Antarctique : la fonte des glaciers s'accélère et serait irréversible
Deux nouvelles études publiées lundi 12 mai 2014 assurent que la fonte des grands glaciers de l'Ouest de l'Antartique est devenue irréversible. Les deux affirment en outre que la fonte de ces glaciers s'accélère sous l'effet des changements climatiques actuels.
La première étude, qui s'est appuyée sur une compilation de 40 années d'observations et analyses, a conclu que " Le recul des plus grands glaciers de l'Antarctique de l'ouest a atteint un point de non-retour ". Eric Rignot, l'un des auteurs de la publication, estime que l'actuelle fonte des six plus grands glaciers de cette région, Haynes, Kohler, Pine Island, Pope, Smith, Thwaites accompagne déjà de façon importante la montée des océans. Chaque année, cette région relâche pratiquement autant de glace dans l'océan antarctique que toute la banquise du Groenland. Ces glaciers sont en train de reculer plus vite que ne le prévoyaient la plupart des scientifiques et il n'est pas impossible qu'ils déstabilisent l'environnement de plaques de glace de cette partie de l'Antarctique. Les conséquences seraient potentiellement une montée de trois mètres et plus sur le total des océans au cours de la fonte des décennies à venir.
Le spécialiste pense qu'il est nécessaire de mettre à jour, et à la hausse, les diverses projections du Groupe des Experts sur l'Evolution du Climat (le GIEC). D'après ces projections actuelles, les océans devraient s'élever de 90 centimètres d'ici la fin de ce siècle sans mesures supplémentaires pour réduire les émissions de gaz à effets de serre. Rien que ces projections révèlent que des dizaines de millions de personnes vivant dans des régions côtières vont être affectés. Il faut bien dire que les données qui s'ajoutent au fur et à mesure des analyses ne sont guère optimistes non plus. "Ces glaciers seront un contributeur majeur à la montée des océans au cours des décennies et des siècles à venir, a insisté le scientifique. En fondant, les glaciers s'allongent et leur épaisseur diminue, ce qui réduit leur masse et les séparent de plus en plus du socle rocheux, les faisant ainsi glisser plus vite. L'effondrement des masses de glace de cette partie de l'Antarctique paraît ainsi être irréversible", conclut Eric Rignot. "Le fait que ce recul des glaciers se produit simultanément sur une vaste zone laisse penser que ce phénomène a résulté d'une seule cause : un réchauffement de l'eau de l'océan dans laquelle flotte une partie de ces masses de glace", souligne-t-il.
Le plus grand glacier pourrait disparaître
Thwaites Glacier from the air. Thwaites Glacier is so low and wide it is hard to get a good picture, but here you can see the fractured area on still-grounded ice where the fast flow is focused. You can also see the tracks from this region being carried out across the floating tongue. The grounding line is marked by the change to brighter white (more broken) ice just below the words “Fastest flow”. The eastern ice shelf is hidden by the wing of the plane, but the broken front of the floating tongue is in approximately the position of the submarine ridge of Tinto & Bell, 2011.
La deuxième étude, parue dans la revue Science, s'est focalisée sur le glacier Thwaites, le plus massif de l'Antarctique occidental, large de 120 kilomètres. Les chercheurs ont montré que la désintégration de ce glacier avait déjà commencé, et qu'il risquait de disparaître d'ici quelques siècles, le scénario le plus probable se situant entre 200 et 500 ans. D'après les chercheurs, cette disparition ferait monter le niveau des océans de près de 60 centimètres.
"Les simulations dans notre modèle informatique semblent indiquer une accélération dans le futur, sans aucun mécanisme de stabilisation en vue", explique Ian Joughin, un glaciologue de l'université de Washington, l'un des auteurs de cette publication. "Toutes nos simulations montrent que la fonte du glacier fera monter le niveau de l'océan de moins d'un millimètre par an pendant 200 ans, avant de commencer à se désintégrer et à disparaître", ajoute-t-il. A certains endroits, le glacier de Thwaites perd déjà plusieurs mètres d'altitude par an.
Image of the tongue of Thwiates Glacier prior to the most recent ice ice section break off. Image from New Hampshire University MODIS Data Viewer tool.
