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Climat : Réactions aux prévisions alarmistes pour 2100 - Groenland bientôt vert ?
Climat : Réactions aux prévisions alarmistes pour 2100 - Groenland bientôt vert ?
Après l'incrédulité, la panique. Les prévisions alarmistes d'une équipe internationale de chercheurs publiées en juin dans la revue « Nature » commencent maintenant à enflammer la Toile : « La fin du monde est pour 2100 », relaient nombre de blogs, sites et forums. Sous l'intitulé « Approaching a state-shift in Earth's biosphere » (un état de décalage dans la biosphère terrestre), l'étude cosignée par une vingtaine de chercheurs appartenant à une quinzaine d'institutions scientifiques internationales n'est, il est vrai, pas optimiste. Elle pointe « l'imminence d'un effondrement irréversible des écosystèmes terrestres ».
Pour poser leur diagnostic, les auteurs ont analysé les travaux décrivant les bouleversements biologiques intervenus lors de sept grandes crises planétaires : l'explosion cambrienne, il y a 540 millions d'années, les cinq extinctions massives qui ont anéanti pour certaines jusqu'à 90 % de la vie sur terre et le passage de la dernière période glaciaire à notre époque, il y a 12.000 ans. « Toutes ces transitions ont coïncidé avec des contraintes qui ont modifié l'atmosphère, l'océan et le climat à l'échelle mondiale », résument les auteurs.
Le même phénomène se produit actuellement : selon les chercheurs, presque la moitié des climats rencontrés aujourd'hui sur la Terre pourraient avoir bientôt disparu, laissant place à des conditions qui n'ont jamais été rencontrées par les organismes vivants sur 12 % à 39 % de la surface du globe. Surtout, cette transition radicale pourrait se faire avec une brutalité jamais vue. « Le dernier bouleversement planétaire a fait apparaître des changements biologiques extrêmes en seulement mille ans, souligne un des coauteurs de l'étude, Arne Moers, professeur en biodiversité à la Simon Fraser University de Vancouver. A l'échelle géologique, c'est comme passer du stade de la tendre enfance à l'âge adulte en moins d'une année. Or ce qui se produit aujourd'hui va encore plus vite. »
Pis : l'inertie pourrait très rapidement emballer le système. « La planète n'a pas de mémoire de son état précédent, soulignent les auteurs. Nous prenons un énorme risque à modifier le bilan radiatif de la Terre : faire basculer brutalement le système climatique vers un nouvel état d'équilibre auquel les écosystèmes et nos sociétés seront incapables de s'adapter. »
Les émissions massives de gaz à effet de serre ne sont pas les seules responsables. Les pressions exercées par l'espèce humaine vont de la « fragmentation des habitats naturels » à « la croissance démographique » et « la consommation à outrance des ressources », listent les chercheurs. Déjà 43 % des écosystèmes terrestres sont utilisés pour subvenir aux besoins de 7 milliards d'habitants sur la Terre. Le seuil qui peut saturer les capacités d'endurance et d'adaptation de l'espèce humaine, voire la précipiter dans le vide est proche : « 7 % de plus et nous aurons atteint un point de non-retour », pensent les scientifiques.
Les travaux de la plate-forme intergouvernementale sur la biodiversité et les services éco-systémiques (Ipbes), le « GIEC de la biodiversité » qui devrait tenir sa première réunion en 2013, ne les contrediront pas. Ils constatent déjà qu'une espèce disparaît de la planète toutes les vingt minutes, et que le rythme s'accélère. Ces deux cents dernières années, depuis le début de l'ère industrielle, il a déjà été, selon les espèces, de 10 à 100 fois au rythme naturel d'extinction constaté par les scientifiques sur une période de 500 millions d'années (en gros, une espèce sur un million chaque année). Il pourrait être bientôt 10.000 fois supérieur. Considéré à l'échelle géologique, c'est une disparition quasi instantanée.
