Les mauvaises interprétations des médias suite au rapport Wise-NASA - MAJ
A la suite d'un rapport posté par Kevin Luhman, qui n'est pas de la NASA du tout mais membre " of the Center for Exoplanets and Habitable Worlds at Penn State University, University Park, Pa.", plusieurs médias se sont empressés de reprendre cette information et données très partielles comme étant définitives... bien que le même Kevin Luhman ait lui-même préféré appuyer sur le " probablement " (donc pas sûr) de son annonce... "The outer solar system probably does not contain a large gas giant planet, or a small, companion star" dans un article paru dans le Astrophysical Journal.
Nous allons voir que cette annonce est assez prématurée de plusieurs façons.
- Comme l'ont toujours dit les responsables du programme WISE, les millions de données et images a analyser entièrement pourraient prendre de nombreuses années, avec des premiers résultats sous 3 ans. Les premières données des deux balayages de la voûte céleste par WISE (pour comparaison) ont été disponibles pour l'ensemble de la communauté des astronomes seulement en mars 2012, après les deux années de balayages en 2009 et 2011, et les premières analyses de la NASA. En tout il a été collecté plus de 2.7 millions d'images et jusqu'à 15TB de données astronomiques pendant ces 2 ans de mission. Afin de rendre les données plus faciles à utiliser, la NASA a condensé ces 2.7 millions d'images pour arriver à un total de 18.000 qui couvrent le ciel. La mission WISE, qui cartographiait l'ensemble du ciel, a découvert un certain nombre d'objets jamais vus auparavant dans le ciel, y compris une toute nouvelle classe d'étoiles et la première astéroïde de type "Trojan" qui partage la trajectoire orbitale de la Terre. Encore mieux plus bas : " En plus des 18.000 images et un catalogue source de 563 millions d'objets, la NASA publie également un "tableau des rejets" contenant des éléments non inclus dans le catalogue source, y compris des millions d'images supplémentaires. " (mars 2012).
- Mais on voit même dans l'article consacré à celui de Kevin Luhman (lien plus haut), que l'on mentionne que les dernières données issues de WISE n'ont été transmises qu'en novembre 2013, soit il y a seulement 4 mois ! " In November 2013, NASA released data from the AllWISE program, which now enables astronomers to compare the two full-sky surveys to look for moving objects. ". Désolé, mais pour les analyses complètes des données par la NASA et astronomes renommés, il va falloir attendre encore 3 ans, sauf si toute la communauté s'y met... et (ce qui contredit l'insistance des médias sur le " pas de planète X ", car on n'en sait rien encore !) c'est d'ailleurs ce que demande la NASA ! (qui cherche donc toujours une explication pour cette anomalie dans le système solaire... car elle existe toujours, elle...(orbite de Sedna, trajectoires de comètes, etc) :
http://www.nasa.gov/jpl/wise/disk-detective-20140130/#.Uyj5iKh5MYGEt les médias (mais pas la NASA, même si elle ne dit rien, elle, à ce sujet) préfèrent aussi laisser de côté le fait que deux scientifiques reconnus (John Matese et Daniel Withmire) ont bien fait des calculs dès 1985 et que leur rapport de 1999 sur le sujet indique de premières preuves assez solides (appuyées après par John Murray, Patrick Whitman). En 2001, un nouveau rapport émet la même hypothèse avec une autre orbite anormale de comète ( Science News du 7 avril 2001.). En 2003, l'astronome Alessandro Morbidelli annonce qu'il est probable qu'un corps existe en orbite lointaine à cause de la rupture soudaine de la ceinture de Kuiper. Historiquement, les premiers modèles de la ceinture de Kuiper suggéraient que le nombre de grands objets augmenterait d'un facteur deux au-delà de 50 UA (1 Unité Astronomique = distance Terre-Soleil). La chute brutale du nombre d'objets après cette distance, connue sous le nom de « falaise de Kuiper », fut complètement inattendue et reste inexpliquée à ce jour. En 2003 encore, la découverte de Sedna ajoute du crédit à la théorie (planète X ou compagnon obscur-naine sombre) à cause de son orbite. En 2005, Eris est découverte et le planétoïde devient un moment la planète X (en fait, tout objet assez gros dans le système solaire et non répertorié est considéré comme une planète X par la NASA). En 2005 toujours, un rapport mentionne la possibilité d'un halo de planètes noires en orbite qui se situerait à entre 1 000 et 10 000 UA du Soleil. En 2008, Patryk Lykawka, de l'université de Kobe au Japon, et Tadashi Mukai proposent l'existence d'une super-Pluton à leur tour à l'aide de simulations numériques scientifiques. John Matese publie