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Théorie et Expérimentation: plusieurs réalités objectives ?
Théorie et Expérimentation: plusieurs réalités objectives ?
Une nouvelle étude associée à une expérimentation a été publiée récemment dans Nature Physics, proposant un autre théorème que celui de Bell, à l'aide d'une expérimentation physique du paradoxe de l’ami de Wigner avec un scénario introduit par Brukner. La question principale posée est : La théorie quantique s'applique-t-elle à toutes les échelles, y compris celle des observateurs ?
" Il s'agit d'une expérience de réflexion abordant le problème de la mesure quantique - la difficulté de concilier l'évolution (unitaire, déterministe) de systèmes isolés et la mise à jour d'état (non unitaire, probabiliste) après une mesure. Ici, en s'appuyant sur un scénario avec deux amis séparés mais intriqués introduit par Brukner, nous prouvons que si l'évolution quantique est contrôlable à l'échelle d'un observateur, alors celle du 'Non-Superdeterminisme', 'Localité' ou 'Absoluité des événements observés (AOE)' - que tout événement observé existe absolument et non relativement - doit être faux. Nous montrons que bien que la violation des inégalités de type Bell dans de tels scénarios ne soit pas en général suffisante pour démontrer la contradiction entre ces trois hypothèses, de nouvelles inégalités peuvent être dérivées, de manière indépendante de la théorie, qui sont violées par les corrélations quantiques. Ceci est démontré dans une expérience de démonstration de principe où le chemin d’un photon est considéré comme un observateur. Nous discutons comment ce nouveau théorème impose des contraintes strictement plus fortes sur la réalité physique que le théorème de Bell."
La Mécanique quantique: Si les ressorts de cette discipline encore jeune (à peine un siècle) questionnent profondément les rares esprits qui s'adonnent à son étude, l'on sait néanmoins que la physique quantique décrit avec une précision confondante les comportements les plus contre-intuitifs des atomes et des particules, posant souvent plus de questions qu'elle n'en résout.
Pour les chercheurs travaillant dans le champs de la physique relativiste, le monde possède deux qualités importantes. Il est à la fois :
réaliste, c'est-à-dire que la réalité est objective et ne dépend pas d'une mesure ou d'un observateur ;
déterministe, c'est-à-dire que la réalité n'est pas aléatoire mais le fruit d'un ensemble de variables produisant des résultats systématiques et prédictibles (pourvu que l'on dispose de toutes les informations nécessaires à sa compréhension).
Or, la physique quantique nous apprend qu'il en va bien autrement en deçà d'une certaine échelle, dans le monde exotique des atomes et des particules, voire des molécules. Imaginons qu'une particule, un peu comme un interrupteur, admette deux états possibles, que nous baptiserons 1 et 0 pour un maximum de simplicité. Si l'on en croit l'interprétation de Copenhague (le consensus actuel), tandis qu'un interrupteur ne peut être que dans un seul état à la fois (allumé ou éteint), la particule, elle, se trouve dans ce que l'on appelle une superposition d'états, c'est-à-dire à la fois 1 et 0. Cette superposition ne disparaît que lorsqu'un observateur décide de mesurer son état, causant ainsi un effondrement de la fonction d'onde. Cette première idée contredit la possibilité d'une réalité unique et objective pour notre particule, mais les choses ne s'arrêtent pas là.
En effet, toujours d'après la théorie quantique, la particule ne suit pas une logique déterministe mais probabiliste. On ne peut donc pas prédire l'état dans lequel elle sera, mais seulement calculer la probabilité d'obtenir un état ou un autre. Dans notre cas, et toujours par souci de simplicité, nous dirons que notre particule a une chance sur deux d'être dans l'état 1 ou 0.
Les scientifiques ignorent encore à ce jour par quel mécanisme la particule passe d'une superposition d'états à un état fixe. Certains ont suggéré que la fonction d'onde s'effondre au moment où la mesure est faite, d'autres encore que l'intervention d'un observateur conscient est nécessaire -- cette dernière notion a amené certains à tordre la physique quantique pour lui faire dire que nous pouvions modifier la fabrique de la réalité par la simple force de notre esprit, ce qui, pour autant que nous sachions, est complètement erroné. Aujourd'hui, les chercheurs travaillant avec des systèmes quantiques complexes savent qu'un simple coup de vent peut causer l'effondrement du fragile château de carte qu'est la superposition quantique, fragile à l'interaction avec les particules présentes dans l'air. La question de ce qui fait la valeur d'une mesure ou d'un observateur demeure donc encore en suspens. Néanmoins, cette nouvelle expérience parvient aujourd'hui à apporter de nouveaux éléments de réponse, permettant d'affiner les impératifs et contraintes concernant cette question primordiale.
