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7000 cranes Dolichocéphales à Malte retiré de la vue du grand public.
7000 cranes Dolichocéphales à Malte retiré de la vue du grand public.
Les livres d'histoires évitent de répondre à cette question : Que s’est il passé en Égypte avant la dynastie des pharaons. Pour l'histoire officielle l' histoire de l’Égypte commence avec le premier pharaon Ménès-Narmer. C'est bien sur un gros mensonge par omission...
L'histoire de l’Égypte a commencé bien plus tôt que les pharaons...
Comme le dit si bien l’égyptologue anglais : Toby Wilkinson « On dirait qu’ils n’ont ni ancêtres ni périodes de développement, ils semblent être apparu en une nuit ». Notre grand Maspero (1846-1916) nous indique de plus à propos des Textes égyptiens « La religion et les textes qui nous la font connaître étaient déjà constitués avant la première dynastie. C’est à nous de nous mettre, pour les comprendre, dans l’état d’esprit où était, il y a plus de sept mille ans, le peuple qui les a échafaudés » (Revue de l'Histoire des Religions,t.XIX,p12), vous avez bien lu « …avant la première dynastie . » !
Les Anciens Égyptiens voyaient leurs civilisations comme un héritage venant directement d’êtres Divins qui existèrent en Egypte des milliers d’années avant les dynasties pharaoniques que nous connaissons. Le papyrus de Turin ou plus exactement le canon royal exposé dans le musée égyptologique de Turin, écrit en hiéroglyphes, datant de Ramsès II, présente la liste de tous les pharaons ayant régné sur la terre d’Égypte. Cette liste comprend non seulement les pharaons historiques, mais aussi des « pharaons-Divins venant d’ailleurs » et ayant régné avant la première dynastie de Ménès. On nous dit également que cette lignée précédente aurait régné 13.420 ans !
Evidement c'est l'Omerta chez les historiens qui préfèrent qualifier ces pharaons divins venant d'ailleurs de "mythiques". Bizarrement les fragments de débuts de la liste ont... disparus. Heureusement la stèle dite de Palerme cite également ces rois dits « mythiques », prédynastiques remontant à des milliers d’années, mentionnant jusqu’à Horus lui-même qui aurait régné véritablement sur la terre d’Egypte.
Thot aurait régné environ de 8670 à 7100 Avant JC « après la nuit de la bataille » nous précise Manéthon. En écrivant sa « Théogamie », une généalogie des dynasties dites célestes qui auraient régné sur Terre, le grand historien Grec Hésiode (8ème siècle Av-JC), historien très sérieux, moralisateur, vivant au temps d’Homère, avait les Grands Prêtres égyptiens pour principale source d’information.
Et le Grand Prêtre égyptien Manéthon (Ma-n-Thot) de Sebennnytos dans le delta, Maître des Secrets (3ème siècle avant JC) qui avait accès à la bibliothèque d’Alexandrie et qui écrivit pour pharaon une histoire de l’Egypte en grec et en 30 volumes « Aegiptiaca », cita aussi ces dynasties d’origine divine prédynastique. Ce qui est d’ailleurs curieux mais significatif c’est que les égyptologues utilisent toujours aujourd’hui les datations de Manéthon reconnues parfaitement fiables, pour tout ce qui touche aux dynasties reconnues « officiellement », mais ils évitent soigneusement tout ce qui a trait aux dynasties préhistoriques chez lui ,alors qu’ils le considèrent comme le « Père » de l’égyptologie ! Une acrobatie intellectuelle bien curieuse pour rester dans le « politiquement correct »! L’Egyptologie évite ainsi de parler trop de Manéthon, malgré sa grande utilité et fiabilité, car pour eux certains des détails qu’il donne sont extrêmement dérangeants.
ll écrivit ainsi par exemple que selon les stèles provenant des Dieux de la première (véritable) dynastie, plus de 20000 œuvres étaient attribuées à Thot (Tehuti, Hermès). Il rapporta également que ces mêmes Dieux avaient régné de 33894 ans à 23642 Avt JC.
Manéthon nous donne des détails fort intéressants sur les Dynasties dites « Divines » qu’il divise en trois sortes nommées « Les Dieux », « Les Héros », et les « Manès ». Ce qui est passionnant c’est qu’il avance que la catégorie des « Dieux » serait subdivisée en 7 sections avec à la tête de chacune un « Dieu » entre autres : Horus, Anubis, Thot, Ptah, Osiris, Ra…et que « ces Dieux seraient originaires de la Terre puis seraient devenus ensuite « célestes, astronomiques en gagnant les cieux ». (Vous avez bien lu : « originaires de la Terre »).
