Articles de yvesh

OANI TV 26-03-2012 - UFO Vision 27-03-2012 - Alerte OVNI France 30-03-2012

Par Le 05/04/2012

OANI TV 26-03-2012 - UFO Vision 27-03-2012 - Alerte OVNI France 30-03-2012

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Yves Herbo 04-2012

ODH Scientia Episode 1 - ODH en direct le 12-04-2012 - Cultur'OVNI 29-03-2012

Par Le 05/04/2012

ODH Scientia Episode 1 - ODH direct le 12-04-2012 - Cultur'OVNI 29-03-2012 

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Yves Herbo - 04-2012

Dans OVNI/UFO

Bilan mars 2012 du MUFON aux USA : 278 cas d'OVNI minimum !

Par Le 05/04/2012

Bilan mars 2012 du MUFON aux USA : 278 cas d'OVNI minimum !

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Le système de comptage du National UFO Alert du MUFON a été updaté au 1er avril 2012, avec la Californie, la Floride, l'Arizona, le Michigan, la Pennsylvanie, l'etat de New York et du Texas qui ont été monté au niveau 3 de l'alerte, grâce aux plus grand nombre d'observations pour le mois de mars 2012.

La Californie détient la tête avec 71 cas et témoignages, le même nombre qu'en février 2012. Les états restant en catégorie 4 avec 13 ou plus de témoignages incluent le Missouri, la Caroline du Nord, le Colorado, l'Ohio, le Massachusetts et la Virginie.

Tous les autres Etats restent en catégorie 5 avec une activité ovni basse. La Californie est en tête pour mars 2012 avec 71 cas, puis vient la Floride avec 53 cas, l'Arizona avec 40 cas, le Michigan avec 30 cas, la Pennsylvanie aussi avec 30 cas, tout comme New York, alors que le Texas fait 24 cas.

Le niveau d'alerte 4 comporte le Missouri, 21 cas, la Caroline du Nord, 20 cas, le Colorado, 16 cas, l'Ohio, 15 cas, le Massachusetts, 15 cas et la Virginie avec 14 cas.

Les autres témoignages dans la catégorie 5 des Etats (rien à voir avec la qualité des témoignages) sont : le New Jersey, 12 cas, le Wisconsin, 11 cas, l'Illinois, 11 cas et l'Indiana, 10 cas.

Les sphères ont été les plus rapportées en mars 2012 avec 169 témoignages différents (parfois pour le même objet donc), 113 cas d'étoile pulsante, 107 triangles, 96 disques volants, 84 ovoïdes, 68 indéfinissables, 67 boules de feu, 51 rectangulaires-carrés, 31 cylindres, 31 flashs lumineux, 30 cigares, 21 boomerangs, 21 diamants, 19 oeufs, 13 balles-missiles, 12 chevrons, 9 formes de Saturne, 8 cones, 6 crosses, 5 formes de larme...

Question distance d'observations (1 pied = 30.48cm, 1 mile = 1.6 km) : 68 cas à moins de 100 pieds; 103 cas de 101 à 500 pieds, 135 cas de 501 pieds à 1 mile, + de 1 mile = 182 cas, 203 cas de distances lointaines inconnues et 16 cas sans aucune valeur de distance.

En addition, il y a 18 cas d'atterrissages ou assimilés de reportés et aucune entité observée.

http://www.examiner.com/ufo-in-national/national-ufo-alert-seven-states-report-278-march-cases#ixzz1r5D9kj63

Yves Herbo 04-2012

Dans Sciences
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Existe-t-il un univers parallèle – Avec Morgan Freeman

Par Le 04/04/2012

Existe-t-il un univers parallèle – Avec Morgan Freeman

 

curiosity-existe-t-il-un-univers-parallc3a8le.jpgSource image:http://www.stream-tv.fr/reportage-tv/ 

Pourrait-il y avoir plusieurs versions de la réalité ? Morgan Freeman étudie la possibilité que le destin de l’univers puisse dépendre de jumeaux cosmiques... :

