déjà Doctor Who qui leur faisait souvent des blagues adipeuses et que c'était suffisant. :

Sur une idée de http://leschroniquesderorschach.blogspot.fr/2013/03/londres-un-homme-deguise-en-batman.html

Un peu d'humour noir supplémentaire... :


Pig Destroyer - The Diplomat by BlastroNetworks

SFH 03-2013

Dans OVNI/UFO
ufo-france-1974.jpg

OVNI : des rapports de gendarmerie en nombre

Par Le 05/03/2013

OVNI : des rapports de gendarmerie en nombre

ufo-france-1974.jpg

20 MAI 1955: PREMIERS TÉMOIGNAGES DE GENDARMES 

23 mai 1955, Rocroi. Rapport du capitaine G ... , commandant la section, sur l'apparition d'un engin aérien non identifié. 

Le 20 mai 1955 en visite de nuit et se trouvant sur la Nationale 51 entre Givet et le hameau des Trois-Fontaines, les gendarmes N ... et L... ont aperçu dans le ciel, à 2 h 30, un engin aérien inconnu qui volait à basse altitude à 200 ou 300 mètres environ, au-dessus de la région comprise entre Ham-sur-Meuse et le hameau des Trois Fontaines, et suivant la direction sud-est-nord-ouest, Cet engin leur a semblé avoir la forme d'un gros obus ou d'un cigare, de la dimension de la carlingue d'un avion de chasse. L'intérieur était lumineux. De l'arrière jaillissait des projecteurs lumineux, étincelants et multicolores. Sur le moment ils eurent l'impression de se trouver devant un avion en flammes, mais l'engin disparut en vol horizontal en direction du nord-ouest après quelques secondes. Sa vitesse leur a semblé très élevée, supérieure à celle des avions actuels. Au moment où ils l'aperçurent, un autorail qui se dirigeait vers Givet, passait sur la voie parallèle à la Nationale 51. Le bruit fait par cet autorail ne leur a pas permis d'entendre l'éventuel bruit fait par cet engin. La nuit était étoilée et sans lune. La direction du vent était nord.est-sud~ouest, c'està-dire contraire à la direction suivie par l'engin. Ayant fait remarquer à ces gendarmes que cela pouvait être un avion commercial de la ligne Genève-Bruxelles ou Bruxelles-Nice, ces derniers ont été d'accord pour dire qu'il ne pouvait y avoir de confusion, et qu'il ne pouvait s'agir d'un avion. C'est la première fois que le passage d'un tel engin est observé au-dessus de la circonscription de la brigade. 

Rapport de gendarmerie datant du 26/09/1977 Brigade de SEGONZAC

Extrait du rapport de gendarmerie :

Le témoin déclare avoir vu le 18/09/1977, vers 15h45, un nuage de poussière assez opaque. Aussitôt après, alors qu’il travaillait dans son champ, il a aperçu pendant 15 à 20s un objet qui évoluait dans le ciel à 60 –70m du sol, en direction du sud. Il avait une forme cylindrique, genre ballon, ayant à la base un socle en forme d’assiette creuse. Cet objet avait un diamètre de 3-4m. Sur le cote, il a remarqué 2 ou 3 hublots. Ensuite, avec 2 amis, également témoins, il à découvert sur le Chemin vicinal n)18, un cercle tracé sur le sol de 2m de diamètre, qu’il présume être l’aire d’atterrissage et de décollage de l’objet. …..

segonzac-brigade-77.jpg

….Constatations : sur la chaussée du chemin vicinal 18 on remarque un cercle de 2m de diamètre environ. A l’intérieur, à 10cm, un autre cercle est également dessiné. Entre les 2, le sol paraît avoir été compressé……

…..l’analyse du sol (prélèvement du 20/09/77) effectuée le 08/10/77 , révèle un taux de radioactivité supérieur de 50% au taux normal.

Ces photos sont extraites d’un rapport de gendarmerie datant du 26/09/1977 Brigade de SEGONZAC – Charente

Source: http://www.forum-ovni-ufologie.com/t2726-en-1977-le-26-09-brigade-de-segonzac-16-taux-de-radioactivite-anormal#ixzz2MbGx0b1w


1" MAI 1975 : ATTERRISSAGE PRES D'UNE PATROUILLE DE GENDARMES

Procès-verbal, enquête préliminaire, le 11 mai 1975, compagnie de Melle, brigade de Lezay.

Le jeudi 1" mai 1975 à 23 h 10, nous effectuons une patrouille de surveillance dans les communes de Lezay, Saint-Coutant et Sainte-Soline, circulant à bord de notre véhicule sur le chemin départemental 15, dans ie sens Sainte-Soline-Lezay, nous nous trouvons au lieu-dit Bois-de-la-Trouille. Nous apercevons alors dans le ciel une boule lumineuse de couleur jaune vif d'un diamètre apparent de 20 centimètres environ, se déplaçant d'est en ouest. Elle se rapproche du sol à une vitesse régulière. Cet objet lumineux semble vouloir se poser à une faible distance de nous.

lezay-ufo-gendarmes.jpg
Constatations

A 23 h 15, nous nous transportons immédiatement en direction du lieu supposé de l'atterrissage. Arrivés à l'intersection du chemin départemental 15 et du chemin départemental 45 nous observons à travers des haies, direction ouest, à environ 3 ou 4 mètres du sol, un scintillement lumineux. Nous estimons que ce phénomène se situe dans un pré, au lieu-dit Vaugru, en bordure du chemin départemental 105, à 400 mètres de la sortie ouest de Lezay.

A 23 h 17, nous étant approchés des lieux et ne remarquant rien de particulier au premier abord, nous descendons de notre véhicule pour examiner plus particulièrement cette zone. Presque aussitôt nous entendons un léger bruit, genre froissement d'ailes et nous constatons qu'un engin, dont nous ne pouvons déterminer la forme exacte et la couleur, s'élève rapidement suivant une trajectoire est-ouest, laissant apparaître deux lumières rouges de faible intensité, genre dispositif réfléchissant, distantes horizontalement l'une de l'autre d'environ 50 à 60 centimètres.

Bien que le temps soit clair, et le ciel étoile, l'absence de clair de lune ne nous permet pas d'évaluer d'une façon précise la distance approximative nous séparant de l'objet. Toutefois cette dernière ne doit pas excéder une trentaine de mètres. A 23 h 20, quelques instants après le présumé décollage, l'appareil reprend sa couleur initiale jaune vif et se stabilise à une altitude et à une distance que nous ne pouvons apprécier. Il nous apparaît alors semblable à un disque d'un diamètre de 20 centimètres. Devant l'immobilité prolongée de l'OVNI nous l'observons à la jumelle. Nous découvrons que l'appareil est muni de deux ailerons verticaux de 10 centimètres de longueur, placés l'un au-dessus du disque, l'autre en dessous. De plus, l'intérieur de la boule lumineuse semble parsemé de points noirs fixes. A 23 h 25, devant la persistance de ce phénomène, nous nous rendons immédiatement sur la place des Halles de Lezay, où, en compagnie de témoins, nous poursuivons durant trente minutes l'observation. Ce n'est que vers 23 h 45 que l'objet disparaît rapidement vers l'ouest.

Le 2 mai 1975 à 8 heures, nous retournons sur les lieux présumés de station de l'appareil. A 4 mètres de la haie bordant le chemin départemental 105, l'herbe est couchée, en forme de cercle de 3 mètres de diamètre. Aucune autre trace n'est décelable à l'œil nu.

Mesures prises

Nous avons rendu compte des faits à notre commandant de compagnie à Melle par message radio 85 TRS en date du 2 mai 1975. Le 3 mai 1975, à 17 heures, s'est présenté à la brigade M. Chasseigne Jean, délégué régional du groupement international de recherches « Lumières dans la nuit », qui, suite à ses observations sur place, nous a remis les renseignements joints en annexe.

Enquête

Le 3 mai 1975 à 8 h 45, effectuant l'enquête, nous entendons V... Jean-Pierre, trente-six ans, garde-champêtre de la commune de Lezay, Deux-Sèvres.

Dans la nuit du 1" au 2 mai 1975 vers 23 h 15, alors que je me trouvais encore au bourg de Lezay, place de la Halle-aux-Veaux, j'ai vu dans le ciel vers l'ouest une boule jaune semblant se stabiliser. Je ne suis pas le seul à avoir vu cet engin à l'intérieur duquel on pouvait distinguer des points noirs. J'ignore ce que ça peut être, mais une chose est certaine, il ne s'agissait pas d'une étoile. En raison de la distance, il était impossible de distinguer la forme exacte.

3 mai 1975, lecture faite par moi, persiste et signe.

Poursuivant l'enquête, entendons D... Robert, cinquante-trois ans, quincailler.

Au cours de la nuit du 1" au 2 mai 1975 vers 23 h 15, alors que je me trouvais à proximité de la Halle aux Veaux, à Lezay, j'ai aperçu dans le ciel en direction de l'ouest, une boule de couleur jaune vif qui paraissait se stabiliser. En raison de la distance, je ne puis évaluer l'endroit où cet engin se trouvait. J'ai pu constater qu'à l'intérieur de cette boule il existait des points noirs. Après un certain temps d'observation, trente minutes environ, cet engin a disparu en direction de l'ouest.

3 mai 1975, 11 h 15, lecture faite par moi de la déclaration ci-dessus, persiste et signe.

Entendons M... Jacques, cinquante et un ans, adjoint au maire de la commune de Lezay.

Dans la nuit du 1er au 2 mai 1975, alors que j'assistais à la finale du concours de pétanque, place de la Halle-aux-Veaux, vers 23 h 15 en compagnie de mes camarades j'ai vu dans le ciel une boule de couleur jaune vif qui semblait se stabiliser aux environs de La Mothe-Saint-Héray. Cet engin, d'environ 20 centimètres de diamètre présentant des points noirs à l'intérieur ne semblait pas très haut, dans le ciel, mais je ne puis être plus précis car la nuit il est très difficile d'apprécier les distances.
5 mai 1975 à 8 h 45.

ovni-france-005-16-09-1972.jpg


2 SEPTEMBRE 1975 : L'OVNI ET L'ADJUDANT 

Procès-verbal d'audition, gendarmerie de l'Yonne, brigade de Saint-Sauveur. Audition d'un adjudant-chef de l'armée de l'air. M. I ... 

Le 12 septembre 1975 à 22 h 05 j'étais couché, je commençais à somnoler et j'ai été tiré de mon sommeil par un bruit puissant et sourd, que l'on peut décomposer en deux bruits: l'un pouvant être apparenté à un moteur diesel mono-cylindrique et l'autre à un échappement ou suintement continu. Je me suis levé et de ma fenêtre j'ai aperçu une lueur intense blanche et parsemée de jaune qui semblait se situer dans les champs, distants de 100 mètres de mon habitation. Le bruit a cessé et la lueur s'est éloignée assez rapidement en s'élevant suivant un angle assez faible. La lueur ressemblait à une sphère d'environ 1 à 1,50 mètre de diamètre. Sur le pourtour de celle-ci, j'ai pu constater plusieurs genres de petits bâtonnets émettant des grésillements et des étincelles, comme des baguettes que l'on met dans les sapins de Noël. Je précise que l'éloignement s'est fait sans bruit. Ma femme, qui regardait la pièce à la télévision, a vu l'écran perturbé pendant une durée de cinq à six secondes. Je precise que la boule de feu est partie en direction de l'est et a masqué pendant trois ou quatre minutes l'étoile Polaire. 