Ensuite viennent les « Héros », des êtres aux pouvoirs terrestres surnaturels, et enfin « Les Manès », des êtres glorieux (appelés aussi « Khus ») correspondant à des esprits d’ancêtres gouvernants ailleurs.
Et selon Plutarque qui a écrit un ouvrage sur le culte rendu à Isis et Osiris « Ra partit dans les cieux et Osiris devint pharaon d’Egypte avec Isis et ils construisirent Thèbes (La Luxor actuelle) »
Des durées de règne inimaginables et pourtant...
Tous nous parlent donc d’une lignée de « dieux » ayant régné chacun plusieurs centaine d’années pour un total de 23,200 ans, puis ensuite une liste de « Shemsu-Hor », des dits « suivants d’Horus » ayant régné au total pendant 13,400 ans puis viennent les noms des pharaons « normaux » que nous connaissons.
Des durées qui ne sont pas sans rappeler la liste des rois "sumériens" ou les centaines d'années de vie des personnages de la bible...
C’est pendant la période (à partir de 4000 avt JC) des étranges « Shemsou-Hor » ces dits « compagnons d’Horus » décrits portant des masques de faucon ou de loup, que l’on pense initiateurs des dynasties pharaoniques (mais ce n’est pas tout à fait ainsi comme nous allons le voir) qu’apparaît brutalement un degré de sophistication inégalé, une civilisation remarquable. dans toute sa splendeur. C’est le chercheur et philosophe Schwaller de Lubicz (1887 – 1961) qui a ma connaissance à « imposé » généralement la traduction « Shemsu-Hor » par « Suivants d’Horus » reprise par des milliers d’autres depuis. Il entendait donc par là un peuple très avancé arrivé en Egypte à la Préhistoire apportant soudain tout le savoir. C’est d’ailleurs suite à cette croyance fortement répandue que bien des auteurs ont immédiatement pensé et écrit, comme le prolixe Sitchin (pensant qu’ils s’agissait du peuple Annunaki ayant atterri à Sumer d’abord), que c’était là l’arrivée brutale d’êtres venus d’ailleurs, des sorte d’ET. Or c’est sans doute faux mais c’est surtout bien davantage extraordinaire.
Des traces matérielles avérées
Un ancien égyptologue français, Emile Amelineau (1850-1915) qui se consacra aux premières dynasties et qui excava pour la première fois des tombes de pharaons de la première dynastie (officielle) : Amélineau au fur et à mesure de ses excavations dans le sud de l’Egypte découvrit des preuves de l’existence d’un peuple déjà avancé avant les pharaons de la première dynastie officielle. Il découvrit notamment le peuple de race noire « les ANU » (parfois nommés « aunu » rien à voir avec les Annunaki, ce n’est pas parce qu’il existe la même sonorité de mot en plusieurs langues qu’il désigne la même chose) qui faisait de l’élevage et de l’agriculture extensivement tout le long du Nil et qui s’enfermaient à l’intérieur des murailles défensives de citées qu’ils construisaient. Ils avaient fondé les villes d’Esna (« Anutseni »), d’Erment (« Anu Menti »), de Qush, de Gebelein (« Anti ») et même d’Héliopolis (qui se nommait à l’origine « Anu ») car ces villes comportent toutes dans leurs noms écrits les signes caractéristiques désignant le peuple Anu, les trois colonnes. Et selon bien des chercheurs (Chandler etc), les plus grandes figures de l’Egypte Ancienne tel Osiris, Isis, Hermes, Horus viendraient de cette ancienne race Anu. Je vous rappelle que selon les Anciens Textes, Osiris par exemple, est dit « Fils de Geb et de Nut, né à Thèbes en Haute Egypte », lui conférant ainsi une réalité de vie historique (les textes mêmes racontent qu’il enseigna les arts de l’agriculture et installa des lois justes).
Les Anu connaissaient l’utilisation des métaux, de l’ivoire, étaient très organisés et savaient écrire. Ceci fut prouvé par nombre d’artefacts provenant d’eux trouvés dans la région d’Abydos par Amélineau dans ses « Fouilles d’Abydos ».
Anu est un terme appliqué à Osiris lui-même et Amélineau cite le passage du chapitre XV du dit « Livre des morts » (véritable traduction du titre « Livre de la sortie à la Lumière ») « Ô Toi Dieu Anu dans la terre montagneuse d’Antem! Ô Grand Dieu de la double montagne solaire! », Or c’était le nom d’Osiris dans son rôle de 4ème pharaon sur Terre que les Grecs ont traduit par Onnuphris, c’est à dire « Le Bon ». Nous avons un document prédynastique Anu extraordinaire trouvé cette fois par le grand égyptologue anglais Flinders Petrie (1853-1942) à Abydos. Il s’agit d’une tuile inscrite déterrée sous le temple dynastique. L’inscription comporte le portrait en faïence vernissée du chef ANU Tera-neter. Il y a même son adresse inscrite au dessus « Palais des ANU à Ermant, Tera–neter ».