un nouveau rapport en 2010 sur ses recherches. En 2011, et en s'appuyant sur des données de WISE (et c'est ce qui ennui les responsables du programme, qui sont censés être les "découvreurs" officiels d'un tel objet s'il existe !), John Matese et Daniel Whitmire reviennent à la charge et prédisent à l'aide de calculs l'existence de ce corps en étudiant la trajectoire particulière qu'empruntent certaines comètes à leur entrée dans le système solaire à nouveau. L'orbite de la supposée planète baptisée Tyché, en l'honneur de la divinité grecque responsable de la prospérité des cités, se situerait à une distance de 15 000 ua soit 375 plus grande que celle de Pluton. L'équipe de WISE conteste les conclusions de ce rapport de toute façon, même sans avoir fini ses propres analyses. En 2012, l'astronome Rodney Gomez calcule qu'une planète de 4 fois la taille de la Terre pourrait très bien se trouver au-delà de Neptune sans qu'on la voit. En 2014, "Des systèmes stellairesqui se cachaient juste devant nos yeux dans le proche voisinage du système solaire ont littéralement jailli dans les données recueillies par WISE", s'est réjoui Ned Wright, un astronome de l'Université de Californie à Los Angeles qui a conduit cette première analyse des données de WISE :
Et que dire de ce site qui montre que Irise (un autre labo du spectre) aurait photographié un objet visible qu'en infrarouge non signalé par les spécialistes de WISE, avec ses coordonnées, vrai ou faux ? :
Pour résumer : les médias (confortés par la NASA qui semble obéir aux directives "tout public" d'Obama, mais qui peut se réserver l'honneur des grandes découvertes complémentaires : ne pas oublier que le rapport de Kevin Luhman parle de + de 3,525 nouveaux objets découverts à moins de 500 années-lumières du soleil et que seuls 762 de ces objets sont pour l'instant catalogués - " Some of these 3,525 objects also were found in the Luhman study, which catalogued 762 objects.", annoncent que la théorie planète X a eu le coup tordu par Wise avec empressement (un scoop comme un autre)... alors qu'il ne s'agit que de la "Luhman Study" du 7 mars 2014, qui demande vérifications et autres preuves par des pairs scientifiques, comme toute publication à priori... sans oublier la continuation des analyses...
Attention, je me moque personnellement qu'une planète X se promène ou non depuis des millions d'années et bouleverse ou pas notre système solaire, (en dehors d'une explication à d'autres données), mais il faudrait que les médias arrêtent un peu de prendre leurs lecteurs pour des idiots finis, et arrêtent de faire pire finalement que les sites qu'ils désignent comme "New Age" ou blagueurs en répandant des données tronquées, incomplètes ou prématurées, avec des titres trompeurs... La NASA nous a déjà de par ailleurs prouvé ses propres annonces prématurées et erronées avec la fausse disparition-réapparition de la comète Ison récemment... sans compter l'aveu par plusieurs astronautes et techniciens des plusieurs images tournées en studio pour le programme Apollo (la NASA a préféré dire qu'elle avait perdu le film de l'alunissage d'Apollo 11 par exemple !...). Ces images tournées en studio ne remettent même pas en question la réalité de ces alunissage pour ma part de toute façon....
MAJ 30-03-2014 : Cette nouvelle découverte d'une mini-planète dans les mêmes parages que Sedna et les articles connexes prouvent soit que les analyses de WISE ne sont pas terminées ni définitives, soit, comme le disent ces scientifiques, que WISE n'est pas encore assez performant pour détecter tous les corps (assez nombreux selon beaucoup de scientifiques) très froids et donc avec peu ou sans émissions photoniques (aucune réflexion de lumière ?) :
Le sujet a déjà fait l'objet de plusieurs articles sur ce site (voir les liens en bas), mais les grands médias et la science officielle (à cause d'articles pessimistes de la NASA sur ses propres travaux de recherches non fructueuses à l'aide de la sonde WISE) avaient préféré rejeter la possibilité de l'existence d'une neuvième planète, et une géante en plus, dans notre système solaire... (par exemple voir ici : http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/environnement-planete-terre/les-mauvaises-interpretations-des-medias-suite-au-rapport-wise-nasa.html).Mais il ne faut pas oublier que la science officielle et les très grands astronomes des années 1970 rejetaient également par exemple la possibilité qu'une petite planète comme Pluton puisse posséder un ou plusieurs satellites... et pourtant, l'Histoire a prouvé le contraire depuis, comme pour tant d'autres fausses affirmations scientifiques passées !
