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Sciences : Recherches et découvertes récentes
Sciences : Recherches et découvertes récentes
Ce week-end, le monde gagnera une seconde
Dans la nuit de samedi 30-06 à dimanche 01-07-2012, les horloges du monde devront ajouter une "seconde intercalaire". Une diminution de la vitesse de rotation de la Terre est à l'origine de l'événement.
Il n'y a pas de petits profits pour les dormeurs : ce week-end, ils pourront prolonger leur nuit… d'une seconde. Dans la nuit de samedi 30 juin à dimanche 1er juillet, au temps universel de 23h59min59s, il faudra patienter une seconde supplémentaire avant de passer au 00h00min00s. La dernière minute aura alors duré 61 secondes. Le monde entier devra se caler sur cette "anomalie". En France, cet événement interviendra à 2h du matin. Les horloges afficheront 1h59min59s, puis 1h59min60s avant que le cadran n'affiche 2h précises.
On doit cette seconde supplémentaire au vieillissement de notre planète. A mesure que notre Terre prend de l'âge, sa rotation ralentit : "les modèles montrent qu'il y a 300 ou 400 millions d'années, le jour ne durait pas 24 heures comme aujourd'hui, mais seulement 22 heures. La Terre tournait plus vite", explique Daniel Gambis, directeur de l'IERS (International Earth Rotation Service), un organisme hébergé à l'Observatoire de Paris. Ce ralentissement perdure aujourd'hui : les marées provoquées par la Lune et le soleil dissipent son énergie de rotation. A plus court terme, d'imperceptibles variations apparaissent "au gré des mouvements atmosphériques, des variations saisonnières des calottes glacières, des mouvements du coeur interne, voire des séismes", comme l'explique l'Observatoire de Paris, dans son communiqué de presse. Des séismes comme celui de Fukushima (Japon) pourraient être à l'origine de la perturbation. Soumis aux aléas, un tour de la Terre sur elle-même en août serait plus court d'une à deux millisecondes qu'un tour accompli en février.
La 25e seconde intercalaire
Pour mesurer le temps, les horloges atomiques sont apparues en 1967. Avant celles-ci, le monde se basait sur l'astronomie pour définir l'heure exacte : "on regardait la position d'un astre, le Soleil ou d'autres objets célestes" par rapport à la Terre, précise Noël Dimarcq, directeur du Syrte (Systèmes de référence temps-espace). Les horloges atomiques ont permis de gagner en précision, puisqu'elles sont "capables de découper le temps en millionièmes de milliardième de seconde", explique-t-il à l'AFP.
"Le temps donné par l'orientation de la Terre finit par dériver par rapport au temps atomique. Et pour éviter que l'écart entre les deux ne devienne trop important, la communauté internationale, en particulier le Service international de la rotation terrestre (IERS) décide d'ajouter une seconde à l'UTC (Temps Universel Coordonné)", révèle Noël Dimarcq. Il faut remonter au 31 décembre 2008 pour retrouver la trace d'une telle seconde ajoutée. L'événement semble aussi irrégulier que la rotation de la Terre : le 30 juin prochain, ce sera seulement la 25e seconde ajoutée au temps universel depuis l'instauration de ce système.
Les fusées resteront au sol
Si certains noctambules pourraient voir dans cette seconde supplémentaire une occasion de fêter l'événement, elle ne devrait pas changer grand chose pour les autres. En revanche, les systèmes de haute précision, tels les satellites ou certains réseaux informatiques, pourraient en être affectés.
Pour éviter un décalage potentiellement catastrophique, risquant de brouiller les calculs, aucun tir de fusée ne sera programmé ces jours-là. Certains pays demandent même l'abolition de cette seconde intercalaire, jugeant qu'elle ne générerait que source de perturbations et d'erreurs. Le système de géolocalisation par satellites américain GPS a déjà fait le choix, depuis 1980, de ne se reporter qu'à l'horloge atomique, sans tenir compte de l'ajout irrégulier de secondes. Il compense les secondes manquantes par rapport à l'UTC par la suite, dans le signal qu'il envoie au sol.
Archéologie : l'homme produisait du lait en Afrique il y a 7000 ans
Une équipe internationale de scientifiques, dirigée par l'université de Bristol au Royaume-Uni a démontré que les hommes préhistoriques sahariens ont utilisé des bovins pour leurs laits il y a près de 7 000 ans.
Une fresque de bovins peintes dans l'oued Imah, dans les montagnes de Tadrart Acacus, Sahara libyen. De nombreux images rupestres riches et vives représentent des scènes de bétail se retrouvent à travers toute l'Afrique du Nord.
C'est en analysant les acides gras extraits de poteries non-vernies, provenant d'un site archéologique de Libye que les chercheurs ont montré que des graisses laitières ont été contenues dans les récipients.
Cette première identification de la pratique de production laitière dans le continent africain, par les éleveurs préhistoriques du Sahara, peut être datée de manière fiable au cinquième millénaire avant JC.
Il y a environ 10 000 ans, le désert du Sahara était plus humide et plus vert ; les premiers chasseurs-cueilleurs dans la région ont vécu une vie semi-sédentaire, utilisant la poterie, chassant du gibier sauvage et récoltant des céréales sauvages.
Puis, autour de 7 000-5 000 ans, la région est devenue plus aride, les habitants ont adopté une approche plus nomade, avec un mode de vie pastoral. C'est ce que suggère la présence d'os de bétail dans les dépôts des cavernes et les camps près des rivières.
A travers l'art rupestre gravé et peint que l'on retrouve abondamment dans la région, on peut voir de nombreuses représentations d'animaux, en particulier des bovins. Mais jusqu'à présent, aucune preuve directe ne permettait d'affirmer que ces bovins avaient été traités.
Des chercheurs de l'Unité de Géochimie Organique à l'école de chimie de Bristol, ainsi que des collègues de l'Université Sapienza, à Rome, ont étudié des poteries non vernissées datant d'environ 7000 ans. Elles proviennent de l'abri sous roche Takarkori dans les montagnes de Tadrart Acacus, en Libye.
En utilisant des biomarqueurs de lipides et l'analyse d'isotope de carbone stable, ils ont pu étudier les acides gras conservés dans le tissu de la poterie et ils ont constaté que la moitié des récipients avaient été utilisés pour le traitement des matières grasses laitières. Cela confirme pour la première fois la présence ancienne de bovins domestiques dans la région et l'importance du lait pour les populations pastorales préhistoriques.
Julie Dunne, étudiante en doctorat à l'école de chimie de Bristol, et l'une des auteurs de l'article, explique:
"Nous connaissions déjà l'importance des produits laitiers tels que le lait, le fromage, le yaourt et le beurre, qui peut être extraite d'un animal durant toute sa durée de vie, pour les populations du néolithique en Europe.
Il est donc intéressant de voir que cela était tout aussi important dans la vie des hommes préhistoriques d'Afrique. Ces résultats fournissent également une base pour notre compréhension de l'évolution du gène de lactase persistante, qui semble avoir surgi une fois que les hommes préhistoriques ont commencé à consommer des produits laitiers.
Le gène se trouve chez les Européens et chez certains groupes d'Afrique centrale, apportant ainsi des arguments pour la circulation des personnes, avec leur bétail, du Proche-Orient vers l'Afrique de l'Est au début de l'Holocène moyen, il y a environ 8.000 ans".
Le Professeur Richard Evershed de l'école de chimie de Bristol, et co-auteur de l'article, a ajouté:
"Alors que le remarquable art rupestre d'Afrique saharienne contient de nombreuses représentations de têtes de bétail, y compris, dans quelques cas, des représentations de la traite réelle d'une vache, cela est difficile à dater de manière fiable.
En outre, la rareté des os de bovins dans les sites archéologiques rend impossible de déterminer la structure des troupeaux, ce qui empêche de savoir si la production laitière était pratiquée.
Cependant, l'analyse moléculaire et isotopique des résidus alimentaires absorbés dans la poterie est une excellente façon d'enquêter sur le régime alimentaire et les pratiques de subsistance de ces anciens peuples.
