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Les généticiens sortent l'ADN de la poubelle

Par Le 08/09/2012

Les généticiens sortent l'ADN de la poubelle

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Comme quoi les découvertes s'enchaînent et semblent de plus en plus confirmer certaines choses sur notre propre ADN : c'est un vrai programme informatique sophistiqué qui enregistre même les problème de stress sur plusieurs générations... on disait encore récemment que 80% de l'ADN humain ne "faisait" rien, n'étaient que des débris... tout faux car il s'agit au contraire des contrôleurs de ce programme incroyable qui se loge dans les 20 autres pourcents. Une découverte qui confirme celle-ci et certaines théories... : http://www.sciences-faits-histoires.com/blog/sciences/l-adn-sera-t-il-le-support-de-stockage-ultime-de-l-humanite.html

En réalisant une encyclopédie du génome humain, une équipe internationale de chercheurs met en évidence que l’ADN non-codant, dit « poubelle » et qui constitue 80% du matériel génétique, joue un rôle fondamental dans l’expression des gènes.

Le linguiste a le nez fourré dans son dictionnaire, le chimiste ne se sépare jamais de son handbook, le juriste est toujours prêt à dégainer son Code civil. Le généticien, lui aussi, vient d’acquérir sa « bible » grâce au travail d’une équipe internationale de 442 chercheurs. Ces derniers viennent de réaliser la première version d'une encyclopédie du génome qui permet de préciser les fonctions biologiques des trois milliards de paires de bases qui composent l’ADN humain. Une trentaine de publications, parues le 5 septembre dans Nature, Science et d’autres revues, font la synthèse de ces données accessibles sur les sites Nature ENCODE Explorer et Encodeproject.org.

« ADN-poubelle », un concept à la corbeille

Le séquençage complet du génome humain, réalisé en 2003 dans le cadre du Human Genome Project, avait laissé aux scientifiques pléthore de données brutes à traiter et à interpréter. Sur les milliards de bases de l’ADN, moins de 2% sont utilisées pour la production des protéines. Cette faible portion du génome, appelée « ADN codant », s’organise en 21 000 gènes. À chaque gène correspond une protéine qui remplit des fonctions bien spécifiques : le gène de la dopamine, par exemple, code pour la protéine du même nom.

Quid du génome restant ? « En examinant les séquences de l’ADN, on s’est aperçu que 80% du génome est constitué de régions très conservées, avec les mêmes enchaînements de bases d’un individu à l’autre. On se doutait que ces séquences jouaient un rôle de régulation des gènes, mais pas plus », explique Jean-François Prudhomme, chercheur au génopole d’Evry. Encombrés par tant de matériel génétique sans fonction apparente, les chercheurs avaient laissé de côté cette portion du génome non-codant et l’avaient surnommée « ADN poubelle ».

Or, les données du projet Encode, issues de quelque 1 640 génomes extraits de 147 tissus cellulaires distincts, montrent que ces séquences sont bien plus utiles qu’elles n’y paraissent. Mieux : elles interviennent chacune dans au moins un processus biochimique. Plus précisément, l’ADN poubelle est traduit en micro-ARN et autres objets biologiques qui agissent comme des régulateurs de l’expression des gènes et donc contrôlent la production des protéines.

Pascal Soularue, chercheur en génomique sur le site d’Evry, compare le mode de fonctionnement de ces régulateurs à celui d’une lampe halogène : « On peut non seulement mettre l’interrupteur sur On et Off, mais aussi réguler la luminosité de la lampe. Avec l’ADN non-codant, c’est la même chose. Il produit des régulateurs biologiques capables de faire varier l’expression d’un gène ».

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Pas un dépotoir mais un chantier immense

Ce nouveau rôle attribué à l’ADN-poubelle offre une vision à la fois plus complexe mais aussi plus fine du génome, « qui restitue la logique et l’architecture des réseaux de transcription de l’ADN », explique Wendy A. Bickmore dans la revue Nature. « Etablir comment les régulateurs agissent sur les gènes ouvre des pistes pour mettre en place de nouvelles thérapies», ajoute Pascal Soularue. Plutôt que d’agir sur le gène lui-même comme en rêvait les pionniers de la thérapie génique, on agirait plutôt sur ces « interrupteurs biologiques » pour contrôler la production de protéines intervenant dans certaines maladies génétiques.

L’ « encyclopédie » fournie par les généticiens est vouée à devenir une gigantesque plateforme publique où les laboratoires échangeront leurs informations. Le chantier est immense. « À nous de comprendre maintenant comment les régulateurs agissent sur les gènes, estime Pascal Soularue. Ce n’est que le début de l’aventure ! »

Gautier Cariou, le 07/09/2012 http://www.universcience.fr/fr/science-actualites/actualite-as/wl/1248134251236/adn-poubelle/

SFH 09-2012

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Une étoile réfute les théories humaines !