Un mystérieux peuple aux crânes volumineux
Si les Anu sont déjà un peuple développé, on est cependant loin de personnes à la connaissance très élevée qui était apparemment beaucoup plus avancé que les autres, en terme de véritable civilisation et qui aurait disparue vers 4000 ans avt JC en Egypte.
Le Professeur Walter B. Emery (1903-1971) l’excellent archéologue qui excava beaucoup à Saqqarah et au total plus de 45 ans en Egypte, trouva dans des tombes, des restes de personnes ayant vécu à des époques prédynastiques au nord de la Haute Egypte. Or les caractéristiques de ces corps et squelettes sont incroyables. Les crânes sont d’un volume inusité, ils sont dolichocéphales c’est à dire que la boîte crânienne, vue par sa partie supérieure, est ovale, la plus grande longueur l'emportant environ d'un quart sur la plus grande largeur et parfois les sutures habituelles sont invisibles. Les squelettes sont plus grands que la moyenne de la zone et surtout l’ossature est plus large et plus lourde. Il n’hésita pas à les assimiler aux « Suivants d’Horus » et trouva que de leur vivant ils remplissaient un important rôle sacerdotal. Or en ce qui concerne les dolichocéphales, il semble qu’il s’agit là non pas d’une lignée d’évolution préhistorique mais bien plutôt d’une lignée provenant d’un cycle de civilisation antérieur au déluge. On a déjà trouvé ces crânes dolichocéphales dans plusieurs régions du monde ainsi les Dr J Von Tschudi et Mariano E.Rivero au Pérou ont dénombré trois races pré-incas dolichocéphales : les Chinchas, les Aymaraes et les Huancaes. Les chercheurs trouvèrent aussi que si les Chinchas avaient le crâne allongé c’est parcequ’ils bandaient les crânes de leurs enfants dans le but de ressembler aux deux autres groupes qui eux ne pratiquaient pas le bandage de crâne. On réussi à déterminer que le groupe d’origine ayant les caractéristiques les plus fortes et naturelles est celui des Chinchas. Ils auraient précédé le premier Inca Manco Capac et auraient influencé à la fois les Incas et les Mayas plus tard. Et le chercheur A.H.Verrill et Posnansky font remarquer que la plus ancienne ville Pré-Inca du Pérou est Tiahuanaco, du même âge que l’Egypte Pé-dynastique et on trouve au Tihuanaco Museum des crânes dolichocéphales de cette époque. On affirme donc qu’il a existé une race pré-diluvienne que l’on trouve un peu partout sur le globe et qui avait le crâne conique allongé de façon naturelle comme l’affirme quelques chercheurs dont le Dr Tschudi qui le démontre car il posséde un fœtus de 7 mois au crâne dolichocéphale encore dans le ventre de sa mère fossilisée de cette époque.
7000 cranes Dolichocéphales à Malte retiré de la vue du grand public...
Tout ceci est loin d’être « politiquement correct » . Pour démonstration, le fait que l’on est retiré de la vue du public les crânes dolichocéphales du Musée de la Valette à Malte pour sans doute ne pas choquer les mentalités religieuses de certains. En effet, à Malte on a retrouvé environ 7000 crânes dolichocéphales dans les hypogées de Hal Saflieni et dans les tombes des temples mégalithiques de Taxien, Ggantja. Là ce sont les Dr Anton Mifsud et le Dr. Charles Savona Ventura qui analysèrent les crânes et arrivèrent à la même conclusion qu’au Pérou en arrivant à discerner trois groupes différents, certains complètement « naturels » d’origine, d’autres ayant subi des bandages. Or il y a là un lien encore plus étroit avec l’Egypte. L’ancien nom de Malta (Malte) est Melita du nom latin pour le miel Melita, or le symbole de Malte est une abeille avec ses cellules-rayons hexagonaux, n’oublions pas que le symbole de pharaon en Egypte est aussi l’abeille (« Bit ») qui lui donne une de ses titulatures, que le miel était reservé à pharaon et aux grands prêtres et que Mel (ou Mer) était un des noms attribué en Egypte aux pyramides. D’autre part le culte solaire prédominait à Malte comme en Egypte. Or la caste dolichocéphale disparut à la même époque à Malte et en Egypte.