Cette fois, c'est le très sérieux The Astronomical Journal qui a publié un article scientifique de deux astronomes américains, Mike Brown (le découvreur de la mini-planète Eris) et Konstantin Batygin, du California Institute of Technology. Article repris par tous les grands médias et journaux de la planète (Le Monde, Le Parisien, Science et Vie, etc...), y compris les mêmes qui affirmaient encore il y a quelques mois que l'existence de cet astre était purement et simplement impossible, en s'appuyant sur une étude incomplète de la NASA (Wise) en 2013...
Même si le corps céleste n'a pu être encore aperçu via l'un des télescopes géants, les scientifiques sont quasiment certains de fournir des preuves de l'existence de la 9e planète du Système solaire et de leurs calculs d'ici cinq ans car selon eux, la probabilité d'une erreur est de 0.007%... Les astronomes envisagent de se rendre à cette fin à l'Observatoire japonais Subaru des îles Hawaï. Les calculs des astronomes sont basés sur l'étude des évolutions du champ gravitationnel d'autres astres qui présentent des anomalies répertoriées déjà par d'autres scientifiques, comme la mini planète Sedna par exemple.
Source : Science Magazine
Les calculs démontreraient qu'il s'agit d'un corps de la taille de Neptune à peu près, c'est-à-dire 10 fois plus massive que la Terre, et qu'elle posséderait une orbite elliptique très inclinée par rapport à celle de notre planète, et avec une période de révolution de 15.000 ans environ. C'est à dire qu'elle ferait le tour du Soleil et des huit autres planètes sur cette période très longue...
D'après Mike Brown, ce corps, baptisé "planet nine", serait né comme les autres planètes du système solaire il y a environ 4,5 milliards d'années et sa composition chimique serait probablement proche de celle de planètes gazeuses comme Uranus et Neptune. Cette nouvelle simulation informatique collerait vraiment très bien avec les orbites étranges et très elliptiques d'au moins 6 astres qui sont alignées dans la même direction. Ces configurations très improbables, 0,007 chance sur 100 selon les astronomes ayant publié l'étude, restaient mystérieuses jusqu’à ce que Mike Brown et Konstantin Batygin les expliquent parfaitement en ajoutant une grosse planète dans le système qui, tel un berger, ramènerait son troupeau dans la même direction régulièrement... Au plus près du Soleil, elle passerait à quelques centaines de fois la distance Terre-Soleil et au plus loin, plus d’un millier de fois cette distance (UA). Et mettrait de dix mille à vingt mille ans pour faire le tour du Soleil, alors que par exemple, Pluton met deux cent cinquante ans. La confiance des chercheurs est renforcée par le fait que leur modèle prévoit pour d’autres astres des orbites étranges, perpendiculaires au plan du système solaire, déjà observées.
Une nouvelle planète, dix fois plus grosse que la Terre, a t-elle été découverte par les astronomes américains ? Les orbites particulières de deux familles de transneptuniens, ici en magenta et en bleu, semblent le montrer. Si la nouvelle planète existe, elle tournerait sur l’orbite représentée en jaune. Document Brown/Batygin/Caltech (source Science et Vie).