La notion d'intrication quantique. Nous savons d'ores et déjà que lorsque nous mesurons l'état d'une particule quantique, nous avons 50 % de chance de trouver 1 ou 0. Mais les particules intriquées, elles, partagent une relation particulière. Liées l'une à l'autre (suite à une manipulation volontaire ou, plus rarement, accidentellement), elles forment un tout inséparable où l'état de l'une est dépendant de celui de l'autre. Plus simplement, les deux particules se trouvent chacune dans une superposition d'états (1 et 0) jusqu'à que l'une d'entre elles soit mesurée. Cette mesure cause un effondrement de la fonction d'onde simultané pour la paire, et chacune se fixe alors dans un état opposé, et ce, peu importe la distance qui les sépare :
Cela signifie qu'en théorie, si vous placez une particule sur la Lune et sa jumelle sur Terre, la mesure de la particule terrienne (donnant par exemple l'état 1) provoquerait l'effondrement de la fonction d'onde de sa jumelle lunaire (qui acquerrait alors l'état 0) au même instant. Ceux qui se souviennent encore de leurs cours de physique protesteront alors en affirmant que cela est impossible car rien, même l'information, ne voyage plus vite que la lumière (qui met 1,3 seconde à nous parvenir de la Lune). Einstein n'était d'ailleurs pas le plus grand adepte de cette notion, qu'il surnommait la dérangeante (ou effrayante) action à distance.
Dans les années 1960, le physicien John Bell décide d'en apprendre plus sur cette communication manifestement instantanée entre les particules intriquées. Il part ainsi de deux principes initiaux, afin de respecter la vision classique du monde :
- principe de localité : les particules ne peuvent pas s'influencer mutuellement plus vite que la lumière ;
- réalisme : les particules suivent un fonctionnement déterministe (et non probabiliste) que nous peinons simplement à prédire à cause de variables cachées.
Sur la base de ces deux postulats, Bell calcule l'ensemble des états possibles pour la mesure d'une paire de particules intriquées dans un contexte complexe et obtient ainsi un seuil de corrélation théorique. Depuis, de nombreux « tests de Bell » ont été effectués dont les résultats ont infailliblement violé le seuil théorique calculé par Bell. Selon lui, une seule conclusion pouvait être tirée de ce constat : l'un de ses postulats de départ était faux. Mais lequel ?
Ici, nous pouvons parler de la Théorie de l'ordre implicite du physicien américain David Bohm, reprise par d'autres ensuite :
Etudes et expérimentation: preuve de bactéries dans l'espace
Etudes et expérimentation : Des bactéries vivant dans l'espace prouvées
ISS - International Space Station. Credit: JAXA/NASA
La bactérie Deinococcus radiodurans est hyper résistante, faisant partie des extrêmophiles : elle peut survivre au froid, à la déshydratation, à l'acide, aux UV et aux rayonnements ionisants. De plus, une nouvelle étude vient de révéler qu'elle pouvait parfaitement s'acclimater à l'environnement extrême de l'espace, pour une longue durée.
La mission japonaise Tanpopo (pour « pissenlit » en français) visait à vérifier cette hypothèse. Une colonie de bactéries séchées a été placée entre des panneaux d'exposition, dans un module fixé à l'extérieur de la Station spatiale internationale, qui orbite à 400 kilomètres autour de la Terre.
Japanese astronaut Mr. Yugi set up the exposure experiment module ExHAM on the International Space Station. L'astronaute Yugi montre le mudule d'expérimentation de la cabine de l'ISS. Credit: JAXA/NASA
Au bout de trois ans, rapporte l'étude parue dans « Frontiers in Microbiology », les bactéries à la surface étaient mortes, mais cela a créé une couche protectrice pour les bactéries en-dessous, assurant la survie de la colonie. Ces résultats ont permis aux chercheurs d'extrapoler qu'une colonie d'un millimètre de diamètre pourrait potentiellement survivre jusqu'à 8 ans dans des conditions spatiales.
Alors que les rayons cosmiques qui traversent l'espace sont assez puissants pour causer des dommages génétiques, la bactérie Deinococcus a pour particularité de pouvoir réparer son ADN en seulement quelques heures.
Des bactéries pour essaimer la vie
Comme pour les graines de pissenlits qui se dispersent dans l'air, les scientifiques japonais cherchaient à savoir à travers cette expérience si des organismes vivants microscopiques pourraient se propager à travers l'espace, grâce aux comètes par exemple, et ainsi essaimer la vie sur d'autres planètes. Ces travaux fournissent, à ce jour, la meilleure estimation de la survie bactérienne dans l'espace, même s'il faudrait également tester la capacité de ces bactéries à subir un atterrissage sur une planète. « Les résultats suggèrent que le Deinococcus radiodurans pourrait survivre durant un voyage interplanétaire entre la Terre à Mars, qui peut durer plusieurs mois ou plusieurs années », a déclaré à la presse américaine le Dr Yamagishi, auteur principal de l'étude.
Hongrie : Une statuette du 5ème millénaire Av. notre ère
Hongrie : Une statuette du 5ème millénaire Av. notre ère
Les archéologues du musée hongrois Göcsej ont trouvé des fragments d'une idole supposée, une magnifique statue d'argile féminine artistiquement détaillée de la culture Lengyel - une culture archéologique de la période néolithique européenne, centrée sur le Danube moyen en Europe centrale - lors de fouilles liées à la construction de la piste d'essai automobile de Zalaegerszeg. Elle a été nommée « Vénus d’Egerszeg » et, selon le musée, ce sera la pièce la plus impressionnante de l’exposition virtuelle présentant la préhistoire de Zalaegerszeg et du comté de Zala.
Depuis 2017, le personnel du musée surveille en permanence les travaux de terrassement liés à la construction de la piste d'essai. Dans la partie orientale de la zone, au-dessus du ruisseau Nagypáli, des traces d'une grande colonie de la culture Lengyel, formée au 5ème millénaire avant JC, ont été trouvées.
