Articles de yvesh
OVNIs : avril 2012 suite 5
OVNIs : avril 2012 suite 5
Toujours de nombreuses observations d'objets non identifiés dans le ciel du monde en avril, voici un petit échantillon des photos ou vidéos de cette semaine, à commencer par une vidéo prise en banlieue d'une grande ville de France d'après le texte, j'avais cru reconnaître le chateau d'eau bien visible du côté du nord-est parisien, mais ce n'est pas évident vu le nombre du même type (surmonté d'antennes en +), le 12 avril 2012, des objets très lumineux se déplacent très vite à l'horizon :
http://news.gather.com/viewArticle.action?articleId=281474981278022
Le 8 avril 2012, des policiers prennent plusieurs photos d'un étrange objet volant à la frontière entre le Chili et l'Argentine :
Début avril 2012, Tianfu Square, Chengdu en Chine, une caméra automatique filme un objet rapide :
Voici une compilation des récentes vidéos prises par plusieurs témoins à St Petersburg le 11 avril 2012 :
Le 17 avril 2012, à Houdeng, Belgique, une boule lumineuse apparaît alors que le soleil se lève à gauche. Mon avis perso est qu'il s'agit probablement dune réflexion de la lumière sur une nuage et ses cristaux de glace... :
A la frontière de Corée du sud, le 20 avril 2012 :
Vers Melbourne, Australie, le 20 avril 2012 (http://www.realufos.net/) :
Le 21 avril 2012, à Haubstadt, Indiana, USA :
UFO ou apparition maritale ? Sauf s'il s'agit d'un trucage, évidemment, ce film ressemble plus à la descente d'une entité intelligente... ou un pack de ballons... :
Yves Herbo 04-2012
Incursion dans un domaine trop réservé : la monnaie - Part 4
Incursion dans un domaine trop réservé : la monnaie - Part 4
III )
De l'échange à la vente - La valeur - Les fonctions de la monnaie
De l'échange à la vente
Pour comprendre comment a évolué l'échange économique, revenons aux trois façons d'échanger des biens ou des services. Soit on les échange directement, immédiatement, sans monnaie, soit on se sert d'une monnaie-marchandise comme bien intermédiaire, soit on utilise la monnaie de crédit actuelle.
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L'échange direct, sans monnaie, est la façon la plus simple d'échanger biens ou services : Alice donne des carottes à Brigitte et Brigitte donne des pommes à Alice, elles se mettent d'accord sur les quantités pour estimer que l'échange est équitable. Dès que cet échange a eu lieu, les deux parties sont quittes. Alice peut manger ses pommes et Brigitte, ses carottes. Un tel échange direct entre personnes qui se connaissent et qui ont justement, par hasard, de quoi échanger, ne peut pas s'appliquer à l'ensemble des économies depuis que la production y a cessé d'être artisanale.
Il ne reste possible qu'à deux niveaux extrêmes.
— Soit entre individus qui se connaissent assez pour se faire confiance, il s'agit alors d'échanges de services entre amis, ou entre proches qui s’entre aident.
C'est un peu cet “échange de bons procédés” que les systèmes d'échanges locaux (SEL) organisent : leur objectif est de créer des relations d'échange entre personnes qui vivent à proximité mais qui, au départ, ne se connaissent pas. Elles n'ont donc aucune garantie que l'échange sera équitable, d'où la nécessité d'établir une véritable comptabilité des échanges, tout en laissant une totale initiative aux membres du SEL. Ce qui n'est pas simple.
— Soit entre pays, mais il s'agit alors de contrats d'échanges, impliquant une préparation, des négociations, des clauses et des modalités établies par les deux parties conformément à une juridiction au niveau international… qui pourraient être organisés par une Organisation Mondiale des Échanges pour en assurer l'équité.
*
Le second procédé consiste à utiliser l'intermédiaire d'une monnaie-marchandise.
Dans un premier temps, Alice donne des carottes à Brigitte, qui, n'ayant pas les pommes que cherche Alice, lui donne en contre-partie un autre bien ayant une valeur marchande dont elles estiment toutes les deux que sa valeur est équivalente à celle des carottes fournies par Alice.
Après ce premier temps, Brigitte peut manger les carottes. Par contre, Alice s'est séparée de ses carottes et se retrouve avec un objet dont elle n'a pas forcément l'usage, mais dont elle a l'assurance de pouvoir l’échanger plus tard, en sens inverse, contre, par exemple, les pommes de valeur équivalente dont elle a besoin. Quand elle aura trouvé à faire ce second échange, mais alors seulement, elle aussi sera quitte et pourra manger ses pommes.