Alors, peut-il s'agir de Nibiru, ou Nemesis ou Hercolubus, le nom d'une planète mythique donné par quelques très anciennes civilisations ? La période de révolution autour du Soleil, très longue, est en tout cas troublante car précisée depuis de nombreuses années par les traducteurs de différents textes (y compris sumériens et romains), mais aussi cette orbite très elliptique et donc ovale, amenant ce gros corps à se rapprocher régulièrement... pour provoquer diverses catastrophes gravitationnelles et/ou climatiques (extinctions) selon la configuration de son approche par rapport aux autres planètes géantes du système notamment... (car tous ces corps tournent en permanence autour du Soleil, à différentes vitesses et orbites, les positions de ces corps autour du Soleil sont donc à chaque fois différentes lors de ces rapprochements millénaires (de la planète X), ainsi que les forces gravitationnelles : cela pourrait être un début d'explication également pour les diverses extinctions du vivant sur notre planète, qui ne correspondent pas vraiment à des cycles réguliers, tout en se produisant néanmoins de façon répétitive, mais irrégulièrement...). Et ne vous laissez pas prendre par la théorie des astronomes qui supposent qu'il s'agit d'une planète de taille, masse (poids) et chimie semblable à Neptune, sans l'avoir encore vue : comme nous le savons sur notre propre planète, comme dans l'espace, la taille n'a rien à voir avec le poids : il existe des étoiles nommées naines brunes ou rouges qui sont très petites mais pèsent un poids considérable (d'où puits gravitationnels importants), tout comme les étoiles qui s'effondrent sur elles-mêmes pour créer un trou noir ou équivalent... Rien ne prouve que cet astre lourd (les calculs le démontrent, ou il y a plusieurs astres proches les uns des autres) soit réellement une "Neptune" comme on nous le dit : il peut s'agir d'une naine brune très sombre, d'un trou noir de taille moyenne, d'un gros amas d'astéroïdes sombres ou même (des physiciens semblent avoir prouvé leur existence) d'astres composés d'anti-matière ou de matière noire et donc invisibles pour l'instant encore... les théories "extinctions répétitives" ou encore "cycles glaciations, inter-glaciations non réguliers" seraient évidemment plus facilement concernées par ce type d'astre, qui "colle" bien sûr par plusieurs coïncidences aux mythes liés à Nibiru...
Rappelons aussi que, début 2015, dans une étude publiée par le journal «Monthly notices of the Royal astronomical society letters», des chercheurs assuraient «qu'au moins deux planètes» se trouvaient au-delà de Neptune. Ils appuyaient leur déduction sur l'étude de la trajectoire d'une douzaine d'objets transneptuniens. Ces objets présentent «des paramètres orbitaux inattendus» qui «laissent croire que des forces invisibles altèrent leur distribution orbitale», expliquait alors l'astrophysicien Carlos de la Fuente Marcos. «Nous considérons que l'explication la plus probable est que d'autres planètes inconnues existent au-delà de Neptune et Pluton», estimait le chercheur. «Leur nombre exact est inconnu, car nos données sont limitées, mais nos calculs suggèrent qu'il y a au moins deux planètes, et probablement plus, aux confins de notre système solaire», ajoutait-t-il.... Leurs travaux sont donc rejoints en partie par ceux des astronomes américains... : source : http://www.leparisien.fr/sciences/deux-nouvelles-planetes-autour-du-soleil-le-point-pour-s-y-retrouver-20-01-2015-4462685.php
Augmentation de la menace des séismes et du volcanisme et mini âge glaciaire ?
De nombreux sites ont relayé une alerte mondiale sur une augmentation de la menace des tremblements de terre et du volcanisme, en particulier aux USA. Plusieurs sources en ont rajouté ou ont mal traduit comme très souvent. Tout d'abord, ce n'est pas une alerte "officielle" et "gouvernementale" comme l'ont affirmé certains, et la NASA, ainsi que le gouvernement fédéral des USA nie toute implication dans ces déclarations et lettres. Tout ceci émane d'un organisme privé et à buts lucratifs, dirigé effectivement par un ancien conseillé scientifique à la Maison Blanche, Monsieur Casey.
Le Space and Science Research Corporation (SSRC) (ne pas confondre avec le SRC, créateur du projet américano-canadien HARP (1967) de Gerald Bull (assassiné par le Mossad à priori dans les années 1990), est le premier organisme de recherche aux États-Unis sur le sujet des changements climatiques liés à une ère de refroidissement global de longue durée (une nouvelle ère glaciaire serait à l'ordre du jour selon ces prévisionnistes). Outre la recherche, son objectif est d’alerter les gouvernements, les médias et les populations sur la nécessité de se préparer à cette nouvelle ère climatique. N'ayant aucun lien avec la NASA, il faut le répéter, le SSRC s'appuie plutôt sur certaines de ces données, dont celles de 2011 pour argumenter sur ses propres résultats, qui viennent de mener à l'envoi d'une lettre officielle d'alerte à la FEMA ( Federal Emergency Management Agency ).
