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Preuves d’une autre Histoire en Bolivie
Preuves d’une autre Histoire en Bolivie
Nous allons continuer notre visite des lieux et artéfacts étranges trouvés dans le monde, et des Preuves d’une autre Histoire, toujours en amérique latine pour l’instant, avec un haut lieu antique de ce continent : situé actuellement en Bolivie.
L’endroit qui vient immédiatement à l’esprit aux connaisseurs quand on parle de Bolivie et de préhistoire ou antiquité est la célèbre cité de Tiahuanaco, ou plutôt anciennement Tiwanaku,
Du peuple qui a érigé ces monumentaux bâtiments, nous ne savons que très peu de choses : quand les conquistadors espagnols sont arrivés, vers 1549 de notre ère, cette civilisation avait déjà disparu depuis des siècles, sans laisser de traces écrites et sans raison apparente. Seules des légendes locales et persistantes parlaient qu’elle était, bien avant même l’arrivée des Incas, la capitale d’un dieu blanc barbu appelé Viracocha…(légendes peut-être détournées en fait par les Incas, qui ont fini par conquérir la région plus tard, il en est question plus bas).
Certains parlent d’une baisse rapide du niveau du lac Titicaca qui aurait laissé Tiwanaku loin de la rive, d’autres soutiennent la thèse d’un massacre de la population par une tribu ennemie… Le mystère qui entoure la plus grande réalisation architecturale mégalithique de l’Amérique du Sud Préinca reste entier.
Jusque dans les années 1990, les archéologues étaient d’accord pour considérer que la ville avait commencé à être érigée vers 700-600 avant Jésus-Christ et que la population entière avait disparu vers 1000-1200 après Jésus-Christ, après avoir construit une magnifique ville, un port important au niveau du lac Titicaca, des routes, une agriculture (basée sur des pommes de terre géantes) et structures commerciales et militaires significatifs dans toute la région. Néanmoins, la découverte récente de sous-terrains et même de structures artificielles souterraines sous la ville font reculer la date de l’apparition de cette civilisation bien avant les premières dates trouvées dans les analyses des objets en surface. Ces ruines ont été tellement pillées que les informations qu’elles pouvaient livrer sur leurs bâtisseurs sont perdues à jamais.
L’or fut pillé par les espagnols, des pierres et poteries furent brisées par des fanatiques religieux qui les considéraient comme des idoles païennes et aussi à cause de leur volonté à convertir de force cette nouvelle populace. Certaines œuvres partirent dans les musées d’Europe ou collections privées. D’autres furent détruites par les paysans qui travaillaient la terre pour les cultures.
L’Eglise conserva quelques statues dont certaines furent vendues comme curiosités. Les plus gros blocs de pierre servirent à construire des édifices coloniaux ou à stabiliser le terre-plein d’une ligne ferroviaire qui passe au dessus du site…
À son apogée, la cité s’étendait sur pratiquement une dizaine de kilomètres carrés et sa population a oscillé entre 20 000 et 60 000 habitants (entre 160 000 et 360 000 selon d’autres sources qui montrent les structures d’une cité entourant l’ensemble religieux.
Les trésors que renfermait ce centre cérémoniel ont été dispersés dans le monde entier, les plus belles pièces emportées pour enrichir les collections des musées européens, les céramiques détruites par les travaux des champs, les pierres des murs utilisées dans la construction d’édifices coloniaux voire pour le terre-plein de la ligne ferroviaire
L’actuel président bolivien, Evo Morales, tenant à ce que l’identité nationale se structure autour des ces racines, a demandé à ce que les fouilles soient intensifiées et ces dernières ont effectivement mis à jour de toutes nouvelles parties de la structure et ont permis de découvrir d’impressionnantes stèles et sculptures. La grande majorité du site reste encore inexplorée et donnera peut-être de nouvelles clés d’interprétation.