Cette race qui apparemment était consacrée à la prêtrise et à l’enseignement et qui se mélangeait très peu ou très lentement avait partout comme point commun celle de construire des monuments mégalithiques et de former une caste dominante sacerdotale partout où elle se trouvait. Est-ce que ce peuple serait bien les restes d’une race ante-diluvienne, peut être, mais est ce que ce sont là les fameux Shemsu–Hor, pas sûr.
Nous avons donc à l’origine, ce peuple SHESH constitué de 42 tribus (dont les Anu) de différentes provenances s’étant uni et ayant eu des Ancêtres prestigieux comme Anubis, Osiris, etc...,et une mystérieuse race dolichocéphale dont on ne sait presque rien. Une chose est certaine l’Egypte a été un creuset incroyable de races mêlées et il va falloir continuer à étudier sérieusement la provenance de ces peuples.
Références
* Les nouvelles fouilles d'Abydos, 1895-1896, et 1896-1897 et 1897-1898, compte-rendu in extenso des fouilles..., Amélineau, E. Leroux, Paris, 1901 et 1902 et 1904-1905
* Dr G.Elliot Smith : « The Ancient Egyptians » 1923, Harper
* Posnansky, Arthur. Tiahuanacu. New York: J.J. Augustin, 1946.
* Randy Koppang, « The Dolicohcephaloids Missing race of Our Human Family »
* Dimitri Meeks - Chapter 4 - “Locating Punt” from the book “Mysterious Lands”, by David B. O'Connor and Stephen Quirke.
* The Land of Osiris, Stephen Mehler.- Anton and Simon Mifsud- Dossier Malta - Evidence for the Magdalenian - Proprint Co, 1997
* C. Savona Ventura- Anton Mifsud- Prehistoric Medicine in Malta- Proprint Co, 1999
* Anton Mifsud - C. Savona Ventura- Facets of Maltese Prehistory- Prehistoric society of Malta, 1999
* Graham Hancock- Fingerprints of the Gods- Corbaccio, 1996
* David Rohl- Legend- Piemme, 2000
Rusty James - http://rustyjames.canalblog.com/archives/2012/09/10/25071196.html
Yves Herbo : en très grande partie d'accord avec cet article, sauf éventuellement sur la mention d'analogies de sons linguistiques qui peuvent amener à des évidences aussi.
SFH 10-2012

Cité engloutie de Cuba ?
Cité engloutie de Cuba ?
MAJ 27-10-2012
Paulina Zelitsky regardant la pyramide filmée
En mai 2001, une étonnante découverte a été faite par Advanced Digital Communications (ADC), une entreprise canadienne chargée de cartographier le fond marin des eaux territoriales cubaines. La lecture sonar a révélé 2.200 pieds plus bas des pierres disposées selon un motif géométrique qui ressemblait beaucoup aux ruines d'une ville. Une équipe de chercheurs canadiens et cubains ont découvert les restes de ce qui peut être une ville antique. En utilisant un équipement vidéo et des radars sophistiqués au large des côtes l'ingénieur Paulina Zelitsky, et son mari, Paul Weinzweig, ont trouvé des mégalithes "d'un genre que vous pouvez trouver à Stonehenge ou à Chicken Itza au Mexique."
Ils montrent des formes très distinctes et des dessins symétriques de type non-naturel. L'âge précis du site sous-marin est également inconnu, bien que les archéologues cubains aient excavé en 1966 une structure terrestre mégalithique sur la côte ouest, à proximité de la nouvelle découverte sous-marine, qu'on dit dater de 4000 ans avant Jésus Christ. "Sur la base de données géologiques, nous spéculons que ces structures ont au moins de 6 à 10.000 ans". Plus vieilles que la Samarie et les Pyramides Egyptiennes. Une pyramide sous-marine a été mesurée à 35 mètres de haut. History Channel a fait une mise à jour qui inclut Linda Moulton Howe. Il est prouvé qu'un bouleversement gigantesque s'est produit sur Terre il y a 8000 ans, de gigantesques inondations ont recouvert une grande partie de la Terre, des millions d'animaux, et de gens ont été tués *. Les inondations ont soulevé des terres de centaines de mètres le long de la côte Sud-Américaine et englouti d'autres régions comme cette zone au large de Cuba.
En 2002, d'autres relevés ont été pris, ainsi que quelques photos, mais des problèmes financiers ont stoppé les investigations.
Les années suivantes, les efforts ont été consacrés, du côté de l'Etat cubain, sur les recherches terrestres et notamment découvrir l'ancienneté archéologique de l'arrivée de l'homme sur Cuba. En 2005, des relevés archéologiques démontraient l'ancienneté de l'occupation de l'île par des humains, en 2006 des traces, écriture et artéfacts mayas y étaient aussi découverts...