Le SSRC croit, ainsi que d’autres scientifiques et géologues, qu’il existe une forte probabilité que les éruptions volcaniques et les tremblements de terre seront plus nombreux en fréquence et en intensité au cours de cette prochaine ère. Tous ces événements catastrophiques seraient le résultat d’un cycle « d »hibernation solaire », soit une réduction spectaculaire de la production d’énergie du Soleil.
En date du 8 juin dernier, le SSRC a émis un communiqué de presse sur son site intitulé « La menace de tremblements de terre et de volcans augmente pour les États-Unis« .
Le 5 juin 2015, une lettre a été envoyée à Craig Fugate, administrateur de la Federal Emergency Management Agency (FEMA), par le PDG du SSRC. Dans cet écrit, on peut lire que:
– la probabilité de séismes et d’éruptions volcaniques dans les régions sismiques et volcaniques a augmenté de manière significative;
– nous croyons que les États-Unis et tous les pays du monde sont maintenant entrés dans la période la plus dangereuse pour des tremblements de terre catastrophiques et des éruptions volcaniques depuis les derniers deux cents ans;
– une nouvelle tendance vers l’augmentation du nombre et de l’intensité des tremblements de terre et des volcans à l’échelle mondiale a déjà commencé et génère de graves préoccupations dans le domaine de la géologie;
– l’élévation du niveau de menace que nous lançons est intimement liée à une réduction dramatique en cours de la production d’énergie du Soleil (hibernation solaire);
– ces périodes sont universellement reconnues au sein de la communauté de la physique solaire. Notre précédente recherche indiquant le début de la prochaine hibernation solaire est maintenant confirmée par la NASA.
NASA Data Confirms Solar Hibernation and Climate Change to Cold Era (2011).
– par conséquent, nous croyons que les zones sismiques et volcaniques à haut risque aux États-Unis, surtout en Californie, en Caroline du Sud et en particulier la zone sismique de New Madrid, peuvent éprouver de grands tremblements de terre ou éruptions volcaniques à tout moment entre maintenant et jusqu’en 2030.
– dans le cas de la faille de New Madrid, nous montrons que dans chacune des quatre dernières périodes d’hibernation solaire, un tremblement de terre catastrophique a frappé la région. Maintenant qu’une nouvelle hibernation solaire a commencé, nous en appelons à prendre des précautions maximales étant donné la forte probabilité que d’autres tremblements de terre dévastateurs frappent à nouveau la zone sismique de New Madrid.
– la fenêtre pour un prochain grand tremblement de terre sur la faille de New Madrid est comprise entre 2017 et 2038.
John L. Casey, PDG du SSRC, termine sa lettre en disant:
" Il est compréhensible que cette lettre puisse être difficile à accepter étant donné l’ampleur du problème et des obstacles que vous rencontrerez d’un point de vue politique et scientifique pour en arriver à prendre une action décisive comme nous vous exhortons à le faire. Toutefois, avant de rejeter ce message, je demande instamment que vous examiniez soigneusement nos recherches, nos conclusions et nos recommandations pour la préparation de ce nous croyons être une période géophysique destructive jamais inégalée. "
La lettre a été signée par le président SSRC, M. John Casey, et livrée au siège de la FEMA à Washington, DC. Dans la lettre, M. Casey explique comment la réduction dramatique en cours de la production d'énergie du Soleil ne va pas seulement plonger le monde dans une période froide pour des décennies (certains parlent de 200 ans), mais en même temps, apporter une série de dévastations géophysiques avec de monstrueux tremblements de terre et des éruptions volcaniques. Ces périodes de climat froid appelées «hibernations solaires» ou «minimums solaires," sont bien connues des spécialistes de la communauté de la physique solaire (elles sont aussi appelées "mini âge glaciaire"). Le SSRC a fait un travail de pionnier dans le domaine de la modélisation du climat conventionnel et solaire et est lui-même établi comme un chef de file dans la prévision du climat et de l'étude de ces hibernations du Soleil.