Il y a donc un laps de temps pendant lequel celui qui a reçu la monnaie-marchandise à la place de ce qu'il cherchait n'est pas vraiment quitte parce qu'il faut qu'il trouve ensuite à l'échanger contre la marchandise dont il a besoin. Pendant ce temps, il peut perdre sa monnaie, se la faire voler, le prix des pommes peut augmenter, il peut y avoir pénurie de pommes ou seulement baisse de la valeur de l'objet intermédiaire, par exemple s'il est devenu plus abondant, etc.
L'intervention d'une monnaie-marchandise retarde le moment où les deux parties qui échangent sont quittes. Mais en attendant elles possèdent toutes les deux un bien qui garde une valeur réelle, même si elle peut varier.
Ce type d'échange a disparu en même temps que la monnaie-marchandise.
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Le troisième cas comporte l'utilisation d'un reçu : Christian vend des pommes à Denise, qui n'a pas en contre-partie une marchandise de valeur équivalente. Elle remet à Christian un reçu par lequel elle s'engage à lui régler sa dette plus tard : Denise reste débitrice, Christian reste créditeur, ils ne sont pas quittes.
Bien que Christian ait fourni sa part, la vente continue à le concerner aussi longtemps que Denise n'aura pas produit la marchandise équivalant au reçu. Il peut avoir besoin de ce que sa débitrice lui doit. Quelle garantie a-t-il que Denise tiendra son engagement ? Elle peut être empêchée de le tenir par un accident, mourir ou perdre son emploi, et elle peut être malhonnête et disparaître sans avoir réglé sa dette. Et quelle garantie a Christian que quelqu'un acceptera d'accorder de la valeur à ce morceau de papier qui n'a aucune valeur propre ? Et s'il trouve quelqu'un qui l'accepte, est-ce que ce sera bien contre l'équivalent de ce qu'il a fourni ?
Au retard introduit par la monnaie-marchandise la monnaie de crédit, par son absence de tout lien avec une richesse concrète clairement définie, non seulement ajoute un risque, car la question se pose de savoir ce que vaut cet engagement à payer, mais en plus elle modifie doublement la nature de la transaction. D'une part, l'un des termes de l'échange a changé de nature, il s'est dématérialisé et pas l'autre. D'autre part, les deux échangeurs jouent maintenant des rôles différents, l'un, le vendeur, cède à l'autre un bien réel (ou un service) dont la valeur est ainsi concrétisée, alors qu'il ne reçoit de l'acheteur ni marchandise utilisable, ni service équivalent, donc incontestable : le vendeur est payé par une promesse symbolique, dont l'utilisation ensuite pour une opération en sens inverse reste aléatoire.
Le bien (ou le service) ne va plus que dans un seul sens, du producteur vers le consommateur. En sens inverse c'est un symbole qui est transféré. Il n'y a plus échange mais vente et achat.
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En fait d'échange, on ne rencontre plus dans nos économies, que cet achat-vente à l'aide de la monnaie de crédit qui est aujourd'hui en circulation : le métal des pièces est sans valeur, les billets n'ont jamais eu de valeur intrinsèque et la monnaie scripturale est faite par jeux d'écriture.
Le système actuel est donc une généralisation de la vente avec monnaie de crédit. Il y a généralisation du débiteur : tous les ressortissants du pays sont débiteurs, puisque la loi les oblige à accepter la monnaie nationale en paiement et qu'ils sont ainsi tenus d’honorer cette dette collective. Il y a généralisation du créditeur : quiconque possède de cette monnaie-reconnaissance de dette est créditeur de la nation puisqu’il a une créance sur elle.
Nous reviendrons plus loin sur les conséquences de ce système.
La valeur.
La valeur est une notion très générale, puisqu’elle va de la désignation d'un caractère abstrait quand il s’agit d’une valeur morale, celle d'un acte courageux par exemple, ou du talent manifesté par un artiste, jusqu'à une mesure aussi concrète que le prix du kilo de terre. Il faudrait au moins distinguer la valeur d'usage de la valeur d'échange.
La valeur d'usage d'un bien est très personnelle puisqu'elle relève de l'appréciation de celui qui est susceptible de l'utiliser et, comme l'a montré Ricardo, chaque homme a «un étalon personnel pour apprécier la valeur de ses jouissances» (27). Celle-ci dépend donc aussi de son environnement et de ses moyens personnels. Il en résulte qu'il n'est pas possible de définir une mesure de la valeur d'usage.
