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Dans Humour

OVNIs : un peu d'humour ne fait pas de mal

Par Le 03/04/2012

OVNIs : un peu d'humour ne fait pas de mal

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Chacun sait que les Canadiens sont assez réputés pour leur humour décalé... voyons voir ce qu'il se passe quand ils s'intéressent aux OVNIs ! Et puis, se moquer de ses propres intérêts apporte un certain recul :



Sources : YouTube - Just For Laughs CA -

Yves Herbo 04-2012

Dans OVNI/UFO

Affaire de Socorro : trois nouveaux documents déclassifiés confirment

Par Le 03/04/2012

Affaire de Socorro : trois nouveaux documents déclassifiés confirment

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Ovni photographié vers Socorro, quelques jours avant la rencontre du policier Zamora

Deux documents déclassifés sont à ajouter à la très célèbre affaire du 24 avril 1964, à Socorro, Nouveau-Mexique, USA. Ce cas exceptionnel a comme principal témoin un policier asermenté des Etats-Unis, l'officier Lonie Zamora. Avant de rappeler brièvement la rencontre rapprochée de l'officier Zamora (et de vous indiquer un lien où vous trouverez tout ce qui précède en matière de documents sur cette affaire), voici les documents récupérés des archives de l'USAF qui indiquent qu'un ovni sphérique métallique avait été vu et photographié au même endroit un mois auparavant - la photo de cet objet est en haut sous le titre :

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courrier sur lequel la date du 4 août 1964 apparaît en bas.

ufo-over-roswell-march-of-1964-a-res-1.jpg La photo récupérée et "sécurisée" par le Capitaine Kruzel

ftd-letter-re-ufo-over-roswell-march-1964-2-emphasis-socorro.jpgCourrier du 27 août 1964 dans lequel les références au cas de Socorro d'avril sont évidentes. 

Voici donc 3 nouvelles pièces intéressantes à ajouter à ce dossier très controversé (il y a même eu des tentatives de démontages de l'affaire assez crapuleuses, dont le policier a souffert, jusqu'à la fausse "révélation" d'une plaisanterie faite à l'origine par des étudiants du MIT... qui s'est averrée fausse elle-même...).

Rappel de l'affaire de Socorro :

Les autorités scientifiques et le pouvoir politique ont toujours affecté le plus grand scepticisme face aux apparitions d’ovnis. Néanmoins, officieusement, de nombreux rapports ont été réalisés. Ils admettent que certains témoignages sont inexplicables. C’est le cas de celui du sergent Zamora, policier du district de Socorro, au Nouveau-Mexique. Son témoignage est considéré comme l’un des plus sérieux jamais enregistrés sur l’apparition d’un ovni.

Cela est arrivé à Lonnie Zamora, un officier de police, près de Socorro, au Nouveau Mexique, le 24 Avril 1964. Ce cas bien documenté est un classique. Le Projet Blue Book, le FBI, le Strategic Air Command ont tous déclassifié les documents qui montrent que pour eux, cette rencontre du troisième type ne fait pas de doute. L'incident de Socorro reste l'un des cas d'ovnis les plus remarquables de tous les temps. Enquêté de manière intensive et analysé en profondeur par certains des esprits les plus brillants de l'époque, il constitue notamment le seul cas inexpliqué de Blue Book impliquant un appareil posé à terre et ses occupants.

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1ère enquête : Zamora est à gauche

Plusieurs facteurs placent ce cas au-dessus de la moyenne des observations d'ovnis. Le témoin principal était un policier, et un individu hautement digne de confiance. Une certain nombre de témoins secondaires déclarent également avoir observé telle ou telle partie de l'événement, qui eut lieu, de manière notable, à faible distance et en plein jour. Mais, peut-être le plus important, l'événement laissa derrière lui des indices physiques, des trous dans le sol et des broussailles carbonisées, qui suggèrent fortement qu'un objet physique a bien été présent à l'endroit supposé de l'atterrissage. Un autre facteur qui jette sur ce cas une lumière favorable est ce qui arriva immédiatement après l'observation. A peine l'objet avait-il été perdu de vue qu'une enquête fut entamée, la première d'une longue série.