Et Sommaire en texte : News de l'Insolite - Le pouvoir des médiums, Un texte de Daniel Castille - Courrier des lecteurs - Truman Bethurum, "Le capitaine de la soucoupe était une femme"...Un texte de Ludovic Bonin - OVNI : Les preuves d’un COVER-UP, Une enquête exclusive de Pierre Fleming - Maître Philippe, Le thaumaturge de Lyon, Un texte de Pascal Cazottes - Sur la route avec... Dominique Moret, Une interview de La rédaction - La révélation des pyramides, Par l’informateur du film "La Révélation des Pyramides" - Planificateurs invisibles. Voyageurs du temps et réplication de l’ADN, Un texte de La rédaction - Le code subliminal des Illuminati 666 et 21/12, Un texte de Xavier Daniel - News des publications - Revue de presse...
Nous rappelons que le magazine TOP SECRET est ouvert à tous les chercheurs et ne prétend pas imposer sa vérité. La rédaction invite simplement ses lecteurs à se poser les questions qu’elle se pose, sans chercher à les conduire vers un postulat qu’elle aurait arrêté à l’avance.
TOP SECRET, édité par Eden Edition, organe de presse réellement indépendant, se veut un instantané de la recherche dans le domaine des énigmes et des mystères en tous genres, et donc un incitateur aux questionnements.
Dépêchez-vous de découvrir ce numéro pendant qu’il est encore facile de le trouver.
Si votre commerçant habituel ne connaît pas encore le magazine, vous pouvez lui demander de le commander aux NMPP avec la référence suivante : M 01857. Il devrait alors le recevoir au bout de 48 heures. Pour en savoir plus, voyez « Nos amis libraires ».
Recherches et Théories SFH sur les Anomalies de la Mer Baltique - MAJ 01-06-2014 en bas
Si vous entendez de la musique à l'ouverture de cette page, il s'agit du diaporama automatique vers le bas de la page : vous pouvez y désactiver le son s'il vous gêne...
Pour comprendre les objectifs de cette page, il faut d'abord se référer à ce qui se rapporte à ce que nous appelons "les anomalies de la Mer Baltique", objets découverts au début de l'été 2011 et faisant l'objet d'une investigation par une équipe professionnelle de plongeurs, spécialisée dans la recherche d'épaves sous-marines et de leur contenu. L'équipe en question sait que ce qu'elle a découvert à cet endroit est unique, mais n'a pu encore, malgré plusieurs plongées, déterminer avec précision son origine et sa composition. Comme chacun ne le sait pas, la Baltique est une mer "sombre", et les analyses prouvent qu'elle est envahie de plus en plus, depuis le milieu des années 1920, par des micro-algues "gris-vert" et que la profondeur des anomalies (environ 90 mètres) rend les opérations difficiles, par manque de clarté et surtout un tapis de vase en suspension constante au fond... vous trouverez un long résumé des aventures de l'équipe d'Océan X dans ces pages, il vaut mieux les lire et regarder les photos, certaines vidéos, pour savoir de quoi on parle ici donc, en comprenant qu'il s'agit juste d'aider à notre façon l'équipe, de participer avec nos moyens (surtout des idées d'ailleurs !) et de faire partager nos intérêts aux lecteurs :
Pour compléter ces liens, voilà un fichier dans lequel se trouvent les faits, uniquement les faits, mis à jour suivant les déclarations des membres de l'expéditions. : anomaliesbaltique-faits.docx
Comme vous pouvez le constater dans ces premières pages, plusieurs théories ont été émises, dont d'ailleurs la dernière (la plus logique d'après une partie des échantillons examinés) a remporté le suffrage des médias (rassurés ?) disant qu'il ne s'agirait que de " dépôts glaciaires " - traduisez des dépôts de roches diverses amenés là par le dernier âge de glace. C'est évidemment l'une des premières théories émises, mais l'apparence des anomalies, ainsi que des précisions concernant des "pistes" ou "sillons" reliant les deux principales anomalies à une troisième permettent de douter et toujours (jusqu'à preuve du contraire) de cette simple hypothèse de "dépôt glaciaire". De plus, la visualisation honnête des images ramenées par le Robot permet également d'avoir de forts doutes sur une formation naturelle : angles à 90°, plans parfaitement droits à certains endroits, certains objets apparemment ensevelis en-dessous...de gros doutes donc, et nous allons tenter de participer à l'étude des images, scans ramenés par l'équipe. C'est d'ailleurs ce qu'ont demandé les deux chefs de l'équipe d'Océan X, Peter Lindberg et Dennis Asberg...
