Articles de yvesh

Le mystérieux mur de Rockwall, USA
Le mystérieux mur de Rockwall, Texas, USA
USA : des reliques et des structures " mal placées " Part 1
Peut-être que seuls les natifs le savaient, mais Rockwall tire bien son nom d'un mur en pierres. Une vieille entrée en forme d'arche en pierre, dans une propriété dans un coin de la ville est tout ce qu'il reste de visible. La pluie, la végétation et les modifications de terrains modernes l'ont enterré complètement.
" Quand je voie ça, dit Mark Russo, un conseiller élu de la ville, je pense que je vais dans un jardin secret.Cela vous transporte dans un autre temps en une seconde. Qui a fait ça ici ? Comment a-t-il pu être oublié ? "
Parmi les premiers colons de la ville, il y avait trois nouveaux arrivants, TU Wade, BF Boydston et une Stevenson M. qui étaient arrivés à établir une communauté agricole. En 1852, TU Wade et sa famille ont commencé à construire leur maison sur le côté est de la fourche est de la vallée de la rivière Trinity près du bord ouest du lotissement actuel de Rockwall qui est juste au nord de la route aujourd'hui 66.
Dans le processus de construire la ferme ainsi, M. Wade a frappé une formation de pierre. En creusant plus profondément l'enquête a découvert une " paroi rocheuse " en dessous de la surface qui courre sur une bonne longueur.
À l'époque, Stevenson, Boydston et Wade étaient en désaccord avec l'autre, chacun voulant nommer la ville, d'après leurs noms. Après la découverte de la ""paroi rocheuse"", ils ont décidé de nommer le village Rockwall pour résoudre leurs différends. (J.Glenn, 1950)
journaux 1897
Même si le « mur de roche », à ce moment-là affleurait autour de la zone et faisait deux à trois pieds de haut avec des dalles de couverture en place, aucun lien n'avait été fait quant à l'étendue et à la portée de cette apparence en forme de clôture et encore moins d'être un véritable mur.
Ce qui suit est l'information recueillie à partir de Mary Pattie (Wade) Gibson, petite-fille de TU Wade, fondateur de la Fondation de la Paroi du comté historique de Rockwall. Elle a le mieux décrit ce que son grand-père et d'autres hommes ont fait à domicile :

France : Le Montoncel, La Montagne Sacrée du Bourbonnais
France : Le Montoncel, La Montagne Sacrée du Bourbonnais
MAJ 11-2019
Monument Ginich - Montoncel
Cet article est à l'évidence dans la continuité des articles consacrés aux menhirs, dolmens et lieux sacrés, légendes celtiques, gauloises et romaines des régions du Bourbonnais et de l'Auvergne :
https://www.sciences-faits-histoires.com/blog/legendes-mythes/legendes-celtiques-et-romaines-2.html
https://www.sciences-faits-histoires.com/blog/legendes-mythes/legendes-celtiques-et-romaines-3.html
Nous avons déjà abordé dans ce site le thème des Montagnes Sacrées, ces lieux élevés, un peu partout dans le monde, consacrés à priori par des civilisations et ethnies différentes mais possédant possiblement des liens, ou origines, à des "dieux du ciel" tellement semblables dans leur transmission du savoir ou dans leurs objectifs qu'on est en droit de se poser des questions, surtout quand on réalise scientifiquement par exemple que le "ciel" ou "espace" a tout ce qu'il faut pour expliquer la continuité, la non-temporalité de l'intervention de ces "Dieux" bénéfiques ou non, que l'être humain espère voir revenir ou intervenir en se rapprochant d'eux, aux sommets de certaines montagnes particulières... On peut noter que tous ces lieux, par exemple le Mont Shasta en Californie, le Mont Sedona en Arizona, les montagnes du Quemado dans l'Etat de San Luis Potosi au Mexique, Uritorco en Argentine, les Mont Sacrés des Incas au Pérou, Bolivie, Equateur ou Brésil, les montagnes Sacrées en Chine, Sri Lanka, Inde, Tibet-Népal, Sibérie-Mongolie et même en Australie, le Sinaï et l'Ararat bien sûr, et celles d'Europe, ont