Citant la nouvelle recherche inclue dans le Rapport semi-annuel du climat mondial de la SSRC (GCSR) à paraître le mercredi 10 juin 2015, la lettre à Craig Fugate de la FEMA contenait un avertissement important pour toutes les grandes zones de failles de tremblements de terre et les zones volcaniques actives. La recherche se concentre en particulier sur la menace accrue pour la zone sismique de New Madrid (NMSZ) entre Saint-Louis et Memphis.
Cette nouvelle information sur cette menace est contenue dans l'un des plusieurs articles de l'édition de Juin 10 du document GCSR rédigé par M. Casey et le Dr Dong Choi, directeur de la recherche pour le tremblement de terre et le Centre international de Volcan de prévision (IEVPC). Le document montre que le NMSZ est sous la menace d'un autre tremblement de terre catastrophique entre 2017 et 2038. Les Dr Choi et Casey montrent que quatre fois de suite depuis l'année 1450, un séisme majeur a frappé le NMSZ lorsque le Soleil est entré dans une phase d'hibernation. Cette révélation scientifique est ce que Choi et Casey estiment avoir résolu le mystère sur quand le prochain séisme majeur frappera la région. Les géologues ont étudié la NMSZ depuis de nombreuses années en utilisant des approches traditionnelles. Casey et Choi disent que c'est la recherche combinée dans les domaines de la physique solaire et la géologie qui offre la meilleure opportunité à ce jour d'estimer quand le prochain tremblement de terre dévastateur sur NMSZ va frapper. D'autres scientifiques sont d'accord avec leur opinion.
Ici des données sur Yellowstone, qui est aussi dans un certain état d'alerte à cause de remontées magmatiques déformant la région en ce moment.
Une gigantesque poche de magma de 25 kilomètres de hauteur a été découverte.
Lien vers l'article de 20 Minutes:fr/sciences/1594427-20150424-gigantesque-reservoir-magma-decouvert-sous-super-volcan-yellowstone Tous les lieux à risques séismiques et volcaniques aux USA...
Pour cette raison singulière, les Dr Choi et M. Casey ont fortement recommandé à l'administrateur de la FEMA, Fugate, que toutes les zones et les zones de faille sismique à haut risque, ayant des antécédents d'éruptions volcaniques dans les États-Unis, prennent des précautions immédiates pour atténuer ce qu'ils décrivent comme une «période inégalée de létalité géophysique et de destruction ".
M. Casey ajoute: " La très forte corrélation entre ces minimums solaires et l'incidence des tremblements de terre catastrophiques dans le monde entier est une impressionnante démonstration de la façon dont nous sommes tous interconnectés à notre monde naturel et les cycles du Soleil. Il serait imprudent d'ignorer, en particulier, l'histoire des grands tremblements de terre dans le NMSZ et le fait que, lors de chaque hibernation solaire depuis les 600 dernières années, cette région a connu des tremblements de terre dévastateurs allant de M6.8 à M8.0. "
" Alors que nous abordons le risque New Madrid dans ce communiqué de presse et dans le Rapport de situation du Climat Global du 10 Juin 2015, la coïncidence de grands tremblements de terre avec des minimums solaires n'est pas limitée à cette région des États-Unis. Voilà pourquoi notre lettre à l'administrateur Fugate avait une alerte à l'échelle nationale. Le séisme Cascadia d'environ M9.0 et le tsunami de 1700 était au milieu de la plus froide période d'hibernation solaire qui a été appelée le minimum de Maunder.Le Grand Tremblement de terre de San Francisco de 1906 était au milieu d'un autre point bas solaire - le minimum «Centennial» comme on l'appelle à la SSRC. Cette association forte de l'activité solaire et des pires tremblements de terre et éruptions volcaniques pourrait représenter le «chaînon manquant» pour la prévision des catastrophes géophysiques ".
Dr Choi (Australie) soutient aussi l'opinion de Casey en disant, " La recherche approfondie effectuée dans ce domaine est claire dans ses implications. Lorsque les minimums solaires arrivent, les pires séismes sont enregistrés et les éruptions volcaniques en hausse. Le dernier minimum solaire par exemple, a donné la plus grande série de tremblements de terre dans l'histoire humaine dans le NMSZ et la plus grande éruption volcanique enregistrée au mont Tambora en Indonésie. Ces événements se sont produits à quelques années l'un de l'autre au cours de la période la plus froide dans la dernière hibernation du Soleil dans le début des années 1800 ".