Lecture faite, persiste et signe . 

Etat des lieux 

Le hameau de Cagnats, sis sur la commune de Moutiers dans l'Yonne, est situé à un kilomètre à vol d'oiseau au sud-ouest de Saint-Sauveur dans l'Yonne. L'habitation de M.I... est implantée en bordure du ... La façade est orientée au sud-est. 

Constatations 

M. I... présent, nous a indiqué le lieu où il a aperçu l'objet volant. Ce lieu se trouvait à 100 mètres au nordest. li s'agissait d'Un petit bois attenant à une plantation de peupliers. D'après ses dires, l'objet volant s'est stabilisé à hauteur des cîmes des peupliers avant de s'éloigner rapidement vers le nord-est. Lors des recherches nous n'avons découvert aucune trace d'atterrissage. 

Enquête 

Nous avons interrogé verbalement toutes les personnes du hameau sans obtenir de renseignements complémentaires. Néanmoins, plusieurs d'entre elles avaient entendu le fort bruit décrit ci-dessus, mais n'étaient pas sorties pour voir d'où il provenait. 

Le 14 septembre 1975, poursuivant l'enquête et les recherches dans la direction donnée, nord-est, Mme T ... , domiciliée à Saint-Sauveur, nous déclare avoir effectivement vu l'objet volant. D'après ses dires, elle se trouvait dans sa chambre, lorsqu'elle a entendu un fort bruit. Elle s'est avancée vers sa fenêtre d'où elle a aperçu une boule lumineuse assez grosse, sans pouvoir en définir la grandeur, cette boule étant en partie masquée par un arbre proche. D'après la direction donnée, l'objet volant semblait se rabattre vers le nord. Après de nouvelles recherches, aucun autre renseignement n'a pu être recueilli. Nous avons rendu compte des faits à notre commandant de compagnie. En outre, la perturbation instantanée de l'image de télévision constatée par Mme I... n'a pas été constatée par d'autres personnes ou n'a pas attiré leur attention. 

Source: http://www.forum-ovni-ufologie.com/

 

L'OVNI de Trans-en-Provence aide de la gendarmerie : extrait de l'émission Temps X 01-04-1984 (12mn) :

OVNI RAPPORTE LE 15 MARS 1974, FRANCE:

Ce document a été reproduit dans la littérature ufologique grand public depuis longtemps disponible.

M.d.L. Chef, Officier de Police Judiciaire et Gendarme, Agent de Police Judiciaire 16 à 20 et 75 du Code de Procédure Pénale.

Le 15 mars 1974 à 5 heures 15, de permanence au poste de Police à la Brigade de Gendarmerie de VI nous, gendarme [G2], sommes avisés téléphoniquement par les sapeurs-Pompiers de [V1] de ce qu'un engin volant non identifié venait d'être aperçu dans le ciel de la localité, se déplaçant lentement en direction du Nord-Est, vers [V2].

Nous sortons alors dans la cour de la caserne et ne constatons rien d'anormal, ni la présence dans le ciel d'un quelconque engin insolite.

A 5 heures 35, le Commissariat Central de Police de METZ, nous confirme également par la voie téléphonique, que madame [T1] divorcée, domiciliée à [V1] a nettement aperçu un engin volant, de couleur orange se déplaçant à allure très lente et parfaitement visible à l'oeil nu. Ils nous précisent qu'étant sortis à cette même heure, ils ont vu eux aussi un engin circulant sans bruit vers le Sud-Est.

De l'enquête effectuée, par le M.d.L./Chef [G1] et le Gendarme [G2], il ressort qu'aucun autre indice n'a pu être recueilli permettant d'émettre une opinion sur la présence d'un tel engin.

Mentionnons que la dame [T1] nous a remis à l'appui de ses dires, un croquis de l'engin volant, relevé sommairement par elle-même au moment de l'apparition. Il est joint à la présente procédure.

Le sous-Brigadier [G3] signale qu'il a entendu une sirène dans la direction de [V3], sonner sans interruption vers 4 heures 30 minutes le 15 mars 1974. Il ne s'agit que d'une sirène du lotissement de [V4] qui s'est déclenchée toute seule. Les sapeurs-Pompiers de [V1] avisés en temps opportun, n'ont pas eu à intervenir. De toute façon, cet appel ininterrompu n'avait aucun rapport avec l'engin volant signalé.

Des vérifications ont également été effectuées auprès des services météorologistes civils et militaires à la base aérienne de [V1], aucun ballon-sonde ou tout autre objet n'a été repéré ou lâché ce jour-là par la station.

A noter que tout élément nouveau fera l'objet d'une procédure ultérieure.

Le 16 Mars 1974 à 8 heures 40, avons entendu: Madame T1, née le [-] 1939, divorcée, cinq enfants, demeurant à V1, de nationalité française, qui nous déclare à 8 heures 50:

Le 15 Mars 1974 à 4 heures 30, je me suis levée pour donner à boire à mon fils, âgé de sept mois.

Le fait d'avoir les double-rideaux ouverts dans la chambre de mon fils, j'ai remarqué par la fenêtre, un objet au-dessus de l'ancienne pharmacie, située en face de mon appartement.

J'ai tout d'abord regardé à l'oeil nu. Cet objet avait la forme d'une fusée, très estompée à cause de la clarté, de couleur orange très vive. Je peux dire qu'il se trouvait environ à 1500 mètres de hauteur, sa longueur était de 200 à 300 mètres environ. Je ne peux définir sa largeur.

Ensuite, j'ai regardé avec les jumelles pour détailler cet engin. A l'avant se détachait une bande, en forme de boomerang.

Vers 5 heures, j'ai aperçu un disque qui pénétrait dans cet objet et se dirigeait vers l'avant.

A 5 heures 15, l'objet a disparu brusquement, comme si on coupait la lumière. Je peux affirmer que celui-ci est resté stable, vu à l'oeil nu.

J'ai pensé à une projection d'image, comme si on prenait les nuages comme écran.

J'ai téléphoné aux Sapeurs Pompiers de [V1], une première fois, à 4 heures 30 pour les aviser de l'apparition de cet engin et une deuxième fois à 5 heures 30 pour leur signaler sa disparition.

Je ne peux dire si le ciel était couvert ou non, mon regard étant porté sur l'objet.

le 16 Mars 1974 à 9 heures 50.

Lecture faite par moi de la déclaration ci-dessus, j'y persiste et n'ai rien à y changer, à y ajouter ou à y retrancher.

(A signé au carnet de déclarations)

Poursuivant notre enquête, le 18/3/74, nous avons entendu: Monsieur [G3], né le [-] 1928, Sous-Brigadier de Police, demeurant à [V3], marié, un enfant, de nationalité française, qui déclare à 20 heures 05:

Le 15 mars 1974, quelques minutes avant 5 heures, nous sommes avisés téléphoniquement par les Sapeurs Pompiers de [V1], nous signalant qu'une habitante, demeurant à [V1], avait vu un objet insolite dans le ciel.

Vers 5 heures 02, alors que nous nous apprêtions à partir en patrouille et à nous rendre chez madame [T1], nous avons aperçu dans le ciel, un objet volant venant de la direction Nord-Ouest et se dirigeant vers le Sud-Est. Il avait une trajectoire rectiligne et avançait très lentement.

On voyait deux ronds lumineux blancs de huit centimètres de diamètre environ et espacés l'un de l'autre de trente centimètres environ.

Les lumières blanches étaient très nettes, ce qui laisse supposer que cet engin volait à basse altitude; le plafond de nuages étant assez bas.

Il ne produisait aucun bruit.

Aucune comparaison avec la signalisation employée par les avions. Cet engin ne laissait aucune traînée après son passage.

Les feux ne faisaient aucun faisceau lumineux, comme le font les projecteurs.

D'autre part j'ajoute que vers 4 heures 30, les sirènes de V3 ont sonné pendant dix minutes, d'une manière continue.

Le 18 Mars 1974 à 20 heures 20.

Lecture faite par moi de la déclaration ci-dessus, j'y persiste et n'ai rien à y changer, à y ajouter où à y retrancher.

(A signé au carnet de déclarations.)

Le même jour à 20 heures 40, nous avons entendu:

Monsieur [G4], né le [-] 1922, [-] enfants, Sous-Brigadier de Police, demeurant [V1], de nationalité française, qui nous déclare à 20 heures 43:

Le 15 Mars 1974 à 6 heures, sommes avisés téléphoniquement par les Sapeurs Pompiers de [V1] nous signalant que Madame [T1], qui habite [V1], a vu dans le ciel, un engin insolite.

En quittant le Poste, mon regard s'est porté machinalement vers le ciel. J'ai vu deux lumières blanches, venant du Nord-Ouest et se dirigeant vers le Sud-Est. Ce phénomène se déroulait au niveau des nuages. Cet objet ne faisait aucun bruit.

18 Mars 1974 à 20 heures 50

Lecture faite par moi de la déclaration ci-dessus, j'y persiste et n'ai rien à y changer, à y ajouter ou à y retrancher.

(A signé au carnet de déclarations.)

http://ufologie.net/foiafr/g23f.htm

ovni-france-007-12-02-1971.jpg

Gendarmerie nationale, groupement de l'Aveyron, compagnie de Millau, brigade de la Cavalerie.

Procès-verbal de renseignements administratifs, le 6 mars 1974 à 10 heures.

Résumé de l'affaire

Dans la nuit du 5 au 6 mars 1974, trois militaires de l'unité du capitaine C... commandant l'escadron 82 de la gendarmerie mobile d'Hyères dans le Var, ont aperçu, vers la ferme de l'Hôpital, une forme lumineuse non identifiée. Cette lumière a suivi la patrouille dans ses déplacements jusqu'à la Cavalerie où elle a été observée par plusieurs officiers et sous-officiers de l'escadron. Nous rendons compte des faits ci-dessus à notre commandant de compagnie qui nous ordonne d'effectuer une enquête afin de déterminer la nature de la forme lumineuse aperçue par les gendarmes mobiles.

La forme lumineuse aperçue par les gendarmes mobiles était de faibles dimensions. Ces dernières varient d'ailleurs en fonction de l'heure et des points d'observation. Ainsi, d'abord aperçue par les témoins sous la forme d'une sphère très imparfaite, sensiblement de la grosseur d'une balle de caoutchouc d'enfant, la forme lumineuse a été observée un peu plus tard par ces mêmes personnes sous la forme d'un rectangle aux angles arrondis, mesurant environ 25 à 30 centimètres de longueur et 15 centimètres de hauteur. Puis la forme lumineuse a été vue à nouveau sous l'apparence d'une balle de très faibles dimensions, quelques centimètres de diamètre. Cette forme lumineuse émettait une très forte luminosité de couleur blanche. Aucun bruit n'a été perçu par les six témoins qui l'ont observée à des heures identiques et pendant une durée de deux heures environ.