La dernière femelle baiji, morte. http://ameliadolphinprotection.centerblog.net/50--le-baiji-le-dernier-dauphin?ii=1
Nos enfants pourront-ils échapper à cette « supernova écologique » ? Depuis l'appel poignant de la jeune Severn Cullis-Suzuki, qui enjoignait aux adultes de « cesser de casser ce qu'ils ne savent pas réparer » il y a vingt ans lors du premier sommet de la Terre à Rio, l'« écodiplomatie » marque certes quelques discrètes avancées. Mais le rythme lent de sa musique s'accommodera-t-il du tempo prestissimo de l'effondrement biologique ? Saura-t-elle aussi sortir de la zone d'influence gravitationnelle des lobbys qui dispersent son efficacité ?
Pas moins de 500 conventions internationales et multilatérales sur l'environnement sont nées des petites et grand-messes politiques de la biodiversité, du climat et des sciences de la vie : sur les zones humides (Ramsar, 1971), la conservation de la vie sauvage, le commerce des espèces de faune et de flore menacées d'extinction (Cites, 1973), la protection du patrimoine mondial (Unesco, 1972), la conservation de la vie sauvage et du milieu naturel en Europe (Berne, 1979), les espèces migratrices, les cétacés, les couloirs écologiques, les zones d'exclusion de chasse, la diversité biologique, la lutte contre la désertification, les bois tropicaux... Mais faute d'une organisation mondiale pour les chapeauter, leur efficacité se dilue.
Alors que faire ? Les scientifiques, qui ne s'embarrassent généralement pas de politique, suggèrent des réponses tranchées pour sauver ce qui peut l'être, comme associer les paradoxes « décroissance » (aligner les niveaux de vie planétaires sur des modes de consommation plus raisonnés des ressources) et « innovation » (développer de nouvelles technologies permettant de produire et de distribuer de nouvelles richesses alimentaires et énergétiques sans consommer davantage de territoires).
Un courant plus radical suggère de forcer l'humilité de l'espèce humaine. Les signataires de l'article anxiogène de « Nature », qui se disent non pas inquiets mais « terrifiés à la vue de leurs propres résultats », estiment que l'homme n'a désormais plus d'autre choix que d'opérer une vraie révolution dans son style de vie : il doit réduire sa pression démographique, repenser ses structures sociales et concentrer ses populations dans les zones déjà denses pour donner à la Terre les moyens de retrouver ses équilibres naturels.
par Paul Molga, correspondant des « Echos » à Marseille. http://www.lesechos.fr/opinions/analyses/0202171668454-la-fin-du-monde-en-2100-347602.php
La calotte glaciaire du Groenland montre une fonte record
Selon la NASA, la surface gelée du Groenland a fondu comme jamais en juillet. C’est la première fois qu’une telle réduction de la calotte glaciaire est observée en plus de trente ans d'observations par satellite.
Selon les données collectées par trois satellites de la NASA et des scientifiques universitaires, environ 97% de la surface de la calotte glaciaire du Groenland avait dégelé à la mi-juillet, a indiqué l'Agence dans un communiqué. Un chiffre tellement préoccupant que les chercheurs ont eu du mal à y croire. " C'est tellement sans précédent que je me suis d'abord interrogé sur le résultat : était-ce bien réel ou était-ce dû à une erreur de données ? ", a ainsi indiqué Son Nghiem, de la NASA.
Cet expert précise avoir une première fois remarqué la disparition de la majorité de la glace de la surface du Groenland au 12 juillet en analysant les données d'un premier satellite. Ce sont ensuite les résultats des deux autres satellites qui ont confirmé la découverte. Plus exactement, les cartes satellitaires montrent que la surface de la calotte glaciaire avait fondu à 40% au 8 juillet et à 97% quatre jours plus tard. Plus inquiétant encore, ces résultats n’ont été connus que quelques jours après qu'un immense bloc de glace de deux fois la superficie de Paris s'est détaché d'un glacier du Groenland. " Cet événement, combiné à d'autres phénomènes naturels mais rares, comme le monumental décrochage la semaine dernière sur le Glacier Petermann, font partie d'un ensemble complexe", a ajouté Tom Wagner, responsable de la NASA.
Un gigantesque iceberg s'est détaché d’un glacier au Groenland par Maxisciences : Un iceberg faisant deux fois la taille de Manhattan s’est détaché du glacier Petermann, au Groenland le 17-7-2012. Selon les scientifiques, cela pourrait accélérer l’avancée de la glace dans les eaux de la région.
