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Une nouvelle cartographie des "autoroutes" du cerveau
Une nouvelle cartographie des "autoroutes" du cerveau
Le cerveau incroyablement compliqué devient juste un peu plus simple. Au lieu de les voir comme un fouillis de soupe aux nouilles, les voies de transmissions dans le cerveau sont en fait plus comme un paquet de nouilles disposées en trames parfaitement entrelacées, révèle une nouvelle étude de balayage magnétique du cerveau. Les résultats offrent plus d'indices sur la façon dont le cerveau humain se construit et comment il a évolué.
Des scientifiques dirigés par Van Wedeen du Massachusetts General Hospital et Harvard Medical School à Boston ont utilisé une technique de balayage appelé l'imagerie par résonance magnétique de diffusion qui détecte le sens d'écoulement du trafic le long des faisceaux de matière blanche, les autoroutes de l'information du cerveau. Les balayages révélent que ces signaux cérébraux forment une grille, composée de voies parallèles et perpendiculaires tissées ensembles dans des feuilles courbées.
"Cette grille est une caractéristique générale des cerveaux des primates, rapportent Wedeen et ses collègues dans le numéro du 30 Mars 2012 de Science. Des Cerveaux de singes rhésus, de singes communs, de ouistitis et de galagos prosimiens contiennent des motifs géométriques semblables à ceux trouvés chez des volontaires humains, suggérant de profondes racines évolutionnaires de la grille.
Un jour, les médecins pourront être en mesure de diagnostiquer les troubles du cerveau en identifiant les variations de ce modèle régulier de cerveau".
Source : http://www.sciencenews.org/view/generic/id/339536/description/Mapping_the_brain%E2%80%99s_superhighways - Laura Sanders
Traduction Yves Herbo - 04-2012
Climat : le bilan 2011 de l'OMM
Climat : le bilan 2011 de l'OMM
L'Organisation Météorologique Mondiale vient de publier un épais rapport sur l'état du climat en 2011. Il montre que le changement climatique se poursuit. Le compte rendu sur le climat en 2011 a été publié à l'occasion de la Journée météorologique mondiale, célébrée le 23 mars. L'OMM a aussi rendus publics les résultats préliminaires d'une évaluation du climat mondial pour la période 2001-2010, qui sera publiée sous peu. Il en ressort que le changement climatique s'est accéléré pendant cette décennie, la plus chaude jamais observée sur tous les continents du globe.
D'après la Déclaration de l'OMM sur l'état du climat mondial en 2011, cette année se classe au onzième rang des plus chaudes depuis 1850, date des premiers relevés. Cela confirme les conclusions préliminaires selon lesquelles 2011 est la plus chaude qui ait été constatée dans le cas d'une année à Niña, phénomène qui induit un refroidissement. La température moyenne en 2011 présente une anomalie estimée à +0,40°C par rapport à la normale calculée pour la période 1961-1990, qui est de 14°C.
Les extrêmes de précipitations, souvent liés à l'une des plus puissantes Niña des 60 dernières années, ont eu des répercussions considérables. Des inondations de grande ampleur se sont produites sur tous les continents, tandis que de graves sécheresses ont sévi en Afrique de l'Est et en Amérique du Nord. L'étendue de la banquise de l'Arctique a atteint des minima quasi records et l'activité cyclonique a été inférieure à la moyenne à l'échelle du globe, même si la saison des tornades est l'une des plus destructrices qu'aient connues les États-Unis d'Amérique.
Le rythme du réchauffement depuis 1971 est «remarquable», pour reprendre les termes de l'évaluation. Des phénomènes atmosphériques et océaniques comme La Niña ont refroidi temporairement le climat certaines années, sans interrompre pour autant la tendance générale au réchauffement.
Le «recul spectaculaire et constant de la banquise de l'Arctique» est l'une des principales caractéristiques de l'évolution du climat pendant la décennie considérée, toujours selon cette évaluation. Moyennées à l'échelle du globe, les précipitations en 2011 se classent au deuxième rang des plus abondantes qui aient été enregistrées depuis 1901, et les inondations seraient le phénomène extrême le plus fréquent.