Arthur Posnansky, un archéologue et historien dont les découvertes ont été avalisées par le gouvernement bolivien, a été le premier à suggérer que Kalasasaya (le temple de Tiwanaku) servait d'observatoire astronomique. Il a également utilisé ses recherches pour dater le complexe et a obtenu la date stupéfiante de 15.000 ans avant J.C. Il est aussi dit que la civilisation de Tiwanaku, antérieure à la période Inca, a pu faire l’objet de quatre époques allant du 10ème siècle avant J.C. jusqu’au 12ème siècle après, période où elle disparu, mais on ne connaît pas grand-chose de celle-ci : ni la langue, ni la religion, ni les rois. Certains croient que c'est la ville la plus ancienne au monde, d'autres qu'elle a été construite par les mêmes extraterrestres qui auraient créé les lignes de Nazca entre autres.
Vers 1995, de nouvelles découvertes archéologiques ont clairement démontré que Tiahuanaco fut une métropole très animée, mais aussi la capitale d'un immense empire s'étendant sur plusieurs pays voisins actuels. La cité était autonome, vivant en communauté de son agriculture et de sa pêche, les habitants savaient fondre le cuivre, laminer l’or, fabriquer des poteries, ils avaient aussi des connaissances en mathématiques, en astronomie et en ingénierie hydraulique. Ça devait être une ville royale magnifique, il est probable que les murs des temples et les statues étaient alors recouverts d’or, de textiles ou de surfaces peintes.
Localement, un musée qui abrite des éléments de cette culture, tels que des vases cérémoniels avec inscriptions et dessins énigmatiques, poteries, céramiques, crânes trépanés ou déformés, procédé curieux reproduit chez les Incas plus tard (mais des études sur les plus anciens crânes montrent qu'il ne s'agit pas de déformations les concernant, mais bien d'une configuration naturelle et génétique, les Incas et autres peuples imitant par la suite l'apparence de ces géants). Un deuxième musée abrite les pièces colossales retrouvées lors de fouilles tels que le gigantesque monolithe de 7.30m de hauteur et 1.20m de large découvert en 1932 par Bennett, dans le temple souterrain de Kalasaraya, ce monolithe qui représente un personnage portant des vêtements raffinés et une couronne, est taillé dans un seul bloc, son corps est gravé de hiéroglyphes (toujours non traduits à ce jour) et s’appuie sur un piédestal. La statue fut un temps exposée face au stade de football de


A l’intérieur de cette aire, se trouve le monolithe Ponce (
Derrière ce « Ponce » un escalier de six marches taillées dans la roche conduit à une porte : « la porte principale » celle-ci mène directement à un autre temple, mais une barrière en fer en interdit maintenant le passage. Après l’avoir contournée nous arrivons au « Templete Semisubterráneo » (semi-souterrain) construction enfouie à 1.70m au-dessous du niveau du site, il mesure 28m sur 26m et est entouré d’un mur de 48 piliers de grès rouge et de petits blocs de pierre, dans ce mur sont encastrées 172 têtes anthropomorphes en roche volcanique (l’anthropomorphisme est le fait de conférer des propriétés comportementales ou morphologiques spécifiquement humaines à des sujets ou des objets non-humains.) Ces sculptures sont censées figurer des hommes de toutes races, ceux-ci représentant le monde souterrain ou vivent les morts et les êtres à venir, ou... symbolisent les victoires remportées sur les peuples étrangers !! Au centre de la cour de ce temple : plusieurs petits blocs monolithiques, dont « le barbu », qui présente une tête en obus, de grand yeux ronds et une forte mâchoire agrémentée d'une barbe...
Dans le musée est aussi visible une tête découverte assez récemment (ci-dessus) et parmi les plus anciennes répertoriées : il s'agit typiquement de la tête d'un asiatique...
A l’extrémité N. O le monument sans doute le plus célèbre du site :
La porte du soleil
On peut distinguer sur la base de cette frise une tête d’éléphant. Le dessin est inattendu car les proboscidiens ont disparu d’Amérique du Sud à la fin du Pléistocène c’est-à-dire il y a 10 000 ans.
Une autre espèce identifiée qui apparaît est le Toxodon, un mammifère amphibien qui a prospéré en Amérique du Sud à la fin du Pliocène (1,6 millions d’années) et s’est éteint à la fin du Pléistocène (vers – 12 000 ans).
On trouve pas moins de 46 têtes de toxodontes ciselées dans la frise.
