Articles de yvesh

Un artéfact rejeté trop rapidement ?
Un artéfact rejeté trop rapidement ?
En 1998, l'ingénieur électricien John J. Williams, lors d'une randonnée, trouve une mystérieuse roche comportant ce qui ressemble à un morceau de métal encastré sur sa surface. En fait, cela ressemble assez à un composant électronique humain, mais il est complètement encastré dans la roche et seule sa surface est visible, avec 3 petites tiges, ou broches apparentes :
Des premières études préliminaires furent faites par des amis du découvreur et lui-même, notamment un géologue. L'artéfact a l'apparence d'un composant électronique intégré dans une roche naturelle, une pierre de granit très dure, composée de gros cristaux de quartz ou de cristaux de rhyolite, y compris de très faibles pourcentages de mica qui existait déjà au moment de la formation de la roche. Le géologue a dit que c'était probablement de la rhyolite d'un âge minimum de 55.000 ans. Un autre ingénieur a examiné le quartz et a dit que ce materiau était plus dur que du quartz, peut-être bien du diamant. La pierre n'est pas une accrétion, une concrétion, de la pierre ponce ou un fossile. Elle ne contient pas de résines connues, de ciments, de colles, d'adhésifs, de mortier, de calcaire ou d'autres agents de liaison autres que de la rhyolite ou du quartz. En outre, il ressemble à un connecteur XLR électronique ou un autre composant très semblable et ne révèle aucune trace d'avoir été collé ou soudé. En fait une étude géologique aurait établi un âge approximatif de 100.000 ans pour cet artéfact.
Il montre une faible attraction magnétique, et des relevés de compteur ohms ont révélé qu'il présente une résistance proche de celle d'un circuit ouvert.
Avec une marge d'erreur de 0.2 mm, la roche fait 61 mm de longueur, 38 mm de large (au plus large) et 22 mm d'épaisseur ( sans la broche/tiges/griffes). En utilisant une balance précise, le poids a été mesuré à 2.5 onces (70.87 grammes). Une fiche à trois broches est contenue par une matrice d'une origine complètement indéterminable. La pièce d'un diamètre de 0,3 pouces (7.62 mm) ne semble pas être fabriquée en bois, en plastique, en caoutchouc, en métal ou autre matériau reconnaissable.

Une pierre encastrée avec une fiche à trois broches est d'environ 100.000 ans. Crédits photo: John J. Williams
Williams a utilisé un puissant rayons X qui révèle que le composant de la matrice s'étend dans une structure opaque interne au sein de la pierre. Les Tiges intégrées à l'espèce de broches sont réalisées en une sorte de matériau conducteur de l'électricité (que je suppose être en métal) et ont un aspect d'acier. Le composant de la base ronde est un matériau du type céramique ou de roc blanchâtre, et n'est certainement pas en plastique, en caoutchouc, en bois ou matériau de type métallique (relativement rare dans la plupart des types de composants électriques modernes synthétiques, à base de céramique, les composants sont normalement limités en haute température, ont un rayonnement élevé, une haute tension, une puissance élevée, et / ou une très longue capacité d'utilisation). Le composant lui-même est d'environ 8 mm de diamètre , ses repères/tiges sont d'environ 3 mm de hauteur, l'espacement entre les repères est d'environ 2,5 mm, et l'épaisseur de tige est d'environ 1 mm (à nouveau, le tout avec 0,2 mm de marge d'erreur). L'arrondissement des extrémités des tiges indiquent une certaine usure à long terme, de sorte que les trois millimètres ne pourraient bien ne pas être leur longueur d'origine. Toutes les broches semblent être de la même taille (un grand-angle sur un appareil photo numérique déforme la taille relative des objets plus proches aux plus lointains).
Bien qu'il n'y ait aucune indication qu'il y ait eu un quatrième axe ou tout autre type de modulation, la base du composant est âprement ébréchée, là où un quatrième axe aurait pu être situé si jamais il y avait en avait eu un, et la marque sur le rocher lui-même conduit à la zone ébréchée, indiquant qu'à un certain moment, le rocher et sa composante ont reçu un coup fort. La zone écaillée est profonde et inclinée.
