Les OVNI envahissent les jeux vidéos
Culture Game #17 - Les OVNI envahissent les jeux vidéo ! :
SFH-05-2013
alien ufo ovni économie politique télévison TV fiction
Articles similaires
Par yvesh Le 01/03/2015
OVNIs : Des traces physiques sur des témoins - Partie 2
Salem-Massachussetts-USA 16-07-1952
L'Histoire est en grande partie constituée des textes trouvés et accumulés le long des âges, comparés entre eux et théorisés pour reconstituer, à l'aide des datations écrites et des preuves archéologiques, un déroulement cohérent de l'évolution des civilisations. Il s'agit donc de témoignages écrits (toujours soumis à l'appréciation propre de celui qui écrit et de sa classe sociale), de travaux réels de compilations de bases de données de témoignages (ce que sont les almanachs ou études d'historiens antiques ou non) et de traces de produits manufacturés des époques concernées. L'étude des écrits Grecs notamment nous prouvent qu'à une époque (assez courte !), les idées et expressions ont été totalement libres et que les échanges contradictoires et l'élaboration de certaines règles "démocratiques" ont été inventées (ou réinventées) à cette période. Notez que je dis "réinventées" parce que les "scientifiques reconnus" ont aussi beaucoup trop tendance à affirmer sans preuves que leurs découvertes "est la première de quelque chose"...
Tout comme quand un scientifique affirme que sa découverte prouve par exemple que l'Homo Sapiens est apparu à telle date, alors que d'autres découvertes peuvent contredire son affirmation. On cite le Temple de Gobleki Tepe en Turquie "comme la première apparition de l'architecture humaine vers 10.000 ans avant JC" (voir 12.000 à 13.000 ans avant JC maintenant), sans reconnaître qu'il ne s'agit en fait que de la plus ancienne découverte à ce jour, mais qu'il en existe probablement d'autres, plus anciennes... Il faudrait que cette réalité soit clairement écrite dans tout ce qui se rapporte à l'Histoire : rien n'est figé, surtout sur tout ce qui s'est déroulé avant la Renaissance (à mon avis), et les historiens devraient plus souvent parler au conditionnel qu'autre chose pour les époques précédentes (sauf quelques recoupements très cohérents, mais tous issus d'une certaine classe sociale de leur époque : ceux qui savaient lire et écrire...). Il devrait être aussi écrit sur chaque manuel scolaire de la matière "Histoire", que cette matière peut être manipulée assez facilement vu le peu de documentations sur certaines périodes, vu la possession du savoir et aussi de la technique d'écriture par une même "élite" de son époque (souvent religieuse ou Noble), de l'influence de concepts "noble-religieux" évidentes dans une majorité de textes, donc de sectes, etc...
Après des témoignages importants de blessures occasionnées par des rencontres liées aux OVNIs, (VOIR PARTIE 1, lien ci-dessus), nous allons aborder quelques cas plus graves puisqu'ils ont entraîné le décès du témoin direct. Tout comme des écrits historiques antiques ou du moyen-age se recoupant par de multiples témoignages, ceux-ci sont également appuyés par des preuves physiques (des examens médicaux officiels notamment).
Barra da Tijuca-Brasil 07-05-1952
Commençons par le cas le plus célèbre car étayé par de nombreux témoignages, examens médicaux et traces physiques sur le corps du maleureux João Prestes Filho, Brésilien de 40 ans qui a péri en 1946 suite a une rencontre imprévue :
"A Aragariguama, petit bourg tranquille de l'Etat de São Paulo, un phénomène curieux alimente les conversations de ses habitants : pendant la nuit, des lumières étranges évoluent dans le ciel en décrivant par bonds des trajectoires irrégulières, au-dessus des monts et des bois de la région...
En 1946, le jour de Mardi-gras, João Prestes Filho et son ami Salvador dos Santos quittent tôt le matin le village pour une partie de pêche. Avant de partir, João a demandé à sa femme, qui devait emmener leurs fils aux divertissements du Carnaval, de laisser une des fenêtres de la maison entrebaillée pour lui permettre de rentrer.
C'est vers 19 heures que les deux pêcheurs regagnent le village. Une heure plus tard, Prestes, l'air terrorisé, fait irruption dans la maison de sa soeur Maria et explique, en bredouillant, que lorsqu'il a tenté d'ouvrir la fenêtre de sa maison, un faisceau de lumière, venu d'on ne sait où, l'a atteint.