Pour aller plus loin, vous verrez ci-dessous que Mr Casey dénonce depuis 2007 le retard du GIEC sur la réalité scientifique (mais aussi les politiques et leur volonté de tirer de l'argent grâce à des taxes "écologistes" non justifiées... destinées à protéger les nantis comme ces hommes politiques, des banquiers et des mafieux, et avoir des fonds pour les mettre à l'abri (mais pas la population qui paie les taxes bien sûr !)... Voici une vidéo très récente (novembre 2014), dans laquelle il fait le point et dénonce la réalité (selon ses travaux et ceux de son organisme, selon certaines données choisies et les ordinateurs...). Que peut-on constater objectivement ? Qu'il semble faire tout de même toujours + chaud qu'avant (la neige n'est pas tellement revenue en masse et pour des deux durées de 2-3 mois comme auparavant dans les régions du nord de l'Europe par exemple), qu'il y a effectivement des dérèglements climatiques anormaux (tornades et trombes, orages et tempêtes, moussons supérieurs aux normes et ailleurs que la normale), que le pôle nord semble toujours fondre, alors qu'au contraire, une (mince) couche de banquise glaciaire semble s'étendre au pôle sud. Nous avons aussi la confirmation d'une hausse du nombre des gros séismes, une activité volcanique intense et une activité solaire "décalée" : le cycle de 11 ans du Soleil a eu un décalage, même s'il semble que plusieurs éruptions solaires se sont bien produites et qu'une inversion solaire magnétique ait eu lieu cette année... Autrement dit, c'est très difficile de faire la part des choses question "visuel", car tant un réchauffement qu'un refroidissement mènent de toute façon à des catastrophes en nombre pour l'être humain et son environnement ! Voilà la vidéo en question, en VO malheureusement (les médias français sont dépassés et "aux ordres" de leurs dirigeants milliardaires (et "protégeables" !) sur ce sujet...) :
Mais quand on va et recherche encore plus, on tombe sur un journaliste qui lui, enquête sur Mr Casey depuis des années et... qui n'est pas très entendu ni suivi ! Il affirme en effet avoir des preuves que Mr Casey est surtout... un affabulateur et éventuellement un vendeur de rêve, voir un escroc (mais il n'y a aucune preuve de "détournement de subventions ou de paiement non dû non plus à priori !). En tout cas, d'après lui, ce fameux "Centre de recherches" n'existe pas car l'adresse indiquée et la photo du site ne montre qu'un immeuble qui loue des adresses à des compagnies et des particuliers (pour 49 $ par mois, une "entreprise" y a ses "locaux !") et son enquête sur sa "carrière" à la NASA ou à la Maison Blanche dirait plutôt qu'il n'a jamais été rien de cela du tout ! tout ceci en vidéo... alors, où se situe la vérité ? Entre un homme qui fait des conférences (filmées) et montre des articles, des traces écrites, et en tire (à priori mais sans preuves) des bénéfices... et un homme qui tente de démontrer que ce que dit le premier est faux... pour en tirer la vérité et dénoncer les mensonges (ou aussi faire des bénéfices ?)... ? Nous sommes apparemment encore entre les deux, dans un monde basé sur "celui qui dira le plus de mensonges gagne ... ! ". Quel monde, c'est presque à souhaiter qu'il disparaisse, finalement... l'argent corrompt trop l'esprit humain et c'est de pire en pire... :
Ci-dessus, à la recherche du "SSRC" à Orlando...
Mais tout ceci fait tout de même les affaires de certains, et les politiques ne sont pas les derniers à en tirer profit, car les bunkers et souterrains existent bien et sont bien créés en attendant ! :
Cette nouvelle rubrique qui devrait comporter plusieurs pages (qui seront regroupées par la suite et après leur publication) va recenser certaines petites publications ou nouvelles brèves du passé sur des découvertes annoncées discrètement par certains professionnels ou scientifiques. Cela vient évidemment en complément du déjà large travail de compilation de données lisibles sur ce site. Ces annonces sont en principes toutes référencées et réelles et elles concernent toutes des "anomalies" par rapport aux normes, dogmes ou "establishment" scientifiques ou historiques. Il y a rarement des illustrations ou photos et l'annonce est parfois très brève. On se rapproche en quelque sorte un peu du "Livre des Damnés" de CharlesFort, mais plus récent et c'est voulu car ces données existent, même si elles ne sont pas très connues et explorées elles-mêmes... Je n'ai pas trouvé d'ordre préférentiel pour l'instant, un classement par continent par exemple pourrait être fait par la suite. Vous allez comprendre très vite de quoi il s'agit, je met le texte original quand dispo et la traduction française en-dessous :
R.V. Gentry is well known for his studies of giant halos in minerals, particularly micas from Madagascar. Recently, intense debate seems to have determined that these Madagascar giant halos are not due to naturally occurring superheavy elements. But what did cause them? In this article, Gentry, et al present data for giant halos in Swedish biotite. No conclusion is given as to their possible origin, but it is noted that some of these giant halos have bleached circles around their centers. These circles seem related to the enigmatic dwarf halos known and unexplained for more than 50 years.