tous pratiquement des points en commun : ils ont toutes été des lieux de pèlerinages, de pratiques chamaniques ou même de "sorcellerie", ils ont tous une géologie particulière (grottes, souterrains, failles, lacs, sources, minéraux et roches remarquables, mines), et la plupart font même l'objet d'observations répétées à travers le temps de phénomènes lumineux, magnétiques, telluriques, climatiques. En fait, partout où l'Homme a pu s'établir (ou revenir) sur de longues périodes (et depuis les chasseurs-cueilleurs préhistoriques), on retrouve cette même notion liée aux vieux mythes des anciens dieux venus du ciel ou y habitant (et souvent en guerre ou contradiction avec des "dieux" ou "démons" venant des profondeurs de la terre)
Vous trouverez tout en bas plusieurs exemples des articles déjà publiés sur ce site sur le même sujet, mais nous allons aujourd'hui rester en France, car je vais vous parler de la très probable Montagne Sacrée du Centre français, dans le Bourbonnais, c'est à dire le Montoncel (le "Monte au Ciel), qui est le plus haut sommet de la région, puisqu'il culmine à 1 299 mètres de hauteur.
le Montoncel (le "Monte au Ciel") possède plusieurs particularités géologiques et géographiques remarquables : pour commencer, cette montagne est une pyramide (assez aplanie) à trois pans. Au sommet se trouve un plateau formant un cercle presque géométriquement régulier, avec un rayon de 80 mètres et, juste au centre se trouve une pierre, la Pierre des Seigneurs. Nul ne sait qui a transporté et déposé cette lourde pierre ici, mais le fait est qu'elle est à l'endroit pile délimitant les trois départements de l'Allier, de la Loire et du Puy-de-Dôme...
Selon les légendes locales, trois Seigneurs provenant des trois départements en question se donnaient jadis rendez-vous chaque année à cet endroit. Et ils y faisaient en commun un joyeux festin, autour de cette pierre, jusque très tard, et y admiraient le beau ciel étoilé et pur.
La Pierre des Seigneurs - borne géodésique - et une croix chrétienne au sommet - Photo Anthospace — Travail personnel, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=8778430
Tout aussi remarquable, trois rivières prennent leurs sources sur les pentes de la montagne, et chacune sa pente puisque la Besbre se dirige vers l'Est, le Sichon part au Nord et la Credogne va à l'Ouest.
Peut-être avez-vous visité Fontainebleau, dans le sud de l'île de France : on y trouve de remarquables rochers possédant souvent des formes étranges ou des formes d'animaux. Les géologues pensent que ces rochers ont été façonnés il y a très longtemps, lorsque l'endroit était un bassin marin, d'autres cherchent des traces archéologiques des chasseurs-cueilleurs ou des celtes... et bien, si vous vous aventurez dans les fourrés entourant ce plateau et le début des pentes de la montagne, vous y découvrirez de semblables rochers étranges, des réunions et alignements de rocs surprenants, posant questions. Et ici, vous n'êtes pas dans une ancienne région sous la mer, vous êtes sur une montagne... :
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Briques de la Vie : du ribose dans les météorites
Briques de la Vie : du ribose dans les météorites
La cosmochimie fait partie des disciplines utilisées par les exobiologistes pour apréhender l'origine de la Vie sur Terre et tenter d'évaluer les probabilités de son apparition ailleurs dans le cosmos. Une équipe internationale de chercheurs vient de publier un article dans Proceedings of the National Academy of Sciences qui fera date à cet égard, puisqu'ils y annoncent la toute première détection dans des météorites d'un sucre et surtout pas de n'importe quel sucre, puisqu'il s'agit du ribose, un des ingrédients de base pour la constitution de l'acide ribonucléique (ARN) et même de l'ADN, des molécules donc fondamentales du vivant.