La soeur de João appelle immédiatement les voisins. Parmi les personnes accourures, il y a Aracy Gomide, inspecteur fiscal de la préfecture de São Roque. Gomide, qui possède des connaissances médicales pratiques, a l'habitude de soigner les maladies bénignes de ses voisins. Principal témoin, celui-ci précisera plus tard que les yeux, les paupières et les sourcils de João, que ce dernier disait avoir protégés avec les mains, semblaient parfaitement normaux. De même, toujours selon Gomide, les parties couvertes par les vêtements ne présentaient aucune trace de brûlure.
Peu de temps après, sur les parties touchées par la mystérieuse lumière, la peau commence à se rider comme si elle était restée plusieurs heures dans de l'eau bouillante. Puis les chairs apparaissent et semblent se décoller des os. La pointe du nez commence à se désagréger, les dents inférieures sont mises à nu. Sur les pieds et les mains décharnés, les ongles ont totalement disparu. Seuls, le palais et la langue ne paraissent pas touchés, car João parle normalement. Chose incroyable : à aucun moment João ne ressent la moindre douleur.
Plusieurs livres racontant cette histoire disent qu'en l'espace de deux heures, le corps de João s'est désagrégé, le nez et les oreilles se détachant et roulant au sol. Reprenons plutôt les témoignages des plus proches de l'affaire :
Voici celui du fils de feu Roque Prestes, le frère de João, Luis Prestes qui témoigne des paroles de son père :
" Récemment, peu de temps avant son décès, mon père se rappela la tragique mort de son frère, survenue durant l'année 1946. J'étais jeune à l'époque - 9 ans - mais je me souviens bien de ce qui est arrivé à mon oncle Joao. C'était lors du week-end de carnaval, et Joao, qui répugnait à aller à ce genre de festivités, décida de pêcher et partit avec sa charrette. Il vivait à Araçariguama, un petit village localisé à 7 km de Sao Roque, une communauté tranquille et isolée. Ma tante alla à la fête avec ses enfants et laissa le repas de Joao à la maison. J'étais à Araçariguama, quand j'appris que mon oncle était à l'agonie. Il était dans une maison proche de celle où je me trouvais. Je voulais le voir, mais cela m'était interdit. J'étais trop jeune et l'état physique de Joao aurait pu me choquer. Mon père le vit, et Joao lui dit que tandis qu'il retournait chez lui, quelque chose ressemblant à une "torche ardente" entra dans la pièce dans laquelle il se trouvait après qu'il eut ouvert la fenêtre. Il tomba à terre et sentait que son corps était en feu. S'enveloppant dans une couverture, il fit plus de deux kilomètres dans le village. Mon père m'expliqua que Joao était brûlé partout au-dessus de la ceinture, sauf au niveau de ses cheveux. Je réussit à voir mon oncle quand ils le sortirent de la maison, le mettant dans un camion pour l'emmener à Santana de Pamaiba, où se trouvait l'hôpital le plus proche. Je me souviens que le drap le couvrant était noirci, peut-être par les brûlures sur son corps. Joao mourut peu de temps avant d'arriver à l'hôpital."
"Un certain nombre de livres publiés en anglais, en japonais et même en russe affirmèrent que Joao Prestes mourut de façon horrible, avec des morceaux de son corps, comme les oreilles ou des parties de son visage, qui fondaient. Est-ce vrai ?" demandai je. "Non. Selon mon père, qui l'a escorté jusqu'à l'hôpital, son apparence était vraiment affreuse, mais pas de manière aussi extrême. Il avait de sérieuses brûlures sur tout le corps. Sa chair était noircie mais ne présentait aucune blessure." répondit notre interlocuteur. Cette indication contredisait l'histoire apparue dans de nombreux livres et articles à propos de ce cas. "Mon père était policier à Santana de Parnaiba. Il réclama toute l'assistance qu'il pouvait obtenir de la part de l'unité médico-légale, mais je ne connais pas les résultats de l'enquête. Aucune trace de brûlure ne fut trouvée dans la pièce où se trouvait Joao quand le feu apparut. Il n'avait aucun ennemi et ne connaissait personne ayant intérêt à le tuer. Même à l'article de la mort, il répétait qu'une lumière l'avait attaqué et qu'elle venait d'un autre monde."