En ce qui concerne les ruines au large de l'île, la principale incrédulité des scientifiques "officiels" (même si les découvreurs en sont aussi !) provient de la profondeur de ces dernières : + de 600 mètres de profondeur : on estime qu'au mieux, la mer s'est élevée de 200 mètres sur ce côté Est des Amériques, à la dernière fonte des glaces. On en est là à l'heure actuelle : plusieurs géologues et les découvreurs pensent que la ville était sur un plateau plus en hauteur, mais que les séismes et glissements de terrains l'ont fait glisser beaucoup plus bas... De plus, les courants et les bans de sables bougent souvent dans la région, recouvrant ou découvrant des zones au hasard... comme pour Yoganumi, beaucoup d'argent et de volonté pour réussir à prouver quoi que ce soit...
Plusieurs images au sonar et en vidéo des endroits concernés
* Key West qui est connue comme étant le point le plus au sud des États-Unis, est à la fois une île et une ville. Le visiteur qui arrive dans la ville peut voir une grosse borne en forme d’obus à l’angle de South Street et Whitehead Street qui marque le point le plus au sud que les touristes peuvent atteindre. Dans les faits, des terrains militaires sont encore plus au sud, mais ne sont pas ouverts aux civils et le véritable point le plus au sud des États-Unis se trouve être « Ballast Key » une petite île qui est un domaine privé. Cette région des Keys fut habitée par les Indiens Calusa bien avant l’arrivée des Européens. Le premier historiquement connu comme tel, étant l’Espagnol Juan Ponce de Leon en 1521. À l’époque, les Espagnols ont donné à Key West le nom de « Cayo Hueso » ce qui signifie littéralement, la « baie ou la crique aux os ». En effet, des ossements humains jonchaient le terrain et l’on ne sait si cela était les restes d’un champ de bataille ou d’un cimetière... (ou d'un ancien tsunami !).
http://www.morien-institute.org/adclarge6.html#14
http://www.examiner.com/architecture-design-in-national/was-there-an-ancient-lost-civilization-cuba
Une entrevue avec la scientifique :
Yves Herbo 03-2012
MAJ 27-10-2012 : Un fidèle lecteur de ce site m'a envoyé un nouveau lien concernant cette mystérieuse cité éventuellement engloutie sur les contreforts de Cuba (merci à lui et heureux de découvrir ainsi l'un de mes lecteurs). En cherchant des nouvelles de Mme Paulina Zelitsky, et de son mari, Paul Weinzweig, j'ai pu trouver des liens récents en anglais ou espagnol relatant le fait que, faute de contrats supplémentaires avec l'Etat Cubain (en difficulté financière comme une grosse partie de la planète), elle et son mari ont dû s'éloigner et partir sur d'autres projets et financements. Ils affirment toujours qu'il y a une cité engloutie et qu'ils en ont les preuves formelles, qu'ils voudraient bien aller repêcher des artéfacts qui s'y trouvent certainement, mais qu'un tel projet coûte au minimum deux millions de dollars pour pouvoir être pris au sérieux, alors que personne n'a les fonds... voici une nouvelle vidéo, afin de ne pas oublier cette découverte de presque 10 ans (!) :
Plus d'infos : http://en.wikipedia.org/wiki/Cuban_underwater_city
Yves Herbo pour SFH 10-2012

Sur Mars, Curiosity trouve des objets qui pourraient avoir été façonnés par l'homme
Sur Mars, Curiosity trouve des objets qui pourraient avoir été façonnés par l'homme - MAJ 27-10-12
Petit objet non-identifié photographié par le robot Curiosity sur Mars. | AFP/HO (cliquer dessus pour agrandir)
Le robot Curiosity a aspiré ses premiers échantillons de poussière à la surface de Mars et a découvert des objets aux couleurs vives que les experts ont pensé un temps comme pouvant avoir été façonnés par l'homme, a annoncé la NASA, jeudi 18 octobre. Les instruments d'analyse placés à l'intérieur du robot vont à présent examiner ces échantillons de sol.
Des experts se sont demandé si l'un des objets de couleur vive aperçu sur une photo d'un trou dans le sol n'aurait pas pu être façonné par l'homme, tout comme un autre objet vu il y a quelques jours et que les ingénieurs de la NASA pensaient être un bout de plastique tombé du robot lui-même.
" Nous avons commencé à voir des taches brillantes à l'endroit où le robot avait aspiré ", a indiqué un scientifique de l'équipe basée à Pasadena, en Californie. Toutefois, après discussions entre scientifiques et ingénieurs, un " fort consensus " est apparu pour conclure que ces objets provenaient de la planète rouge. Ce point de vue a été appuyé par le fait que les objets en question ont été vus au fond des trous creusés par Curiosity, et qu'ils sont donc placés sous la surface de Mars.
