Un événement extrêmement rare s'est produit le 11 mai 2013 dans le Minnesota, sur le lac des Mille Lacs. Les riverains de deux lacs ont été témoins horrifiés de deux tsunamis de glace, qui ont subitement déferlé sur les côtes, endommageant un bon nombre de maisons. Heureusement, aucune victime n'a été à déplorer mais vous pouvez constater le paysage spectaculaire laissé par les glaces dans cette vidéo ci-dessous, un document exceptionnel filmé par l'une des résidentes sinistrées, Darla Johnson :
Il s'agit de tsunamis de glace qui mesurait, suivant les blocs, de 1 mètre à 9 mètres de hauteur et ont pénétré jusqu'à 25 mètres à l'intérieur des terres sur 4 kilomètres de côtes ! On peut dire que la glace a littéralement pulverisé toutes les maisons comprises dans cette longue bande côtière. Le phénomène est tellement rare qu'il n'avait pas été observé depuis les années 1950 dans ces mêmes lacs.
« Vous êtes conscient que votre maison est bâtie avec du ciment, des blocs de béton et de l'acier, mais la glace passe à travers, sans difficulté, c’est un peu comme un cure-dent, commentait Dennis Stykalo, un Minnesotain qui a perdu sa maison. Cela montre juste la puissance de la glace. Il n'y a rien que vous puissiez faire, vous vous écartez de son chemin et la regardez avancer. »
Un phénomène identique s’est produit quelques jours plus tôt au Canada, aux abords du lac Dauphin. Environ 30 maisons ont été touchées, les vents avoisinaient les 90 km/h et les murs de glace ont presque atteint les dix mètres. Les deux événements sont très probablement liés : l’intervalle de temps entre les occurrences correspond au temps qu’a mis la configuration atmosphérique à traverser la frontière. Le caractère exceptionnel de ce type de catastrophe est tout simplement dû à la rareté d’un tel système atmosphérique, mais qui risque de devenir moins rare dans l'hémisphère nord...
Explication : Il ne s'agit en fait pas de véritables tsunamis, qui sont des ondes océaniques ou lacustres provoquées par un déplacement rapide d'un grand volume d'eau, mais bel et bien d'un phénomène météorologique extrême rare. En effet, ce jour-là, tout l'est Canadien et nord-est des Etats-Unis est sous un fort système dépressionnaire de type classiquement cyclonique et, au niveau de Chicago et du Minnesota résistait une cellule anticyclonique, ce qui a provoqué naturellement une incursion du front polaire. Avec des vents glacés variant entre 60 et 80 km/h, la température de l'air est tombée en dessous de zéro. Les lacs étaient gelés et la force des vents froids a commencé a déplacer la glace vers les côtes. Par contre, le sol n'était pas gelé du tout et, à son contact, les blocs de glace ont fondu à leur base et c'est cette eau de fonte qui a accéléré la glace vers les côtes. Elle a servi de lubrifiant en réduisant le frottement entre la glace et le sol et a favorisé, accéléré le glissement. En observant de plus près l'approche de la glace, on s’aperçoit que ce ne sont pas réellement les blocs qui se propagent, mais bien des aiguilles de glace (cela se voit et s’entend très bien sur la vidéo d'ailleurs). Ce sont en fait des cristaux qui se développent lorsque la température du sol est positive, alors que celle de l’air est négative.
Sources : ABC, YouTube, LeFigaro, France Info, Futura-Sciences
Au passage, puisqu'on parle de glace et de phénomènes extrêmes, un petit rappel utile sur l'action de la fonte de la glace sur le volcanisme :
Augmentation de la menace des séismes et du volcanisme et mini âge glaciaire ?
De nombreux sites ont relayé une alerte mondiale sur une augmentation de la menace des tremblements de terre et du volcanisme, en particulier aux USA. Plusieurs sources en ont rajouté ou ont mal traduit comme très souvent. Tout d'abord, ce n'est pas une alerte "officielle" et "gouvernementale" comme l'ont affirmé certains, et la NASA, ainsi que le gouvernement fédéral des USA nie toute implication dans ces déclarations et lettres. Tout ceci émane d'un organisme privé et à buts lucratifs, dirigé effectivement par un ancien conseillé scientifique à la Maison Blanche, Monsieur Casey.
Le Space and Science Research Corporation (SSRC) (ne pas confondre avec le SRC, créateur du projet américano-canadien HARP (1967) de Gerald Bull (assassiné par le Mossad à priori dans les années 1990), est le premier organisme de recherche aux États-Unis sur le sujet des changements climatiques liés à une ère de refroidissement global de longue durée (une nouvelle ère glaciaire serait à l'ordre du jour selon ces prévisionnistes). Outre la recherche, son objectif est d’alerter les gouvernements, les médias et les populations sur la nécessité de se préparer à cette nouvelle ère climatique. N'ayant aucun lien avec la NASA, il faut le répéter, le SSRC s'appuie plutôt sur certaines de ces données, dont celles de 2011 pour argumenter sur ses propres résultats, qui viennent de mener à l'envoi d'une lettre officielle d'alerte à la FEMA ( Federal Emergency Management Agency ).