Par Le 06/09/2012

Une étoile réfute les théories humaines !

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(cliquez pour agrandir) : Cette image prise avec la caméra WFI sur le télescope MPG/ESO de 2,2 mètres
à l'Observatoire de La Silla de l'ESO montre le spectaculaire amas globulaire Messier 4.
Cette grosse boule d'étoiles vieilles est l'un de ces systèmes stellaires les plus proches de la Terre.
Elle se trouve dans la constellation du Scorpion à proximité de la lumineuse étoile rouge Antarès.
Crédit: ESO - Remerciements: ESO Imaging Survey

Une nouvelle image réalisée à l'Observatoire de La Silla de l'ESO au Chili montre le spectaculaire amas d'étoiles Messier 4. Cette "boule" composée de plusieurs milliers d'étoiles âgées est l'un des amas globulaires les plus proches de la Terre et parmi les plus étudiés. Une récente étude a révélé que l'une de ses étoiles a des propriétés étranges et inattendues, possédant apparemment le secret de la jeunesse éternelle.

Plus de 150 amas globulaires datant du lointain passé de l'Univers sont en orbite autour de La Voie Lactée, notre galaxie. L'amas Messier 4 (aussi appelé NGC 6121), dans la constellation du Scorpion, est l'un des plus proches de la Terre. Cet objet lumineux peut facilement être observé avec des jumelles, à proximité de la lumineuse étoile rouge Antarès et avec un petit télescope d'amateur on peut voir quelques-unes de ses étoiles.

Cette nouvelle image de l'amas réalisée avec la caméra WFI (Wide Field Imager) sur le télescope MPG/ESO de 2,2 mètres à l'Observatoire de La Silla de l'ESO révèle bien plus d'étoiles parmi les dizaines de milliers de l'amas, présenté sur cette image avec en arrière-plan la Voie Lactée.

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Les astronomes ont également étudié de nombreuses étoiles de l'amas de manière individuelle en utilisant des instruments du VLT de l'ESO. En décomposant la lumière des étoiles dans ses différentes couleurs, ils peuvent déduire leur composition chimique et leur âge.

Les nouveaux résultats concernant les étoiles dans Messier 4 ont été surprenants. Les étoiles des amas globulaires sont âgées et ne sont de ce fait pas supposées être riches en éléments chimiques les plus lourds (1). C'est effectivement ce qui a été trouvé, mais dans une récente campagne d'observation, une des étoiles s'est également révélé avoir bien plus de lithium, un élément léger rare, que ce que l'on attendait. L'origine de ce lithium est mystérieuse. Normalement, cet élément est progressivement détruit au cours des milliards d'années de la vie de l'étoile, mais cette étoile parmi des milliers semble avoir le secret de la vie éternelle. Elle a soit réussi à conserver son lithium original, soit trouvé un moyen de s'enrichir en lithium récemment conçu.

Cette image de la caméra WFI donne une large vue de l'amas et de son riche environnement. Une image complémentaire et plus détaillée de la seule région centrale, réalisée par le télescope spatial NASA/ESA Hubble, a également été diffusée cette semaine dans le cadre de la série "l'image de la semaine d'Hubble" 

messier-4-ngc-6121-esa-hubble-nasa.jpgNote:

(1) La plupart des éléments chimiques plus lourds que l'hélium sont créés dans les étoiles puis dispersés dans le milieu interstellaire à la fin de leur vie. Cette matière enrichie forme alors les briques élémentaires des futures générations d'étoiles. Par conséquent, les très vieilles étoiles telles que celles des amas globulaires stellaires, qui se sont formées avant que l'enrichissement conséquent du milieu interstellaire ne se produise, ont une plus faible quantité d'éléments les plus lourds si on les compare aux étoiles telles que le Soleil qui se sont formées plus tard.

Sources : ESOhttp://www.techno-science.net/?onglet=news&news=10785

SFH 09-2012

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Ovnis, phénomènes aérospatiaux: la carte des observations dans vos départements

Par Le 06/09/2012

Ovnis, phénomènes aérospatiaux: la carte des observations dans vos départements

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Depuis 1977, le Geipan étudie les phénomènes aérospatiaux non identifiés (PAN) observés et rapportés par la population française. Découvrez sur cette carte les cas recensés dans nos régions.

Peut-être avez-vous déjà cru apercevoir un phénomène étrange dans le ciel: une lumière inhabituelle, un objet non identifié, voire une soucoupe volante... Eh bien vous n'êtes pas les seuls.

Depuis 1977, le Centre national d'études spatiales basé à Toulouse étudie les phénomènes aérospatiaux via le très sérieux Groupe d'études et d'informations sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés (Geipan). Sa mission: collecter, analyser et archiver toutes les observations de ce type sur le territoire français. L'un des objectifs est notamment d'essayer d'expliquer ce que les témoins ont vu.