La thèse du crash, provenant de questions de Dennis Asberg sur ces sillons, qu'ils ont vu physiquement en bas et aussi visibles sur les scanners, m'a intéressé et j'ai donc diffusé les images portant sur ce questionnements, et des débuts de tentatives de réponses par d'autres internautes (Robert Bucks et Marc-Philippe Evrard principalement, que je remercie et encourage au passage). Ensuite, MaxitsMax en commentaires et en messagerie sur ce blog, intéressé également par le sujet et la thèse du crash, a étudié de son côté cette dernière d'après le scan montrant le plus la "piste" de la 1ère anomalie (celle à gauche du scan général, voir ci-dessous), et a repéré ce qui ressemble en effet à un site de crash et de possibles débris issus de ce dernier. Une image en est sortie (ainsi qu'une vidéo d'ailleurs sur YouTube mise par un inconnu) et d'autres comparaisons (de sites de crashs) sont prévues par rapport à l'anomalie. Pour commencer, je vais donc remettre ici tout d'abord les images des scans qui serviront (ou pas!) à nos recherches, copies des originaux transmis officiellement par Dennis Asberg et Peter Lindberg dans les groupes internet à cet effet. La plupart des images peuvent être agrandies en cliquant dessus. :
J'ai retrouvé quelques scans officiels postés par Dennis Asberg ou Peter Lindberg dans différents groupes facebook. Je ne connaîs pas la position de l'avant-dernier, où il n'apparaît aucune anomalie mais un cratère peut-être. Pour le tout dernier, il s'agit peut-être de l'anomalie 3 située à 1000m de la 1ère. Voici le commentaire de Dennis Asberg sur ce scan : " Here is something very interesting too ... but is most likely stone. look left down after IR. Is about 1000 meters from the round circle ". Un dernier scan, et en fait le tout premier, a été retrouvé et posté tout récemment. "According to Cai Magnusson this is the first picture of the object via side scan sonar. Thanks to Cai for letting me "borrow" this from his private album."
Et quelques améliorations déjà effectuées pouvant éventuellement servir aux recherches, avec beaucoup de participations de Evrard Marc-Philippe, Robert Buck, Robert Bauman, Hauke Vagt, Jean-François Delory, Philippe Guegan... entre autres :
Un magnifique tout nouveau dessin de l'anomalie 1 d'après les descriptions des plongeurs, avec la "piste" et la séparation apparente de l'objet et du socle. Les premiers dessins de Hauke Vagt ont beaucoup servis officiellement à Océan X, et ont été repris dans plusieurs journeaux.
La théorie des épanchements de magma : cette théorie avec ce shéma est parue dans une partie des médias, et en a convaincu certains :
Le 1er document de MaxitsMax sur la recherche d'un crash et de ses traces et débris :
Une autre recherche de MaxisMax sur la comparaison de différents crashs connus avec l'anomalie 1 :
Mes propres idées et recherches (Yves Herbo), avec pour commencer la reconstitution du terrain de l'anomalie 1 avec un peu plus de détails : les deux scans originaux ont servis et aucune modifications n'y ont été apportés, juste un découpage des parties à droites des scans montrant (en duplication) quelques détails supplémentaires du site, leur inversion pour les remettre dans leur bon sens et leurs ajustements par de simples transparisations :
+ -
= + + + = peut être amélioré encore.
D'autres photos ont été postées par Dennis Asberg. Il s'agit des images prises par le petit robot sous-marin utilisé de prêt sur l'anomalie 1. D'une partie des images seulement évidement. Elles font également l'objet d'études bien sûr, ressemblant encore plus à un puzzle étant donné la taille de l'objet. 4 photos en encore été postées récemment, dont celle d'une véritable épave pour comparaison :
Et voici les travaux publiés sur ces scans jusqu'à présent, qui consistent principalement en des améliorations (enlèvement des lignes de visées) ou des tentatives d'assemblages pour reconstituer l'objet, beaucoup de participations de Robert Buck, mais aussi de ceux précédemment cités. Ces travaux sont en principe identifiés dans leurs titres :
MAJ 17-10-12 : Cette très belle animation 3D vient d'être ajoutée aux travaux en cours par Ante Johansson, on se demande si ce n'est pas en rapport avec le documentaire prévu :