Le SSRC croit, ainsi que d’autres scientifiques et géologues, qu’il existe une forte probabilité que les éruptions volcaniques et les tremblements de terre seront plus nombreux en fréquence et en intensité au cours de cette prochaine ère. Tous ces événements catastrophiques seraient le résultat d’un cycle « d »hibernation solaire », soit une réduction spectaculaire de la production d’énergie du Soleil.
En date du 8 juin dernier, le SSRC a émis un communiqué de presse sur son site intitulé « La menace de tremblements de terre et de volcans augmente pour les États-Unis« .
Le 5 juin 2015, une lettre a été envoyée à Craig Fugate, administrateur de la Federal Emergency Management Agency (FEMA), par le PDG du SSRC. Dans cet écrit, on peut lire que:
– la probabilité de séismes et d’éruptions volcaniques dans les régions sismiques et volcaniques a augmenté de manière significative;
– nous croyons que les États-Unis et tous les pays du monde sont maintenant entrés dans la période la plus dangereuse pour des tremblements de terre catastrophiques et des éruptions volcaniques depuis les derniers deux cents ans;
– une nouvelle tendance vers l’augmentation du nombre et de l’intensité des tremblements de terre et des volcans à l’échelle mondiale a déjà commencé et génère de graves préoccupations dans le domaine de la géologie;
– l’élévation du niveau de menace que nous lançons est intimement liée à une réduction dramatique en cours de la production d’énergie du Soleil (hibernation solaire);
– ces périodes sont universellement reconnues au sein de la communauté de la physique solaire. Notre précédente recherche indiquant le début de la prochaine hibernation solaire est maintenant confirmée par la NASA.
NASA Data Confirms Solar Hibernation and Climate Change to Cold Era (2011).
– par conséquent, nous croyons que les zones sismiques et volcaniques à haut risque aux États-Unis, surtout en Californie, en Caroline du Sud et en particulier la zone sismique de New Madrid, peuvent éprouver de grands tremblements de terre ou éruptions volcaniques à tout moment entre maintenant et jusqu’en 2030.
– dans le cas de la faille de New Madrid, nous montrons que dans chacune des quatre dernières périodes d’hibernation solaire, un tremblement de terre catastrophique a frappé la région. Maintenant qu’une nouvelle hibernation solaire a commencé, nous en appelons à prendre des précautions maximales étant donné la forte probabilité que d’autres tremblements de terre dévastateurs frappent à nouveau la zone sismique de New Madrid.
– la fenêtre pour un prochain grand tremblement de terre sur la faille de New Madrid est comprise entre 2017 et 2038.
John L. Casey, PDG du SSRC, termine sa lettre en disant:
" Il est compréhensible que cette lettre puisse être difficile à accepter étant donné l’ampleur du problème et des obstacles que vous rencontrerez d’un point de vue politique et scientifique pour en arriver à prendre une action décisive comme nous vous exhortons à le faire. Toutefois, avant de rejeter ce message, je demande instamment que vous examiniez soigneusement nos recherches, nos conclusions et nos recommandations pour la préparation de ce nous croyons être une période géophysique destructive jamais inégalée. "
La lettre a été signée par le président SSRC, M. John Casey, et livrée au siège de la FEMA à Washington, DC. Dans la lettre, M. Casey explique comment la réduction dramatique en cours de la production d'énergie du Soleil ne va pas seulement plonger le monde dans une période froide pour des décennies (certains parlent de 200 ans), mais en même temps, apporter une série de dévastations géophysiques avec de monstrueux tremblements de terre et des éruptions volcaniques. Ces périodes de climat froid appelées «hibernations solaires» ou «minimums solaires," sont bien connues des spécialistes de la communauté de la physique solaire (elles sont aussi appelées "mini âge glaciaire"). Le SSRC a fait un travail de pionnier dans le domaine de la modélisation du climat conventionnel et solaire et est lui-même établi comme un chef de file dans la prévision du climat et de l'étude de ces hibernations du Soleil.
Citant la nouvelle recherche inclue dans le Rapport semi-annuel du climat mondial de la SSRC (GCSR) à paraître le mercredi 10 juin 2015, la lettre à Craig Fugate de la FEMA contenait un avertissement important pour toutes les grandes zones de failles de tremblements de terre et les zones volcaniques actives. La recherche se concentre en particulier sur la menace accrue pour la zone sismique de New Madrid (NMSZ) entre Saint-Louis et Memphis.
