Articles de yvesh

Air OVNI du 1er juin - News Ufologie du 31 mai 2012

Par Le 07/06/2012

Air OVNI du 1er juin - News Ufologie 31 mai 2012

odhtv.jpg

Air OVNI (Rencontres Aériennes) du 1er juin :

News Ufologie du 31 mai 2012 :

SFH 06-2012

Alerte Ovni France Niveau 2 - Direct Ovni

Par Le 07/06/2012

Alerte Ovni France Niveau 2 - Direct Ovni du 8 juin 2012

banniere-odhtv.jpg

Alerte Ovni France Niveau 2 du 06 juin 2012 :

Direct Ovni du 8 juin 2012 20h00- 00h00 - présentation du programme :

SFH 06-2012

Dans OVNI/UFO

OVNIS : A Arakawa au Japon le 2 juin 2012

Par Le 06/06/2012

OVNIS : A Arakawa au Japon le 2 juin 2012

arakawa-japon-2-juin-2012.png

Arakawa-japon-2-juin-2012

A Arakawa au Japon le 2 juin 2012, vidéos interessantes, il y a deux objets mais l'un d'entre eux fait penser à un drone équipé de leds, particulièrement visible dans la deuxième vidéo. Je pense à des essais de robots ou drones par des étudiants japonais en fin d'études, tout comme l'année dernière à la même époque (non élucidé mais probable pour 2011) :

 

SFH 06-2012

Dans OVNI/UFO

OVNIs : deux disques géants vers Marrakech, Maroc

Par Le 06/06/2012

OVNIs : deux disques géants vers Marrakech, Maroc

marrakech-15-01-2010.jpg Reconstitution du cas 15-01-2010-Marrakech, Maroc


Deux ovnis en forme de disque ont survolés à basse altitude Marrakech le 21 avril 2012 vers 20 h 40. Quatre témoins observent la scène, puis trois autres témoins se sont fait connaître le lendemain. L’observation est insolite, précise et est à ce jour considérée comme « non identifiée ».

C’est à la suite d’un appel téléphonique le 4 juin 2012 que Les Repas Ufologiques Marrakchis ont été informés d’une importante observation d’un ovni qui s’est déroulée au-dessus d’un riad situé dans le quartier Dar El Bacha, à Marrakech au Maroc. Une enquête a été engagée dès le 5 juin 2012.

Le lendemain de son observation, le 22 avril 2012 le témoin a tenté de nous joindre, mais malheureusement, aucun enquêteur n’était disponible pour raison de déplacement à l’étranger. Toutefois, les informations relatives à cette observation ont été scrupuleusement notées, le soir même et le lendemain. La qualité du récit est donc excellente et en rapport avec la réalité, sans que l’imagination ou la mémoire qui résulterait d’un récit fait un mois et demi plus tard aient altérés les faits.

Au riad, 4 personnes qui seront témoins des faits, Jean Claude G, témoin principal, N.G, sa femme, A.G sa fille de 9 ans et occupée aux tâches quotidiennes de la tenue du riad, Fatima, employée de maison.

Le 21 avril 2012 à 20 h 40, (heure d’hiver), il ne faisait pas encore tout à fait nuit, Jean Claude G. sort du salon qui donne sur le patio central de son riad, une cours carrée de 7 m 50 sur 7 m 50 environ, occupée en son centre par une petite piscine, quelques orangers, des bananiers et qui donne directement sur le ciel. Habituellement on peut y voir des étoiles, éventuellement la lune, mais ce soir-là, le temps était couvert, les nuages étaient bas, certainement à moins de 1000 m et on craignait même la pluie. En sortant, levant machinalement les yeux vers le ciel, il a la surprise de voir deux immenses disques, si gros qu’ils couvraient environ les deux tiers du champ aérien que l’on peut voir depuis la base du patio. Ces deux disques étaient en conséquence exactement à l’aplomb du patio, ils se déplaçaient sans bruit et dans un calme complet.

