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Direct ODHTV - Alerte OVNI France - Matin OVNI
Direct ODHTV - Alerte OVNI France - Matin OVNI
Annonce Direct ODHTV du 26 mai 2012 soir :
Alerte OVNI France du 25-05-2012
Matin OVNI du 25-05-2012 :
SFH 05-2012
Evènements de la Toungouska 1908 - du nouveau
Evènements de la Toungouska 1908 - du nouveau
© http://fr.wikipedia.org/ Denys / cc-by 3.0
Le magazine de l’American Geophysical Union (AGU) Geochemistry, Geophysics, Geosystems a publié un rapport des géologues italiens qui affirment avoir enfin trouvé un objet qui ressemble au fragment de la célèbre météorite de Toungouska.
L'équipe italienne dirigée par le géologue Luca Gasperini de l’Institut de recherche de la marine à Bologne travaille depuis plus d’un an dans la zone, où est tombé la météorite. Il y a plusieurs années (en 1999), les chercheurs ont justifié l'hypothèse que le lac Cheko, situé à 8 kms du lieu de la chute, représente un cratère provoqué par la chute de la météorite, en prouvant que les sédiments n'étaient âgés que d'une centaine d'années. En 2009, ces chercheurs ont aussi réalisé une étude magnétique et ont détecté l'anomalie qu'on espérait trouver et qui plaide en faveur de la création du lac par l'impact d'un gros débris.
Lac Cheko
L'équipage d'un avion de ligne voit un OVNI à Philadelphie
L'équipage d'un avion de ligne voit un OVNI à Philadelphie - MAJ
(CNN) -- Un équipage des avions exprès d'US Airways a rapporté avoir vu ce qui ressemblait à une fusée avec une traînée de fumée à proximité de son avion tandis qu'ils étaient à l'approche de l'aéroport international de Philadelphie mardi 22 mai 2012.
Selon les autorités, ce dont l'équipage avait été témoin reste un mystère. L'avion avec ses 34 passagers et trois membres d'équipage a atterri sans risque.
Le vol 4321, provenant de l'aéroport régional d'Elmira-Corning, était à environ 500 pieds au-dessus de la terre vers Philadelphie quand l'incident a eu lieu.
Après le débarquement à Philadelphie, l'avion a roulé au sol jusqu'à la porte, selon la porte-parole d'US Airways Liz Landau. La piste 17 a été fermée pendant environ 30 minutes après l'incident pour l'enquête, a indiqué le FAA. Les autorités de maintien de l'ordre étudient l'incident. L'avion impliqué était un Bombardier Dash 8 à moteurs jumeaux exploité pour des lignes aériennes de US Airways par Piedmont Airlines.
Todd Sperry, Aaron Cooper de CNN ont contribué à ce rapport.
MAJ : Une vidéo de l'incident a été mise sur internet semblant confirmer le passage d'un OVNI... ou d'une roquette... ce qui pourrait signifier évidemment une tentative d'attentat, le FBI enquête sur ce cas qui fait du bruit aux USA. Les médias préfèrent parler d'un probable effet de flare (une aberration optique due à une diffusion parasite de la lumière à l'intérieur d'un objectif) mais ils n'expliquent pas les témoignages de l'équipage du même avion en question... Un groupe d'investigation sur le paranormal nommé "AlienNews" a posté la vidéo et affirmé qu'il s'agissait bien d'un UFO, qu'une personne ayant préféré gardé l'anonymat leur avait donné cette vidéo. Le problème pour certains est que si c'est réel (même si c'est un UFO d'ailleurs), il s'agit d'une tentative de crime contre un avion, et si c'est un hoax, c'est condamnable car très dangereux (de donner des idées ou de lancer des fusées vers les avions) et mauvais. Mais si c'est un hoax, il est extrêmement bien fait, et l'auteur de la vidéo pourrait bien être prochainement questionné par le FBI, voir pire... Voici la vidéo en question :
http://www.examiner.com/article/ufo-flare-youtube-video-may-be-evidence-of-an-aviation-crime
SFH 05-2012 - traduction fr Yves Herbo
Un autre astrophysicien dit avoir découvert la planète X !