Cette nouvelle information sur cette menace est contenue dans l'un des plusieurs articles de l'édition de Juin 10 du document GCSR rédigé par M. Casey et le Dr Dong Choi, directeur de la recherche pour le tremblement de terre et le Centre international de Volcan de prévision (IEVPC). Le document montre que le NMSZ est sous la menace d'un autre tremblement de terre catastrophique entre 2017 et 2038. Les Dr Choi et Casey montrent que quatre fois de suite depuis l'année 1450, un séisme majeur a frappé le NMSZ lorsque le Soleil est entré dans une phase d'hibernation. Cette révélation scientifique est ce que Choi et Casey estiment avoir résolu le mystère sur quand le prochain séisme majeur frappera la région. Les géologues ont étudié la NMSZ depuis de nombreuses années en utilisant des approches traditionnelles. Casey et Choi disent que c'est la recherche combinée dans les domaines de la physique solaire et la géologie qui offre la meilleure opportunité à ce jour d'estimer quand le prochain tremblement de terre dévastateur sur NMSZ va frapper. D'autres scientifiques sont d'accord avec leur opinion.
Ici des données sur Yellowstone, qui est aussi dans un certain état d'alerte à cause de remontées magmatiques déformant la région en ce moment.
Une gigantesque poche de magma de 25 kilomètres de hauteur a été découverte.
Lien vers l'article de 20 Minutes:fr/sciences/1594427-20150424-gigantesque-reservoir-magma-decouvert-sous-super-volcan-yellowstone Tous les lieux à risques séismiques et volcaniques aux USA...
Pour cette raison singulière, les Dr Choi et M. Casey ont fortement recommandé à l'administrateur de la FEMA, Fugate, que toutes les zones et les zones de faille sismique à haut risque, ayant des antécédents d'éruptions volcaniques dans les États-Unis, prennent des précautions immédiates pour atténuer ce qu'ils décrivent comme une «période inégalée de létalité géophysique et de destruction ".
M. Casey ajoute: " La très forte corrélation entre ces minimums solaires et l'incidence des tremblements de terre catastrophiques dans le monde entier est une impressionnante démonstration de la façon dont nous sommes tous interconnectés à notre monde naturel et les cycles du Soleil. Il serait imprudent d'ignorer, en particulier, l'histoire des grands tremblements de terre dans le NMSZ et le fait que, lors de chaque hibernation solaire depuis les 600 dernières années, cette région a connu des tremblements de terre dévastateurs allant de M6.8 à M8.0. "
" Alors que nous abordons le risque New Madrid dans ce communiqué de presse et dans le Rapport de situation du Climat Global du 10 Juin 2015, la coïncidence de grands tremblements de terre avec des minimums solaires n'est pas limitée à cette région des États-Unis. Voilà pourquoi notre lettre à l'administrateur Fugate avait une alerte à l'échelle nationale. Le séisme Cascadia d'environ M9.0 et le tsunami de 1700 était au milieu de la plus froide période d'hibernation solaire qui a été appelée le minimum de Maunder.Le Grand Tremblement de terre de San Francisco de 1906 était au milieu d'un autre point bas solaire - le minimum «Centennial» comme on l'appelle à la SSRC. Cette association forte de l'activité solaire et des pires tremblements de terre et éruptions volcaniques pourrait représenter le «chaînon manquant» pour la prévision des catastrophes géophysiques ".
Dr Choi (Australie) soutient aussi l'opinion de Casey en disant, " La recherche approfondie effectuée dans ce domaine est claire dans ses implications. Lorsque les minimums solaires arrivent, les pires séismes sont enregistrés et les éruptions volcaniques en hausse. Le dernier minimum solaire par exemple, a donné la plus grande série de tremblements de terre dans l'histoire humaine dans le NMSZ et la plus grande éruption volcanique enregistrée au mont Tambora en Indonésie. Ces événements se sont produits à quelques années l'un de l'autre au cours de la période la plus froide dans la dernière hibernation du Soleil dans le début des années 1800 ".