"Avant cela, les habitants voyaient constamment des boules de feu connues sous le nom de "assombraçoes" (fantômes) à Araçariguama et dans sa proximité. Certains croyaient qu'elles venaient de la mine d'or, qui est maintenant fermée. D'autres choses étranges arrivèrent. Feu mon père me raconta qu'en 1922 il vit un lobisomem (un loup-garou) avec mon grand-père et mon oncle. Mon oncle lui lança une pierre et apparemment, le toucha à la main. Le lendemain, un voisin portait un bandage à sa main. D'autres gens racontaient des histoires similaires.", nous informa Luis Prestes.
"Emiliano Prestes, le frère de Joao, vécut également quelque chose d'effrayant. Quelques mois après la tragique mort de son frère, Emiliano marchait dans une forêt d'Agua Podre - la même dans laquelle apparu le lobisomem en 1922 et la lumière qui brûla Joao. Une lumière ardente parut devant lui. Emiliano, terrifié, courut jusqu'à la bordure d'un canyon quand la chose tomba sur lui. Tout ce qu'il put faire fut de s'agenouiller et de prier pour sa vie. Il me dit qu'il ressentit une chaleur intense, mais par chance, la lumière partit et disparut." Le compte-rendu de Luis augmente le nombre de phénomènes mystérieux dans la région. La lumière ardente ou boule de feu fut vue en de nombreuses occasions par le père de Luis. L'objet effraya des chevaux et cavaliers tandis qu'il rentrait dans leurs humbles demeures la nuit. "Les lumières furent observées le plus souvent entre 3 et 4 heures du matin, et sont 3 à 4 fois plus grandes que la Lune. Les gens sentaient leur chaleur à distance, et elles étaient capables de se mouvoir à une vitesse surprenante. Mon père cessa d'aller à des fêtes la nuit à cause de ces lumières.", se rappelle Luis.
Les informations obtenues jetaient une lumière nouvelle sur le cas de Joao Prestes, et nous en étions satisfaits. Nous pensions ne rien pouvoir ajouter à tout cela. Mais juste avant la fin de notre entretien, Luis nous donna un indice intéressant : l'existence du dernier témoin à avoir vu l'agonie de Joao. "C'est un vieux gentleman, mais encore lucide et fort. Il vit proche de chez moi à Sao Roque. Voici son adresse." Nous nous dirigeâmes immédiatement vers la résidence de Virgilio Francisco Alves. Sa fille nous avertit qu'il travaillait dans les champs devant la maison, nettoyant la végétation à la faux. Après quelque temps, Vergilio apparut. A notre surprise, il produisit sa carte d'identité prouvant qu'il avait bien 92 ans.
Assis sur un sofa usé, Virgilio nous expliqua qu'il était le cousin de Joao Prestes. "Je suis né et j'ai grandi à Araçariguarna. J'ai commencé à travailler à la mine d'or de Morro Velho à l'âge de 15 ou 16 ans. Il y avait un ingénieur anglais qui ne pouvait écrire mon nom et m'appelait garoto de ouro (golden boy). Je vais vous dire ce que je sais de l'horrible mort de Joao Prestes. Cela s'est passé durant le week-end de carnaval en 1946. Il était parti pêcher sur la rivière Tieté, avec sa charrette, tandis que sa femme et ses enfants allaient aux festivités. C'était la saison sèche et il ne pleuvait pas. Quand il revint, il mit son cheval dans l'écurie et le nourrit. Il mit les poissons dans une marmite et fit chauffer de l'eau au feu de bois pour prendre un bain. Alors qu'il changeait ses vêtements, une espèce de faisceau de lumière jaune apparut dans la pièce. Il sentit son corps brûler, ainsi que sa barbe. Paniqué, incapable de bouger ses mains, Joao ouvrit la porte avec ses dents et courut dans la rue pieds nus, étant donné qu'il ne portait jamais de chaussures. Il arriva en hurlant chez sa soeur Maria, proche de l'église d'Araçariguama. Il se laissa tomber sur un lit et raconta qu'il avait été brûlé. Le chef de la police, Joao Malaquias, vint immédiatement. On lui dit qu'il n'y avait personne à blâmer pour ce qui était arrivé, car l'attaquant n'était pas de ce monde. Un orage, avec une averse torrentielle, suivit ..."
"Quoiqu'il en soit, atterrés par ce spectacle atroce, les voisins chargent João sur une charette qui doit l'emmener à l'hôpital le plus proche. Mais il ne l'atteindra pas : il meurt en cours de route, six heures après l'agression du faisceau de lumière. Un certificat de décès, signé par les témoins, est dressé. Et sur ce certificat, une mention unique qui ne reflète guère la mort effroyable de João : " Mort par brûlures généralisées ".