C'est une approche que mes collègues et moi avons déjà appliquée avec succès afin de déterminer la chronologie de la production laitière, qui a commencé dans le Croissant fertile au Proche-Orient et s'est diffusé à travers l'Europe."
Source : Physorg: "Chemical analysis of pottery reveals first dairying in Saharan Africa in the fifth millennium BC" http://decouvertes-archeologiques.blogspot.fr/2012/06/l-homme-produisait-du-lait-en-afrique.html
Archéologie : Le changement climatique aurait conduit à l'effondrement de la civilisation Harappéenne
Les Harappéens se sont appuyés sur les crues du fleuve pour alimenter leurs excédents agricoles. Aujourd'hui, de nombreux vestiges des colonies harappéennes sont situées dans une vaste région désertique, loin de toute rivière qui coule. (Crédits : Liviu Giosan, Woods Hole Oceanographic Institution, Stefan Constantinescu, Université de Bucarest;. James PM Syvitski, Université du Colorado)
Une nouvelle étude combinant les derniers éléments archéologiques et les connaissances géoscientifiques ont démontré que le changement climatique a été un ingrédient clé dans l'effondrement de la grande civilisation de la vallée de l'Indus ou civilisation harappéenne il y a près de 4000 ans.
Cette étude résout également un débat de longue date sur la source et le sort du fleuve Sarasvati, fleuve sacré de la mythologie hindoue.
S'étendant sur plus de 1 million de kilomètres carrés à travers les plaines de l'Indus, depuis la mer d'Arabie jusqu'à l'Himalaya et le Gange (sur ce qui est maintenant le Pakistan, l'Inde et au nord-ouest est de l'Afghanistan), la civilisation de l'Indus fut la plus importante, mais la moins connue, des premières grandes civilisations urbaines comme celles de l'Egypte et de la Mésopotamie.
Comme leurs contemporains, les Harappéens vivaient près des rivières qui fertilisaient les terres chaque année. "Nous avons reconstruit le paysage dynamique de la plaine, où la civilisation de l'Indus s'est développée il y a 5200 ans, a construit ses villes, puis s'est lentement désintégrée il y a 3000 à 3900 ans", a déclaré Liviu Giosan, un géologue de la Woods Hole Oceanographic Institution (WHOI) et auteur principal de l'étude. "Jusqu'à présent, les spéculations ont abondé sur les liens entre cette ancienne culture et ses mystérieuses rivières puissantes et vivifiantes."
Aujourd'hui, de nombreux vestiges des colonies harappéennes sont situées dans une vaste région désertique, loin de toute rivière qui coule.
Cette culture extraordinairement complexe d'Asie du Sud a eu une population qui à son apogée a pu atteindre 10 pour cent des habitants de la planète.
Une vague de recherches archéologiques au Pakistan et en Inde a permis de découvrir une culture urbaine sophistiquée avec une myriade de routes commerciales internes et des liaisons maritimes bien établies avec la Mésopotamie. On y trouve aussi des normes pour la construction des bâtiments, des systèmes d'assainissement, arts et l'artisanat, et un système d'écriture en cours de déchiffrage.
"Nous avons estimé qu'il était grand temps pour une équipe de scientifiques interdisciplinaires de contribuer au débat sur le sort énigmatique de ces habitants", a ajouté Giosan.
La recherche a été menée entre 2003 et 2008 au Pakistan, depuis la côte de la mer d'Arabie jusque dans les vallées fertiles irriguées du Pendjab et du nord du désert de Thar.
L'équipe internationale comprend des scientifiques des Etats-Unis, du Royaume-Uni, du Pakistan, de l'Inde et de Roumanie avec des spécialités en géologie, géomorphologie, archéologie, et mathématiques.
En combinant des photos satellites et des données topographiques recueillies par le Shuttle Radar Topography Mission (SRTM), les chercheurs ont crée et analysé des cartes numériques des reliefs construits par l'Indus et les rivières voisines. Des sondages ont ensuite été effectués par forage, carottage, et même manuellement en creusant des tranchées.
Les échantillons collectés ont été utilisés pour déterminer l'origine des sédiments (ont-ils été portés et façonnés par les rivières ou les vents) et leur âge afin de développer une chronologie des changements dans le paysage.
"Une fois que nous avons obtenu des nouvelles informations sur l'histoire géologique, nous avons pu réexaminer ce que nous savions sur les zones de peuplement: ce qui était cultivé par les habitants et à quel moment, et comment l'agriculture et les modes de vie ont évolué," a déclaré Dorian Fuller, archéologue de la University College London et co-auteur de l'étude, "cela a donné de nouvelles perspectives dans le processus de déplacement de la population vers l'est, la réduction de la taille des communautés agricoles, et le déclin des villes pendant les périodes harappéennes tardives."
La nouvelle étude suggère que la diminution des pluies de mousson a conduit à un affaiblissement de la dynamique fluviale, et a joué un rôle essentiel tant dans le développement que dans l'effondrement de la culture harappéenne.
En effet, la civilisation de l'Indus s'appuyait sur les crues du fleuve pour produire ses excédents agricoles. Cette nouvelle étude dresse un tableau convaincant de 10.000 ans de changement dans les paysages.
Avant que la plaine ne soit massivement occupée, le sauvage et puissant fleuve Indus, et ses affluents, s'écoulaient des vallées découpées de l'Himalaya dans leurs propres dépôts et laissaient des bandes de terres interfluviales entre eux.
Dans l'Est, les pluies de mousson ont soutenu la pérennisation des rivières sillonnant le désert et laissant derrière elles leurs dépôts sédimentaires à travers une vaste région.
Parmi les caractéristiques les plus frappantes les chercheurs ont identifié une plaine en forme de monticule, de 10 à 20 mètres de haut, de plus de 100 kilomètres de large, et longue de près de 1000 kilomètres le long de l'Indus, qu'ils appellent la "méga-crête Indus". Elle a été construite par la rivière qui déposait des sédiments le long de son cours inférieur.
"A cette échelle, rien de semblable n'a jamais été décrit dans la littérature géomorphologique", a déclaré Giosan, "la méga-crête est un indicateur surprenant de la stabilité du paysage de la plaine de l'Indus sur les quatre derniers millénaires. Des restes de colonies harappéens gisent encore à la surface de la crête, plutôt que d'être enterrés dans le sol."
Cartographiées au-dessus de la vaste plaine indo-gangétique, les données archéologiques et géologiques montre que les colonies ont fleuri le long de l'Indus de la côte vers les collines donnant sur l'Himalaya.
Une autre grande découverte: les chercheurs pensent avoir résolu une longue controverse concernant le sort du fleuve mythique Sarasvati.
Les Védas, les anciennes écritures indiennes composées en sanskrit il y a plus de 3000 ans, décrivent la région ouest du Gange comme "la terre des sept rivières." l'Indus et ses affluents actuels sont facilement reconnaissable, mais la Sarasvati, dépeinte comme "dépassant en majesté toutes les autres eaux" et "dans son cours de la montagne à l'océan" a été perdu.
Basé sur les descriptions bibliques, on a cru que la Sarasvati était alimenté par les glaciers de l'Himalaya. Aujourd'hui, la Ghaggar, une rivière intermittente qui ne coule que pendant les fortes moussons et qui se dissipe dans le désert le long du parcours sec de la vallée Hakra, pourrait être le meilleur emplacement de la mythique Sarasvatî. Mais son origine Himalayenne, si elle a été active aux temps védiques, reste controversée.
Des preuves archéologiques soutiennent qu'il y a eu un peuplement intensif pendant les périodes harappéennes le long de la Ghaggar-Hakra. Les nouveaux éléments géologiques (les sédiments, la topographie) montrent que les rivières étaient en effet importantes et très actives dans cette région, mais plus probablement en raison des fortes moussons.
Cependant, il n'existe aucun indice de larges vallées encaissées comme le long de l'Indus et de ses affluents et les chercheurs n'ont pas trouvé de connexions avec l'une des deux proches rivières, Sutlej et Yamuna, provenant de l'Himalaya.
La nouvelle étude fait valoir que ces différences cruciales prouvent que la Sarasvati (Ghaggar-Hakra) n'était pas alimentée par l'Himalaya, mais un cours d'eau alimenté en permanence par les moussons, et que l'aridification l'a réduit à de courts flux saisonniers.