Pour aller plus loin, vous verrez ci-dessous que Mr Casey dénonce depuis 2007 le retard du GIEC sur la réalité scientifique (mais aussi les politiques et leur volonté de tirer de l'argent grâce à des taxes "écologistes" non justifiées... destinées à protéger les nantis comme ces hommes politiques, des banquiers et des mafieux, et avoir des fonds pour les mettre à l'abri (mais pas la population qui paie les taxes bien sûr !)... Voici une vidéo très récente (novembre 2014), dans laquelle il fait le point et dénonce la réalité (selon ses travaux et ceux de son organisme, selon certaines données choisies et les ordinateurs...). Que peut-on constater objectivement ? Qu'il semble faire tout de même toujours + chaud qu'avant (la neige n'est pas tellement revenue en masse et pour des deux durées de 2-3 mois comme auparavant dans les régions du nord de l'Europe par exemple), qu'il y a effectivement des dérèglements climatiques anormaux (tornades et trombes, orages et tempêtes, moussons supérieurs aux normes et ailleurs que la normale), que le pôle nord semble toujours fondre, alors qu'au contraire, une (mince) couche de banquise glaciaire semble s'étendre au pôle sud. Nous avons aussi la confirmation d'une hausse du nombre des gros séismes, une activité volcanique intense et une activité solaire "décalée" : le cycle de 11 ans du Soleil a eu un décalage, même s'il semble que plusieurs éruptions solaires se sont bien produites et qu'une inversion solaire magnétique ait eu lieu cette année... Autrement dit, c'est très difficile de faire la part des choses question "visuel", car tant un réchauffement qu'un refroidissement mènent de toute façon à des catastrophes en nombre pour l'être humain et son environnement ! Voilà la vidéo en question, en VO malheureusement (les médias français sont dépassés et "aux ordres" de leurs dirigeants milliardaires (et "protégeables" !) sur ce sujet...) :
Mais quand on va et recherche encore plus, on tombe sur un journaliste qui lui, enquête sur Mr Casey depuis des années et... qui n'est pas très entendu ni suivi ! Il affirme en effet avoir des preuves que Mr Casey est surtout... un affabulateur et éventuellement un vendeur de rêve, voir un escroc (mais il n'y a aucune preuve de "détournement de subventions ou de paiement non dû non plus à priori !). En tout cas, d'après lui, ce fameux "Centre de recherches" n'existe pas car l'adresse indiquée et la photo du site ne montre qu'un immeuble qui loue des adresses à des compagnies et des particuliers (pour 49 $ par mois, une "entreprise" y a ses "locaux !") et son enquête sur sa "carrière" à la NASA ou à la Maison Blanche dirait plutôt qu'il n'a jamais été rien de cela du tout ! tout ceci en vidéo... alors, où se situe la vérité ? Entre un homme qui fait des conférences (filmées) et montre des articles, des traces écrites, et en tire (à priori mais sans preuves) des bénéfices... et un homme qui tente de démontrer que ce que dit le premier est faux... pour en tirer la vérité et dénoncer les mensonges (ou aussi faire des bénéfices ?)... ? Nous sommes apparemment encore entre les deux, dans un monde basé sur "celui qui dira le plus de mensonges gagne ... ! ". Quel monde, c'est presque à souhaiter qu'il disparaisse, finalement... l'argent corrompt trop l'esprit humain et c'est de pire en pire... :
Ci-dessus, à la recherche du "SSRC" à Orlando...
Mais tout ceci fait tout de même les affaires de certains, et les politiques ne sont pas les derniers à en tirer profit, car les bunkers et souterrains existent bien et sont bien créés en attendant ! :
Une des nombreuses curiosités archéologiques mondiales se trouve dans la cour de la mosquée du Ktub Minar, à Delhi, capitale de l'Inde. Il s'agit d'une unique colonne de fer de plus de 7 mètres de haut, datée du 4ème siècle après J.C.. Dans un état de conservation exceptionnel malgré son exposition aux éléments naturels, ce pilier est d'un noir bleuté et est aussi lisse que de l'acier.
Ce pilier pèse plus de 6 tonnes et a été érigé par le Râja Kumaragupta de la dynastie des Gupta pendant son règne de 415 à 455 après J.C et à l'origine, tout en haut se trouvait un symbole de Vishnou, qui a été retiré lors de l'islamisation du site. Ce n'est pas le seul pilier métallique découvert en Inde, mais c'est le seul à avoir été exposé aux mêmes conditions climatiques et à y avoir complètement résisté malgré ses 1600 ans. Les seules traces des ans visibles consistent en une fine poussière de rouille quasiment imperceptible qui la recouvre entièrement.
Bien sûr, c'est au niveau de la métallurgie que le mystère est le plus visible en ce qui concerne ce pilier. Encore récemment, plusieurs spécialistes ont soutenu qu'aucune découverte archéologique ne prouvait l'existence de fonderie antique assez puissante pour pouvoir en sortir une pièce métallique de cette taille avant le 19ème siècle. Le problème a été détourné en imaginant (mais sans preuve formelle car il faudrait détériorer le pilier) que le pilier n'avait pas été forgé d'un seul tenant, mais en plusieurs morceaux de fer forgé martelé à chaud et assemblés grâce à la soudure par gorgeage. Notons que cette méthode très efficace (vu les résultats) n'est plus utilisée de nos jours (on préfère l'obsolescence programmée de nos jours plutôt que les choses durent et soient vraiment "rentables" pour le possesseur, provisoire ou non...).
Ce type de fabrication aurait créé, d'après certains métallurgistes, une couche de protection, composée d'oxyde et de scories, formée sur l'ensemble de la surface du métal en liaison avec la forte chaleur associée au martèlement. Mais pour d'autres, cette solidité et résistance serait essentiellement dûe à sa composition, différente du fer moderne. Le métal contiendrait davantage de phosphores et moins de manganèse par exemple. D'autres pensaient que le déplacement du pilier dans une atmosphère relativement sèche et exempte de pollution comme celle de la capitale indienne aurait suffit à protéger le pilier de la rouille.