C’est en comparant avec le fonctionnement habituel de la fonte des glaces au Groenland qu’on prend conscience de l’ampleur du désastre. En principe, au cours de l'été, la moitié de la surface glaciaire fond naturellement. Généralement, la plupart de l'eau issue de cette fonte regèle rapidement en altitude ou alors est retenue par les glaces des régions côtières. Le reste s'écoule dans l'océan. "Mais cette année, l'ampleur de la fonte à la surface ou près de la surface a connu une hausse brutale", indique la NASA. Or, selon l’Agence, même le point le plus haut de la calotte glaciaire, situé à plus de trois kilomètres au-dessus du niveau de la mer, montrait des signes de dégel.
Les chercheurs doivent maintenant déterminer si cet événement, qui coïncide avec une forte pression inhabituelle d'air chaud au dessus du Groenland, va contribuer à une hausse du niveau des océans. Toutefois, la glaciologue Lora Koenig a expliqué que ce type de fonte intervient tous les 150 ans en moyenne. " La dernière ayant eu lieu en 1889, cet événement est bien au rendez-vous ", a-t-elle confirmé avant d'ajouter : "mais si nous continuons à observer ce type de fonte au cours des prochaines années, ce sera angoissant ".
Rappel 2009 : " La calotte glaciaire du Groenland a réagi plus rapidement au réchauffement climatique au cours des 10.000 dernières années qu'on ne le pensait jusque là, selon une étude publiée mercredi dans la revue scientifique britannique Nature. Les résultats suggèrent que des hausses de températures correspondant à un scénario moyen de réchauffement au cours de ce siècle pourraient entraîner une fonte des glaces du Groenland à un rythme alarmant.
" Il est tout à fait possible qu'une future hausse de température de quelques degrés Celsius au Groenland entraîne une perte de la masse de la calotte glaciaire et une contribution plus importante que prévu à l'élévation du niveau de la mer ", conclut l'étude. Il est important de se préoccuper du destin des blocs de glace du Groenland, préviennent les scientifiques, parce qu'il contient assez d'eau pour faire grimper d'environ sept mètres le niveau de la mer. Même une augmentation plus modeste mettrait sous les eaux d'importantes villes côtières et obligerait des centaines de millions de personnes à migrer. Jusqu'à récemment, les experts estimaient que les deux calottes glaciaires de la planète - au Groënland et en Antarctique - resteraient globalement stables au cours des siècles à venir malgré le changement climatique. Mais des études plus récentes ont montré que le rythme auquel les blocs de glace se détachent s'est accru rapidement au cours des dernières décennies. La nouvelle étude utilise une technique de mesures des changements de la calotte glaciaire au cours des derniers 10.000 ans qui permet de résoudre un paradoxe. Pour des raisons restées inexpliquées, les mesures antérieures laissaient entendre que le Groenland avait défié pendant trois millénaires ayant débuté voici 9.000 ans la tendance générale au réchauffement dans l'hémisphère nord.
Le réchauffement du Groënland durant cette période semblait varier d'un endroit à l'autre, sans tendance claire, selon ces études. Les nouvelles recherches, conduites par Bo Vinther, de l'université de Copenhague, expliquent qu'il s'agissait d'un problème de mesures, et que la calotte glaciaire a répondu plus uniformément - et plus vigoureusement- à l'élévation des températures.
Vinther et ses collègues ont examiné des carottes de glace prélevées à quatre endroits différents de la calotte glaciaire, qui atteint des profondeurs allant jusqu'à plus de trois kilomètres. Les résultats se sont avérés hétérogènes comme dans les précédentes études.
Mais deux nouvelles carottes prélevées juste à côté de la calotte glaciaire ont permis de comprendre que les variations inégales, qui semblaient ne donner aucune tendance précise, étaient en fait dues à des changements de l'altitude à laquelle la glace s'est formée. "
SFH 07-2012
Pour quand le casque télépathique de l'armée américaine ?
Pour quand le casque télépathique de l'armée américaine ?
Après l’invisibilité et les armures liquides, les militaires s’intéressent à la télépathie. Il y a quatre ans, l’armée américaine lançait un premier projet pour développer un casque permettant de communiquer par la pensée. Un moyen de donner des ordres aux hommes et aux machines, sans émettre le moindre bruit.