Un autre astrophysicien dit avoir découvert la planète X !
© Photo: ru.wikipedia.org/Lucianomendez/cc-by-sa 3.0
Il n'est pas le premier a soupçonner l'existence d'une assez grosse planète inconnue après Pluton, dans notre Système Solaire, mais l'astrophysicien brésilien Rodney Gomes, auteur d'un rapport récent remarqué sur la ceinture de Kuiper, a calculé qu'une planète faisant environ 4 fois la taille de la Terre se cacherait...
Une planète inconnue, dont la taille serait 4 fois plus grande que celle de la Terre, se cacherait derrière Pluton dans le Système solaire. Cette conclusion a été faite par l’astronome brésilien Rodney Gomes de l’observatoire national à Rio de Janeiro. Le scientifique a découvert la planète après avoir étudié l’écart des corps célestes de la fameuse ceinture de Kuiper. Le Brésilien est prêt à fournir ses calculs et ses analyses pour appuyer l’ hypothèse qu’il avance, mais sa déclaration a déjà suscité une polémique sur Internet.
Une rumeur présentant le scénario-catastrophe a fait rapidement le tour de la toile.
Selon cette rumeur, « dans 2 ans, une Planète X va entrer dans le Système solaire, et son effet gravitationnel risque de provoquer des séismes terribles, des éruptions volcaniques et des tsunamis sur Terre. D’ici à 2013, la plupart des hommes vont mourir ».
Selon une autre version qui interprète les recherches de Rodney Gomes, l’étoile refroidie, suivie par plusieurs planètes va arriver dans le Système Solaire, provoquant des catastrophes beaucoup plus graves...
http://www.scholarpedia.org/article/Kuiper_belt_dynamics
Pour en savoir + sur la (les) planète X... : http://secretebase.free.fr/planetes/nibiru/nibiru.htm
SFH 05-2012
L'invisibilité aux portes de la réalité
L'invisibilité aux portes de la réalité
Photo de la plaque d'invisibilité pour les vagues ou bouclier anti-tsunami (Crédits : CNRS Photothèque / Stéfan ENOCH)
Devenir "invisible" par l’œil humain, le fantasme ne date pas d’hier, mais imaginez plutôt une invisibilité protectrice, celle qui nous permettrait d’éviter les séismes ou encore les tsunamis. Le 23 mai, Maxisciences s’est rendu au CNRS à une conférence présentant les dernières avancées dans le domaine...
Il est un vieux rêve auquel aspire l’Homme depuis la nuit des temps : l’invisibilité. Au même titre que voler ou respirer sous l’eau, ce qui était de l’ordre de l’imaginaire dans le passé, est aujourd'hui sur le point de devenir crédible, possible même. Mais l’invisibilité ne se réduit pas à faire "disparaître" un objet ou une personne, les "capes d’invisibilité" se révéleraient aussi extrêmement intéressantes en matière de protection : que se soit contre les séismes, les tsunamis mais aussi pour de nombreuses ondes, lumineuses, mécaniques ou sonores.
Les capes anti-tsunami et anti-séisme
Imaginez une plateforme offshore, un aéroport, une centrale nucléaire, qu’un éventuel tsunami ne pourrait submerger, ou encore une zone entièrement à l’abri de la moindre secousse sismique. Nous y sommes presque. La cape à vague ou cape anti-tsunami conçue en 2008 par les équipes de Stephan Enoch de l’institut Fresnel à Marseille offre la possibilité de repousser les ondes mécaniques de la houle. De forme circulaire, elle est capable par son agencement en "plots" formant des cercles concentriques (en photo ci-contre) de contraindre les ondes à la contourner, épargnant ainsi le centre de la structure.
Après avoir réalisé des expérimentations sur des prototypes de la taille d’un CD, les chercheurs projettent sous peu d'appliquer le procédé à grande échelle (200 mètres de diamètre). Si cela fonctionne, la cape pourrait alors se montrer d’une grande utilité pour protéger des structures installées au centre de ce bouclier. Mais le tsunami n'est pas le seul cataclysme envisagé. La méthode de l’invisibilité pourrait aussi être appliquée pour la protection contre les ondes sismiques.