La conséquence est énorme au plan humain… car lorsque marchants, commerçants et économistes emploient le mot valeur, sans préciser, et c’est courant, chacun de nous a tendance, instinctivement, à penser à la valeur d’usage pour lui-même. Alors que c’est toujours de la valeur d'échange d’un bien qu’il s’agit. Et depuis que l'échange entre marchandises a disparu, cette valeur est devenue, de fait, le prix auquel un objet ou un service peut être vendu. Donc quand on entend parler de valeur en économie, il faut traduire par prix du marché.
… Et se demander comment ce prix est établi. Car la réalité est fort loin de la théorie classique du marché selon laquelle le prix serait la manifestation d'un équilibre établi en toute connaissance de cause par la confrontation de l'offre et de la demande venant d'agents économiques parfaitement informés et agissant de façon toujours rationnelle. En réalité, les prix sont affichés par le vendeur, et il n'y a que très rarement débat : quand un client éventuel tente de lui faire modifier son prix, on parle de marchandage et non plus de marché. La confrontation entre offre et demande ne se produit que sur les marchés des capitaux (à la Bourse des titres mobiliers ou à celle des matières premières) où le comportement des acteurs qui fixent les cours est celui des moutons de Panurge : se fiant à leurs impressions personnelles, ils cherchent à anticiper sur ce qu'ils appellent la tendance, à seule fin de profiter, en pariant à la hausse ou à la baisse, sur ce que va être, à leur avis, le comportement des autres. On ne saurait trouver témoignage plus compétent pour décrire cette attitude que celui du Directeur de la Fed (la Banque centrale desÉtats-Unis) : Alan Greenspan évoque «l'exubérance irrationnelle des marchés» !
De sorte que l'utilité générale, la finalité éthique, la qualité humaine et tous autres aspects sociaux sont des considérations qui n'entrent pas dans les préoccupations de ceux qui fixent la “valeur” économique d'une entreprise ou d'un bien.
N'est-il pas temps de réfléchir à la façon de fixer le prix de vente d'un bien plus sérieusement que les boursicoteurs… ?
(27) L'Anglais David Ricardo (1772-1823), un des premiers théoriciens de l'économie classique, est àl'origine de la “loi” de la rente foncière, et fut le premier à affirmer que le travail humain est la source de toute valeur.
Les fonctions de la monnaie.
Dans quelle mesure peut-on encore admettre ce que tout manuel d'économie énonce comme étant les trois fonctions de la monnaie ?
*
La première de ces fonctions est d'être étalon de valeur et unité de compte parce que la monnaie est interchangeable contre un bien, quel qu'il soit. On dit pour cette raison que la monnaie est un “équivalent général” ce qui conduit à ne pas voir l'uniformisation, la perte d'identité que cela implique quand on sait que cette expression un “bien, quel qu'il soit” inclut le temps de travail humain.
En effet, et quel que soit son nom, franc, grain de sel, euro ou unité de valeur (“UV”), l'unité de compte est, par définition, le moyen de tout ramener à une référence commune de valeur. Cela mène à l'absurde car c'est prétendre mesurer “à la même aune” des biens aussi peu comparables qu'un dessin de Léonard de Vinci et plusieurs tonnes de riz.
Il faudrait, au moins, distinguer ce qui est mesurable, quantifiable, de ce qui ne l'est pas. Une tonne de riz vaut sans doute mille fois plus qu'un seul kilo de ce riz, mais la qualité d'une peinture ou celle d'un logiciel de traitement de texte ne se compare pas à celle d'une pâtisserie.
Ces qualités ne sont pas mesurables et il n'est pas possible de les comparer de façon objective. Même avec des grandeurs de même nature !
Un étalon, par définition, est universel et invariable. Comment peut-on employer pour la monnaie le terme d'étalon de valeur alors que même quand l'étalon monétaire était défini par une masse d'or, il n'a jamais cessé de varier, et de façon officielle ? Alors, à plus forte raison, comment l'admettre depuis qu'il n'existe plus du tout de référence réelle et que la valeur d'échange nos euros actuels, par exemple, varie à chaque instant ? Pour mesurer une richesse, il faut la comparer à une richesse de même nature, comme pour mesurer une longueur, il faut une longueur universellement reconnue et le mètre a été défini pour cela. Imagine-t-on mesurer les longueurs avec un mètre élastique ?