Ces témoins pensent qu'il ne s'agissait pas d'une étoile ni d'un aéronef ou d'un ballon sonde. La forme lumineuse observée le 6 mars 1974 était mobile; elle a parcouru un itinéraire de 10 km environ, puis a accompli une descente vertigineuse vers le sol avant de réaliser une ascension et de se stabiliser dans le ciel. Il est à noter que deux autres formes lumineuses non identifiées ont été aperçues à la Cavalerie dans la nuit du 25 février 1974 par une habitante de cette localité. Toutefois, ces deux lumières n'avaient ni la taille, ni la forme de celles observées dans la nuit du 5 au 6 mars 1974 par les gendarmes mobiles. D'après les dires du témoin, cette forme lumineuse ressemblait à deux cigares qui se maintenaient immobiles dans le ciel, dans une position verticale, au milieu d'un embrasement intense à l'horizon. Aucun autre habitant de la Cavalerie et des environs n'a été témoin de faits semblables.

Source: http://www.forum-ovni-ufologie.com/t2101-en-1974-le-6-03-des-gendarmes-de-la-compagnie-de-millau-et-ovnis#ixzz2McUvob9d

ovni-france-011-23-03-1974.jpg

Le 23 Mars 1974, au cours d'une vague d'apparitions d'Objets Volants Non-Identifiés en France, un médecin, qui a souhaité garder l'anonymat, a photographié un objet d'une extrême luminosité à Tavernes, dans le Sud de la France.

Sources : http://www.forum-ovni-ufologie.com/ - archives SFH

SFH 03-2013 - Archives SFH 03-2013

uss-scorpion.jpg

L'énigme du Thresher et du Scorpion

Par Le 03/03/2013

L'énigme du Thresher et du Scorpion

ss200-thresher.jpg

USS Thresher

Au milieu du XXe siècle, dans les années 60, deux des plus puissants sous-marins nucléaires américains, l'USS Thresher et l'USS Scorpion, ont disparu dans les profondeurs noires et glaciales de l'Océan Atlantique; tous les deux dans des conditions mystérieuses, bien plus mystérieuses que la Marine américaine a bien voulu le dire...
Si leurs épaves ont bien été retrouvées par la suite, nulle trace des hommes d'équipage n'a pu être repérée. Les 129 hommes du Thresher et les 99 hommes du Scorpion se sont littéralement volatilisés...!

Où sont-ils passés? Que sont-ils devenus? Là est l'énigme...

Rapports des commission d'enquêtes

Avant d'aller plus loin, voyons ce que nous disent les commissions d'enquête de la Marine américaine et quelles sont leurs conclusions "officielles" sur la disparition des ces deux submersibles. Dernier-né des sous-marins nucléaires américains, premier d'une nouvelle classe d'engins super silencieux capables de plonger plus profondément que les autres, le Thresher, inauguré et lancé à Portsmouth, était le nec plus ultra des sousmarins de l'époque. C'était un véritable "Requin-tueur" qui allait donner aux Etats-Unis un énorme avantage militaire face à leurs ennemis soviétiques. On était alors en pleine "Guerre froide" et ce sous-marin était une pièce majeure sur l'échiquier politique mondial sur lequel s'opposaient les USA et  l'URSS. Il était équipé du premier système de contrôle de feu informatisé à bord d'un sous-marin et d'un sonar d'une incroyable portée. Il était doté de missiles inter sous-marins, ce qui était une nouveauté à l'époque.

Le Thresher prit la mer le 9 avril 1963 avec un équipage de 129 hommes. Le matin du 10 avril, à l'aube, le commandant donna l'ordre de plonger. Les ballasts furent remplis et le submersible s'enfonça dans les eaux profondes de l'Atlantique Nord près de Corsair Canyon au large de Boston. Il s'agissait alors de tester la résistance du bâtiment, et le commandant fit plonger son sous-marin le plus profond possible Le Thresher n'était pas seul, il était en communication radio avec l'USS Skylark, un navire équipé pour le sauvetage en mer, mais pas pour celui d'un sous-marin nucléaire en plongé. Ce bâtiment se trouvait sur la zone de manoeuvre du Thresher et pouvait lui porter secours, mais seulement si celui-ci faisait surface.

Tout se passait bien jusqu'à ce que, tout à coup, le commandant du Thresher envoie au Skylark, à 9 h 13 exactement, le message suivant: «Thresher annonce: faisons face à difficultés mineures. Angle ascendant positif. Tentons de chasser. Vous tiendrons informés.».
De toute évidence, le sous-marin avait quelques problèmes, des avaries de peu d'importance qui ne le mettaient pas en danger.

Prudent, le commandant jugea préférable de remonter et de rentrer à la base pour réparer. Il avait ordonné de chasser l'eau des ballasts pour alléger le bâtiment et le faire ainsi remonter en surface. Il n'y avait pas de quoi s'affoler, mais 3 minutes plus tard, un nouveau message arriva, brouillé, inintelligible, suivi d'un bourdonnement à basse fréquence puis... le silence...

A la surface on ne voyait absolument rien. L'équipage du Skylark avait beau scruter les flots à l'oeil nu comme aux jumelles, rien n'apparaissait, pas même une tache d'huile...
Les minutes passaient et l'angoisse finit par s'installer. Ce 10 avril 1963, le commandant du Skylark prit alors la décision d'informer le QG de la Marine que le Thresher ne répondait plus.

C'était la première fois au monde qu'un sous-marin nucléaire était porté disparu. Le coup était rude, c'était une véritable tragédie...!
On pensa tout de suite qu'il avait heurté un haut-fond et qu'il avait ainsi coulé, mais rien n'était sûr. Il fallait absolument trouver la cause du drame. Il fallait comprendre ce qui s'était passé. Les spécialistes de la Navy firent un véritable travail de détective qui dura des mois pendant lesquels les recherches en mer continuèrent inlassablement.
La Marine alla jusqu'à couler une voiture automobile pour voir comment elle descendrait dans les eaux profondes de l'Atlantique; cela, dans l'espoir de trouver un indice quelconque permettant de retrouver le Thresher.

Des caméras télécommandées et des sonars ratissèrent sans relâche les fonds sous-marins, et l'unique vaisseau de plongée profonde dont disposait alors la Marine américaine, le bathyscaphe Trieste, explora les profondeurs océaniques jusqu'à épuisement de son équipage.
Enfin, au bout de 6 longs mois, le Trieste découvrit ce qui subsistait du Thresher... Il avait implosé sous la pression hydraulique avec une telle force qu'il ne restait plus de lui que des bouts de ferrailles éparpillés sur le fond de l'océan.
Pendant ce temps, au cours de ces longs mois de recherche, une commission d'enquête de la Marine avait découvert des choses incroyables...

Le dossier de maintenance du bâtiment a révélé que 14 % des joints de la tuyauterie qui transportait de l'eau de mer sous haute pression sur toute sa longueur n'avaient été soumis à aucun test par ultra-sons. De même, des centaines d'autres joints avaient échappé à toute vérification, alors que sur d'autres sous-marins, des joints de ce type avaient connu des défaillances et causé de graves inondations. A la profondeur à laquelle se trouvait le Thresher, la rupture d'une grosse canalisation aurait fait entrer des dizaines de tonnes d'eau à la minute (!).
La dernière transmission radio du submersible a apporté des indices déterminants qui ont permis à la commission de reconstituer le scénario probable du drame que voici: la rupture d'une canalisation dans la salle des machines a inondé  le compartiment et neutralisé suffisamment de fusibles pour forcer l'arrêt du réacteur nucléaire. Ne fonctionnant plus que sur ses accumulateurs, le submersible n'aurait pas eu assez de puissance pour atteindre la surface.

En dernier recours, l'équipage a dû envoyer de l'air comprimé dans les ballasts pour chasser l'eau et retrouver de la flottabilité, mais le système de ballasts était d'un modèle ancien conçu pour des sous-marins ne descendant pas à une telle profondeur; leur puissance était trop faible pour cela.
Le bâtiment n'aurait donc pas pu s'alléger suffisamment. Il prenait l'eau et devenait de plus en plus lourd. Il n'aurait donc fait que se redresser tandis qu'il descendait vers le fond inexorablement...
A 450 m de profondeur, la coque du Thresher ne pouvant plus résister à l'écrasante pression qu'elle subissait, explosa comme une bombe !

Des fragments de métal tordu, c'est tout ce qui restait du Thresher, le plus extraordinaire sous-marin de l'époque...!

L'épave éclatée en mille morceaux du submersible a été explorée et filmée dans les années 80 par Bob Ballard, un océanographe, au cours d'une expédition secrète; officiellement, il cherchait le Titanic !
La commission d'enquête de la Marine conclut finalement que, trop pressée d'envoyer en mer cette merveille de haute technologie, la Navy a commis plusieurs fautes de conception et de construction.

uss-thresher02.jpg

Tout le monde jura que cela n'arriverait plus jamais, mais 5 ans plus tard, au printemps de 1968, la tragédie frappa de nouveau...

L'USS Scorpion

Après la disparition tragique du Thresher, la Marine américaine surveillait désormais de très près tous ses sous-marins nucléaires. Aussi, lorsque l'USS Scorpion ne lança plus aucun message le 21 mai 1968, un vent de panique monta au sein du Quartier Général de la Navy...

Le Scorpion était parti pour une mission de routine en Méditerranée (pour espionner les navires soviétiques, selon le rapport officiel qui fut publié par la suite) et repartait ce jour-là vers sa base de Norfolk en Virginie. C'est alors qu'il traversait l'Atlantique Nord qu'il cessa tout à coup d'émettre.
Il était attendu ce jour à 13 h 00 à Norfolk au terme de sa mission en mer, et aucun message de détresse n'avait été lancé par son équipage. Tout allait bien, mais il fallait pourtant se résoudre à l'évidence: il s'était passé quelque chose de grave...

uss-scorpion.jpg

Les autorités militaires de la Navy lancèrent immédiatement des recherches en haute mer. Des dizaines de bateaux, de sous-marins et d'avions sillonnèrent la zone d'où il avait envoyé son dernier appel radio, mais ces fouilles méthodiques ne donnèrent aucun résultat. On décida alors d'élargir la zone de recherche, mais là encore les investigations restèrent infructueuses.

A 1300 km à l'est des Açores, un avion aperçut une tache d'huile (comme il y en a beaucoup sur l'Atlantique) à laquelle personne ne prêta d'importance, mais découvrit aussi un "mystérieux objet orange" qui resta malheureusement introuvable pour les navires qui se lancèrent à sa recherche.

Le Scorpion, avec un équipage de 99 hommes et un armement ultra-moderne et super-puissant, s'était littéralement volatilisé dans l'immensité de l'océan Atlantique...!

Au bout de 10 jours, la Marine annonça que le Scorpion était porté disparu et que tous les hommes à bord étaient vraisemblablement morts.

Ce n'est que des mois après la cérémonie à la mémoire des disparus que l'on découvrit enfin ce qu'il restait du submersible. La Marine annonça alors que rien n'établissait que le sous-marin fut victime d'un quelconque acte d'hostilité (sous-entendu de la part des Soviétiques, car nous étions toujours en pleine "Guerre froide"), mais refusa d'en dire davantage. Quelles que fussent ses conclusions quant aux causes de l'accident, elles étaient classées "Secret Défense".
C'est grâce à un immense réseau de microphones sous-marins installés, dès les années 60, dans tous les océans du monde, afin de détecter les mouvements de la flotte soviétique et les essais nucléaires, que les restes du Scorpion ont pu être localisés.