En 2008, l’armée américaine décidait d’investir dans un projet futuriste. Un contrat de 4 millions de dollars, signé pour cinq ans, pour développer des « casques de pensée ». Étendu depuis à 6,3 millions, ce dossier vise à mettre en place une forme de télépathie : les hommes devraient, à terme, pouvoir communiquer par simple pensée. Sans bouger la bouche et en se concentrant, un chef de groupe pourrait ainsi transmettre sans le moindre bruit un ordre ou une information à son groupe de combat.
L’année dernière, de premiers résultats étaient obtenus. Les professeurs Gerwin Schalk et Eric Leuthardt ont pu obtenir la transmission de mots simples. Les cobayes, volontaires, ont pu se concentrer mentalement sur des termes simples comme « botte » ou « chauve-souris » (« boot » et « bat » en anglais). Des ordinateurs, connectés à des diodes posées sur leurs cranes, ont pu identifier les marques neuronales laissées par ces mots dans leurs cerveaux. Les terminaux ont dès lors pu les retranscrire par écrit et par oral. Sur des syllabes simples comme « aah » ou « ooh », la machine reconnaît les sons dans 100% des cas.
Cette technique, baptisée « électroencéphalographie », continue pour l’instant de séduire les militaires qui ont consenti à quelques petites rallonges budgétaires. Avec un objectif de 10 à 20 ans, ils espèrent que des casques puissent identifier ces empreintes neuronales et les transmettre à d’autres personnels. L’émetteur, en se concentrant sur une phrase simple, pourrait ainsi la communiquer sans un bruit. Ce qui tombe plutôt bien car il s’agirait là de faire circuler des ordres brefs et simples : « go », « stop », « roger » (« reçu ») ou encore « TIC » (« troop in contact » – « troupes engagées »).
Ce projet pourrait aussi concerner des applications matérielles. Les personnels pourraient donner des consignes à des équipements, des véhicules ou des drones. Des technologies déjà évoquées par des oeuvres de science-fiction pourrait dès lors voir le jour : activation individuelle d’une arme, communication mentale homme-machine ou encore renseignement humain en toute discrétion grâce à l’envoi d’informations par la pensée.
Photo : DR
PAR ROMAIN MIELCAREK
SFH 07-2012
OVNIs : Juillet suite 1
OVNIs : Juillet 2012 suite 1
Photographié à l'aéroport de Nice, France le 13-7-2012 ? (http://vandenberghe.fr/ufo/)
Les témoignages vidéos de ce mois n'ont pas diminués, au contraire... une grosse quantité de films sont ajoutés chaque jour dans le monde entier et le tri n'est pas toujours aisé à faire ! En voici néanmoins un échantillon très représentatif je pense. Le mois n'étant pas fini, il y aura encore des vidéos à analyser...
Commençons par le Texas et les USA avec cette étonnante vidéo prise d'un véhicule le 10 juillet 2012. Certains penseront sûrement à des reflets dans le pare-brise du véhicule, mais le comportement du deuxième ovni, qui semble attendre le premier, avant de clignoter puis de le suivre rapidement a déjà été vu dans d'autres observations :
Continuons pas le Chili qui, le 11 juillet 2012, a été témoin (surtout la région de Tarapa) d'un très curieux météore (c'est l'explication avancée par les astronomes), non seulement par sa trajectoire (il a été vu et photographié descendant sous différents angles !), et sa grande lenteur dans le ciel (visible 30 minutes !) laissent beaucoup de monde sceptique sur l'explication au Chili... Je ne comprends pas suffisemment bien l'espagnol-chilien "à la volée" mais il me semble qu'un journaliste a décelé une fausse photo dans celles montrées (elle daterait de 2010 et montre un météorite "classique")... la météorite ne serait pas tombée à priori mais aurait disparu à l'horizon... (si j'ai mal compris, merci de me faire corriger !). Voici deux extraits de journeaux télévisés différents sur le sujet, la deuxième montrant plus précisément l'objet apparu (assez étrange même pour une météorite) :
Un témoignage écrit d'un français qui a gardé son secret pendant 30 ans, qui mérite d'être lu. J'en profite pour dire ici que j'ai eu à peu près la même expérience que cette personne, un peu plus jeune encore. C'est d'ailleurs le thème de la 1ère newsletter que je suis en train de tenter d'écrire (le temps passe trop vite !) en ce moment... :
