Articles de yvesh
Résonance dans les pyramides de La Mana
Résonance dans les pyramides de La Mana, Équateur ?
Une découverte monumentale a été faite récemment au sud de La Maná, en Équateur, le 17 Novembre 2013, lors d'une exploration des montagnes basses le long de la rivière Calope. Les ruines mégalithiques d'un ancien temple ont été partiellement excavées par des explosions à la dynamite des cantonniers et l'action érosive de l'eau, en découvrant une grande partie des fondations de basalte, le long de deux côtés d'un ouvrage dépassant 70 m de haut.
L'ancienne région de La Mana a attiré l'attention pendant des décennies après que le responsable du ministère équatorien des Mines, le Dr. E. Guillermo Sotomayor (1918-2009) ait fait la découverte surprise d'une cachette de centaines de reliques anciennes, qui comprenaient des dizaines d'artefacts en pierre magnétiques, avec des dessins incrustés qui sont fluorescents sous une lumière ultraviolette. Les années de recherches de Sotomayor concernant un ensemble de 13 tasses de pierre magnétiques lui ont permis de reconnaître la pureté étonnante et les effets curatifs des Springwaters (Sources) de ces montagnes mystiques (1).
Voir la vidéo et lire ci-dessous :
OVNIs et Pilotes de chasse : les cas 1976 et 1980
OVNIs et Pilotes de chasse 1 : les cas 1976 et 1980
Major Parvis Jafari
Des ovnis observés à Téhéran et au Pérou par des pilote émérites
C’est en 1976 qu’un objet non identifié est repéré dans le ciel de Téhéran. Un F-4 part aussitôt à sa rencontre pour le détruire, mais l’objet se dématérialise pour apparaitre plus loin. En 1980, Un chasseur péruvien ouvre le feu sur un objet non identifié. Nous allons pour en savoir plus approfondir ces combats aériens face à des ovnis grâce à des reconstitutions. Bill Scot, ancien ingénieur d’essai en vol et son équipe vont enquêter pour nous permettre de séparer le vrai du faux dans ces histoires.
18 septembre 1976, Téhéran :
Une sphère lumineuse apparait dans le ciel de Téhéran à plusieurs témoins et la tour de contrôle voit également l’objet sur ses écrans. Sur ordre de l’armée de l’air, un premier pilote monte aussitôt à bord de son avion de chasse et décolle de la base aérienne de Shahrokhi pour aller à la rencontre de l’objet pour une identification, car il est entré sans autorisations dans le territoire.
Parviz Jafari, chef d’escadron, est lui aussi envoyé (23 h 00) au combat avec son F-4 quelques minutes après. D’après Parviz Jafari, l’objet à la taille d’un Boeing, autant dire qu’il est énorme. Il continue donc en suivant la lumière de cet objet quand tout à coup un objet a surgit de cette dernière pour se diriger sur lui. Parviz Jafari va donc vers lui et se rapproche, c’est à ce moment-là que cet objet volant est passé d’un point A à un point C sans passer par le point B, il s’est tout simplement dématérialisé sur 45 km et cela en une fraction de seconde.
Parviz Jafari repart de nouveau à sa rencontre quand il voit un autre objet de forme lunaire sortir de l’objet volant. Sa surprise est grande, ce deuxième objet vient également à sa rencontre, le frôle et décrit des cercles autour de son appareil. Il ne faut pas oublier qu’à ce moment-là, il vole à la vitesse du son. Après quelques tours, la sphère s’en va rejoindre l’objet non identifié, Parviz Jafari pense donc être hors de danger, c’est sans compter une deuxième sphère qui fait son apparition et qui reproduit exactement les ‘gestes’ que la première...
Le pilote comprend alors qu’il est attaqué, il doit se sortir de là à tout prix, il tente alors le tout pour le tout et arme, puis tente de tirer un missile, c’est là qu’il s’aperçoit que tous les voyants sont éteints, ses appareils sont en panne :
Un savoir préhistorique basé sur les fréquences sonores ?
Un savoir préhistorique basé sur les fréquences sonores ?
Inside the Hal Saflieni Hypogeum, Malte, Wikimedia Commons.
Les Anciens constructeurs ont créé des structures monumentales qui altéraient le son et l'esprit, disent les chercheurs
Les résultats de recherches récentes suggèrent que dans l'antiquité ou la préhistoire, les bâtisseurs des structures monumentales trouvées dans des endroits aussi divers que l'Irlande, Malte, le sud de la Turquie et le Pérou ont tous une caractéristique propre en commun - ils ont peut-être été spécialement conçus pour conduire et manipuler le son à produire certains effets sensoriels.