MAJ 20-10-2012 : Ce weekend, quelques chanceux proches des lieux ont pu assister à une conférence organisée à bord d'un bateau croisière. Le genre de bateau croisière que tout touriste peut empreinter pour faire le tour de la Baltique dans de bonnes conditions. J'attends la fin du weekend pour savoir si des nouvelles importantes sont apparues, mais nous avons déjà eu un schéma fait par Peter Lindberg précisant mieux certaines choses, notamment sur le relief général du fond à cet endroit, qui pourrait ressembler à un ancien lit de rivière avec ses rives suivant le dessin tout en bas, l'anomalie 1 se situant donc le long d'une ancienne rive et semblant donc avoir été projeté violemment, soit du lit de la rivière vers la rive, soit juste le long de la rive (en position presque verticale ou penchée dans le sens de la pente de la rive) pour échouer là où il est et en ayant repoussé ses propres matières devant lui, créant sa pente et son pilier. La position de la pente ascendante en direction du Nord contredit la possibilité d'un dépôt glaciaire : la glace n'est jamais arrivée par le sud mais par le nord, et quand celle-ci reflue, elle ne fait pas de "dégâts" comme à son arrivée : elle fond sur place et crée des ruisseaux et rivières d'eaux douces... Probablement pas un objet poussé par la glace donc dans cette direction, mais il y a possibilité d'un lien avec cette éventuelle ancienne rivière antique : j'ai (entre autres) imaginé qu'il pourrait bien s'agir d'un navire néandertalien, étant donné la période estimée (140.000 ans) pour l'instant, ou mieux encore, d'un espèce de bateau-traineau, capable de supporter des passages dans des régions semi-gelées, marécageuses et semi-inondées. Les preuves concernant les capacités des néandertaliens à la pèche se sont accumulées ces dernières années, y compris les découvertes de glyphes de navires, de pièges, de nasses et d'outils trop vieux pour être de l'homme moderne sur des îles inatteignables par la nage... on suppose qu'ils possédaient probablement des canoës et empreintaient les rivières et longeaient les continents, s'aventuraient probablement parfois plus loin. Mais rien n'empêche d'admettre qu'ils n'aient pas pu évoluer jusqu'à créer quelques vrais navires capables de résister aux conditions climatiques : ces navires seraient en toute logiques composés de bois mais aussi d'un ciment ou plutôt de l'hydrocarbure du type asphalte, trouvable naturellement... peut-être même de flotteurs amovibles pour la plus haute mer...
Une autre hypothèse, en considérant qu'il y a plusieurs anomalies, serait un antique village neandertalien (ou autre Atlantes ?) construit sur les rives d'une rivière ou du lac et qui aurait été détruit, à 90% enterré par les dépôts glaciaires et alluvions, seuls quelques sommets de constructions seraient visibles. :
Philippe Guégan a émis une hypothèse intéressante concernant un objet qui aurait été pris dans de l'ambre, ce qui lui aurait permis de rester intact très longtemps (des millions d'années) avant de remonter. Cet objet pourrait être un fossile ou les traces d'un être vivant il y a très longtemps dans ce cas (j'ai lu la mention d'un mollusque géant entre autres...). Voilà le schéma accompagnant l'hypothèse de Philippe, il va probablement le modifier pour être plus en correspondance avec les positions et pentes mentionnées dans le schéma de Peter Lindberg :
Quelques scans originaux ont été ajoutés en haut. Un groupe de recherche francophone s'est créé sur Facebook avec l'agrément et la participation de l'équipe Océan X, qui nous suit grâce à des relais suédois qui traduisent (comme ils peuvent) notre français. Si (et seulement si) vous êtes réellement motivé pour partager vos idées et participer positivement aux recherches, sans aucun à-priori ni d'idées préconçues ou héritées, vous pouvez demander à rejoindre ce groupe Facebook, qui est comme un forum spécial pour ces Anomalies de la Baltique, et plus facile d'utilisation : http://www.facebook.com/groups/FrancOceanXteam/
MAJ 27-10-2012 : Voici toute une analyse du chercheur Eric Geinaert, un spécialiste de l'ambre en France et reconnu au niveau international, qui me l'a transmis sur ce site pour avis. Il s'agit de sa dernière mise à jour et nous ferons ici le suivi sur cette théorie très intéressante et plausible de l'ambre. Je faits personnellement abstraction des remarques ou conclusions de Mr Geinaert en ce qui concerne le suivi de l'affaire globalement pour ne garder que ses aspects scientifiques plus rigoureux sans " parti pris " ou " oeillères " de l'establishment scientifique. J'ai donné mon avis en commentaire dans la page de suivi actuelle de l'équipe Océan X : Des nouvelles de la Mer Baltique Suite 2. - MAJ de Mr Geinaert : anomalie-en-mer-baltique2.pdf
MAJ 30-10-2012 : Marc-Philippe Evrard tente d'assembler le puzzle des scans du ROV et voilà son premier montage, qui s'assemble pas mal il est vrai :
Je ne sais pas pour vous, mais son assemblage m'a inspiré la possibilité qu'il s'agissait bien d'une épave, ou d'un morceau d'épave, ou encore d'une habitation cloisonnée. Mais l'impression de cloisons, corridors ou de coque est bien présente. Voici ce que j'en ai tiré rapidement pour vous faire comprendre, mais l'assemblage n'est probablement pas bon à 100%, à comparer avec l'assemblage ci-dessus donc. :