Les services de police locaux, alertés par les témoins, effectuent quelques recherches qui se révèlent négatives : aucune trace ne put être relevée, ni sur les lieux de l'agression, ni à l'intérieur de la maison où rien n'avait disparu. Pendant plusieurs jours, après les sombres évènements du Mardi-Gras, les habitants de Aragariguama voient encore les mystérieuses lumières se livrer à des évolutions désordonnées dans le ciel..."
Sources: "OVNIs et Extra-Terrestres" Tome 3 Yves Naud, http://www.forum-ovni-ufologie.com/t6011-l-incroyable-saga-de-joao-prestes#ixzz1kajQhpiy
Barra da Tijuca-Brasil 07-05-1952
Un autre témoignage provient d'un riche fermier brésilien de l'Etat de Goias. Cet homme, qui a gardé secrète la mort d'un de ses employés pendant un an, a finalement accepté d'apporter son témoignage indirect, sous la condition que son anonymat soit strictement respecté. voici le récit de M. A.S.M.
" Les faits se sont produits le 13 août 1967. Je suis arrivé à la ferme trois jours après les événements et je ne savais rien. A la descente de mon avion particulier, mon employé Inacio de Souza m'attendait et il me dit qu'il était souffrant. Comme c'était un homme fort et qu'il ne s'était jamais alité, je me suis rendu le lendemain à son appartement et, en le voyant couché, je lui ai dit avec énergie :
" Qu'avez-vous mon garçon ?" Alors il me répondit : " Patron, j'ai tué un homme ! "
Je suis resté pantois et je lui ai demandé : " Mais comment as-tu pu faire cela ?"
"Pressé de questions, Inacio finit par raconter à son patron sa terrible aventure. Le 13 août 1967, Inacio et sa femme revenaient chez eux, dans la ferme de Santa Maria, entre Crixas et Pilar de Goias, dans l'Etat de Goias. En arrivant près de la maison, rapporte Inacio, nous vîmes un étrange objet ayant la forme d'une cuvette dont l'ouverture serait tournée vers le bas. L'objet avait 35 mètres de diamètre (...), entre l'appareil et la maison, se trouvaient trois inconnus."
" J'ai pensé que c'étaient des gens qui venaient nous rendre visite, mais j'étais un peu effrayé du genre d'avion qu'ils avaient. C'étaient des personnes de même apparence que nous, sauf qu'ils paraissaient chauves. Ils étaient en train de jouer, de folâtrer comme des enfants, mais en silence. Quand ils nous aperçurent, ils me désignèrent du doigt et se mirent à courir dans notre direction. J'ai crié à ma femme de rentrer en courant à la maison. Comme j'avais avec moi une carabine, j'ai tiré sur celui qui était le plus proche. A ce moment est sortie de sous l'avion, comme d'une lanterne, une lumière verte qui m'a atteint à la poitrine du côté gauche. Je suis tombé à terre. Ma femme a couru vers moi, en prenant l'arme, mais les hommes étaient déjà rentrés dans l'avion qui s'est élevé en vol vertical, à grande vitesse, et en faisant un bruit semblable à celui des abeilles. "
Le lendemain, le fermier se décide à examiner les lieux dans l'espoir de trouver d'éventuelles taches de sang laissées par l'homme que la balle tirée par Inacio a pu atteindre. Aucune trace n'apparaît. Pourtant Inacio a précisé : " J'ai bien visé la tête ". Et A.S.M. sait que son employé n'a jamais manqué un tir à 60 mètres de distance : Inacio, cela est connu, est un excellent tireur. Le fermier poursuit ses révélations :
" Les premier et second jours, Inacio a souffert de nausées, de fourmillements et d'un engourdissement de tout le corps, et ces jours-là ses mains tremblaient. Je me suis décidé à l'emmener à Goiania (à 180 km de la capitale Brasilia) pour lui faire subir un examen complet et je lui ai recommandé de garder le silence sur l’événement. A Goiania, le médecin, sans savoir ce qu'il avait, constata l'existence d'une brûlure circulaire de 15 centimètres de diamètre environ sur la partie gauche du tronc, presque à l'épaule. Pour soigner la brûlure, il décida d'appliquer le remède appelé Unguento picrato de Butesin. En ce qui concernait les autres symptômes, il diagnostiqua comme origine une cause végétale, il pensa qu'Inacio avait pu manger quelque mauvaise herbe."