Le Geipan les classe en quatre catégories :

A- phénomène identifié (vert)
B- phénomène probablement identifié (bleu)
C- phénomène non-identifiable (jaune)
D- phénomène non-identifié (rouge)

Un travail qui permet d'expliquer de manière rationnelle de nombreux phénomènes. Cet été par exemple, des PAN ont été rapportés par des témoins dans nos régions, en Savoie, dans le Vaucluse ou encore en Haute-Savoie (des observations qui n'apparaissent pas sur notre carte car elles n'ont pas encore été traitées par le Geipan). Dans plusieurs cas, il s'agissait tout simplement de lanternes thaïlandaises.

 Découvrez ci-dessous la carte des observations dans nos départements (Isère, Savoie, Haute-Savoie, Ain, Drôme, Ardèche, Vaucluse, Hautes-Alpes, Alpes-de-Haute-Provence) : ici en plein écran.

par Julien DEPELCHIN et Clémence LENA

Source et cartehttp://www.ledauphine.com/france-monde/2012/09/01/ovnis-phenomenes-aerospatiaux-la-carte-des-observations-dans-vos-departements

Relayé par SFH 09-2012

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La super tempête solaire qui viendra pourrait faire fondre des centaines de réacteurs nucléaires

Par Le 05/09/2012

La « super tempête » solaire qui viendra pourrait faire fondre des centaines de réacteurs nucléaires

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Des éruptions solaires pourraient déchaîner un holocauste nucléaire sur Terre, entraînant des centaines de centrales nucléaires dans des fusions totales.

(NaturalNews) Oubliez le calendrier maya pour 2012, la comète Elenin ou le passage en 4ème dimension. La vraie menace pour la civilisation humaine est bien plus banale et c'est juste devant notre nez. Si Fukushima nous a tous autant touchés, c'est juste parce que l'emballement d'une fusion de matériaux nucléaires fissibles peut avoir des conséquences de longue portée et potentiellement dévastatrices pour la vie sur Terre. A ce jour, Fukushima a déjà libéré 168 fois la radioactivité libérée par la bombe d'Hiroshima en 1945 et la catastrophe japonaise est maintenant de manière indéniable le pire désastre nucléaire dans l'histoire de la civilisation humaine.

Mais qu'en serait-il de la civilisation humaine face à une menace pire qu'un simple tsunami détruisant une installation nucléaire ? Qu'en serait-il si une vague géante pouvait détruire tout d'un coup toutes les installations à énergie nucléaire de la planète ?

Un tel scénario n'est pas juste possible, mais en fait inévitable. Et la vague géante menaçant toutes les centrales nucléaires du monde n'est pas faite d'eau mais d'émissions solaires.

Le soleil, voyez-vous, se réveille. La NASA a récemment averti que l'activité solaire est en hausse, avec un pic attendu en 2013 qui pourrait générer d'énormes niveaux de radiations qui circuleraient sur toute la planète. La NOAA ( National Oceanic and Atmospheric Administration) a même fait une annonce sur un avertissement urgent sur des éruptions solaires à venir en 2012 et 2013. Ibtimes a écrit, ''Avec le pic d'activité solaire aux environs de 2013, le soleil entre dans une période particulièrement active et de grosses éruptions comme la toute dernière seront probablement communes durant les quelques prochaines années...Une éruption majeure du milieu du 19ème siècle a bloqué le système de télégraphie naissant, et des scientifiques pensent qu'un autre événement similaire est maintenant en route.''

L'histoire continue à expliquer :

''Plusieurs études de gouvernements fédéraux suggèrent que cette activité solaire extrême et ses émissions peuvent résulter en de complets blackouts pendant des années dans des régions du pays. De plus, il peut y avoir des dérangements dans les approvisionnements de courant pendant des années, ou même des décennies, car les courants géomagnétiques attirés par la tempête pourraient rendre caduques les transformateurs.''

Pourquoi tout cela ? Pour le comprendre, vous devez savoir comment fonctionnent les centrales nucléaires. Ou, dit d'une autre manière, comment une centrale est-elle protégée d'un événement nucléaire chaque jour sur notre planète ?

Toutes les centrales nucléaires fonctionnent dans un état de pré-fusion

Toutes les centrales nucléaires sont utilisées dans un état de presque fusion. Elles fonctionnent à de très hautes températures, reposant sur la fission nucléaire pour faire bouillir de l'eau qui produit de la vapeur actionnant des turbines qui génèrent de l'électricité. Non sans danger, le combustible nucléaire est protégé d'une fusion par une circulation constante de refroidisseurs qui sont injectés dans le système de refroidissement en utilisant des pompes électriques très puissantes.