MAJ 02-11-2012 : Etude de la ligne de scan complète d'après la vidéo de la conférence par Yves Herbo. Les 10 premières photos représentent la totalité de la ligne scannée menant aux anomalies 1 et 2, en passant pas la 3. La 11ème montre un objet curieux ressemblant à un monolithe debout ou penché (suivant la perspective). Il est difficile (avec ces images dupliquées d'une vidéo surtout !) de pouvoir repérer des traces d'un crash, d'une rivière ou d'un rabotage du fond par des tonnes de glaces disparues, mais ces images confirment plusieurs structures intéressantes réparties le long d'un ancien rivage éventuellement :
MAJ 20-11-2012 : Une image postée par Irmelin Rönne montrant une nouvelle fois un détail des scans 3D tente de démontrer une possible construction artificielle à cet endroit :
Yves Herbo : Mes recherches sur une appréciation du "paysage" entourant les anomalies : de Simple assemblage et ajustage (qui peut être grandement amélioré avec du temps) de neuf photos représentant la ligne de scanner totale, orientée avec le nord en haut d'abord, puis le nord à gauche - comme si on voyait la ligne en arrivant de l'ouest donc. Cette vue d'ensemble (même assez peu nette étant donné la pauvre qualité des photos) permet je pense de bien mieux apréhender le " paysage " qui entoure les anomalies. Comme ça, sans réfléchir, de première vue et en partant de la gauche et de l'anomalie secondaire (ANO2), j'ai l'impression de voir deux bateaux ou morceaux de bateaux qui se suivent (A et B). Ensuite on arrive à l'anomalie principale (ANO1), et je constate qu'il y a encore apparemment des débris après le "pilier", tombés au fond en direction du nord (Flèche). A partir de là et en regardant l'ensemble, il semble évident que nous avons affaire à une succession de petites falaises qui descendent via des "plages" ou anciennes berges : la ligne de scan est pile sur la dernière "plage" avant le fond. On remarque bien que la falaise s'est totalement effondrée, sur 300 à 400 mètres au moins, qu'il y a une sorte de trou, cratère ou impact et qu'une traînée assez plane mène jusqu'à l'objet (flèches) : l'impression que c'est cet objet qui a fait s'effondré toute la falaise est réelle... continuons vers la droite et nous assistons à la "montée" de cette première falaise vers le haut (si vous regardez bien, il y en a d'autres plus haut un peu plus loin), c'est à dire une descente pour nous, qui nous mène jusqu'à une espèce de grande dépression (impacts ?). Il y a beaucoup de débris le long de la première falaise, et si vous regardez en haut, il y a également une deuxième ligne de falaises qui proviennent d'une colline plus haute : il y a un espace entre les deux falaises assez étroit, comme un cañon et la montée de cette colline semble assez déchiquetée. Un espace vide, puis nous arrivons à la "montagne", et nous pouvons distinguer plusieurs "plages" plates et des falaises, et même une succession de rochers (avec un monolithe?) faisant penser également à des terrasses d'érosions (mais ce type d'érosion se passe plutôt à l'air libre à priori). Bon, ce n'est qu'une première impression, demain je tâcherai de vous indiquer sur l'image les "choses " que j'y voie avec des signes, mais en attendant vous pouvez toujours me dire aussi ce que vous voyez vous ! (grosse image évidemment que vous pouvez zoomer) - il n'y a aucun trucage ou effet spécial sur ces images (les 3 premières du haut pourront être remplacées par les scans de meilleures qualités fournis, mais j'ai préféré garder la vue de la vidéo à ce niveau) :
Voilà les mêmes photos avec les légendes, attention, ce ne sont que des premières idées (cliquer sur les images pour agrandir) :
traductor auto GB (sorry) : " My research on an appreciation of the “landscape” surrounding the anomalies: of Simple assembly and fitting (which can be largely improved with time) of nine photographs representing the total line of scanner, directed with north at the top of access, then north on the left - as if one thus saw the line while arriving of the west. This overall picture (even rather not very clear being given the poor quality of the photographs) allows I think of good of better apprehending the” landscape “which surrounds the anomalies. Like that, without reflecting, of first sight (ANO 2) and on the basis of the left, I have the feeling to see two boats or pieces of boats which are followed (A and B). Then one arrives at the principal anomaly (ANO 1), and I note that there are still apparently remains after the “pillar”, fallen at the bottom in the