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Titanic naufrage

Titanic : synchronicités et prédictions

Par Le 21/09/2019

Titanic : synchronicités et prédictions

 

Titanic naufrage

Les preuves selon lesquelles divers auteurs (l'un des plus célèbres étant Jules Verne bien sûr) aient réellement décrits précisémment certaines fenètres de la réalité de leur futur ne sont pas si rares que cela, et cette contribution, qui reste mystérieuse, bien que certaines coïcidences soient explicables, leur nombre est une anomalie en soit, dans le cas du naufrage du Titanic, en est un exemple dès plus flagrant :

Morgan Robertson (1861-1915), jeune marin de la Marine Marchande dès ses 16 ans en 1877, puis bijoutier quelques temps avant que ses yeux défaillants lui fassent devenir auteur de romans basés sur ses expériences navales, publie son roman naval d'anticipation " Futility " en 1898, ce qui le fera entrer dans l'Histoire d'une façon concrète 14 ans plus tard, lorsque le Titanic s'enfoncera dans les eaux froides en avril 1912...

 

Morgan robertson

Morgan Robertson (1861-1915)

 

Les choses deviennent encore plus étranges quand on apprend que Mr Robertson parlait, bien avant la sortie de ce roman, d'une influence médiumnique dans ses écrits, faisant notamment intervenir l'écriture automatique.

En 1898 on peut donc lire l'histoire du plus grand navire de son époque, insubmersible nommé Titan, qui fait naufrage à cause de son éventration par un iceberg, sur son flanc droit, dans l'Atlantique Nord, en avril. La description du Titan de 1898, par rapport au Titanic de 1912 réellement construit, est déjà troublante, avec la description du naufrage :

Ce sont tous deux des transatlantiques empreintant la même voix navale (la plus rentable), à la même période (avril), ne possédant pas le nombre de canots nécessaires pour leur nombre de passagers (24 canots pour le Titan pour 3000 passagers, 20 canots pour le Titanic pour 2207 passagers) - mais correspondant aux lois de l'époque et 3 hélices pour les deux.

Mais les choses n'en restent pas là :

Moulinquignon 5

France, Somme : des outils de pierre datés de 650 000 à 670 000 ans

Par Le 18/09/2019

France, Somme : des outils de pierre datés de 650 000 à 670 000 ans

 

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Bifaces acheuléens - Somme - 1839 - DP

 

Les premiers signes d'occupation par un homininé dans le nord de la France ont été repoussés de 150 000 ans, grâce aux conclusions d'une équipe de scientifiques du CNRS et du Musée national d'histoire naturelle sur le site emblématique du Moulin Quignon dans la Somme.

Le site, désormais situé dans les jardins d'un lotissement à Abbeville, a été redécouvert en 2017 après être tombé dans l'oubli pendant plus de 150 ans.

Plus de 260 objets en silex, dont 5 bifaces ou haches, datés d'il y a 650 000 à 670 000 ans, ont été découverts dans des sables et du gravier déposés par la Somme, à environ 30 mètres au-dessus de la vallée actuelle, à ces périodes.

 

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Bifaces Abeville - DP - 19ème siècle

 

Cela fait également du Moulin Quignon le site le plus ancien du nord-ouest de l'Europe, où des bifaces ont été découverts :


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Le Labyrinthe de Kerama

Par Le 14/09/2019

Le Labyrinthe de Kerama MAJ 14-09-2019

 

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Au large de l'une des îles Kerama, Japon, à une profondeur de 27 à 33 mètres maintenant, se trouve un dédale de structures pierreuses dénommé le labyrinthe de Kerama, constitué de cercles de rocs, on n'a pu déterminer encore s'il s'agit de phénomènes d'érosions naturels ou de structures travaillées et taillées dans la roche. On sait que cette terre était pour la dernière fois au-dessus du niveau de la mer il y a environ 10.000 ans. La disposition de ces pierres sont à rapprocher  aux ruines de l'île d'Andros aux Caraïbes, à "l’œuf centre du monde" de l'île de Pâques ou encore aux structures sous-marines de Yonaguni ou des Bahamas, vers Bimini...

