Articles de yvesh
OVNIs : avril 2012 suite 1
OVNIs : avril 2012 suite 1
Le 03 avril 2012, vers Monument Valley, Californie, USA, le caméraman filme le splendide paysage quand un objet traverse rapidement la scène de gauche à droite :
Le 07 avril 2012, plusieurs passagers d'un avion voient un objet en forme de soucoupe entre eux et le sol, l'un d'entre eux peut prendre quelques images .Près de Séoul, Corée du sud :
UFO .filmé d un avion. Séoul. sud Coré . 07.04 par androbate
04-2012
MHD : Publication d’une nouvelle communication scientifique
MHD : Publication d’une nouvelle communication scientifique
Comme annoncé fin janvier, la communication présentée par JP Petit et JC Doré au 3ème Colloque sur les Hautes Puissantes Pulsées (EAPPC2010) en Corée,« Confinement pariétal par inversion du gradient de champ magnétique », a été publiée dans la revue scientifique à comité de lecture Acta Physica Polonica A.
En marge de l’édition papier, elle est également accessible en ligne sur le site web de la revue (Volume 121, numéros 3).
04-2012
Un OVNI de 7.5 tonnes fait par l'homme
Un OVNI de 7.5 tonnes fait par l'homme
Après dix jours de travail, l'œuf géant va être découpé aujourd'hui et distribué aux habitants de Bariloche, une ville de 1.800 km de Buenos Aires. © DPA/MAXppp/Juan Macri
PHOTO Huit mètres et demi pour 7,5 tonnes, le plus gros œuf de Pâques est à Bariloche, en Argentine. Dix jours de travail pour la douzaine de chocolatiers de la ville ont été nécessaires pour réaliser cet œuf monumental de cinq mètres de diamètre. le plus gros de l'année 2012...
04-2012
La voiture volante : la solution ?
La voiture volante : la solution ?
Un nouveau type d'OVNI risque de rendre la perception du vrai phénomène plus difficile encore pour l'être humain dans le futur : la voiture volante. En effet, la recherche est en plein boum sur le sujet, et les premiers prototypes confirment les progrès effectués en la matière :
Premier test réussi pour la voiture volante
Le rêve d'une voiture volante renaît grâce à la compagnie néerlandaise PAL-V (Personal Air and Land Vehicle), qui a complété avec succès ses premiers tests aériens au cours des deux dernières semaines.
Le véhicule breveté fonctionne comme un gyrocoptère, aussi appelé autogire, utilisant une grande hélice au sommet pour s'élever dans les airs et une petite hélice pliante à l'arrière pour se propulser vers l'avant.
Le PAL-V respecte les normes de transport actuellement en vigueur dans les grandes régions du monde, autant sur route que dans le ciel. En tout temps, sa vitesse de pointe s'établit à 180 km/h. Il dispose également d'une autonomie en vol allant de 350 à 500 kilomètres, dépendamment de la charge qu'il transporte. Son moteur consomme de l'essence, mais le fabricant promet une version biodiesel/bioéthanol dans un avenir rapproché.
Un système breveté d'inclinaison permet à ce trois-roues de se comporter comme une moto. Les accélérations, par ailleurs, s'avèrent dignes d'une voiture sport.
Parce qu'il décolle et atterrit à basse vitesse, le PAL-V demeure facile à contrôler. En fait, seulement 20 à 30 heures de formation sont nécessaires pour obtenir un permis de pilote. Pour quitter le sol, le véhicule a besoin d'une piste de 165 mètres, qu'elle soit en asphalte ou en gazon.
http://www.auto123.com/fr/actualites/premier-test-reussi-pour-la-voiture-volante?artid=142263
La voiture volante pourrait devenir réalité
Aux Etats-Unis, la firme Terrafugia a annoncé le succès du premier vol d'essai de sa voiture volante ce mardi. Le prototype baptisé "Transition" --un petit avion qui peut circuler sur route avec les ailes repliées-- a volé pendant huit minutes, ouvrant la voie à sa commercialisation d'ici un an, a précisé la firme Terrafugia .
«Avec ce vol, nos équipes ont montré leur capacité à rendre réel ce qui était jusqu'à maintenant considéré comme un rêve impossible à réaliser», se félicite le fondateur de l'entreprise, Carl Dietrich. D'une autonomie de 787 kilomètres, «Transition» est large de 2,3 m en version voiture, ce qui lui permet de se garer dans un garage classique, et de 8 m quand ses ailes sont déployées pour voler.
Pour s'envoler, l'engin a besoin d'une piste de 762 mètres de long, rendant de fait impossible le rêve de s'envoler au-dessus des embouteillages, sauf à prévoir son décollage à l'avance.
De nombreuses entreprises ont déjà tenté de vendre une voiture volante, mais aucune n'est parvenue à céder plus de quelques modèles. D'un coût de 279.000 dollars, "Transition" a déjà été commandé à une centaine d'exemplaires, assure Terrafugia. Les constructeurs espèrent aussi d'ici là séduire les forces de l'ordre, la police aux frontières ou même l'armée, en plus des passionnés d'aviation.
Yves Herbo 04-2012
Oani, ovni, haarp, phénomène météo ?
Oani, ovni, haarp, phénomène météo ?