En effet, le pilier n'a pas été érigé à Delhi à l'origine. D'après le professeur Balasubramaniam, le pilier se trouvait probablement à Udaygiri ou Vishnupadagri dans le Madhya Pradesh, en Inde centrale, avant de rejoindre son emplacement actuel. Les historiens indiens pensent que, conformément à l'inscription en pāḷi qu'il porte, il était surmonté par un symbole de Vishnou, un chakra probablement, qui fut retiré par les envahisseurs musulmans. Le pilier aurait été ensuite installé à Delhi par Ânand Pâl, le fondateur de la dynastie râjpute des Tomara en 1052.
C'est l'archéologue britannique Alexander Cunningham, qui fait analyser en premier le pilier dans les années 1870 par des métallurgistes qui démontrent que le fer est pur à 99.72%, une qualité obtenue uniquement (jusqu'alors) en Occident au 19ème siècle, mais qui semble donc courante dès le 4ième siècle en Inde donc ! Ce qui n'explique pas non plus d'ailleurs son apparente anti-corrosion.
Il faudra attendre 2002 et les nouvelles analyses de l'Institut indien de Technologie de Kanpur et R. Balasubramaniam pour avoir l'explication, qui révèle tout de même des techniques et connaissances métallurgiques des peuples anciens insoupçonnées... et supérieures aux nôtres dans certains domaines !
Les spécialistes ont découvert qu'une très fine couche d'un composé de fer, d'oxygène et d'hydrogène (δ-FeOOH), appelé "misawite" dans la publication anglaise, protégeait très efficacement le pilier de la rouille. D'après eux, cette couche a pris forme dans les trois années qui suivirent l'érection du pilier et a gagné très lentement en épaisseur pour atteindre de nos jours celle d'un vingtième de millimètre. Dans Current Science, la conclusion est que ce film protecteur s'est formé de façon catalytique grâce à la haute teneur de phosphore dans le fer, jusqu'à 1% au lieu des 0.5% trouvable dans le fer moderne. Et que cela pourrait être volontaire dans la mesure où cela ne peut être que le résultat du travail des artisans indiens de cette période qui pouvaient fabriquer de l'acier en une seule étape en mélangeant le minerai de fer avec du charbon de bois, préservant ainsi une partie du phosphore, qui n'est pas totalement évacué avec les scories impures. Les haut-fourneaux modernes utilisent du coke à la place du charbon de bois, et de la pierre à chaux pour évacuer les impuretés, dont le phosphore, vers les scories...
Affirmant que le pilier est « un témoignage vivant de la compétence des métallurgistes de l'Inde antique », Balasubramaniam ajoute que le travail de son équipe sur la formation du film protecteur qui protège le pilier pourrait conduire à améliorer la résistance à la corrosion à long terme des conteneurs destinés au stockage des déchets nucléaires.
pilier d'ashoka de vaishali
On trouve un pilier comparable à Dhâr dans le Madhya Pradesh, ainsi qu'un autre beaucoup moins connu dans le temple de Mookambika à Kollur, dans la zone forestière des Kodachadri Hills, situé dans les Ghâts occidentaux au Karnataka. On peut leur rapprocher aussi les tirants métalliques que les ingénieurs indiens avaient prévus pour assurer la cohérence de l'édifice lorsqu'ils construisirent au milieu du XIIIe siècle l'énorme temple de Sûrya à Konarak, un bâtiment à la limite de leur capacité technique et qui n'est pas parvenu parfaitement conservé jusqu'à nous. Dans le dernier cas, ces objets métalliques subissent des contraintes météorologiques plus importantes que le pilier de Delhi, car ils sont exposés en permanence à l'air marin du golfe du Bengale, sur les bords duquel est construit le temple.
Chapiteau de Sarnath, dernier vestige du pilier qui n'existe plus
Les météorologistes sont de plus en plus circonspects sur la situation climatique actuelle. " La persistance de cette situation devient vraiment peu commune. C’est un peu comme si nous étions revenus avant 1988 (avant la phase d’accélération du réchauffement climatique). Reste à savoir s’il s’agit simplement d’un cycle passager ou si nous changeons réellement d‘époque. Tout le monde se pose la question et personne n’a la réponse. Sachez toutefois que si l’Europe Occidentale connaît un temps très frais et très humide, ceci est loin d‘être le cas dans l’Est et le Sud-est du continent. " - " A Paris, la journée d’hier (24-05-2013) a été la plus froide pour une dernière décade du mois de mai depuis l’ouverture de la station météo de Montsouris en 1872, mais également et probablement depuis le début des mesures de températures à Paris à la fin du 17e siècle ! (La température moyenne était de 7,2°C contre 8,6°C le 28 mai 1961) " (Guillaume Séchet, Météorologiste et présentateur météo).