Morgan Freeman mène l’enquête pour tenter de découvrir s’il pourrait exister plusieurs versions de la réalité. Tandis que les scientifiques débattent pour apporter une réponse à cette question, une possibilité encore plus incroyable commence à voir le jour : si ces mondes parallèles existaient bel et bien, ils pourraient déterminer le destin de l'univers tout entier. À travers plusieurs témoignages, les spécialistes nous expliquent les théories de la matière et de l’antimatière, ainsi que celle des trous noirs, et nous dévoilent les scénarios effrayants de ce qui pourrait se produire si ces univers parallèles venaient un jour à entrer en contact.
 
 

 

Univers parallèles, mondes secrets, cachés, où existe une autre réalité, ont toujours hantés le monde de la science-fiction. Les univers parallèles ressemblent davantage à un mythe, mais pourtant un grand nombre de scientifiques affirment leur existence. Remastérisé 16/9 (National Geographic) :
 
 
 
 
Yves Herbo, SFH, 04-2012
 

Un feu entretenu ancien de 1 million d’années ? - Nouvelles espèces

Par Le 04/04/2012

Un feu entretenu ancien de 1 million d’années ? - Nouvelles espèces

 

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Publiée dans PNAS, une étude internationale suggère que des traces d’os et de végétaux brûlés, trouvés dans les sédiments d’une grotte sud-africaine et datées de 1 Ma, seraient les vestiges d’un foyer utilisé à l’époque par les Homo erectus occupant les lieux, au moins 300.000 ans plus tôt que ce qu’envisageaient les précédentes estimations.

C’est notamment grâce à l’étude micro-spectrométrique (une technologie basée sur les infrarouges) de sédiments de la grotte de Wonderwerk, en Afrique du Sud (déjà connue pour avoir été fréquentée par les ancêtres de l’homme), qu’une équipe internationale y a découvert "des cendres de substances végétales bien préservées et des fragments d'ossements, déposés sur des surfaces bien délimitées". Les chercheurs interprètent ces éléments comme les vestiges de petits feux de camp.

Leur âge : 1 million d’années ! La maîtrise du feu, élément clé de l’évolution physiologique et culturelle de l’homme, remonterait-elle si loin ? Encore discutée par les experts, cette possibilité fait reculer de 300.000 ans la première utilisation supposée du feu établie à partir d’indices controversés vieux de 7 à 800.000 ans trouvés en Israël. Mais cela fait également reculer de 600.000 ans sa première utilisation attestée à partir de vestiges vieux d’environ 400.000 ans découverts notamment en France et en Chine.

"[Ceci] suggère que les ancêtres de l'homme, déjà du temps de l'Homo erectus, pouvaient avoir adopté le feu dans leur mode de vie", conclut Michael Chazan, anthropologue à l'Université de Toronto, co-directeur de l’étude.

Source : http://www.maxisciences.com/feu/des-traces-de-feu-entretenu-vieilles-de-1-million-d-annees_art23368.html

Il y a tout de même certaines "certitudes" et énoncés "comme allant de soit" dans ce petit texte de spécialiste : il est fait mention sans arrêt des "ancêtres de l'homme" alors qu'aucune preuve génétique n'existe à ce jour avec un lien prouvé entre Homo Erectus ou aucun hominidé (à part quelques métissages) et l'Homo Sapiens... même nos plus proches cousins anciens, Néandertalis, Denisova et Florensis (dont l'ADN proviendrait en direct d'Erectus) n'ont pas des marqueurs génétiques comparables aux Homo Sapiens (seul une partie des humains possèdent seulement 4% d'ADN commun avec Néandertal, ou autre partie entre 4 et 6% avec Denisova)... alors que notre ADN est proche à 98% de celui du gorille ou chimpanzé... Peut-être n'avons-nous pas encore trouvé cette infime trace d'ADN qui confirmerait que tous les hominidés, y compris Homo Sapiens et certains primates aussi aient une même origine et un seul ancêtre lointain commun... mais il n'y a peut-être pas non plus qu'un arbre originel qui s'est développé en branches (comme l'affirme les théories évolutionnistes), mais plusieurs arbres originels qui ont donné plusieurs branches... Je suis d'avis que les spécialistes devraient, par honnêteté, dire "possibles ancêtres de l'homme" plutôt qu'affirmer sans cesse (faussant les idées) "ancêtres de l'homme" tout court...

