Articles de yvesh

Alerte Ovni France – 19 février 2012

Par Le 19/02/2012

Alerte Ovni France – 19 février 2012

stservais-02-2012.jpg

De nouvelles apparitions en France et des appels à témoignages par O.D.H.TV. et Gilles Thomas :


http://www.wat.tv/video/alerte-ovni-france-19-02-12-4vdev_2ihgj_.html

Yves Herbo-02-2012

Dans OVNI/UFO

OVNIs février 2012 suite 2

Par Le 19/02/2012

OVNIs février 2012 suite 2

argentine-02-2012-ovni.jpg

Date: 14-02-2012 Argentine- Oro Verde - Source: Diario UNO (Entre Rios) and Planeta UFO
http://www.unoentrerios.com.ar/laprovincia/Un-objeto-brillante-en-el-cielo-de-Oro-Verde-20120213-0035.html

le 10-02-2012 au Paraguay

Ronald Maidana et son compagnon Gustavo Sanabria assurent que des jeunes qui jouaient au football dans un terrain de quartier ont vu des lumières rouges à quelque 70 mètres d'où ils étaient. L'un de ceux qui ont vu les objets volants non identifiés est Ulises González, un enfant de Loma Pytâ, Paraguay.

Ulises a été alerté par sa petite soeur de 4 années, qui a vu des lumières étranges dans le ciel. Elle jouait au football avec quelques-uns de ses amis près du hall du magasin El Portal.

Selon les commentaires de Ronald Maidana à ULTIMAHORA.COM, dans une visite qui a fait à la redaction, il y avait 2 lumières puis ensuite il y en avait 4. « Elles ont formé un L, mais couché, et elles se sont éloignées en direction ouest vers l'Argentine », a-t-il expliqué.

le 10-02-2012 au Paraguay (vo espagnol)

En Grèce vers le 10 février 2012 :

Le 11-02-2012 au-dessus de Mexico-City :

Disque filmé au Royaume-Uni début février 2012 : analyse et amélioration de la vidéo :

Yves Herbo-02-2012

Dans Sciences

Evènements en Russie et aux USA

Par Le 17/02/2012

Evènements en Russie et aux USA

tunguska-big.jpg

2 secousses mystérieuses ébranlent la Sibérie, la zone déclarée interdite

 

RUSSIE - Rapporté par le Service de géophysique de Siberie (de l’académie des Sciences de Russie), deux explosions exceptionnellement puissantes ont eu lieu ces derniers jours dans le sud de la Sibérie, à seulement quelques dizaines de kilomètres de la ville de Belovo , dans la région russe de Kemerovo

La première explosion a eu lieu le 9 février 2012 à 20:30, et elle était si puissante que les habitants de la ville de Prokopevsk Belovo, de Kemerovo et de Novokouznetsk ont senti la terre trembler. De nombreux résidents ont paniqué, et sont sortis dans la rue, pensant qu'il s'agissait d'un tremblement de terre, mais le Service de géophysique de Sibérie a exclu tout de suite cette possibilité. L’explosion a été ressentie « sur la surface de la terre, avec une intensité d'un M3, soit 0.6 sur l'échelle de Richter. » 

Le 12 février 2012, une autre explosion a été ressentie, d’un peu "plus faible puissance que la précédente, et a été entendue exactement au même endroit. Toute la presse locale a donné une grande importance à cette histoire en supposant que cela pourrait être une explosion venue des carrières voisines, des carrières pour l'extraction de minéraux. D’autres dires parlent d’un événement similaire à Tunguska, ou encore de possibles armes tectoniques testées par le gouvernement. Tout cela est mystérieux." 