La plus belle trouvaille des trois dernières années, une statue d'argile féminine, a été retrouvée cette année 2020, le 7 juillet. La particularité de l'idole est l'élaboration méticuleuse: jusqu'à présent, seules très peu de statues d'argile finement travaillées ont été déterrées de la période de la culture Lengyel.
Credit: György Varga/MTI
Les archéologues ont dit que de nombreux objets en relation avec des activités de culte avaient été précédemment déterrés dans cette zone :
Lire la suite et voir les photos :
Nouvelles datations avec recalibration 2020 de 3 courbes C14
IntCal20 : Nouvelles datations avec recalibration 2020 de 3 courbes du C14
Si le niveau de C-14 dans l'atmosphère avait toujours été constant, la datation au radiocarbone serait simple. Mais ce n'est pas le cas. Les changements dans le cycle du carbone, le rayonnement cosmique, l'utilisation de combustibles fossiles et les essais nucléaires du XXe siècle ont tous causé de grandes variations au fil du temps. Ainsi, toutes les dates au radiocarbone doivent être ajustées (ou étalonnées) pour être transformées en âges calendaires précis.
Sans cet ajustement, les dates pourraient être dépassées de 10 à 15%. Cette semaine, est paru un effort international de sept ans pour recalculer trois courbes d'étalonnage au radiocarbone:
IntCal20 («20» pour signifier cette année) pour les objets de l'hémisphère nord
SHCal20 pour les échantillons de l'hémisphère sud dominé par l'océan
Marine20 pour les échantillons des océans du monde.
Ces courbes mises à jour ont été construites en mesurant une pléthore de matériaux qui enregistrent les niveaux de radiocarbone passés, mais qui peuvent également être datés par d'autres méthodes. Les liens vers les trois publications scientifiques sont en bas de cet article.
Les archives comprennent des anneaux d'arbres provenant d'anciennes grumes conservées dans des zones humides, des stalagmites de grottes, des coraux du plateau continental et des sédiments forés dans les lits des lacs et des océans.
Les anciens arbres de kauri ( Agathis australis ) de Nouvelle-Zélande comme cet exemple ont été utilisés pour aider à construire les courbes d'étalonnage. Cet arbre a environ 40 000 ans et a été retrouvé enterré sous terre. Crédit Nelson Parker
Au total, les nouvelles courbes sont basées sur près de 15 000 mesures au radiocarbone effectuées sur des objets jusqu'à 60 000 ans.
Les progrès de la mesure du radiocarbone à l'aide de la spectrométrie de masse par accélérateur signifient que les courbes mises à jour peuvent utiliser de très petits échantillons, tels que des anneaux d'arbre simples à partir d'une croissance d'un an seulement.
L'ancienne cité engloutie de Hujing, Taiwan
L'ancienne cité engloutie de Hujing, Taiwan
Cet article est en relation avec d'autres présents sur ce site, que je vous conseille donc également de lire :
https://www.sciences-faits-histoires.com/blog/archeologie/l-empire-de-mu-identifie.html
https://www.sciences-faits-histoires.com/pages/cites-englouties-donnees-compilees.html
L'île de Taïwan se situe juste au sud de la dernière île de l'archipel japonais Ryukyu, l'île Yonaguni. Cette dernière est devenue célèbre depuis la fin des années 1980 car une grosse structure étrange, engloutie par une quinzaine de mètres d'eau, y a été trouvée. Depuis, l'Université de Ryukyu a fini par y découvrir, au fond, des traces d'activités humaines (pierres gravées de symboles, probabilité de sculptures et un chemin de dalles gravées). Toute la région inondée il y a environ 12.000 ans a été examinée et les fonds dragués par endroits : il y a été découvert des fossiles d'animaux probablement terrestres, ainsi que des structures géologiques qui ont été à l'air libre à un moment donné. Il est assez probable que les diverses structures englouties au large de Taïwan et de ses petites îles connexes fassent parties du même ensemble de culture ancienne. On parle des Jomons ou encore d'une autre race qui a habité le Japon et ces parages dès 40.000 ans avant JC, peut-être aussi du "continent Mu" légendaire... Géologiquement parlant, il est maintenant prouvé que de larges bandes de terres étaient hors de l'eau entre l'Asie du Sud-Est, les Philippines et Malaisie, jusqu'en Indonésie et parages de l'Australie, avant d'être englouties par la fonte des glaces de la fin de l'âge glaciaire et des mouvements tectoniques/volcaniques importants... on a même repêché récemment des fossiles d'une race humaine peut-être nouvelle ou en tout cas peu connue... Mais les découvertes se multiplient aussi du côté de Taïwan, tant dans l'eau qu'au niveau des nombreuses grottes artificielles préhistoriques que compte l'île...
