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Génétique et récentes découvertes : Homo Sapiens serait né en Eurasie !
Génétique et récentes découvertes : Homo Sapiens serait né en Eurasie !
J'ai déjà parlé de ces récentes découvertes et de cette remise en question d'une naissance de Homo Sapiens (l'homme moderne) en un lieu unique en Afrique, qui était la théorie la plus admise encore très récemment. Cette théorie était basée sur les découvertes anciennes faites en Afrique ("Lucy", australopithèque dont la "branche" menant à l'Homme moderne a été annulée finalement, ainsi que les Paranthropes : on parle encore par convenance à leur sujet (le seul critère étant la bipédie partielle !) de lignée humaine, mais ceci est de plus en plus contesté). Et même "Toumaï", découvert en 2001 au Tchad (et qui a donné une nouvelle espèce de primate menant à l'Homme : Sahelanthropus tchadensis à l'époque) considéré pendant un temps comme le plus ancien représentant de la lignée humaine (7 millions d'années) n'a pas gardé son statut très longtemps avec d'autres découvertes plus récentes. Pareil pour Orrorin tugenensis et Ardipithecus ramidus : ces fossiles de primates "évolués" et les études génétiques de leurs vestiges ont permis de les situer à une date précédant environ un demi million d'années les australopithèques. Autrement dit, la divergence entre les pré-humains et des éventuels chimpanzés se serait produite bien plus tôt que l'on ne pensait, soit entre – 13 et – 7 millions d'années. Cette théorie d'un lieu unique en Afrique pour la naissance du genre Homo est actuellement en passe d'être annulée : la multiplication des découvertes en des lieux multiples de fossiles et d'espèces différentes contredit cette hypothèse. Les découvertes au Maroc d'Homo Sapiens archaïques, vieux de 300000 ans, en est un exemple flagrant. Et celles en Afrique du Sud n'arrangent pas les choses sur la multiplication en question. Tout récemment, les restes de deux types d'hominidés nommés respectivement Australopithecus sediba et Homo naledi découverts en Afrique du Sud, ont augmenté les incertitudes. Leurs squelettes sont très différents de l'un à l'autre. L'A. sediba comporte des mâchoires et des mains proches de celles de l'homme, mais des pieds proches de ceux du singe. Pour sa part, Homo naledi était doté d'un crane et de pieds proches de ceux de l'homme moderne. Il était âgé d'environ 300.000 ans... Ceci conduit beaucoup de paléoanthropologues à se demander aujourd'hui s'il ne conviendrait pas d'abandonner l'hypothèse d'une évolution quasi linéaire vers l'homme moderne...
La théorie de la sortie d'Afrique du genre Homo, affirmant que seuls des hominidés ayant un gros cerveau et de longues jambes (Comme Homo Habilis, Homo Ergaster, Homo Erectus) est quant à elle annulée par la découverte, en 2002, d'un crane daté de – 1,75 millions d'années, qui était trop petit pour contenir un gros cerveau (nommé Homo Georgicus). Il convenait à un cerveau de 600 cm3, soit la moitié du cerveau humain actuel. Or le fossile se trouvait, non en Afrique mais dans le Caucase, à Dmanisi. Ceci était la preuve que des hominidés à petits cerveaux avaient pu quitter l'Afrique... et tout aussi bien être aussi à l'origine d'espèces de lignée humaine !
Sans oublier la Turquie, l'homme de Kocabas : http://www.sciences-faits-histoires.com/blog/archeologie/datation-du-plus-ancien-hominide-trouve-en-turquie-a-ce-jour.html
Pire, la découverte récente d'un homininé plus ancien que Toumaï en... Grèce, l'année dernière, ainci que la découverte d'outils de pierre accompagnés de fossiles "travaillés" en Chine très anciens (2,12 millions d'années) mettent maintenant la naissance d'un ancêtre du genre Homo Sapiens possible ailleurs qu'en Afrique (le critère privilégiant l'Afrique étant bien jusqu'à présent les datations et la génétique). 7,2 millions d'années (Ma) : Graecopithecus freybergi. Découverte en 1944 à Pyrgos Vassilissis au nord-ouest d'Athènes, le fragment fossile de mandibule de ce primate a été passé en 2017 au crible des scanners, révélant une fusion des racines de deux prémolaires, caractère que l'on retrouve principalement chez les hominidés. Ce caractère s'ajoute à un autre, propre à notre lignée : la taille réduite des canines. On peut aussi parler de la découverte du crâne Dali Man en Chine, qui a été daté à 260 000 ans, qui remet d'une certaine façon une origine absolument certaine d'Homo Sapiens en Afrique, ou alors il faut admettre une sortie d'Afrique bien avant des premiers Homo Sapiens archaïques... Et on peut aussi compter l'Homme de Flores : http://www.sciences-faits-histoires.com/blog/archeologie/l-homme-moderne-homo-sapiens-a-bien-un-nouveau-cousin.html