Une nouvelle vidéo récupérée par le groupe Thirdphaseofmoon et tournée aux Etats-Unis, vidéo étonnante avec des témoins différents (sauf acteurs + trucages évidemment), mise en ligne le 11 juillet 2012 :
A Salt Lake City, USA le 13 juillet 2012, ce qui ressemble a un grand ballon solaire au début passe dans un sens, puis revient avant de partir à la verticale :
Difficile à dire pour cette vidéo très rapide tournée le 13 juillet 2012 à 19h35, probablement aux USA : le témoin dit que c'était + rapide que 2000 km/heure :
Une grosse activité d'objets nocturnes le 15 juillet 2012 en Californie, USA :
Un autre objet en forme de toupie filmé le 14 juillet 2012, il ressemble à d'autres objets similaires, avec un colori fluorescent et une structure bien visible... un autre objet, plus conventionel peut-être car on voit un clignotement rouge, semble le suivre :
Au Pérou, le 16 juillet 2012, des boules lumineuses se promènent sur les montagnes... :
En Floride, USA, un hélicoptère semble poursuivre deux boules rougeâtres le 19 juillet 2012 :
Cet autre objet en forme de cigare a été filmé à Patrocinio, Minas Gerais au Brésil le 19 juillet 2012. Le comportement général est tout de même plus proche d'un ballon solaire dérivant au grès du vent... :
Vers Port-Holes au Mexique le 19 juillet 2012, un étrange objet très lumineux (et un peu bruyant) :
Vers Michoacan au Mexique le 20 juillet 2012, le même type d'objet en forme de cigare à priori :
A Chihuahua au Mexique le 22 juillet 2012 :
A Thibodaux, Louisiane le 23 juillet 2012 :
SFH 07-2012
Nouveau Cercle Ufologique à Villeneuve Loubet, Alpes Maritimes
Nouveau Cercle Ufologique à Villeneuve Loubet, Alpes Maritimes
Un nouveau Cercle Ufologique s'ouvre dans les Alpes Maritimes, à Villeneuve Loubet.
Ce Cercle Ufologique sera organisé par John Tomlinson et il se veut actif, par du travail sur le terrain, des interviews de personnalités régionales, soirées d'observation du ciel, analyses et suivie des observations nouvelles dans la région etc... Les réunions se se ferons au domicile ou dans un petit café, à décider.
Pour faire partie du Cercle Ufologique de Villeneuve Loubet, il faut au préalable s'inscrire en contactant John Tomlinson par émail : jtomlinson9@hotmail.com .
Ce Cercle souhaite être actif, ce n'est donc pas un lieu de formation et il est souhaitable de connaître les bases essentielles du dossier ovni
Une première activité de ce cercle sera organisée par une soirée d'observation du ciel, au Col De Vence, puisque le Cercle à la chance d'avoir à proximité ce lieu bien connu des Ufologues.
Si vous aussi vous avez des idées à propos du dossier Ovni, si vous aussi vous souhaitez bouger et actif dans le domaine, si vous habitez la région, contactez ce nouveau Cercle Ufologique.
par Gerard Lebat © GL20004
Relayé par SFH 07-2012
Des nouvelles du Cercle Ufologique De Mont Tremblant au Québec
DES NOUVELLES DU CERCLE UFOLOGIQUE DE MONT TREMBLANT AU QUÉBEC
C'est quoi le Cercle Ufologique : simple une adresse, la votre, ou au domicile ou au café du coin, vous réunissez quelques amis que vous sélectionnez parmi les personnes qui vous contactent pour parler ovni, voir entreprendre grâce au concours de l'équipe ainsi réunie des actions les plus diverses ( enquêtes, fabrication de détecteurs, mise ne place station de surveillance etc....)
Ça marche et c'est simple, vous vous organisez comme bon vous semble et même dans une régions faiblement peuplée, vous pouvez faire fonctionner un Cercle Ufologique.
A Mont Tremblant, au Nord de Montréal au Québec, le Cercle Ufologique placé sous la direction de Marc de St Germain s'est déjà réuni le 16 juin et le 21 juillet 2012. Marc couple ce Cercle avec l'Association Québécoise d'Ufologie (l'AQU dirigée par Gilles Millot de Montréal) et le Cercle d'Études Ésotériques " Les mystères d'Éleusis". C'est une excellente idée, il augmente ainsi la chance d'avoir des contacts dans sa région à faible densité de population. Le Cercle est aussi une organisation locale totalement libre, ce qui laisse un choix énorme d'ouverture et de collaboration inter association.