Histoire géologique et tsunami : Il y a beaucoup de volcans existants dans le nord de Taiwan et ses eaux vicinales, y compris les Snow montagnes du Nord, où se trouve le lieu d'intersection entre les arcs volcaniques de Ryukyu et de Luzon. Des éruptions volcaniques ont eu lieu plusieurs fois dans les eaux du nord-est de Taïwan et à proximité. Nous pouvons souvent trouver des vestiges d'une éruption volcanique avec de la pierre "ponce" sur la vallée ou sur le rivage marin à proximité. Il y a 60 à 70 volcans dans le fond marin et au moins 11 sont encore en activité et il y a 30 à 40 cheminées de sources d'eau chaude autour des iles. Près de l'ïle de la Tortue, il y a la cheminée (ou buse) active de 4m de diamètre, 6 mètres de hauteur d'une source d'eau chaude, la plus grande connue dans le monde. Sur le secteur au nord des Snow Mountains, à proximité de Turtle Island, il y a les volcans du passé... (voir la carte ci-dessus)
En 2005, le professeur Chao-Shing Lee et le professeur Yi-Ben Tsai soulignaient qu'il y avait vraiment beaucoup de résidus de cellules de magma encore sous le sol des eaux du nord-est de Taiwan, et dans le groupe de volcans sous-marins, tous localisés dans la rupture et la faille du fond marin, qui continuent à s'étendre et se propager à l'angle nord-est de Taiwan, le long de la faille de la zone pour devenir une zone d'origine de tsunami.
• Il y a environ 1.850 années, Chengkong, du comté de Taitung a été endommagée par un tsunami.
• Le 18 décembre 1867, un grave tremblement de terre a eu lieu près du Keelung Islet, a causé un tsunami, la vague était jusqu'à huit mètres de hauteur, et a causé la mort de plusieurs centaines de personnes et est devenue une grande calamité.
L'ancien littoral du nord-est de Taiwan a été englouti
Le segment nord des Snow Mountains porte la trace d'un grand glissement de terrain, il semble que le flanc oriental ait été coupé par un événement de la nature. Après avoir étudié le fort courant marin provenant de l'est et les sédiments amenés, les scientifiques sont parvenus à la conclusion que le littoral original de coin nord-est de Taiwan était droit. Le littoral original du coin nord-est de Taiwan a été poussé et a été agrandi par la plaque Eurasie et la plaque marine des Philippines. Ainsi, il devait se propager à partir de la côte de Hua-Tung tout droit, à travers l'est de l'île de la Tortue, jusqu'à atteindre Santiago, et est encore présent en partie avec la côte rocheuse escarpée.
Avant le gros glissement de terrain des Snow Mountains, la topographie d'origine du nord de Taiwan devait être la ligne rouge (ligne de contour de -1000m) et le courant marin "Black Current" passait entre l'Arc des îles Ryukyu et l'île de Taiwan.
Lorsque le glissement de terrain s'est passé, l'énorme volume de terre du flanc est des Snow Mountains est tombé dans l'océan Pacifique, et n'a pas seulement rempli et remonté le plancher de la mer sur plus de 3000 mètres, mais s'est aussi étalé pour former le Ilan plateau, le Ilan Sill, et a rejoint l'Arc des îles Ryukyu. Il a également rempli la hauteur du sud de la fosse d'Okinawa sur des milliers de mètres qui coupaient la circulation du Black Current et obligé le flux à devenir tel qu'aujourd'hui...
L'énorme volume de terre est tombé dans l'océan Pacifique. Du flanc est des Snow Mountains à la côte d'origine d'Ilan, la zone est d'environ 800 km². Après, l'éruption du volcan et son effondrement a réduit l'élévation moyenne d'environ 600m; par conséquent, l'estimation du volume de terre d'environ 480 km3 tombé dans l'océan Pacifique a ainsi causé un méga-tsunami.
• Si le Volcan de Cumbre Vieja dans les îles Canaries à l'ouest de l'Afrique éclatait, il est estimé que 500 km3 de terre et de pierres pourraient provoquer des glissements de terrain et une hauteur de vague d'un méga-tsunami de plus de 100 mètres de hauteur
• L'environnement dans le coin nord-est de Taiwan est similaire au Volcan de Cumbre Vieja dans les îles Canaries. Selon le volcan de Cumbre Vieja, le glissement de terrain des Snow Mountains a créé un méga-tsunami, son onde pourrait avoir été de plusieurs centaines de mètres de large est être devenu un cataclysme mondial et la calamité de l'homme...
- Les sédiments du site 1202 viennent du glissement de terrain des Snow Mountains : c'est la seule réponse prouvant que les volcans des Snow Mountains du Nord ont éclaté et déclenché le grand glissement de terrain qui a produit les sédiments de terre à ODP Site 1202...
D'autres preuves de ce gigantesque glissement de terrain et probable tsunami viennent appuyer cette étude, avec la découverte de l'ancien lit de la rivière Lanyang, qui a donc changé son cours et l'endroit où elle se jetait dans l'océan à l'origine.
De quand date ce gros cataclysme ?
D'après les résultats de l'analyse des sédiments terrigènes du site sous-marin 1202 nous avons les intervalles de temps qui suivent:
Dans les sédiments terrigènes et sur le commencement de l'épuisement des isotope lourd de l'oxygène et la durée jusqu'à :
de 17.000 ans à 8.000 ans.
Le rapport C/N et le contenu CaCO3 des sédiments en vrac dans la fraction inférieure à 63 microns suggérant une source terrestre qui a contribué de manière significative au cours de la période de 25.000 ans à 11.000 ans.
Un renversement des valeurs isotopiques de l'oxygène à des valeurs plus positives suggéré entre 11.600 ans et 11.100 ans. La datation moyenne est d'environ 12.000 années Avant le Présent...