D’autres représentations d’espèces disparues ont été découvertes sur le site : le Shelidoterium et le Macrauchenia.
Le Macrauchenia était un ongulé sud-américain qui a disparu il y a 10 000 ans
Cette effigie de
Le dieu céleste de Tihuanaco comporte aussi des aspects solaires. Sa couronne et son collier sont en fait les rayons de l'astre, et les paysans Aymaras disent encore aujourd'hui que les rayons du soleil sont sa barbe. Selon certains mythes recueillis au tout début de la conquête par Juan de Betanzos, les premiers hommes vivaient dans un monde de ténèbres jusqu'à à ce que le créateur, Kon Tici Viracocha, fît le soleil et le jour, qu'il séparât de la nuit, de la lune et des étoiles. Puis il transforma les anciens hommes en pierres, pour les punir de l'avoir raillé. Avec ces pierres, il fabriqua une nouvelle humanité, ou plutôt des peuples différents avec leurs seigneurs, leurs femmes et leurs enfants. Ses serviteurs et auxiliaires distribuèrent ces groupes dans tout le Pérou, en les plaçant dans des grottes, des cavités, des sources et des montagnes, d'où ils émergèrent pour habiter la surface de la terre. Enfin Kon Tici Viracocha envoya deux autres Viracochas à l'est et à l'ouest tandis que lui-même emprunta la voie impériale des Incas jusqu'à Cuzco, en exhortant les hommes à sortir de terre. Arrivé à Cacha, dans la vallée de Cuzco, il fut attaqué par les gens de Kanas, sortis de terre tout armés. Mais le feu du ciel s'abattit sur eux, sous forme de foudre. À Cuzco, Viracocha institua une seigneurie, puis il repartit vers le nord jusqu'à la hauteur de Puerto Viejo (Équateur), où il entra dans la mer...
Il suffisait de peu pour transformer le vieux dieu Viracocha en apôtre rejeté par la méchanceté des hommes. Ce pas fut franchi dès les premiers temps de la conquête, comme l'atteste le commentaire de Cieza de León. L'image de ce dieu a donc été modifiée à deux reprises : tout d'abord par les Incas, qui cherchèrent à légitimer l'origine solaire de leur dynastie en faisant appel aux croyances séculaires des peuples des hauts plateaux, ensuite par les Espagnols, appelés d'ailleurs eux aussi Viracochas.
Notez ici que cette légende n’est pas sans rappeler celles de l’Inde antique et de ses « Dieux » vengeurs et guerriers, de ses guerres entre « dieux » utilisant des armes destructrices…
Et enfin l’Akapana, petite colline qui constituait, il y a fort longtemps, une pyramide à 7 degrés de 200m de coté sur 15m de hauteur, elle était alignée parfaitement avec les quatre points cardinaux, peut-être une forteresse ?
Aujourd’hui elle est totalement ensevelie, la faute en revient à un avide mineur espagnol qui creusa, dans l’espoir d’y trouver de l’or, puis les colons espagnols utilisèrent nombre de pierres pour construire, au 17ème siècle, l’église du village voisin. Depuis 1957, les archéologues boliviens et étrangers y effectuent des fouilles d’excavation, le travail a bien avancé, plusieurs des plateformes revoient le jour.
Les vestiges trouvés attestent que la cité avait autrefois un port, celui-ci était sur le rivage du lac Titicaca. Les légendes relient l’histoire à un épisode marquant de
Tiahuanaco n’a sans doute pas finir de dévoiler ses secrets, en 1968 le commandant Cousteau, passionné, plongea dans le lac Titicaca et découvrit des fosses de plus de
Autrefois donc, la cité aurait été un vaste port comme le laissent à penser ce qui ressemble à d'immenses quais. Or, le lac se trouve entre 18 et
Deux autres éléments pourraient attester cette théorie : la fort peu acceptée archéo-astronomie (une discipline que je trouve pourtant très intéressante) qui permit à Arthur Posnansky d'avancer encore plus la date de 15 000 av. J-C en tenant compte des alignements planétaires et solaires des temples, et la découverte de dessins et gravures d'animaux dont les espèces auraient disparues à la fin du pléistocène, soit vers 12 000 ans av. J-C.