Compte tenu de ce que nous avons rappelé sur l'évolution de l'échange, il serait donc plus correct de dire que la première fonction de la monnaie est d'être, non pas un étalon de valeur, mais un moyen de paiement.
Et si l'on voulait cesser de mélanger l'être et l'avoir, c'est-à-dire distinguer les biens matériels et tout ce qui est impondérable, il faudrait que l'économie cessât de vouloir tout rapporter à la monnaie, mais seulement ce qui est mesurable.
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Nous avons vu qu'en perdant toute valeur intrinsèque et toute référence à une richesse réelle et disponible, la monnaie a fait disparaître des économies modernes l'échange de biens ou de services. Donc, contrairement à une expression très courante, nous ne sommes plus, à proprement parler, dans une économie d'échanges. Les manuels d'économie énoncent pourtant que la seconde fonction de la monnaie est d'être un intermédiaire des échanges et ils ajoutent que cet instrument d'échange est «admis partout et par tout le monde, en toutes circonstances dans nos économies monétaires [ce qui suppose] qu'il existe un consensus social et la croyance que l'on peut obtenir à tout moment n'importe quel bien en échange de monnaie (28)». Confiance… ou bien obligation quand l'État impose le cours forcé et le cours légal d'une monnaie nationale sans valeur de référence ?
*
La troisième fonction de la monnaie serait d'être une réserve de valeur. Ce qui suppose que la monnaie a une valeur, pour pouvoir la garder en réserve. Alors que, depuis qu'elle a cessé d'en avoir, elle a évidemment cessé du même coup d'en être une réserve…
Il est évident que pour toutes les personnes qui ne disposent que de faibles revenus, la monnaie ne constitue pas une réserve de valeur puisqu'elle est vite et entièrement dépensée !
Quant à celles qui gagnent plus qu'elles ne dépensent, elles s'empressent de “placer” leur argent… justement pour éviter qu'il ne perde sa valeur !
De ces trois fonctions classiques, on peut conclure que seule la première subsiste, mais à condition d'être énoncée en disant que la monnaie est un pouvoir d'achat et que dans le système actuel, il varie constamment.
Des deux autres, nous avons retenu que lorsque l'économie n'est plus faite d'échanges individuels, une monnaie reste nécessaire pour permettre le transferts des biens entre les producteurs et les consommateurs, pour en assurer la gestion, éviter les gâchis, adapter la production aux besoins, etc. et aussi pour permettre de différer le moment d'opérer un achat, pourvu que la valeur nominale de la monnaie soit garantie pendant ce délai.
*
Mais la monnaie actuelle a, de fait, d'autres fonctions, alors que les manuels classiques ne les énoncent généralement pas…:
L'une de ces autres fonctions de la monnaie “moderne” est celle de “fructifier” : en ouvrant un crédit à un de ses clients, la banque offre au titulaire du prêt le moyen d'échanger sur les marchés financiers son titre de crédit contre un capital financier, par exemple contre un titre de propriété en actions ou bien contre des obligations, susceptibles de lui rapporter régulièrement un revenu. On voit donc que la monnaie de dette actuelle a la capacité de produire une rente, donc qu'elle a pour fonction supplémentaire d'être un facteur d'enrichissement.
Il faudra se demander qui fait les frais de cette rente.
Mais ce n'est pas tout. Puisqu'“on ne prête qu'aux riches”, cette fonction d'enrichissement ne joue qu'en faveur des (déjà) riches, ceux qui peuvent offrir une “garantie” à l'organisme de crédit, notre monnaie a donc aussi une fonction de renforcement des inégalités.
*
Concluons que la monnaie actuelle, capitaliste et moderne, est :
• pour les faibles revenus, seulement une monnaie de consommation,
• pour les hauts revenus, en plus, un moyen de s’enrichir sans rien fournir.
(28) Voir l'introduction du livre de D. Plihon “La monnaie et ses mécanismes”.
Sources : http://www.france.attac.org/ et multiples références
Yves Herbo/MPSA/2014
Articles, Podcasts et News SerieViewer du 07-04 au 13-04-2012
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http://www.serieviewer.com/podcast/les-bonus/seriespod-bonus-2151.html le côté obscur de l'équipe...
04-2012
Invasion Extraterrestre sommes nous prêts ?
Invasion Extraterrestre sommes nous prêts ?