IDENTIFIER LES MINÉRAUX
La NASA était arrivée à la conclusion la semaine passée qu'un objet brillant observé sur le sol près du robot dans les jours précédents était un bout de plastique qui aurait pu tomber du robot lui-même, ce qui ne compromettait pas son bon fonctionnement.
Mais pour les scientifiques, pouvoir utiliser les instruments d'analyse chimique et minéralogique (baptisés CheMin) est un pas important. " Pouvoir identifier de manière certaine les minéraux est important parce qu'ils enregistrent les conditions et l'environnement dans lesquels ils se forment ", a souligné John Grotzinger, chef de la mission.
L'engin spatial Curiosity, d'une valeur de 2,5 milliards de dollars (1,9 milliard d'euros), a atterri le 6 août dans le cratère de Gale, marquant un nouveau chapitre dans l'histoire de l'exploration interplanétaire.
Selon une autre source, un objet aurait été ramassé le 12 octobre mais rejeté en raison d'un soupçon de contamination (?). Cet autre objet (photo en haut) fait 1.3 cm de long et les techniciens l'auraient également rejeté en pensant qu'il pourrait s'agit d'un débris du robot lui-même ou de ses protections, éjecté lors de l'atterrissage un peu mouvementé. Par contre les objets brillants récupérés et déterrés par le robot dernièrement ne peuvent être considérés comme des débris "pollueurs" et ne peuvent provenir que de la planète elle-même (ou de météorites) :
http://www.redorbit.com/news/space/1112715506/nasa-curiosity-third-scoop-101812/
MAJ 27-10-2012 : Sur Mars, Curiosity pourrait bien rester longtemps dans la zone qu'il vient d'atteindre et que les scientifiques ont baptisée Glenelg. Après 485 m de route vers l'est, le robot de la Nasa a fait ses premières analyses d'échantillons. Mais mieux encore, il a pris des photos du paysage environnant. Et celui-ci se révèle très intéressant.
Ces roches martiennes, observées par Curiosity, pourraient être d'origine lacustre. Crédit : Nasa/JPL-MSSS/ Olivier de Goursac
Sur ce gros plan assemblé et traité par Olivier de Goursac, de l'association Planète Mars, les roches visibles sont très intrigantes. Avec leur structure feuilletée, elle ressemblent à des vestiges de roches sédimentaires, celles qu'on s'attend à trouver au fond d'un ancien lac asséché.
Sur les vues orbitales de cet endroit, prises par MRO, un réseau de polygones apparaît, similaire à ceux qui se forment lorsque de la boue se sèche au Soleil. Cela corrobore la découverte, fin septembre 2012, de roches érodées par le passage de l'eau.
À gauche Mars, à droite la Terre : deux exemples de galets formés en présence d'eau.
Crédit : NASA/JPL-Caltech/MSSS
Curiosity pourrait donc encore passer quelques semaines sur cette zone avant de mettre le cap sur la base du mont Aeolis (ou Sharp), but principal de sa mission.
Philippe Henarejos pour http://www.cieletespace.fr/node/9718
Le robot Curiosity continue à nous livrer les mystères de la planète mars avec les premières analyses de la première roche analysée, celle en forme de triangle. Fort intéressant puisque les analyses de cette roche montrent une composition plus variée de tout ce qui avait été observé avant.
Elle présente la taille d’un ballon de football et qui ressemble à celle des roches terriennes volcaniques. Les spécialistes n’ont pas statué sur le processus qui ont conduit à sa formation et si ils sont différents ou similaires à ceux qui se produisent dans les régions volcaniques.
Cette roche est en fait riche en certains éléments comme les minéraux feldspaths. Elle est aussi pauvre en magnésium et en fer. Toutefois sa composition et sa similarité avec celle d’un provenance volcanique constituent en soi une bonne piste pour des recherches ultérieures. Sur la terre une telle composition provient généralement d’un mécanisme intervenant dans le manteau de la planète sous le croûte. Comme la cristallisation de magma qui est relativement riche en eau sous de très fortes pressions.
Par ailleurs le robot a procédé à deux autres analyses. Une dont l’analyse a révélé une homogénéité de la composition dans l’ensemble des coins traités. Suite à ces constats la mission poursuit actuellement son diagnostic en passant à l’étape suivante soit l’analyse de prélèvements de sol.
Yves Herbo SFH 10-2012

Une ancienne sépulture découverte sur le site du Stonehenge suédois
Une ancienne sépulture découverte sur le site du Stonehenge suédois
Ale Stenar (les mégalithes d'Ale).
Une tombe de 5500 ans, appartenant probablement à un chef de l'âge de pierre a été mis au jour près d'un monument mégalithique en forme de bateau appelé Ale Stenar (les mégalithes d'Ale).
