Articles de yvesh
Mexique : Veracruz preuves des artefacts étranges ?
Mexique : Veracruz preuves des artefacts étranges ?
A la suite d'un twit émis par un journaliste mexicain, paru en mai 2017 et accompagné de quelques photos, j'avais relayé l'information par cet article : https://www.sciences-faits-histoires.com/blog/archeologie/mexique-nouveaux-artefacts-etranges.html
Et bien il y a du nouveau, avec la publication de plusieurs vidéos, car le principal découvreur insiste sur la réalité des choses, emmène le public avec lui et nous montre les lieu et les gravures trouvées... La presse et les media s'en mêlent évidemment, la région de Veracruz, témoin de plusieurs découvertes archéologiques récentes, semble être en ébullition à ce sujet, il est possible que les découvertes de reliques biologiques et d'artefacts assez semblables au Pérou accentue les choses. Voilà en tout cas, juste pour info, une mise à jour avec quelques traductions, mais l'audio et l'espagnol d’Amérique latine n'est pas facile, j'en profite pour faire appel à des traductions par des natifs, s'ils le veulent bien sûr...
Russie, Oural, nouveautés sur la plus vieille idole en bois
Russie, Oural, nouveautés sur la plus vieille idole en bois
J'avais déjà parlé un peu ici il y a quelques années de cette étonnante idole géante en bois, avec quelques photos : https://www.sciences-faits-histoires.com/blog/archeologie/visite-des-regions-prehistoriques-russes.html + https://herboyves.blogspot.fr/2014/02/visite-de-regions-prehistoriques-russes.html
La grande statue gravée, découverte en 1890 et protégée depuis par une grande vitrine de verre sous vide, a été datée de 9000 avant J.C., donc 11000 ans avant maintenant (mésolithique) et est à l'heure actuelle la plus ancienne statue gravée dans du bois au monde préservée. Une nouvelle publication à son sujet révèle qu'elle a été gravée à l'aide de dents de castors :
Pologne : étrange statuette déterrée dans les Carpates
Pologne : étrange statuette déterrée dans les Carpates
En marchant dans un champ dans l'un des villages de Podkarpacie, la Voïvodie des Basses Carpates polonaises, un archéologue de Wielkopolska a découvert le fragment d'une figurine en argile d'environ 7 mille ans, représentant possiblement un "homme", (YH : ou un "dieu", ou un "démon", un "alien"...).L'archéologue Piotr Alagierski a passé ses vacances dans le village de Kosina en Podkarpacie. Lors d'une promenade de dimanche dans un champ cultivé, il a trébuché sur un fragment de 7 centimètres d'une figurine anthropomorphe en argile cuit. La plupart de la tête, du torse et d'une partie du bras clairement façonnés ont survécu jusqu'à notre époque - selon les informations fournies au PAP par le chercheur.
" Il ne fait aucun doute qu'il s'agit d'un monument au niveau national - l'une des plus anciennes représentations d'un "humain" dans notre pays. Les découvertes similaires de cette période sont très rares " - a noté l'archéologue lors d'une entrevue avec le PAP. " Le style dans lequel la figurine a été faite est surprenant. Elle ressemble à des figurines similaires de la Slovaquie et de la Roumanie " - a expliqué le découvreur. (YH : comme celles de la très ancienne culture Vinça par exemple, dont j'ai déjà parlé, et qui ressemblent + a des êtres reptiliens ou "Gris" visibles ailleurs qu'à des humains...)
Les dalles et pierres gravées d'Amérique du Nord
Les dalles et pierres gravées d'Amérique du Nord
A la suite de mon précédent article sur la dalle de Cochno en Ecosse (https://www.sciences-faits-histoires.com/blog/archeologie/ecosse-cochno-une-carte-cosmique-de-5000-ans.html) et l'affichage de quelques comparaisons européennes, un contact anglo-saxon, que je remercie ici au passage, m'a transmis plusieurs données de différents sites aux Etats-Unis montrant la même chose... ce qui est assez extraordinaire quand on sait que le néolithique remonte à une période où il n'est pas censé y avoir d'interactions ou cultures identiques de part et d'autres de l'Atlantique... Voici des traductions et photos montrant ces données, la conclusion semble évidente, mais il semble que la majorité des spécialistes aient peur (pour leurs bourses et salaires ?) de faire des comparaisons... on compare les poteries plus récentes, mais surtout pas les pétroglyphes (il est vrai que les limites des datations aident bien pour ne rien dire...)...
The Judaculla Rock
Une vieille photo du rocher gravé, le propriétaire du terrain avait souligné les gravures à l'aide de peinture. On remarque, avec quelques "spirales" et "étoiles", des mains équipées de 3, 5, 6 et 7 doigts, en rappelant que les 6 doigts ou orteils sont typiques de certaines "anomalies" génétiques d'une partie de la population indienne... les gravures étant d'origine Cherokee...
Les mutilations et enlèvements étranges
Les mutilations et enlèvements étranges - MAJ 06-09-2018 en bas
La plupart des articles parlant de ce sujet épineux titrent principalement "les mutilations animales", mais dans la mesure où les recherches des spécialistes ont prouvé des cas de telles mutilations sur des êtres humains, le sujet a traiter est plus vaste évidemment...