«Le compte rendu sur le climat en 2011 vient corroborer les conclusions énoncées dans les rapports précédents, à savoir que le changement climatique n'est plus une vague menace et qu'il est au contraire bien réel. La planète se réchauffe du fait des activités humaines, et l'impact de ce réchauffement sur la Terre, son atmosphère et ses océans se traduit par des bouleversements parfois irréversibles», a déclaré le Secrétaire général de l'OMM, Michel Jarraud.
Températures
La décennie 2001-2010 est la plus chaude qui ait été constatée depuis le début des observations, en 1850, la température moyenne à la surface du globe (terres émergées et océans confondus) accusant une anomalie positive estimée à 0,46°C par rapport à la normale calculée sur la période 1961-1990, qui est de 14°C. Neuf de ces années font partie des dix années les plus chaudes, et parmi elles, 2010 est la plus chaude jamais observée, suivie de près par 2005, la température moyenne présentant un écart par rapport à la normale estimé à +0,53°C. La décennie en question est la plus chaude jamais constatée à la surface des terres, à la surface des océans et sur tous les continents.
Dans la majeure partie du Canada, de l'Alaska, du Groenland, de l'Asie et de l'Afrique du Nord, la température moyenne de la décennie 2001-2010 est supérieure de 1 à 3°C à la normale pour la période 1961-1990.
Près de 90% des pays qui ont participé à l'évaluation ont connu la décennie la plus chaude de leur histoire depuis qu'il existe des relevés.
Le rythme d'accroissement de la température moyenne a été «remarquable» durant les quatre dernières décennies, d'après les résultats préliminaires de l'évaluation. Depuis 1971, elle a augmenté au rythme moyen de 0,166°C par décennie, selon les estimations, contre 0,06°C par décennie pour l'ensemble de la période 1881-2010.
Précipitations
La moyenne mondiale des précipitations (pluie, neige, etc.) qui sont tombées sur les terres émergées entre 2001 et 2010 se classe au deuxième rang des plus élevées – après la décennie 1951-1960 – depuis 1901. Cette moyenne cache de fortes disparités entre les régions et aussi entre les années.
Les précipitations ont été supérieures à la normale dans une grande partie de l'hémisphère Nord pendant la décennie considérée, en particulier dans l'est des États-Unis d'Amérique, le nord et l'est du Canada et de nombreuses régions d'Europe et d'Asie centrale. Ce fut aussi le cas en Amérique du Sud, notamment en Colombie, dans certaines régions du nord et du sud du Brésil, en Uruguay et dans le nord-est de l'Argentine, de même que dans la majeure partie de l'Afrique du Sud, en Indonésie et dans le nord de l'Australie.
En revanche, d'autres régions ont connu, en moyenne, des précipitations inférieures à la normale, en particulier l'ouest des États-Unis d'Amérique et le sud-ouest du Canada, l'Alaska, la majeure partie de l'Europe méridionale et occidentale et de l'Asie méridionale, l'Afrique centrale, le centre de l'Amérique du Sud ainsi que l'est et le sud-est de l'Australie.
Phénomènes extrêmes
La décennie a été marquée par de multiples phénomènes météorologiques et climatiques extrêmes – inondations, sécheresses, cyclones, vagues de froid et de chaleur – un peu partout dans le monde. Deux vagues de chaleur exceptionnelles ont frappé l'Europe et la Fédération de Russie, respectivement en 2003 et 2010, avec des conséquences catastrophiques: des milliers de personnes en sont mortes et les régions concernées ont dû faire face à des incendies de forêt dévastateurs.
Les inondations occupent la première place parmi les phénomènes extrêmes, et elles ont concerné beaucoup de régions. Des inondations persistantes et de grande ampleur ont frappé l'Europe orientale en 2001 et 2005, l'Afrique en 2008, l'Asie (en particulier le Pakistan) en 2010 et l'Australie également en 2010.
Des sécheresses extrêmes ont sévi dans de nombreuses régions, notamment en Australie, en Afrique de l'Est, dans le bassin de l'Amazone et dans l'ouest des États-Unis d'Amérique. Les conséquences ont été très graves sur le plan humanitaire en Afrique de l'Est: pénurie alimentaire généralisée et lourdes pertes en vies humaines, sans parler des pertes de bétail.