direction of north (Arrow). From there and by looking at the unit, it seems obvious that we deal with a succession of small cliffs which go down via “beaches” or old banks: the line of scan is pile on the last “beach” before the bottom. One notices well that the cliff completely crumbled, on 300 to at least 400 meters (arrow), that there are a kind of hole, crater or impact and that a rather plane trail carries out to the object (arrows) : the impression that it is this object which made broken down all cliff is real… continue towards the line and we attend the “rise” of this first cliff to the top (if you look at well, there are others of them higher a little further), i.e. a descent for us, which carries out us until a species of great depression. There are much remains along first cliff, and if you look in top, there is also a cliff second-row forward which comes from a higher hill: there is a space between two cliffs rather narrow, like a canyon and the rise of this hill seems rather jagged. An empty space, then we arrive at the “mountain”, and we can distinguish several “beaches” punts and from cliffs, and even a succession of rocks (with a monolith?) making also think of terraces of erosions (but this kind of erosion occurs rather to the free air a priori). Good, it is only one first impression, tomorrow I will try to indicate to you on the image the “things” that I see there with signs, but while waiting you can always also tell me what you see! (large image obviously that you can zoom in) - there are no special effects or special effect on these images (the 3 first top could be replaced by the scans of better qualities provided, but I preferred to keep the sight of the video on this level).
MAJ 27-11-2012 : L'avant dernière photo"BlueView" postée par Dennis Asberg le 05-10-2012 (visible vers le milieu dans cette page) m'a attirée l'oeil curieusement ce soir (mais un rappel sur la page officielle m'y a incité) et, après une assez longue étude (utiliser votre zoom à 200% pour mieux voir !), je suis maintenant convaincu que cette photo, qui est décrite comme étant prise au milieu des 60 mètres de diamètre de l'anomalie 1 par Dennis Asberg montre bel et bien des objets artificiels à demi-écrasé. Je pense même que cela ressemble fortement à des tuyères, ou tout au moins à un système y ressemblant. Voilà l'image originale et mon tracé (assez rapide) pour reconstituer le relief : les parties lumineuses et jaunes sont décrites comme les plus hautes et dépassent donc l'ensemble. L'impression de tuyères est évidente, tordues à gauche, écrasées par le bas au milieu ou arrachée à moitié (à droite). De plus, il y a aussi l'impression de plusieurs rivets ou trous laissés par de gros rivets, ainsi que de gros câbles éventuellement qui pendent (à droite surtout)... il y a aussi des structures étranges au milieu (comme un siège ou un volant de porte blindée ? à gauche et des trous carrés et structures étranges à droite (fèche) et en dessous... Bon, j'ai pensé que mon imagination me jouait des tours, mais il y a trop de symétries ici pour que ce soit naturel... une impression de grande tôle ondulée est possible aussi d'ailleurs... :
Une légende intéressante rattachée à la Mer Baltique, qui complète un peu plus certaines de mes impressions sur l'endroit et, pourquoi pas, nos anomalies, qui sont situées effectivement au Nord-Ouest dans l'antique pays de Misiko, c'est-à-dire vers l'endroit où a été située il y a très longtemps la légendaire cité de Vineta, disparue dans la Mer Baltique... :
" Certes, la date précitée était de nature à susciter la méfiance, la submersion de l’Atlantide se situant au XIIIe siècle avant Jésus-Christ d’après Jürgen Spanuth (L’Atlantide retrouvée ? Plon, 1954) tout comme L’invasion de la Méditerranée par les Peuples de l’Océan (ouvrage de Jean-Jacques Prado, L’Harmattan, 1992) qui en fut la conséquence. Mais, il semblait improbable que nos plats pays à fleur de mer n’eussent subi que cette seule catastrophe, d’autant qu’Ottema situait à cette époque une transgression cimbrienne. "
" Vineta ou Wineta (parfois considérée comme ne faisant qu'une avec Jomsborg) est une ville légendaire qui se serait située sur la côte de la mer Baltique. On a cherché à la localiser à Wolin en Pologne ou à Zinnowitz sur l'île d'Usedom en Allemagne, puis près de Barth dans le Mecklembourg-Poméranie-Occidentale.
La première mention écrite de la cité remonte aux alentours de 970 et est due au voyageur arabe Ibrahim ibn Ya'qub, émissaire du Calife de Cordoue : il parle d'un grand port « à douze portes » dans le nord-ouest du pays de Misiko (Pologne), dont les armées seraient supérieures à celles de « tous les peuples du Nord ».