Tous les monolithes sont gravés (à l'inverse des menhirs par exemple) et comportent des symboles et dessins de reptiles ou sauriens très proches de ceux découverts en Turquie, à Gobekli Tepe, dans un antique temple daté de... 12 000 ans...
100 et même de ses monuments. L'examen pétrographique des matériaux ont permis de retrouver des carrières correspondantes à l'aspect mégalithiqueL'autre mystère de ce lieu archéologique est
Il ne faut d'ailleurs pas oublier de souligner les curiosités du site de Tiahuanaco que sont la pyramide à sept degrés d'Akapana qui présente un étonnant système de canalisations dont le but n'a pas été encore trouvé de nos jours, l'imposante et célèbre Porte du Soleil du temple de Kalasasaya et ses glyphes, et enfin les statues monolithiques que certains comparent aux Moais de l'Île de Pâques.
Le dernier élément à noter concernant ces vestiges est le fait qu'ils donnent l'impression d'avoir été inachevés, comme si un cataclysme avait mis fin aux travaux d'édification. Arthur Posnansky, qui a étudié le site pendant près de cinquante ans, explique que de nombreuses traces (blocs balayés et éparpillés, flore lacustre contenant des fragments de squelettes animaux et humains mêlés de débris d'outils et d'ustensiles) prouvent qu'il y aurait eu tremblements de terre et inondations au onzième siècle Avant. J-C - ce que des géologues confirment. Pour finir, une inversion géomagnétique (peut-être incomplète) aurait eu lieu il y a 12 400 ans, ce qui expliquerait les dégâts causés dans l'altiplano (suivant un article de Nature et du New Scientist). Et bien sûr, une telle date accrédite au passage la thèse concernant l'âge réel de Tiahuanaco : il s'agirait donc bel et bien de la plus vieille ville de l'Histoire ? = http://www.alexandrea.fr/index.php/post/2008/09/14/Tiahuanaco-la-plus-vieille-ville-de-lHistoire
Des avis sur le monolithe Ponce :
Dans leur livre intitulé « La grande idole de Tiahuanaco », HS Bellamy & P. Allen postulent que les symboles incarnent une masse de données astronomiques de la terre et du ciel d’il y a 27.000 ans. Ils pensent qu’un livre intitulé « Théorie des satellites » d’Hoerbiger qui a été publié en 1927, soit cinq ans avant la découverte de l’idole, donne des détails sur une série d’événements qui sont codés dans les symboles sur l’idole. Selon la théorie, un gros satellite a été capturé par le champ gravitationnel de la terre et, comme il en filé, sa masse et la vitesse ont provoqué un ralentissent de la rotation de
Bellamy et Allen pensent que l’idole indique que l’objet a réalisé 425 orbites autour de la terre par an et qu’une année terrestre ne durait que 288 jours. Les symboles sur l’idole conduisent-ils effectivement à cette conclusion? Si tel est le cas, d’où un peuple primitif a-t’il obtenu les connaissances astronomiques nécessaires pour comprendre ce que c’était? Et enfin, pourquoi une idole qui est sculpté de telle manière précise est-elle logée dans un bâtiment beaucoup plus primitif? Certains croient que l’intervention extraterrestre est la seule réponse possible.
A douze miles au sud du lac Titicaca, situé dans le centre d’une région de géoglyphes, se trouvent les ruines mégalithiques de Tiahuanaco. Connu comme le «Stonehenge américain» ou de «Baalbek du Nouveau Monde », son architecture montre une habileté technologique qui dépasse les exploits des constructions modernes. A Tiahuanaco, les œuvres de pierre immenses ont été jointes avec des accessoires modulaires et complexes possédant des niveaux de verrouillage qui n’ont jamais été vu dans toute autre culture ancienne. Bon nombre des éléments ont été réunis avec des chevrons métalliques en forme de «t» qui ont été fondu sur place par une forge portative.