"Ainsi, les villes se sont effondrées, mais les petites communautés agricoles ont pu prospérer..."
Il y a 3900 ans, avec l'assèchement des rivières, les Harappéens avaient une issue à l'est du bassin du Gange, où les pluies de mousson restaient soutenues. "Nous pouvons imaginer que cette évolution a entrainé un changement vers des formes d'économies plus localisées: des petites communautés locales reposant sur une agriculture pluviale et la diminution des cours d'eau", explique Fuller, "cela peut avoir produit une diminution des excédents, insuffisants pour les grandes villes."
Un tel système n'était pas favorable à la civilisation de l'Indus, qui s'était construite sur les excédents de récoltes exceptionnelles le long de l'Indus et des rivières Ghaggar-Hakra.
"Ainsi, les villes se sont effondrées, mais les petites communautés agricoles ont pu prospérer. La plupart des arts urbains, comme l'écriture, ont disparu, mais l'agriculture a continué et s'est diversifiée", ajoute Fuller.
D'après Giosan: "Une quantité incroyable de travail archéologique a été accumulé au cours des dernières décennies, mais cela n'avait jamais été lié correctement à l'évolution du paysage fluvial. Nous voyons maintenant que la dynamique des paysages avait un lien crucial entre le changement climatique et les populations..."
Source:
- Woods Hole Oceanographic: "Climate Change Led to Collapse of Ancient Indus Civilization, Study Finds"
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Le robot qui devient le roi… du chifoumi !
Des chercheurs de l'université de Tokyo ont créé un robot imbattable au jeu "pierre-feuille-ciseaux". Affichant un taux de réussite de 100%, cette main automatisée s'adapte au geste humain en un temps record.
Pierre-feuille-ciseaux… un, deux, trois… Caramba, encore raté !
Jamais personne ne battra le robot inventé par les chercheurs japonais du laboratoire Ishikawa Oku. Malgré le caractère aléatoire du jeu, la main automatisée présente un taux de réussite de 100%. Et pour cause, elle triche…
"La reconnaissance de la main humaine peut être réalisée en 1 milliseconde avec une vision à haute vitesse", expliquent les scientifiques. Le robot analyse et capte le mouvement de la main avant son geste final et s'adapte en fonction de la forme choisie. Son temps de réaction, à l'échelle de la milliseconde, lui donne la victoire à tous les coups.
Si devenir le roi du chifoumi ne paraît pas d'une importance capitale, l'intérêt scientifique dépasse le simple jeu. L'objectif avoué des chercheurs : démontrer qu'un robot peut s'adapter aux gestes humains en un temps record. Une machine pourrait devenir un complément de l'homme pour des tâches aussi diverses que variées. "La technologie est un exemple qui montre la possibilité de contrôle en coopération en l'espace de quelques millisecondes", s'enthousiasment les chercheurs, cités par Numerama. " Et cette technologie peut être utilisée pour assister un humain par des mouvements et pour coopérer entre des humains et des robots sans délai ".
Le New York Times avait quant à lui proposé un robot informatique basé sur les stratégies du cerveau humain à "pierre-feuille-ciseaux". Le programme analyse les séries-types que l'on tendrait à reproduire en jouant…
Le robot qui devient le roi… du chifoumi ! par Maxisciences
Vie extraterrestre : de l'eau sur Titan ?
Des chercheurs viennent d'émettre l'hypothèse qu'il y aurait de l'eau sur Titan en dessous de sa surface gelée. Cela pourrait-il signifier qu'une vie microbienne pourrait si développer ?
Il était difficile d'imaginer qu'une telle question puisse se poser au sujet de l'astre Titan. Notamment quand on sait que la plus grosse lune de Saturne, avec des pluies de méthane, n'est pas le milieu le plus propice au développement d'une vie. Et pourtant des scientifiques, après plusieurs années de recherches, viennent de dévoiler leurs conclusions.
Pour les scientifiques de la mission Cassini, sous la couche gelée à la surface de Titan se trouverait de l’eau liquide. Pour établir cette hypothèse, les agences spatiales américaine, européenne et italienne ont travaillé en collaboration autour de ce projet d’étude de l’astre. Entre 2004, année de lancement de la sonde Cassini de la NASA, et 2011, l’équipe scientifique internationale a procédé à différents relevés lors de six survols de l’astre.
L’attraction de Saturne déforme Titan
Les recherches de ces scientifiques ont été publiées ce vendredi 29 juin dans la revue américaine Science. L’équipe explique que la sonde Cassini a procédé à des relevés sur Titan à différents niveau de son orbite. Elle a alors remarqué que Titan se déformait sous l’effet de l’attraction de la planète Saturne. L’astre est de forme ovale mais s’étend puis se contracte selon le moment de son orbite.
Pour expliquer un tel phénomène, les scientifiques en ont déduit que Titan était flexible et pouvait donc se déformer selon la force attractive de Saturne. Pour expliquer une flexibilité aussi importante, il n’était pas possible selon eux que sous la surface d’eau glacée, Titan soit composée de pierres.
De l’eau avec de l’ammoniac sur Titan
C’est donc la capacité de Titan à se déformer qui a donné l’idée aux scientifiques d’émettre leur hypothèse. Pour qu’il puisse se contracter ou s’étendre, il faut que sous la surface de glace de l’astre il y ait un élément mou. L’équipe a alors pensé à de l’eau mais mélangée avec de l’ammoniac, ce qui explique qu’elle ne gèle pas.
Pour corroborer son hypothèse, l’équipe pointe l’existence de marées sur Titan. Les scientifiques ont en effet repéré la présence de marées à la surface de glace de Titan. Et pour eux cela confirme qu’il y a de l’eau liquide en dessous de cette couche.
De plus, ces scientifiques avaient été précédés par d’autres chercheurs qui, grâce aux relevés de la sonde européenne Huygens envoyée en 2005, avaient également pensé que Titan était composée d’eau liquide. Se basant sur des modèles mathématiques et des relevés électromagnétiques, cette équipe avait émis la même hypothèse.
Une telle découverte n’est pas seulement importante pour la question de l’eau mais également pour celle de la vie extra-terrestre. L’eau n’est, certes, pas suffisante mais, nécessaire au développement d’une vie microbienne. Il faudra cependant attendre les résultats de recherches plus détaillées pour approfondir ce point. Par Maëla Priolet http://www.reponseatout.com/actualites/decryptage/vie-extraterrestre-de-leau-sur-titan-a107512
http://ovnis-direct.com/actualiteovnis2012/index.html#bv000051
SFH 30-06-2012
Opération Suricate ce soir le 30-06-2012
Opération Suricate ce soir le 30-06-2012
Les Opérations Suricates sont simple. Vous êtes chez vous. Seul ou avec des amis. Le soir de l'opération, des centaines de personnes comme vous sont chez elles ou dehors entrain de regarder le ciel.
Ainsi, nous avons une multitude de personnes qui regardent le ciel en même temps, et dès lors qu'un participant voit un objet insolite, il lui suffit d'envoyer un sms ou un appel téléphonique au responsable Suricate afin que l'observation soit relayé instantannément à l'ensemble des participants, et ainsi confirmer la nature de l'objet observé par d'autres participants.
Avion, ISS, lanternes, .....OVNI ?
Ces opérations regroupent à chaque fois des centaines de personnes qui sont tout simplement chez elles !
Mais.... 1 personne + 1 personne + 1 personne et ainsi de suite....font qu'au final, nous avons des observateurs Suricate répartis sur l'ensemble du territoire.
Que l'on soit sceptique, curieux, ufologues, passionné, etc... l'essentiel dans tout ça est que l'espace d'une soirée, nous travaillons tous ensemble pour notre passion commune : l'ufologie.
Cela ne coûte rien, ouvert à tout le monde, avec une vérification en temps réel des observations.
Pour s'inscrire, rien de plus simple, un formulaire est là.
L'ufologie est un travail d'équipe. L'espace d'une nuit, travaillons ensemble.