Les lectures de tension (quelle que soit la polarité de connexion) indiquent soit un circuit ouvert ou une impédance très élevée entre les broches (de type FET ou d'un type de tube technique (par exemple de type MOSFET technologie) ? Certains circuits inconnus organiques ou biologiques qui auraient pourri ? Brisé à l'intérieur des circuits ?. Il a été également injecté divers signaux électroniques à travers les broches sans qu'aucune réponse ou réaction n'ait été détectée. Certains ont émis l'hypothèse que le composant est un connecteur XLR. L'auteur a fait beaucoup de recherches de composants à ce sujet, et ce n'est pas une prise XLR ou tout autre connecteur que je connaisse. En dépit de la publicité mondiale importante sur le rocher depuis le printemps 2003, et une énorme quantité d'apports des partisans et des sceptiques de carrière, personne n'a été en mesure d'identifier le composant intégré ou l'assemblage de roche lui-même par une marque et par un modèle/pièce comme étant fabriqué par l'homme moderne !
Il n'y a aucune indication de ciment, colle ou d'adhésif que ce soit sur ou près de la composante à lumière visible, aux rayons X et aux examens à la lumière noire. Il y a une légère attraction magnétique (en utilisant un aimant 10-lb pull rare earth magnet), sur le composant, et au fond de la roche sous le composant. En utilisant une petite unité classique de géologue de type "blacklight Spec-Tec" (modèle HD-1, de Spectrum Technologies), "L" en réglage (ondes longues), il n'y a pas de changement perceptible de la couleur soit dans le composant de base ou dans les broches. Toutefois, en vertu d'un blacklight industriel à grande puissance, le composant de base semble être d'un rose vif avec un peu de phosphorescence et un étrange "onglet" rouge, non visible en lumière visible, apparaît sur le bord du composant. Ni le rocher, ni son composant n'apparaissent briller dans le noir, sous la lumière visible, n'émettent pas des sons, de la lumière ou des ondes radio, ou se fait sentir inhabituellement chaud ou froid, ou quelque chose qui bouge à l'intérieur de celui-ci. Ni le compteur Geiger (Victoreen modèle CDV-717), ni un compteur Geiger utilisé par un laboratoire professionnel de matériaux qui a testé le rocher n'ont détecté aucune radiation émanant du rocher.
Le rocher a été fortement érodé, probablement par de l'eau qui a coulé sur lui pendant 100 ou 1000 ans (la roche ne se trouvait nulle part près d'un lit actuel de rivière ou anciennement connu d'un lit de rivière à proximité, même si il pleut beaucoup dans la région). L'examen microscopique des broches du composant comme le montrent les images indique également une forte érosion des broches dans un sens (mais pas de corrosion), indiquant que le composant a également été exposé à un courant marin dans une position stable pendant une longue période de temps. La question est que si l'artéfact a été sur Terre pendant au moins 1000 années - peut-être même des millions d'années - pourquoi ne pas avoir ses broches totalement éliminées par la corrosion ou usées ?
Des gouttes fondues d'un matériau de type métallique à la périphérie du composant indiquent qu'un objet métallique à proximité de la pierre a été soumis à des températures élevées pour provoquer la fusion du métal et des éclaboussures de métal en fusion ou des pulvérisation cathodiques sur l'élément incorporé (crash d'OVNI ? site dune guerre spatiale alienne ? exposition volcanique ?). Il n'y a à priori aucune trace de cratère de météorite ou de volcaniqme dans la région. En outre, l'examen des nombreux bouchons synthétiques modernes au microscope électronique, y compris les prises XLR modernes, ne montre aucun signe de taches minuscules de métal sur leurs surfaces de base - qui sont des preuves plus convaincantes que l'élément incorporé ne peut pas être causées par l'homme moderne. Aussi, il est possible que les tempertures élevées qui ont produit ces taches métalliques, ont aussi fait fondre les broches métalliques du composant ? Il n'existe aucune preuve que les éclats de métal provenaient du composant lui-même. La théorie de l'auteur est que les broches métalliques sont dans un métal différent de celui des gouttes de métal - un métal avec une température de fusion plus élevée et résistant à l'usure et résistant à la corrosion. Peut-être un métal qui n'est pas encore connue de l'homme moderne ? Peut-être un composant très résistant, résistant à l'usure et résistant à la corrosion qui, si il était reproduit, pourrait révolutionner nos industries - un super-métal ou un super-alliage métallique ? Pourtant, aucun scientifique digne de confiance de tous les pays n'a montré le moindre intérêt pour ça ! a noter que des roches de types similaires à celle-ci ont été trouvées, par exemple, un étrange composant électrique de type connecteur est enterré dans le centre d'une géode en Californie...