Une autre découverte récente qui confirme la complexité du genre humain et la probabilité, non seulement de grosses erreurs d'interprétations passées sur des fossiles d'hominidés, faussement identifiés dans le passé, et non actualisés de nos jours, mais aussi d'autres branches et hominidés encore inconnus de nos jours... Certains scientifiques suggèrent aussi de se repencher sur les premiers primates découverts (ou assimilés comme primates à l'époque de leur découverte), notamment des restes très vieux datant du Jurassique suggèrant des primates géants. Il est impossible à ce jour, et malgré toutes les comparaisons possibles des caractéristiques des fossiles trouvés d'éliminer la possibilité d'un ancêtre commun à toute la lignée primate-homo (les lémuriens étant un autre mystère) remontant à plusieurs centaines de millions d'années. Un ancêtre primate géant ayant disparu en même temps que les dinosaures ou quelques dizaines de millions d'années après et aurait diminué de taille par adaptation et mutations liées à l'environnement (et diminution de la gravité ?) pour donner plusieurs branches primates-hominidés...

Des métissages entre plusieurs espèces d'hominidés...

evolution-de-l-homme-2.jpgPhoto : David Reich et al., Nature

Cette représentation de notre évolution suggère qu'elle est encore en cours mais elle semble assez linéaire et directionaliste. Si l'aventure de l'évolution consciente a une dimension individuelle, on ne la voit pas vraiment.

Le schéma simplifié suivant relativise beaucoup notre positionnement au bout de la chaîne et suggère que plusieurs embranchements sont possibles après notre espèce :

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En mars 2010 des chercheurs de l'Institut Max Planck (Anthropologie Evolutionniste, Leipzig, Allemagne) avait découvert une nouvelle espèce d'hominidé en étudiant uniquement l'ADN contenu dans l'os d’une phalange. Cette étude avait permis de différencier cet ADN qui n'appartenait ni à un néandertalien, ni à un Homo sapiens. Cet hominidé nouveau avait été nommé Homme de Denisova en référence à la grotte de Denisova (sud de la Sibérie). Les résultats sont publiés dans la revue Nature du 23 décembre 2010 par une équipe internationale de scientifiques dont quelques uns qui avaient déjà participé à la première publication : Svante Paabo (Institut Max Planck) et Richard Green (Université de Californie), entre autres.

 

Les études de l'os et d'une dent continuent...

denisova-dent-profil.jpg

 

Les éléments fossilisés de l'homme de Denisova (une phalange et une dent) montrent des différences morphologiques notoires avec ceux de l'homme de Neandertal et d'Homo sapiens. En particulier, la dent, découverte dans la même grotte que celle de l'os de doigt, ressemble beaucoup plus à celles d'hominidés plus vieux comme Homo habilis et Homo erectus. L'étude de l'ADN montre que les 2 éléments appartiennent à la même espèce, mais pas au même individu.

 

L'homme de Denisova, un frère de l'Homme de Néandertal ?