Mais que sont ces deux disques immenses, qui volaient côte à côte, séparé l’un de l’autre par un espace d’environ 2 m, en tenant compte que le diamètre d’un disque pourrait être de 10 à 15 m. Ce diamètre est toutefois fonction de la hauteur de ces engins, élément qui nous est inconnu et incertain dans les estimations données. (Ces mesures sont donc seulement indicatives, mentionnées pour donner une idée plus précise de la grosseur des disques, Jean Claude les comparera également à une parabole de 2m50/3m, ils étaient au moins quatre fois plus gros que ce type de parabole). Par rapport à la Koutoubia distante de 500 m, haute de 80 m, Jean-Claude estime ces objets à environ 100 à 200 m d’altitude, donc très bas et bien en dessous des nuages. Ces disques semblent très gros et Jean Claude les observe environ 10 secondes. Durant ce temps, sa femme, sa fille et l’employé de maison, (donc 4 témoins) sur appel de Jean Claude, le rejoigne et observent les deux disques qui se déplaçaient lentement, à la vitesse d’un cycliste marocain qui n’est pas pressé, dira-t-il ! Ces deux disques se présentaient sous la forme d’une forme ronde, bien délimitée, lumineuse avec une bordure sur le pourtour, circulaire, large d’environ 2 m (pour une estimation de 10/15 m de diamètre) de couleur rouge lumineuse et le centre de couleur orange fluorescent et incandescent (comme la couleur orangée de la flamme d’une gazinière qui est mal réglée). La couronne rouge lumineuse était fixe, nette et ne bougeait pas. Par contre, la forme centrale était animée, en perpétuel mouvement, par fines particules, comme si c’était gazeux. (L’objet est observé à la vertical, à partir du patio, il provient certainement du Nord-Ouest ou autre hypothèse, descendant de l’espace, pour ensuite s’éloigner en direction du Sud Est.)

Après ces 10 secondes d’observation dans le patio, les quatre témoins décident de monter sur la terrasse, située au deuxième niveau. Tout le monde est affolé, surpris par ces deux disques circulaires (qui sont vu de dessous). La hauteur du riad est d’environ 9 m. Deux escaliers à monter. Environ 20 secondes.

Arrivés à ce nouveau point de vue, les quatre témoins poursuivent l’observation de ces deux objets à partir de la terrasse. Les deux « ovnis » en forme de disque, se déplacent toujours très lentement en direction de la Koutoubia. Arrivé à hauteur de la koutoubia, l’objet situé à gauche par rapport à notre poste d’observation se met à se déplacer brutalement, à accélérer rapidement, à monter vers l’espace et s’est dissocié d’environ 25 à 30° sur la gauche, par rapport à sa trajectoire initiale. L’objet de droite fit de même, virant à droite, donc à l’opposé de l’autre objet, mais il ne s’est que très peu écarté quant à lui de sa trajectoire. Plus ils s’éloignaient, plus leur grosseur diminuait et ils ont alors semblé se rapprocher pour ne faire plus qu’un point lumineux qui a disparu, soit dans les nuages, soit dans le lointain en direction de l’Atlas. La durée de l’observation à partir de la terrasse est d’environ une minute et demie, soit une durée totale de la vision de ces deux objets, d’environ deux minutes.

Les témoins ont examiné toutes les possibilités quant à ce que pouvaient être ces objets, mais ils n’ont pas trouvé d’explication. Ils ont regardé sur internet les cas similaires qui sont très rares. Mais aucun indice n’a été trouvé, qui aurait permis de donner une explication à l’observation de ces deux disques, de grande dimension qui ont survolés à faible vitesse et à basse altitude le riad, puis une partie de la ville de Marrakech avant de disparaître en accélérant soudainement dans le lointain en direction de la montagne.

Les témoins ont cherchés le lendemain matin si d’autres personnes dans les environs avaient observé ces objets. En évoquant l’observation avec une coiffeuse voisine, ils ont appris que cette personne et deux autres témoins, ont eux aussi vu ces objets. En conséquence, il doit y avoir dans la ville de Marrakech, voir dans les environs, de nombreux témoins. Mais au Maroc, ni la gendarmerie, ni la police ne recueillent ces témoignages, le public n’a en conséquence aucune solution pour rapporter à une autorité du royaume, les observations dont il est le témoin. D’autre part, la presse, peu présente sur le terrain, n’évoque que rarement ces phénomènes qui bien souvent ne parviennent pas jusqu’aux rédactions des médias.