Par ailleurs, la zone a été entièrement bouclée par les autorités et interdite à quiconque souhaite la pénétrer. Marina Sadovski pour WikiStrike 
report-russian-academy-of-sciences.jpg
Source: http://hainanwel.com/en/unusual-world/1524-repetition-of-1908.html

 

Un evènement inhabituel a percuté le champ magnétique terrestre le 14-02-2012

paul-mccrone-dmsp-f18-fclr-day-fog-stratus-full-150744z-feb.jpg

En l'absence d'éruption solaire active et pour des raisons encore mal comprises par les prévisionnistes, l’incompréhension règne autour d’un évènement qui a froissé le champ magnétique de la Terre au niveau du cercle polaire arctique le 14 Février 2012. L'impact a déclenché une flambée d’aurores observées et photographiées par des observateurs.

Le satellite météorologique américain du programme de Défense a capturé un tourbillon de lumière stationné au nord de la mer de Bering. L’incompréhensible aurore a fait résonner le champ magnétique de la Terre durant toute la journée du 15 février 2012

Ghisham Doyle pour WikiStrike

Source: http://www.spaceweather.com/

chad-blakley-dsc-3549-13292659.jpg

On Feb. 14-15, Arctic skies erupted with an unexpected display of auroras that veteran observers said was among the best in months. At the height of the event, a US Defense Meteorological Program satellite photographed a whirlpool of Northern Lights over the Bering Sea :

number of images from the DMSP F18 satellite captured the dramatic auroral event of the last couple nights," says analyst Paul McCrone, who processed the data at the US Navy's Fleet Numerical Meteorology and Oceanography Center in Monterey, CA.

The reason for the outburst is still not completely clear. It started on Feb. 14th when a magnetic disturbance rippled around the north pole. No CME was obvious in local solar wind data at the time; the disturbance just happened. Once begun, the display was amplified by the actions of the interplanetary magnetic field (IMF). The IMF near Earth tipped south, opening a crack in our planet's magnetic defenses. Solar wind poured in and fueled the auroras.

more images: from Göran Strand of Östersund, Swedenfrom Heidi Pinkerton of Birch Lake, Babbitt, Minnesotafrom Roger Schneider of Tromso, Norwayfrom Hanneke Luijting of Tromsø, Norwayfrom Peter Rosén of Abisko NP, Swedenfrom Jesper Grønne of Silkeborg Denmark

MAJ : petite enquête sur le Mer de Bering et environs : une assez grande quantité de fer magnétique sur la presqu'ile de Kamtchatka pouvant attirer ce "vortex" magnétique assez concentré sur la région :

Le Kamtchatka, d'une superficie de 270 500 km², est une presqu'île de la partie orientale de la Russie d'Asie ; baignée à l'Est par mer de Béring et la mer d'Okhotsk à l'Ouest. Elle se rattache au Sud aux îles Kouriles dont elle n'est séparée que par un canal resserré, le détroit des Kouriles; elle est limitée au Nord par le pays des Tchouktches. Soumis à la Russie depuis 1706, le Kamtchatka forme un des krays (territoires) de la Russie. Chef-lieu : Petropavlovsk, petit port sur la baie d'Avatcha.

L'ossature de la presqu'île est formée de granits, de porphyres, de schistes'paléozoïques et de roches métamorphiques auxquelles se sont superposés des basaltes, des trachytes et des coulées de lave. On trouve, dans la presqu'île, du cuivre à l'état natif, du fer oxydulé magnétique, des lignites, de l'ambre jaune, du soufre natif en abondance. Source : http://www.cosmovisions.com/Kamtchatka.htm

Une gigantesque pyramide découverte au fond de l'océan Atlantique?

georgie-cotes.jpg

Le système de sonar à balayage latéral à longue portée GLORIA (Asdic d'enclin à long terme géologique) a fait une découverte archéologique fascinante sur d'anciens vestiges d'une cité fortifiée antérieure à la construction des pyramides d'Égypte au large des côtes de la Géorgie, USA, à proximité de la côte Atlantique, ces analyses appâtent les archéologues et autres scientifiques du monde entier.

georgie-cotes2.jpg

Coordonnées environ 30 ° N, 77 ° W

Une analyse plus précise et plus profonde sera évidemment lancée pour confirmer ou infirmer cette incroyable potentielle pyramide !

georgie-pyra.jpgPyramide au large de la Georgie ?