 

Le projet de séquençage du génome de l'homme de Denisova a permis de nouvelles découvertes surprenantes. En comparant le séquencage du génome de l'homme de Denisova avec les génomes des Néandertaliens et des hommes modernes, les chercheurs ont déterminé que l'homme de Denisova appartenait à un groupe frère de l'homme de Neandertal... Ce qui signifie que Néandertaliens et Denisoviens descendent d'une même population ancestrale qui s'était elle même séparé plus tôt des ancêtres des hommes actuels. (YH : ça c'est de la spéculation).

denisova-dent-couronne.jpgDenisova et les Mélanésiens

 

L'étude a également trouvé des similitudes de séquences ADN entre les Dénisoviens et certains Mélanésiens actuels (entre 4 et 6%), ce qui suggère qu'il y a eu métissage entre Dénisoviens et les ancêtres des Mélanésiens. Cela veut également dire que le territoire de l'Homme de Denisova devait aller de la Sibérie au sud de l'Asie. Pour les chercheurs cette grande amplitude territoriale aurait du permettre de trouver un grand nombres de fossiles de cette population. Comme il n'en est rien les chercheurs suggèrent d'examiner plus attentivement les fossiles déjà trouvés dans cette région. Il est possible que des fossiles aient été mal "affectés".

 

« Il se pourrait que d'autres échantillons soient classés à tort, indique Richard Green. Mais maintenant, avec l'analyse de l'ADN, on peut dire de façon définitive à quelle espèce appartient un fossile ... c'est juste une nouvelle façon d'extraire des informations à partir de restes fossiles. »

 

Une nouvelle hypothèse de la sortie d'Afrique ?

 

A la lumière de cette nouvelle découverte il est possible d'imaginer un autre type de migration hors d'Afrique. Il y a 300 000 - 400 000 ans un groupe d'hominidés ancestraux aurait quitté l'Afrique. Il aurait divergé assez rapidement en deux populations. L'une va devenir l'Homme de Neandertal et va conquérir l'Europe à l'ouest, l'autre va coloniser les terres de l'est et devenir l'Homme de Denisova. Par la suite (entre -70 000 et - 80 000 ans), Homo sapiens sort à son tour d'Afrique. Il va d'abord rencontrer les néandertaliens avant de conquérir l’Europe (voir la précédente étude montrant le métissage entre Sapiens et Neandertal) puis en se développant vers l'est il va également se métisser avec l'homme de Denisova...

 

Richard Green déclare :

 

"L'histoire est maintenant un peu plus compliquée. Au lieu de l'histoire, que nous pensions simple, d'une migration hors d'Afrique (Out of Africa) de homme moderne et le remplacement des Néandertaliens, nous voyons maintenant plusieurs axes de migrations avec plus d'espèces et des métissages plus nombreux qu'auparavant."

 

Sources : Nature, BBC, http://foudreevolutive.blogspot.fr/2011/10/evolution-de-lhomme-recentes.html

Un nouvelle espèce contemporaine d'Australopithecus afarensis en Ethiopie (Nature 28/03/2012)

Lucy partageait son territoire avec une autre espèce il y a 3,4 millions d'années. Bipédie pour Lucy et arboricolisme pour son "voisin".

Découverte d'ossements fossilisés du pied d'une espèce inconnue qui vivait il y a 3,4 millions d'années en Ethiopie, dans la région de l'Afar. Les os montrent des caractéristiques indiquant que son propriétaire était arboricole. espece-burtele.jpg

L'étude
Les restes partiels d'un pied fossilisé ont été retrouvés en février 2009 à Burtele, dans les roches de Woranso-Mille. C'est dans la même région (Afar) que les ossements de la célèbre LucyAustralopithecus afarensis,  avaient également été exhumés. L'équipe dirigée par le professeur Yohannes Haile-Selassie a publié  les résultats de l'étude le 29 mars 2012 dans la revue Nature.

La découverte
Les os du pied de l'espèce inconnue sont très différents de ceux de Lucy. Un gros orteil opposable le rapproche de la morphologie des grands singes actuels ou, plus éloignée, de celle d'Ardipithecus ramidus qui vivait il y a 4,4 millions d'années. L'âge des ossements, déterminé avec la méthode de datation Argon-Argon, est établi à - 3,46 millions d'années. Cette nouvelle espèce est donc bien contemporaine de Lucy.