Le Minatokawajin, le plus vieil ancêtre du Japon, a disparu sur l'île d'Okinawa des Ryukyu il y a environ 18.000 années, puis aucune autre trace culturelle n'est apparue avant 10.000 ans avant maintenant. Selon la légende, il a été détruit en raison des inondations de l'ancienne terre des Ryukyu lors d'un cataclysme. D'après un grand nombre de nationalités de toutes les parties entourant l'océan Pacifique, y compris les Autochtones taïwanais, il a été dit que leurs ancêtres ont survécu après que le cataclysme ait fait des ravages.
On peut donc reconstituer d'après les analyses des sédiments et la présence du premier homme au japon il y a 18.000 ans, que la civilisation de Mu à pu durer 6000 ans et a été affaiblie par la fin de la 4ème période glaciaire et ses inondations avant d'être rayée de la carte par ce méga-tsunami brutal il y a 12.000 ans environ...
D'autres preuves que Taïwan était reliée au continent euroasiatique ne manquent pas : des fossiles d'éléphants (Stégodons) ont été trouvés à Tainan, ainsi que celui d'un mammouth à Taiwan Strait et à Chai-Liao River, voir un exemplaire ci-dessus. Des fossiles et cornes de bisons blancs ont également été trouvés dans l'île. On note que certains chercheurs revendiquent maintenant que Taïwan serait en fait la vraie Atlantide de Platon à cause de multiples correspondances avec ses textes...
Cette carte des datations de différentes côtes et lignes du continent euroasiatique est évidemment très intéressante
MU, le continent ou île engloutie
L'anglais James Churchward a trouvé les tablettes de Naacal, des symboles et des gravures intéressantes, dans un temple indien en 1868, et il a recherché et enfin déchiffré leur sens après deux ans. Puis il chercha des vestiges de tablettes et des livres anciens à travers le monde, et étudié un grand nombre de vestiges antiques dans le monde. Churchward a recherché les données de livres anciens, y compris : le Codex Maya de Paris, le Cortesianus Codex, le codex de Dresde et le Troano Manuscrit, l'épopée indienne du Lamayana, le Livre des Morts égyptien et le Lhassa Record Tibétain. Puis il a écrit "The lost continent of Mu" après plus de 50 années de recherches pour introduire la terre de Mu, qui a été perdue il y a 12.000 ans. Le livre de 1925 a attiré l'attention des gens ordinaires. Churchward a compris l'existence de l'ancienne terre de Mu en tenant compte des tablettes Naacal.
tablette Naacal
• Quand Churchward a parcouru les îles de l'océan du Sud pendant un mois, puis d'une civilisation préhistorique mégalithique, il a trouvé à un endroit le dessin de la carte de Mu, qui était un continent perdu au milieu de l'océan Pacifique.
• Le Domaine de Mu s'est étendu de quelque part au nord de Hawaï au sud-est de l'île de Pâques, au sud-ouest de Tonga-Tabou, et au nord-ouest des Ladrones. C'était défini de 8000 km d'est en ouest, et du nord au sud sur 5000 km, mais c'était une terre sans bornes.
La description de Mu par Churchward
Il y a très longtemps, il y avait un grand Empire du Soleil civilisé dans le pays de Mu, la terre-mère de l'homme, dans l'océan Pacifique. L'Empire gouvernait la terre, était en possession d'un énorme temple et de sept belles villes. Leurs peuples vivaient avec liberté et sans contraintes sous le soleil brillant. L'empereur se nommait "La Mu", et "La" signifiait le Soleil, «Mu» signifiait la mère. La civilisation de Mu remonte à il y a plus de 50.000 ans.
La Mu, l'empereur, gérait toute chose, la politique et la religion au Palais royal de la capitale. Les personnes étaient organisées en dix races, et il y avait 64 millions de personnes au total; et le premier droit à la culture a été obtenu par la race blanche. C'était une société matriarcale et la religion était unique, l'adoration du Dieu du Soleil, et l'adoration du Créateur de l'Univers - le serpent aux sept têtes Narayana.
Les habitants de l'Empire du Soleil ont émigré vers d'autres terres pour établir des colonies
• Un groupe de Karas (Caraïbes) a navigué vers l'est pour se rendre en Amérique Centrale, et s'est étendu vers l'Amérique du Nord et l'Amérique du Sud pour établir la colonie de l'Empire Mayax.
• Un groupe de Nagas s'embarqua vers le sud-ouest pour se rendre en Birmanie, et s'est étendu à l'Inde, en Asie et au milieu de l'Europe pour établir la colonie de l'Empire Naga.
• Un groupe de Ouïghours a navigué vers l'ouest pour se rendre en Chine, et s'est étendu à la Mongolie, en Europe orientale et en Sibérie pour établir la colonie de l'Empire Ouïghoure.
La destruction de Mu
Selon la description de Churchward, il y a environ 12.000 ans, une grande catastrophe a frappé tout le pays de Mu. Partant de la capitale, des grondements des entrailles de la terre, suivi par des tremblements de terre et des éruptions volcaniques. Les volcans crachaient leur feu, de la fumée et de la lave. Un épais drap noir de fumée sur le terrain ombragé. La terre se soulevait et roulait comme les vagues de l’océan, et se mit à trembler comme les feuilles d'un arbre dans une tempête. Puis d'énormes vagues cataclysmiques sont venues de tous les côtés rouler sur la terre. Les villes, les forêts, les personnes et tous les animaux ont été engloutis. Enfin, la terre de Mu a coulé dans l'océan et a disparu.