Au XIe et au XIIe siècle, des marchands parlent de la cité comme de l'une des plus puissantes de la Mer Baltique. L'évêque Adam de Brême écrit qu'elle est l'une des plus grandes villes d'Europe.
En 1159, une flotte danoise aurait détruit Vineta pendant la croisade de christianisation des Wendes.
Selon une légende, Vineta fut engloutie au cours d'une tempête en raison des péchés de ses habitants, ceci ayant été annoncé par des présages. Elle pourrait avoir disparu en fait en raison de la modification du cours des bras du delta de l'Oder.
Dans Europica Varietas (Kassa, 1620), le voyageur hongrois Márton Szepsi Csombor affirme que Vineta a été détruite par la foudre de Dieu, comme sa voisine Julinum, et engloutie par la mer. On pourrait voir ses bâtiments sous l'eau par temps clair.
Dans les années 1840, Timofeï Granovski considère que Vineta n'est qu'une légende médiévale. Il n'y a pas de preuve scientifique de son existence connue à ce jour. "
L'anomalie 2 examinée de près d'après le scan original par Marc-Philippe Evrard en 2012, avec des essais de pyramide ou bâtiment qui correspondent bien sûr aux thèses d'une civilisation mondiale et, de plus, de la possible Vineta, ou Altland... :
Voici la même image, basculée à 90° et zoomée sur la partie centrale. Ce positionnement permet de voir des structures parfaitement symétriques et répétitives à plusieurs endroits (regardez bien les plusieurs formes de demi-roues visibles rien que sur cette capture, mais aussi à d'autres endroits de l'Anomalie, mais aussi les ouvertures ou ombres de formes rectangulaires et les espacements architecturaux visibles (un architecte pourrait peut-être nous donner un avis ?)... rien qu'une interprétation possible de ma part (Yves Herbo) (la forme du gros vase visible au premier plan est étonnante aussi) mais l'échelle et dimensions correspondent bien à de possibles bâtisses ou tombeaux. Ci-dessous, Eric Chapuzot a tiré une première peinture de mes esquisses sur l'image capturée, et en a tiré une esquisse numérique intéressante :
Les travaux récents de Peter Lof et de Christophe Guégan :
La localisation de l'espèce "meringue" sur l'anomalie par Peter Lof
Des images retravaillées par Christophe Guégan d'après les multibeam de 2012. Et le rappel d'une image vidéo reconstituée d'après les témoignages des plongeurs sur la montagne coupée en deux ci-dessous :
Des industriels de l'Hémisphère nord rejettent des CFC encore plus dangereux qu'avant...
Une équipe de chercheurs britanniques de l’université d’East Anglia (Norwich) vient d'annoncer dans un article de Nature Geoscience, qu’elle avait détecté l’apparition récente et en quantités potentiellement alarmantes de trois nouveaux CFC et d'un nouveau HCFC dans l’atmosphère. Les analyses montrent que les quatre produits chimiques découverts dans l'atmosphère pour la première fois, CFC-112, CFC-112a, CFC-113a et HCFC-133a, sont émis dans l'hémisphère nord, mais pas précisément où et par qui. Il pourrait s’agir de conséquences de la production d’insecticides ou de solvants pour le nettoyage des composants électroniques. (l'Asie, principal fabriquant de composants électronique mondial, pourrait donc être l'un des principal émetteur de ces nouveaux gaz interdits).
74.000 tonnes de CFC et HCFC interdits
Les scientifiques se révèlent particulièrement inquiets avec les émissions de CFC-113a qui, bien qu’encore relativement peu importantes, ont doublé entre 2010 et 2012. Au total, CFC et HCFC inclus, c’est plus de 74.000 tonnes de gaz pourtant interdits par le protocole de Montréal qui se retrouvent dans l’atmosphère. C’est en analysant des échantillons d’air collectés entre 1978 et 2012 en Tasmanie, ainsi que ceux présents dans des neiges en provenance du Groenland que leur existence a été prouvée.