Sans oublier des traces très parlantes en Crète : http://www.sciences-faits-histoires.com/blog/preuves-autre-histoire/crete-une-decouverte-incroyable-qui-complete-les-autres.html
Et encore mieux, c'est maintenant la génétique qui remet en question la naissance d'Homo Sapiens en Afrique ! Mais voyons donc ces nouvelles études génétiques qui bouleversent tant de choses si elles sont confirmées par d'autres encore, et d'autres découvertes de fossiles :
La guérison au toucher et à distance
La guérison au toucher et à distance - L'Homme Spirituel Page 3
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Page 2 : http://www.sciences-faits-histoires.com/blog/l-homme-spirituel/les-premiers-guerisseurs.html
Le sens du toucher est à l'évidence l'un des sens primordiaux, sans lequel nous aurions bien des difficultés à comprendre le monde extérieur et même tout simplement à y vivre. Inutile de décrire toutes les implications amenées par ce sens, la plupart vont de soi, mais ce qui nous intéresse dans ce sens au niveau de cet article, ce sont bien ses implications internes au niveau de l'être humain. L'une des plus importantes contributions à l'être humain de ce sens (en dehors de tout ce qu'il a fabriqué ou manipulé, inventé avec succès) est bien sûr liée aux soins et à la guérison. A ce titre, on peut déjà considérer que le sens très aigu du toucher des chirurgiens (surtout de leurs instruments) est le premier concerné car il est reconnu que les meilleurs chirurgiens se révèlent dès leurs débuts d'études : leur don concentré sur le sens du toucher fait rapidement la distance par rapport à des chirurgiens "classiques" qui n'atteignent un niveau acceptable que plus tardivement. On peut d'ailleurs de même découvrir d'autres spécialistes médicaux "exceptionnels" de part leur réussite et notoriété transmises par leurs clients, des dentistes aux kinésithérapeutes qui prodiguent leurs soins avec un pourcentage de succès et de satisfaction remarquables :
Les Premiers Guérisseurs
Les Premiers Guérisseurs - L'Homme Spirituel Page 2 - MAJ 27-09-2018 en bas
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Des Connaissances médicales antiques ont été écrites sur la peau
Selon la légende, il y a douze mille ans, dans l'ouest de la Chine, les Fils de la lumière réfléchie sont descendus du ciel. Ils étaient une race étrange, dit-on, de sept pieds de haut (2m15) et qui portait des vêtements qui ne ressemblaient à rien de ce qu'on avait jamais vu auparavant, ils reflétaient la lumière, ce qui leur donna leur nom (Fankuang Tzu). Si nous devions parler des vêtements d'aujourd'hui qui réfléchit la lumière la première chose que la plupart des gens pensent sont des combinaisons spatiales, donc peut-être que ces êtres viennent littéralement du ciel. Si jamais ils sont venus, ils l'ont fait pour enseigner à l'humanité et il est dit qu'ils ont apporté la civilisation à l'humanité sous la forme des arts, de la fabrication du textile, la métallurgie, l'alchimie et de nombreuses formes de médecine. La légende raconte qu'ils ont pris les gens les plus intelligents et les ont formé dans les différentes disciplines et compétences, souvent pendant des générations, les enfants qui apprennent de leurs parents et ainsi de suite jusqu'à ce que quelques siècles après leur arrivée, les Sons ont envoyé leurs connaissances par le biais de leurs élèves dans le monde et puis ils sont présumés être partis, car ils n'ont pas été revus depuis.
Cinq mille ans après la visite des "fils de la lumière réfléchie", un homme est mort dans les Alpes italiennes avec une pointe de silex enfoncée dans son dos, une artère sectionnée et sa main coupée jusqu'à l'os et s'il y a de nombreuses hypothèses sur la façon ou pourquoi il est mort, il ne fait aucun doute que sa préservation est l'un des aperçus les plus vivant jamais obtenu de notre lointain passé. Il portait avec lui la technologie de pointe de son temps, des flèches fines et des pointes, des champignons pour la guérison et la douleur, un couteau de silex et de bois, des chaussures imperméables exceptionnellement conçues, des chaussures de neige, et une hache de cuivre fixée sur une poignée d'if de belle facture, un trésor dans son temps. Ötzi, l'Homme des glaces, comme il est venu à être appelé, n'était pas sans moyens à ce que ses biens personnels révèlent, mais il a aussi réalisé quelque chose d'autre, dont, bien que pas aussi tactile qu'une belle hache de cuivre, la présence suggère un niveau de connaissances médicales et anatomiques qui ne semblent pas être dans la pratique avant deux mille ans, et sur un autre continent (l'Asie); Ötzi est tatoué avec cinquante-sept lignes, des points et des croix qui marquent les point d'acupuncture et les méridiens (61 en fait en tout (2018)).