Une boule de feu dans le ciel américain

boule16-02-2012.png

Beaucoup de gens à travers le nord de l'État de la Caroline ont appelé la FOX et ont dit qu'ils ont été réveillés par une forte explosion et un flash de lumière tôt lundi matin. 

La plupart des rapports du phénomène inhabituel provenaient de personnes vivant dans le Cherokee et Spartanburg Greenville à environ 1:45 du matin. 

Les responsables du National Weather Service à l'aéroport de Greenville-Spartanburg International ont déclaré que sur la base de rapports de témoins oculaires, l'événement était probablement un météore

Le service météorologique a dit qu'il y avait un flash dans le ciel environ à 1:46 heures du matin et ils ont enregistré un flash très faible avec leurs caméras. 

La police de Spartanburg dit au Service météorologique qu'ils avaient reçu de nombreux appels du public. Ils ont dit que l'un de leurs officiers a vu un flash de lumière jusqu'à sa voiture et a vu des morceaux différents se désintégrer dans le ciel. 

Joseph Fidler, résident de Greenville, a envoyé une vidéo de sécurité de son domicile montrant une vive lumière éclairant son quartier et une réflexion du "météore" dans le pare-brise de sa voiture (vidéo ci-dessus). 

Stuart McDaniel, de Lawndale, Caroline du Nord, a envoyé la vidéo à FOX qui montre une grosse boule de feu dans l'horizon inférieur à peu près au même moment que le météore a été signalé dans le nord de l'État. 

Dr Scott Howard, un géologue du ministère de la Caroline du Sud des Ressources naturelles, a déclaré que les chances de trouver une météorite sont très minces.

Source: Maxime-voyance-Wikistrike-FOX TV

02-2012

Dans OVNI/UFO

OVNIs : Ce soir 15-02-2012 sur ODHTV

Par Le 15/02/2012

OVNIs : Ce soir 15-02-2012 sur ODHTV

odhtv.jpg

Soirée en direct le mercredi 15 Février 2012 de 21h à 00h

Thème: Document Ovni Interdit

Invité: Jean Gabriel Greslé
 

rendez vous sur:
http://odhtv-replay.kazeo.com/

http://www.facebook.com/events/335044259873819/

La vidéo de février 2012 ayant été perdue, c'est la conférence du 14 mars 2012 qui est maintenant proposée...

Yves Herbo, SFH, 02-2012

Dans OVNI/UFO

OVNIS, les meilleurs preuves

Par Le 15/02/2012

OVNIS, les meilleurs preuves

centeno-argentina-21-june-1977.jpg

Un documentaire datant de quatre ans mais a découvrir pour les plus jeunes. Une compilation organisée de cas intéressants a redécouvrir peut-être pour les autres. Malgré le titre, tous les cas ne sont pas convainquants, mais le contraire aurait été encore plus surprenant.

Dans Sciences

Climat : de nouveaux rapports

Par Le 14/02/2012

Climat : de nouveaux rapports

himilayan-glacier-2.jpg

Les glaciers de l’Himalaya résisteraient bien au changement climatique


D'après une nouvelle étude publiée le 8 février 2012 dernier dans la revue Nature, qui a provoqué la stupéfaction de la communauté scientifique, les pics les plus enneigés du monde, qui courent de l'Himalaya aux monts Tian, à la frontière entre la Chine et le Kirghizistan, n'ont pas perdu de glace au cours de la dernière décennie. Cette affirmation pour le moins surprenante, va à l'encontre de tous les derniers rapports sur les effets du réchauffement climatique.