Les questions restent posées : Pourquoi une fiche à trois broches a été intégré dans une roche ? Quel est le but qu'un tel objet aurait suivi ?
Le composant de la matrice s'étend dans une structure opaque interne à l'intérieur de la pierre, des traces de métal fondu, usure des tiges
Est-ce un objet d'origine extraterrestre ou peut-être un produit très avancé, témoignant des compétences technologiques d'une civilisation préhistorique perdue dans le temps ? Malheureusement, malgré la mise à disposition gratuitement de la pierre par le découvreur depuis 1998 pour toute analyse sérieuse par des scientifiques officiels, personne ne s'est manifesté au Nouveau-Mexique (où habite le découvreur) : l'artéfact a été automatiquement rejeté par la science sans aucun examen sérieux, personne ne voulant investir dans des analyses assez coûteuses (ça rappelle largement le manque de soutien scientifique constaté sur l'expédition sur les anomalies en Mer Baltique...). Williams est d'ailleurs lui-même retraité et assez fragile question santé, peut-être aussi assez désabusé par les a-prioris et pré-jugements humains quand quelque chose ne correspond pas à ses idées ou concepts de base hérités...
Lors d'une conférence des groupes sceptiques américains (23 au 26/10/2003), l'objet est évidemment vivement critiqué et soupçonné d'être une fraude et un canular. Willams est présent est tente d'approcher le Dr. Ken Frazier (Géologue et éditeur du "Skeptical Inquirer"), qui avait publié deux articles de ses auteurs attaquant l'artéfact de Williams. Il leur propose de justifier leurs propos en analysant honnêtement l'artéfact, mais les sceptiques (comme souvent !) refusent de prouver eux-mêmes leurs hypothèses ou contre-propositions. Aussi bien le CSICOP que le Skeptical Inquirer ne jugent pas utile d'analyser l'artéfact et le classent d'office comme "canular". Williams leur dit alors de faire appliquer la loi "psychic frauds and racketeers" du nouveau-Mexique et de porter officiellement plainte, la justice fera peut-être analyser la pièce... les sceptiques ne répondront jamais et banieront tout simplement tout contact avec le découvreur, sans bien sûr porter plainte ou autre...
Aux dernières nouvelles, l'objet est toujours disponible, peut être analysé par quiconque paie les frais entièrement (avec la seule exigence du maintient de la propriété de l'objet à la famille du découvreur et sa présence lors des analyses), et est aussi achetable pour la modique somme de... 500.000 dollars... (plutôt une plaisanterie - à moins qu'une autre vraie preuve surgisse un jour et fasse réhausser sa valeur éventuelle...).
John J. Williams, M.S.E.E., CEO Consumertronics, P.O. Box 23097, Albuquerque, NM 87192
http://www.consumertronics.net/petradox.htm, http://www.consumertronics.net/petradox2.htm
Extraits traduits par Yves Herbo SFH 08-2012

Une étrange lumière aperçue en Seine-Maritime
Une étrange lumière aperçue en Seine-Maritime
Un couple a aperçu dans la nuit une étrange lumière dans le ciel de Morville-sur-Andelle en Seine-Maritime (76), France entre le 7 et le 8 août 2012. Un objet non identifié qui sème le trouble dans leur esprit.
« Bonjour, je voudrais savoir si vous avez reçu des appels de personnes qui auraient vu une lumière bizarre dans le ciel, de la grosseur d’un gros pamplemousse ? Dites moi que je ne suis pas la seule… ». La voix angoissée, un témoin domicilié à Morville-sur-Andelle (canton d’Argueil) n’en revient toujours pas.