Tornade en Mozelle le 23-05-2013
Lorraine, Saint-Avold - 23-05-2013
Je pense personnellement qu'il est urgent pour l'Europe de l'Ouest, ses dirigeants et scientifiques, de se pencher sérieusement sur toutes les données convergeantes, les diverses possibilités de leurs origines et toutes leurs conséquences logiques pour le continent. La météo et l'étude seule du climat et de ses actions sur la planète ne suffisent manifestement pas à une analyse réaliste de la situation. Les dernières découvertes et données nous prouvent de plus fortes interactions du Soleil et de son magnétisme que prévues, des rayons cosmiques particuliers agissant sur l'atmosphère et ses nuages, une oscillation actuelle de la Terre bien plus au sud que la norme, des détournements sporadiques du Golfe Stream, un volcanisme devenant exacerbé par endroits et un nombre de séismes puissants plus élevé que toutes les normes enregistrées jusqu'à présent (des séismes ayant déplacé d'énormes masses continentales (le Japon vers l'Est et l'abîme, le Chili, Haiti, l'Indonésie et Philippines notamment...) de plusieurs mètres réels. On peut se poser finalement la question de savoir si ces forts déplacements de masses ne causent pas en fait à force un subit réajustement de rotation, d'inclinaison de la planète, et par de ce fait enclanche une réaction en chaîne de multiples réajustements de masses par des déplacements rapides de continents et créations de nouvelles fosses/montagnes, mais aussi bien sûr de fortes modifications climatiques dûes aux réajustements de latitude (ce qui expliquerait la congélation subite des mammouths sibériens constatées par exemple). On nous rassure en disant que les continents et sols se déplacent sur des millions d'années, mais l'étude de plusieurs surfaces sous-marines semblent au contraire démontrer que certaines masses continentales se seraient déplacées extrêmement vite, et plutôt en quelques siècles que millions d'années...
Mini tornade Orgeval-Yvelines-19-05-2013
La probabilité de réajustements de masse de la planète n'est pas la seule explication logique bien sûr mais l'une des convergeances évidentes quant au problème d'habiter sur une planète ayant une forte activité tectonique (réajustements de masses en permanence à cause du magma liquide interne et du noyau solide aussi) ajouté à celui de la modification climatique (non naturelle puisque industrielle) dû à l'être humain et sa propre activité. Il est moins douteux maintenant que de tels réajustements pourraient avoir suffit à provoquer plusieurs extinctions massives du monde vivant, sans pour autant faire intervenir les astéroïdes ou comètes (qui sont un risque supplémentaire). Et il est aussi probable que les grands événements du passé tels que la rupture de la Pangée, les modifications énormes d'atmosphère et de climat constatés dans la préhistoire soient les conséquences d'une accumulation aux mêmes périodes de phénomènes naturels, de cycles, habituellement plus dispercés et étalés dans le temps. Notre convergeance actuelle de phénomènes naturels (système solaire dans un nuage de particules plus denses depuis quelques années et pour plusieurs années, position du soleil (changement d'ère astrologique), cycle volcanique important et ajout de la pollution industrielle humaine. Tout ceci enclanchant les fontes de glaciers/banquises constatées, qui à leur tour entretiennent et accélèrent même le déplacement des masses rocheuses...
Mini tornade Orgeval-Yvelines-19-05-2013
Ces modifications pourraient donc modifier considérablement et durablement les conditions météo locales, mais aussi y provoquer, le temps des réajustements physiques des masses d'air (l'anticyclone des açores par exemple ne remonte plus du tout autant qu'avant, la depression polaire elle descend plus bas et est plus large qu'avant, etc...) des extrêmes sur toutes ces latitudes fortement affectées (cyclones/tempêtes/tornades/pluies diluviennes/neige/froid/sécheresses/canicules) et perdant en partie leurs saisons et climats tempérés...