Grâce à ces hydrophones, une explosion sous-marine inexpliquée a été découverte par une équipe de spécialistes installée aux îles Canaries, au large de la Mauritanie, en Afrique, sous la direction de John Craven, un scientifique de la Marine.
Cet enregistrement montrait un pic qui était peut-être lié au Scorpion, puis un silence de 91 secondes suivi d'une série d'environ 17 pics pouvant correspondre à l'implosion des différents compartiments du sous-marin, mais ces informations étaient insuffisantes pour conclure quoi que ce soit. C'est lorsqu'on découvrit le même type de tracé sur les enregistrements de deux hydrophones installés au large de Terre-Neuve, à 300 milles de là, qu'il devint possible, par triangulation, de localiser le lieu de l'explosion. L'épicentre se situait près des Açores.

Mais s'il s'agissait bien du Scorpion, cela faisait un mystère de plus à élucider...!

En effet, on pensait que le sous-marin se dirigeait de la Méditerranée vers Norfolk; or, à la grande surprise de tout le monde, les explosions enregistrées par les hydrophones s'éloignaient de Norfolk... comme si le sous-marin avait fait demi-tour et repartait vers la Méditerranée!

Le Scorpion avait-il rebroussé chemin, et si oui, pourquoi ?

Pour tenter d'en savoir plus, on envoya le bathyscaphe Trieste sur les lieux supposés du naufrage, et celui-ci, après de longues recherches, finit effectivement par retrouver l'épave du Scorpion échouée dans les eaux profondes de l'Atlantique par 3000 m de fond...

Le sous-marin nucléaire USS Scorpion

uss-scorpion-implosion.jpg

L'USS Scorpion retrouvé

Dans les années 80, Bob Ballard, cet océanographe qui avait exploré et filmé l'épave éclatée du Thresher, explora et filma à son tour l'épave du Scorpion au moyen d'un minisubmersible.
A la différence du Thresher, le Scorpion était relativement intact. Il s'est certainement rempli d'eau avant de sombrer à la profondeur d'écrasement. Sa tourelle a été totalement arrachée de la coque, probablement en heurtant le fond. L'extrême pression a sectionné la partie arrière et l'a littéralement enfoncée dans la partie avant comme une antenne télescopique qu'on referme.

Aucune des images prises alors par Bob Ballard n'a été montrée avant 1993, date à laquelle la Marine a enfin commencé à déclassifier les informations relatives au Scorpion.

C'est à cette époque (en 1993, 25 ans après le drame) que la Marine communique ses conclusions et donne sa version officielle—son "scénario le plus probable"—sur le naufrage du Scorpion.
Selon la Navy, tout aurait commencé alors qu'un courant électrique parasite aurait amorcé l'une des torpilles à bord du submersible. Le commandant aurait ordonné aussitôt un virage à 180° dont il espérait qu'il allait déclencher un mécanisme de sécurité et désarmer la torpille. Puis il aurait ordonné l'éjection de celle-ci, mais la torpille n'aurait pas été désarmée et elle aurait commencé à se chercher une cible. Comme il n'y avait rien alentour, c'est le sous-marin lui-même qui aurait été pris pour cible par la torpille qui était dotée d'une tête chercheuse.
Comme le sous-marin était un peu plus rapide que la torpille, il avait une chance de lui échapper. Il aurait essayé de la distancer, mais la torpille aurait été finalement plus rapide que prévu et l'aurait ainsi frappé en faisant un énorme trou dans la coque, coulant ainsi le Scorpion. Toutefois, ce scénario ne satisfait pas tout le monde...!

A l'époque où il était un jeune lieutenant de la Marine, Ross Saxon a examiné l'épave du Scorpion depuis le bathyscaphe Trieste et voici ce qu'il nous dit :

« J'ai plongé sur le Scorpion et je n'ai absolument rien vu indiquant qu'il ait été coulé par une torpille. Aucun élément de la structure ne suggérait cette hypothèse. Les portes de tous les tubes avant étaient fermées. Le sous-marin s'était cassé sous l'effet de la pression et rien n'établissait qu'il avait été coulé par une torpille

Une enquête fut menée par Stephen Johnson, un journaliste d'investigation du Houston Chronicle. Celui-ci récupéra des lettres de divers membres de l'équipage du Scorpion qui s'inquiétaient de l'état mécanique du bâtiment. L'un d'eux a même démissionné pour cette raison. Après des années d'effort, Stephen Johnson déterra un élément déterminant du passé du Scorpion. A la suite de multiples demandes auprès de la Flotte sous-marine de l'Atlantique, ce journaliste a fini par obtenir ce qu'il cherchait.
Il a alors découvert, parmi les pages relatives à l'historique de maintenance du Scorpion, des documents montrant comment ce dernier avait été choisi pour un programme secret réduisant considérablement la maintenance qu'il aurait dû avoir. Pour économiser du temps et de l'argent, la Marine américaine avait supprimé une bonne partie de la révision du submersible.
Seulement 3 millions de dollars avaient été dépensés pour la maintenance alors qu'il aurait fallu normalement dépenser environ 20 millions de dollars !

Un autre secret de la Marine a été révélé par deux autres journalistes américains—Christopher Drew et Sherry Sontag—auteurs du livre "Blind Man's bluff" dans lequel ils racontent leur enquête. Ces journalistes apprennent, en effet, à la suite d'investigations à partir d'une lettre qui leur à mis la puce à l'oreille, que lors d'essais, la batterie actionnant la torpille MARK 37 avait parfois surchauffé et pris feu. Des ingénieurs, ayant travaillé dans l'usine de torpille de Kyport dans l'état de Washington, disent avoir mis en garde la Marine à propos d'une possible explosion à bord suffisamment importante pour couler un sous-marin.

Ce laboratoire a fait divers essais indiquant que ce type de torpille était dangereux, mais la Marine n'a tenu aucun compte de leur avertissement. Est-ce la défaillance d'un équipement insuffisamment vérifié ou l'explosion d'une torpille défectueuse qui a coulé le Scorpion? Impossible de trancher avec certitude...

En tout cas, à la suite de ce désastre, la Marine américaine renonça à son expérience de maintenance réduite et modifia la torpille MARK 37. Depuis, elle n'a plus jamais perdu un seul sous-marin nucléaire!
Voilà donc les conclusions "officielles" de la Marine américaine sur la disparition des sous-marins nucléaires Thresher et Scorpion et les résultats des contre-enquêtes menées par des journalistes à propos du Scorpion.
Pour nous, à notre avis, la Marine américaine a bien fait de prendre ces mesures après la disparition du Scorpion, car ces défaillances techniques auraient pu, effectivement, être à l'origine de graves accidents chez d'autres sous-marins nucléaires, mais... nous ne pensons pas que s'il n'est plus jamais rien arrivé après cela, c'est qu'il s'agit bien là de la cause de ces deux drames. Non, c'est une pure coïncidence !

uss-scorpion-implosion2.jpg

Avarie ou défaillance technique ?

Rien, absolument rien ne prouve que le Thresher comme le Scorpion ont coulé à la suite d'une avarie due à une défaillance technique quelconque.
Certes, ils avaient de sérieux problèmes de maintenance, des tuyauteries fragiles, des torpilles défectueuses.., mais cela ne prouve rien. Si un conducteur perd le contrôle de sa vieille voiture à cause d'un malaise cardiaque et tombe dans un ravin où il trouve la mort dans l'explosion de son automobile, tout le monde dira que la voiture était trop vieille, que ses freins ont lâché ou qu'elle a eu une quelconque défaillance mécanique. Le conducteur n'étant plus là pour témoigner, on sera tous d'accord pour dire que c'est l'état désastreux de la voiture qui est responsable de cet accident mortel. Et pourtant, c'est faux ! C'est le coeur malade du conducteur qui a fibrillé et provoqué ainsi cet accident.

Eh bien ! C'est exactement la même chose pour le Thresher et le Scorpion : ce n'est pas une défaillance mécanique qui est responsable de leur naufrage. Mais alors qu'est-ce qui a provoqué la destruction de ces deux superpuissants sous-marins nucléaires? Les Services secrets des Etats-Unis comme ceux de la Russie et de la Grande-Bretagne savent très bien que de "mystérieux vaisseaux noirs" rôdent silencieusement dans les eaux de toutes les mers et les océans du globe. Les ministères de ces pays possèdent d'énormes dossiers secrets contenant des rapports d'enquêtes et d'observations ainsi que des statistiques sur ces "mystérieux submersibles".

Les Etats-Unis ont perdu deux sous-marins nucléaires, mais la Russie en a perdu au moins sept. La Grande-Bretagne en a perdu plusieurs également et la France a perdu le Minerve au large de Toulon le 25 janvier 1968 et l'Eurydice au large de Saint-Tropez le 4 mai 1970, alors qu'ils étaient tous deux révisés et en parfait état de marche.

Tous ces sous-marins auraient-ils subi le même sort que le Thresher et le Scorpion? C'est possible...

Les mystérieux vaisseaux noirs

Ces "mystérieux vaisseaux noirs" qui rôdent sous les mers seraient-ils la cause de la disparition de ces sous-marins ?

Rien ne le prouve de manière absolue, mais nous pensons, nous, que ce sont bien les responsables ! Qui sont ces "étranges vaisseaux sous-marins" ?

D'après les témoignages, ces "mystérieux vaisseaux noirs" sont d'une taille beaucoup moins imposante que celle des "roues lumineuses". Ces dernières ont un diamètre d'environ 500 à 600 m alors que les "mystérieux vaisseaux noirs" ont une taille 5 à 6 fois plus petite (100 m en moyenne). S'agirait-il, dans ce cas, de petits sous-marins lâchés par ces gros submersibles lumineux pour effectuer diverses missions de surveillance et... d'attaque? En l'absence d'autres informations, nous ne pouvons rien affirmer, mais l'hypothèse est séduisante. C'est bien possible.

Au début du XXe siècle, le 28 octobre 1902, au cours d'une nuit calme et étoilée sur l'Atlantique Sud, des marins du navire Fort Salisbury aperçurent, à quelques dizaines de mètres du bateau, un "long objet sombre"... Le commandant fut rapidement alerté et lui comme les hommes présents cette nuit-là, constatèrent que cet "objet sombre" était long d'environ 150 à 180 m, que sa surface n'était pas unie, mais "écailleuse" (un peu comme celle d'un poisson), qu'il y avait un feu à chaque extrémité et qu'un mécanisme agitait l'eau (comme les nageoires d'un poisson, là encore)...!

De nombreuses vérifications ont été faites par la suite, mais rien ne permit d'identifier ce mystérieux "objet sombre". Lorsque le Minerve disparut en Méditerranée en janvier 1968, les recherches intenses menées par la Marine française révélèrent plusieurs fois un mystérieux écho sonar correspondant à une "énorme masse métallique" d'environ 60 m de long faisant penser à un submersible. L'exploration des fonds ne montra pourtant rien qui ressemble à un sous-marin.

Ces échos étaient pourtant bien réels et semblaient se déplacer... intelligemment.

En avril 1970, au large de la Nouvelle-Guinée, des centaines de personnes furent témoins de l'apparition d'un "engin inconnu" qui semblait glisser à la surface de l'eau... D'après les indigènes, des "objets mystérieux" de ce type visitent les lieux depuis des siècles...!