Il serait donc intéressant de savoir, si ce 21 avril 2012, vers 20 h 40, d’autres personnes ont observé ces deux OVNIs, se déplaçant dans les cieux de Marrakech. Si tel est votre cas, contacter par émail lebat1@aol.com - Informations sur le phénomène ovni par :   Gerard Lebat

NDLR : Dans le récit, pour des raisons de confidentialité, les noms ne sont pas communiqués, toutefois ils figurent dans les archives des Repas Ufologiques Marrakchis (ne sont plus en ligne).

ovni-maroc.png Photo de la vidéo du 22 mai 2011 à Agadir, Maroc

http://ovniparanormal.over-blog.com/article-ovni-filme-a-agadir-au-maroc-le-22-mai-2011-75174060.html

SFH 06-2012

Des hivers plus froids dans l'hémisphère nord à prévoir

Par Le 05/06/2012

Des hivers plus froids dans l'hémisphère nord à prévoir

tempete-de-neige.jpg

La fonte de la banquise arctique causerait des hivers neigeux et froids dans l'hémisphère Nord

Dans un article paru dans Environmental Research Letters, une équipe de chercheurs pense avoir trouvé une explication au fait que l'hémisphère Nord a connu ces vingt dernières années d'importantes vagues de froid et de fortes chutes de neige durant l'hiver alors même que les températures de la planète augmentent.

dreux-05-05-2012-2.jpgDreux, France Grêle 05-05-2012

Les relevés de température montrent un très fort réchauffement en Arctique de juillet à septembre qui perdure durant l'automne. Cet air plus chaud provoque une fonte de la banquise et se traduit par une atmosphère beaucoup plus humide. Cette humidité à son tour entraîne de fortes précipitations plus au sud. Toutefois, dans les régions suffisamment froides ces précipitations prennent la forme de neige. Les chercheurs relèvent ainsi que la couverture neigeuse a augmenté depuis le début des années 1990 sur le continent eurasien mais aussi dans l'est des États-Unis et le sud du Canada.

tempeteneige.jpg

«Il n'y a aucun doute sur le fait que le Globe se réchauffe et que cela va favoriser des températures plus chaudes partout et en toute saison, explique Judah Cohen, du Centre de recherche sur l'environnement et l'atmosphère de Lexington (États-Unis). Mais je pense que pour le moment l'augmentation de la couverture neigeuse ces dernières années conduit à des refroidissements régionaux.» Cela pourrait par exemple expliquer l'hiver très rigoureux qui s'est abattu l'an dernier en Floride, tout comme le chaos provoqué par la neige en France et en Grande-Bretagne en décembre 2010. Des épisodes rigoureux que, selon les chercheurs, les modèles climatiques n'arrivent pas à prévoir.

chemin-tempete-de-neige.jpg

L'étude toutefois n'emporte pas l'adhésion de tous les climatologues. «L'hypothèse de travail est intéressante, mais la démonstration n'est pas totalement convaincante», estime Pascal Yiou, chercheur au LSCE (Laboratoire des sciences du climat et de l'environnement, CEA-CNRS et université Versailles-Saint-Quentin). «En climatologie, se baser sur une période vingt ans est beaucoup trop court. On ne peut pas s'appuyer sur des variations décennales et en tirer des conclusions générales. En outre, l'équipe aurait dû confronter ses résultats à chaque modèle pris isolément et non pas sur une tendance moyenne, car tous les modèles n'aboutissent pas aux mêmes conclusions.»

Quoi qu'il en soit, si la hausse globale des températures se poursuit «les chutes de neige se transformeront en chute de pluie», conclut Judah Cohen, éliminant définitivement toute possibilité de refroidissement des périodes hivernales.

Source : Environmental Research Letters

draguignan2010.jpg Draguigan, France, 2010

Yves Herbo : Mr Judas Cohen a probablement raison sur le fait que si le réchauffement se poursuit, la neige se transformera en pluie... ce qui n'arrange pas obligatoirement les choses quand on parle de fortes précipitations (au lieu d'attendre les fontes des neiges classique, les inondations seront instantanées...) et de changements climatiques genre mousson en Europe... 