Si on arrête les pompes électriques, le refroidisseur s'arrête de s'écouler et les barres de combustible vont vers une criticité (et ensuite il y a une fusion). C'est ce qui s'est passé à Fukushima quand les barres de combustible usagé sont tombées au travers du sol de béton des enceintes de confinement, déversant d'énormes quantités de radiations ionisantes dans l'environnement. La portée exacte de la contamination de Fukushima n'est même pas encore connue, car l'installation émet toujours de la radioactivité.

Il est crucial de comprendre que les pompes pour le refroidissement nucléaire sont habituellement gérées par le courant du réseau électrique. Elles ne sont pas normalement gérées par le courant produit localement par la centrale nucléaire elle-même. Non, elles sont connectées au réseau. En d'autres mots, bien que les centrales nucléaires produisent des mégawatts d'électricité pour le réseau, elles sont aussi dépendantes du réseau pour faire fonctionner leurs propres pompes de refroidissement. Si le réseau lâche, les pompes aussi, ce qui est la raison pour laquelle elles sont rapidement déconnectées au profit de courant de secours d'urgence – des générateurs ou des batteries.

Comme nous l'avons appris de Fukushima, les batteries sur site ne peuvent gérer les pompes que pendant 8 heures. Après, la centrale est dépendante degénérateurs diesel (ou quelquefois propane) pour faire fonctionner les pompes qui font circuler le refroidisseur qui empêche tout le site de ressembler à Tchernobyl. Cela dépend pourtant, de manière critique, de quelque chose de plutôt curieux : la distribution de gazole sur le site. Si le gazole n'a pu être distribué, les générateurs ne peuvent être allumés et le refroidisseur ne circule plus. Quand on saisit l'importance de cette dépendance à un approvisionnement, on comprendra aisément qu'une seule éruption solaire puisse déchaîner un holocauste nucléaire sur la planète.

Quand les générateurs sont en panne et que les pompes s'arrêtent, les barres de combustible commencent leur fusion à travers leur contenant, déchargeant des quantités incroyables de radiations destructrices directement dans l'atmosphère. C'est précisément ce pourquoi les ingénieurs japonais ont travaillé si dur pour reconnecter le réseau électrique local à la centrale après la vague du tsunami – ils avaient besoin de ramener le courant aux groupes électrogènes pour faire fonctionner les pompes qui diffusent le refroidisseur. Cet effort a échoué, bien sûr, c'est pourquoi Fukushima est devenu une telle catastrophe et a relâché d'indénombrables becquerels de radioactivité dans l'environnement (sans fin en vue).

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Et pourtant, malgré la destruction que nous venons de voir à Fukushima, aucune centrale nucléaire américaine n'est prête à gérer des pannes de courant. Comme le rapporte Ibtimes :

''Le mois dernier la commission de régulation nucléaire a dit que les centrales américaines affectées par un blackout devraient être capables de se débrouiller sans électricité pendant au moins 8 heures et devraient avoir des procédures pour conserver un refroidissement des réacteurs et des piscines de combustible usagé pendant 72 heures. Les centrales nucléaires dépendent de batteries en standby et de groupes électrogènes de secours. La plupart des systèmes de courant en standby continueraient de fonctionner après une sévère tempête solaire, mais avec un approvisionnement des systèmes de courant avec du carburant adéquat, si les réseaux principaux de courant sont hors service pendant des années, il s'ensuivrait un problème extrêmement critique. Si les piscines de combustible usagé des 104 centrales nucléaires du pays perdaient leur connection au réseau électrique, les régulations actuelles ne seraient pas efficaces pour garantir que ces piscines ne viendraient pas à bouillir – exposant les barres radioactives revêtues de zirconium et déclenchant des incendies qui libèreraient des radiations mortelles.''

Maintenant, qu'est-ce que tout ceci a à voir avec les éruptions solaires ?

Comment la fin de la civilisation moderne surviendrait probablement

Comme tout scientifique bien informé l'admettra facilement, les éruptions solaires ont un potentiel pour souffler les transformateurs de tous les réseaux de courant du pays. C'est parce que les éruptions solaires induisent des courants géomagnétiques (impulsions électromagnétiques puissantes) qui surchargent les transformateurs et les font exploser.

Vous avez probablement été témoins de ceci vous-même pendant un orage quand les éclairs envoient une pulsion électromagnétique puissante qui fait exploser un transformateur local. Les éruptions solaires font la même chose à plus grande échelle. A une échelle mondiale, en fait.

Le résultat est que soudain et sans prévenir, l'infrastructure du réseau peut être détruit sur presque toute la planète. En bonus, presque tous les satellites sont grillés, également, rendant inopérables les GPS et faisant des millions de conducteurs paumés condamnés à errer dans leur quartier parce qu'ils n'ont jamais fait attention aux rues et se sont toujours reliés à la voix du GPS qui leur dit, ''dans 50 mètres, tournez à droite.''