En novembre 1972, dans les eaux d'un fjord norvégien, au nord de Bergen, un "mystérieux objet" fut repéré. Il resta immobilisé sous ces eaux pendant une quinzaine de jours (!). Les autorités norvégiennes déclarèrent que "le mystérieux objet immergé et détecté par une frégate de la Marine n'était pas un sous-marin." Puis, sans que l'on puisse comprendre comment, le "mystérieux objet" se volatilisa...! Ce n'était pas la première fois qu'un tel "objet non identifié" était repéré dans cette région. Depuis des années déjà, de tels "objets" avaient été signalés dans ces eaux.

Les sous-marins nucléaires Thresher et Scorpion ont très certainement, selon nous, subi l'attaque de ces "mystérieux submersibles" qui n'en voulaient, en fait, qu'à leurs équipages (qui ont totalement disparu)... Dans le cas du Thresher, un de ces "mystérieux vaisseaux noirs" aurait foncé sur lui et aurait brouillé ses émissions radio; d'où la très mauvaise qualité du dernier message envoyé au Skylark. Les hommes de l'équipage auraient alors été enlevés non pas dans un abordage sanglant, mais en douceur par téléportation (!), c'est-à-dire par  dématérialisation et rematérialisation au sein du "submersible"...

Le transfert des hommes d'un submersible à l'autre par onde porteuse (c'est le principe de la téléportation) se serait passé au moment de la remontée du sous-marin vers la surface.
Laissé sans équipage, le bâtiment serait retombé vers les profondeurs, ses ballasts n'ayant pas été chassés à fond, et aurait explosé sous la pression.
Dans le cas du Scorpion, un "mystérieux vaisseau noir" aurait été détecté par les sonars, et se rendant compte du danger, le commandant aurait ordonné de faire demi-tour afin de tenter de lui échapper. Mais, malheureusement, ce fut inutile... L'équipage tout entier aurait été enlevé par téléportation, lui aussi, peu de temps après la manoeuvre. Laissé sans équipage, le sous-marin aurait plongé peu à peu pour une raison technique inconnue et se serait brisé sous la pression, permettant à l'eau d'entrer, empêchant ainsi son explosion sous l'énorme pression.

uss-thresher.jpg

Mais qui a fait coulé ces navires ?

Nous sommes convaincus que la Marine américaine sait ce qui s'est réellement passé, qu'elle connaît tous les faits et qu'elle a caché tout cela aux médias et au grand public.
Mais, dans tout cela, le plus important est de savoir pourquoi ces hommes auraient été enlevés et par qui exactement? Sur ces questions, la Navy ne possède peut-être pas toutes les réponses, mais il est bien possible qu'elle en possède au moins quelques-unes...

En ce qui nous concerne, nous pensons qu'il s'agit d'êtres extra-terrestres installés dans les eaux profondes de divers océans et mers du globe, dans d'immenses citées sous-marines...! Depuis quand sont-ils là et pourquoi? Il est bien difficile de le dire! Les indigènes de Nouvelle-Guinée affirment qu'ils sont visités par ces "mystérieux vaisseaux noirs" venus du fond des mers depuis des siècles...!

Etranges rencontres sous les eaux

Dans les eaux du Golfe Persique, en mai 1880, au cours d'une nuit extrêmement noire, le Patna, un steamer de la fameuse Compagnie des Indes britanniques, fit une incroyable rencontre...

Le capitaine Avern, le 3e officier M. Manning et J.W. Robertson virent, en effet, cette nuit-là, apparaître brusquement sur la mer sombre, de part et d'autre du navire, deux énormes "roues" lumineuses...!
Ces monstrueuses "roues" de lumière venues d'on ne sait où, tournaient sur elles-mêmes, d'après les calculs, à environ 160 km/h (!). Leurs immenses rayons (environ 200 à 300 m de long!) paraissaient frôler le navire... Les témoins purent compter les rayons de ces gigantesques "roues" lumineuses qui se distinguaient nettement les uns des autres: 16 rayons à chaque roue!
La lueur de ces énormes "roues" de 500 à 600 m de diamètre (!) paraissait glisser à plat sur la surface de la mer, sans aucune lumière visible dans l'air, un peu comme lorsque l'on fait tourner une lanterne horizontalement au-dessus de l'eau et que sa lumière se reflète en cercles concentriques sur cette eau. Ces deux "roues" lumineuses accompagnèrent le navire pendant 5 minutes puis disparurent comme elles étaient venues...

Ces "roues" n'étaient certainement pas faites de lumière pure... il s'agissait probablement d'objets matériels issus d'une très haute technologie qui se déplaçaient sous les eaux, et dans le cas présent, sous leur surface. Oui, mais en cette fin de XIXe siècle (nous sommes en 1880, ne l'oublions pas) la Science était incapable de concevoir et encore moins de fabriquer de telles machines! D'ailleurs, au XXe siècle, malgré tous les progrès accomplis, la Science en était toujours incapable! Aujourd'hui, en ce début de XXIe siècle, les scientifiques en sont encore incapables !

Alors ! De quoi s'agissait-il ? Mystère...

Un mois plus tard, en Juin 1880, dans cette même région du Golfe Persique, au large de la côte de Malabar, le même phénomène se reproduisit...
En fin de soirée, par mer calme et ciel dégagé, le commandant Harris, du vapeur Shahjehan, eut tout à coup le souffle coupé... Il donna l'ordre de stopper les machines et d'arrêter le navire. Il venait en effet d'apercevoir sur les eaux une chose absolument fantastique !

Une matière inconnue flottait sur l'eau, paraissant éclairée par de gigantesques rayons lumineux sans projeter de lumière ! 

Comme le commandant Harris le déclara lui-même: « Ondes sur ondes se succédaient en l'un des spectacles les plus grandioses et les plus solennels qui se puisse imaginer...! ».

Des dizaines d'apparitions de ce type purent être observées dans le Golfe Persique au cours du XXe siècle. Rien que durant les années 60, une cinquantaine d'observations de "roues" lumineuses furent enregistrées dans cette région !

Ce phénomène mystérieux n'est cependant pas cantonné à ce lieu; bien d'autres régions du monde sont également touchées par ces apparitions remarquables.

En 1907, dans le détroit de Malacca, à bord du vapeur Delta, M.S.C. Patterson observa sous la surface de l'eau, durant environ trente minutes, "des rayons qui semblaient pivoter sur un centre, comme les rayons d'une roue"! Ces rayons paraissaient mesurer environ 300 m de long...!
La même année (semble-t-il) on aperçut dans le Sud de la Mer de Chine, sur la surface de l'eau, des sortes d'éclairs lumineux en rotation...
Un témoin déclara: «On eût dit une roue horizontale tournant rapidement au-dessus de l'eau et produisant sur l'équipage un profond sentiment de malaise.».

En juin 1909, tandis qu'il se promenait sur le pont du paquebot Bintang de la Compagnie East Danish, le capitaine Gabe aperçut dans le détroit de Malacca une "sphère de lumières mouvantes", selon sa propre expression, située juste sous le niveau de la mer.
Le capitaine déclara par la suite qu'il vit ce qui lui paraissait être de longs bras décrivant des cercles à partir d'un centre commun. Cet "objet" était absolument gigantesque. Selon le capitaine Gabe, «celui-ci était si grand qu'on n'en voyait qu'une partie, l'autre étant dissimulée par l'horizon...!». Cette immense "sphère de lumière" s'approcha lentement du navire en s'atténuant, en diminuant son intensité lumineuse, jusqu'à finalement s'évanouir totalement dans les eaux... comme un sous-marin qui plonge sous un bateau dans les eaux profondes.

En mars 1931, dans la Mer d'Oman, plusieurs marins de la fameuse Canonnière du Yang-Tse Kiang furent également  les témoins d'un étrange phénomène. Tandis que ces marins faisaient route vers Colombo à bord du Doudart de Lagrée et qu'ils se trouvaient alors entre Gardaful et les Maldives, ils virent tout à coup surgir des profondeurs d'étranges lumières qui les fascinèrent... La nuit était tombée et ils purent voir distinctement d'immenses rayons lumineux jaunâtres qui tournaient autour d'un axe invisible situé, semble-t-il, à une très grande distance du bateau. On pourrait allonger ainsi la liste des témoignages. Ces immenses "roues lumineuses" venues des profondeurs ont été vues sur presque toutes les mers et océans par de très nombreux témoins dignes de foi.

canonierefrancaiseyangtse.jpg

De quoi s'agit-il exactement? L'hypothèse la plus logique d'après toutes les descriptions qui en ont été faites, est celle d'énormes submersibles construits et dirigés par des formes de vie intelligentes...! Des êtres intelligents Humains ou Humanoïdes vivraient-ils sous les eaux, au sein d'immenses citées englouties, dans un Monde sous-marin parallèle au nôtre? Rien ne permet de l'affirmer, mais c'est bien possible... "

Extraits de " Ces Mondes Parallèles que l'on nous cache " de Delsaut Patrick

SFH 03-2013

Dans Paranormal
newgrange-ireland-sidhe.jpg

Le Peuple des Sidhe

Par Le 02/03/2013

Le Peuple des Sidhe

newgrange-ireland-sidhe.jpg

La plupart des récits de la tradition celtique présentent les fées non comme un ensemble disparate d'entités isolées et de puissances individuelles intervenant de façon accidentelle ou arbitraire dans le destin des hommes, mais bien comme les représentants d'une race à part, d'un peuple qui possède ses propres coutumes, qui livre ses propres guerres et, surtout, qui règne sur son propre monde. Ce peuple, qui regroupe en son sein différentes tribus, différents royaumes, est connu sous le nom de peuple Sidhe, terme gaélique désignant à l'origine un tertre ou une colline : dans l'imaginaire celte, les tertres et les collines marquaient souvent les frontières visibles du monde invisible et les croyances populaires situaient volontiers les demeures et les palais des fées sous la surface des collines. A quoi ressemblent donc les Sidhe ? Dans la plupart des textes qui les décrivent, ils sont présentés comme des êtres à l'apparence humaine, mais particulièrement beaux, vigoureux et brillants, parés de dons prodigieux et éternellement jeunes... Certains d'entre eux, toutefois, sont particulièrement laids,
ou étrangement difformes, voire franchement monstrueux : dans un cas comme dans l'autre, l'ordinaire n'a pas cours, et les extrêmes constituent la norme.

Et qu'en est-il de l'organisation sociale de cette gent des collines ? Le plus souvent, les Sidhe vivent à la manière des tribus celtes, avec des guerriers, des bardes, des artisans, des rois et des reines, et présentent en quelque sorte une version idéalisée de la société celtique, parfois agrémentée de quelques étrangetés typiquement féeriques... En revanche, les Sidhe néfastes et malveillants tendent à vivre selon des coutumes qui ne sont en réalité que de grossières transgressions ou inversions des grandes lois communes au monde celtique : l'illusion remplace la vérité, la fausseté se substitue à l'honneur et les règles sacrées de l'hospitalité sont détournées à l'encontre des invités, retenus contre leur gré ou contraints de se plier à des coutumes infamantes par "respect" pour leurs hôtes.