Selon les ingénieurs, l’une des plus grosses pierres à avoir été déplacée et utilisée dans une construction (environ 400 tonnes) a été transportée à Tiahuanaco d’une carrière située à plus de deux cents miles. Cet exploit est encore plus incroyable quand on sait l’itinéraire de transport passe travers une chaîne de montagnes qui ont jusqu’à
L’historien Arthur Posnansky étudie la région depuis plus de 50 ans et il a observé que les sédiments ont été déposés sur le site à une profondeur de six pieds. Dans cet amas, produit par un afflux massif d’eau aux alentours du Pléistocène (il y a 13.000 ans) des crânes humains fossilisés ont été découverts avec des coquillages et des restes de plantes tropicales. Les crânes ont près de trois fois la capacité crânienne de l’homme moderne et sont présentés dans le musée de
Posnansky a écrit: Le climat est sec, le feuillage est maigre, le temps est froid, les peuples voisins misérables et peu nombreux. Le sol au sommet du plateau est maintenant un dépôt sec de deux pieds de pierre tendre. En dessous se trouve la lignite de plantes tropicales carbonisées. Vient ensuite une couche de cendres déposées au milieu des précipitations, puis apparaît un dépôt alluvial. Dans un tel lieu, on pourrait normalement s’attendre simplement à un sol maigre, balayées par le vent, sur un sol rocailleux. Les géoglyphes dans cette zone se trouvent dans les trois couches de la strate, décrit par Posnansky, quelques-uns des plus complexes et les plus anciennes ont été creusés dans la roche. Par endroits, la roche a été taillée en labyrinthes, en cellules rectilignes, en buttes et autres géométries. Celles-ci peuvent être vus sortants de sédiments vieux de l’âge de glace...
Que nous apprend la légende sur la ville mystérieuse de Tiahuanaco?
Elle parle d’un vaisseau doré qui descendit des étoiles ; à bord de celui-ci il y avait une femme nommé Orjana dont la mission était de fonder une race nouvelle. Les mains d’Orjana étaient palmées et ne comptaient que quatre doigts (comme le dieu barbu Viracocha). Elle donna le jour sur terre à 70 enfants, puis regagna les étoiles. De fait, on trouve à Tiahuanaco, gravés ou taillés dans la pierre, des êtres qui n’ont que quatre doigts. Ces figurines sont aussi anciennes que la ville elle-même.
On peut présumer que le cosmonaute, l’Homme de Tiahuanaco, tout comme Prométhée, a dû payer le tribut de son inadaptation à l’atmosphère épaisse, torride des plaines arabiques. Alors, se référant aux carte que découvrit plus tard Piri Réis. par-delà la mer Rouge, il se dirigea vers le pays des cimes neigeuses, éparpillant sur sa route, en Arabie, en Chaldée, en Assyrie, des bribes de son savoir. Et l’on songe à Prométhée, initiateur des hommes, châtié par Jupiter et enchaîné précisément – selon la tradition grecque – sur la cime du Caucase, à une altitude qui est exactement celle du plateau des Andes.
La ressemblance est troublante entre l’Atlante, fils d’Orejona aux jolis pieds, et Prométhée, fils de l’Océanide aux jolis pieds. Quoi qu’il en soit, quelque 1 000 ans avant notre ère, Tiahuanaco entrait dans la nuit de l’oubli et Abybos, Heliopolis, Thèbes, Memphis, Karnac et Saïs ouvraient pour le monde occidental les premières pages de l’Histoire inconnue des Hommes.
À l’appui de cette relation, une cosmographie gravée sur la paroi rocheuse d’une grotte du Kohistan représente Vénus et

Contacts avec une culture plus avancée
Contacts avec une culture plus avancée
Equateur
Déification des visiteurs possédant des connaissances ou techniques supérieures
La littérature spécialisée rédigée par les ethnologues du monde entier témoigne d’un phénomène étonnant: la déification des étrangers et des objets techniques. Lorsqu’une culture peu ou pas avancée sur le plan technologique entre en contact avec des visiteurs qui disposent de technologies plus poussées que ne parvient pas à expliquer la culture moins développée, on rencontre l’«effet de déification». Connu sous le terme de «culte du cargo», qui vient de cargo = biens.