Selon le rapport, dirigé par John Wahr, professeur à l'université du Colorado aux Etats-Unis, la fonte des glaciers de l'Himalaya et d'autres régions montagneuses d'Asie, soit 30 % des glaciers du monde, aurait été limitée à 4 milliards de tonnes par an entre 2003 et 2010, soit bien moins que les précédentes estimations qui tablaient sur 50 milliards de tonnes annuelles. Ainsi, les sommets asiatiques auraient bel et bien fondu mais la perte de glace aurait été largement compensée par de nouvelles chutes de neige, ensuite transformée en glace.

Comment expliquer une telle différence de prévisions ? Contrairement aux autres études, qui se basaient essentiellement sur des mesures au sol sur quelques centaines de glaciers censés représenter l'ensemble des 200 000 pics du monde, l'équipe de chercheurs du Colorado s'est servie des mesures effectuées par les deux satellites Grace (Gravity recovery and climate experiment), qui orbitent depuis 2002 à près de 500 kilomètres d'altitude pour détecter d'infimes variations de la masse et de la gravité terrestre. Grâce à ces données, ils ont été les premiers à étudier les changements sur l'ensemble des glaciers et calottes glacières du monde. Auparavant, dans l'Himalaya notamment, les glaciers de basse altitude, beaucoup plus accessibles pour les scientifiques, ont été plus fréquemment inclus dans les mesures alors qu'ils étaient ceux qui fondaient le plus vite.

himilayan-glacier.jpg

Un biais confirmé par un récent rapport du Centre international de mise en valeur intégrée des montagnes, cité par le Guardian : "Parmi les 54 000 glaciers de la région de l'Himalaya, seulement dix ont été étudiés suffisamment régulièrement pour déterminer la perte ou le gain de glace et neige au fil des années. Cette poignée d'études montre une perte de masse, dont le taux a doublé entre 1980 et 2000, ainsi que entre 1996 et 2005."

La fonte des glaciers de l'Himalaya avait déjà suscité une controverse, relançant les climatosceptiques de tous bords, quand le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) avait déclaré à tort, officiellement en raison d'une faute de frappe, qu'ils disparaîtraient très probablement à l'horizon 2035, au lieu de 2350.

Si la question de la vitesse du recul des glaciers de l'Himalaya reste incertaine, la fonte des autres calottes glaciaires à travers le monde demeure une grave préoccupation, souligne John Wahr. "Nos résultats, et ceux de toutes les autres études, montrent que nous perdons une quantité énorme de glace dans les océans chaque année, assure le professeur de l'université du Colorado. Les préoccupations en ce qui concerne le changement climatique ne sont pas exagérées."

Au total, les glaces terrestres auraient vu leur masse diminuer de 536 milliards de tonnes entre 2003 et 2010, en particulier en raison de la fonte du Groenland et de l'Antarctique, qui s'accélère.

Conséquence : ce sont chaque année entre 443 et 629 milliards de tonnes d'eau de fonte qui se sont ajoutées aux océans de la planète, entraînant une élévation du niveau des mers d'environ 1,5 millimètre par an, soit de 12 millimètres en huit ans. Les projections de l'élévation du niveau des mers d'ici 2100 ne changeront pas de beaucoup avec nos nouvelles données qui limitent la fonte des glaciers d'Asie. Elles pourraient être inférieures de 5 cm, soit une modification très faible. Les prévisions actuelles tablent sur une hausse du niveau des océans allant de 30 cm à un 1 mètre d'ici la fin du siècle. Source : Nature

Une masse d'eau douce arctique pourrait conduire à un ralentissement du Gulf Stream

thermohalinegiec.jpgcirculation thermohaline mondiale connue

Une étude britannique récemment publiée dans la revue scientifique Nature Geoscience montre que grâce aux données accumulées par deux satellites européens, Envisat et ERS-2, des chercheurs de l'University College de Londres et du Centre national d'océanographie de Southampton ont débusqué, sous la banquise, dans l'ouest de l'océan Arctique, une gigantesque et grandissante masse d'eau douce. Une sorte de piscine qui serait principalement alimentée par les cours d'eau, mais aussi par la fonte des glaces résultant du réchauffement climatique.Celle-ci aurait gagné, en une petite quinzaine d'années, 15 centimètres et pas moins de 8 000 kilomètres cubes, soit environ 10 % de l'eau douce totale contenue dans l'océan Arctique.