Je vais, par soucis de gagner du temps et de reconnaissance envers le travail déjà effectué depuis la fin des années 1960, commencer par l'historique connu et documenté sur ce sujet à l'aide d'articles cités, et donc partir des premiers cas avérés signalés en 1967 pour remonter jusqu'à nos jours pour confirmer ou non la constance du phénomène ainsi que son mode opératoire éventuel, et des hypothèses sur des motivations.
" Des têtes de bétail sont retrouvées mortes et mutilées principalement aux états unis. Le rapprochement avec le phénomène ovni peut étonner mais il est un fait que nous disposons de pas mal d'éléments et témoignages allant en ce sens. On peut très bien imaginer par exemple qu'une civilisation extraterrestre visitant notre planète cherche un jour à puiser dans nos ressources. C'est justement ce qui semble se passer ici. Les mutilations de bétails sont des "éléments annexes" au phénomène ovni qui méritent toute notre attention. Nous vous proposons de découvrir ces faits troublants dans ce dossier. De 10 à 20 000 têtes de bétail ont été retrouvées mortes et mutilées, essentiellement aux États-Unis, et ce depuis le premier cas signalé, c'était en 1967. Les animaux sont retrouvés dans les champs, certains de leurs organes ayant été prélevés après une découpe avec un instrument tranchant ou au laser, les parties mutilés parfaitement cicatrisés comme s'ils avaient été cautérisées avec une précision diabolique. Les nombreuses enquêtes effectuées par le FBI aux États-Unis, laissent à penser que ces prélèvements d'organes se produit après enlèvement de l’animal par voie aérienne : on ne trouve pas de traces de lutte ni de sang au sol, les animaux sont retrouvés parfois dans des lieux inaccessibles à pied.
Devant l'inexplicable, plusieurs hypothèses ont été avancées : animaux prédateurs (qui demeure l'hypothèse officielle), agissements d’une secte satanique, enlèvements d’origine extraterrestre puisque des ovnis sont parfois repérés à proximité, ou encore opération secrète de l’armée du fait que des hélicoptères non immatriculés évoluent souvent sur les lieux des mutilations.
La difficulté à attribuer ce phénomène à une origine humaine réside dans son ampleur : quelle organisation pourrait en effet réussir à mutiler plus de 10.000 têtes de bétail sans être jamais découverte par un témoin ou par les enquêteurs de police ? Les médias ne proposent aucune solution et les autorités des pays touchés par ce phénomène cherchent très nettement, de part leur attitude ambigüe à étouffer l’affaire.
Des chèvres, des moutons, des chevaux, des vaches, des cerfs, des lapins et toutes sortes d'animaux domestiques sont pris pour cible par ces mutilations. Les bovins en général représente la plupart des animaux mutilés.
Enquête et compilation de données ci-dessous :
Egypte : L'embaumement existait déjà dans sa préhistoire
Egypte : La momification existait déjà dans la préhistoire de Nagada
credit: Dr Stephen Buckley, University of York
Une étude et publication scientifique à la mi-août a repoussé de 1500 ans l'âge d'un rituel d'embaument sur une momie conservée à Turin (Italie) depuis 1901, ainsi que les ingrédients et récipients d'embaumement liés. On pensait jusqu'à présent que les rituels de momification étaient contemporains des premières dynasties "officielles" égyptiennes, bien qu'aucune datation n'avait pu jusqu'à présent accrocher une date de "première momification" ou une date de l'invention de telles pratiques en Egypte (en se rappelant que les plus anciennes momies découvertes au monde, jusqu'à présent, l'ont été en Amérique Latine, et non pas en Egypte...). Cette étude prouve sans aucun doute possible que cette momie a bien été embaumée, avec les mêmes doses d'ingrédients que sous les dynasties "classiques" égyptiennes, vers -3600 ans Avant J.C., c'est à dire pendant la phase préhistorique de l’Égypte appelée "culture Nagada" (de vers - 3900 à - 3300 ans AV. J.C). Mais notons qu'une précédente étude de 2014, sur des tombes préhistoriques égyptiennes, avait déjà ouvert de grands soupçons, qui viennent donc d'être confirmés...
C'est la première fois que des tests approfondis ont été effectués sur une momie préhistorique intacte, consolidant ainsi les conclusions antérieures des chercheurs selon lesquelles l'embaumement existait 1 500 ans plus tôt que prévu.
Datant de 3700 à 3500 av. J.-C., la momie est conservée au musée égyptien de Turin depuis 1901, mais contrairement à la plupart des momies préhistoriques des musées, elle n'a jamais subi de traitement de conservation, offrant une opportunité unique pour des analyses scientifiques précises. En effet, à l'instar de son homologue Gebelein Man A au British Museum, la momie de Turin était supposée avoir été naturellement momifiée par l'action desséchante du sable chaud et sec du désert.
Grâce à l’analyse chimique (voir le .pdf ci-dessous), l’équipe scientifique dirigée par les universités de York et Macquarie a découvert que la momie avait subi un processus d’embaumement avec une huile végétale, une résine de conifère chauffée, un extrait de plante aromatique et un mélange gomme / sucre végétal. utilisé pour imprégner les textiles funéraires dans lesquels le corps était enveloppé. (YH : notons que ce processus très ancien serait intéressant à comparer avec celui possiblement employé pour les mystérieuses momies de Nazca découvertes par des huaqueros (pilleurs de tombes) péruviens fin 2015 et révélées fin 2016, et qui ont été datées pour certaines de plusieurs millénaires...).
Le tissu en lin imprégné de produits d'embaumement. crédit: Dr Stephen Buckley, University of York