Les communications par satellites seront coupées aussi. Cela stoppera bien sûr presque toutes la distribution d'infos de propagande sur la terre, faisant que des milliers de gens mourront instantanément de peur d'avoir soudain l'obligation de penser par eux-mêmes. Comme autre bonus, presque tous les téléphones mobiles seront interrompus, ce qui veut dire que les jeunes ados du monde seront pour la première fois de leur vie obligés de laisser tomber leurs iPhones et de correspondre avec de vraies personnes dans le vrai monde.

Mais le vrai gros problème ici est que le réseau de courant sera détruit presque partout.

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Qu'arrive-t-il quand il n'y a pas d'électricité ?

Imaginez un monde sans électricité. Même juste pendant une semaine. Imaginez New York sans électricité, ou Los Angeles ou Sao Paulo. En 72 heures, la plupart des villes du monde seraient dans un chaos total, avec des pillages, des crimes et des incendies partout.

Et si vous pensez que vous pouvez conduire pour vous éloigner du chaos, réfléchissez que les éruptions solaires grilleront toutes les automobiles qui fonctionnent avec des circuits électroniques, ce qui signifie probablement que 98% des véhicules sur la route aujourd'hui seront instantanément transformés en carcasses de métal (ou de plastique, comme on le voit).

Mais ce n'est pas encore la mauvaise nouvelle. Même si toutes les grandes cités du monde prenaient feu pour une autre raison, l'humanité pourrait toujours se récupérer par les fermes : les champs, les graines et le potentiel pour récupérer, d'accord ?

Et pourtant la vraie crise ici prend ses racines dans le fait de réaliser qu'une fois le réseau de courant hors service, toutes les centrales nucléaires du monde passeraient tout d'un coup en ''mode d'urgence'' et seraient obligées de se relier à leur courant de secours d'urgence sur site pour faire circuler les refroidisseurs et empêcher des fusions nucléaires de se produire. Pourtant, nous l'avons déjà établi, ces installations ont couramment juste quelques heures de courant par batterie utilisables, suivies par peut-être quelques jours valables avec le carburant diesel pour faire fonctionner leurs générateurs.

Ai-je aussi mentionné que la moitié des gens qui travaillent dans des centrales n'ont aucune idée de ce qu'ils font en premier lieu ? La plupart des anciens qui connaissent réellement les installations intérieures et extérieures ont été obligés de partir en raison de leur âge vital limite de l'exposition aux radiations au travail, donc la plupart des ouvriers du nucléaire aujourd'hui sont des ''bleus'' qui n'ont aucune idée de ce qu'ils font.

Il y a 440 centrales nucléaires fonctionnant dans 30 pays du monde à l'heure actuelle. Il existe en plus 250 soi-disant ''réacteurs de recherche'', faisant un total de presque 700 réacteurs nucléaires à gérer.

Imaginez maintenant le scénario : arrive une éruption solaire massive qui met hors service le réseau de courant mondial et détruit la majorité des transformateurs de courant, plongeant le monde dans l'obscurité. Les cités s'effondrent dans des chaos et des émeutes, la loi martiale est vite décrétée et toutes les nations du monde sont en pleine urgence. Mais cela ne résout pas le vrai gros problème, qui est quoi faire avec 700 réacteurs nucléaires qui ne peuvent être alimentés par le réseau et doivent pourtant assurer simultanément un courant d'urgence constant pour entretenir des générateurs pour le refroidissement.

Pendant combien de temps le refroidisseur doit-il circuler dans ces installations pour refroidir le combustible nucléaire ? Des mois. C'est aussi la leçon de Fukushima : on ne peut refroidir du combustible nucléaire plus de quelques heures ou jours. Il faut des mois pour amener les centrales à l'état d'arrêt à froid. Et cela veut dire que pour éviter une multitude de fusions dans le style de Fukushima sur la planète, il faut des wagons entiers de gasoil, de générateurs et d'ouvriers nucléaires pour chaque centrale de la planète, ponctuels, à chaque instant, sans pannes, pendant des mois.

Rappelez-vous quand même que ceci doit se faire au milieu d'une chute dans un chaos total de la civilisation, où il n'y a pas de courant, où les exécutifs de loi et les services d'urgence sont totalement débordés, où les gens meurent de faim parce que les approvisionnements en nourriture ont été interrompus (tous les véhicules grillés, vous vous souvenez ?), et quand des pillages et de la violence sont à tous les coins de rue de toutes les grandes villes du monde. Malgré tout, il faut amener ces caravanes de gasoil aux centrales nucléaires pour conserver la fonction des pompes.