(Gentry, R.V., et al; "Implications on Unknown Radioactivity of Giant and Dwarf Haloes in Scandanavian Rocks," Nature, 274:457, 1978.)
Comment. The "halo" problem is not as trivial as it may seem because anomalous radioactivity, presumably with a very short half-life, should not be present in billion-year-old rocks such as the Madagascar micas. One implication: geological dating is all wrong!
Halos et radioactivité naturelle inconnue
Radiation damage haloes around zircon inclusions in pyroxene (160X magnification). Author's collection.
R.V. Gentry est bien connu pour ses études sur les halos géants dans les minéraux, en particulier les micas de Madagascar. Récemment, un débat intense semble avoir déterminé que ces halos géants de Madagascar ne sont pas dus à un événement naturel lié à des éléments super-lourds (uranium). Mais qu'est-ce qui a pu les causer ? Dans cet article, Gentry et autres présentent des données pour les halos géants dans la biotite suédoise. Aucune conclusion n'est donnée quant à leur origine possible, mais il est à noter que certains de ces halos géants ont blanchi leurs cercles autour de leurs centres. Ces cercles semblent liés aux halos nains énigmatiques connus et inexpliqués depuis plus de 50 ans.
(Gentry, RV, et al; "Implications on Unknown Radioactivity of Giant and Dwarf Haloes in Scandanavian Rocks," Nature, 274: 457, 1978.)
Commentaire : Le problème "halo" est moins trivial que cela puisse paraître, car une anomalie en radioactivité, sans doute avec une demi-vie très courte, ne devrait pas être présente dans des roches de milliards d'années comme les micas du Madagascar. Une implication : les datations géologiques sont toutes fausses !
Concentric haloes in biotite mica considered by Gentry to be caused by polonium isotope decay (Gentry, 1992)
Yves Herbo : Notons tout de même que Gentry était assez nettement du bord des "créationnistes" et que c'était aussi un scientifique physicien reconnu et publié... qui a conclu de sa vie d'étude des minéraux et de la radioactivité (ou plutôt des impuretés radioactives créant les halos dans les minéraux)... que la Terre était bien plus jeune que ce que les "autres" (géologues) disaient ! Une autre théorie assume que des guerres nucléaires se seraient produites il y a des milliers, voir des millions d'années, expliquant certaines choses, y compris une certaine évolution vers le gigantisme préhistorique...
Twenty-nine instances of the so-called "pecked cross" have been collected by the authors of the present article. Usually consisting of two concentric circles centered on orthogonal axes, this cross design is found carved on rocks and in the floors of ceremonial buildings throughout Mesoamerica. Such a motif would ordinarily not evoke much comment, but here the figure is formed from many small, evenly spaced depressions so arranged as to hint at larger meanings. For example, many pecked crosses have 260 depressions, suggesting a calendric interpretation (i.e., the 260-day Mesoamerican cycle). On some occasions the cross arms are astronomically oriented. In addition, the holes may have been used to hold pieces in ritual games similar to patolli. The pecked crosses are widespread and were apparently quite significant to the ancient Mesoamericans. Perhaps, the authors suggest, the figures had a composite astronomical, calendric, and ritual purpose. This would be consistent with the Mesoamerican cosmological belief that everything is interlinked and that the works of man must be, too.
(Aveni, Anthony F., et al; "The Pecked Cross Symbol in Ancient Mesoamerica," Science, 202:267, 1978.)
La Croix piquetées Symbole de l'Amérique ancienne :
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