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Relayé par Yves Herbo SFH 06-2012
Nouveau Café Ufologique à Colon, Argentine
OUVERTURE D'UN NOUVEAU CAFÉ UFOLOGIQUE A COLON PROVINCE DE L'ENTRE-RIOS EN ARGENTINE
Ce nouveau café ufologique sera organisé en suivant les lignes directrices qui ont été menées dans les divers CAFÉS OVNI du pays, inaugurées à BUENOS AIRES par le CAFÉ UFOLOGIQUE RIO 54 à l'initiative de Mario Lupo et Rubén Morales. Puis, par la suite, initiées par Luis Reinoso à Rosario, et enfin
initiée par Luis Annino à Mendoza. Un nouveau café s'ouvre maintenant, grâce à l'initiative du Groupe COLOVNI et son directeur Julio Degeneve à Colón.
Ajoutez à cela le café ufologique á la ville de Corrientes, par l'initiative du GROUPE CORRIENTES-CHACO. Tout en suivant l'expérience de Les Repas
Ufologiques en France.
Depuis le mois de juillet, le premier vendredi de chaque mois à partir de 22 h 00 les Cafés Ufologiques de Colon vont essayer de réunir des gens qui ont un vif intérêt à partager leurs connaissances sans compromis sur le dossier ovni.
Ainsi qu'il a été défini dans les autres Cafés Ufologiques, ce Café Ufologique suivra la ligne de conduite des précédents Cafés en respectant la liberté de chacun de s'exprimer sur le sujet ovni, la pluralité des idées, le respect des autres dans une démarche de " bon père de famille". Mais aussi le respect d'une condition qui est que chacun paye au moins une consommation pour participer afin d'assurer à l'établissement qui nous accueil un remboursement minimum de ses frais de gestion.
On pourra discuter de questions liées aux OVNI, sans se permettre d'enregistrer audio et vidéo pendant le rencontre, mais au fin de soirée, il est permis de faire une photo de groupe comme témoignage.
Le premier Café Ufologique à Colón, Entre-Ríos, Argentine, sera organisé le vendredi 6 juillet de 22h 00 et se terminera vers 00 H00 - Lieu: SPIRIT CAFE – Rue 12 AVRIL proche au THÉÂTRE DU CENTENAIRE dans la ville de Colón.
COORDONNATEUR: Julio Degeneve
MODERATEURS: Gladis Espinosa – Jaime Borda
Rapporté par: Julio Degeneve
Sur internet : _http://colovni.blogspot.fr/_ (http://colovni.blogspot.fr/) - Les Cafés Ufologiques
SFH 07-06-2012
Le phénomène ovni signification – origine - impact
Le phénomène ovni signification – origine - impact
Pyrenees-Orientales-1978
Par Jacky Kozan - juin 2012
Cette rédaction a été faite sur la base de mon point de vue personnel, résultat d'une étude du phénomène depuis mars 1965 et plus particulièrement depuis 2004. Ces dernières années je me suis concentré sur les informations en provenance des USA.
Vous ne trouverez pas de justificatifs à mes réponses. Elles représentent ma vision des choses après lecture, écoute et observation suivies de réflexions, analyses, élimination et sélection. Mon objectif n'est pas de défendre ce point de vue. C'est le mien. Nous pouvons en débattre.
Votre information et expérience personnelles vous permettront de moduler mes propos en atténuant certains points ou en en amplifiant d'autres. Pour vérifier certaines affirmations techniques il vous suffira de saisir quelques mots clés sur un moteur de recherche et vous trouverez vite les sources détaillées de mes textes.
Quelles significations peut-il avoir pour nous ?
1 - La constatation que le phénomène ovni existe confirme que nous ne sommes pas seuls dans l'univers. Ce que mon père et ses amis m'expliquaient quand j'avais environ 5 ans et qui, à l'époque, semblait aussi évident que le fait qu'il ferait jour le lendemain. J'avais compris qu'il y a dans le ciel des habitants sur beaucoup d'autres planètes. En allant à l'école l'année suivante puis au catéchisme encore après, je me suis aperçu que cette explication était vivement combattue par ceux que je qualifie aujourd'hui de "rentiers à la charge des citoyens" et qui n'admettent pas une hiérarchie ascendante par rapport à eux. Pourtant, savoir qu'en cas de problèmes graves nous pourrons éventuellement faire appel à d'autres créatures intelligentes, plus avancées que nous, est rassurant.
Les rentiers indélogeables que sont les scientifiques en titre, sont incapables d'imaginer que dans la formule ci-dessous m0 peut prendre la valeur zéro, comme une vitesse peut-être égale à zéro ou la valeur d'une force égale à zéro. C'est la formule sur laquelle ils s'appuient pour affirmer que la vitesse de la lumière ne peut être ni atteinte ni dépassée et qu'en conséquence il est impossible de se déplacer d'une étoile à l'autre étant donné que pour l'atteindre, il y a au moins 4 années de trajet en se déplaçant à la vitesse de la lumière.
Dans cette formule, une masse de1 kg de sucre se déplaçant à la vitesse de la lumière (dans ce cas v2 = c2) aurait une masse infinie, donc consommerait une énergie infinie. Mais si la masse de notre boite pleine de sucre est zéro alors, à la vitesse de la lumière, sa masse est toujours de zéro et son besoin en énergie théoriquement égal à zéro! Le débat est en cours sur la masse à zéro ou négative. Nous n'en sommes qu'au début. (Ne prenez pas en compte l'énergie contenue dans le kilo de sucre SVP).
Retenez cette formule, apprenez-la par cœur car tous les scientifiques hostiles à l'ufologie s'appuient dessus pour nier l'impossibilité de voyager à la vitesse de la lumière et donc l'impossibilité de se déplacer d'une étoile à une autre. Pour eux c'est bien la preuve qu'il ne peut pas y avoir de visiteurs extraterrestres et qu'en conséquence les ufologues ne sont pas des gens sérieux. Les témoins ont toujours leurs places dans des cases comme "alcoolique", "malade mental", "marginal", "cheveux trop courts", "musicien", "trop riche", "trop pauvre" etc…
Quelle est la masse d'un photon? (zéro)
A quelle vitesse se déplace-t-il? (à c, celle de la lumière)
Qu'est-ce qui permettrait à un ovni de faire un vol stationnaire? (une valeur de masse égale à zéro – et pas obligatoirement une force d'anti gravité)
Qu'est-ce qui permettrait à un ovni d'accélérer au-delà de 40g au moment de son départ ou lors de virages à 90°, sans causer de dégâts ni aux occupants du vaisseau, ni au matériel et ni au vaisseau lui-même? (une masse de valeur zéro).
Tous ces détails techniques sont là pour bien définir les sources de mon interprétation du phénomène ovni et pour présenter la suite de mes réponses aux questions.
Je mets en avant la théorie de la modulation de la valeur de la masse, en m'attardant sur la valeur zéro, car elle expliquerait beaucoup des anomalies liées au phénomène ovni: sustentation sans bruit ni échappement, pas de réservoir d'énergie notable, accélérations et décélérations au-delà de celles que peuvent supporter organisme et matériels, enlèvements de ce qui est au sol par "lévitation". La physique théorique admet l'inversion de signe (+ ou -) de la masse pourvu que le signe du temps qui lui est lié change aussi. Lors de rencontres avec le phénomène ovni des témoins signalent des "temps manquants". Encore un indice en faveur de la modulation contrôlée de la valeur de la masse. Il y a bien là une piste à explorer.
2 - La constatation que l'existence du phénomène ovni est délibérément cachée au public par une poignée d'élites signifie que la gouvernance mondiale est basée sur le mensonge. Je n'argumente pas. Chacun pourra illustrer suivant son expérience.
Quelle est son origine ?
Le phénomène ovni est la conséquence d'une apparition de la vie intelligente quelque part dans l'univers ou "dans un univers". Cette vie intelligente peut être le résultat d'une création ou le résultat du hasard. Lorsque je regarde le travail fait par un ribosome qui copie un demi-brin d'ADN je n'ai plus aucun doute, je retiens l'hypothèse de la création suivant un cahier des charges.
A partir d'une première source, quelque part dans l'univers, il y a plus de 3,5 milliards d'années, la vie s'est propagée lentement et naturellement, véhiculée, probablement sous forme de spore, par des corps cosmiques. Elle a pu peut-être aussi être transplantée volontairement par ses créateurs.