l-r-zamora-chavez-and-ray-4-29-64-sanding-site-1st-tu.jpgM.S. Chavez, Lonnie Zamora et Rey Stanford sur place

L'observation 

Socorro, dans l’Etat du Nouveau-Mexique, Etats-Unis, le 24 avril 1964 : le policier Lonnie Zamora patrouille, seul, au volant de sa Pontiac de service. On lui signale l’excès de vitesse d’une Chevrolet. Il se lance à sa poursuite et prend la direction de la sortie de la ville. Il est environ 17h 45. Lonnie Zamora entend soudain une sorte de hurlement et aperçoit une flamme rouge et orange dans le ciel, à près de 1 Km de son véhicule. Il sait que dans cette direction, une cabane contient de la dynamite.

Il abandonne donc la poursuite de la Chevrolet et se dirige vers l’endroit où la flamme a paru tomber. Il roule ainsi, sur un chemin défoncé, vers une colline où il lui semble que la flamme s’est éteinte. Au sommet de la colline, Zamora aperçoit un objet métallique, brillant comme de l’aluminium, qu’il prend pour une épave de voiture. Près de cet objet, deux humanoïdes, vêtus d’une combinaison blanche. Le policier, qui se trouve à 200 m, les prend pour des étrangers et accélère dans leur direction pour leur porter secours, croyant à un accident.

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Des bruits étranges...

Comme le policier se rapproche, il se rend enfin compte que l’objet métallique n’est pas du tout ordinaire mais de forme ovale. Il repose sur des sortes de poutrelles métalliques. Le terrain devient si accidenté que le policier doit quitter son véhicule et continuer à pieds. Il prend alors contact avec son quartier général et, par radio, signale qu’il se dirige, vers l’engin inconnu. A peine est-il sorti de son véhicule qu’il entend à nouveau un grondement et quelques coups. On aurait dit que quelqu’un claquait une porte ou tapait sur du métal avec un marteau. Quand les coups cessent, le hurlement s’amplifie. Lonnie Zamora voit alors l’engin s’élever dans le ciel, comme poussé par une flamme bleue et orange. Un nuage de poussière accompagne ce mouvement. Prudent, le policier regagne l’abri de sa voiture. Il a encore le temps de voir la forme ovale se mettre à l’horizontale et s’élever jusqu’au niveau de la voiture. Les nerfs à vifs, effrayé par le hurlement, le policier songe à fuir pour chercher des renforts. Il jette un dernier regard sur l’engin et aperçoit, sur la surface entièrement lisse, une sorte d’insigne marqué en rouge. Puis, pris de panique, il court se réfugier derrière le sommet de la colline. Quand le grondement s’atténue, une sorte de grincement le remplace, qui passe du grave à l’aigu pour enfin s’arrêter.

Après tout ce vacarme, le silence retombe enfin sur ce paysage semi-désertique. Zamora voit alors l’objet métallique s’élever très haut dans le ciel, obliquer vers les montagnes et disparaître. Au même moment, il sursaute car la radio de la Pontiac grésille. C’est le sergent Chavez qui cherche à joindre son collègue.
Zamora lui explique rapidement qu’un incident étrange vient de se produire et en l’attendant dessine ce qu’il a vu. Il se souvient parfaitement de l’étrange insigne sur la paroi de l’engin : une sorte de flèche rouge dans un cadre rouge.

Quand Chavez arrive, il comprend que Zamora n’est pas dans son état normal : »Que se passe t-il Lonnie ? Tu en fais une tête ! Tu es tout blanc ! On dirait que tu as vue le diable … »

« C’est que je l’ai peut-être vu ! », répond le policier, encore sous le choc de l’émotion.