Quarante-huit (soit 47%) des 102 pays considérés ont déclaré que leur record de chaleur absolu avait été enregistré durant la décennie 2001-2010, alors que 20% ont indiqué que c'était pendant la décennie 1991-2000 et environ 10% lors des décennies précédentes.
La décennie a été marquée par une activité cyclonique record dans le bassin de l'Atlantique Nord. Survenu en 2005, l'ouragan Katrina, de catégorie 5, est l'ouragan qui a coûté le plus cher aux États-Unis d'Amérique, et le bilan humain a été très lourd (plus de 1800 victimes). En 2008, le cyclone tropical Nargis a causé la mort de plus de 70 000 personnes : c'est la pire catastrophe naturelle qu'ait connue le Myanmar et le cyclone tropical le plus meurtrier de toute la décennie.
Glaciers Himalayiens non cités...
Glaces de mer
Dans l'Arctique, le recul de la banquise, constaté depuis la fin des années 60, s'est poursuivi tout au long de la décennie 2001-2010. Un minimum historique a été enregistré en septembre 2007, durant la saison de la fonte des glaces.
L'étendue de la banquise arctique a encore été très inférieure à la moyenne en 2011. Elle a atteint le 9 septembre son minimum saisonnier, soit 4,33 millions de km2 (35% de moins que la moyenne calculée pour la période 1979-2000), d'après le Centre national de données sur la neige et la glace des États-Unis d'Amérique, ce qui la classe au deuxième rang des moins étendues jamais observées lors du minimum estival, après le minimum record de 2007. Quant au volume de la banquise, il a atteint un nouveau minimum record de 4200 km3, le précédent record – 4580 km3 – datant de 2010.
Depuis 1972, les satellites permettent d’observer les fluctuations de la banquise d’une année sur l’autre. D’après les mesures scientifiques qui ont été effectuées, tant l’épaisseur que l’étendue de la banquise de l’Arctique ont diminué de façon spectaculaire ces 35 dernières années. Récemment, ce mouvement s’est même accéléré. C'est durant les six dernières années de la décennie (2005 à 2010) qu'ont été enregistrés les cinq minima de septembre les plus faibles, le minimum record ayant été atteint en 2007 – 4,28 millions de km2, soit 39% de moins que la moyenne de la période de référence (1979-2000).
Source : OMM + http://www.catnat.net/donneesstats/dernieres-actualites/13775-l-omm-publie-son-bilan-climatique-mondiale-pour-l-ann%C3%A9e-2011
S,F,H, 03-2012
OVNIs très véloces en pleine ville
OVNIs très véloces en pleine ville...
Un autre OVNI à vitesse supersonique a été capturé sur une vidéo par un passager d'un avion de ligne le 29 mars 2012, au-dessus de Birmingham, Alabama, USA. C'est exactement un cas similaire à celui du 21 mars 2012, jour où un autre OVNI avait été filmé d'un avion dans le ciel de Dallas. Pareillement, ces deux vidéos sont rapprochées à celles prises au Chili le 5 novembre 2010, à El Bosque lors d'un meeting aérien, et même à une autre datant de 2008...
Conny Renner et sa famille ont filmé ces objets alors que leur avion arrivait à Birmingham, Alabama. Même en faisant attention, vous aurez du mal à voir, entre 0,27 et 0.29 de la vidéo, passer un objet de droite à gauche vers le milieu de la scène. Heureusement, la suite est ralentie et un peu optimisée.
Une video en HD 1080 filmée le 21 mars 2012 au dessus de Fort Woth, à Dallas, Texas, USA. Ann et Jennifer Thomson voulaient juste filmer le site de Fort Worth et ce n'est que par hasard, en visualisant plus tard le film que le premier objet a été remarqué. Celui-ci est visible et traverse la scène de droite à gauche par le milieu. Un deuxième objet a été remarqué en suite, passant vite en bas à droite... deux vidéos avec ralentis, zoom et optimisation. Elles se sont décidées à partager leur film après avoir vu celui de l'OVNI du 17 mars 2012 filmé à Amsterdam, Hollande (ci-dessous).