" Ainsi s'est achevée la destruction des édifices mayas dans le Yucatan, après les tremblements de terre qui les avaient ébranlés jusque dans leurs fondements. Les Mayas du Yucatan - les constructeurs - ont été pratiquement anéantis, vers 9.500 avant JC. "
Après le méga-tsunami, cette image montre l'Empire du Soleil qui a été détruit, et il ne reste que quelques îles désaffectées et des gens de Mu dispersés et isolés...
D'après Churchward, d'autres dossiers pertinents existent sur la terre de Mu.
- Une carte de Mu dans "Livre des Morts", des symboles reliés à Mu dans ce même livre
- Une peinture indienne en Amérique du Nord dépeint la destruction de Mu
- Un monument commémoratif à Mu a été trouvé dans la mine d'or Gulch au Nevada
- Il y a des ruines qui racontent l’existence du continent perdu de Mu
• A Copan du Honduras, au Guatemala, Quirigua, Opico et Cirraca-Mecal au Salvador se trouvent beaucoup de traces préhistoriques, et de symboles liés à la terre de Mu.
• À Uxmal au Yucatan du Mexique, un temple en ruine montre des inscriptions gravées commémoratives des "terres de l'Ouest (Mu), d'où nous sommes venus"; et la pyramide de Teotihuacan au sud-ouest de México, en fonction de ses inscriptions, a été construite comme un monument en mémoire de la destruction des dénommées "Terres de l'Ouest (Mu)".
Mais d'après plusieurs chercheurs taïwanais, Mu n'a jamais été au milieu du Pacifique, mais décrit une grande île ayant subit une grosse éruption volcanique et un méga-tsunami : Taïwan ! De plus, même les récits de Platon et les déductions des autres philosophes grecs correspondent, y compris les couleurs des pierres servant aux constructions (le marbre blanc, noir et une pierre rose-rouge existent à Taïwan), les animaux comme l'éléphant ou le bison y ont aussi existé, etc...
Ainsi, le grand glissement de terrain des Snow Mountains qui s'est effondré a fait que la capitale de l'Empire du Soleil sur la côte, construite au niveau de Ilan, s'est enfoncée dans la mer, et a formé le grand fossé circulaire que Churchward a décrit comme étant la terre coulée de Mu... Mais reste-t-il une réelle trace de cette capitale de Mu et d'autres constructions ? D'après ces chercheurs, oui, et ils le prouvent :
Des antiques moules en bronze et en fer trouvés à Taïwan
En Mars 2005, des moules très précis de bronze et de fer ont été déterrés dans les ruines de Jiu Xiang Lan de Taidung à Taiwan. De ces moules, les archéologues déduisent que les autochtones de Taiwan avaient une technologie d'une civilisation de l'artisanat et qu'une usine y produisait très tôt une grande quantité, donc la technologie des bronzes et de la quincaillerie du fer en Europe devaient s'y répandre dans les temps anciens depuis le peuple de Taiwan, qui était alors appelé des Atlantes.
Le site de Jiu Xiang Lan est un site du néolithique sur lequel plusieurs découvertes surprenantes ont été faites, des céramiques et de l'art étonnant pour une si ancienne période... ces découvertes de moules en bronze et fer prédatent de nombreuses années l'âge du fer et du bronze ! Voici quelques artefacts trouvés dans ces ruines et grottes aménagées (par des survivants du cataclysme ?) :
Le mur de l'Ancienne ville sous marine de l'ilot de Hujing
Dans la profondeur de l'eau entre 25 à 30 mètres, il y a des murs plats de roches s'étendant sur plus de 100 mètres sur environ un mètre de hauteur et 50 centimètres d'épaisseur. Les murs sont disposés dans une direction est-ouest. Certaines des sections murales ont des pavés arrondis, la longue formation linéaire de la structure sous-marine de roches provient certainement de travaux et n'est probablement pas naturel. Mais selon d'autres scientifiques, il y a des explications normales pour les formations de roche linéaires. Le professeur Tsao Nu-chung, chef de section à l'enquête géologique centrale de Taiwan, a dit que les basaltes d'inondation et d'autres types d'éruptions volcaniques de lave peuvent également créer ces formations linéaires, dues aux joints inhérents et aux structures planaires des roches plutoniques.
Ces ruines sont peut être celles de la civilisation perdue et légendaire des eaux de Penghu, entendue dans de vieux folklores et mythes taiwanais. Elles auraient entre 7.000 ans et 12.000 ans.
Il pourrait y avoir eu une ville dans ces eaux, maintenant submergée sous l'océan pacifique ! Selon les rapports d’anciennes Archives du Conté de Penghu (années 1940) on lit que, si l’on regarde de très haut au-dessus de Hujing, on peut voir une longue ligne de remparts sous la mer. On l’appelle habituellement "La profonde piscine de Hujing". En 1982, des plongeurs professionnels ont trouvé l’emplacement précis de la ville engloutie de Hujing, de l'île de Penghu !
Mégalithes dans l'archipel de Penghu
L’ancien mur était en forme de croix. Les mesures au compas montrent qu’il indique avec exactitude les directions nord-sud et ouest est à angle droit. Le mur fut principalement construit en pierre de basalte et était recouvert d’algues. Il avait environ 160 mètres d’ouest en est, et environ 180 mètres du nord au sud. Il est épais d’environ 1.5 mètres sur le haut et d’environ 2.5 mètres sur le bas. Certaines parties sont inégales à cause de l’érosion, cependant les interfaces entre les pierres sont très serrées. Au nord, il y a une construction ronde en forme d’assiette. Le diamètre du mur extérieur est de prés de 20 mètres, avec un mur intérieur de prés de 15 mètres.