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Il montre à son collègue l’endroit où se trouvait l’engin. Quelques broussailles encore fumantes achèvent de s’y consumer. Sur le sol, des marques sont visibles. Plusieurs autres personnes observent une flamme dans le ciel, dont une autre patrouille de policiers. Appellés par radio, ils retrouvent des buissons en train de brûler (2 zones à carbonisation latérale, 2 à carbonisation verticale). Le sergent Chavez arrivé sur les lieux trouve Zamora pâle et transpirant. 

La première personne alertée est l'agent Burns du FBI, qui arrive sur les lieux, interroge brièvement Zamora et examine les traces. Burns avertit à son tour le 1er lieutenant Hicks, officier en charge de l'USAF. 

Jim et Coral Lorenzen de l'APRO sont avertis. Ils se rendent sur les lieux et interrogent Zamora

Pendant ce temps, Hicks avertit son supérieur, le capitaine Richard T. Holder, de la base de fusées de White Sands. Celui-ci arrive à son tour sur les lieux avec le sergent Castle de la Police Militaire, et interroge à son tour Zamora. Il avertit ensuite le lieutenant-colonel Conkey de la base de l'USAF de Holloman et lui et le major Mitchell vont effectuer des mesures à Socorro. Pendant ce temps, W. P. est averti et Quintanilla se prépare à se rendre sur les lieux, mais Hynek fait un détour à la base USAF de Kirtland à Albuquerque puis se rend à Socorro (Hynek déclara à Jacques Vallée qu'il était aussi attendu à Kirtland, mais Vallée décida de ne pas y aller). 
Les enquêteurs officiels dépêchés sur les lieux relèveront quatre « trous » identiques, sommets d'un losange de diagonales de 6,40 m et 5,75 m. et quatre marques de feu. La position des trous est asymétrique ; pourtant leur inspection révèlera qu’ils devaient assurer une stabilité parfaite à la structure qu’ils supportaient.

La pression nécessaire pour faire de tels trous a été estimée à plus d’une tonne par emplacement : beaucoup trop pour que Lonnie Zamora ait pu les faire lui-même.

Un examen minutieux montrera, en outre, que la flamme vue par le policier était bien au centre de l’engin, lequel devait avoir une forme circulaire.

Ordinairement, les autorités américaines refusent de prendre en compte les observations d’ovnis rapportées par un seul témoin. Le cas de Lonnie Zamora est une exception à cette règle. En effet, son témoignage a été jugé suffisamment crédible pour déclancher une enquête en profondeur. Son témoignage est d’ailleurs toujours considéré aujourd’hui comme l’un des plus solides en faveur de l’existence d’ovnis. De plus, il semblerait que des traces d'un alliage zinc-fer aient été prélevées sur place et prouveraient une origine extra-terrestre...

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Lire la suite ici de cette enquête très complète avec photos : http://www.forum-ovni-ufologie.com/t8167-1964-la-rencontre-de-socorro#ixzz1qvvmLHMw

Autre source (USA) : http://ufoshows2go.com/socorro.htm

Yves Herbo 04-2012

Dans Sciences

Avec les exoplanètes on a basculé de la science-fiction vers la science

Par Le 02/04/2012

“Avec les exoplanètes, on a basculé de la science-fiction vers la science”

Illustration de l'exoplanète Gliese 581e (en bleu) fournie par l'Observatoire européen austral (ESO), le 21 avril 2009.

llustration de l'exoplanète Gliese 581e (en bleu) fournie par l'Observatoire européen austral (ESO), le 21 avril 2009.(ESO / AFP)

Depuis quelques mois, les annonces de découvertes d’exoplanètes pleuvent. Les scientifiques détectent environ tous les trois jours une de ces planètes situées hors de notre système solaire. FTVi s’est entretenu avec Jean-Loup Bertaux, directeur de recherche émérite au laboratoire “Atmosphères, milieux, observations spatiales” du CNRS, pour comprendre l’enjeu derrière cet emballement.

FTVi : Pourquoi un tel engouement autour des exoplanètes en ce moment ?