Une mystérieuse boule lumineuse dans le ciel
L’interlocutrice accepte de témoigner mais sous couvert d’anonymat. « Comprenez-moi. Nous habitons un petit village. Dites-moi qu’il s’agit de quelque chose d’explicable. C’était tellement particulier… ». Assise autour de sa table à manger, deux jours après avoir vu ce curieux phénomène, elle est toujours mal à l’aise. Le regard est un peu perdu et le geste mal assuré. « Je me suis réveillée vers 4 heures du matin. Je me suis levée pour aller voir mon bébé. Je me suis fait la réflexion que la lune éclairait beaucoup. Mais je n’ai pas fait plus attention que cela. C’est en revenant me coucher que la lumière m’a vraiment interpellé. Mais sans lunettes je ne vois pas bien… J’ai demandé à mon mari s’il voyait aussi cette lumière. Il m’a dit que oui », explique la mère de famille.
“Elle a changé de forme pour prendre celle d’une méduse”
« C’était vraiment étrange », poursuit le mari. Et de détailler : « La lumière était intense, presque blanche. Elle avait l’aspect d’une boule d’une grosseur d’un pamplemousse. Elle est restée stable assez longtemps et ensuite elle est montée. Sa couleur a changé. Elle est passée à l’orange avec des stries vertes et violettes ». Sa femme d’ajouter : « elle a changé de forme pour prendre celle d’une méduse et des lumières clignotantes sont apparues ».
Ne pouvant croire à ce qu’elle voyait, l’épouse s’empare de l’ordinateur portable et téléphone à l’aéroport de Boss où se trouve la station de Météo France.
« C’était occupé ou ça sonnait dans le vide ». Elle ira même jusqu’à chercher dans l’annuaire un spécialiste des étoiles. « Nous étions en pleine nuit. Je l’ai réveillé. Il n’a pas apprécié… Je crois qu’il ne m’a pas cru ». Pour prouver ce qu’elle dit, elle nous montre la liste des appels qu’elle a passée. Y figure également le 117. « Une dame m’a répondu de ne pas paniquer qu’il s’agissait d’un avion ». Quant au téléphone portable, la batterie était à plat. Impossible de prendre des photos.
“ Elle s’est arrêtée de bouger, a oscillé avant de s’éloigner et de disparaître ”
Mais le couple n’a pas été rassuré pour autant. Depuis, pour dormir, le couple ferme les volets. « Je ne suis pas du genre à croire aux objets non identifiés (OVNI). Je veux croire qu’il s’agissait d’un avion. Mais la lumière se déplaçait beaucoup trop lentement », note celui qui travaille en tant que chef de projet auprès du conservatoire naturel de Haute-Normandie. « J’ai cru à une météorite. Mais lorsqu’une étoile meurt, elle descend et ne monte pas dans le ciel. En plus, cette lumière s’est arrêtée de bouger, a oscillé un moment avant de s’éloigner et de disparaître. Ou alors s’agit–il d’un satellite ? Mais c’était vraiment étrange ». Et de ponctuer avec insistance. « Nous aimerions et surtout avoir une explication concrète. Parce que là nous nous interrogeons ». Ils ne regarderont plus jamais le ciel de la même manière.
Source = http://www.leclaireur-ladepeche.fr/2012/08/28/une-etrange-lumiere-apercu-dans-le-ciel-brayon/
SFH 08-2012

OVNIs sur l'Essonne ? Même si je ne crois pas aux extra-terrestres...
OVNIs sur l'Essonne ? Même si je ne crois pas aux extra-terrestres...
OVNI-France-04-01-2012-Autre cas.