La découverte a été faite en analysant des échantillons en poudre au moyen d'une technique de spectrométrie de masse par chromatographie en phase gazeuse. Deux météorites ont été l'objet de ces analyses, NWA 801 (CR) et Murchison (CM). Deux autres sucres biologiquement importants ont aussi été identifiés pour la première fois dans des météorites. L'arabinose ou sucre de pectine (les pectines sont présentes en grande quantité dans les parois végétales de nombreux fruits et légumes) et le xylose (sucre de bois ou sucre de bouleau).
Ceci est un modèle de la structure moléculaire du ribose avec un fragment de la météorite de Murchison. La ribose et d'autres sucres ont été trouvés dans cette météorite. Crédit : Yoshihiro Furukawa
La météorite de Murchison fait l'objet de l'attention des exobiologistes depuis longtemps. Tombée près de la petite ville de Murchison en Australie en 1969, cette chondrite carbonée a livré aux cosmochimistes au cours des années plus de 70 acides aminés. Ils y ont ainsi découvert, sous forme de traces, l'alanine, la glycine, la valine, la leucine, l'isoleucine, la proline, l'acide aspartique et l'acide glutamique, toutes présentes dans les protéines de la vie telle qu'on la connaît sur Terre.
Des purines et des pyrimidines y ont également été trouvées. Or, ces molécules sont les bases de l'ADN et de l'ARN qui constituent le matériel génétique de tous les êtres vivants sur la Planète bleue.
C'est d'ailleurs ce à quoi fait allusion dans un communiqué de la Nasa, Yoshihiro Furukawa de l'université de Tohoku, au Japon, l'auteur principal de l'étude publiée dans PNAS quand il explique que :

142 nouveaux géoglyphes découverts à Nazca, Pérou
142 nouveaux géoglyphes découverts à Nazca, Pérou
Des chercheurs de l'Université Yamagata et d'IBM Japon ont utilisé une technologie d'intelligence artificielle appartenant au centre de recherche IBM Thomas J. Watson de New York pour localiser 142 géoglyphes, dont on pense qu'ils datent d'une période comprise entre 100 ans avant notre ère et 300 ans après notre ère. Une multitude de créatures vivantes sont représentées dans cette œuvre d'art ancienne, allant des poissons et des oiseaux aux singes, aux camélidés et aux humanoïdes.
Ils ont été construits en enlevant des roches, laissant une image négative dans le sable blanc en dessous. (YH : ce qui est difficilement datable précisément, d'autant plus que, puisque comme cet art "rituel" a été pratiqué pendant des millénaires, selon les archéologues, les poteries et artefacts trouvés sur place peuvent dater de différentes époques (ce qui est le cas) et ne datent pas les géoglyphes eux-mêmes...).
Le plus long géoglyphe identifié est plus grand que la Statue de la Liberté, mesurant plus de 100 mètres d'un bout à l'autre, et le plus petit mesure 5 mètres, ce qui correspond à peu près à la même taille que le David de Michel Ange (statue de un peu plus de 5 mètres) exposé à Florence, Italie.
Géoglyphe 1 de type B d'un humanoïde. - UNIVERSITÉ DE YAMAGATA - Il semblerait que sur ces comparaisons, l'entourage soit prédéterminé et ne reflète pas l'ensemble du géoglyphe original : une tête pourrait manquer au-dessus
Les chercheurs ont divisé les géoglyphes en deux catégories, en fonction de leur taille, de leur âge et de leur conception. Le premier groupe (type A) sont des dessins au trait et ont tendance à être plus grands, mesurant 50 mètres ou plus. Le deuxième groupe (type B) comprend les surfaces de couleur unie de 50 mètres et moins.Les deux catégories peuvent également être distinguées par leur âge. Les types Bs étaient plus anciens et auraient été construits entre 100 avant notre ère et 100 ans pendant notre ère au cours de la période initiale de Nazca ou avant. Par contre, il est probable que le type As soit construit entre 100 et 300 ans Après JC.