La Terre est une planète récente de 4,5 milliards d'années, l'univers est âgé d'environ 13,7 milliards d'années selon la sonde WMAP. A moins que la vie n'ait commencé sur la Terre, ce qui me paraît improbable, nous avons un peu partout dans l'univers des grands frères plus en avance que nous de plusieurs milliards d'années. Ils ont appris à se déplacer d'une manière que l'on est incapables d'imaginer aujourd'hui et ils viennent nous rendre visite de temps en temps. Comme nous allons voir les poissons dans un aquarium ou autour de la barrière de corail.
Quelles sont ses intentions à notre égard ?
Pour essayer d'appréhender ses intentions à notre égard, nous devons connaître un minimum de paramètres le concernant. Mais, entre les occupants de vaisseaux mécaniques performants, finalement très peu en avance par rapport à nous et d'autres créatures ayant une avance de plusieurs milliards d'années sur nous, il ne sera pas facile de discerner des intentions à notre égard. Par rapport à nous, nous pourrons extrapoler des intentions des civilisations ayant quelques centaines d'années d'avance sur nous. Imaginez ce que nous pourrons faire dans 20 ans… dans 50 ans… dans 1 000 ans.
En observant les ovnis, nous constatons qu'ils savent faire un vol stationnaire, sans bruit ni échappement, qu'ils savent supporter des grandes accélérations et qu'en règle générale ils sont de petite dimension (<30m).
Pour bien en comprendre la signification, prenons comme base l'humain d'aujourd'hui.
A partir du moment où une entité, présentant une forme humanoïde à un certain stade de son évolution, à pu s'affranchir de sa masse, de celle des objets qui sont dans son environnement et en conséquence de sa propre énergie cinétique et de celles de tout ce qui est en mouvement autour de lui, alors tout devient possible: plus de masse = plus besoin de muscles pour déplacer son corps ou des objets dont le poids est devenu nul, plus besoin d'os pour tenir les muscles et protéger les organes vitaux. Plus de masse = plus de limitation à une vitesse bien inférieure à la vitesse lumière. Le besoin en énergie pour l'humain étant devenu minime, sa gestion directe par l'organisme rend inutiles tous les organes qui servent à transformer la nourriture absorbée en énergie pour les muscles ou le cerveau. L'appareil circulatoire ne servira plus à grand-chose non plus puisqu'il n'y aura pas lieu d'alimenter en oxygène des muscles qui ne servent plus à rien. L'énergie environnante sera captée directement ou alors nous nous régénérerons en passant dans un portique ou sous des fils ou au-dessus de boucles dans le sol ou encore à partir du rayonnement solaire, etc… Les cerveaux pourront être délocalisés, regroupés, alimentés en énergie d'une façon différente de ce que nous connaissons aujourd'hui.
Évidemment la reproduction de telles créatures n'a plus de sens. Déjà nous entrons en période de dépopulation et nous sommes capables de créer des êtres vivants nous ressemblant, mais plus spécialisés, plus performants et plus fiables. Nous n'aurons donc plus besoins d'organes de reproduction non plus.
Plus nous évoluerons et plus notre part physique disparaitra. Mais nous ne savons pas et nous ne pouvons même pas imaginer ce que nous deviendrons.
De telles entités ayant un développement avancé de plusieurs millions d'années par rapport à nous, peuvent être partout dans l'univers puisque, d'une part elles ont cette avance sur nous et d'autre part elles maitrisent l'espace-temps et d'autres dimensions encore inconnues de notre physique. Elles peuvent avoir des attaches ou des sanctuaires n'importe où, y compris sur la Terre. Elles n'ont rien à voir avec l'être humain actuel, elles sont considérées comme extra terrestres, en raison de leurs trop grandes différences avec l'humanité que nous connaissons.
Il est donc impossible, pour nous aujourd'hui, de subodorer quelque intention de la part de telles créatures avancées.
Limitons alors le raisonnement à celles que nous sommes capables de remarquer. Notons au passage que nous les remarquons parce qu'elles nous envoient ou nous réfléchissent des ondes électromagnétiques compatibles avec nos spectres visuels et auditifs. Notre système auditif entend entre 20 et 20 000 Hertz, et nous voyons entre 350 000 GigaHz et 750 000 Giga Hertz. En dehors de ces deux gammes de fréquences il peut y avoir à côté de nous un marché aux poissons pour les aliens, nous ne percevrons rien. Nos divers détecteurs non vivants, comme les radars ou récepteurs radio captent aussi des signaux lorsque ceux-ci sont émis dans la gamme qu'ils sont capables de reconnaître (exemples 2 700 MHz ou 406 MHz). Comme nous, ils sont sourds et aveugles à ce qu'ils ne peuvent pas entendre ou voir.
Tout ceci pour bien comprendre que les phénomènes ovnis que nous remarquons sont générés par des créatures très proches de nous. Nous voyons leurs vaisseaux, nous voyons les occupants, ils ont des spectres sensitifs proches des nôtres. Compte tenu du fait qu'il existe autour de nous un grand nombre de civilisations ayant des niveaux d'évolution différents amenant à des formes, ou des non-formes, de support d'intelligence, nous ne rencontrerons que celles qui nous ressemblent.
Essayons alors d'extrapoler, à partir de nos us et coutumes, quelles pourraient être leurs intentions. Constatons d'abord que le phénomène ovni, en règle générale, ne perturbe pas notre vie quotidienne et qu'il reste donc à distance. Il y a bien sûr des cas d'agressions mêmes mortelles et des cas de "coup de main" pour arrêter des trafiquants de drogue par exemple, mais ce sont des cas particuliers.
Nous connaissons les contacts fruits du hasard et en général accompagnés de divers degrés d'étrangeté, les enlèvements suivis de procédures médicales, les mutilations de bétail liées aux maladies à Prions et dont le FBI nous a apporté des éléments montrant un lien entre ces mutilations de bétail et le phénomène ovni. Le sang de bœuf est proche de celui de l'humain et suffisant pour faire des manips génétiques en rapport avec l'organisme des humains. Nous savons, mais pas nos médecins, que la maladie d'Alzheimer est une maladie à Prions. Nous savons aussi que nous avons tous dans notre organisme des Prions qui sommeillent. On peut comprendre que le phénomène ovni a pris quelques précautions en installant dans notre organisme des agents de sécurité mobilisables en cas de besoin.
Pour répondre plus précisément à la question, je pense que le phénomène ovni se divise en un grand nombre de morceaux, chacun ayant une intention différente nous concernant. Les plus proches de nous font des expériences génétiques sur nous et sur eux. Ces expériences ont pour but soit d'améliorer la race de nos visiteurs de façon à les rendre compatibles avec notre planète, soit de nous améliorer de façon à nous rendre compatibles avec leurs us et coutumes.
Exemple: on sait maintenant que la partie qualifiée d'inutile dans notre ADN comporte des switches qui peuvent être actionnés depuis l'extérieur. Un Prion en sommeil peut être réveillé, mais on ne sait pas par quoi ni quand. Pour montrer que ceci est bien dans le domaine du réel, récemment entre humains nous avons réussi une manip d'épigénétique qui a consisté à modifier l'ADN d'une souris par une onde radio de façon à ce que son organisme produise plus d'insuline. Alors des ETs ayant 1000 ans d'avance doivent être à l'aise avec l'épigénétique.
Certains visiteurs peuvent avoir l'intention de nous aider. En plus du cas des policiers de l'Indiana qui ont découvert des trafiquants de drogue sous une soucoupe volante, le cas de l'amarante est un bon exemple. Cette plante qui nous a été aimablement signalée par un ovni est considérée comme la plante d'avenir car elle consomme cinq fois moins d'eau que des céréales, elle grandit vite et ses graines sont très nourrissantes. Elle est aussi très résistante dans les milieux désertiques. Des programmes à financement européens ont été lancés il y a quelques années afin d'inciter les agriculteurs à cultiver l'amarante car la population mondiale pourrait rapidement devoir se nourrir avec, lorsque les autres céréales ne seront plus disponibles.