L'instabilité était très marquée jeudi après-midi 24-05-2013 sur le Nord-Est de la France. Outre la neige à basse altitude (notre article), une tornade a été observée dans le ciel de Moselle près de Saint-Avold, plus précisément sur la commune de Macheren
Maintenant, même si notre planète tourne un peu comme une toupie en train de ralentir (et c'est le cas !), il est assez probable qu'un réajustement dans "l'autre sens", un rééquilibrage vers l'axe moyen de la planète existant depuis des milliers d'années, se fasse à un moment ou l'autre, à moins que la fonte des glaces ne déséquilibre définitivement la rotation actuelle de la Terre dans une position de plus en plus "toupie", de plus en plus penchée vers le Soleil au Nord. J'ai lu hier qu'un scientifique incistait fortement sur la nécessité de tenter de sauver la banquise arctique (à des fins de sauvegarde de la vie aussi) et je pense qu'il a entièrement raison, mais que c'est difficile à faire ! En effet, la fonte de la banquise arctique provoque plusieurs phénomènes actuellement, et simultanément : remontées fortes de méthane au niveau de la sibérie et fonte des sols, échappements de gaz et bactéries préhistoriques en Sibérie, Canada, Chine, d'asphaltes au Canada, modifications des côtes sous-marines, remontées de terres englouties ou affaissements d'autres, etc... Il est clair que la fonte du poids énorme des glaces sur les terres ont de multiples conséquences qui peuvent se décaler dans le temps mais qui sont irréversibles quand elles se produisent. Une accélération du mouvement ascendant des socles Scandinaves et Canadiens semble inéluctable devant la fonte de l'Arctique : des iles et côtes englouties réapparaissent d'un côté alors que d'autres s'enfoncent sous terre ou eau ailleurs. L'activité séismique et volcanique de toutes ces régions augmente logiquement également. Les courants marins ET atmosphériques sont modifiés d'après de nombreuses analyses publiées.
Vosges-23-05-2013
Que peut faire l'être humain devant ces convergeances, ces accumulations de signes ? D'abord informer et s'informer, c'est toujours utile de ne pas être surpris au cas où, et de pouvoir expliquer/rassurer ceux qui "tombent des nues". Ensuite, ceux qui sont censés être payés pour anticiper les problèmes économiques (assurances par ex.) dans leur propre intérêt, devraient proposer des mesures de sauvegardes beaucoup plus élevées de certaines régions selon leur densité d'habitation humaine : normes sismiques à revoir, zones inondables remontant à plusieurs milliers d'années, plans d'évacuation de masse, entraînement et préparation de la population aux extrêmes, création de digues, arrêt des centrales à énergie mal situées, développement et constitution d'équipe de secours de quartiers, distributions d'instructions et de kits de survie, surveillance accrue du sous-sol (mines/failles, inondations souterraines, nappes,...),... etc...
L'Humanité ne peut pas faire grand chose contre les phénomènes extrêmes mais son intelligence lui permet d'anticiper et de "voir venir" par l'étude et la reflexion. L'argent n'a pas et de doit pas intervenir dans ce processus sous peine de le retarder. Et il est question de reflexe ici pour l'humanité, de constat et de réaction à avoir, pas de megotage financier ou de notion de bénéfice... et l'Europe semble bien être l'un des continents à devoir réagir parmis les premiers... climatiquement parlant...
Et Sommaire en texte : News de l'Insolite - Le pouvoir des médiums, Un texte de Daniel Castille - Courrier des lecteurs - Truman Bethurum, "Le capitaine de la soucoupe était une femme"...Un texte de Ludovic Bonin - OVNI : Les preuves d’un COVER-UP, Une enquête exclusive de Pierre Fleming - Maître Philippe, Le thaumaturge de Lyon, Un texte de Pascal Cazottes - Sur la route avec... Dominique Moret, Une interview de La rédaction - La révélation des pyramides, Par l’informateur du film "La Révélation des Pyramides" - Planificateurs invisibles. Voyageurs du temps et réplication de l’ADN, Un texte de La rédaction - Le code subliminal des Illuminati 666 et 21/12, Un texte de Xavier Daniel - News des publications - Revue de presse...
Nous rappelons que le magazine TOP SECRET est ouvert à tous les chercheurs et ne prétend pas imposer sa vérité. La rédaction invite simplement ses lecteurs à se poser les questions qu’elle se pose, sans chercher à les conduire vers un postulat qu’elle aurait arrêté à l’avance.
TOP SECRET, édité par Eden Edition, organe de presse réellement indépendant, se veut un instantané de la recherche dans le domaine des énigmes et des mystères en tous genres, et donc un incitateur aux questionnements.
Dépêchez-vous de découvrir ce numéro pendant qu’il est encore facile de le trouver.
Si votre commerçant habituel ne connaît pas encore le magazine, vous pouvez lui demander de le commander aux NMPP avec la référence suivante : M 01857. Il devrait alors le recevoir au bout de 48 heures. Pour en savoir plus, voyez « Nos amis libraires ».
Augmentation inquiétante des cancers de la peau chez les trentenaires
Trou d'ozone de l'arctique-début 2011
Selon une étude qui vient d’être publiée, le nombre de cancers de la peau augmente de façon alarmante chez les moins de 40 ans aux Etats-Unis. Qu’en est-il de la situation en France ? C’est l’objet de cet article et interview santé de Brigitte-Fanny Cohen.
Les chercheurs américains ont fait l’analyse d’une période très précise : de 1970 à 2009. Et ils ont constaté que, pendant ces quatre décennies, les cancers de la peau avaient été multipliés par huit chez les femmes de moins de 40 ans. Par quatre chez les hommes du même âge.