Un hominidé arboricole ?
Cette nouvelle espèce est donc un visiteur arboricole inattendu dans le buisson de l’évolution humaine… Inattendu parce que la bipédie semblait être, à l’époque, devenue une norme même si les espèces d’hominidés ne négligeaient certainement pas de remonter ponctuellement dans les arbres (pour dormir ou pour se protéger)…
Toutefois les chercheurs ne pensent pas que cette espèce était uniquement arboricole. « Cette espèce était probablement plus agile dans les arbres que Australopithecus afarensis, mais moins agile sur ses deux pieds » dit l’anthropologue William Harcourt-Smith ( Université New York, Lehman College). "Nous ne pouvons pas avoir de certitude, mais sa démarche bipède est certainement très différente de celle de Lucy et probablement beaucoup moins efficace !».
"Le pied de Burtele montre clairement que, il y a 3,4 millions d'années, les Australopithecus afarensis, qui marchaient debout sur deux jambes, n'étaient pas les seules espèces d'hominidés vivant dans cette région de l'Ethiopie", a déclaré le Docteur Yohannes Haile-Selassie, conservateur au Cleveland Museum of Natural History. "Cette espèce a coexisté avec des parents proches qui étaient plus aptes à grimper aux arbres..."

Il va falloir revoir notre conception de l’évolution humaine ?
Pour Harcourt-Smith  « Les conclusions de cette étude vont entrainer une remise en cause du déroulement de l'évolution des hominidés… Cela fournit une preuve supplémentaire contre l'idée que les hommes modernes ont évolué de manière linéaire"...

Le spécimen n’a pas, pour l’instant, été attribué à une nouvelle espèce en raison de l’absence du crâne ou d’éléments dentaires.

L'équipe de chercheurs : Yohannes Haile-Selassie, Beverly Z. Saylor, Alan Deino, Naomi E. Levin, Mulugeta Alene, Bruce M. Latimer.

Video en Vo (mettez les sous-titres CC) de Nature Video Channel. Read the original research paper: www.nature.com/nature/journal/v483/n7391/full/nature10922.html

Sources :
SciencesDaily
BBC

Photo : Yohannes Haile-Selassie of the Cleveland Museum of Natural History, source : http://www.hominides.com/html/actualites/nouvelle-espece-contemporaine-lucy-0583.php

Sans oublier cette autre nouvelle espèce éventuelle : https://www.sciences-faits-histoires.com/blog/archeologie/une-nouvelle-espece-humaine-en-chine.html

 

Yves Herbo 04-2012

Dans Sciences

Les hommes sont trop dangereux pour les extraterrestres

Par Le 03/04/2012

Les hommes sont trop dangereux pour les extraterrestres

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Sergueï Smirnov, un astronome russe travaille au sein du prestigieux laboratoire Poulkovo. Il a expliqué les raisons pour lesquelles, selon lui, les extraterrestres évitent la Terre: l’homme serait un loup pour eux. Mais pas seulement. Il serait avant tout un loup pour sa planète et à ce titre, peu digne de confiance.

" L’homme et son comportement ont causé de sérieux dommages à la planète, et à nos relations avec les extraterrestres. Bien conscients du problème, ils préfèrent nous éviter ". Le constat de Sergueï Smirnov est sans appel. Mais l’astronome au centre de recherche Poulkovo, à Saint-Pétersbourg, pense la situation n’est pas irréversible :

" Les extraterrestres nous regardent comme des idiots sous-développés. Ils nous ont peut-être isolés derrière une sorte d’écran, pour nous séparer du reste de la galaxie. Et ils envoient des mises en garde à des centaines de milliards d’étoiles, affirmant que la civilisation proche de la Naine jaune, autrement dit le soleil, est dangereuse. "

Les extraterrestres craignent, selon lui, que leurs connaissances soient mal utilisées:

" Mieux vaut ne pas trop s’approcher [de la Terre], parce que les connaissances que nous pourrions leur apporter pourraient être utilisées pour créer une super bombe ou une super drogue pour leur propre population. "

themoscowtimes.com

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