Jean-Loup Bertaux : C’est un domaine de recherche très récent. On n’avait aucune preuve de planètes existant hors de notre système solaire avant 1995. Cela a été une énorme révolution. Avant, on en discutait à titre philosophique. Depuis, nous savons que cela existe, ce ne sont plus des suppositions. Pour le résumer, on a basculé de la science-fiction vers la science. C’est très excitant, cela a remis au premier plan cette question existentielle : “Sommes-nous seuls dans l’univers ?” Personnellement, je n’y crois pas trop. Par exemple, il y a 200 milliards d’étoiles dans notre galaxie, la Voie lactée, et l’on sait maintenant qu’environ une étoile sur dix a une planète habitable autour d’elle. Les probabilités de trouver une forme de vie extraterrestre sont gigantesques.

De plus en plus de scientifiques s’intéressent aux exoplanètes. En France, il y a dix ans, les chercheurs dans le secteur étaient peu nombreux. Maintenant, ils sont des dizaines, peut-être même une centaine. Il y a plus de chercheurs, donc plus de découvertes et les outils de détection se sont perfectionnés. La compétition est devenue très féroce. Les budgets de recherches deviennent de plus en plus conséquents. Le télescope spatial James-Webb, qui doit succéder à Hubble en 2018 et qui promet d’être précieux dans l’observation de nouvelles planètes, va coûter 15 milliards de dollars (soit 11,23 milliards d’euros).

Au milieu de toutes les annonces, comment distinguer une découverte importante d’une autre ?

Une découverte est à prendre au sérieux lorsque la planète se trouve dans la zone habitable. Cette zone, c’est la distance par rapport à l’étoile où il ne fait ni trop chaud, ni trop froid. Pour résumer, c’est environ la distance Terre-Soleil. Si une planète se trouve dans cette zone, on peut espérer y trouver de l’eau, et notamment de l’eau à l’état liquide, un facteur important pour découvrir de la vie. Pour l’instant, parmi les 700 exoplanètes que nous connaissons, seules 2 ou 3 sont situées dans la zone habitable. C’est donc un facteur rare et à surveiller de près.

Autre donnée qui permet de donner de l’importance à une exoplanète : sa taille. Si elle est très grande, elle est sûrement gazeuse. Cela exclut presque quasiment la probabilité d’y trouver de la vie. En revanche, si elle est assez petite, c’est-à-dire si elle fait la taille de la Terre ou juste quelques fois sa taille, elle est probablement rocheuse. On peut donc espérer y découvrir de la vie.

L’objectif est de trouver une forme de vie extraterrestre, mais comment faire si on ne peut pas s’y rendre ?

Envoyer une sonde pour observer directement une exoplanète, il faut l’oublier. Ce n’est pas pour tout de suite. Un satellite mettrait plusieurs milliers d’années pour se rendre sur place. Et il est donc ridicule de vouloir aller sur une autre planète. Toutefois, il y a d’autres moyens de découvrir des formes de vie. Dans un premier temps, si nous pouvions prendre des photos de ces planètes, on ferait un bond énorme. On pourrait peut-être ainsi découvrir des signes de vie. Par exemple, de l’espace, on peut voir sur Terre de grandes constructions ou les lumières des grandes villes. L’observation de ce genre de phénomènes serait une preuve tangible. C’est pour cela que les efforts se concentrent actuellement sur l’imagerie des exoplanètes.

Il y a également des chercheurs qui développent des techniques pour communiquer avec les extraterrestres. Je pense notamment au programme américain SETI (lien en anglais). Malheureusement, ceux qui veulent entrer en contact avec une autre forme de vie ne sont pas toujours pris au sérieux par la communauté scientifique. Mais les recherches sur les exoplanètes leur sont également utiles : grâce à elles, ils peuvent au moins focaliser leurs efforts dans telle ou telle région. Pour l’instant, ils sont à l’écoute de tout et émettent dans toutes les directions.