La science des temps modernes laisse entendre que les extra-terrestres pourraient très bien exister et qu’ils ne seraient pas aussi sympathiques que le célèbre E.T. Si tel était le cas, serions-nous prêts à faire face à une invasion de petits êtres venus d’ailleurs ? Pour tenter de répondre à cette question, l’actrice MICHELLE RODRIGUEZ, remarquée dans « Fast and Furious 1, Avatar, et la série Lost », réunit de grands scientifiques, des stratèges militaires et des écrivains pour imaginer et mettre en scène ce qui se passerait si les extra-terrestres attaquaient la Terre et déterminer le moment où cela serait susceptible de se produire.
Michelle Rodriguez
Voici la vidéo : Durée 45 mn en Français :
CURIOSITY : Invasion Extraterrestre
http://www.secret-realite.net/index.php?mod=articles&ac=commentaires&id=1367
YH-SFH-04-2012
Révélations sur la présence et les activités des aliens
Révélations sur la présence et les activités des aliens. L’Humanité est-elle sous influence ?
Ci-dessus : photo prise par la sonde américaine NEAR-Shoemaker d’un cratère de l’astéroïde Eros. Ce document figure sur le site officiel de la Nasa. Voici le commentaire que l’agence spatiale américaine donne de ce cliché surprenant : « cette image, prise d’une altitude orbitale de 53 km (33 milles), montre une surface carrée ayant 1,8 km (1,1 milles) de coté. De nombreux cratères qui parsèment cette surface ne mesurent pas plus de 8 mètres (26 pieds) de large. Le grand bloc rectangulaire ( ! sic) en haut à droite, mesure 45 mètres (148 pieds) de longueur (Image 0132577092) ». Visiblement la Nasa ne souhaite pas commenter dans le détail l’anomalie figurant sur ce cliché. Elle se contente de l’assimiler à un « grand bloc rectangulaire » sans aucune autre précision. Pour nous, il s’agit sans aucun doute d’une structure artificielle d’origine extraterrestre. Pour plus d’informations sur la mission NEAR et l’anomalie photographiée sur EROS : http://www.lesconfins.com/Eros%20anoma.htm
Dans notre DOSSIER N°3 consacré au phénomène ovni et intitulé, « ILS SAVENT ! », que vous pouvez consulter à l’adresse suivante : http://www.lesconfins.com/ils_savent.htm , nous écrivions en exergue le paragraphe suivant :
QUELQUES REFLEXIONS SUR LES MILITAIRES, LES SCIENTIFIQUES, ET LES POLITIQUES QUI SAVENT LA VÉRITÉ AU SUJET DES OVNIS.
Pourquoi nous cache-t-on la vérité au sujet des ovnis, et pourquoi nous heurtons-nous toujours aux démentis officiels ?
Le titre de ce dossier peut paraître à la fois énigmatique et accrocheur, mais il tente de faire le point sur une situation de fait qu'il est désormais possible de prouver, et dont les implications restent insoupçonnées par la majorité de nos contemporains.
1) Prendre conscience que de telles « choses » peuvent exister. Si dans le DOSSIER N°3 nous avons tenté de montrer que certains groupes de militaires, de scientifiques, et dans une moindre mesure, de politiques, savaient de façon certaine qu’il existe sur notre planète une présence extraterrestre, nous n’avions cependant pas analysé en profondeur toutes les implications de cet état de fait. C’est ce que nous allons essayer de faire dans ce nouveau dossier en allant le plus loin possible dans les implications qui résultent de cette présence étrangère, et en reconnaissant dans le même temps, que si certaines de ces implications peuvent paraître totalement « folles », horribles, ou même délirantes, elles n’en demeurent pas moins possibles. Nous verrons aussi dans le dernier paragraphe (« Alternative ») que la réalité n’est peut-être celle que l’on cherche à nous faire croire. Quoiqu’il en soit, notre objectif est d’explorer des hypothèses et de suivre des pistes, en reconnaissant volontiers qu’elles ne sont pas forcément le reflet exact de la réalité. L’important est de prendre conscience que de telles « choses » peuvent exister. La nuance est que nous ne disons pas que nous avons des preuves irréfutables que ces « choses » existent, mais que nous avons trouvé des indices sérieux qui convergent tous dans le sens de leur possible réalité. Ensuite, le lecteur est libre de se faire sa propre opinion. En tout cas, l’une des conclusions à laquelle nous étions parvenus dans notre précédent dossier était qu’il existait trois principaux degrés d’implications des militaires, des scientifiques et des politiques vis-à-vis du phénomène ovni. A noter que les politiques n’auraient pas le même niveau d’habilitation que les militaires et les scientifiques : « Les présidents (des Etats-Unis) successifs ont été tenus à l’écart, parce qu’ils n’avaient pas l’habilitation requise… » (propos du Dr. Edgar Mitchell pour Discovery Channel).