Commencée en 2008, une étude récente et toujours en cours sur le complexe massif de structures en pierre de la vieille période de 6000 ans connu sous le nom de l'Hypogeum Hal Saflieni sur l'île de Malte, par exemple, produit des résultats révélateurs. Tout comme les structures de temples préhistoriques reliés à Malte, cette structure dispose de couloirs centraux et des chambres courbes. Mais cette structure est unique en ce qu'elle est souterraine, créée par la suppression de quelque 2.000 tonnes de pierres taillées avec des marteaux de pierre et de pioches en bois de cervidés. Les voix basse au sein de ces murs créent d'étranges échos de réverbération, et un son fait ou des paroles prononcées à certains endroits peuvent être clairement entendus tout au long de l'ensemble de ses trois niveaux. Maintenant, les scientifiques suggèrent que certaines fréquences de vibrations sonores créées lorsque le son est émis à l'intérieur de ces murs font réellement s'altérer les fonctions cérébrales humaines de ceux à portée de voix.
The Lanzon dans sa chambre, courtesy Frenchguy, Wikimedia Commons.
« L'activité cérébrale régionale d'un certain nombre de volontaires sains a été suivie par EEG par l'exposition à différentes fréquences de vibrations sonores », rapporte Linda Eneix, experte du Temple de Malte à the Old Temples Study Foundation, « Les résultats ont indiqué que à 110 Hz, les tendances de l'activité en cours du cortex préfrontal ont brusquement changé, entraînant une désactivation relative du centre du language et un décalage temporaire de la gauche vers le côté droit de la domination en matière du traitement émotionnel et de la créativité. Ce changement n'a pas eu lieu à 90 Hz ou 130 Hz ...... En plus de stimuler leurs côtés plus créatifs, il semble qu'une tonalité du son de résonance de la fréquence de 110 ou 111 Hz aurait été comme un "Allumage" d'une zone du cerveau que les scientifiques du bio-comportemental croient liée au comportement de l'humeur, l'empathie et le social. Volontairement ou non, les personnes qui ont passé du temps dans un tel environnement dans des conditions qui peuvent avoir inclues une faible voix masculine - dans un rituel chantant ou même la simple communication - s'exposaient à des vibrations qui peuvent avoir réellement eu un impact sur leur pensée ". [1]
Des chercheurs de l'Université de Malte confirment les conclusions d'une étude récente :
La civilisation de Caral
La civilisation de Caral
La civilisation de Caral ou Caral-Supe ou encore de Norte Chico est une société précolombienne complexe qui comprenait trente centres majeurs de population dans ce qui est aujourd'hui la région de Norte Chico au centre de la côte nord du Pérou, à environ 200 kilomètres de Lima. C'est la plus ancienne civilisation connue d'Amérique, avec une apparition dès 7.000 ans avant maintenant au minimum et dont l'âge d'or se situe entre le xxxe et le xviiie siècle av. J.-C. Son autre dénomination, Caral-Supe, vient du site archéologique de Caral dans la vallée de la rivière Supe. Cette société du Norte Chico émergea juste un millénaire après celle de Sumer, fut contemporaine des pyramides de l'Égypte antique et précéda celle des Olmèques de près de deux millénaires.
En 2007, des analyses de morceaux de bois trouvés à l'intérieur d'une pyramide confirment les -5.000 ans avant J.C. pour les supposés débuts d'implantations des temples mais un simple village à cette époque et un premier petit temple, recouvert ensuite par la pyramide), ce qui fait de cette civilisation et de ses pyramides la plus ancienne d'Amérique bien sûr, mais aussi des pyramides plus anciennes que celles d'Egypte (si l'on accepte les datations orientées égyptiennes), puisque les grands édifices et pyramides ont été datés de 3000 ans Avant J.C. formellement.
De environ -5000 à -4000 aucune trace de guerre ou de conflit violent. Après cet âge d'or , Caral a continué à prospérer encore 4000 ans mais il y a eu une cassure dans les mœurs qui sont devenues moins pacifiques. Certains soutiennent que le phénomène météo el niño serait le responsable, on dit que des peuples nomades plus belliqueux se seraient invités pour saisir cette manne ou peut-être qu'une catastrophe connue sous le nom de "déluge" aurait sévi sur cette partie de la terre aux environs de -4000 av JC, cette catastrophe entraînant les autres calamités.