Propos recueillis par Louis San

Sources : http://www.francetv.fr/info/avec-les-exoplanetes-on-a-bascule-de-la-science-fiction-vers-la-science_78475.html

http://area51blog.wordpress.com/2012/03/31/avec-les-exoplanetes-on-a-bascule-de-la-science-fiction-vers-la-science/

Articles, Podcasts et News SerieViewer du 24-03 au 30-03-2012

Par Le 02/04/2012

Articles, Podcasts et News SerieViewer semaine du 24-03 au 30-03-2012

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(c) SerieViewer

Vous trouverez ici les liens de toutes les News, Articles et Podcasts du Site de l'Association à but non lucratif (pas de transmissions de données personnelles ou non à des entreprises commerciales) SerieViewer, dont je suis membre-fondateur actif. Ces liens seront diffusés par semaine et nous aideront, ainsi que les visiteurs ou chercheurs d'infos à retrouver une news ou autre, sur ce blog, un petit ajout à la fonction Recherche du site SerieViewer (et de son Forum) qui fonctionne très bien.

SerieViewer organise régulièrement des Jeux Concours gratuits pour permettre de gagner des coffrets DVD de séries TV. Pareillement, l'Association ne revend pas de liens à l'extérieur et n'enregistre pas vos adresses ou Emails et aucune inscription au site ou forum n'est obligatoire (mais je vous y incite : en plus la partie Fiches Séries vient d'être ajoutée avec plein de données) : Visitez régulièrement notre page Concours pour tenter votre chance : ICI.

NEWS :

http://www.serieviewer.com/news/audiences/audiences-usa-the-vampire-diaries-et-the-secret-circle-au-plus-bas-2131.html par Delphine Herbo

http://www.serieviewer.com/news/news-diffusion/diffusions-et-rediffs-francaises-du-31-03-au-6-04-12-mon-oncle-charlie-chuck-white-collar--2130.html par Greadyfrog

http://www.serieviewer.com/news/audiences/audiences-usa-les-freres-scott-en-baisse-2128.html par Delphine Herbo

http://www.serieviewer.com/news/audiences/audiences-usa-body-of-proof-aidee-par-dancing-with-the-stars-2127.html par Delphine Herbo

http://www.serieviewer.com/news/audiences/audiences-usa-alcatraz-termine-sa-saison-au-plus-bas-2125.html par Delphine Herbo

http://www.serieviewer.com/news/audiences/audiences-francaises-de-la-semaine-du-17-au-23-mars-2012-2124.html par Sandra Bellisardi

http://www.serieviewer.com/news/audiences/audiences-usa-harry-s-law-s-effondre-sur-les-18-49-ans-2123.html par Delphine Herbo

http://www.serieviewer.com/news/video-et-dvd/sorties-dvd-du-26-mars-au-1er-avril-2012-how-i-met-your-mother-30-rock-body-of-proof-eli-stone-2122.html par Delphine Herbo

http://www.serieviewer.com/news/news-diffusion/calendrier-des-series-d-ete-de-tnt-pour-2012-2121.html par Delphine Herbo

http://www.serieviewer.com/news/audiences/audiences-usa-fringe-revient-en-baisse-2120.html par Delphine Herbo

http://www.serieviewer.com/news/festivals-et-conventions/le-festival-de-television-de-monte-carlo-met-a-l-honneur-gilles-marini-et-new-york-unite-speciale-2119.html par Delphine Herbo

http://www.serieviewer.com/news/audiences/audiences-cable-us-semaine-du-vendredi-16-mars-au-jeudi-22-mars-2012-2118.html par Maxx