Il était environ 23h le samedi 18 août 2012, lorsqu'un habitant de la petite commune de Janvry, dans l'Essonne en France, a vu passer des sphères lumineuses dans le ciel. Il y aurait eu, selon ce témoin, 5 ou 6 passages successifs. Depuis, cet homme, qui ne croit pas aux martiens, se pose beaucoup de questions. Virginie Pironon l'a rencontré :
Une photo prise par la mari avec son portable
Yves Herbo : La probabilité des lanternes ici est assez grande... 5 à 6 lancés de quelques lanternes est aisé pour un petit nombre d'habitués. cependant, je participe en ce moment (plus ou moins) à des préparatifs d'un mariage, et des organisateurs de mariage connus proposent effectivement ce genre d'évènements dans leurs panels. Je précise donc ici que ce genre d'évènement doit être OBLIGATOIREMENT déclaré à la gendarmerie ou à la mairie de l'endroit concerné (ce que font les organismes professionnels qui proposent ce genre d'évènement), sous peine d'une amende assez forte... j'attends donc du GEIPAN, dont c'est à priori le boulot (au lieu de citer des chiffres de 100000 lanternes vendues en France sans savoir où elles sont !) d'appeler les gendarmeries locales pour connaître les lancés de lanternes dans les différentes régions... affirmer qu'il s'agit de lanternes probables ne veut rien dire non plus sans preuve de lancer de lanternes... et ça permettrait d'avancer un peu s'il y a avait un suivi sérieux du GEIPAN sur les ventes de ces lanternes ^^... l'administration a un droit de regard, que je sache...
SFH 08-2012

Une météorite étrange avec du quasicristal naturel analysée
Une météorite étrange avec du quasicristal naturel analysée
Un échantillon de roche contenant quasicristaux découverts dans les montagnes Koryak en Russie. CREDIT: Paul Steinhardt, Princeton University
Un échantillon d'un cristal bizarre, autrefois considéré comme contre-nature est peut-être arrivé sur Terre il y a 15.000 ans, après avoir fait du stop sur une météorite, selon une nouvelle étude.
La recherche renforce la preuve que cet étrange "quasi-cristal" est d'origine extraterrestre.
Le modèle d'atomes dans un quasi-cristal est loin de l'arrangement parfaitement régulier dans les cristaux. Jusqu'en Janvier, tous les quasi-cristaux connus étaient artificiels. " Beaucoup ont pensé qu'il fallait qu'il en soit ainsi, parce qu'ils pensaient que les quasicristaux sont trop délicats, trop enclins à la cristallisation, pour se former naturellement " a dit le chercheur Paul Steinhardt de l'université de Princeton à LiveScience à l'époque.
Ensuite, les chercheurs ont annoncé la présence d'un quasi-cristal naturel dans une météorite trouvée dans les montagnes Koryak de la Russie. Cette météorite a été conservée dans un musée en Italie. ce mois-ci, lors d'une expédition sur le site où il avait été trouvé en Russie, Steinhardt et ses collègues ont trouvé plus de ces échantillons naturels de quasicristaux pour l'analyse.
Mystérieuse matière
Les Quasicristaux ont d'abord été synthétisés dans un laboratoire en 1982 en Israël par le chimiste Dan Shechtman, dont le travail a remporté le prix Nobel de chimie en 2011. Les Cristaux réguliers sont constitués de grappes de répétition régulière des atomes arrangés en symétries particulières. Les Quasicristaux sont ordonnés, aussi, mais ils ne vont pas exactement se répéter. Si les cristaux réguliers sont comme des tuiles de salle de bains ennuyeuses, les quasicristaux sont comme des mosaïques de tuiles complexes.
Steinhardt et ses collègues ont été longtemps à la chasse aux quasicristaux naturels. Ils en ont d'abord vu un en 2008, lorsque l'italien Luca Bindi, minéralogiste du Musée d'histoire naturelle de Florence, a repéré un petit grain quasicristal dans un échantillon de roche dans la collection du musée.
Les chercheurs ont rapporté ce qui a été trouvé dans la revue Science en 2009, puis sont remontés à la roche en Russie. Une analyse du fragment de la roche, publié en Janvier 2012 dans la revue Actes de l'Académie nationale des sciences, a conclu que la roche était une météorite qui a probablement été formée dans le système solaire primitif, il y a plus de 4,5 milliards d'années, avant que la Terre existe. Différentes caractéristiques du quasicristal suggèrent une origine météoritique, y compris les formes des grains et sa composition chimique de cuivre et d'aluminium métallique qui ressemblent à ceux trouvés dans les soi-disant chondrites carbonées. L'analyse des quasicristaux ont révélé qu'ils étaient entremêlés avec des silicates et des métaux cristallins, avec un grain quasicristallin enfermé dans un minéral de silice appelé stishovite.