Seelie et Unseelie

A l'instar des paysages de cet Autre Monde qui est le leur, la société des Sidhe est bâtie sur ce qu'on pourrait appeler une dualité des extrêmes : d'un côté, des êtres "brillants", dispensateurs de dons et d'inspiration, vivant dans un monde d'enchantements et de prodiges; de l'autre, des créatures "ténébreuses", parodiant et bafouant les lois humaines, porteuses de mauvais sort et semeuses de discorde. Si certains sidhe adoptent volontiers l'un ou l'autre comportement de façon capricieuse et imprévisible, la plupart d'entre eux relèvent clairement de l'un ou l'autre aspect. La tradition gaélique écossaise concrétise un peu plus cette bipartition en nommant précisément ces deux factions : d'un côté, la cour brillante des Seelie, de l'autre, la meute ténébreuse des Unseelie. Il est amusant de constater que ces deux termes, manifestement contraires, n'ont, en eux-mêmes, aucune signification propre, le mot seelie n'étant que la transcription de sidhe : seelie pourrait donc se traduire en français par fée ou faé et unseelie par un terme comme "infaé".

La Légende de Thomas le Rimailleur

Dans certains cas, un séjour chez les fées peut même avoir des conséquences globalement positives pour l'invité-captif, comme dans l'histoire de Thomas le Rimailleur (Thomas the Rhymer). Selon la légende, Thomas était un poète écossais qui fut enlevé par les fées et revint de l'Autre Monde doté du don de prophétie, un don qui, dans la grande tradition du pays de Féerie, peut parfois être source de bien des tourments. Ici, la Légende se confond avec l'Histoire, puisque Thomas le Rimailleur a bel et bien existé : né Thomas de Learmouth, ce noble écossais du XIIIème siècle composa de nombreuses prédictions sous forme de poèmes, souvent énigmatiques. Certaines de ces prophéties se révélèrent exactes, notamment celle concernant la mort du roi d'Ecosse Alexandre III et les graves troubles qui s'ensuivirent pour le royaume. Cette véracité lui valut le surnom de "True Thomas", c'est à dire Thomas le Véridique. Fallait-il être devin pour prophétiser de tels événements ? Une prédiction, une fois établie et rendue, ne constitue-t-elle pas, pour ceux qui y accordent foi, le plus impérieux des commandements ? Il ne nous appartient guère de trancher... Quittons donc les rivages de l'Histoire pour rejoindre à nouveau l'autre bord, celui de la Légende : selon certains récits, Thomas le Véridique ne serait pas mort mais aurait rejoint l'Autre Monde, où il serait devenu le barde attitré de la Reine des Fées...

Charmes et Enchantements

Enchanteurs par nature, les sidhe pratiquent une forme de magie particulière, le glamour. Avant d'examiner de plus près les caractéristiques de cet art typiquement féerique, attardons-nous quelques instants sur la définition du mot lui-même... A l'origine, le terme glamour désigne, en anglais, une forme de magie destinée à embellir la réalité : le glamour peut ainsi donner à une poignée de feuilles mortes l'apparence d'une bourse remplie de pièces d'or, ou faire passer la plus humble des masures pour le plus majestueux des palais. Ce type de magie remplit donc une double fonction : abuser et séduire, tromper et attirer, en un mot, charmer au moyen d'artifices secrets, définition qui s'applique également au sens moderne, beaucoup plus restreint, de ce mot. On pourrait donc traduire glamour par "charme" ou "enchantement", deux mots qui appartiennent eux aussi à ce double registre de la magie et de la séduction; signalons également que le mot français prestige désignait lui aussi autrefois des artifices magiques destinés à leurrer ou à fasciner.

L'étymologie du mot glamour est encore plus tortueuse que sa définition, puisqu'il est issu du mot français... grammaire ! Autrefois, le terme grammaire ne désignait pas uniquement le modus operandi d'une langue, mais pouvait s'étendre à n'importe quel domaine de connaissance jugé extrêmement abstrait, complexe ou ésotérique : le mot a ainsi donné naissance à grimoire, terme désignant un ouvrage savant empli de connaissances vaguement mystérieuses; puis, le sens de grimoire s'est peu à peu limité au seul champ de la magie; c'est chargé de cette signification que le mot est passé en Grande Bretagne, après la conquête de l'Ile par les Normands francophones. Là, il s'est peu à peu déformé et son sens est progressivement passé de "livre de magie" à "magie". Dans certains vieux textes anglais parlant de magie et de féerie, on rencontre parfois des termes comme gremayre, qui attestent de cette improbable évolution linguistique, digne des sortilèges les plus étranges de l'Autre Monde.

Il serait tentant de ne voir dans le glamour qu'un art magique constituant à travestir l'apparence des choses, ou à créer des illusions de toutes pièces, mais cette forme de magie typiquement féerique entretient des rapports beaucoup plus subtils avec les notions de réel et d'imaginaire. Dans son acception la plus générale, le terme glamour désigne non seulement la technique magique proprement dite que la "matière première" que cette technique permet de manipuler, cette fameuse "étoffe dont sont faits les rêves" (Shakespeare, La Tempête), cette substance qui imprègne chaque être, chaque lieu, chaque objet issu de l'Autre Monde, où tout est plus beau, plus fort, plus vif... plus vrai, serait-on tenté d'ajouter. Comme on le voit, l'art de tisser le glamour consiste moins à créer des illusions qu'à évoquer au sein de notre monde un peu de l'éclat et de la splendeur de l'Autre...

Les Fées et la Foi

Si les croyances concernant les sidhe trouvent leurs racines dans le paganisme celtique, la chrétienté médiévale, loin de nier l'existence des fées, chercha souvent à les intégrer de manière plus ou moins heureuse au sein de la cosmogonie biblique. Cette démarche syncrétique, peu prisée des autorités ecclésiastiques romaines, fut en revanche une des grands caractéristiques des diverses églises celtiques, notamment au Pays de Galles, en Bretagne armoricaine, en Ecosse et, bien évidemment, en Irlande : le récit pathétique du retour d'Oisin et de son trépas témoigne ainsi de la volonté des hommes d'Irlande d'établir un passage, une transition harmonieuse entre leur nouvelle foi et les traditions de leurs ancêtres, de concilier en une seule histoire mythique le souvenir des héros et des fées de jadis, et les enseignements de la religion chrétienne. Il est intéressant de noter qu'à partir du moment où la religion et la morale chrétiennes s'en mêlent, les frontières entre les différentes espèces d'êtres féeriques ont tendance à s'estomper et tous, qu'ils soient beaux ou laids, fascinants ou effrayants, brillants ou ténébreux, se trouvent jetés dans le même sac et frappés du même anathème : pour la plupart des gens d'église du moyen-âge, fées, elfes et autres "hafelins" (littéralement "demi-hommes") ne sont que des démons déguisés, des esprits infernaux dont le seul but est de perdre les hommes, de les éloigner de la seule vraie foi en les soumettant à diverses
tentations.

Certains théologiens firent toutefois preuve d'une plus grande imagination et virent la confirmation de l'existence d'une race féerique à part dans l'allusion que fait le Livre de la Genèse aux Nephilim, ces mystérieux "faiseurs de prodiges" qui arpentaient la Terre lorsque celle-ci était encore jeune. Selon une théorie fort répandue dans les traditions celtique et germanique christianisées, les êtres féeriques seraient en fait des anges exilés sur terre par Dieu : dans la grande révolte déclenchée par Lucifer avant la Chute, ces anges n'auraient pris parti ni pour Dieu ni pour le futur souverain de l'Enfer. Dieu aurait donc banni dans le monde des hommes ces anges coupables d'être restés neutres, qui ne pouvaient décemment demeurer au Paradis, mais qui ne méritaient pas pour autant d'être jetés dans l'Abîme. Selon d'autres sources, le royaume de Féerie verserait un tribut régulier aux Puissances de l'Enfer, afin de conserver son indépendance et de rester à l'écart de la grande lutte entre les forces du Bien et du Mal. Il est intéressant de noter que, même aux yeux de ces théoriciens pourtant chrétiens, sidhe, elfes et consorts ne sont ni bons ni mauvais, mais incarnent un compromis pour le moins inhabituel dans un système de croyance et de pensée pourtant strictement codifié : le véritable
caractère des fées demeure un mystère, même pour ceux qui prétendent expliciter le monde, de sa création à sa fin.

Les Sidhe et les Mortels

Seelie ou unseelie, les sidhe semblent en tous les cas éprouver une vive curiosité à l'égard des mortels et vont parfois jusqu'à inviter quelque promeneur solitaire ou voyageur égaré à les rejoindre dans leurs réjouissances. Dans la plupart des cas, ces réjouissances prennent la forme d'une grande ronde joyeuse ou d'un banquet où l'on sert des mets délicieux. Rappelons-nous au passage que la danse et la bonne chère sont deux symboles traditionnels des plaisirs de la chair : l'appel des fées est donc une invitation au plaisir et à l'abandon. Comme il est évidemment fort difficile de refuser quoi que ce soit à des êtres aussi séduisants, le mortel ne tarde pas à rentrer dans la danse ou à rejoindre la fête, ce qui va évidemment entraîner de fâcheuses conséquences, comme chaque fois qu'un interdit se trouve transgressé ou que la frontière entre les deux mondes est franchie...

Lorsqu’il entre dans la ronde des fées, le mortel se trouve emporté par une farandole de plus en plus frénétique et étourdissante : dans certains récits, le malheureux est ainsi condamné à "danser jusqu'à la fin des temps"; dans d'autres, il parvient à quitter la danse, ou bien s'en trouve éjecté par malice, à moins que le lever du jour ne provoque la disparition des danseurs faés : le malheureux mortel constate alors qu'il a vieilli de plusieurs années en quelques heures, sans même avoir connu une vie d'abondance et de félicité, comme Oisin en Tir Na n’Og. La signification cachée de cette ronde des fées est aisée à déceler : l'homme qui cède aux plaisirs vit sa vie comme une grande farandole, comme un tourbillon, sans voir le temps passer, et se réveille un jour, vieux, seul, au terme d'une existence qui ne lui a rien appris, rien apporté. Dans d'autres cas, le danseur est finalement changé en pierre : plusieurs cercles de pierres levées, en Grande Bretagne et en Bretagne armoricaine, sont liés à des histoires de danseurs pétrifiés victimes de la malice des sidhe ou des korrigans.

Dans le cas du banquet des fées, l'expérience vécue par l'invité mortel est plus élaborée, riche de sensations diverses et de plaisirs variés : les plats, la boisson, la musique, la beauté des convives, tous ces éléments font de ce festin féerique un moment magique et inoubliable. Mais on ne goûte pas impunément les mets et les breuvages de l'Autre Monde : un des premiers conseils que l'on donnait jadis aux enfants et aux voyageurs était de ne jamais accepter quoi que ce soit, et tout particulièrement à manger ou à boire, qui soit offert par une fée ou par un être de même nature. On retrouve à nouveau l'éternel principe de l'interdit : en acceptant un cadeau offert par une fée, en goûtant un plat préparé dans l'Autre Monde, le mortel imprudent se laisse en quelque sorte contaminer par la magie des fées... Ceux qui cèdent à la tentation subiront bien souvent le même réveil brutal, le même douloureux retour à la réalité que le danseur de la ronde des fées... Ils ne verront plus le temps passer et, lorsqu'ils prendront congé de leur hôte, ils trouveront un monde méconnaissable, où de nombreuses années se sont écoulées durant l'espace d'un soir à la cour des fées.

Dans certains récits, le convive égaré se voit épargner le châtiment de son propre vieillissement accéléré, mais l'expérience qu'il a vécue et le fait qu'il ne soit plus tout à fait de son temps le laissent à jamais marqué et le placent à l'écart des autres hommes. Comme ceux qui ont aimé passionnément une fée et que leur amante a quitté pour rejoindre l'Autre Monde, il restera à jamais "sous le charme" (au sens magique du terme), "fae-struck" comme disent les Anglais, soit littéralement "frappé par les fées" : il a pris un "coup de féerie" comme on peut prendre un coup de soleil ou un coup de lune...