Johannes Laube, l’un des chimistes coauteurs de cette découverte, pense qu’il s’agit malheureusement de la pointe émergée d’un iceberg : « Nous n'avons pas encore quantifié les volumes, mais nous avons trouvé des dizaines d'autres gaz destructeurs d'ozone non détectés auparavant. » Et le chercheur ajoute : « Qui plus est, les trois CFC sont détruits très lentement dans l'atmosphère. Même si les émissions cessaient immédiatement, ils seront encore là pendant de nombreuses décennies à venir. »
Il fallait s'en douter de toute façon : dans une civilisation esclave de son outil argent qui ne peut plus rien envisager ou créer sans son système trompeur, la catastrophe est irrémédiable et probablement de plus en plus irréversible... l'homme va devoir apprendre à faire les choses urgentes et impératives sans blocages dus à l'argent ou va devoir arrêter la fabrication des produits les plus Hi-Techs (qui nécessitent donc des traitements très pollueurs !) en attendant de trouver une chimie non destructrice d'ozone... chose qu'il serait assez étonnant de voir arriver dans le monde assez décadent et toujours soumis à son passé religieux que nous connaissons toujours...
Réchauffement : la montée des océans largement sous-estimée ?
Le réchauffement climatique suivrait actuellement les tendances prévues par le Giec, mais pas la hausse du niveau des mers. Des populations pourraient se retrouver les pieds dans l’eau avant l’heure !
Depuis 1988, un groupe intergouvernemental d'experts, le Giec, se charge de récolter des informations scientifiques sur l’évolution passée et future de notre climat. Régulièrement, leurs données sont compilées puis présentées par le biais de rapports. Quatre éditions ont déjà été publiées (1990, 1995, 2001 et 2007), et une cinquième devrait voir le jour en 2014.
Ces documents se veulent prospectifs puisqu’ils fournissent des résultats de projections. Ainsi, selon les 3e et 4e éditions (respectivement nommées TAR et AR4), la Terre serait amenée à se réchauffer d’environ 0,2 °C par décennie d’ici 2027, sur la base de plusieurs scénarios d’émissions de gaz à effet de serre. Simultanément, la montée du niveau des mers devrait se poursuivre à la vitesse de 2 mm par an, d’après des projections dites « centrales ». Mais qu’en est-il réellement ?
Avec le recul, il est maintenant possible de confronter ces résultats avec des données concrètes. C’est en substance ce qu’ont fait des chercheurs duPotsdam Institute for Climate Impact Research (Allemagne), du Tempo Analytics (États-Unis) et du Laboratoire d'études en géophysique et océanographie spatiales (France). Globalement, le réchauffement climatique suivrait relativement bien la tendance définie dans le passé. En revanche, le niveau des océans s’élèverait 60 % plus vite que prévu !
Cinq jeux de données de températures terrestres et océaniques mesurées entre 1990 et 2011 ont été utilisés pour suivre l’évolution passée du réchauffement climatique. Lors des calculs, les valeurs moyennes ont été transformées en vue de supprimer l’influence des éruptions volcaniques (événements associés à la libération d’aérosols), des variations du rayonnement solaire et de la survenue d’épisodes El Niño. Ces trois facteurs peuvent en effet modifier le climat à court terme. Ainsi, la Terre se réchaufferait actuellement de 0,16 °C par décennie, une valeur en accord avec plusieurs projections du Giec.
Les marégraphes ne permettant pas d’étudier la hausse du niveau des mers avec précision, les chercheurs se sont appuyés sur des données satellite pour parvenir à leurs fins. Les océans se seraient ainsi élevés de 3,2 mm par an ces 5 dernières années, soit bien plus que les 2 mm par an initialement prévus. Les projections sur le long terme publiées par le Giec pourraient donc se révéler biaisées vers le bas. Ce groupe d’experts a néanmoins précisé dans son dernier rapport que les valeurs fournies ne tenaient pas compte d’une « évolution dynamique rapide de l’écoulement glaciaire », c'est-à-dire d’une importante fonte des calottes glaciaires et des glaciers.
L’étude a été publiée dans la revue Environmental Research Letters (ERL). Selon Stefan Rahmstorf, ces résultats « montrent une fois encore que le Giec est loin d’être alarmiste et que, en réalité, il a sous-estimé les risques possibles du réchauffement climatique dans certains cas ». Quoi qu'il en soit, les chiffres sont préoccupants pour de nombreuses populations côtières. De grandes surfaces habitées pourraient en effet se retrouver sous l’eau plus tôt que prévu, les océans risquant de monter d’ici 2100 au-delà des 17 à 60 cm initialement avancés.
Yves Herbo : Bon, encore une alerte de plus mais étant donné le peu d'écoute de la part des principaux pollueurs et le manque d'unité planétaire pour réussir à sauvegarder sa propre civilisation, c'est un peu comme jouer du triangle au milieu d'un groupe de heavy métal...
SFH 11-2012
Questions / Réponses
Aucune question. Soyez le premier à poser une question.