Le 5 novembre 2010, lors d'un meeting aérien de la Air Force Command à El Bosque à Santiago, Chili, plusieurs spectateurs, officiers et civils, filment la piste de la base aérienne et le meeting. Plusieurs vidéos sont récupérées car elles montrent plusieurs objets très rapides survolant la base aérienne au même moment... :
Il y a aussi cet OVNI filmé d'avion au-dessus de l'Himalaya le 25 mars 2012, qui ressemble plus (pour ma part) à un montage d'effets spéciaux, à vous de voir :
Amsterdam, Hollande, le 17 mars 2012, également pris d'avion :
La vidéo optimisée :
Les successions de films et témoignages apportent les preuves que les perceptions physiques de l'être humain sont trop limitées naturellement pour pouvoir apréhender l'ensemble de la réalité. Vision très limitée (ce n'est sûrement pas pour rien que les anciens Egyptiens ont utilisé et même déifié le chat par exemple, qui a un plus large spectre visuel que l'humain et peut voir des choses invisibles pour lui, mais aussi une capacité d'agilité et de vitesse supérieure) et appréciations des ondes (appréciations des distances, des vitesses, du magnétisme...) difficiles font que l'être humain ne commence à découvrir certaines réalités que grâce à sa (ou celle récupérée) technologie moderne...
La question serait de savoir, entre autres, si ces objets sont là depuis longtemps, voir toujours, et que nous les apercevions jusqu'à présent que très furtivement, quand leur vitesse nous le permettait. Ou si ce sont les dernières technologies qui amènent ces engins presque invisibles sur les toits des citoyens. Même si je suis certain que les conglomérats industriels technico-militaires possèdent effectivement une avance technologique de 30 à 50 ans par rapport au commun des mortels, je doute fortement que les vagues d'objets de plusieurs natures entre 1860 et 1897 soient le fait de conglomérats inexistants à l'époque ayant une avancée équivalente à celle de nos jours pratiquement... plus de 100 ans à l'avance, ça fait quand même beaucoup et long à cacher... Même si les gouvernements vont être tenter de faire passer leurs drônes et avancées techniques comme étant les seuls OVNIs existants, ne vous y laissez pas prendre...
Quoiqu'il en soit, il n'y a pas énormément de possibilités : soit les gouvernements (américain surtout mais ses alliés aussi) ont dépensé des fortunes colossales, au mépris de l'endettement publique de ses propres populations, pour des objectifs militaires cachés et invisibles à ses propres citoyens dans un but incertain, soit ce sont des conglomérats industriels privés qui ont utilisés les mêmes moyens financiers (détournés, blanchis...?) pour créer la puissance nécessaire pour anéantir n'importe quelle nation sur Terre ou même se rendre maître de la planète à volonté, soit il s'agit d'objets extérieurs à notre civilisation, implantés (ou non) depuis des millénaires parmi nous ou plus récemment, et qui commencent à penser qu'il est temps de faire quelque chose... mais quoi ? Se révéler de plus en plus grâce aux nouvelles technologies humaines et prouver leur existence ? C'est pratiquement déjà fait, et ça l'est depuis longtemps pour un grand nombre d'humains qui sont convaincus de leur existence... ça n'a pas changé leur façon de vivre, mais leur façon de percevoir les choses, et c'est l'essentiel.
Même si c'est très long, il semble que sur la durée, et avec les avancées techniques en matière d'optique et de stockages aidant, les apparitions furtives de nos visiteurs pourraient bien finir par suffir à changer (incidieusement ou pas ?) la civilisation humaine... L'une des premières intervention longue et discrète de nos visiteurs aurait pu suffire à créer la notion de religion chez l'homme préhistorique... c'est à méditer...