L'objectif des chercheurs n'était pas tant de découvrir des splendeurs de l'architecture antique mais plutôt de trouver les racines d'une civilisation. Car les civilisations se construisent souvent sur les ruines de civilisations antérieures et s'enchevêtrent. Après avoir déblayé plusieurs de ces fausses collines et retrouvé des restes de cités plutôt banales pour eux des peintures et des bas-relief relatant des scènes violentes comme il s'en trouve à peu près partout dans cette région, ils sont enfin tombés sur cette chose tant espérée : la cité mère. De plus quelques boiseries leur ont permis de dater le site au carbone 14 : - 5000 ans av JC. Persuadés que toutes les grandes civilisations naissaient des conflits et de leur art de la guerre, quelle ne fut pas leur surprise lorsqu'ils découvrirent que la cité mère s'était développée tout-à-fait pacifiquement. Le dernier mystère de Caral reste qui, quand et pourquoi a-t-on enseveli ce site ? (cela rappelle curieusement l'ensevelissement mystérieux de Glopeki Tepe en Turquie, daté d'une plus ancienne époque encore !). Fera-t-il oublier les géoglyphes des Nazca situés aussi au Pérou. Un point commun : la spirale que l'on retrouve comme motif (pétroglyphe plus modeste à Caral)...
Il semble que les indiens d'Amérique du sud ont toujours été de bons agriculteurs mais à Caral, ils ne faisaient pas que du maïs, des patates, des haricots ou des tomates. La culture du coton leur a permis de commercer avec les gens de la mer (les filets de pêche), de la forêt (les hamacs) et de la montagne (les vêtements chauds) sans compter qu'ils s'envoyaient des messages à l'aide de nœuds qu'ils plaçaient dans ces mêmes ficelles de coton. Elle a été une cité extrêmement florissante connue à des milliers de lieues à la ronde...
De nombreux mystères n'ont encore pas été élucidés concernant cette culture, voir ci-dessous :
Jerf el Ahmar, Syrie, Xe-IXe millénaires avant J.-C.
Jerf el Ahmar, Syrie, Xe-IXe millénaires avant J.-C.
Historique :
Après la découverte, en 1996, de pierres gravées de signes schématiques, pictogrammes évoquant des messages datant de plusieurs millénaires avant l’invention de l’écriture, le site néolithique de Jerf el Ahmar (Syrie) continue de livrer des informations inédites. La fouille des deux dernières campagnes (1997-1998) a ainsi révélé une organisation de l’espace bâti attestant, dès 9 000 avant J.-C., de projets collectifs : hameaux construits en terrasses ou déployés autour d’une place abritant un bâtiment communautaire enterré. Jerf el Ahmar s’avère être un site clé pour comprendre le passage historique des premières constructions rondes à la maison rectangulaire. La mise au jour d’une trentaine de maisons entières dans dix niveaux de villages fournit désormais tous les éléments pour analyser ce processus de transformation dans toute sa complexité. Les incendies qui ont ravagé certaines constructions permettent de les reconstituer dans leur intégralité (par exemple grâce à des restes carbonisés des éléments de construction périssables, comme le bois). Grâce à eux, des restes organiques, témoins de la vie quotidienne, ont été conservés. C’est ainsi que pour la première fois nous sont parvenues des préparations culinaires de cette époque. Enfin, l’analyse en cours des restes végétaux fournit de nouvelles données sur les débuts de l’agriculture. Cette fouille franco-syrienne est co-dirigée par Danielle Stordeur (CNRS), dans le cadre de la mission permanente El Kowm-Mureybet (DGRCST du ministère français des Affaires étrangères) et par Bassam Jammous, Direction générale des Antiquités et des Musées de Syrie (Damas).