Les chercheurs de l’institut Fresnel ont en effet eu l’idée de mettre au point un dispositif contre ces ondes dévastatrices dans certaines régions du monde. Toutefois, cette plaque dite "anti-vibration" ne permet malheureusement pas pour l’instant de parer à toutes les ondes sismiques. Il reste donc encore du travail à accomplir en collaboration avec les géologues pour pouvoir un jour mettre en application cette cape anti-séisme.
Alors que de nombreuses recherches sur la quête de l’invisibilité protectrice sont en cours dans le monde entier, ce n'est cependant pas le seul objectif nourri par les scientifiques. Car les projets visent aussi une échelle beaucoup plus petite.
Les métamatériaux, un "trou" dans la matière
"Mettez trois miroirs judicieusement agencés autour d’un objet, et vous n’y soupçonnerez même pas sa présence. Maintenant, nous pouvons remplacer ces miroirs par des métamatériaux", explique Claude Arma, directeur de recherche CNRS à l’institut Fresnel. En effet, les progrès effectués dans la connaissance de la matière ont permis de concevoir ce que l’on appelle des métamatériaux. Ces composés artificiels à l’échelle nanométrique se caractérisent en fait par leur capacité à dévier la trajectoire d’une onde lorsqu’elle arrive sur eux.
Au lieu d'être bloquée, l’onde contourne ainsi le corps pour retrouver ensuite sa trajectoire initiale et poursuivre sa propagation. Un peu comme lorsqu’un fluide rencontre un obstacle : ce dernier contraint le liquide à le contourner sans arrêter sa progression. Mais en quoi cet étrange métamatériau est-il un obstacle pour les ondes ? Comme pour le bouclier anti-tsunami, la particularité de ce composé se trouve dans sa structure : les nanostructures du métamatériau, en recevant une onde incidente, répondent par l’induction d’un champ magnétique lui-même capable de dévier ces ondes.
Dès lors, une multitude de type d’ondes peuvent potentiellement être déviées et retrouver leur trajectoire initiale à toutes les échelles et quelle que soit leur nature, électromagnétique à l’instar de la lumière, mais aussi sonore ou mécanique.
La transformation de l’espace, une porte ouverte à de multiples applications
Cette capacité à mettre l’espace entre parenthèse ouvre un champ d’application immense. En effet, tout ce qui se propage ou se diffuse peut théoriquement se voir exclure d’un espace en y modifiant la matière. Un métamatériau obligeant l’onde lumineuse à le contourner, il deviendrait de fait indiscernable par l’œil humain et donc réellement invisible. Pour autant la cape d’invisibilité d’Harry Potter verra-t-elle le jour ? Pas pour l’instant car pour que le système soit efficace, il faut que la longueur d’onde incidente soit d’un ordre de grandeur proche du métamatériau. Or, le fait est que le spectre de longueur d’onde du visible est très large (entre 400 et 800 nanomètres). La lumière peut donc être composée de plusieurs ondes de longueurs différentes. D'où la difficulté...
Néanmoins, il est possible d’imaginer toutes sortes d’avancées dans l’optique comme réduire visuellement la taille des antennes : "Imaginez que l’on réduise les antennes sur le toit des Airbus, l’économie de carburant serait significative" confie André Lustrac, professeur de l’Université Paris Ouest et directeur de l’institut d’électronique fondamental. On peut imaginer aussi la création de nouveaux circuits pour les télécoms... Les applications liées à cette capacité de dévier les ondes paraissent donc infinies. Et si la prochaine étape était la transposition de cette technique sur le temps ? Du côté des chercheurs, tous les fantasmes sont permis.
Source : http://www.maxisciences.com/invisibilit%e9/
SFH 05-2012
Des pics de pollution sur l’Everest supérieurs à ceux de Grenoble
Des pics de pollution sur l’Everest supérieurs à ceux de Grenoble
Un documentaire tourné à 5.000 m d'altitude relate l’aventure scientifique qui a permis de montrer la présence d’une importante pollution dans l’Himalaya. Témoignage de la réalisatrice du film Un nuage sur le toit du monde, à voir sur la chaîne TV Arte le 27/05/12 à 10h50, le 30/05/12 à 14h15 et le 04/06/12 à 14h10.