La surprise, ce n’est pas de voir le nombre de cancers de la peau augmenter : on le sait déjà. La vraie surprise, c’est d’apprendre que ces cancers augmentent de façon très inquiétante chez les jeunes qui ont une vingtaine ou une trentaine d’années.
Pour en parler, le Dr Caroline Robert, chef du service de dermatologie, à l’Institut Gustave Roussy à Villejuif.
Premier centre de lutte contre le cancer en Europe, l'Institut de cancérologie Gustave Roussy (IGR) réunit sur le même site 2 700 professionnels dont les missions sont de soigner les personnes atteintes de cancer, de mettre au point des thérapies nouvelles et de diffuser les connaissances dans les communautés médicales et scientifiques, françaises et internationales.
Effectivement, cela fait des années que les dermatologues et spécialistes des ondes crient que les cabines à bronzage par ultraviolet étaient dangereuses... en fait, les conséquences à longs termes pour l'individu et la société (en terme de coûts de soins de santé par la suite) sont probablement supérieures à celles engendrées par des substances interdites. Cette étude est un peu trop limitée aux populations de l'hémisphère Nord également : si on regarde ce qu'il se passe dans les pays d'Amérique Latine par exemple, plus habituées au soleil et en principe une population un peu moins à risque, le même phénomène se produit, et est même en forte augmentation également : autant les scientifiques de l'hémisphère nord privilégient les mauvaises habitudes d'utilisation du soleil et des techniques de bronzage pour expliquer cette augmentation régulière (et pourtant les chiffres semblent prouver que les recettes de ces cabines à UV soient en chute libre depuis plusieurs années, remplacées de plus en plus par des produits à base de poudre auto-bronzante, réputée moins nocive jusqu'à présent), alors que ceux de l'hémisphère Sud privilégient... la diminution de la couche d'ozone, qui est prouvée aussi bien dans l'hémisphère Sud que le Nord... la réponse est probablement une conjonction des phénomènes, qui s'additionnent : une technique mal utilisée et nocive pour l'Homme accompagnée d'une incitation commerciale de cette technique pendant des années, accompagnée d'une augmentation naturelle des ondes nocives... le fait que l'on ait découvert assez tardivement (?) que les ondes ultraviolettes A, considérées comme les moins nocives, sont celles qui pénètrent en fait le plus profondément dans le derme (même en ne provoquant pas obligatoirement de "coups de soleil" n'est pas non plus très rassurant quant à la fiabilité de certaines études passées sur beaucoup de produits actuels...
Petit rappel : Un deuxième trou géant dans la couche d’ozone :
Un trou s’est ouvert dans la couche d’ozone au-dessus de l’Arctique début 2011, égalant pour la première fois celui observé dans l’Antarctique. L’ozone, une molécule composée de trois atomes d’oxygène, se forme dans la stratosphère où elle filtre les ultra-violets qui endommagent la végétation et peuvent provoquer des cancers de la peau ou la cataracte.
Le trou dans la couche d’ozone est habituellement beaucoup plus important en Antarctique qu’en Arctique car il y fait beaucoup plus froid. Les relevés effectués jusqu’alors au Pôle Nord indiquent que la diminution d’ozone est très variable et bien plus limitée que dans l’hémisphère sud.
Des observations satellitaires menées entre l’hiver 2010 et le printemps 2011 ont pourtant montré que la couche d’ozone avait été soumise à rude épreuve à une altitude comprise entre 15 et 23 km. La perte la plus importante – plus de 80 % – a été enregistrée entre 18 et 20 km d’altitude.
Un trou en arctique
« Pour la première fois, la diminution a été suffisante pour qu’on puisse raisonnablement parler de trou dans la couche d’ozone en Arctique », estime l’étude publiée dimanche dans la revue scientifique britannique Nature.
Le responsable est un phénomène connu sous le nom de « vortex polaire », un cyclone massif qui se forme chaque hiver dans la stratosphère arctique et qui l’an dernier est né dans un froid extrême, a expliqué à l’AFPGloria Manney, du Jet Propulsion Laboratory, en Californie (Etats-Unis).
« La destruction de l’ozone a commencé en janvier, puis s’est accélérée à tel point que les concentrations d’ozone dans la région du vortex polaire étaient bien inférieures à celles de l’an dernier », dit-elle. Des valeurs particulièrement basses ont été observées« durant 27 jours en mars et au début du mois d’avril, sur une surface d’environ deux millions de km2, soit à peu près cinq fois l’Allemagne ou la Californie », précise la scientifique.
Un chiffre équivalent à la destruction de l’ozone en Antarctique au milieu des années 80.
Courant avril, le vortex s’est déplacé au-dessus de régions plus densément peuplées de Russie, de Mongolie et d’Europe de l’Est durant une quinzaine de jours. Des mesures effectuées au sol ont montré « des valeurs inhabituellement élevées » d’ultra-violets avant que le vortex ne se dissipe, selon Mme Manney.
(afp)
Yves Herbo 04-2012
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