"le Stishovite est du dioxyde de silicium, le même produit chimique qui donne le quartz et le sable, mais ici, il forme une structure différente qui se produit uniquement à des pressions élevées atteintes dans les collisions de météorites et les impacts », a écrit dans un courriel Steinhardt à LiveScience.
Le fait que l'aluminium métallique a été trouvé dans sa forme non oxydée est également surprenant, puisque ce métal a une forte affinité pour l'oxygène et n'auraient pas pu rester sous cette forme, ici sur Terre, a dit Steinhardt.
" Donc, nous avons appris que des conditions extraterrestres peuvent permettre une phase de la matière qui ne peuvent pas être possible sur Terre, ce qui soulève la question suivante : Quels autres matériaux ont été réalisés dans l'espace, qui ne font pas naturellement partie de la Terre, en particulier, y a-t-il d'autres quasicristaux ? " a dit Steinhardt.
La chasse aux quasicristaux
Maintenant, Steinhardt et Bindi disent dans les rapports périodiques sur les progrès de la physique, que les échantillons de quasicristal se trouvent dans un environnement qui n'aurait pas eu les extrêmes nécessaires pour les créer. Le rapport renforce les arguments que l'échantillon se rendit à terre sur une météorite.
Lors de leur expédition vers les montagnes Koryak, les chercheurs ont également déterminé que les échantillons sont venus sur Terre au cours de la dernière période glaciaire, il y a environ 15.000 ans.
« Le fait que l'expédition a trouvé plus de matière au même emplacement que nous avions passé des années à traquer est une confirmation extraordinaire de toute l'histoire, ce qui est important puisque la météorite est d'un grand intérêt en raison de son âge extraordinaire et son contenu, " a déclaré Steinhardt dans un communiqué.
Le prochain objectif, a dit Steinhardt, est de trouver le secret de la formation des quasicristaux naturels ».
" Qu'est-ce que la nature sait que nous n'avons pas? " a-t-il dit. " Comment s'est formé un quasicristal si parfaitement complexe à l'intérieur d'une météorite lorsque nous devons normalement travailler dur dans un laboratoire pour obtenir quelque chose d'aussi parfait ? Quelles sont les autres nouvelles phases que nous pouvons trouver dans cette météorite, et que peuvent-elles nous apprendre de la naissance du système solaire ? "
" Pour le moment, nous sommes à la pointe de l'iceberg, a ajouté Steinhardt, mais cette découverte suggère que les quasi-cristaux sont beaucoup plus fréquents dans l'univers que nous le pensions ".
Ci-dessus :
Sources : Stephanie Pappas, LiveScience Senior Writer - http://www.livescience.com/22255-quasicrystal-meteorite.html
http://digitaloctober.com/events/knowledge_stream_pol_steynhardt
More evidence for Russian quasicrystal meteorite
An unusual type of rock known as a quasicrystal was found deep in the Russian mountains in 2010—the first known naturally occurring quasicrystal. And the most likely origin of that rock was a meteorite from outer space. Now physicist Paul Steinhardt is back with new evidence that his theory about the origin of that Russian quasicrystal is correct, and that meteorite responsible for its transport likely hit Earth around 15,000 years ago, during the last glacial period. Those findings just appeared in the journal Reports on Progress in Physics, published by the Institute of Physics in England.
Yves Herbo : ceux qui s'intéressent à l'Histoire et à tout ce qui l'entoure, c'est-à-dire les mythes et légendes, ne peuvent s'empêcher (surtout avec les estimations de 15.000 ans) aux légendes des vaisseaux volants, des vimanas et des dieux célestes et de leurs combats aériens... et si ce quasicristal naturel, qui aurait voyagé sur une météorite, n'était pas si naturel que ça non plus ?...