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Le fossile Tullimonstrum devient encore plus mystérieux
Le fossile Tullimonstrum devient encore plus mystérieux
De temps en temps, les scientifiques découvrent des fossiles si bizarres qu'ils défient toute classification, leurs plans corporels ne ressemblant à aucun autre animal ou plante vivant. Tullimonstrum (également connu sous le nom de Tully Monster), un fossile vieux de 300 millions d’année découvert dans les gisements de fossiles de Mazon Creek dans l’Illinois, aux États-Unis, est l’une de ces créatures étranges.
À première vue, Tully a l'apparence d'une limace, superficiellement. Mais là où vous vous attendez à ce que sa bouche se trouve, la créature a un long appendice fin se terminant par ce qui ressemble à une paire de griffes saisissantes. Ensuite, il y a ses yeux, qui dépassent de son corps, sur des tiges.
Tully est si étrange que les scientifiques n’ont même pas pu s’entendre sur le fait qu’il s’agisse d’un vertébré (avec une colonne vertébrale, comme les mammifères, des oiseaux, des reptiles et des poissons) ou d’un invertébré (sans colonne vertébrale, comme des insectes, des crustacés, des pieuvres et tous les autres animaux)). En 2016, un groupe de scientifiques a prétendu avoir résolu le mystère de Tully, fournissant ainsi la preuve la plus solide à ce jour qu'il s'agissait d'un vertébré. Mais cette nouvelle étude remet en cause cette conclusion, ce qui signifie que ce monstre reste aussi mystérieux que jamais...
Le monstre de Tully a été découvert dans les années 1950 par un collectionneur de fossiles nommé Francis Tully. Depuis sa découverte, les scientifiques se sont demandé à quel groupe d'animaux modernes appartient cette créature. L'énigme des véritables relations évolutives de Tully a ajouté à sa popularité, le conduisant finalement à devenir le fossile d'État de l'Illinois.
Il y a eu beaucoup de tentatives pour classer le monstre de Tully , voir ci-dessous :

Pérou : le site de Wat'a passé au LiDAR avant fouilles
Pérou : le site de Wat'a passé au LiDAR avant fouilles
La colonie qui doit être étudiée se trouve dans une zone archéologique connue sous le nom de Wat'a, qui signifie "île" dans la langue autochtone locale, à une altitude d'environ 13 000 pieds. C'est environ 5 000 pieds (1524 mètres) plus haut que le Machu Picchu, considéré comme le couronnement de la civilisation inca. Ce site n'est pas le Wat'a proche de Cuzco, mais un autre, le Wat'a de Huánuco.
L'explorateur du National Geographic, Albert Lin, ainsi que les archéologues Adan Choqque Arce et Thomas Hardy, ont utilisé une technologie révolutionnaire appelée LiDAR (détection et télémétrie par la lumière) pour révéler l'étendue de cette cité référencée en 2007 dans le dictionnaire Teofilo Laime Ajacopa, Diccionario Bilingüe Iskay simipi yuyayk'ancha, La Paz, 2007 (dictionnaire quechua-espagnol).
Wat'a (en quechua pour "île", orthographe hispanisée: Huata) est un site archéologique au Pérou. Il se situe dans la région de Huánuco, province de Huamalíes, district de Singa, dans la petite communauté de Bella Flores au nord de Singa. Wat'a est situé à une altitude d'environ 3 889 mètres (12 759 pieds) au sommet d'une montagne qui est bordée par les petites rivières Tawlli (Taulli) et Aqu (Aco).
Vue du complexe Wata (Huata) depuis la route qui commence à San José de Paucar - Crédit : Waterloo1883 - Trabajo propio - CC BY-SA 4.0
L’existence de cette zone était connue des chercheurs, mais jusqu’ici ils avaient utilisé des méthodes archéologiques traditionnelles. Les chercheurs ont découvert des traces de tombes, de places de cérémonie, de zones résidentielles et d’un grand mur d'enceinte.
Avec cette enquête LiDAR - la première fois que cette technologie a été utilisée sur le site - les archéologues ont pu révéler de nombreuses caractéristiques inédites. Les archéologues avaient déjà compris que ce site datait de bien avant les Incas, mais que c'était eux qui l'avaient agrandit et érigé en véritable petite ville locale.
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