2) Degré 0 (zéro) d’implication. Caractéristiques du degré zéro : observation et détection à distance du phénomène ovni. Collecte de rapports d’observations et de témoignages. Enregistrements radar, films et photos d’ovnis. Récupération de divers matériaux (fragments de métaux, implants) dont l’origine n’est pas humaine. Analyses approfondies de traces au sol, d’échantillons de végétation ayant subits des altérations. Le phénomène ne représente pas une menace pour la sécurité des états. Les autorités assistant impuissantes aux évolutions du phénomène ovni dans leurs espaces aériens. Pas de contact direct avec le phénomène, mais simple constat que ce phénomène est bien réel.
3) Degré 1 d’implication. Caractéristiques du degré 1 : observation du phénomène ovni avec contacts sporadiques et limités, sans influence directe sur les affaires humaines. Rencontres secrètes que l’on peut qualifier de « courtoises » entre des représentants de la civilisation (ou des civilisations) qui produit le phénomène ovni et des représentants terriens rigoureusement sélectionnés. Echanges d’informations, voir transferts limités de technologies. Démonstrations des prouesses des ovnis pour montrer aux terriens leur supériorité technologique. Contacts avec le phénomène ovni, mais pas d’interférence notable avec les affaires humaines. Tout se passe à un niveau très confidentiel.
4) Degré 2 d’implication. Caractéristiques du degré 2 : Il y a des contacts importants et fréquents au plus haut niveau. Collaboration active avec la (ou les) civilisation(s) extraterrestre(s). Il existe des échanges importants d’informations et des transferts massifs de technologies. Nous pouvons imaginer que dans le pire des scénarios les extraterrestres exerceraient un contrôle presque total sur notre planète. Ils dicteraient les grandes lignes de l’organisation économique, politique et scientifique des Etats. Ils pourraient programmer notre avenir. Une infiltration des extraterrestres dans toutes les sphères dirigeantes de la planète est aussi envisageable. Ils pourraient même prendre une apparence humaine pour passer inaperçus. Dans ce scénario de l’extrême, les politiques seraient soumis aux extraterrestres. A ce niveau d’implication tout est possible. Le phénomène peut alors représenter une grave menace pour notre planète et l’avenir de notre civilisation. C’est le pire des scénarios, digne des théories « conspirationnistes » les plus sombres. Une alternative est cependant envisageable. Nous pouvons, en effet, imaginer l’hypothèse inverse, c’est-à-dire que les extraterrestres exerceraient un contrôle bénéfique et positif sur notre civilisation, avec l’intention de nous guider et peut-être même de nous « éduquer », pour nous permettre d’accéder à un niveau supérieur de civilisation. Le degré 2 implique des contacts étroits avec les extraterrestres, avec intervention et ingérence maximales dans les affaires humaines. Tout se passe à un niveau confidentiel mais les militaires et les scientifiques sont soumis au phénomène. Le phénomène dicte sa « loi », mais cette « loi » est destinée à nous faire progresser. Les extraterrestres auraient un « plan » destiné à orienter l’évolution de l’espèce humaine dans un sens bénéfique pour nous. Le point de départ de nos réflexions est que le degré zéro d’implication est une certitude. L’existence du phénomène ovni est un fait qui n’est plus à démontrer. Il existe désormais tellement de preuves de sa réalité qu’il n’est plus nécessaire de débattre de cette question. Par ailleurs, il faut noter que les trois niveaux d’implication des structures politiques, militaires, et scientifiques, décrits ci-dessus, sont bien évidemment très schématiques. Il peut exister de nombreux degrés intermédiaires entre ces trois grandes catégories. Toutes les combinaisons sont en fait possibles. Ce qui est sûr en tout cas, c’est que le « degré zéro » est aujourd’hui une réalité bien établie, indiscutable. Le « degré deux » est seulement probable. Il représente le degré extrême d’implication.