D'autres visiteurs pourraient nous rendre la vie plus facile comme nous entretenons notre aquarium ou nos cages à lapins.
D'autres encore peuvent avoir envie de nous observer, de jouer avec nous, de nous utiliser comme main d'œuvre, de gérer notre reproduction afin qu'ils constituent une bonne réserve de nourriture, etc…
Stanton Friedman a fait une liste des bonnes raisons pour les ETs de nous rendre visite sans vouloir impacter notre vie directement, sans que nous les remarquions.
Quelle est son ancienneté ?
Quelques milliards d'années, peut-être plus de 13,7 milliards.
Puisque, selon ma représentation des choses, la vie sur Terre est le résultat d'une création puis d'une contamination, je dois prendre en compte le fait que l'univers que nous connaissons est aussi le résultat d'une création par une intelligence. J'attribue toutes les observations d'étrangetés résistant aux analyses faites par nos spécialistes, au résultat d'une transformation sténopéïque entre l'univers dans lequel nous évoluons et un univers différent du nôtre que nous ne pouvons pas comprendre. (Claude Lavat, membre du Conseil Permanent de l'Académie d'Ufologie, présente techniquement cette hypothèse de la Transformation Sténopéïque dans son livre l'Hypothèse Extraterrestre Généralisée). Cet univers différend pouvant être celui dans lequel nous évoluons mais dont nous en ignorons certaines dimensions, certaines valeurs. Dans l'histoire des civilisations de la Terre les descriptions d'étrangetés ne manquent pas. Suivant la localisation géographique, l'époque et le niveau de connaissances d'une civilisation, les étrangetés sont en général décrites en utilisant des termes compréhensibles par la population du moment ou du lieu: dieux, prophètes, anges, lutins, fées, diables, fantômes, poltergeists, yétis, big foot, chupacabras, gros chats noirs, foudre en boule puis plasmas semblant intelligents, men in black, nefs volantes, foo fighters, cigares des nuées, barques stellaires, soucoupes volantes, vaisseaux mères, petits gris, grands blonds, menthes religieuses, buissons ardents, etc... Bref tout ce qui ne nous ressemble pas, que nous ne connaissons pas ou que nous ne pouvons pas comprendre actuellement.
Des éléments du phénomène ovni ont probablement créé notre univers et nous avec. D'autres éléments affichent des états d'avancement différents et certains, ceux que nous détectons, sont proches de nous. Ils n'ont peut-être que quelques dizaines de milliers d'années d'avance sur nous. Ils sont là depuis longtemps car ils apparaissent déjà sur des dessins dans le voisinage des pyramides égyptiennes et de certains temples Mayas.
Quel est son impact sur notre civilisation et l’avenir de notre civilisation ?
Après avoir créé l'univers, le phénomène ovni à créé nos civilisations successives. Les a-t-il détruites volontairement pour laisser la place à d'autres? On peut l'envisager.
Nous ne percevons qu'une petite partie, la partie qui nous a fait comprendre que nous n'étions pas les seules créatures vivantes intelligentes de l'univers. Nous aurions tendance à conclure, comme le font nos élites irresponsables, que le phénomène ovni n'a pas d'impact sur notre civilisation et qu'en conséquence il ne représente pas une menace pour les humains. Il n'est donc pas utile de s'en préoccuper.
Dans le cadre de cette question, il me semble important de préciser deux points:
- selon de nombreux témoignages que je n'oserai même pas à mettre en doute, certains de nos visiteurs liés au phénomène ovni maîtrisent la possibilité de prendre une apparence physique qui nous est familière.
- notre vie est basée sur l'hydrogène et le carbone nous avons besoin d'oxygène pour vivre. Mais à quoi ressemble une forme de vie basée sur le silicium et l'ammoniaque? L'oxygène est certainement dangereux pour de telles créatures. Michio Kaku, professeur de physique théorique à l'Université de New-York explique que les créatures les plus aptes à survivre dans l'univers sont celles qui auraient un organisme basé à 80% sur le silicium lui permettant de bien résister aux contraintes cosmiques et le reste, 20% hydro carboné pour développer une forme d'intelligence. Réfléchissons alors aux articles publiés sur les pierres ou rochers qui se déplacent dans les champs, aux témoins qui affirment avoir essayé de comprendre le langage métallique de créatures décrites comme ressemblant à des pierres précieuses.
Ces deux points ont pour objectif de montrer que le phénomène ovni peut être tout à fait semblable à nous, physiquement et aussi de par son comportement et son expression. Impossible de le repérer sans être averti et donc de mesurer l'impact qu'il peut avoir sur notre civilisation. N'avez-vous jamais eu affaire à de telles personnes dans votre vie professionnelle? Le contraire m'étonnerait.
Le phénomène ovni peut être aussi tellement différent de nous que nous ne le remarquons pas non plus. Qui aurait l'idée d'engager une communication avec un rocher ou un diamant? C'est déjà assez difficile de communiquer avec un chat et avec des fourmis.
Le phénomène ovni a créé notre civilisation, il nous accompagne en permanence. Il décide et construit notre avenir. Là encore l'expérience de certains d'entre nous pourrait apporter des exemples concrets à ma perception des choses.
Sommes-nous manipulés, ou subtilement conditionnés, par lui ?
Il est difficile d'utiliser le mot "manipulé". Le phénomène ovni est tellement intégré à nous que nous ne savons pas le reconnaître. On ne peut pas dire qu'il nous manipule puisqu'il est nous. Nous ne sommes pas manipulés puisque nous décidons nous-mêmes de notre avenir. Certains d'entre nous manipulent les autres. Exemple: 20 000 milliards de dollars ont été extorqués aux contribuables américains. Par qui? Par une petite poignée d'autres citoyens américains. A qui profite le "crime"? (au sens anglais du terme). Puisque cet argent n'est pas recyclé dans l'économie réelle, qu'est-il devenu? J'élargirais le raisonnement à toute la pseudo crise financière et la création d'un chaos international. Pourtant le citoyen ne réagit que de façon marginale. Il y a bien conditionnement et il est bien subtil.
Pouvons-nous communiquer avec lui ?
Nous devons pouvoir communiquer avec les créatures du phénomène ovni qui nous ressemblent, celles qui nous sont proches. Nous communiquons probablement tous les jours avec celles qui nous ressemblent tellement que nous ne savons pas les distinguer de nous. Ceux d'entre nous qui travaillent pour certaines multinationales des domaines des technologies avancées exécutent leurs ordres tous les jours.
Pour celles que nous repérons mais qui conservent leurs propres apparences physiques, il est toujours possible de créer progressivement un protocole de communication, pourvu qu'elles en acceptent le principe. Dans ce cas la civilisation la plus évoluée imposera rapidement son protocole de communication.
Pour les autres créatures, elles sont tellement différentes de nous que nous ne les détectons pas non plus, le problème ne se pose pas.
Des groupes humains sont-ils déjà en relation suivie avec lui ?
Suivant ce que je viens de décrire, une grande partie des humains est en contact permanent avec le phénomène ovni.
D'après des témoignages que je retiens comme sérieux et fiables, certains personnages considérés comme élites civiles ou militaires sont en contact officiel mais secret, avec le phénomène ovni.
Je ne peux pas prouver mes affirmations mais après mes analyses j'ai retenu que:
- les militaires de beaucoup de pays sont informés sur le phénomène ovni, mais je ne peux pas savoir jusqu'à quel point.
- les militaires des USA sont prédominants. Cette prédominance semble acceptée. Un pays comme la France ne ferait probablement rien sans l'aval des militaires US.
- les politiques sont un peu informés dans la plupart des pays.
- les services de renseignement militaires et civils gèrent les intentions et conséquences du phénomène ovni.
- les agences de sécurité veillent à ce que les infos concernant le phénomène ovni soient traitées de manière confidentielle.
- le NRO aux USA serait l'organisme qui gère officiellement l'interface avec le phénomène ovni.
- les agences de renseignement civiles et militaires sont actuellement partagées sur l'opportunité d'une divulgation auprès du public.
- des négociations en vue d'une immunité seraient en cours concernant les témoignages d'acteurs dans la préservation du secret ( Navy il y a deux ans et US Air Force en mai 2012).