Ce thème de l'enlèvement déguisé en invitation n'est pas l'apanage des seuls unseelie, loin s'en faut. Ce constat permet de confirmer, si besoin était, que la division seelie/unseelie ne correspond pas, répétons-le, à une division bien/mal : peut-être la différence entre seelie et unseelie est-elle à chercher du côté de l'intention et des conséquences de l'invitation dans l'Autre Monde. Les seelie inviteront le mortel dans leur ronde ou à leur banquet en dépit des fâcheuses conséquences que cela peut entraîner pour lui, tandis que les unseelie agiront dans le but délibéré de provoquer ces fâcheuses conséquences. Comme toujours chez les fées, les nuances sont subtiles et les frontières fragiles...

De Prestigieux Ancêtres

Même s'ils semblent vivre en dehors du temps, les Sidhe préservent, comme tous les peuples, la mémoire de leurs origines. Dans la mythologie irlandaise, les Sidhe sont les descendants des Tuatha dé Danan (littéralement "la tribu ou les gens de Dana", Danu étant l'un des noms de la grande déesse mère des Celtes), une race d'êtres divins eux-mêmes originaires des lointaines "Iles de l'Ouest", souvent identifiées avec la terre enchantée de Tir Na Nog. L'arrivée des Tuatha dé Danan en Irlande et les batailles épiques qu'ils y livrèrent contre d'autres races légendaires, comme les monstrueux géants Formoire ou la mystérieuse tribu des Fir Bolg, sont relatées dans le Lebor Gabala (Livre des Invasions, ou des Conquêtes), qui regroupe les grands mythes fondateurs de la culture celtique irlandaise. Immortels, les Tuatha excellaient dans les arts de la guerre et de la magie et comptaient dans leurs rangs les plus grands bardes, médecins et artisans que l'Irlande ait jamais connus.

Le plus fameux d'entre eux fut certainement Lugh, le "dieu brillant". A la différence de la plupart des Tuatha, son culte s'étendait bien au-delà de l'Irlande, dans tout le monde celtique, comme le prouvent les innombrables lieux auxquels il a laissé son nom (un des plus célèbres étant la ville de Lyon, alias Lugdunum). Voici une de ses plus célèbres descriptions, tirée du Cycle d'Ulster, qui conte les exploits du héros irlandais Cuchulainn : "Un homme haut et bien fait. Ses cheveux sont épais et courts taillés sur sa tête, blonds et bouclés par derrière. Un manteau vert l'enveloppe. Une broche de blanc argent tient le manteau sur sa poitrine. Sur sa peau blanche, il porte une tunique de soie, digne d'un roi, entretissée d'or vermeil, et tombant aux genoux. Il a une grande épée à un seul tranchant dans un poing, un écu noir à bordures de bronze argenté, une pique à cinq barbes à l'autre poing, deux javelines fourchues au côté. C'est merveille, en vérité, de voir les tours d'adresse, de force et de prouesse qu'il fait. " Lorsqu'il l'aperçoit, le héros Cuchulainn (qui est en fait le propre fils de Lugh, mais n'a jamais eu l'occasion de le rencontrer) ne le reconnaît pas en tant qu'individu, mais l'identifie immédiatement pour ce qu'il est : un guerrier sidhe, venu de l'Autre Monde.

Le héros explique ainsi à l'un de ses compagnons : " C'est un des miens, qui du Pays des Fées vient m'apporter aide et pitié..."

Ce passage prouve, si besoin était, qu'il n'existait pas dans l'imaginaire gaélique traditionnel de distinction clairement établie entre les dieux et les fées : ainsi Lugh est-il présenté dans le même récit à la fois comme un "dieu" et comme un "jeune guerrier du pays des Fées" : Lugh constitue le modèle idéal du peuple des Sidhe : d'une beauté prodigieuse, à la fois combattant, poète, chasseur et magicien, il est le dieu brillant, dans tous les sens du terme. Champion infaillible, paré de tous les dons, doté de toutes les qualités et maître de tous les arts, Lugh
appartient à la catégorie des dieux et des héros solaires, ce qui n'empêche pas son mythe de receler quelques zones d'ombres... Ainsi, il est intéressant de noter que, bien qu'étant le champion de ce peuple, Lugh n'est pas un "pur" Tuatha dé Danan : sa mère, en effet, n'est autre que la fille du roi des Formoire, race ennemie des Tuatha traditionnellement rattachée à la nuit et au monde souterrain...

Peut-être faut-il voir dans le double héritage de Lugh une des racines mythiques du caractère changeant souvent attribué aux Sidhe, enfants de l'ombre et de la lumière, à la fois fascinants et inquiétants, capables des plus grands prodiges, mais porteurs d'une "part étrange", inconnaissable et donc dangereuse...

Les Trésors des Tuatha dé Danan

En plus de leurs prodigieux pouvoirs, les Tuatha dé Danan avaient en leur possession de puissants objets magiques : ainsi, la redoutable épée de leur roi Nuada à la Main d'Argent, la lance infaillible de Lugh ou la harpe d'or du dieu Dagda, dont la musique envoûtante pouvait provoquer la joie, le chagrin ou le sommeil... Mais le plus précieux trésor des Tuatha dé Danan était sans nul doute le chaudron d'abondance, qui permettait non seulement de nourrir une infinité de convives, mais aussi de ramener à la vie les guerriers morts au combat. De nombreux érudits ont vu dans ce chaudron de fertilité et de résurrection un archétype archaïque et païen de ce mystérieux Graal que les Chevaliers de la Table Ronde recherchèrent avec tant d'ardeur : nous verrons plus loin que cet exemple n'est pas isolé, et que de nombreux trésors mythiques originellement liés aux ancêtres des fées ont survécu dans les romans de chevalerie sous forme d'objets enchantés offerts aux valeureux héros par de belles et mystérieuses damoiselles...

Les Peuples Ennemis

Les Tuatha dé Danan possédaient également de nombreux ennemis. Les trois principales races légendaires qu'ils combattirent furent les Fomoriens, les Fir Bolg et les Milésiens.
Les Fomoriens (ou Formoiré, Fomori, Fomorach etc) étaient des géants malfaisants et difformes, issus du fond des mers et des profondeurs de la terre : leur chef, le terrible Balor, pouvait foudroyer ses ennemis d'un seul regard de son oeil unique. De l'apparence des Fir Bolg, les légendes ne disent pas grand chose : certaines sources tardives font d'eux un peuple de géants brutaux et stupides, très proches des anciens trolls des mythes scandinaves. Leur nom reste un mystère : "hommes-ventre" ou "hommes-foudre"... à moins qu'il ne s'agisse plus prosaïquement de la tribu celte des Belges, largement répandue dans les Iles Britanniques. Quant aux Milésiens, ou Fils de Mil, les légendes font d'eux les ancêtres des Irlandais actuels. Ce sont eux, de simples mortels, qui vaincront les Tuatha et les forceront à s'exiler définitivement dans l'Autre Monde.

Des Dieux aux Fées

En cédant la place aux hommes, les Tuatha dé Danan vont perdre leur essence divine, ainsi qu'une grande partie de leur puissance magique pour devenir les sidhe, le peuple caché des tertres, réfugié dans les profondeurs des forêts, des lacs, des collines creuses, des galeries souterraines... et de l'inconscient collectif. Comme il est inconcevable d'oublier ceux qui furent autrefois les rois du monde, les hommes continueront à respecter leur mémoire, à entretenir les lieux qui leur sont liés et à perpétuer leurs légendes. Il est intéressant de noter que cette perte de souveraineté divine, cette acceptation du règne des simples mortels, se manifeste physiquement par une érosion de la taille supposée des êtres mythiques : décrits comme des "géants" lorsqu'ils régnaient sur le monde, les Tuatha dé Danan vont, en devenant les sidhe, être réduits à une échelle plus humaine, au propre comme au figuré. Nous nous trouvons face à un étrange processus de dégénérescence des peuples imaginaires, où le pouvoir magique, la taille physique et la place occupée dans les croyances humaines semblent n'être qu'une seule et même donnée. Ce processus va continuer durant tout le moyen-âge ainsi qu'à l'époque moderne, sous l'influence de la religion chrétienne d'abord, puis du rationalisme scientifique, qui réduisent toujours plus la place que l'homme peut accorder aux êtres féeriques dans sa vision du monde. Peu à peu, l'héritage des sidhe s'érode, lui aussi : les terribles sortilèges de jadis se muent en simples mauvais tours, les fées deviennent des créatures fluettes ou courtaudes, et le peuple caché va devenir le petit peuple, sans doute parce qu'une taille de miniature paraît la seule explication rationnellement explicable au fait que les fées soient, par nature, "invisible à l'oeil humain", à l'instar des insectes (...) ou de la fée Clochette (...).

winter-sidhe.jpg

L'Héritage des Sidhe

Cela dit, l'héritage mythique des Tuatha dé Danan et de leurs descendants les Sidhe n'est pas entièrement perdu, et se perpétue notamment à travers les dons fabuleux et les prodigieux exploits que la tradition celtique attribue à nombre de ses héros, à commencer par les Fiana, ces intrépides cavaliers qui accompagnèrent le légendaire héros irlandais Finn dans ses quêtes, ses chasses et ses batailles ; mais on trouve également des traces de cet héritage sidhe dans nombre de textes rattachés à l'immense Matière de Bretagne, c'est à dire au cycle du Roi Arthur et des Chevaliers de la Table Ronde. Ainsi, le conte gallois médiéval Kulhwch et Olwen nous présente cette étonnante description des compagnons du Roi Arthur, dépeint ici sous les traits assez archaïques d'un chef de guerre en quête d'aventures périlleuses :

"(...) Morvan fils de Tegid - personne n'osa le toucher de son arme à la bataille de Camlan tellement il était laid, tout le monde croyait que c'était un démon venu à la rescousse, il était couvert de poils semblables à ceux d'un cerf (...) Scilti Pieds Légers, lorsqu'il marchait à bonne allure pour une mission de son seigneur, ne cherchait pas le meilleur chemin par où passer, mais s'il rencontrait des bois, il marchait sur la cime des arbres, et s'il rencontrait des collines, il marchait sur l'extrémité des roseaux, et jamais une fois dans sa vie il ne fit plier un roseau sous son pied (...) Drem fils de Dremidyt qui voyait de Kelliwig en Cornouailles (c'est à dire la pointe sud-ouest de l'Angleterre) jusqu'à Penn Blathaon chez les Pictes (c'est à dire en Ecosse) le moucheron se lever avec le soleil (...)" 

Le texte évoque ensuite un guerrier capable d'enjamber les montagnes, un autre dont le pied frappant le sol provoque autant d'étincelles qu'une forge, un autre encore capable d'aspirer toute l'eau d'une baie abritant trois cents navires... Pour le lecteur moderne, ces attributs fantastiques relèvent avant tout de l'hyperbole ou de l'exagération poétique, mais il faut rappeler ici que les conteurs d'autrefois ne distinguaient pas comme nous le faisons aujourd'hui l'irrationnel du rationnel, le légendaire de l'historique, ou le réel du merveilleux : en dotant les guerriers d'Arthur de dons aussi outrageusement fantastiques, les conteurs qui perpétuèrent l'histoire de Kuhlwch et Olwen cherchaient avant tout à ancrer leur récit dans un temps primordial, le temps du mythe, lorsque les limites entre les hommes et les dieux, ou entre ce monde et l'autre, n'étaient pas aussi nettement établies.