" Je me suis décidé à relater au médecin ce qui était arrivé. Surpris, il demanda à Inacio : " Quelqu'un d'autre a-t-il vu ces hommes ? " Inacio répondit : " Ma femme ". Alors le médecin me prit à part et me demanda si j'avais jamais parlé à Inacio des "OANI" (Objet Aérien Non Identifié). Je lui dis que non. Il se décida alors de demander à Inacio s'il avait jamais vu en quelque autre occasion ce type d'avion ou si quelqu'un lui en avait déjà parlé. Inacio répondit : " Non, monsieur, je n'en ai jamais vu ni entendu parler ". Le médecin prescrivit alors à Inacio qu'il se fasse admettre en clinique et demande à subir un examen complet des matières fécales, de l'urine et du sang."
" Quatre jours après avoir été mis en observation, poursuit A.S.M., Inacio fut renvoyé chez lui. Surpris qu'on ne l'eût pas gardé en traitement plus longtemps, j'allai voir le médecin. Celui-ci me dit alors que le cas d'Inacio était fatal, que les examens avaient montré qu'il était atteint de leucémie, le cancer du sang, et qu'il ne lui restait que 60 jours de vie, au maximum. Il me dit encore : " Et le monsieur (le malade) m'a suggéré d'oublier tout ce qui lui était arrivé... il sera entendu qu'il n'a rien vu. Il a un nom à préserver et tout cela ne ferait que créer une panique. Quant à moi, je n'ai rien entendu et je ne sais rien. J'ai une réputation et, pour moi, son cas est un cas de leucémie. "
La femme d'Inacio a relaté au fermier les derniers instants du mourant. D'après son récit, il présentait sur tout le corps des taches d'une couleur jaune blanchâtre, de la dimension d'un ongle, et il ressentait des douleurs atroces. Il maigrissait à vue d’œil, au point qu'avant de mourir il n'avait plus que la peau et les os. Sa femme se souvient de ses dernières recommandations qui revenaient comme un leitmotiv : brûler le lit, le matelas et toute la literie après son décès. Sa mort survint le 11 octobre 1967, et, selon son vœu, toutes ses affaires personnelles furent brûlées.
Voici un rapport établi par le professeur Felipe Machado Carrion, qui a expliqué de façon extrêmement précise les effets mortels de radiations ionisantes, en date du 30 janvier 1969, à Porto Alegre :
"Inacio de Souza présentait les symptômes classiques de la leucémie d'origine radioactive, de laquelle il est mort dans les 60 jours prévus par le médecin. A partir du moment où il a reçu le faisceau lumineux vert, sa santé a été ébranlée et il a commencé à présenter tous les symptômes caractéristiques de l'exposition à des radiations mortelles.Qu'elles proviennent de tubes à rayons X, de fluoroscopes, de cyclotrons, d'isotopes radioactifs ou de toutes autres sources, les radiations ionisantes (rayons Alpha, Bêta, Gamma, flux de neutrons, rayons cosmiques ou autres) produisent des effets identiques sur les cellules et les organes.Il n'existe pas de conséquences qui soient particulières à un type donné de radiation, bien qu'il y ait des différences, par exemple en ce qui concerne la dose nécessaire pour faire apparaître un résultat déterminé, les conditions restant identiques, telles que le fait d'être atteint sur tout le corps, le temps d'exposition, etc. Les particules lourdes, telles que les rayons Alpha, ont de plus grandes possibilités que les particules plus légères de briser les éléments des tissus vivants. (...)"
" La partie du corps humain sur laquelle apparaissent les premiers indices physiques résultant d'une dose d'irradiation est la peau, où l'on observe une irritation semblable à celle causée par une brûlure. Dans le cas d'Inacio, une brûlure était nettement visible dans la région atteinte par le rayon lumineux. (...) La leucémie d'origine radioactive peut aussi bien résulter de petites doses d'irradiation répétées durant des mois ou des années, que d'une simple et unique exposition à haute dose. La leucémie est très fréquente chez des personnes qui ont été exposées à des radiations ionisantes excessives. Tous les symptômes présentés par Inacio de Souza étaient ceux d'une leucémie causée par une forte dose de radiations."