- la Terre serait un véritable arrêt de bus pour les civilisations extraterrestres.
- les mouvements des civilisations extraterrestres sont règlementés. Les observations comme celles de Chicago O'Hare et Stephenville sont le résultat de l'ignorance de la règlementation par de nouveaux arrivants.
Toute ces affirmations reposent sur une lecture régulière de livres, articles de presse, messages, débats dans des forums et après avoir conservé des sources dignes de confiance. Je peux préciser, étayer ces points mais je ne peux les prouver que sous la forme de faisceaux de présomptions. Ce qui est aussi une forme juridique de preuve.
Si tel est le cas, de quelle nature sont ces relations ?
Les civilisations extraterrestres qu'elles soient plus avancées que la nôtre ou proches de la nôtre décident de notre type de relations. Certaines peuvent vouloir nous protéger, soit pour nous faire évoluer et ensuite nous inviter à "jouer dans leur cour", soit pour nous maintenir en bon état de conservation comme future source d'énergie ou futur outil. D'autres peuvent avoir besoin de la planète Terre, sans ses habitants humanoïdes, pour sa végétation, son atmosphère, sa situation dans l'espace par exemple. Pour répondre à un besoin de matériaux, je ne crois pas que notre planète serait une bonne source d'approvisionnement. En effet la ceinture d'astéroïdes est une mine à espace ouvert alors que sur Terre la plus grande quantité de matériaux est encore en fusion (magma).
Les relations avec le phénomène ovni sont probablement à double sens. Il recueille l'information avec ou sans notre intervention ou notre consentement et il intervient ensuite comme il l'entend en fonction de ses propres objectifs.
Des groupes humains ont-ils conclu des accords secrets avec lui ?
En prenant en considération l'hypothèse des visiteurs extraterrestres semblables à nous et présents tout autour de nous, ceci revient à nous demander si certains d'entre nous, les humains de la Terre, ont conclu des accords avec d'autres humains de la Terre.
Dans le cas de visiteurs visibles mais hors norme, des protocoles de communication ont dû être élaborés et ensuite des accords trouvés ou au moins des intentions communiquées. Je vois bien quelque chose comme "je suis d'accord pour laisser mes vaisseaux en orbite à 250 km, mais tu m'installes vite facebook dans ta population" ou "d'accord pour ne venir que dans la zône 51 et Akau Island mais tu abandonnes vite les techniques de circuits semiconducteurs linéaires pour passer au numérique" ou encore "je veux bien visiter ta planète uniquement la nuit mais tu ne poussera pas les enquêtes après des disparitions de personnes" (ce dernier exemple est une illustration issue de mon imagination – toute ressemblance avec un évènement réel ne serait qu'une coïncidence malheureuse).
Il y a forcément toute une organisation internationale de gestion des contacts et des accords avec nos visiteurs extraterrestres. Cette organisation doit être très importante, implantée un peu partout dans le monde et gérée de façon exemplaire pour limiter les fuites d'informations et le bon déroulement des plans de développement nous concernant.
Quels plans, ou quels projets le phénomène ovni a-t-il préparé pour nous ?
Les ufologues ne sont pas informés des intentions du phénomène ovni. Quelques-uns peut-être à titre personnel, mais ils n'ont pas le droit de s'exprimer et s'ils le faisaient, leur discours ne serait même pas recevable par la population et ses représentants.
Néanmoins des hypothèses se recoupent et même si nous les considérons comme farfelues parce qu'elles ne font pas partie de notre paradigme actuel, je pense qu'il est prudent d'au moins les connaître:
- le phénomène ovni nous a probablement créé et accompagne notre évolution jusqu'à atteindre un niveau que nous ne sommes pas capables d'imaginer aujourd'hui.
- afin de préserver notre évolution le phénomène ovni réglemente l'interface entre la population de la Terre et les autres civilisations de l'univers, c'est pourquoi nous ne détectons que rarement le phénomène ovni dans notre environnement,
- la Terre est considérée comme une Réserve Naturelle Protégée, elle a donc des gardiens mais aussi des braconniers,
- de temps à autre des civilisations découvrant le secteur de l'univers où nous vivons arrivent en ignorant la règlementation, ce qui serait la raison des observations comme Chicago O'Hare, Stephenville ou encore celles du 5 novembre 1990 en France, manifestations peut-être destinées aux gouvernements officiels en place.
- cette règlementation nous concernant serait sur le point d'être levée.
Quel sens faut-il donner aux observations ?
1 - la confirmation que nous ne sommes pas seuls dans l'univers et le constat qu'il existe sur notre planète d'autres civilisations que celles qui sont représentées dans nos institutions.
2 - la gouvernance mondiale actuelle est basée sur le mensonge.
Pouvons-nous élaborer de nouveaux paradigmes à partir de son étude ?
Nous devons élaborer un nouveau paradigme à partir de l'analyse de l'évolution de notre société sous contrôle, de façon à pouvoir survivre à une évolution qui pourrait être rapide et totalement imprévisible. Des informations sous forme de livres, de films, de séries télévisées, de conférences, de débats sur des forums sont publiées en grand nombre. En additionnant les compétences, il nous est assez facile d'élaguer ce qui est désinformation, canulars, interprétations erronées pour finalement dégager un tronc commun des affirmations, qu'elles soient compréhensibles et recevables ou qu'elles ne le soient pas.
Notre formation est en cours. Plusieurs sources nous demandent de nous préparer à nous mettre au travail avec des interlocuteurs très différents de nous. Des sites Internet recensent les "médiateurs volontaires" et mettent en place les outils qui permettront d'assurer cette mission.
J'exclue que l'attrait pour le fantastique ou le disfonctionnement cérébral soient les responsables de tous ces évènements. La situation est bien sous contrôle et c'est la raison pour laquelle nous construisons notre futur paradigme. Après nous être familiarisés avec la communication instantanée d'humain à humain sur toute la planète nous sommes entrain d'évacuer nos modèles politiques et financiers. Notre évolution est rapide. Il semble qu'il y ait urgence.
Le pouvoir politique en place, gardien du statut quo général au sujet des ovnis, peut-il être influencé par les ufologues ?
Oui, des ufologues ont influencé le pouvoir politique et ils doivent continuer à le faire, y compris en nous incitant à changer le type de pouvoir politique au moment où nous votons. Il ne s'agit pas forcément des ufologues connus du public ou connus des autres ufologues, mais des individus évoluant à haut niveau dans les sphères politiques, militaires ou administratives qui ont influencé notre gouvernance internationale en attirant l'attention sur le phénomène ovni.
Un exemple connu est celui du Docteur Bruce Maccabee membre de l'Académie d'Ufologie entre autres, à qui Ronald Pandolfi de la CIA et bien connu des ufologues, à demandé l'après midi du 13 avril 1993 d'écrire pour le lendemain matin, un mémo sur l'ufologie pour le conseiller scientifique du Président Clinton. Ce mémo, "The Science Advisor Briefing" devant servir à l'initiation du Président Clinton à l'Ufologie.
Il existe beaucoup de documents rédigés par des ufologues pour des organisations diverses. Le Dr Allen Hynek avait aussi rédigé un document pour le Congrès. Plus près de nous Leslie Kean et John Podesta ont lancé des actions en justice contre la Nasa dans le cadre de l'affaire de Kecksburg. Podesta était au cabinet du Président Clinton puis responsable du cabinet de transition d'Obama. En France je citerais Campagnac, Cometa, Pinon, Lavat, Troadec.
Nous ne connaissons pas la plupart des actions engagées auprès du pouvoir politique et il est donc difficile d'évaluer le niveau d'influence des ufologues, qu'ils soient connus ou subtils.
Concernant les ufologues de l'Académie d'Ufologie Claude Lavat a participé à la rédaction de la Lettre Ouverte au Président de la République. Avec Michel Ribardière nous avons lancé l'opération "youcanwedo", j'ai ensuite écrit moi-même au Président.
Sur ces trois actions seule la première à reçu une réponse formelle, un accusé de réception de la Présidence et du Ministère de la Recherche Scientifique. Il est encore impossible de connaître l'impact réel direct de ces actions. Mais je pense que nous devons persévérer car c'est le cumul des petites actions agaçantes qui finit par entraîner une réaction.