Sauf qu'il y a un os, même si on suppose qu'on peut d'une manière ou d'une autre imaginer une logistique miracle et vraiment distribuer du gasoil aux générateurs de secours à temps (ce qui semble improbable).
Le problème est le suivant : où trouver du gasoil ?

Pourquoi les raffineries seront hors service également

Dans des raffineries de pétrole. La plupart des gens ne le réalisent pas, mais les raffineries de pétrole fonctionnent à l'électricité. Sans courant du réseau, les raffineries ne produisent pas une goutte de gasoil. Sans cela, il n'y a aucun générateur qui fera fonctionner le refroidissement des centrales.
Mais attendez, dites-vous : peut-être que nous pourrions avoir du gasoil dans toutes les stations service du monde. Pompez-le dans les cuves, conduisez le en camions et utilisez-le pour alimenter les générateurs, d'ac ? Sauf qu'il y a d'autres problèmes ici : comment pomper tout ce gasoil sans électricité ? Commenttrouver tous les pneus et les pièces nécessaires pour faire rouler les camions s'il n'y a aucune électricité pour conserver l'approvisionnement des entreprises qui fonctionnent ? Comment maintenir une infrastructure pour faire rouler les camions quand l'infrastructure électrique est totalement anéantie ?
Quelques pays seraient capables de le réaliser avec quelque chance de succès. Grâce à des escortes militaires et un contrôle total du gouvernement sur toutes les réserves de gasoil, quelques nations seraient capables de protéger un minimum de centrales nucléaires de la fusion.
Mais voici la vraie question : il y a 700 installations nucléaires dans le monde, rappelez-vous. Supposons qu'à la suite d'une éruption solaire massive, les nations du monde soient plus ou moins capables de contrôler la moitié des installations et de les amener à un état d'arrêt à froid. Cela laisse encore en gros 350 centrales en risque.

Maintenant supposons que la moitié de ces dernières soient mises par chance hors de danger et ne soient pas en fonctionnement quand l'éruption solaire survient, elles ne nécessitent donc aucune attention particulière. C'est une supposition très optimiste, mais cela laisse toujours 175 centrales nucléairesprêtes à la panne.

Soyons outrageusement optimistes et supposons qu'un tiers de celles-ci n'aillent pas dans une fusion totale par un miracle divin, ou quelque bizarres distorsions des lois de la physique. Il nous reste donc encore 115 centrales qui "vont à Tchernobyl".

Fukushima était une centrale nucléaire. Imaginez la dévastation de plus de 100 centrales nucléaires, toutes en fusion en même temps sur la planète. Ce n'est pas la perte d'électricité qui est le vrai problème ; c'est une vague mondiale de radioactivité invisible qui recouvre la planète, s'imprègne dans le sol, irradie tout ce qui respire et délivre le coup d'arrêt fatal à la civilisation humaine que nous connaissons aujourd'hui.

Parce que si vous avez 100 fusions nucléaires simultanées mondiales, la vague de radiations rendra les cultures presque impossibles pendant des années. Cela veut dire pas de production de nourriture pendant des années à suivre. Et cela, à son tour, signifie un effondrement presque total de la population humaine sur notre planète.

Combien de personnes peuvent survivre une année entière sans nourriture ? Pas une sur cent. En allant même au-delà, combien de personnes peuvent vivre essentiellement en souterrain et être en assez bonne santé par rapport aux radiations pour pouvoir avoir des enfants viables et repeupler la planète ? C'est une très, très petite fraction de la population totale.

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Ce seront plus probablement des éruptions solaires qui frapperont les centrales nucléaires que des vagues géantes ou des séismes...

Quelles sont les chances de survenue réelles ? Un rapport du laboratoire national de Oak Ridge a dit que''...au-delà du terme de la norme d'autorisation de 40 ans pour les centrales nucléaires, une activité d'éruption solaire donne une chance à long terme de 33 % de perte de courant, un risque qui dépasse de manière significative les séismes majeurs et les tsunamis.''
Le lien mondial à l'énergie nucléaire, voyez-vous, nous a condamné à détruire notre propre civilisation. Bien sûr, tout ceci est empêchable si nousdémantelions et arrêtions TOUTES les centrales nucléaires de la planète. Mais quelles sont les chances que cela arrive ? Zéro, bien sûr. Il y a trop d'intérêts commerciaux et politiques en jeu.

Donc les centrales subsisteront et nous serons pour cela très vulnérables à une éruption solaire qui pourrait nous frapper n'importe quand et déchaîner un holocauste nucléaire. La planète Terre a déjà été touchée par des éruptions avant, bien sûr, mais toutes les grandes enregistrées dans l'histoire humaine se sont passées longtemps avant l'âge de l'électronique moderne, donc les impacts ont été minimes. Aujourd'hui, la société ne peut fonctionner sans électronique. Ni les pompes de refroidissement des centrales. Une fois que vous réalisez cela, vous commencez à comprendre le vrai danger dans lequel l'humanité s'est placé en se ligotant à l'énergie nucléaire.