En fait, lors de ces réunions du Cercle, il s'agissait de micro souper Ufologique pour ce qui est du nombre de personnes, mais la qualité était au rendez-vous. C'est bien là le principal, il ne s'agit absolument pas de faire du " nombre", mais un petit comité d'amis qui oeuvres tous activement dans la même direction. Ceci s'est traduit par des échanges dynamiques et constructifs autour du thème du "crash de Roswell". Une théorie à l'effet qu'il puisse s'agir d'un événement planifié par l'Armée de l'Air des USA a été abordée mais le manque de preuves factuelles quant à cette possibilité suggère une certaine prudence quant à cette conclusion. Nous avons été en mesure, avec le matériel de vidéo projection en place, de montrer à l'équipe qui se construit, quelques documents intéressants sur Roswell et bien d'autres thèmes.
Il est évident que selon moi, faire des évènements du genre sur une base régulière à l'intérieur d'un réseau si étendu que peut l'être "Les cercles Ufologiques" apporte la dimension de faire partie d'une grande famille dont les membres partagent les mêmes passions. Je crois que les Cercles et les Soupers ne sont que le début de quelque chose de plus grand... Enfin une structure ufologique francophone sérieuse qui rassemble cette communauté hétéroclite malgré les divergences d'opinion ! L'Union fait la force et je crois que Les Cercles Ufologiques sont en train de donner une force et un sérieux qui manquaient à l'ufologie francophone (et hispanophone).
© Gerard Lebat-20002 - 23 07 2012
Relayé par SFH 07-2012
L'ufologie fait étape au cinéma le 11 août 2012
L'ufologie fait étape au cinéma le 11 août 2012
De la « soucoupe volante », appellation archaïque des années quarante, jusqu'au terme actuel de « pan » pour phénomène aérien non-identifié - qui remplace le terme imprécis d'ovni - l'étude des phénomènes associés aux « ovnis » (ufologie) n'en finit pas de susciter de l'intérêt auprès des scientifiques et d'un public de plus en plus nombreux. Dans le commerce, les publications se rapportant à ces thèmes sont légion.
Passionné par ces questions et par les travaux de l'ufologue, analyse, spécialiste de géopolitique Bill Ryan, Alain Lepage, un retraité farnois, a pris contact avec lui pour le faire témoigner.
Le 11 août 2012, au cinéma l'Ermitage de Saint Gobain dans l'Aisne, les passionnés de surnaturel ont rendez-vous avec l'universitaire.
« Il va raconter l'histoire de son nouveau projet réalisé avec adjointe, Kerry Cassidy : le projet Camelot », explique Alain Lepage.
« On manque de spiritualité »
Il s'agit notamment de permettre aux chercheurs, militants et lanceurs d'alertes d'avoir un accès libre par différents médias autour de plusieurs domaines. Le projet s'intéresse aux visites et contacts extraterrestres, le voyage dans le temps, le contrôle mental, les technologies secrètes de pointe, l'énergie libre, les prochains changements possibles concernant la Terre et la révélation de projets existants pour contrôler l'espèce humaine.
Dans la foulée, le conférencier présentera ses analyses sur l'avenir du monde d'ici à 2013, mais aussi sur l'économie mondiale.
Autant d'analyses qui doivent « réconcilier les gens avec la spiritualité, au-delà des partis, des convictions religieuses, des races, des intérêts » espère M. Lepage. « On manque de spiritualité. Nous sommes devenus des matérialistes qui poussent des caddies dans les supermarchés », dénonce l'organisateur.
Séminaire de Bill Ryan, le samedi 11 août, au cinéma l'Ermitage de Saint Gobain, Aisne de 10 h 30 à 17 h 30. Entrée gratuite, à partir de 9 h 30.
Source http://www.aisnenouvelle.fr/article/autre-actu/lufologie-fait-etape-au-cinema
Via http://messagesdelanature.ek.la/objets-non-identifies-p181380 - Relayé par SFH 23-7-2012