ARTICLES :

http://www.serieviewer.com/articles/projets/projets-saison-2012-2013-pour-cbs-1559.html par Yves Herbo

http://www.serieviewer.com/articles/projets/projets-saison-2012-2013-pour-les-chaines-premium-1529.html par Yves Herbo

http://www.serieviewer.com/articles/tests-dvd/test-dvd-de-how-i-met-your-mother-saison-6-2126.html par Yves Herbo

http://www.serieviewer.com/articles/divers/recherche-liens-news-articles-podcasts-par-semaine-1312.html par Yves Herbo

http://www.serieviewer.com/articles/projets/projets-2012-2013-series-en-stand-by-1654.html par Yves Herbo

http://www.serieviewer.com/articles/projets/projets-2012-2013-pour-la-chaine-cw-1612.html par Yves Herbo

http://www.serieviewer.com/articles/projets/projets-saison-2012-2013-groupe-viacom-1605.html par Yves Herbo

http://www.serieviewer.com/articles/projets/projets-saison-2012-2013-pour-web-series-1870.html par Yves Herbo

http://www.serieviewer.com/articles/projets/projets-saison-2012-2013-pour-le-groupe-fox-fx-1619.html par Yves Herbo

PODCASTS :

http://www.serieviewer.com/podcast/les-seriespods/seriespod-2-27-63-quizz-time-2129.html avec Nico, Céline, Delphine, Maxx et Yann


Dans Sciences

Une nouvelle cartographie des "autoroutes" du cerveau

Par Le 02/04/2012

Une nouvelle cartographie des "autoroutes" du cerveau

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Le cerveau incroyablement compliqué devient juste un peu plus simple. Au lieu de les voir comme un fouillis de soupe aux nouilles, les voies de transmissions dans le cerveau sont en fait plus comme un paquet de nouilles disposées en trames parfaitement entrelacées, révèle une nouvelle étude  de balayage magnétique du cerveau. Les résultats offrent plus d'indices sur la façon dont le cerveau humain se construit et comment il a évolué.

Des scientifiques dirigés par Van Wedeen du Massachusetts General Hospital et Harvard Medical School à Boston ont utilisé une technique de balayage appelé l'imagerie par résonance magnétique de diffusion qui détecte le sens d'écoulement du trafic le long des faisceaux de matière blanche, les autoroutes de l'information du cerveau. Les balayages révélent que ces signaux cérébraux forment une grille, composée de voies parallèles et perpendiculaires tissées ensembles dans des feuilles courbées.

"Cette grille est une caractéristique générale des cerveaux des primates, rapportent Wedeen et ses collègues dans le numéro du 30 Mars 2012 de Science. Des Cerveaux de singes rhésus, de singes communs, de ouistitis et de galagos prosimiens contiennent des motifs géométriques semblables à ceux trouvés chez des volontaires humains, suggérant de profondes racines évolutionnaires de la grille.

Un jour, les médecins pourront être en mesure de diagnostiquer les troubles du cerveau en identifiant les variations de ce modèle régulier de cerveau".

Source : http://www.sciencenews.org/view/generic/id/339536/description/Mapping_the_brain%E2%80%99s_superhighways - Laura Sanders

Traduction Yves Herbo - 04-2012 

Dans Actualité

Climat : le bilan 2011 de l'OMM

Par Le 01/04/2012

Climat : le bilan 2011 de l'OMM

465px-hurricane-katrina-august-28-2005-nasa.jpgOuragan Katrina 2005

L'Organisation Météorologique Mondiale vient de publier un épais rapport sur l'état du climat en 2011. Il montre que le changement climatique se poursuit. Le compte rendu sur le climat en 2011 a été publié à l'occasion de la Journée météorologique mondiale, célébrée le 23 mars. L'OMM a aussi rendus publics les résultats préliminaires d'une évaluation du climat mondial pour la période 2001-2010, qui sera publiée sous peu. Il en ressort que le changement climatique s'est accéléré pendant cette décennie, la plus chaude jamais observée sur tous les continents du globe.

D'après la Déclaration de l'OMM sur l'état du climat mondial en 2011, cette année se classe au onzième rang des plus chaudes depuis 1850, date des premiers relevés. Cela confirme les conclusions préliminaires selon lesquelles 2011 est la plus chaude qui ait été constatée dans le cas d'une année à Niña, phénomène qui induit un refroidissement. La température moyenne en 2011 présente une anomalie estimée à +0,40°C par rapport à la normale calculée pour la période 1961-1990, qui est de 14°C.