Le site de Jerf el Ahmar (Syrie), directement menacé par la construction du barrage de Tichrine sur l’Euphrate (mise en eau prévue pour l’été 1999) appartient à la culture mureybétienne. Celle-ci caractérise la région du Moyen et du Haut Euphrate entre 9 500 et 8 700 avant J.-C. (datations calibrées), durant la période pré-céramique dite Pre-Pottery Neolithic A (PPNA). Cette phase s’inscrit dans le processus de Néolithisation qui, entre 12 000 et 7 000 avant J.-C., a conduit les groupes préhistoriques de chasseurs-cueilleurs à se sédentariser en villages puis à maîtriser leur environnement par la domestication des plantes et des animaux (débuts de la production de subsistance). L’étape que représente le PPNA est importante à plusieurs titres. Tout d’abord, les prémices de l’agriculture s’y détectent dans les vallées de l’Euphrate et du Jourdain. Ensuite, cette phase, particulièrement dans sa forme mureybétienne (du nom du site éponyme Mureybet où elle fut mise en évidence par Jacques Cauvin, CNRS, dans les années soixante-dix), se caractérise par une intense créativité, principalement dans le domaine des architectures avec le passage des maisons rondes (connues dès les premiers villages, vers 12 000 avant J.-C. ou 14 000 ans avant maintenant) aux maisons de plan rectangulaire. Les techniques de taille du silex, la production de nouveaux types d’objets décorés ou sculptés témoignent également des mutations qui se produisent alors au sein des populations des rives de l’Euphrate. Jerf el Ahmar enrichit considérablement la documentation disponible sur cette époque. Données d’ordre sociologique (organisation du village), architectural (toutes les étapes de transformation du rond au rectangulaire), symbolique (plaquettes gravées) et botanique (mise en évidence des premières pratiques agricoles) font de ce village un nouveau site-référence pour la « néolithisation ».
Le site se compose de deux petites collines séparées par un wadi (terme arabe pour désigner des courts d’eau temporaires qui ne coulent qu’à une époque de l’année). La volonté de bâtir sur des aires planes se perçoit dès la première occupation du site : les pentes sont aménagées pour recevoir des habitations rondes, légèrement enterrées. Peu à peu, l’action de terrasser prend de l’ampleur. Elle atteint son apogée avec la construction du septième village qui s’étage, sur la colline la plus orientale, avec un minimum de quatre terrasses. Plusieurs maisons reliées les unes aux autres par les murets de soutènement des terrasses montrent clairement qu’un travail de construction collectif a rassemblé une partie de la communauté villageoise : le terrassement, sa consolidation par des murettes et l’édification de plusieurs maisons semble bien avoir eu lieu simultanément, ce qui implique un minimum de centralisation au niveau des décisions et de l’exécution des tâches.
Lire la suite ci-dessous :
Série Docu-Drama « Le Visiteur de la nuit »
Série Docu-Drama « Le Visiteur de la nuit » (1996)
Téléfilm « docudrama » réalisé par Jorge Montesi en 1996, sur le thème des crashes d’OVNI, maintenus secrets par des organisations gouvernementales, et plus spécialement inspiré par l’affaire du crash de Roswell.
Cette vidéo relate un sujet quelque peu suspicieux. Les histoires (aux faits analogues) de personnes ayant été victimes d'apparitions pendant la nuit. Le reportage laisse entendre qu'il s'agit de fantômes (descriptions détaillées des apparitions) qui usent parfois de violence envers les gens qu'ils viennent voir.
L'exemple typique est le suivant: pendant la nuit, des personnes sont réveillées par des bruits étranges dans la pièce. Des silhouettes noires apparaissent, qui deviennent parfois des agressions physiques (strangulations, coups, etc).
Quel crédit faut-il apporter à ces histoires?
Des psychologues se sont penchés sur ces cas afin de déterminer si il ne s'agit pas, purement et simplement, de crises mentales qui se traduisent par des convulsions, des spasmes (ce qui rappelle les agressions citées). Peut-être est-ce le cas dans beaucoup de ces exemples, mais certaines histoires révèlent des détails pour le moins étranges.
Un couple de jeune new-yorkais raconte une histoire similaire: le jeune homme est très fréquemment victime de visites très violentes qui se traduisent par des coups d'une rare violence. Mentalement fatigué et moralement diminué, le jeune américain est saisi d'une terreur implacable. Il n'ose plus dormir, il n'ose même plus fermer les deux yeux.
Mais son témoignage est troublant car un soir, sa petite amie est témoin de ce phénomène. Elle prétend avoir vu l'agresseur de son concubin, et corrobore ainsi en tout point ce témoignage douteux.
Dans son genre de cas, il est très difficile de ne parler que de problèmes psychologiques. Alors comment interpréter ce type de phénomène? Peut-on affirmer d'une part que les esprits existent, et d'une seconde part que certaines personnes peuvent être suivies, hantées par des spectres malfaisants?
Ce reportage n'est donc pas le plus intéressant sur le sujet, mais c'est une pierre à l'immense édifice de cet ésotérisme constant, qui se banalise presque, et qu'on peut apprécier en tant que phénomène marginal, ou en tant que réalité empiriquement prouvée par de nombreuses personnes.
Source texte : http://www.mystere-tv.com/le-visiteur-de-la-nuit-v1328.html
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