En nous ligotant avec l'énergie nucléaire, nous risquons tout. Et nous le faisons aveuglément, sans vraie connaissance des dangers de faire fonctionner plus de 700 installations nucléaires dans un état constant de ''presque fusion'' tout en dépendant follement d'un courant électrique pour garder les barres de combustible froides. Si Fukushima, rien qu'elle, donne une vague de radiations mortelles, imaginez un monde avec 100 installations nucléaires qui entrent en fusion simultanément.
Une répétition de la tempête solaire de 1859 – appelée l'évènement de Carrington – ''dévasterait le monde moderne'', admet un article du National Geographic.

Que pouvez-vous faire à ce sujet ? Construisez vous-même un bunker souterrain et préparez-vous à vivre dedans pour une période indéterminée (quelques dizaines de cm vous protègent de la plupart des radiations). Les bonnes nouvelles sont que si vous survivez à tout et retournez un jour à la surface pour planter vos graines non-hybrides et commencez à reconstruire la société humaine, l'immobilier sera vraiment, vraiment bon marché.
Spécialement dans les zones irradiées.

Prenez ceci au sérieux ! Lisez ce que dit la NASA

''Juste avant l'aube, les cieux de toute la planète ont donné une éruption d'aurores boréales rouges, vertes et pourpres si brillantes qu'on pouvait lire les journaux aussi facilement qu'en plein jour. De superbes aurores boréales ont pulsé même près de latitudes tropicales sur Cuba, les Bahamas, la Jamaïque, le Salvador et Hawaï. Encore plus déconcertant, les systèmes de télégraphie du monde se sont détraqués. Des décharges d'étincelles ont aspergé les opérateurs du télégraphe et mis le feu au papier. Même quand les télégraphieurs ont été disconnectés des batteries fournissant les lignes, les courants électriques induits par les aurores ont permis à des messages d'être transmis...''

''Comme les technologies électroniques sont devenues plus sophistiquées et plus incorporées dans la vie de tous les jours, elles nous ont aussi rendu plus vulnérables à l'activité solaire. Sur terre, les lignes de courant et les câbles téléphoniques de longue distance pourraient être affectés par les courants boréals, comme arrivé en 1989. Les radars, les communications par téléphones cellulaires et les GPS pourraient être dérangés par le bruit des ondes radio solaires. Des experts disent qu'il y a peu à faire pour protéger les satellites d'une éruption de type Carrington. En fait un article récent estime les dégâts potentiels aux 900 satellites actuellement en orbite à un coût entre 30 et 70 milliards de dollars.''

by Mike Adams, the Health Ranger
Editor of NaturalNews.com

Source: http://www.naturalnews.com/033564_solar_flares_nuclear_power_plants.html#ixzz25YmOyA38

Traduit par Hélios pour Wikistrike.com

SFH 09-2012

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Les secrets sur les OVNIs bientôt révélés ?

Par Le 04/09/2012

Les secrets sur les OVNIs seront révélés en septembre 2012 dit le National Atomic Testing Museum

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Dans seulement quelques semaines, certaines sortes de secrets liés aux OVNIs seront dévoilés dans un musée affilé à l'Institut Smithsonian.

C'est la promesse implicite dans le titre de la conférence spéciale à venir au National Atomic Testing Museum de Las Vegas le 22 septembre 2012.

Les secrets n'ont pas encore été révélés, mais les intervenants impliqués présentent certainement le potentiel de sortir quelque chose de fascinant à cet événement d'un soir, qui fait partie d'une série de conférences du musée sur la Zone 51.

Suivre cette promo pour la prochaine conférence OVNI au National Atomic Testing Museum :

« Nous avons examiné les rapports de certaines personnes qui ont parlé des extraterrestres et des ovnis ", a déclaré chef de la direction du musée et directeur exécutif Allan Palmer, un ancien combattant de l'armée de l'air très décoré de la marine et des jets de combat.

« Nous voulions nous concentrer sur les gens qui avaient des histoires personnelles et exposer ce qu'ils croyaient être des ovnis réels, vu du côté militaire, car ils peuvent avoir juste un peu plus de crédibilité que le "Joe" moyen, " dit Palmer au Huffington Post.

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Quatre des participants ont eu des habilitations de sécurité militaires américaines auparavant :

Ret. Armée colonel John Alexander : Ancien militaire de l'intérieur, qui a créé une théorie en physique avancée - un groupe de fonctionnaires de haut niveau et des scientifiques réunis pour étudier les ovnis.