Le tombeau, situé en Suède, a probablement été dépouillé de ses pierres afin de construire, non loin, le monument en forme de bateau viking.
" Nous avons trouvé des traces - pour la plupart des empreintes - de grosses pierres ", a déclaré l'archéologue Bengst Söderberg de l'Office national suédois du patrimoine, " aussi, ma conviction est que, certaines des pierres au moins, sont actuellement dressées dans le mégalithe. "
Perché sur une falaise en bord de mer, près du village de Kåseberga, se trouve les Mégalites d'Ale, également appelé Pierres d'Ale. Il est composé de 59 énormes blocs de pierres disposés sur 67 mètres représentant le contour d'un navire.
La plupart des chercheurs pensent que la structure en navire, vieille de 1400 ans, est un monument funéraire construit vers la fin de l'âge du fer de la Suède.
La légende locale veut que le roi mythique Ale repose sous le site. Les mégalithes d'Ale, dont certains pèsent jusqu'à 1800 kg, ont été découpés proprement et ont des marques similaires à celles trouvées sur des sites de l'âge de pierre.
Les chercheurs se sont donc demandés si les pierres n'avaient pas été volées dans un monument encore plus ancien, explique Söderberg.
En 2006, les archéologues ont utilisé des capteurs magnétiques et des radars pour cartographier le sous-sol du terrain. C'est ainsi qu'ils ont trouvé une plus grande structure circulaire, d'environ 165m de diamètre, avec un rectangle de 8m par 20m en son centre.
La semaine dernière, l'équipe a finalement creusé une petite tranchée par le centre du cercle et découvert des empreintes de rochers géants qui avaient été enlevés il y a longtemps.
Bien que l'équipe n'a pas trouvé de squelette, les empreintes suggèrent que le site était une chambre funéraire du Néolithique, un dolmen, avec plusieurs pierres dressées et un rocher horizontal sur le dessus, dans lequel un corps aurait été placé.
" Toutes les pierres ont été enlevées. Et je dirais que, très probablement, elles qui sont debout à 40 mètres du dolmen où se situe la structure en forme de bateau, " a déclaré Söderberg.
En se basant sur la disposition, le dolmen pourrait être vieux de presque 5.500 ans, peut-être plus ancien même que Stonehenge.
La grande chambre funéraire a probablement appartenu à un chef local ou le chef d'un clan pendant l'ère néolithique.
Comme il y avait très peu d’éléments concernant l'anneau externe, les chercheurs ne sont pas encore sûr de ce qui avait été utilisé et si cela était aussi ancien que le dolmen.
Des milliers de sites de dolmens sont disséminés dans toute la Scandinavie, bien que les civilisations arrivées plus tardivement aient volé beaucoup de pierres pour construire des églises et d'autres structures.
Les monuments rupestres géants suggèrent que même nos ancêtres de l'âge de pierre avaient un sens de la postérité et de la permanence, a déclaré Magnus Andersson, de l'Office national suédois du patrimoine.
La nouvelle tombe montre aussi que cet endroit particulier, avec ses falaises spectaculaires surplombant la mer Baltique, a inspiré les gens dans différentes périodes temporelles.
source : http://decouvertes-archeologiques.blogspot.fr/2012/10/une-ancienne-tombe-decouverte-sur-le.html#more
SFH 10-2012

Des scientifiques alertent les gouvernements sur l'arrivée d'extra-terrestres !
Des scientifiques alertent les gouvernements sur l'arrivée d'extra-terrestres !
Royal Society of London for the Improvement of Natural Knowledge
Un groupe de scientifiques de la Royal Society demande aux gouvernements de se préparer à l'arrivée des extraterrestres.
Tous ceux qui s'intéressent un tant soit peu aux fondements religieux de l'Humanité, qui pèsent bien sûr énormément sur la réelle situation matérielle des êtres humains étant donné les clivages désastreux et guerriers actuels qui pèsent sur tout un chacun via l'économie et la géopolitique, engendrés par ces fondements, il y a bien évidemment, en cette année 2012 chargée en messages, prophéties et liens mythologiques anciens, une augmentation des "signes" et des déclarations (justifiées ou non d'ailleurs !) est évidente. Je n'ai pas encore parlé des alertes à "Nibiru" ou autre qui surgissent dans certains réseaux car ils ne prouvent en rien techniquement une telle réalité... mais la vigilance s'impose tout de même : tout prouve que les mammouths ont bien été surpris en train de brouter de l'herbe il y a quelques milliers d'années avant d'être congelés sur place rapidement... s'il y a une réalité scientifique d'établie, c'est bien celle-là...