A ce moment, quelques personnes pensèrent que la cité engloutie était en réalité une extension de Huljing s’enfonçant dans la mer. Cependant, les recherches des géologues indiquèrent que si le mur était formé de rochers naturels, il aurait été intact et d’une seule pièce. D’un autre coté, s’il était de la main de l’homme, il devrait avoir des parties distinctes. De plus, si le mur est très long et droit, il est très probablement construit par l’homme. Spécifiquement, les pierres sont toutes de tailles similaires, avec des angles droits, et un enduit entre les pierres. De même, les endroits creux sur le mur étaient en forme de croix, avec des interfaces plates et lisses. Ceci correspond totalement aux standards de construction d’aujourd’hui.
Suite à une tempêtes (les hurricanes sont assez fréquents malheureusement), il semble que d'autres ruines se sont désensablées : une structure arrondie est filmée et comparée à une semblable, trouvée au niveau de l'antique ville biblique de Jericho en Israel (ci-dessous)...
Le schéma expliquant les ruines trouvées : restes d'une ancienne cité ? Restes d'enceintes d'un ancien port ? Et ce n'est pas le seul endroit...
• En Octobre 1982, l'expert en plongées Hsinsi Xie a dirigé une équipe à Hujing Islet pour plonger et prospecter et a obtenu beaucoup d'informations. Ils y sont allés plusieurs fois.
• En Novembre 1982, l'expert en plongées Jan Su a dirigé un groupe de personnes à Hujing Islet pour plonger et prospecter, et a obtenu de nombreuses informations.
• En Septembre 1996, le professeur Kimura de l'Université de Ryukyu et son équipe, ont accompagné Hsinsi Xie à Hujing Islet pour plonger et filmer la ville engloutie.
• En Août 2001, le célèbre écrivain Hancock et l'érudit Mukuge ont atteint Taiwan. Ils ont fait équipe avec Hsinsi Xie, et autres, pour plonger et prospecter dans le secteur de la ville en contrebas de Hujing Islet et à proximité.
" Les documents généraux de Penghu" ont enregistré la "transparence profonde des eaux de Hujing", qui décrivent une ville sous-marine près de la rive est de l'îlot de Hujing. En regardant de haut, le banc avait réellement des lignes de formes analogues aux murs d'une cité ; ils rejoignent l'extrémité orientale de l'îlot et étaient visiblement cachés dans les fonds marins et ses extrémités étaient dans les profondeurs. Des personnes l'avaient appelé la "ville engloutie de Hujing", déjà une légende de longue date. Il y a deux remparts en croix verticales et une grosse pierre avec une sculpture de lignes entrecroisées sur elle, de sorte que la ville sous-marine est appelée "la ville entrecroisée".
Preuves de fabrication humaine :
• 1. Tant vers l'est-ouest et le sud-nord, les murs de la cité s'étendent en ligne droite sur 200 mètres.
• 2. Les quatre directions des murs de la cité parviennent à pointer les 4 bonnes directions de l'est, sud, ouest et nord de la Terre, et les sillonnent juste verticalement.
• 3. Le mur est en forme d'échelle et de forme régulière; sa hauteur et certaines données montrent que c'est le mur qui formait le château.
• 4. La jointure entre chaque muraille de la ville présente une rainure, et se couvre avec beaucoup de rainures qui traversent verticalement et horizontalement.
• 5. De la ville restent encore certains piliers de pierre de renforcement, comme la grosse pierre sculptée de la croix.
• 6. Il y a une tour de guet de 20 mètres de diamètre qui se joint à la paroi du nord de la ville.
• 7. Les plongeurs ont mesuré une pierre carrée très droite du mur de la ville, d'environ 50 cm de carré et de 20 cm d'épaisseur, qui a montré que le mur de la ville est entassé artificiellement.
• 8. Le mur de la ville est un entassement de pierres en utilisant la méthode des parallèles, et la surface et le niveau des jointures est lisse et on ne peut insérer qu'un couteau.
• 9. La forme du mur de la ville est très soignée et propre, et il y a les mêmes articulations de tailles.
• 10. En grattant l'avant et à l'arrière du revêtement du mur, nous pouvons trouver un ensemble de paroi très lisse et qui montre que le mur est une construction artificielle.
Le mur de la ville sous-marine présente une ligne droite s'étendant sans limite et le milieu des murs est concave. Les tailles du mur en trapèze sont : un fond large de 2,5 m, 1,5 m de large au-dessus et une hauteur de 3 m. Au milieu des deux murs, le lieu traversé présente une forme concave qui a peut-être été au sommet dans les vagues pendant une longue période. La texture du mur de la ville au fond de la mer est différente des colonnes de basalte hexagonales de Penghu et des giclées de roches éruptives de la croûte de la terre.
La "ville Croisillon" pourrait être la plus ancienne ville du monde
Dans la quatrième période glaciaire, il y a 12.000 ans, le niveau de la mer était inférieur de 120 mètres par rapport à maintenant, et Taiwan Channel était le plateau continental, donc la construction sous-marine de Croisillon Ville pourrait avoir été faite avant. L'histoire de "Croisillon City" a plus de 12.000 ans, alors elle devrait être la plus ancienne ville du monde, et peut-être la trace urbaine de la Terre de Mu des temps anciens...