D'après l'équipe de chercheurs dirigée par Katharine Giles, cette étendue d'eau douce serait stockée là, sous forme de dôme, par l'action conjuguée des vents et des courants marins. Les puissants vents arctiques accéléreraient le gyre de Beaufort, un vaste système de courants océaniques qui tourbillonne dans le sens des aiguilles d'une montre, mais demeure, à ce jour, assez mal connu. Le risque est qu'un changement du régime des vents puisse à terme affecter ce processus d'accumulation de l'eau. Schématiquement, le sens actuel du tourbillon aboutit à concentrer l'eau en son centre. Mais, s'il s'inversait, (ce qui s'est produit au milieu des années 1980 et 1990) il la repousserait... de sorte que l'immense masse d'eau se répandrait jusque dans l'Atlantique nord.

La conséquence serait alors un notable ralentissement du Gulf Stream. Ce courant chaud qui offre à l'Europe, à latitudes égales, un climat bien plus doux que dans d'autres régions du monde.En outre, les scientifiques redoutent que la fonte de la banquise n'aboutisse à amplifier l'influence des vents dominants sur le gyre océanique. Dans cette hypothèse, la glace aurait jusqu'ici joué un rôle d'écran entre l'air et l'eau. Une piste à laquelle l'équipe de Katharine Giles entend désormais se consacrer. Source : Nature Geoscience

Modification de l'écoulement d'eau douce dans l'océan Arctique et dans l'Atlantique nord

discharge-map-fr.png 

 

Remarque : Les triangles rouges indiquent une diminution du débit d’un cours d’eau. Les triangles verts indiquent une augmentation du débit. La dimension du triangle indique l’importance du changement.
Source: Adapté de Déry et Wood, 2005

 

La carte accompagnant le diagramme montre les cinq bassins hydrographiques se déversant dans ces zones océaniques nordiques ainsi que la position de l’embouchure des principaux cours d’eau se jetant dans ces zones, avec un symbole indiquant si le débit a diminué ou augmenté au cours de la période étudiée. Le pourcentage de changement survenu dans l’écoulement d’eau douce est indiqué pour chaque bassin : 1) l’écoulement vers la mer du Labrador a diminué de 10,6 %; 2) l’écoulement vers l’est de la baie d’Hudson a diminué de 11 %; 3) l’écoulement vers l’ouest de la baie d’Hudson a diminué de 13 %; 4) l’écoulement vers l’océan Arctique a augmenté de 2 %; 5) l’écoulement vers le détroit de Bering a diminué de 4,8 %. De 1964 à 2003, la diminution globale de l’écoulement d’eau douce a été de 10 %.

L’écoulement dans l’océan Arctique et dans l’Atlantique nord d’eau douce provenant des cours d’eau canadiens a diminué de 10 % au cours des 40 dernières années, ce qui a été attribué à une diminution des précipitations durant cette même période. Malgré cela, il en ressort une augmentation de 5,3 % du débit fluvial vers l’océan Arctique. Cette hausse nette est attribuable à l’augmentation marquée du débit annuel des six premiers fleuves eurasiens en importance. L’écoulement d’eau douce dans les mers du Nord peut influer sur les processus océaniques, qui à leur tour influencent la dynamique des espèces marines.

discharge-graph-map-mar31pc-graph.pngCe diagramme à barres montre le pourcentage de changement survenu de 1964 à 2003 dans l’écoulement d’eau douce vers les océans Arctique et Atlantique Nord.

http://www.biodivcanada.ca/default.asp?lang=Fr&n=8BBDAD3A-1&offset=3&toc=show

Yves Herbo 02-2012

  • 400
  • 401
  • 402
  • 403
  • 404
  • 405
  • 406
  • 407