"OVNIs et Extra-Terrestres" Tome 3 Yves Naud
Barra da Tijuca-Brasil 07-05-1952
Thomas Francis Mantell Junior naît à Franklin (Kentucky) le vendredi 30 juin 1922. Il fait ses études au lycée de garçon de Louisville, après quoi il entre rapidement dans l'AAF le mardi 16 juin 1942, et sort diplômé de l'Ecole d'Aviation le jour de ses 21 ans, le mercredi 30 juin 1943.
Pendant la 2nde guerre mondiale, il est affecté à 440èmeGroupe de Transport de Troupes, dans le 96ème Escadron de Transport de la 9ème Air Force. Il participe à l'invasion de la Normandie par les forces alliées (il reçoit la Croix de Distinction en Vol et la Médaille de l'Air w/3OLCs pour héroisme) et à de nombreuses autres opérations européennes durant la guerre.
Après avoir quitté le service actif en janvier 1947, il revient à Louisville et rejoint Garde Nationale Aérienne du Kentucky, toute nouvellement réorganisée. Le capitaine Mantell y est chef de vol "C" dans le 165ème escadron de chasseurs le 16 février 1947.
Le mercredi 7 janvier 1948, un objet énorme, rond et lumineux est aperçu en début d'après-midi au-dessus de Madisonville (Kentucky) par des dizaines (milliers selon d'autres sources) de témoins. Les autorités, inquiètes de sa présence dans les environs de Fort Knox (la réserve d'or des Etats-Unis), donnent l'alarme à 13:30.
A 13:45, l'objet est signalé à la verticale de la base aérienne de Godmann, à quelques km du but supposé. Pourtant, une fois au-dessus des pistes, il s'arrête : tous les militaires le voient osciller lentement en passant régulièrement du rouge au blanc.
Pendant ce temps Mantell est à la tête d'un convoi de 4 P-51D Mustangs parti de Marietta (Georgie) pour la base deStandiford (Kentucky). Entre , l'escadrille de Mantell est à gauche de l'événement. Alors qu'ils s'approchent de Godman Field, Mantell bascule sur le canal "B" pour contacter la base de Standiford, mais est repéré par la tour voisine de Godman. Le colonel Guy F. Hix, commandant de la base, a décidé de contacter les pilotes, et le sergent Quinton Blackwell, opérateur de la tour, contacte la formation :
Blackwell : Tour de Godman appelant le vol de 4 vaisseaux en direction du Nord au-dessus du terrain de Godman. Vous me recevez ? A vous.
(Pause) Tour de Godman appelant le vol de 4 vaisseaux en direction du Nord au-dessus du terrain de Godman. Vous me recevez ? A vous.
— Roger, tour de Godman. Ici la Garde Nationale 869, chef de vol de la formation. A vous.
Blackwell : Garde Nationale 869 depuis la tour de Godman. Nous avons un objet ici au Sud de Godman que nous ne pouvons pas identifier, et nous voudrions savoir si vous avez assez de carburant ; et si vous pourriez donc aller voir pour nous si vous le voulez bien.
— Roger, j'ai le carburant et je vais aller regarder pour vous si vous me donner la bonne direction et toute information que vous avez pour localiser l'objet.
Un des aviateurs de Mantell, le lieutenant Bob Hendricks, remarque que Mantell est en train de parler, et bascule alors du canal "C" (sur lequel l'escadron était) au canal "B" pour entendre la tour dire Venez au-dessus du terrain en direction 330° et nous essaierons de vous guider.
— Reçu, je vous appelerait quand je l'authentifierai
, répond Mantell.
Bob Hendricks, pressé d'arriver à Standiford, demander à Mantell s'il peut partir, ce à quoi l'autorise Mantell. Il est alors 14:55 (14:40 d'après l'heure de Hendricks, apparemment en retard) quand Hendricks décroche.
Mantell entâme une spirale sur sa droite et faire une ascension à grande puissance à 180 ISP, revenant sur sa route. Le lieutenant Al Clements et son copilote le lieutenant Hammond doivent monter la puissance jusqu'à 2700 tours/mn juste pour rester à niveau, bien que ne sachant pas de quoi il s'agit. Il atteignent 14 000 pieds lorsque Mantell sort de sa spirale et prend une direction Sud-Ouest de 220°, maintenant la puissance d'ascension.
Mantell signale à Godman :
— Je suis à 15000 pieds. J'ai l'objet en vue au-dessus et devant moi, et il semble se déplacer à environ la moitié de ma vitesse ou approximativement 180 miles/h. Je monte jusqu'aux 20 000.