Les étrangers restent ainsi gravés dans la mémoire des tribus et peuples comme des «dieux» ou autres êtres surnaturels. Un souvenir transmis de génération en génération, qui se transforme en légende et qui, pour finir, devient une tradition mythologique. Une sorte de «réaction archétypale» qui se produit dans toutes les cultures. Les exemples sont innombrables. Pour ne parler que de notre siècle, les contacts entre les autochtones et les unités militaires américaines ou japonaises lors de la Seconde Guerre mondiale sur les îles de Mélanésie ou de Micronésie dans l’ouest du Pacifique et les nombreux autres contacts des ethnologues dans les forêts vierges impénétrables de Nouvelle-Guinée et d’Amérique du Sud apportent la preuve de cet étrange «effet de déification». La mythologie vivante. Une fois repartis, ces visiteurs sporadiques faisaient l’objet des conversations autour des feux de camps. Les impressions sont transmises de récits en récits. Le mythe grandit. Les objets étrangers que l’on ne peut pas classer dans sa propre compréhension culturelle sont décrits par la méthode intemporelle du «ça ressemble à». L’ «Oiseau-Tonnerre», le «cheval du feu», etc. nous sont désormais familiers. Les étrangers laissèrent aussi souvent des cadeaux aux tribus, de la boîte de Coca aux postes de radio. Ceux-ci étaient non seulement des souvenirs vénérés avec une crainte respectueuse mais également un défi pour les hommes de trouver le moyen de faire revenir les «dieux». Bien entendu, on voulait recouvrer les bienfaits de ces objets.
Voir ci-dessous :

Résonance dans les pyramides de La Mana
Résonance dans les pyramides de La Mana, Équateur ?
Une découverte monumentale a été faite récemment au sud de La Maná, en Équateur, le 17 Novembre 2013, lors d'une exploration des montagnes basses le long de la rivière Calope. Les ruines mégalithiques d'un ancien temple ont été partiellement excavées par des explosions à la dynamite des cantonniers et l'action érosive de l'eau, en découvrant une grande partie des fondations de basalte, le long de deux côtés d'un ouvrage dépassant 70 m de haut.
L'ancienne région de La Mana a attiré l'attention pendant des décennies après que le responsable du ministère équatorien des Mines, le Dr. E. Guillermo Sotomayor (1918-2009) ait fait la découverte surprise d'une cachette de centaines de reliques anciennes, qui comprenaient des dizaines d'artefacts en pierre magnétiques, avec des dessins incrustés qui sont fluorescents sous une lumière ultraviolette. Les années de recherches de Sotomayor concernant un ensemble de 13 tasses de pierre magnétiques lui ont permis de reconnaître la pureté étonnante et les effets curatifs des Springwaters (Sources) de ces montagnes mystiques (1).
Voir la vidéo et lire ci-dessous :

OVNIs et Pilotes de chasse : les cas 1976 et 1980
OVNIs et Pilotes de chasse 1 : les cas 1976 et 1980
Major Parvis Jafari
Des ovnis observés à Téhéran et au Pérou par des pilote émérites
C’est en 1976 qu’un objet non identifié est repéré dans le ciel de Téhéran. Un F-4 part aussitôt à sa rencontre pour le détruire, mais l’objet se dématérialise pour apparaitre plus loin. En 1980, Un chasseur péruvien ouvre le feu sur un objet non identifié. Nous allons pour en savoir plus approfondir ces combats aériens face à des ovnis grâce à des reconstitutions. Bill Scot, ancien ingénieur d’essai en vol et son équipe vont enquêter pour nous permettre de séparer le vrai du faux dans ces histoires.
18 septembre 1976, Téhéran :
Une sphère lumineuse apparait dans le ciel de Téhéran à plusieurs témoins et la tour de contrôle voit également l’objet sur ses écrans. Sur ordre de l’armée de l’air, un premier pilote monte aussitôt à bord de son avion de chasse et décolle de la base aérienne de Shahrokhi pour aller à la rencontre de l’objet pour une identification, car il est entré sans autorisations dans le territoire.