Yves Herbo - 03-2012
OVNIs : mars 2012 suite 6
OVNIs : mars 2012 suite 6
Une étonnante vidéo aurait été prise ce 28 mars 2012 en France, sur le fameux Mont De Burgarach, déjà réputé pour son aura de mystères... Le film a été pris près du sommet par un escaladeur allemand et un groupe de randonneurs espagnols qui seraient donc tous témoins. Je joinds en dessous un autre petite vidéo faite par les médias auprès du maire du village local, qui est nettement destinée à minimiser et ne donner qu'un point de vue, essentiellement commercial avec évidence... une info orientée donc et non objective en soit, et qui ne donne qu'un point de vue parmis tant d'autres...
Source : http://news.gather.com/viewArticle.action?articleId=281474981226280
Autres infos sur les mystères de l'endroit : http://secretebase.free.fr/etrange/zonesetranges/bugarach/bugarach.htm
Une vidéo de Russie à nouveau, du 29-03-2012 et à nouveau l'affirmation de la découverte d'un énorme globe en pleine Sibérie... d'après la source, des chercheurs seraient partis à la recherche de traces suite aux rumeurs de lumières, d'ovnis et de bases d'ovnis dans la région... ce film serait leur première découverte. A priori, l'ancienne russie soviétique a dû construite un peu partout, y compris en Sibérie, des structures militaires et scientifiques totalement ignorées de la population... la probabilité est plutôt de ce côté là à mon avis en ce qui concerne ce genre de structure, mais il est vrai aussi que l'étendue de la forêt sibérienne, les conditions assez extrêmes souvent, permettraient à une véritable petite armée bien équipée d'y séjourner longtemps, en toute discrétion... :
An expedition of 15 researchers and scientists is going to enter one of these domes to finally uncover its secrets. The leader of this scientific expedition will be Nikolai Subbotin of Perm City, a UFO researcher. He noted that 'Ancient Tibetan scrolls, says that once these domes were part of a defence system for an ancient ET colony. Sounds like complete fantasy and most unbelievable however, that is what is written in these old Tibetan scrolls'. Were these domes created by ETs or were they built by an extinct ancient advanced civilization? http://www.allnewsweb.com/page1199999575.php
Cette vidéo-compilation, postée le 30-03-2012, a été faite à partir de récentes images montrées sur les chaînes de télévision allemandes et montre notamment un journaliste parlant en direct lors d'un journal télévisé, pendant qu'un gros OVNI passe derrière lui... images intéressantes en tout cas :
Royaume-Uni = Notez aussi que des objets lumineux ont été vu par plusieurs témoins à l'Ouest de l'Ecosse le 28-03-2012, se dirigeant vers la plate-forme pétrolière qui fuit à l'Est de l'Ecosse : http://www.uk-ufo.co.uk/2012/03/west-of-scotland-28th-march-2012/, http://www.uk-ufo.co.uk/2012/03/west-of-scotland-28th-march-2012/, mais aussi à Bournville : http://www.uk-ufo.co.uk/2012/03/bournville-28th-march-2012/, vers Manchester le 27 : http://www.uk-ufo.co.uk/2012/03/eccles-greater-manchester-27th-march-2012/, le Hampshire le 27 : http://www.uk-ufo.co.uk/2012/03/hayling-island-27th-march-2012/, vers Londres le 27 : http://www.uk-ufo.co.uk/2012/03/thornton-heath-27th-march-2012/
A Lawrence, en Australie, Mr Rex Brasington a pu filmer deux boules de feu rouge-orange le samedi 24-03-2012. Le film a été examiné et authentifié, puis l'astronome réputé David Reneke l'a identifié comme étant probablement une boule de feu issue d'une météorite... ce qui est étonnant, c'est qu'un premier objet est passé (le témoin et sa femme n'ont pas eu le temps de prendre une photo), mais cinq minutes après le même phénomène s'est reproduit et il a pu prendre 3 photos dont l'une est visible ici :
Lawrence, en Australie, 24-03-2012
http://www.qt.com.au/story/2012/03/28/flaming-ufos-in-lawrence/
Yves Herbo 03-2012
La vie Extra-Terrestre à notre porte ?
La vie Extra-Terrestre à notre porte ?