Sur la Piste des Pictes

Les sidhe ne sont-ils que pure légende ? Selon certains anthropologues, la tradition celtique concernant le peuple des fées, tout particulièrement sous son aspect de « petit peuple des forêts et des collines », aurait une origine tout à fait réelle, en la personne des Pictes, un peuple d'origine préceltique qui régnait sur la Calédonie avant que les Scots venus d'Irlande n'en fassent l'Ecosse.

Nous ignorons beaucoup de choses sur ces Pictes, à commencer par le nom qu'ils se donnaient eux mêmes, le mot "picte" étant issu du latin "pictus", c'est à dire "homme peint" : les Pictes avaient en effet l'habitude de combattre nus, le corps couvert de peintures à vocation rituelle. En dépit d'un mode de vie apparemment très primitif (ou peut-être en vertu de ce mode de vie), les Pictes furent les seuls "barbares" à tenir tête aux légions de Rome : l'immense Mur d'Hadrien, qui marque traditionnellement la frontière entre l'Angleterre et l'Ecosse et traversait jadis l'île de Bretagne d'est en ouest, ne fut édifié que pour repousser leurs assauts dévastateurs. A cette époque, on les rencontre aussi dans des régions reculées d'Irlande, où on les connaît sous le nom de Cruithni. Les érudits qui postulent un possible rapport entre les hommes peints et le petit peuple des légendes basent leur théorie sur un certain nombre de faits et de conjectures...

Tout d'abord, il est important de préciser que les membres de ce peuple n'étaient vraisemblablement pas des Celtes, et qu'ils étaient très certainement issus d'une vague plus ancienne de peuplement de l'Europe, à l'instar des Basques, dont ils sont peut-être les lointains cousins. D'un point de vue ethnique et culturel, ils étaient donc des étrangers complets pour les Celtes comme pour les Romains. Les Pictes étaient probablement d'assez petite taille, du moins comparés aux Celtes, et avaient apparemment les cheveux sombres et la peau assez brune, autant de traits susceptibles de renforcer leur étrangeté et leur côté "sauvage" aux yeux de leurs voisins et ennemis. "Homme brun" (brown man) est d'ailleurs un titre fréquemment attribué aux esprits de la nature dans le folklore britannique.

Avant l'arrivée massive des Celtes en Grande Bretagne, les Pictes étaient manifestement présents sur toute l'île, comme semblent l'attester certaines traces archéologiques. Repoussés toujours plus au nord par le flux migratoire celte, les "hommes peints" auraient été contraints de se retirer dans les terres les plus reculées de l'île, à l'écart (et à l'abri) de ses nouveaux maîtres. Cette "perte de souveraineté" et ce grand exode "en dehors du monde" pourraient donc être à l'origine des croyances selon lesquelles les "hommes" (les Celtes) auraient succédé à l'ancien peuple ("the Old Folk", les Pictes) après avoir conquis ses terres; celui-ci se serait ensuite retiré à la lisière du monde, dans les forêts et autres lieux sauvages...

Chaque Peuple son Monde

Dans les mythologies germanique et scandinave, l'Homme partage la possession de l'univers avec plusieurs races d'êtres mythiques, à commencer par les dieux, répartis en deux tribus bien distinctes : les Ases (d'où sont issus les divinités les plus connues, comme Odin/Wotan ou Thor/Donar) et les Vanes (lignée plus ancienne de dieux déchus, vaincus par les précédents mais toujours détenteurs de précieux secrets et de puissants sortilèges). Les principaux peuples surnaturels sont les Géants, les Trolls, les Nains et les Elfes. Chaque espèce
habite un monde qui lui est propre : Asgard pour les Ases, Vanaheim pour les Vanes, Jotunheim pour les Géants, Niflheim pour les Nains, Alfheim pour les Elfes...

Quant au monde des hommes, il se nomme Midgard ("la terre du milieu") : tous ces différents mondes sont organisés autour du grand Arbre Yggdrasil, véritable axis mundi garant de l'équilibre cosmique. A première vue, nous nous trouvons donc en présence d'une mythologie organisée, apparemment plus structurée que le grand chaos brumeux des mythes celtes... à première vue seulement, car, en ce qui concerne les Elfes et les autres races surnaturelles "mineures", les légendes germaniques présentent elles aussi leur lot de mystères et de contradictions...

Les Puissances de la Nature

Les elfes nordiques sont étroitement liés au dieu Freyr et à la déesse Freya, deux divinités sur lesquelles il convient de s'arrêter quelques instants, l'examen de leur caractère et de leurs attributions respectives constituant probablement le meilleur résumé des spécificités primordiales du peuple elfique. Tout d'abord, il est important de noter que Freyr et Freya ne sont pas mari et femme, mais frère et soeur, comme le montrent leurs noms presque identiques : il n'est donc pas interdit de penser que Freyr et Freya représentent les deux moitiés, l'une mâle et l'autre femelle, du même principe mythique, principe qui serait inévitablement lié à l'essence même du peuple des elfes. Or, Freyr et Freya n'appartiennent pas à la tribu dominante des dieux, celle des Ases, traditionnellement liés au ciel, à la guerre et à la force, mais à la race des dieux vaincus, celle des Vanes, que les mythes associent étroitement à la terre, à la nature et à la magie, à l'instar des Tuatha dé Danan : elfes nordiques et sidhe celtiques occupent donc bel et bien la même niche mythologique au sein de leurs traditions respectives.
L'examen des attributs spécifiques de chacune des deux divinités confirme ce parallélisme. Freyr, lié au soleil et à la fertilité, était souvent surnommé "le brillant", comme Lugh; Freya, elle, était la déesse ambivalente de l'amour et du désir, régnant sur les sentiments les plus nobles comme sur les passions les plus folles : on retrouve ici l'idée d'êtres ni bons ni mauvais, mais reflétant par leur tempérament variable ou cyclique le caractère changeant et capricieux de la Nature, dont ils sont la vivante incarnation.

Extraits de "Aux Origines de la Féerie" de Olivier Legrand (2004)

SFH 03-2013

Dans Sciences
haarp-nuage-plasma-sri-international-elizabeth-kendall.jpg

Haarp crée le plus long nuage de plasma artificiel

Par Le 02/03/2013

Haarp crée le plus long nuage de plasma artificiel

haarp1

Intéressante nouvelle qui complète et confirme donc une partie de cet article : http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/environnement-planete-terre/rechauffement-ou-guerre-meteorologique.html

En projetant de puissantes ondes radio vers l'ionosphère, le programme Haarp permet d'étudier cette zone très mal connue de l'atmosphère et même d'en tirer parti pour diverses applications. L’une d’elles est la création de nuages de plasma artificiels utilisables pour les télécommunications ou la détection par radar. Avec une stabilité obtenue durant plus d'une heure, Haarp vient de battre son record de durée.

Haarp (High Frequency Active Auroral Research Program) a fait et fera encore couler beaucoup d’encre. Certains y voient plus qu’un simple programme de recherche scientifique (et tout de même en partie militaire) américain portant sur l’ionosphère. Pour eux, il ne s’agit pas d’un projet destiné à mieux comprendre comment les orages magnétiques affectent les communications radio mondiales, les systèmes de navigation par satellite ainsi que les réseaux de transport d'électricité sur de longues distances, que ce soit pour des usages civils ou militaires.

On n’a jamais pu démontrer cette affirmation, même si l’on sait bien qu'Haarp est en partie financé par la fameuse Defense Advanced Research Projects Agency (Darpa), bien connue entre autres pour les travaux en robotique qu’elle soutient.

plasma

Des images dans le visible d'un nuage de plasma artificiel créé à l'aide d'un faisceau de hautes fréquences avec Haarp au-dessus de l'Alaska. Cela s'est passé le 12 novembre 2012, entre 2 h 26 mn 16 s et 2 h 26 mn 43 s TU. © Elizabeth Kendall, SRI International

Les motivations scientifiques derrière Haarp sont simples à comprendre, lorsque l'on sait que l'état de l'ionosphère est en constante évolution sur des périodes de quelques minutes, heures ou jours, voire des saisons et des années. Or, les mesures pour tenter de mieux comprendre ce qui s'y passe sont notoirement difficiles.

Des miroirs en plasma pour réfléchir les ondes radio

Les ballons ne peuvent pas atteindre l'ionosphère parce que l'air y est trop ténu, et les satellites en orbite ne peuvent s'y installer parce que l'atmosphère y est encore trop dense. Par conséquent, la plupart des expériences sur l'ionosphère ne fournissent que des bribes d'informations. La perturber directement avec des faisceaux d'ondes radio adéquats et étudier ses réponses est un moyen de contourner ces obstacles.

Il est certain qu’avec Haarp, on cherche aussi à faire des sortes de nuages de plasma artificiels qui peuvent servir de miroir pour des ondes radar ou des télécommunications à haute fréquence.

Les membres d’Haarp viennent d’annoncer qu’ils avaient battu plusieurs records avec les nuages de plasma qu’ils essayent de créer vers 170 km d’altitude. Il y a d’abord le record de la durée de vie pour ces bulles de plasma. Les précédentes se dissipaient en dix minutes environ, alors qu’actuellement, elles peuvent rester stables pendant une heure. De plus, la densité d’électrons libres est aussi passée de 4 x 105 à 9 x 105 électrons par cm3.

haarp

Une vue de Haarp avec ses 180 antennes. La gamme des hautes fréquences que peut émettre cette installation s'étend de 2,75 à 10 MHz. © High Frequency Active Auroral Research Program

Source : http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/meteorologie-1/d/haarp-crace-le-plus-long-nuage-de-plasma-artificiel_44876/#xtor=RSS-8

Yves Herbo : en faisant une recherche rapide, on tombe sur beaucoup d'observations d'OVNI ce jour-là (12-11-2012), notamment en France, Russie, Japon, au Mexique et en Californie, mais les plus interessantes sont au Texas (peu de rapport à priori mais il s'agit d'une opération miliaro-scientifique, et les bases du Texas sont réputées pour être en lien avec Haarp) : nous voyons des images très intéressantes dans ce journal télévisé texan qui en parle, et montre d'autres vidéos. Non seulement on y voit un objet tout à fait en forme de nuage de plama, mais il semble bien (et les analyses prouvent qu'il n'y a pas de trucages ici) qu'un objet intelligent utilise bel et bien cette technologie des plasmas nommée MHD ou quelque chose de proche... :

MAJ 02-03-2013 : Un lecteur attentif que je remercie m'a envoyé les coordonnées du rapport officiel de Luc Mampaey du GRIP sur HAARP :

http://grip.org/fr/node/15

Un autre lien en relation mais à relativiser sans preuves formelles, plus ancien mais qui parle d'une étude sur le séisme catastrophique de mars 2011 au Japon et d'une énergie décelée 3 jours avant : http://www.alterinfo.net/Une-nouvelle-etude-indique-un-lien-possible-entre-HAARP-et-le-seisme-au-Japon_a59824.html

Yves Herbo SFH 02/03-2013

  • 304
  • 305
  • 306
  • 307
  • 308
  • 309
  • 310
  • 311