SFH 08-2012

Vague de témoignages sur Douzy et Vrigne-aux-Bois, Champagne-Ardennes
Vague de témoignages sur Douzy et Vrigne-aux-Bois
Photo prise par Mr Lentz-19-8-2012-Vrigne-aux-Bois
Il suffit d’une seule personne qui ose parler pour qu’aussitôt, les langues se délient. Survol des nombreuses observations signalées hier à notre rédaction, avec une concentration remarquable sur les secteurs de Douzy et Vrigne-aux-Bois, dans la région Champagne-Ardennes.
Mercredi 22 août, Aÿ (Marne) : Alors qu’il se trouve sur son balcon, près de la MJC d’Aÿ, un adolescent de 14 ans voit « un truc s’illuminer dans le ciel ». « Il était 21 h 30. C’était une petite boule blanche qui ne bougeait pas, à droite de la ZUP d’Épernay (ndlr : direction ouest). Elle est restée pendant environ une minute. J’ai voulu prendre une photo mais à ce moment-là, la boule a dégagé une grande lumière et elle a disparu dès qu’il y a eu le flash de mon portable. »
Couché à l’horizon, le soleil éclairait encore en haute altitude. Le témoin a-t-il observé un reflet sur la carlingue d’un avion beaucoup trop éloigné pour qu’il en perçoive le déplacement ?
Dimanche 19 août, Vrigne-aux-Bois : La veille de la parution de l’article dans l’union-l’Ardennais d’hier, un Vrignois de 59 ans, Francis Lentz, a tenu à raconter au correspondant de notre journal ce qu’il avait vu dimanche à 22 h 25. Alors qu’il se trouvait en famille sur sa terrasse, il a constaté la présence d’un « engin genre fusée avec une traînée blanche et rouge se déplaçant sans bruit, assez vite ». « Tout à coup, plus de lumière et l’engin est reparti en arrière », phénomène qui s’est répété « deux fois en quelques secondes ». Ovni ? Satellite ? Fusée ? Il laisse le soin aux spécialistes de répondre.
Dimanche 19 août, toujours Vrigne-aux-Bois : « Je me trouvais chez des amis, rue de Verdun, quand nous avons vu une boule lumineuse dans le ciel, vers 22 h 30-23 heures », témoigne M.B, sans lien avec M. Lentz. « Elle était de couleur rouge, rosé. On aurait dit une boule de feu. Ça venait de Belgique, au Nord-Est, et ça se dirigeait vers le sud-ouest en se déplaçant à une vitesse un peu supérieure à celle d’un avion. Elle a disparu mais on l’a vue réapparaître de l’autre côté, de là où elle venait. Nous étions en train de repartir à pied. Elle s’est retrouvée cachée par les maisons et on l’a perdue de vue. »
La description du phénomène correspond à des « lanternes thaïlandaises », ces lampions célestes munis d’un récipient, rempli d’une substance inflammable, accroché à l’intérieur d’une enveloppe de papier ignifugé, fréquemment lâchés lors de fêtes publiques ou privées (mariages, baptêmes, anniversaires…). A Vrigne-aux-Bois, la « boule de feu » revenue au point de départ serait en fait une seconde lanterne, et non la première disparue après l’extinction de la flamme.
Les lanternes se déplacent dans le sens du vent. A l’heure de l’observation, il soufflait pourtant dans la direction opposée, très légèrement, mais des courants contraires en altitude ne sont pas à exclure.
Samedi 18 août, Douzy : Lors d’une promenade dans le village, « vers 21 h 15-21 h 30 », trois personnes observent « un point bleu haut comme une étoile, sans clignotement et sans bruit ». « Ça venait de l’Est, Sud-Est peut-être, ça avançait tranquillement puis ça s’est arrêté durant quelques minutes et c’est reparti d’où c’est venu. C’est comme si l’objet repartait à reculons. »
Mercredi 15 août, Douzy : De bonne heure, vers 5 h 45, une retraitée de 79 ans domiciliée rue des Vanniers est intriguée par une forte lumière dans le ciel. « J’ai ouvert ma fenêtre et j’ai vu deux barres lumineuses qui se tenaient presque droites, l’une positionnée plus haute que l’autre. Ce n’était pas un même objet car elles étaient trop éloignées. Elles étaient d’une couleur jaune vif, très lumineuses. Ça ne bougeait pas. Elles m’ont paru grandes : 4 à 5 cm de large, 25 à 30 cm de haut. Je suis restée cinq minutes à les regarder. J’ai pensé à faire une photo mais il y a plusieurs années, du temps où mon mari était encore là, on avait vu une étrange lueur sur la cime de notre sapin. Ça éclairait fort. J’avais pris des photos mais au développement, il n’y avait rien sur la pellicule. Même avec un numérique, j’ai pensé que ça allait faire la même chose alors j’ai renoncé à chercher mon appareil. Comme rien ne bougeait, je suis allée me recoucher. Ça fait 44 ans que j’habite ici. Je suis souvent debout à cette heure-là. C’est la première fois que je vois ce truc dans le ciel. » F.C.