5) Quel degré d’implication ? Selon nous, la réponse à la question des mobiles qui sont à l’origine de l’étrange politique du secret orchestrée par les structures dirigeantes vis-à-vis du phénomène ovni dépend du degré d’implication considéré. Si nous supposons que ce degré est égal à zéro, on voit mal pourquoi ces structures maintiendraient à tout prix un secret qui en fait n’en est pas vraiment un. La question des ovnis intéresse, en effet, de nombreuses personnes à travers le monde depuis au moins la fin de la seconde guerre mondiale. Les informations concernant le phénomène ovni sont abondantes et chacun peut mener ses propres recherches sur ce sujet en toute liberté. Dans ce cas (degré d’implication égal à zéro) les raisons du secret seraient nécessairement triviales. Le souci de conserver une certaine crédibilité vis-à-vis de l’opinion publique pourrait, par exemple, motiver une telle attitude. Par contre, si nous supposons que ce degré est proche de 2, les raisons d’un tel secret s’expliquent déjà beaucoup mieux. Si l’on admet cette possibilité nous pouvons tout imaginer. Des contacts planifiés assortis de prises de décisions concertées entre des extraterrestres et des représentants terriens sont alors tout à fait envisageables. Rien ne prouvent que te tels contacts existent réellement, mais c’est une éventualité qu’il ne faut pas rejeter sans examen.
6) Les déclarations du Dr. Edgar Mitchell. Dans notre DOSSIER N°3, nous avions repris les déclarations du Dr. Mitchell exprimées lors de divers interviews pour la radio et la télévision. Pour le présent dossier, nous nous sommes servis d’une interview qui a été enregistrée sur un DVD consacré aux ovnis et intitulé : « OVNIS, 50 ans de déni. Dissimulation des ovnis et des technologies alien par le gouvernement » (2011). Dans ce DVD figure aussi une interview du colonel Philip J. Corso, qui est fort instructive. Corso confirme qu’il y a bien eu un crash à Roswell. Lui même a vu des créatures extraterrestres qui avaient été récupérées et conservées dans un « fluide ». Il avoue aussi que des officiers supérieurs de l’Armée savent tout des événements qui se sont déroulés le 4 juillet 1947 à Roswell, mais qu’ils ne peuvent pas parler car ils sont sous serment. D’après lui, les Russes s’intéressaient beaucoup à cette affaire et ils avaient même envoyé des espions sur place. Devenu âgé, Corso est désormais favorable à une divulgation sans réserve des informations détenues par les agences de renseignement et l’armée au sujet des ovnis. Pour lui, le Projet Blue Book (« Livre Bleu ») qui fut la commission créée par l’US Air Force et qui oeuvra entre 1952 et 1969, fut une absurdité complète, inutile, et contre-productive. En ce qui concerne les propos de Mitchell, ils ne sont pas à prendre à la légère, et chacun de ses mots à son importance. Si nous avons choisi cette personnalité comme source d’information c’est parce que le Dr. Mitchell est une personnalité hors du commun. Docteur en aéronautique et en astronautique, c’est un héros national et une figure charismatique pour celles et ceux qui sont passionnés par la conquête spatiale. Pilote du LEM, il fut le sixième homme à marcher sur la Lune lors de la mission Apollo14 qui s’est déroulée le 31 janvier 1971. Son point de vue peut se résumer ainsi : l’ancien astronaute est persuadé qu’un groupe secret, ce qu’il appelle « les gens de l’intérieur » (ce que nous appelons la « cellule spéciale » – voir notre dossier « Ils Savent ! »), dont les membres (inconnus du public) appartiennent à des sociétés privées très proches des milieux militaires, possède des informations capitales sur le phénomène ovni. Ce groupe secret serait en contact avec une (ou plusieurs) civilisation(s) extraterrestre(s) et bénéficierait d’un apport de technologies de la part des représentants de cette (ou ces) civilisation(s). Le monde du renseignement militaire serait parfaitement informé de l’existence de cette présence étrangère et maintiendrait le secret à n’importe quel prix. Le crash d’un ovni à Roswell est une réalité connue de ce groupe. Le groupe appelé « MJ12 » (ou un groupe similaire) à bien existé. Par ailleurs, bien que la Nasa réfute son implication dans cette dissimulation, il paraît néanmoins évident qu’elle possède des informations d’une extrême importance sur ce sujet. Si nous estimons que les propos de Mitchell sont crédibles, alors ils pourraient étayer de façon sérieuse l’hypothèse du « degré 02 d’implication ». Examinons maintenant plus en détail quelques-unes des idées de Mitchell.