Les rapports des astronomes et scientifiques s'enchaînent et s'affinent de plus en plus en ce qui concerne les probabilités de trouver la vie sur d'autres mondes que le notre : aussi bien du côté de l'espace galactique proche que dans notre propre banlieue solaire, les données s'accumulent et vont dans la même direction... La détection de matériaux organiques annoncée par la NASA le 30-12-2012 et la possibilité d'une forme de vie sur Encelade, un satellite de Saturne augmente d'autant l'intéret des scientifiques et de l'homme de la rue... :
Des milliards de planètes potentiellement habitables dans notre galaxie
L’Observatoire austral européen a annoncé jeudi 29-12-2012 que des milliards de planètes potentiellement “habitables” existent dans la Voie Lactée, dont probablement une centaine au seul voisinage du Soleil.
Des “super-Terres”. Ces planètes rocheuses d’une masse comprises entre une et dix fois la Terre ont été découvertes par une équipe internationale de l’instrument HARPS. Cet appareil, un spectographe, équipant le télescope de l’ESO au Chili, a mis au jour ces 9 planètes dans un échantillon de 102 étoiles de type “naines rouges”.
Si ces “super-Terres” sont situées dans une zone où la température est propice à l’existence d’eau liquide, elles pourraient théoriquement être à même d’abriter une forme de vie quelconque. Les “naines rouges” quant à elles, sont des étoiles relativement faibles et froides comparées à notre Soleil, et sont très communes dans notre galaxie. Elles représentent 80% de toutes les étoiles de la Voie Lactée. Xavier Bonfils, de l’Observatoire des sciences de l’Univers de Grenoble, responsable de l’équipe explique que les “nouvelles observations avec HARPS signifient qu’environ 40% de toutes les naines rouges ont une super-Terre dans leur zone habitable, là où l’eau liquide peut exister à la surface de la planète“. “Le fait que les naines rouges soient si communes – on en compte environ 160 milliards dans la Voie Lactée – nous a conduit à l’étonnant résultat qu’il y a des dizaines de milliards de planète de ce type rien que dans notre galaxie“, ajoute-t-il dans un communiqué de l’ESO.
Une nouvelle Terre ?
De nombreuses naines rouges sont situées près du Soleil. Cette estimation signifie qu'il y a probablement environ une centaine de super-Terres dans la zone habitable d'étoiles situées dans le voisinage du soleil, souligne l'ESO. L'instrument HARPS a notamment découvert "la plus proche sœur de la Terre trouvée à ce jour". Nom de code : Gliese 667Cc. Cette planète, quatre fois plus massive que notre Terre appartient à un système possédant trois étoiles et semble se trouver à proximité du centre de la zone habitable.
Léger bémol : "Les naines rouges sont connues pour être sujettes aux éruptions stellaires qui peuvent plonger la planète dans un flot de rayons X ou de radiation ultraviolette, rendant la vie moins probable dans cette zone", relève Stéphane Udry, de l'Observatoire de Genève. Il reste donc beaucoup de chemin à parcourir pour détecter une hypothétique forme de vie extraterrestre. le 29 mars 2012 à 18:03
Saturne: Encelade pourrait abriter des formes de vie
La navette Cassini de la NASA a déjà pris de nombreuses photos de Encelade, une des lunes de Saturne. Selon la NASA, elle pourrait abriter des formes de vie similaires à celles découvertes sur Terre.
En utilisant le spectromètre de la sonde Cassini, les scientifiques ont pu déterminer que les 90 jets de vapeur d'eau s'échappant des "rayures de tigres", situées au pôle sud, contiennent également des matériaux organiques, du sel et des particules gelées. En effet, Encelade est une lune où il neige. Et la composition de la neige est un environnement favorable au développement des microbes. La lune entre ainsi dans le peloton de tête des planètes pouvant abriter des formes de vie.
Carolyn Porco, directrice de l'équipe Imaging Science pour la mission de la navette Cassini, précise que "nous sommes capables de nous déplacer à travers les volutes et de prélever des échantillons. Nous pouvons également nous poser à la surface de la lune, jeter un coup d'oeil et repartir avec ce dont nous avions besoin", rapporte le Smithonian Mag.
Encelade produit de la chaleur
"Cassini est déjà passé plusieurs fois à travers ces jets et a fait des prélèvements. Nous avons ainsi découvert que leur salinité est identique à celle des océans sur la Terre", ajoute-t-elle au NASA Science News.