Source:
http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/vague-de-temoignages-sur-douzy-et-vrigne-aux-bois?xtcr=1&xtmc=ovni
SFH 08-2012

Réchauffement climatique : les canicules seront la norme en été
Réchauffement climatique : les canicules seront la norme en été
Pour la plupart des météorologues et des climatologues la canicule qui vient de frapper la France ne constitue pas une preuve du réchauffement climatique, mais la multiplication et la sévérité de ces vagues de chaleur sont un signe clair de l'évolution du climat sur la planète.
En effte, si l'on prend l'événement en lui-même, il n'est pas possible de l'attribuer à 100 % au réchauffement climatique puisque de très forts phénomènes de chaleur ont eu lieu dans le passé, alors que le réchauffement n'avait pas commencé. Ainsi, il a fait 38,5 degrés le 18 août à Châteauroux (Indre), mais il y avait fait 40 degrés en 1898.
La canicule ne démontre pas la réalité du réchauffement climatique : il est préférable de regarder les températures moyennes annuelles à l'échelle globale, plutôt que les températures extrêmes. Néanmoins, il est vrai qu'à moyen ou long terme l'augmentation de la fréquence des canicules sera d'après les modèles du Giec une des manifestations les plus visibles du réchauffement climatique. Déjà, statistiquement, au cours des 50 dernières années, on a pu observer qu'à mesure du réchauffement les canicules deviennent de plus en plus fréquentes.
Canicule 2003
Autre phénomène notable : les températures extrêmes des épisodes de canicule sont poussées vers le haut. Ainsi, là où on avait 38 degrés il y a 10 ou 15 ans, on en a aujourd'hui 39 ou 40. Cela accompagne le réchauffement climatique, ce sont des types de chaleurs qu'on ne connaissait pas avant.
Pour le prévisionniste de Météo-France, ces phénomènes vont aussi "s'étendre plus longtemps", avec de fortes chaleurs possibles tôt dans la saison estivale ou assez tard dans l'été. À Moscou, le thermomètre a grimpé jusqu'à 29 degrés au mois d'avril, un record absolu. Et la canicule qui touche une partie de l'Europe de l'Ouest est la plus importante jamais intervenue après le 15 août.
Canicule 2012
On note à tout le moins que si le réchauffement climatique provoque une augmentation des températures durant toutes les saisons, élargissant ainsi l'été climatique. Globalement, tout l'hémisphère nord aura connu un été très chaud cette année : canicule et sécheresse en Amérique du Nord, canicule en Europe orientale, fonte "très étendue" en surface de la calotte du Groenland... Pour la banquise arctique, on est sur un retrait pas loin des valeurs record. Cela montre que ce qu'on a connu n'est pas un fait isolé et tend à signifier qu'on va vers des étés où les continents se réchauffent.
Selon la NOAA américaine (National Oceanic and Atmospheric Administration), les surfaces de la planète - terre et mer - ont connu cette année leur quatrième plus chaude température moyenne en juillet (0,62 degré au-dessus de la moyenne du XXe siècle de 15,8) depuis qu'elles ont commencé à être enregistrées, en 1880. Mieux encore, dans l'hémisphère nord, la température sur les terres a battu le record absolu pour un mois de juillet, à 1,19 degré au-dessus de la moyenne.
Source : http://www.catnat.net/veille-catastrophes/changements-climatiques/14556
Relayé par SFH 08-2012