Parviz Jafari, chef d’escadron, est lui aussi envoyé (23 h 00) au combat avec son F-4 quelques minutes après. D’après Parviz Jafari, l’objet à la taille d’un Boeing, autant dire qu’il est énorme. Il continue donc en suivant la lumière de cet objet quand tout à coup un objet a surgit de cette dernière pour se diriger sur lui. Parviz Jafari va donc vers lui et se rapproche, c’est à ce moment-là que cet objet volant est passé d’un point A à un point C sans passer par le point B, il s’est tout simplement dématérialisé sur 45 km et cela en une fraction de seconde.
Parviz Jafari repart de nouveau à sa rencontre quand il voit un autre objet de forme lunaire sortir de l’objet volant. Sa surprise est grande, ce deuxième objet vient également à sa rencontre, le frôle et décrit des cercles autour de son appareil. Il ne faut pas oublier qu’à ce moment-là, il vole à la vitesse du son. Après quelques tours, la sphère s’en va rejoindre l’objet non identifié, Parviz Jafari pense donc être hors de danger, c’est sans compter une deuxième sphère qui fait son apparition et qui reproduit exactement les ‘gestes’ que la première...
Le pilote comprend alors qu’il est attaqué, il doit se sortir de là à tout prix, il tente alors le tout pour le tout et arme, puis tente de tirer un missile, c’est là qu’il s’aperçoit que tous les voyants sont éteints, ses appareils sont en panne :

Un savoir préhistorique basé sur les fréquences sonores ?
Un savoir préhistorique basé sur les fréquences sonores ?
Inside the Hal Saflieni Hypogeum, Malte, Wikimedia Commons.
Les Anciens constructeurs ont créé des structures monumentales qui altéraient le son et l'esprit, disent les chercheurs
Les résultats de recherches récentes suggèrent que dans l'antiquité ou la préhistoire, les bâtisseurs des structures monumentales trouvées dans des endroits aussi divers que l'Irlande, Malte, le sud de la Turquie et le Pérou ont tous une caractéristique propre en commun - ils ont peut-être été spécialement conçus pour conduire et manipuler le son à produire certains effets sensoriels.
Commencée en 2008, une étude récente et toujours en cours sur le complexe massif de structures en pierre de la vieille période de 6000 ans connu sous le nom de l'Hypogeum Hal Saflieni sur l'île de Malte, par exemple, produit des résultats révélateurs. Tout comme les structures de temples préhistoriques reliés à Malte, cette structure dispose de couloirs centraux et des chambres courbes. Mais cette structure est unique en ce qu'elle est souterraine, créée par la suppression de quelque 2.000 tonnes de pierres taillées avec des marteaux de pierre et de pioches en bois de cervidés. Les voix basse au sein de ces murs créent d'étranges échos de réverbération, et un son fait ou des paroles prononcées à certains endroits peuvent être clairement entendus tout au long de l'ensemble de ses trois niveaux. Maintenant, les scientifiques suggèrent que certaines fréquences de vibrations sonores créées lorsque le son est émis à l'intérieur de ces murs font réellement s'altérer les fonctions cérébrales humaines de ceux à portée de voix.
The Lanzon dans sa chambre, courtesy Frenchguy, Wikimedia Commons.
« L'activité cérébrale régionale d'un certain nombre de volontaires sains a été suivie par EEG par l'exposition à différentes fréquences de vibrations sonores », rapporte Linda Eneix, experte du Temple de Malte à the Old Temples Study Foundation, « Les résultats ont indiqué que à 110 Hz, les tendances de l'activité en cours du cortex préfrontal ont brusquement changé, entraînant une désactivation relative du centre du language et un décalage temporaire de la gauche vers le côté droit de la domination en matière du traitement émotionnel et de la créativité. Ce changement n'a pas eu lieu à 90 Hz ou 130 Hz ...... En plus de stimuler leurs côtés plus créatifs, il semble qu'une tonalité du son de résonance de la fréquence de 110 ou 111 Hz aurait été comme un "Allumage" d'une zone du cerveau que les scientifiques du bio-comportemental croient liée au comportement de l'humeur, l'empathie et le social. Volontairement ou non, les personnes qui ont passé du temps dans un tel environnement dans des conditions qui peuvent avoir inclues une faible voix masculine - dans un rituel chantant ou même la simple communication - s'exposaient à des vibrations qui peuvent avoir réellement eu un impact sur leur pensée ". [1]
Des chercheurs de l'Université de Malte confirment les conclusions d'une étude récente :

La civilisation de Caral
La civilisation de Caral
La civilisation de Caral ou Caral-Supe ou encore de Norte Chico est une société précolombienne complexe qui comprenait trente centres majeurs de population dans ce qui est aujourd'hui la région de Norte Chico au centre de la côte nord du Pérou, à environ 200 kilomètres de Lima. C'est la plus ancienne civilisation connue d'Amérique, avec une apparition dès 7.000 ans avant maintenant au minimum et dont l'âge d'or se situe entre le xxxe et le xviiie siècle av. J.-C. Son autre dénomination, Caral-Supe, vient du site archéologique de Caral dans la vallée de la rivière Supe. Cette société du Norte Chico émergea juste un millénaire après celle de Sumer, fut contemporaine des pyramides de l'Égypte antique et précéda celle des Olmèques de près de deux millénaires.