Les extrêmes de précipitations, souvent liés à l'une des plus puissantes Niña des 60 dernières années, ont eu des répercussions considérables. Des inondations de grande ampleur se sont produites sur tous les continents, tandis que de graves sécheresses ont sévi en Afrique de l'Est et en Amérique du Nord. L'étendue de la banquise de l'Arctique a atteint des minima quasi records et l'activité cyclonique a été inférieure à la moyenne à l'échelle du globe, même si la saison des tornades est l'une des plus destructrices qu'aient connues les États-Unis d'Amérique.

Le rythme du réchauffement depuis 1971 est «remarquable», pour reprendre les termes de l'évaluation. Des phénomènes atmosphériques et océaniques comme La Niña ont refroidi temporairement le climat certaines années, sans interrompre pour autant la tendance générale au réchauffement.

Le «recul spectaculaire et constant de la banquise de l'Arctique» est l'une des principales caractéristiques de l'évolution du climat pendant la décennie considérée, toujours selon cette évaluation. Moyennées à l'échelle du globe, les précipitations en 2011 se classent au deuxième rang des plus abondantes qui aient été enregistrées depuis 1901, et les inondations seraient le phénomène extrême le plus fréquent.

«Le compte rendu sur le climat en 2011 vient corroborer les conclusions énoncées dans les rapports précédents, à savoir que le changement climatique n'est plus une vague menace et qu'il est au contraire bien réel. La planète se réchauffe du fait des activités humaines, et l'impact de ce réchauffement sur la Terre, son atmosphère et ses océans se traduit par des bouleversements parfois irréversibles», a déclaré le Secrétaire général de l'OMM, Michel Jarraud.

Températures

La décennie 2001-2010 est la plus chaude qui ait été constatée depuis le début des observations, en 1850, la température moyenne à la surface du globe (terres émergées et océans confondus) accusant une anomalie positive estimée à 0,46°C par rapport à la normale calculée sur la période 1961-1990, qui est de 14°C. Neuf de ces années font partie des dix années les plus chaudes, et parmi elles, 2010 est la plus chaude jamais observée, suivie de près par 2005, la température moyenne présentant un écart par rapport à la normale estimé à +0,53°C. La décennie en question est la plus chaude jamais constatée à la surface des terres, à la surface des océans et sur tous les continents.

Dans la majeure partie du Canada, de l'Alaska, du Groenland, de l'Asie et de l'Afrique du Nord, la température moyenne de la décennie 2001-2010 est supérieure de 1 à 3°C à la normale pour la période 1961-1990.

Près de 90% des pays qui ont participé à l'évaluation ont connu la décennie la plus chaude de leur histoire depuis qu'il existe des relevés.

Le rythme d'accroissement de la température moyenne a été «remarquable» durant les quatre dernières décennies, d'après les résultats préliminaires de l'évaluation. Depuis 1971, elle a augmenté au rythme moyen de 0,166°C par décennie, selon les estimations, contre 0,06°C par décennie pour l'ensemble de la période 1881-2010.

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Précipitations

La moyenne mondiale des précipitations (pluie, neige, etc.) qui sont tombées sur les terres émergées entre 2001 et 2010 se classe au deuxième rang des plus élevées – après la décennie 1951-1960 – depuis 1901. Cette moyenne cache de fortes disparités entre les régions et aussi entre les années.

Les précipitations ont été supérieures à la normale dans une grande partie de l'hémisphère Nord pendant la décennie considérée, en particulier dans l'est des États-Unis d'Amérique, le nord et l'est du Canada et de nombreuses régions d'Europe et d'Asie centrale. Ce fut aussi le cas en Amérique du Sud, notamment en Colombie, dans certaines régions du nord et du sud du Brésil, en Uruguay et dans le nord-est de l'Argentine, de même que dans la majeure partie de l'Afrique du Sud, en Indonésie et dans le nord de l'Australie.