Ret. Air Force colonel Charles Halt : Ancien commandant de la base militaire de la RAF de Bentwaters en Angleterre et témoin essentiel de l'incroyable événements liés aux OVNIs dans la forêt de Rendlesham en Décembre 1980, où il a pansé avoir observé un OVNI d'origine extraterrestre.

Ret. Air Force colonel William Coleman : L'ancien pilote de bombardier USAF, chef de la Force aérienne d'information du public et producteur de la série de NBC "Project UFO".

Ret. Air Force colonel Robert Friend : Ancien directeur du projet Blue Book de l'US Air Force de 1958 à 1963.

Le cinquième invité à venir du musée conférence OVNI est un ancien officier britannique du bureau UFO, Nick Pope .

Qu'est-ce qui va être différent dans cette conférence majeure d'une heure par rapport à des rassemblements précédents où les militaires se sont présentés et ont révélé des détails sur leurs expériences personnelles sur les OVNI ?

« L'une des choses qui est différente, c'est que vous avez une grande crédibilité des sources contrôlées », a dit Alexander au HuffPost. " C'est ce  que vous obtenez à partir de ce pannel de gens qui ont travaillé avec les militaires, qui sont tous bien d'accord que les OVNIS sont réels, et je pense que la plupart d'entre eux disent qu'ils doivent être étudié. Ici, vous obtenez un petit nombre [de participants], mais ces gens ont une grande crédibilité. "

Lors de la conférence du 22 septembre, Pope va parler des similitudes entre la façon dont les gouvernements britannique et américain avaient les mêmes groupes d'études sur les OVNIS et pourquoi les deux pays se sont ont officiellement sortis de l'entreprise OVNI.

" Dans tous les cas, la vraie ligne de fond est que nous voulions "Joe Sixpack" hors de notre dos. Démonter toutes les observations erronées de ballons météo et virer tous les fous, et nous pourrions juste avoir quelque chose d'intéressant de regarder", a dit Pope au HuffPost dans un message électronique.

" Mais vous ne pouvez pas faire cela dans un projet public sur les OVNI, parce que c'est de la cuisine magnétique," a-t-il dit. « L'astuce consiste à mettre en évidence tous les trucs dingues dans les médias, de sorte que le sujet devient une blague, tirez sur la cible, puis exécutez-le tout secrètement. Maintenant, je ne dis pas que c'est exactement ce qui s'est passé, mais si un pilote de l'Armée de l'air voit quelque chose d'inhabituel et qui est dépisté sur le radar militaire, personne ne pense sérieusement que nous ne serions pas intéressés ? "

Même si aucun des participants de la conférence à venir n'a offert un aperçu d'une quelconque révélation OVNI, Pope promet de divulguer « des secrets jusque-là non révélés de projets UFO du gouvernement britannique. "

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Ce n'est pas la première fois que le musée de Las Vegas offre une présentation provocatrice sur les OVNI.

A la fin Mars de cette année, l'Institut Smithsonian a ouvert ses portes à une exposition permanente appelée « Zone 51: mythe ou réalité », offrant un regard approfondi sur les documents historiques de l'installation la plus secrète militaire dans le pays.

Parmi les nombreux articles affichés sont des pièces présentées comme « des Artéfacts aliens authentiques » - des échantillons de petits objets provenant d'un crash d'OVNI en Russie.

Source : http://www.huffingtonpost.com/2012/09/01/ufo-secrets-revealed_n_1843040.html#slide=more27523

Traduit par Yves Herbo SFH 09-2012

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UFO-Science : Détection de la foudre – Réseau BLITZORTUNG

Par Le 03/09/2012

Détection de la foudre – Réseau BLITZORTUNG

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Depuis la fin du mois d’aout, UFO-Science fait partie du réseau privé de stations de détection de la foudre BLITZORTUNG.

Ces stations captent les signaux électromagnétiques émis par les orages, permettant le calcul de la position d’un impact de foudre. L’heure précise de ce dernier est enregistrée. La précision, inférieure à un kilomètre, est équivalente à celle des sociétés professionnelles de détection de la foudre.

Déterminer et anticiper la progression d’un orage a deux principaux avantages :
- Mettre à l’abri du matériel de prise de vue et des stations de détection optiques de type SADEPAN ou UFOCACH.
- Pouvoir à postériori considérer un phénomène orageux, ainsi que les phénomènes électromagnétiques associés, comme causes probables d’observation d’un PAN (boules de feu, impacts, hautes luminosités…).

Une page dédiée à cette nouvelle fonctionnalité sera bientôt disponible. Vous pourrez, à partir de celle-ci, localiser des points d’impact de la foudre autour d’une zone précise, permettant ainsi d’intégrer les effets électromagnétiques dans une enquête suite à l’observation d’un PAN (Phénomènes Aériens Non identifiés).

http://www.ufo-science.com/wpf/?p=4984

Relayé par Yves Herbo SFH 09-2012

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