7) Les « gens de l’intérieur ». L’utilisation de l’expression « gens de l’intérieur »,
signifie qu’il existerait un groupe secret d’individus qui détiendrait des informations ultra-sensibles concernant les ovnis et leurs occupants. Si l’existence de ce groupe est plus que probable, il est en revanche très difficile d’estimer le nombre d’individus qui le compose. L’aspect le plus troublant dans l’existence d’un tel groupe c’est qu’il se situerait en dehors de toutes les structures officielles connues et identifiables. On a longtemps soupçonné l’armée américaine d’abriter en son sein un groupe de ce genre qui, bien que secret, dépendrait malgré tout de l’armée, de son organisation et de sa hiérarchie. Les agences de renseignement américaines (CIA, FBI, NSA, NRO, DIA, etc..) sont aussi de bonnes candidates susceptibles d’héberger des groupes clandestins travaillant en secret sur le phénomène ovni. Hors, le point de vue de Mitchell suggère que ces mystérieux « gens de l’intérieur » ne seraient dépendants ni de l’armée, ni des services secrets, ni du gouvernement, ni d’aucune autre instance gouvernementale identifiable. Dans ce sens, il s’agirait bien de « privés » comme le dit Mitchell, et ces « gens » n’auraient littéralement de compte à rendre à personne (sauf peut-être aux extraterrestres eux-mêmes). Une telle situation, si elle est réelle, suscite de nombreuses interrogations. Comment le groupe est-il financé ? De quels appuis bénéficie t’il ? D’où tire-t-il son pouvoir ? De quelles armes et de quelles technologies dispose-t-il ? Quel est le sens de son action ? S’il est difficile de répondre à chacune de ces questions, nous pouvons malgré tout concevoir une sorte de « scénario » dans lequel les « gens de l’intérieur » représenteraient une « agence » qui occuperait une position située en réalité à l’extérieur de toutes nos structures sociales. Curieusement, plus que des « gens de l’intérieur », il s’agirait de gens de l’extérieur », c’est-à-dire d’individus qui ne seraient pas soumis aux lois qui s’appliquent aux citoyens ordinaires (impunité absolue), et qui ne seraient intégrés à aucune des hiérarchies existantes, qu’elles soient civiles ou militaires. Conclusion : personne n’aurait de prise sur eux, et ils ne pourraient être empêchés d’agir par aucun pouvoir connu. Si un tel groupe possédant de tels pouvoirs (exorbitants) existe réellement, c’est une situation très alarmante contre laquelle, malheureusement, nous n’avons aucun moyen d’action. Ce qu’il importe de comprendre, c’est que nous ne serions pas en présence d’une structure dont le but serait d’étudier le phénomène ovni en secret, une sorte de « labo » clandestin en quelque sorte financé par le gouvernement, mais d’un groupe qui n’ignore plus rien de ce phénomène et qui se trouve être au coeur même de toutes les « affaires » liées aux ovnis (abduction, Roswell, mutilation du bétail, retro-ingénierie ou reverse engineering, hommes en noir ou men in black, bases souterraines aliens, désinformation, manipulation, projets noirs, etc..). Aujourd’hui, la problématique du phénomène ovni a changé et les ufologues devraient se poser de nouvelles questions. Les études menées sur ce sujet devraient intégrer de nouveaux paramètres. La collecte pure et simple de témoignages n’est plus suffisante. Ce qu’il faut chercher à établir désormais, c’est le degré exact d’implication de certains groupes humains vis-à-vis de ce phénomène. C’est une tâche difficile, mais les quelques informations dont nous disposerions seraient lourdes de conséquences.
Men In Black dans les Niagara Falls
Men In Black dans les Niagara Falls
Presqu'un titre de film, mais une histoire très étrange est arrivée à un directeur d'hôtel et à son agent de sécurité, témoins le 14-10-2008, puis vers la fin du même mois, d'un gros OVNI en forme de triangle. Ils sont employés dans un hotel du côté des Niagara Falls, dans l'Ontario mais n'étaient pas en service quand l'hotel a reçu la visite de deux personnages étranges venus à leur recherche, quelques jours après leurs témoignages dans la presse. Ils ont été reçu par une employée de l'hôtel et c'est elle qui en a ensuite parlé à l'intéressé. Les deux étranges visiteurs ont été décrits ainsi par les employés de l'hotel : tout à fait identiques du point de vue vêtements noirs, chapeaux noirs, visages, taille et silhouette. De vrais jumeaux avec une peau très pâle et surtout des yeux identiques très bleus et "hypnotiques", aucun cheveu apparent sous le chapeau.