— Pouvez-vous, euh, nous donner une description de l'objet ? A vous.
La tour de Godman capte cette dernière communication, enregistrée à :Juste devant moi et légèrement au-dessus, et se déplace maintenant à ma vitesse environ ou plus. J'essaie de me rapprocher pour avoir une meilleure vision.
A 22 500 pieds Clements dit à Mantell qu'ils sont trop haut. Son copilote commence déjà à être étourdi. A 23 000 pieds Clements rappelle Mantell pour lui dire que lui et Hammond décrochent. La réponse de Mantell n'est pas déchiffrable. La dernière vision de Clements est Mantell en train de monter à haute puissance directement vers le Soleil.
A terre, le colonel Hix suit l'incroyable ascension à la jumelle. Il voit l'ovni. Il a la forme d'un parapluie. Sa taille apparente atteint celle de la moitié de la Lune. Il est complètement blanc, sauf une bande colorée qui semble tourner. A la tour de contrôle, la radio grésille encore : c'est Clements qui annonce que l'objet vient de disparaître dans les nuages après une accélération effarante. Il arrêtent la poursuite, sauf Mantell qui n'est pas encore à 6000 m.
Un homme au sol, Glenn T. Mayes, est attiré à sa fenêtre par les bruits alternés bizarres d'un moteur d'avion. Selon ce dernier, l'avion de Mantell fait 3 cercles lents, puis part dans une chute de puissance, tournant lentement
. Il explose à la mi-chemin du sol. La même histoire est aussi relatée par Mrs. Carey Phillips, qui le vit de sa fenêtre s'écraser à 250 yards de sa ferme, à quelques miles au sud-ouest de Franklin.
La police encadre le périmètre et l'employée de la morgue du comté, Harry Booker, examine le corps de Mantell. Il note que la montre au poignet de Mantell s'est arrêtée à .
La mort de Mantell soulève un émoi considérable dans tous les Etats-Unis. C'est en outre le 1er crash de la Garde Nationale Aérienne du Kentucky.
Le capitaine Richard Tyler, chargé de l'enquête et meilleur ami de Mantell, décolle à dans un C-47 depuis Standiford pour Franklin, avec une équipe de mécaniciens et spécialistes entraînés. L'appareil de Mantell est trouvé configuré pour une ascension maximale. Le verrou de son habitacle est toujours en place.
Tyler conclut dans un rapport préliminaire :
Mon opinion personnelle sur l'accident est que Mantell, un pilote agressif, a tenté de poursuivre l'objet aussi longtemps que possible, même s'il a réalisé le danger de son manque d'oxygène. A environ 25 000 pieds je pense qu'il est mort d'anoxie et que l'avion a continué à monter jusqu'à près de 30 000 pieds où il a fait 3 lents cercles et est tombé en perte de puissance, tournant lentement sur la gauche avec le couple moteur. Je pense qu'il a atteint la compressibilité à environ 15 000 pieds et que l'aile gauche à explosé, des parties commençant à tomber sur près de 1 mile dans une direction nord-sud, éparpillant les morceaux les plus légers le plus loin. Je pense que le pilote est mort d'anoxie lorsqu'il a commencé à redescendre. Lorsque l'aile gauche est partie l'aile droite a commencé à agir comme un aileron ou un gouvernail pour le fuselage et a guidé celui-ci vers le bas, parallèlement au sol.
...J'étais l'ami le plus proche de Mantell ...Son intérêt pour le vol ne pourrait être dépassé. Il adorait le P-51, pensait en être le maître et volait... pas imprudemment mais comme un pilote de chasse agressif. Je pense réellement que s'il a pensé avoir une chance de rattraper l'objet il l'a probablement poursuivit conscient de sa mort. Je pense qu'il a vu quelque chose de plus qu'une étoile ou un ballon... et il était d'une intelligence au-dessus de la moyenne. Il connaissait l'avion et les dangers de l'anoxie. Si une force extérieure n'a pas causé sa mort, je pense qu'il est mort trop rapidement pour changer sa ligne de vol.