D'autre part, d'autres études sur le passé (justement) semblent prouver qu'un précédent réchauffement aurait entraîné la dislocation des banquises et la dérive vers le sud de kilomètres de glace et de glaciers, entraînant (en plus de l'humidité et des fortes précipitations probables aussi) un refroidissement (certes régional mais immense tout de même) beaucoup plus important que ne semble l'imaginer Mr Cohen...

novembre-2011-pluies-diluviennes-inondations-genes-en-italie.jpg

Gênes, Italie, Novembre 2011

On voit aussi que les scientifiques parlent de "périodes", c'est à dire de période où l'humidité va augmenter, la neige et l'air froid avec, le tout dirigé tout à fait normalement d'ailleurs vers le sud par les multiples dépressions sur le cercle arctique. Une estimation de la durée de cette période pourrait (peut-être) être incitative à une certaine prise de conscience. La période suivante, à priori si le réchauffement continue, est la transformation de la neige et de la glace en eau  - plus de neige du tout mais beaucoup de pluie et fonte des glaces jusqu'à d'assez hautes altitudes en montagne. Elargissements et approfondissements de nombreux cours d'eau sont à prévoir, beaucoup aussi vont retrouver leurs anciens lits ou en gagner d'autres, des nappes phréatiques remonteront des sols en hiver. Beaucoup de glissements de terrains à prévoir sur les hauteurs, sans compter le volcanisme exacerbé en principe par un aflux d'eau sur le magma, l'allègement du poids des glaciers sur les montagnes... Voilà un scénario assez probable dessiné par plusieurs scientifiques, une estimation des échéances et des durées des périodes en question pourrait être incitative également pour des lois plus contraignantes dans le bâtiment et tout ce qui concerne la préparation a  la sauvegarde des structures existantes, leur renforcement et études préventives...

Source : http://iopscience.iop.org/1748-9326/7/1/014007/pdf/1748-9326_7_1_014007.pdf

SFH 06-2012

Le rôle de la foudre dans le réchauffement global

Par Le 05/06/2012

Le rôle de la foudre dans le réchauffement global

ltg-p2-vortex2-1-300.jpg Credit : NOAA

Si on en croit les premiers résultats d'une étude de l'Administration nationale océanique et atmosphérique américaine (NOAA), après l'activité humaine et la fonte des glaces, il se pourrait bien que les orages jouent eux aussi un rôle dans le processus de réchauffement de l'atmosphère.

Depuis le 15 mai, ce sont plus de 100 scientifiques qui travaillent sur le sujet dans trois Etats américains: l’Oklahoma, le Colorado et l’Alabama. Chiffré à 10 millions de dollars (8 millions d’euros), le projet devrait se poursuivre pendant l’été et permettre de comprendre le lien entre orages et pollution.

D’après la NOAA, les orages agissent comme des ascenseurs avec la pollution. Dans un mouvement d’air ascendant, la tempête aspire de l’air et de la pollution (à la fois humaine et naturelle) provenant de la surface de la Terre et les transportent très haut dans l’atmosphère.

Les scientifiques vont ainsi étudier les changements dans la composition chimique de l’air qui entre et sort des orages, utilisant à la fois des avions et de l’équipement au sol.

Si l'influence de ce phénomène sur l'augmentation de la température terrestre ne fait plus de doutes, reste à savoir pour combien contribuent les orages au réchauffement climatique. C’est ce que l’étude va tenter de déterminer. A terme, les données récoltées seront incorporées aux modèles scientifiques sur le réchauffement climatique.

Le chercheur Jiwen Fan, membre du Département de l’énergie du Laboratoire national du nord-ouest pacifique, explique la démarche "les modèles climatiques ne montrent pas comment les orages affectent le réchauffement climatique, parce que nous n’avons pas assez de détails dessus. Une grande partie de la chaleur bloquée par les nuages pollués pourraient potentiellement impacter la circulation de l’air et les systèmes météorologiques.

Pour Mary Barthn, chercheuse pour le Centre national de recherche atmosphérique (NCAR), à chaque seconde ce sont des dizaines, voire des centaines, d’orages qui explosent quelque part sur la planète.

Source : http://www.noaanews.noaa.gov/stories2012/20120515_thunderstorms.html

SFH 06-2012

  • 361
  • 362
  • 363
  • 364
  • 365
  • 366
  • 367
  • 368