 

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Mais il y a encore d'autres choses :

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La plus grande étude jamais réalisée sur l'ADN humain ancien

Par Le 11/09/2019

La plus grande étude jamais réalisée sur l'ADN humain ancien

 

Indus adn

 

La plus grande étude jamais réalisée sur l'ADN humain ancien, ainsi que sur le premier génome d'un individu de l'ancienne civilisation de la vallée de l'Indus, révèle avec un détail sans précédent les origines changeantes des populations d'Asie centrale et du Sud au fil du temps. La recherche, publiée en ligne le 5 septembre 2019 dans deux articles de Science et Cell , répond également à des questions de longue date sur les origines de l'agriculture et la source des langues indo-européennes en Asie du Sud et en Asie centrale.

Des généticiens, des archéologues et des anthropologues d'Amérique du Nord, d'Europe, d'Asie centrale et d'Asie du Sud ont analysé les génomes de 524 individus anciens jamais étudiés auparavant. Le travail a augmenté d'environ 25% le total mondial des génomes anciens publiés.

En comparant ces génomes les uns aux autres et à des génomes précédemment séquencés, et en replaçant les informations dans leur contexte, parallèlement à des enregistrements archéologiques, linguistiques et autres, les chercheurs ont fourni de nombreux détails clés sur les personnes vivant dans diverses parties de cette région depuis l'ère mésolithique (il y a environ 12 000 ans) à l'âge du fer (jusqu'à il y a environ 2 000 ans) et comment ils se rapportent aux gens qui y vivent aujourd'hui.

" Avec ces nombreux échantillons, nous pouvons détecter des interactions subtiles entre les populations ainsi que des valeurs aberrantes au sein des populations, chose qui n'est devenue possible qu'au cours des dernières années grâce aux progrès technologiques ", a déclaré David Reich, co-auteur principal des deux articles et professeur de génétique à l’Institut Blavatnik de la faculté de médecine de Harvard.

Alignements veyre monton2

Auvergne, France : un autre alignement de menhirs découvert

Par Le 09/09/2019

Auvergne, France : un autre alignement de monolithes découvert par hasard

 

Alignements veyre monton mini

Si je parle d'un "autre" alignement de monolithes en Auvergne, c'est bien qu'il y a dans les archives du 19ème siècle des mentions sur l'étude de deux groupes de monolithes du côté de Montluçon... monolithes sur et reliant les actuelles communes de Saint Martinien et de Quinssaines...

Plusieurs magazines, journaux et sites internet ont publié récemment sur cette découverte annoncée fin août 2019 par l'INRAP (Institut national des recherches archéologiques préventives), avec cependant une affirmation probablement fausse en ce qui concerne le fait que ce serait le premier et unique alignement découvert en Auvergne et le Centre de la France (YH : je rappelle tout de même ici que la Région Centre est au nord de la Région Auvergne-Rhone-Alpes, et que ce sont bien trois villages du Cher qui revendiquent ce titre (avec des stèles géographiques), pour un dans l'Allier. Et pour d'autres, c'est Bourges...  bon, peu importe d'ailleurs car le plus grave est cette fausse idée de Gaulois étant à l'origine des menhirs et dolmens - ce cher Obelix est un détournement (ou raccourci de plusieurs milliers d'années) de l'Histoire !). Je vais d'abord parler de cette découverte annoncée fin août, qui est bien entendu extraordinaire et riche archéologiquement parlant, puis je parlerai des groupes de monolithes découverts près de Montluçon (en Auvergne donc !) et décrits dans un ouvrage du début du 19ème siècle et aussi mentionnés lors des comptes-rendus archéologiques du Congrès archéologique de Moulins en 1834... En vous disant tout de suite que pratiquement tous ces monolithes ont disparu depuis (tout comme au moins un autre alignement dans le Jura)... ce qui explique probablement cette annonce de l'INRAP.

J'ajouterai que si les célèbres alignements de Carnac en Bretagne sont de loin les plus célèbres en France, il en existe d'autres, dans le Jura, dans les Cévennes et en Corse. En fait, il est assez probable qu'il en existait un peu partout en France et en Europe... sans parler d'autres pays lointains comme le Japon ou le Moyen-Orient !

De plus, il y a d'autres études récentes qui montrent bien des alignements de monolithes (et visibles du ciel) dans la région, j'en parlerai aussi, même s'ils sont moins spectaculaires, et semblent délimiter des territoires de tribus ou anciennes communautés... avec probablement aussi des monolithes disparus ou enterrés, débités pour servir aux constructions ou autres...