En 2007, des analyses de morceaux de bois trouvés à l'intérieur d'une pyramide confirment les -5.000 ans avant J.C. pour les supposés débuts d'implantations des temples mais un simple village à cette époque et un premier petit temple, recouvert ensuite par la pyramide), ce qui fait de cette civilisation et de ses pyramides la plus ancienne d'Amérique bien sûr, mais aussi des pyramides plus anciennes que celles d'Egypte (si l'on accepte les datations orientées égyptiennes), puisque les grands édifices et pyramides ont été datés de 3000 ans Avant J.C. formellement.
De environ -5000 à -4000 aucune trace de guerre ou de conflit violent. Après cet âge d'or , Caral a continué à prospérer encore 4000 ans mais il y a eu une cassure dans les mœurs qui sont devenues moins pacifiques. Certains soutiennent que le phénomène météo el niño serait le responsable, on dit que des peuples nomades plus belliqueux se seraient invités pour saisir cette manne ou peut-être qu'une catastrophe connue sous le nom de "déluge" aurait sévi sur cette partie de la terre aux environs de -4000 av JC, cette catastrophe entraînant les autres calamités.
L'objectif des chercheurs n'était pas tant de découvrir des splendeurs de l'architecture antique mais plutôt de trouver les racines d'une civilisation. Car les civilisations se construisent souvent sur les ruines de civilisations antérieures et s'enchevêtrent. Après avoir déblayé plusieurs de ces fausses collines et retrouvé des restes de cités plutôt banales pour eux des peintures et des bas-relief relatant des scènes violentes comme il s'en trouve à peu près partout dans cette région, ils sont enfin tombés sur cette chose tant espérée : la cité mère. De plus quelques boiseries leur ont permis de dater le site au carbone 14 : - 5000 ans av JC. Persuadés que toutes les grandes civilisations naissaient des conflits et de leur art de la guerre, quelle ne fut pas leur surprise lorsqu'ils découvrirent que la cité mère s'était développée tout-à-fait pacifiquement. Le dernier mystère de Caral reste qui, quand et pourquoi a-t-on enseveli ce site ? (cela rappelle curieusement l'ensevelissement mystérieux de Glopeki Tepe en Turquie, daté d'une plus ancienne époque encore !). Fera-t-il oublier les géoglyphes des Nazca situés aussi au Pérou. Un point commun : la spirale que l'on retrouve comme motif (pétroglyphe plus modeste à Caral)...
Il semble que les indiens d'Amérique du sud ont toujours été de bons agriculteurs mais à Caral, ils ne faisaient pas que du maïs, des patates, des haricots ou des tomates. La culture du coton leur a permis de commercer avec les gens de la mer (les filets de pêche), de la forêt (les hamacs) et de la montagne (les vêtements chauds) sans compter qu'ils s'envoyaient des messages à l'aide de nœuds qu'ils plaçaient dans ces mêmes ficelles de coton. Elle a été une cité extrêmement florissante connue à des milliers de lieues à la ronde...
De nombreux mystères n'ont encore pas été élucidés concernant cette culture, voir ci-dessous :