Ne perdons pas de vue qu'au moins les pays occidentaux, dans le domaine de l'ufologie, sont aux ordres des USA. Je pense qu'il en est de même pour la GrandeBretagne, le Canada, la Russie, la Chine, le Japon, l'Amérique du Sud et ceux que j'oublie. Les pays dont la religion est basée sur le Saint Coran et ses Djinns peuvent avoir une ufologie autonome collaborant avec la Religion laquelle influence la politique.
Fait à Rémuzat le 26 mai 2012 par Jacky Kozan.
Mis à jour le 22 juin 2012
Gérard LEBAT Créateur du concept Les Repas Ufologiques et exploitant du site depuis 2003 !
Le blog des repas ufologiques : http://les-repas-ufologiques.over-blog.com/
Le blog OVNI91 : http://ovni91.canalblog.com/
Yves Herbo : Bon, j'ai décidé de partager avec vous le long mais intéressant texte du chercheur Jacky Kozan, de le digérer honnêtement et de le commenter ensuite. Pourquoi ne feriez-vous pas de même et n'apporteriez-vous pas votre avis aux membres de ce site et à Jacky Kozan (à qui je peux transmettre les commentaires) ?
Relayé par SFH 26-06-2012
Samsung brevette de véritables humanoïdes
Samsung brevette de véritables humanoïdes
Dans les fichiers de Samsung, des petits curieux ont trouvé certains brevets extrêmement intéressants pour la robotique, domaine, on le sait, cher à Samsung. Pour être plus précis, ceux-ci concernent certains aspects qui pourraient les faire ressembler davantage à nous.
Le plus concret, et le plus perturbant, détaille un mode de déplacement tout ce qu’il y a de plus humain. Ainsi, un simple mouvement d’un point A à un point B se verrait décomposé en des dizaines de séquences de marche, pour coller au plus proche de l’être humain. Cheville, genou, flexion, extension, attaque du talon, balancier des bras, tout y est.
Et comme si la marche ne suffisait pas, un brevet a été déposé pour simuler les mouvements de la poitrine dus à la respiration. Si tant est que Samsung utilise dans le futur ces brevets, espérons que l’on arrive un jour à faire la différence entre les robots et nous...
http://www.gizmodo.fr/2012/06/25/samsung-brevette-veritables-humanoides.html
SFH 26-6-2012
Compte-rendu du 27ème Repas Ufologique de Grenoble du 7-6-2012
Compte-rendu du 27ème Repas Ufologique de Grenoble du 7-6-2012
Quarante personnes se sont réunies à Saint-Martin-d’Hères le jeudi 7 juin 2012 à l’occasion du 27e repas ufologique grenoblois. Nous recevions pour l’occasion le jeune et dynamique ufologue Stéphane Dier, responsable du repas d’Annecy et de l’association « Race OVNI ». Il était d’ailleurs accompagné de l’ancien responsable annecien Stéphane Martin. J’eus par ailleurs le plaisir de recevoir une journaliste du Dauphiné Libéré qui m’interrogea pendant vingt-cinq minutes. Son article paraîtra dans l’édition grenobloise du samedi 16 juin, en page 14.
N’ayant pas pu se déplacer pour raisons de santé, l’ufologue et ancien journaliste savoyard Gilles Morel, qui est incontestablement une personnalité des plus attachantes, m’avait demandé de présenter une anecdote personnelle.
A l’occasion de la crise d’Airbus en mars 2007, alors que de nombreuses suppressions d’emploi étaient attendues dans ce secteur, le journaliste fut amené à interviewer Patrick Baudry pour le compte du Dauphiné Libéré, l’astronaute et ex-ingénieur d’Airbus se trouvant en Savoie pour se détendre en famille et faire du ski avec son ami Vladimir Soloviev, alors vice-président de la Cité des Étoiles. Ce dernier a passé près d’un an dans l’espace et a dirigé la partie russe lors de la construction de l’ISS, il n’est donc pas vraiment le premier venu. Après les questions relatives à la situation d’Airbus, Baudry et Soloviev s’exprimèrent à propos de la conquête spatiale, le Français assurant la traduction russe/français. Gilles Morel en profita alors pour demander à Soloviev s’il était au courant d’éventuelles manifestations ovni entourant les vols spatiaux russes. Soloviev s’en sortit d’abord par une pirouette en arguant que c’était l’Académie des Sciences qui se chargeait du dossier puis, devant l’insistance du journaliste, il finit par laisser échapper : "Je voudrais bien qu'ils n'existent pas, mais j'ai peur qu'ils soient là". Gilles Morel, scotché pour l’occasion, ne semble pas s’en être tout à fait remis (mais il l’assume m’a-t-il assuré !)…
Vint ensuite l’indéboulonnable revue de presse qui m’amena à présenter les revues « Aliens » n° 12, « Top Secret » n° 61, « Monde inconnu » n° 355 et 356, « Nexus » n° 80 et « LDLN » n° 407. Le « Science et inexpliqué » n° 27 n’étant exceptionnellement pas disponible à Grenoble, je ne puis le présenter. Je citai ensuite les ouvrages Guérisons extraterrestres de Preston Dennett chez Trajectoire (dont je distribuerai des marque-pages publicitaires que l’éditeur m’avait aimablement adressés), Les véritables men in black de Nick Redfern chez Original Découverte, Missions Kimono n° 13 : Rafale sur l’Arctique de Francis Nicole et Jean-Yves Brouard chez JYB, Séjour sur Gaïa de Frédéric de Wald chez Interkeltia, Ummo de René Voarino chez l’auteur, le troisième volume du catalogue ufologique icaunais de Rémy Fauchereau ainsi que la réédition, chez Sceptic-ovni, de Les OVNIs font leur show de Patrice Seray. A noter que ce dernier sera des nôtres au prochain RUG, en août.
Après le dîner, et alors qu’un orage spectaculaire éclatait dans les nuages, Stéphane Dier prit la parole et nous présenta brièvement son repas ufologique, plus intime que celui de Grenoble, ainsi que les principales actions entreprises par l’association RACE OVNI (Regarder Analyser Comprendre Expliquer) dont il est le responsable, à savoir les opérations Suricate, qui sont des veillées d’observation assistées par SMS et dont le but est la surveillance du ciel par un maximum de personnes, les stations de surveillance, qui sont des ensembles caméra + logiciel de capture + périphériques, ces stations de surveillance automatisées étant mises gratuitement à la disposition de chacun et enfin les centrales ufologiques, qui sont des bureaux locaux (départementaux ou régionaux) destinés à l’accueil des témoins.
Notre intervenant nous expliqua qu’il lui semblait essentiel que le grand public apprenne à faire la part des choses lorsqu’il observe des phénomènes lumineux ou aériens inhabituels. La connaissance libère des illusions mais ne disqualifie en aucun cas l’enchantement. RACE OVNI s’attache à réunir les compétences afin d’offrir le plus de garanties possibles au moment, par exemple, d’expliquer une manifestation ou d’analyser une photographie. A ce propos, il conclut son intervention en nous faisant part d’un cas assez troublant, consistant en un cliché pris en région parisienne par un enfant devant une baie vitrée ; ce cliché montre un objet ressemblant à un avion mais certains points semblent invalider l’hypothèse d’un aéronef conventionnel, et sachant que le canular semble devoir être écarté, l’affaire est loin d’être élucidée… A suivre.
Je remercie toutes les personnes qui m’ont fait la joie d’être présentes et particulièrement les sept ou huit nouveaux venus à qui je souhaite d’avoir passé une soirée instructive et plaisante. Bienvenue à eux ! Ils auront contribué à enrichir le débat à l’occasion de cette séance particulièrement animée. Le prochain RUG aura lieu le jeudi 2 août 2012 et nous recevrons M. Patrice Seray qui nous présentera ses ouvrages et sa compagne Mme F. C. qui nous racontera son parcours ufologique et pourrait s’étendre sur la question de la femme dans l’ufologie.
François Hays, Les Repas Ufologiques Grenoblois - www.les-repas-ufologiques.com
Relayé par Yves Herbo SFH 26-06-2012