L'examen physiologique détaillé a révélé que l'homme des glaces avait souffert de maladies physiques qui correspondent aux zones tatouées, tels que des processus de la maladie de l'arthrite dans la colonne vertébrale, les hanches, les chevilles et les genoux. Il avait aussi des tatouages de marquage des points méridiens utilisés pour traiter l'estomac et des douleurs abdominales et qu'il avait sans aucun doute souffert en raison d'une méchante infestation de vers solitaires. En bref, les tatouages Otzi n'étaient certainement pas aléatoires et présentent une compréhension sophistiquée des neurones et des voies de l'énergie dans le corps humain, les marques affichent également une remarquable ressemblance avec les trigrammes du I Ching, le livre ancien de divination dont les symboles sont dit être plus âgés que l'Histoire enregistrée et peut être traduit comme un code binaire :
L'être Humain : un émetteur-récepteur qui s'ignore
L'être Humain : un émetteur-récepteur qui s'ignore
Ce titre étrange pour certains résume à lui seul les conclusions d'une série d'articles et de dossiers qui se centrent sur un sujet commun. L'être humain se reconnaît moralement et scientifiquement plusieurs sens et moyens de transmissions naturels et évolutifs, tels par exemple le langage ou l'écriture associés aux toucher et à la vision nécessaires pour leur réalisation. Nos sens naturels, de l’ouïe à l'odorat en passant par la vision, le goût et le toucher reconnus et "soignés" scientifiquement sont à l'évidence complétés par d'autres sens, moins connus et étudiés pour la plupart et donc encore moins évaluable et "soignables". Parmi le plus connu et mieux apprécié par la science récente se trouve le sens de l'équilibre, qui pose malgré tout toujours certains problèmes médicaux, donc scientifiques. Tous les effets néfastes et positifs de ce sens n'ont pas été découverts encore. Le sens de l'équilibre nous informe à tout moment de notre rapport à l'espace. Des canaux semi-circulaires sont intégrés au sens de l'ouïe dans notre oreille interne mais les signaux qu'ils captent sont interprétés par le cerveau de façon à pouvoir comparer avec la perception visuelle. L'œil et les canaux semi-circulaires envoient des données au cerveau sur la position de la tête dans l'espace et à quelle vitesse notre corps se déplace, accélère, ralentit, interagit ou non avec l'espace. Lorsque ces deux sens envoient au cerveau des informations considérées comme contradictoires (hors de la "physique" du cerveau), nous ressentons une désagréable sensation d'étourdissement, jusqu'à la nausée et le vertige, parfois pire...
Un autre sens moins connu mais reconnu est celui qui découle du sens de l'équilibre allié à celui du toucher. Il est appelé scientifiquement la Proprioception et elle est très utilisée par les danseurs par exemple. Les muscles envoient des données au cerveau sur les variations de forces qui lui sont nécessaires pour contrebalancer les effets de l'attraction terrestre. Et le toucher informe en permanence sur la position de chaque membre par rapport au reste du corps, le tout est aidé par les réflexes. On utilise aussi tous ce sens quand on a les yeux recouverts de mousse sous la douche et qu'on continue à se nettoyer les yeux fermés sans soucis.Un autre sens reconnu mais déjà plus contesté et sujet à théories est le sens du Temps. Dans les dogmes postulés jusqu'à présent par les chercheurs historiques, cette notion fait appel à la durée et au rythme. En comparant ses mémoires (par exemple entre le coucher et le lever), le cerveau reboucle ses informations et déduit un écoulement de temps entre les deux. On fait très bien la différence quand on n'a dormi que 3, 6 ou 9 heures d'affilées par exemple. Cette perception du temps est constante et inégale subjectivement selon les individus mais suffit à obtenir en permanence notre position temporelle par rapport au reste de l'univers (perceptible). Cette notion est renforcée par le fait qu'une anesthésie totale provoque une annulation de ce sens : la notion de temps n'existe pas au réveil, et celui-ci à l'air instantané, sans aucun notion de durée estimable par le cerveau... d'autres notions seraient avancées par des chercheurs, notamment sur l'organisation du temps via le rythme du cœur humain ou encore une sorte de synchronisation de cycles communautaires lié au rythme biologique humain estimé être en moyenne de 24 heures 30 minutes. Il y a aussi le chercheur Maxime Sainte-Marie par exemple qui affirme pour sa part que le Temps n'existe pas et que nous l'avons toujours confondu avec le rythme, et il le prouve même :
Oman : une mystérieuse civilisation a bati des tours pour l'eau
Oman : une mystérieuse civilisation a bati des tours pour l'eau
Ceci est une reconstitution possible de la structure découverte, avec un puit au sommet, qui n'a pas encore été trouvé (CNRS)
Au sultanat d’Oman, sur la péninsule arabique, une équipe de scientifiques français mène des fouilles d'envergure pour comprendre les origines et culture d'une mystérieuse civilisation qui s'y est développée il y a plus de 5000 ans. Plusieurs structures de puits entourées de canaux y ont été découvertes, mais les fouilles se concentrent sur une structure monumentale, constituée d'une tour de 30 mètres de diamètre, entourée d'au moins deux canaux circulaires et de ponts.