Sur Arte, cette fin de mois de mai 2012, le documentaire réalisé par Agnès Moreau, Un nuage sur le toit du monde, relate les conditions étonnantes dans lesquelles des scientifiques ont pu mesurer des pics de pollution plus forts sur le «toit de monde», dans l’Himalaya, que dans certaines villes européennes.
Cette aventure sportive et scientifique commence en 2006 par la construction d’un laboratoire - une pyramide de verre - et d’une cabane de mesures à plus de 5000 m d’altitude. Les données engrangées sont passionnantes : on observe certains jours une pollution de 10 microgrammes par m3 alors qu’à Grenoble elle n’est que de 1 à 2 microgrammes par m3.
Parmi les explications trouvées, l’existence d’un nuage de pollution riche en ozone et carbone noir, appelé ABC pour "Atmospheric Brown Cloud". Ce nuage, découvert dans les années 1990 par le Pr Veerabhadran Ramanathan (Scripps Institution, Californie, USA), se sert des vallées himalayennes comme d’un couloir pour atteindre le sommet des massifs, polluer leur atmosphère et faire fondre les glaces.
Quel est l’influence de ce nuage sur cette immense réserve d’eau qu’est l’Himalaya ? En quoi le réchauffement climatique modifie les 33.000 km2 de glace de cette chaîne de montagne ? Jusqu’à présent l’attention était focalisée sur les glaces du pôle nord et du pôle sud, en oubliant que la Terre possède son troisième pôle : l’Himalaya.
Ce dernier, comme les deux autres, voit son climat et sa végétation se modifier. Les scientifiques tentent donc d’inventer un modèle pour comprendre et analyser les changements observés sur la troisième plus grande réserve d’eau douce du monde. Un défi que nous propose de vivre en direct ce film.
Trois questions à Agnès Moreau, réalisatrice
Sciences & Avenir.fr : Filmer à 5000 m d’altitude, avec 30 à 35 % de capacité physique en moins, demande un peu de préparation. Comment vous êtes-vous préparée à ce tournage?
Agnès Moreau : Je me suis entraînée au parc des Buttes Chaumont (à Paris) pendant trois mois. Chaque jour, je courrais ou je marchais 40 minutes. Enfin avant de partir, toute l’équipe du tournage a passé un test d’aptitude au manque d’oxygène à l’hôpital de Bobigny.
Et sur place, comment avez-vous géré le fait de vivre avec 45% d’oxygène seulement ?
C’est vrai que nous étions sous la menace d’un œdème pulmonaire ou cérébral. Mais nous étions surveillés par un technicien de la station qui mesurerait régulièrement le taux d’oxygénation de notre sang. Il observait aussi toute modification de notre comportement qui aurait pu être un symptôme d’hypoxie (manque d’oxygène).
Il faut savoir que derrière l’équipe de tournage traditionnelle, il y avait des porteurs et des guides. Sans eux, rien n’aurait été possible. Nous étions bien incapables de porter notre matériel.
Comment s’organise la vie dans le laboratoire - la pyramide ?
Le laboratoire fonctionne toute l’année avec une dizaine de Népalais, souvent originaire de la région, qui restent sur place 5 mois environ. Puis ils rentrent chez eux, dans des villages qui sont souvent à plusieurs jours de marche. Les scientifiques viennent deux fois par an pour un mois et demi. Il y a une intendance très lourde, puisque tout le matériel est transporté à dos d'hommes, par les fameux sherpas.
Propos recueillis par Isabelle Do O'Gome pour Sciences & Avenir.fr
Le documentaire étant mis en VOD sur le site de Arte, vous pouvez aussi le voir gratuitement ici pendant quelques jours ou sur Arte lors des prochaines diffusions des 27, 30 mai et 4 juin 2012 :
Source : http://videos.arte.tv/en/videos/un_nuage_sur_le_toit_du_monde-6673746.html
SFH 05-2012