De plus, des mesures thermiques ont mis en évidence des température s'approchant des -84°C. Ainsi "environ 16 gigawatts d'énergie thermique sortent de ces fissures", affirme Carolyn Porco. À priori, cette chaleur proviendrait de la force gravitationnelle de Saturne qui forcerait Encelade à changer son orbite régulièrement, provoquant ainsi des flexions internes générant de la chaleur. Pourtant, cela "ne représente pas toute la chaleur libérée. L'énergie libérée aujourd'hui pourrait avoir été générée puis stockée à l'intérieur de la lune dans le passé", explique-t-elle.
Carolyn Porco précise que la lune entre dans des cycles où, lorsque Encelade doit faire face à la pression gravitationnelle, elle stocke de la chaleur en faisant fondre sa glace. Lorsque la pression diminue, la lune élimine plus de chaleur qu'elle n'en produit et donc se refroidit. "L'eau liquide se transforme de nouveau en glace. Mais elle en gèle jamais en intégralité, afin que la chaleur puisse de nouveau augmenter, et commencer un nouveau cycle", conclue la scientifique.
Un habitat propice au développement de la vie
Donc, avec des océans liquides souterrains, une source d'énergie et des matériaux organiques, Encelade pourrait très bien abriter les mêmes formes de vie que sur la Terre. En revanche, sur la planète bleue, ces zones de développement de la vie se situent majoritairement au fond des océans. Sur Encelade, la zone habitable est beaucoup plus facile d'accès… "Elle débouche directement dans l'espace, où nous pouvons y accéder facilement. C'est l'endroit le plus prometteur que je connaisse pour effectuer des recherches biologiques. Nous n'aurions même pas besoin de gratter la surface de la lune", s'extasie la chercheuse, repris par NASA Science News.
Ces jets d'eau se frayent ainsi un passage à travers la croûte gelée d'Encelade et pourraient mener à une zone habitable unique dans tout le système solaire.
Retrouvez cet extraordinaire phénomène, en images, sur Maxisciences.
Yves Herbo 03-2012
Les courants marins reconstitués par la NASA
Les courants marins reconstitués par la NASA
La NASA vient tout juste de dévoiler les résultats d'un modèle informatique qui traduit les courants océaniques en action sur Terre. Des images qui ressemblent étrangement à un tableau du célèbre peintre néerlandais Vincent Van Gogh.
Si les images d'espace dévoilées par la NASA sont très souvent stupéfiantes, cette fois-ci l'Agence spatiale américaine bat des records. Elle vient tout juste de publier des images et une vidéo issues d'un modèle informatique conçu par ses ingénieurs. Objectif : donner un aperçu des courants océaniques qui agissent sur Terre. Mais bien qu'on ne doute pas de la beauté de nos mers, les spirales bleues et blanches présentées laissent sans voix, à tel point qu'elles semblent tout droit sorties d'un tableau du célèbre peintre Vincent Van Gogh.
Le modèle mis au point a été baptisé "Estimating the Circulation and Climate of the Ocean, Phase II" (ECCO2) soit en français "estimer la circulation et le climat des océans". Pour le concevoir, les chercheurs de la NASA se sont en fait basés sur les courants observés entre juin 2005 et décembre 2007. Des données qu'ils ont compilées en une vidéo intitulée "Océan perpétuel" qui retrace ainsi les courants qui sont intervenus durant cette période.
"ECCO2 est un modèle de haute résolution des océans et glace de mer du globe. Il cherche à modéliser les océans et la glace de mer jusqu'à obtenir des résolutions précises qui servent à résoudre les tourbillons océaniques et les étroits systèmes de courant qui transportent la chaleur et le carbone des océans", explique la NASA citée par le Daily Mail.
Dans la pratique, ECCO2 modélise les courants océaniques à toutes les profondeurs mais les images dévoilées et la vidéo ne traduisent que ceux opérant à la surface. Le but, d'après la NASA, était alors simplement de produire une "expérience simple et viscérale". Mission accomplie on dirait.