Le CNRS, en partenariat avec LeMonde.fr, propose une vidéo qui vous conduit sur la piste de ces bâtisseurs qui ont érigé des tours monumentales dont la fonction reste un mystère probablement lié à l'eau, denrée devenue rare et indispensable à cette époque charnière :
Des super-Terres pas si loin de la Terre
Des super-Terres pas si loin de la Terre
La multiplication de découvertes de planètes telluriques (solides comme la nôtre pour parler simplement) dans la banlieue de notre propre naine jaune (le Soleil est classifié comme étant une naine jaune) remet de plus en plus la notion de distances infranchissables, tout au moins (pour l'instant) pour notre technologie et inventivité actuelle, en ce qui concerne l'espace proche. On sait que les scientifiques de la NASA et d'autres envisagent déjà d'envoyer une sonde-robot vers le plus proche système stellaire du nôtre à l'aide de notre technologie actuelle, d'autant plus qu'au moins une de ces super-Terres y a déjà été trouvée.
En ce qui concerne les distances énormes considérées par la science par rapport à notre technologie actuelle (qui ne peuvent que diminuer avec nos progrès), je rappelle ici par un extrait de l'un de mes précédents articles (ne pas se fier au titre) certaines données établies et non démenties pour l'instant par Einstein lui-même : " (...) Un objet en mouvement « vieillit » moins vite qu'un objet immobile, son temps propre s'écoule plus lentement. Donc il suffit d'utiliser la dilatation du temps pour voyager dans le futur. Le principe est simple : si on s'éloigne de la Terre à très grande vitesse puis qu'on y retourne, on aura moins vieilli que ceux qui y sont restés. Nous aurons donc un aperçu du futur de notre planète ! Subsiste toutefois un problème : pour atteindre cette vitesse élevée, il faut d'abord subir une longue phase d'accélération et ça, l'organisme humain ne le supporte pas très bien. Sauf si l'on s'en tient à une accélération de 9,81 m/s2, qui équivaut à la pesanteur terrestre que nous subissons tous les jours. Avec cette accélération, il est possible d'atteindre le centre de notre galaxie, distant de 30 000 années-lumière, en un peu plus de 39 ans. Le temps de freiner, de faire demi-tour et de revenir, près de 80 ans se seront écoulés dans le vaisseau... Alors que sur Terre, près de 60 000 années seront passées ! Reste un problème : pour effectuer un tel voyage, un vaisseau spatial consommera en un an l'équivalent de toute l'énergie produite sur Terre pour la même période... "
Le problème est donc principalement technique, mais la NASA estime déjà qu'il est possible, avec notre technologie actuelle, d'atteindre le système le plus proche (Proxima Centauri) en moins de 20 ans... Il est même possible d'utiliser en plus l'effet de "fronde gravitationnelle" autour de certaines planètes de notre système stellaire pour accélérer la vitesse, ce qui a déjà été fait par les sondes Pionner 10 et 11, ainsi que par Mariner 10...
Il est aussi important de souligner qu'au 20 septembre 2018, il y a 3845 exoplanètes confirmées à ce jour, situées dans 2866 système stellaires différents. Sur ce total, il y en a 200 dont la masse est inférieure à 8 masses terrestres et qui sont donc probablement telluriques avec peut-être une atmosphère. C'est sur ces planètes telluriques que l'on va rechercher les traces de vie, avec ce que l'on sait aujourd'hui de la vie...
Toutes ces nouvelles exoplanètes telluriques ont été découvertes à moins de 100 années-lumière, et le nombre commence sérieusement à augmenter, avec de plus certaines qui sont dans la zone d'habitabilité estimée par notre science actuelle, donc possédant très possiblement une atmosphère et de l'eau liquide. Faisons le point sur ces découvertes, dont certaines ne datent que de quelques jours :
Ce schéma montre la zone habitable de 3 étoiles : notre Soleil (en haut), celle de HD 85512 (autour de laquelle a été trouvée la super-Terre HD 85512 b) et celle de Gliese 581 qui comprend plusieurs exoplanètes. On remarque que HD 85512 b est en limite de la zone habitable de son étoile qui est légèrement plus petite que notre Soleil. Les distances indiquées en UA signifient Unité Astronomique, soit la distance Terre-Soleil (150 millions de km).
Crédit : ESO/Enjoy Space (traduction)