Il y a un autre mur, près de Dongji Islet de Penghu :
Le mur de pierres entassées est bien organisé et les morceaux de pierres montrent qu'il est artificiel.
Un ancien autel commémoratif près du bord de mer à Maoao de Gongliao
Il y avait trois énormes pierres près du bord de mer à Maoao de Gongliao à l'origine; trois énormes pierres en plateforme présentes pour des offrandes sacrificielles et pour tenir une cérémonie commémorative. Les anciens Ketagalan rendaient hommage à la mère de la Terre souvent et tenaient une cérémonie commémorative ici, avec l'orientation du grand rocher en forme de visage de babouin sur la colline de Lao lan. Derrière les 3 grosses pierres il y a d'autres constructions en pierre qui est une place où l'homme des anciens clans se rassemblait et offrait des sacrifices pour leurs hommages à la déesse, mais des trois énormes pierres qu'il y avait à l'origine, une seule reste aujourd'hui.
La pierre énorme est différente de la basse qualité de la pierre locale, pour montrer qu'elle a été déplacée d'un autre endroit.
Et il y a aussi des terrasses sous-marines et un mur de pierre à Maoao :
• Sous les eaux côtières de Taimali à Taitung, il y a une construction mégalithique plate d'environ 200 mètres de long ─ une plate-forme sous-marine et une chaussée de falaise; cette plate-forme du fond marin a été traitée artificiellement, et la chaussée de la falaise est entassée par du rock sur environ un mètre cube, et il y a plusieurs dizaines de marches...
• Une fois un pêcheur a fait une plongée sous-marine de 20 mètres de profondeur dans le fond marin des eaux côtières de Jiaroshui à Kending au parc national et a vu une plate-forme d'autel en forme de construction de pyramide, qui était grande de 40 mètres carrés, 15 mètres de haut, et au sommet il y avait une plate-forme qui était de 10 mètres carrés...
antique piège à poissons, Peghu
Graham Hancock, un écrivain anglais, est reconnu dans le monde entier pour ses livres, comme Les Empreintes des Dieux. En août 2001, lui et sa femme ont rejoint les chercheurs chinois et japonais pour explorer cette région. Il a expliqué que les pierres de la cité sous-marine engloutie sont clairement différentes des structures de pierres naturelles, en faisant plus probablement une construction d’origine humaine. Apparemment, les pierres de la cité sous-marine engloutie de Hujing sont positionnées exactement du nord au sud, et de l’ouest à l’est. Ces pierres ont aussi des surfaces plates et lisses; Elles sont alignées de façon si serrée que seul un couteau fin peut s’infiltrer entre les joints. L’opinion de Hancock est que ceci est de la main de l’homme et ne peut pas être un produit naturel.
Hancock a aussi dit qu'il y a actuellement un modèle établi dominant dans la société humaine. Cependant, ce modèle dominant échoue à expliquer les découvertes archéologiques récentes. Les structures actuelles et les structures préhistoriques sont elles connectées d’une façon ou d’une autre ? En fait, l’histoire actuelle ne réussit pas à expliquer les anciennes civilisations. Ce sont des indices qui nous parlent d’elles. En d’autres termes, il est très probable que ces découvertes, telles que la ville sous-marine Hujing et d’autres similaires, contiennent les preuves cachées de civilisations humaines passées et oubliées.
La Pyramide de Chihsing
Le Yangmingshan National Park, au nord de l’île , a été crée en 1935 par les autorités japonaises qui gouvernaient l’île à l’époque , pour protéger la pyramide de la Chihsing Mountain.
La pyramide de près avant débroussaillage
La pyramide de prêt après débroussaillage
Les pierres empilées de la pyramide dans la couche inférieure ont été façonnées en forme ronde, ce qui montre qu'elle est très ancienne et devrait avoir une histoire de dix mille années...
Puis le site est devenu propriété de la défense nationale en 1940. Il a été réouvert au public en 1980. Depuis, la pyramide a pu être de nouveau visitée par des archéologues et historiens. A 100 mètres du sommet de la Chihsing Mountain, le point culminant de Taïwan, à 1120 mètres donc, il y a une pyramide de 20 mètres de haut, couverte d’herbe et qui ressemble à une petite colline, datée de 6.000 avant J.C. Les souterrains de la pyramide sont reliés à de nombreuses grottes du Yangmingshan qui sont reconnues comme des sites datant de l’âge de pierre.
Le Pilier des sept étoiles à Fulong de Gongliao est empilé avec sept piliers artificiels de roches. Les piliers mégalithiques sont e
Baltique : la cité perdue de Vineta
Baltique : la cité perdue de Vineta
Baltique et Atlantide l'Oera Linda Boek :
" La mémoire néerlandaise semble avoir gardé un souvenir très précis du déluge et de l'engloutissement de l'Atlantide. Le plan d'Amsterdam reproduit fidèlement celui de Poséidopolis, capitale atlante.
"Quand on avait traversé les trois ports extérieurs, on trouvait un mur circulaire commençant à la mer et partout distant de cinquante stades de la plus grande enceinte et de son port. Ce mur venait fermer au même point l'entrée du canal du côté de la mer." (Platon, Le Timée)