La photo n'est pas liée à la vidéo
UFO. uso.haarp?2012 par androbate
Impressionnante vidéo : j’ai l’impression qu’ils ont assisté en direct à la création d’une trombe marine : peut-être une vidéo assez unique ou en tout cas rare, car seule la création de trombes et tornades artificielles a pu être bien étudiée logiquement… le lien entre la base sur l’eau et le nuage, composé d’air tournoyant à grande vitesse est invisible et n’apparaît que vers la fin quand la base rejoint la verticale du nuage et que la trombe se forme avec l’eau aspirée vers le haut… ils s’en sont rendus compte à temps pour ne pas être aspirés ou coulés à mon avis !
Je ne vois pas d’autre explication pour ma part et vous ?
autre source : https://investigationsoanisetoceanographie
Yves Herbo - 04-2012
La Terre pourrait se réchauffer plus vite que prévu d'ici 2050
La Terre pourrait se réchauffer plus vite que prévu d'ici 2050
Un nouveau modèle climatique a vu le jour. Avec 9.745 combinaisons différentes des trois paramètres souvent sources d’incertitudes : la sensibilité du climat au CO2 atmosphérique, la présence d’aérosol dans l’air et la quantité de chaleur absorbée par les océans. Une conclusion s’impose : la Terre pourrait se réchauffer plus vite que prévu d'ici 2050.
De nombreuses simulations sont utilisées pour prédire l’augmentation des températures durant le XXIe siècle. Elles reposent sur la modélisation de divers phénomènes physiques et chimiques. Pourtant, il est difficile d’étudier les conséquences de variations affectant un seul et unique paramètre tant la machinerie climatique est complexe. Par conséquent, les modèles climatiques reposent bien souvent sur un certain nombre d’incertitudes pouvant affecter les résultats.
Les conséquences des perturbations peuvent être étudiées à plusieurs échelles différentes. Certains climatologues développent des modèles couvrant de grandes zones géographiques, souvent le monde entier, mais ils doivent alors simplifier de nombreux paramètres. D’autres établissent des simulations à l’échelle régionale. Celles-ci peuvent être plus complexes mais se focalisent souvent sur des paramètres précis, tels que les échanges de chaleur entre l’atmosphère et les océans, négligeant d’autres pourtant significatifs.
Daniel Rowlands de l’université d’Oxford a présenté, en partenariat avec de nombreux chercheurs, des résultats de simulations dans la revue Nature Geoscience. Le but : tester les rôles joués par les paramètres causant le plus d’incertitudes pour ensuite estimer le réchauffement climatique à court terme. Petite particularité, le nouveau modèle prédit l’évolution des températures pour plusieurs régions ou bassins océaniques du Globe. Une conclusion s'impose, la Terre pourrait se réchauffer plus vite que prévu d'ici 2050.
Un réchauffement supérieur aux prévisions du Giec ?
Les auteurs ont utilisé un modèle exploité par l’agence météorologique britannique (HadCM3L) qui intègre des informations sur le cycle des sulfures (un aérosol) dans l’atmosphère et sur la dynamique des océans (résolution : 3,75 ° de longitude pour 2,5 ° de latitude). Ils ont ensuite cherché à comprendre l'importance de la sensibilité du climat face à l’augmentation de la concentration en CO2 atmosphérique, du taux d’absorption de la chaleur par les océans et du refroidissement causé par la présence d’aérosols dans l’atmosphère en faisant varier ces paramètres selon 9.745 combinaisons différentes.
Résultats des modèles français concernant l'évolution, de 1850 à 2300, de la température moyenne (°C) à la surface de la Terre par rapport à la moyenne des années 1901-2000 mesurée (courbe noire). Les résultats du CNRM-Cerfacs sont présentés en traits pointillés et ceux de l’IPSL en traits pleins. Ils ont été déterminés à partir des différents scénarios RCP : RCP 2.6 (le plus optimiste), RCP 4.5, RCP 6.0 et RCP 8.5 (le plus sévère). Les résultats obtenus par les institutions françaises pour un scénario intermédiaire concordent relativement avec ceux publiés par les Britanniques (plus 1,4 à 3,0 °C) pour l'année 2050, malgré des techniques de modélisation différentes. © Patrick Brockmann (LSCE/IPSL, CEA/CNRS/UVSQ)
Tous les modèles ont néanmoins un point commun, la concentration en CO2 intégrée dans les calculs évolue au cours du temps, passant de 392 parties par million (valeur actuelle) à 520 ppm (valeur prévue en 2050). Ce scénario est qualifié d’intermédiaire. Les simulations ont produit des résultats couvrant l’évolution du climat à partir de 1920 et jusqu’en 2080. Les courbes obtenues pour chaque région du monde ou bassin océanique ont été comparées aux valeurs mesurées sur le terrain entre 1960 et 2010, soit sur une durée de cinquante ans. Les modèles fournissant des données différentes de la réalité pour plus de 20 entités géographiques (soit environ un tiers d’entre eux) n’ont pas fait l’objet d’analyses plus approfondies.
Les modélisations ayant franchi le test éliminatoire prévoient une augmentation des températures de 1,4 à 3,0 °C d’ici 2050, par rapport à la période 1961-1990. Les valeurs les plus élevées sont supérieures de 0,5 à 0,75 °C à celles prédites dans le dernier rapport du Giec. Le réchauffement climatique pourrait donc être plus rapide que prévu.
Source: Nature Geoscience
04-2012