En revanche, d'autres régions ont connu, en moyenne, des précipitations inférieures à la normale, en particulier l'ouest des États-Unis d'Amérique et le sud-ouest du Canada, l'Alaska, la majeure partie de l'Europe méridionale et occidentale et de l'Asie méridionale, l'Afrique centrale, le centre de l'Amérique du Sud ainsi que l'est et le sud-est de l'Australie.

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Phénomènes extrêmes

La décennie a été marquée par de multiples phénomènes météorologiques et climatiques extrêmes – inondations, sécheresses, cyclones, vagues de froid et de chaleur – un peu partout dans le monde. Deux vagues de chaleur exceptionnelles ont frappé l'Europe et la Fédération de Russie, respectivement en 2003 et 2010, avec des conséquences catastrophiques: des milliers de personnes en sont mortes et les régions concernées ont dû faire face à des incendies de forêt dévastateurs.

Les inondations occupent la première place parmi les phénomènes extrêmes, et elles ont concerné beaucoup de régions. Des inondations persistantes et de grande ampleur ont frappé l'Europe orientale en 2001 et 2005, l'Afrique en 2008, l'Asie (en particulier le Pakistan) en 2010 et l'Australie également en 2010.

Des sécheresses extrêmes ont sévi dans de nombreuses régions, notamment en Australie, en Afrique de l'Est, dans le bassin de l'Amazone et dans l'ouest des États-Unis d'Amérique. Les conséquences ont été très graves sur le plan humanitaire en Afrique de l'Est: pénurie alimentaire généralisée et lourdes pertes en vies humaines, sans parler des pertes de bétail.

Quarante-huit (soit 47%) des 102 pays considérés ont déclaré que leur record de chaleur absolu avait été enregistré durant la décennie 2001-2010, alors que 20% ont indiqué que c'était pendant la décennie 1991-2000 et environ 10% lors des décennies précédentes.

La décennie a été marquée par une activité cyclonique record dans le bassin de l'Atlantique Nord. Survenu en 2005, l'ouragan Katrina, de catégorie 5, est l'ouragan qui a coûté le plus cher aux États-Unis d'Amérique, et le bilan humain a été très lourd (plus de 1800 victimes). En 2008, le cyclone tropical Nargis a causé la mort de plus de 70 000 personnes : c'est la pire catastrophe naturelle qu'ait connue le Myanmar et le cyclone tropical le plus meurtrier de toute la décennie.

himilayan-glacier-2.jpgGlaciers Himalayiens non cités...

Glaces de mer

Dans l'Arctique, le recul de la banquise, constaté depuis la fin des années 60, s'est poursuivi tout au long de la décennie 2001-2010. Un minimum historique a été enregistré en septembre 2007, durant la saison de la fonte des glaces.

L'étendue de la banquise arctique a encore été très inférieure à la moyenne en 2011. Elle a atteint le 9 septembre son minimum saisonnier, soit 4,33 millions de km2 (35% de moins que la moyenne calculée pour la période 1979-2000), d'après le Centre national de données sur la neige et la glace des États-Unis d'Amérique, ce qui la classe au deuxième rang des moins étendues jamais observées lors du minimum estival, après le minimum record de 2007. Quant au volume de la banquise, il a atteint un nouveau minimum record de 4200 km3, le précédent record – 4580 km3 – datant de 2010.

Depuis 1972, les satellites permettent d’observer les fluctuations de la banquise d’une année sur l’autre. D’après les mesures scientifiques qui ont été effectuées, tant l’épaisseur que l’étendue de la banquise de l’Arctique ont diminué de façon spectaculaire ces 35 dernières années. Récemment, ce mouvement s’est même accéléré. C'est durant les six dernières années de la décennie (2005 à 2010) qu'ont été enregistrés les cinq minima de septembre les plus faibles, le minimum record ayant été atteint en 2007 – 4,28 millions de km2, soit 39% de moins que la moyenne de la période de référence (1979-2000).

Source : OMM + http://www.catnat.net/donneesstats/dernieres-actualites/13775-l-omm-publie-son-bilan-climatique-mondiale-pour-l-ann%C3%A9e-2011

S,F,H, 03-2012

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