La récente découverte : Dans le cadre des travaux d’élargissement de l’autoroute A75, par la société APRR, une équipe de l’Inrap (Institut national de recherches archéologiques préventives) a découvert une série d’alignements de menhirs à Veyre-Monton, entre Clermont-Ferrand et Issoire.

Les fouilles qui se sont déroulées sur 1,6 hectare, ont révélé une trentaine de monolithes, de 1,60 m entre novembre 2018 et mai 2019.

« Ces menhirs forment un alignement plus ou moins rectiligne s’étirant sur 150 m dans l’emprise de la fouille. Ils sont bordés d’un autre alignement de gros blocs de pierre, dans la continuité duquel cinq pierres composent un ensemble en fer à cheval alors que six blocs, régulièrement espacés, forment un cercle de 15 m de diamètre », détaille la responsable scientifique de la fouille Ivy Thomson qui a travaillé avec une dizaine d’archéologues sur le chantier.

 

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Alignement de menhirs et cairn de Veyre-Monton. Crédit Denis Gliksman, Inrap - (cliquer pour agrandir l'image).

 

Comme d'autres monuments en France, dont Belz dans le Morbihan où une cinquantaine de menhirs ont été mis au jour en 2006, les menhirs de Veyre-Monton ont été abattus afin de les faire disparaître du paysage : « Poussés dans de grandes fosses, parfois mutilés ou recouverts de terre, ces monolithes ont fait l’objet de gestes iconoclastes, sorte de condamnation peut-être liée à quelque changement de communauté ou de croyances » suppose Ivy Thomson. YH : Dans la mesure où il n'y a pas pour l'instant de datations en ce qui concerne cette disparition volontaire, il pourrait tout aussi bien s'agit de l'action concertée de l'Eglise Chrétienne (qui a construit des chapelles au-dessus des anciens sites "païens" (avec possiblement toujours des menhirs et dolmens ensevelis dessous), a récupéré certains monolithes pour leurs constructions, transformés certains monolithes en croix ou apposé des croix au-dessus de certains monolithes. Et quand ces lieux n'étaient pas utiles ou récupérables, ils étaient détruits et enterrés. Les paysans ont aussi beaucoup pratiqué l'ensevelissement ou le retrait de monolithes dans leurs champs (et réutilisations pour leurs constructions), partout en France et en Europe, (et encore probablement actuellement...), appuyés d'ailleurs par les religieux et l'éducation nationale qui n'a jamais sensibilisé les jeunes sur ce sujet.

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Le plus ancien homme moderne trouvé hors d'Afrique : 210000 ans

Par Le 06/09/2019

Le plus ancien homme moderne trouvé hors d'Afrique : 210 000 ans ?

 

Grece apidima1 homosapiensApidima 1 (présenté ici dans une reconstruction) présente toutes les caractéristiques d'un crâne humain moderne. Crédit: KATERINA HARVATI, EBERHARD KARLS UNI TÜB

 

Les chercheurs ont trouvé le premier exemple (plus ancien à ce jour) de notre espèce (l'homme moderne) en dehors de l'Afrique.

Un crâne découvert en Grèce a été daté d'il y a 210 000 ans, à une époque où l'Europe était occupée par les Néandertaliens.

Cette découverte sensationnelle ajoute aux preuves d'une migration antérieure de personnes en provenance d'Afrique (YH : difficile à savoir en fait : ces nomades pouvant provenir de n'importe où, et peuvent même être nés sur place, vu le faible nombre d'années d'espérance de vie !, ou encore retourner vers l'Afrique, ou ailleurs...) qui n'a laissé aucune trace dans l'ADN des personnes vivantes aujourd'hui.

Les résultats sont publiés dans la revue scientifique Nature.

" Il est environ cinq fois plus vieux que n'importe quelle autre preuve d'hommes modernes en Europe (YH : 47000 à 45000 ans jusqu'à présent). Et évidemment, il est plus vieux que Misliya d'Israël (un fossile humain moderne datant de 150 000 ans). La forme de l'arrière du crâne est très moderne. et c'est potentiellement le plus ancien fossile qui montre ce regard moderne à l'arrière du crâne ", a déclaré le professeur Chris Stringer, du Natural History Museum de Londres.

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