Cette vidéo est aussi une des réalités "évitées" par les grands médias : inutile de trop en parler sans preuves formelles... l'ignorance est mieux que l'éventuelle peur... mais on ne vous demande pas votre avis non plus... (en VO) :
Bon, vous trouverez sur ce site de nombreuses vidéos et liens de rapportant aux diverses prophécies, théories, mythes et études scientifiques se rapportant à la "Fin de ce Cycle" et au renouveau de l'humanité (et de ceux qui veulent l'empêcher bien sûr) : http://hummingbird027.wordpress.com/
SFH 10-2012

Gros progrès en cybernétique : bientôt les androïdes ?
Gros progrès en cybernétique : bientôt les androïdes ?
© Wiley-VCH Verlag GmbH & Co.KGaA. Reproduced with permission. Cette image est disponible à la photothèque du CNRS, phototheque@cnrs-bellevue.fr
Gauche et droite : Principe de la contraction et de l’extension d’une chaîne polymère télescopique fondée sur l’association supramoléculaire de milliers de nano-machines. Centre : Modèle moléculaire de trois nano-machines liées entre elles au sein de la chaîne polymère.
Pour la première fois, un assemblage de milliers de nano-machines capables de produire un mouvement de contraction coordonné s’étendant jusqu’à une dizaine de micromètres, à l’instar des mouvements des fibres musculaires, a été réalisé par une équipe de l’Institut Charles Sadron du CNRS. Ces travaux novateurs menés par Nicolas Giuseppone, professeur à l’Université de Strasbourg, et impliquant des chercheurs du Laboratoire de matière et systèmes complexes (CNRS/Université Paris Diderot), valident expérimentalement une approche biomimétique conceptualisée depuis plusieurs années dans le domaine des nanosciences. Ils permettent d’envisager de très nombreuses applications en robotique, en nanotechnologie pour le stockage d’information, dans le domaine médical comme la réalisation de muscles artificiels ou pour concevoir d’autres matériaux incorporant des nano-machines (dotés de nouvelles propriétés mécaniques). Ces travaux viennent de paraître sur le site de la revue Angewandte Chemie International Edition.
La nature fabrique de nombreuses machines dites « moléculaires ». Assemblages de protéines très complexes, elles sont à l’origine de fonctions essentielles du vivant comme le transport d’ions, la synthèse de l’ATP (molécule énergétique) ou la division cellulaire. Nos muscles sont ainsi contrôlés par le mouvement coordonné de ces milliers de nano-machines protéiques qui ne fonctionnent individuellement que sur des distances de l’ordre du nanomètre. Mais en s’associant par milliers, elles amplifient le même mouvement télescopique jusqu’à atteindre notre échelle et ce, de manière parfaitement coordonnée. Même si des progrès fulgurants ont été accomplis ces dernières années par les chimistes de synthèse pour la fabrication de nano-machines artificielles (dont les propriétés mécaniques intéressent de plus en plus chercheurs et industriels), restait le problème de la coordination de plusieurs de ces machines dans l’espace et dans le temps.
C’est désormais chose faite puisque, pour la première fois, l’équipe de Nicolas Giuseppone a réussi à synthétiser de longues chaînes polymères incorporant par liaisons supramoléculaires (1) des milliers de nano-machines capables de produire chacune des mouvements télescopiques linéaires d’un nanomètre. Sous l’influence du pH, leurs mouvements simultanés permettent à l’ensemble de la chaîne polymère de se contracter ou de s’étendre sur une dizaine de micromètres, amplifiant ainsi le mouvement par un facteur 10 000, selon les mêmes principes que ceux utilisés par les tissus musculaires. Les mesures précises de cette prouesse expérimentale ont été effectuées en collaboration avec l’équipe d’Eric Buhler, physicien spécialiste de la diffusion du rayonnement au laboratoire Matière et Systèmes Complexes (CNRS/Université Paris Diderot).
Ces résultats obtenus par une approche biomimétique permettent d’envisager de très nombreuses applications pour la réalisation de muscles artificiels, de micro-robots ou pour la conception de nouveaux matériaux incorporant des nano-machines dotées de nouvelles propriétés mécaniques multi-échelles.
Notes : (1) Une liaison supramoléculaire est une interaction entre différentes molécules qui ne repose pas sur la liaison chimique traditionnelle dite « covalente » mais sur d’autres types d’interactions dites « faibles », constituant ainsi des édifices moléculaires complexes.
Références : Muscle-like Supramolecular Polymers – Integrated Motion from Thousands of Molecular Machines, G. Du, E. Moulin, N. Jouault, E. Buhler, N. Giuseppone, Angew. Chem. Int. Ed. En ligne le 18/10/2012 (DOI: 10.1002/ange.201206571).