Si l'USAF envisage que Mantell se soit tué en poursuivant soit un ballon-sonde, elle préférera cependant avancer l'explication de la planète Vénus, ce qui lui vaudra le ridicule. Venus était visible ce jour-là dans, seulement 6 fois plus lumineuse que le ciel du Sud où elle se trouvait. A l’œil nu elle était à peine visible. Cependant comme l'objet observé était venu du Sud de Godman, Vénus pouvait faire un bon candidat. Cependant le témoignage du lieutenant Clements confirme que Mantell et lui-même, vers la fin de leur vol, approchaient l'objet depuis l'Est, et qu'ils se dirigeaient plein Ouest en direction du Soleil. Venus aurait alors été un petit point pâle sur leur gauche.
Le lendemain paraît un communiqué de presse Clinton Co. Airfield, Ohio :
PUBLIC INFORMATION OFFICE
ALL WEATHER Flying Center
Clinton County Army Air Field
WILMINTON, OHIO 8 Janvier 1948
__________________________________________________________________COPIE
(PIECE JOINTE 1)
DIFFUSION IMMEDIATEWILMINGTON (Ohio) 8 Janvier -- Un phénomène céleste, décrit par les observateurs de la base aérienne du comté de
Clinton comme ayant l'apparence d'un cône rouge enflammé suivi d'une traînée gazeuse brumeuse verte, est apparu dans les cieux du Sud-Ouest de Wilminton la nuit dernière entre .Le Sgt./S Gale F. Walter et le Cpl. James Hudson, opérateurs de tour de contrôle sur la base aérienne, ont d'abord vu le phénomène à et observé ses manœuvres dans le ciel jusqu'à lorsqu'il aurait disparu sur l'horizon. Le phénomène céleste était accroché suspendu dans les airs par intervalles puis a gagné de l'altitude à ce qui a semblé être des accélérations terribles de vitesse. La lumière intense du phénomène céleste perçait à travers une couche épaisse de nuages passant par intermittence sur la zone et obscurcissant d'autres phénomènes célestes.
Le sergent-major Irvin H. Lewis, le Sgt/S John P. Haag, le Sg. Harold E. Olvis et le Sgt./T
Leroy Ziegler, 4 membres de l'équipe d'alerte, ont rejoint les opérateurs de la tour de contrôledans l'observation des phénomènes célestes durant 35 mn environ.
Le 20 Janvier, avis confidentiel du Cpl. Hudson :
PAGE II
STATE OF OHIO )
)
COUNTY OF CLINTON)Devant moi, l'autorité sous-signée pour administrer les serments de ce type, apparaît personnellement James H. Hudson, Cpl, ASN 13220873 qui, étant d'abord dûment assermenté par moi, dépose et déclare ;
L'information suivante provient du Plan 62:
L'observation fut faite dans le Kentucky sur les lieux du crash du P-51 avec un télescope
8" :
Altitude, 4 miles. Largeur, 43 feet. Hauteur de l'objet, 100 pieds. Vitesse à ce moment, 10 miles/h Forme, Cone. Couleur, rouge avec queue verte.Cette observation fut faite à Godman Field (Kentucky), avec un théodolite :
1854 CST : Elévation, 2.4 Azimut 254.6
1856 CST : Elévation, 2.0 Azimut 253.9
1902 CST : Elévation, 1.2 Azimut 253.0
1906 CST : Disparu.
Ce qui suit est mon opinion : L'objet n'était pas une comète ou une étoile, mais était fait de la main de l'homme. Ce n'était pas un ballon, une comète, une étoile, ou un appareil d'un type quelconque. La lumière ne venait pas des feux de position d'un appareil. L'objet paraissait dans son ensemble entouré d'un gaz brûlant ou de quelque chose qui lui donnait une lumière
.-- schémas --
Further the deponent sayeth not,
//signé//
JAMES H. HUDSON, Cpl
13220873Juré et souscrit devant moi ce 20ème jour de janvier 1948
//signé//
GEORGE W. HOHANNESS
Capitaine, USAF
La presse grand public se fait bien sûr écho de l'incident ("Flier Dies Chasing a 'Flying Saucer'", The New York Times, 9 janvier 1948).
Diverses personnes vont se faire l'écho de la tragique fin de Mantell : George Hunt Williamson déclare que les derniers mots de Mantell étaient : Il y a des fenêtres et je peux voir des gens dedans !
(Captain, 1954, 4), puis George Adamski (1955) dont un des contact, "Ramu de Mars", parle d'un accident que nous avons regretté... Les membres de l'équipage avaient remarqué que le capitaine Mantell montait vers eux et savaient que son intérêt était sincère, non bélligérant. Ils étaient pleinement conscients de la puissance émanant de leur vaisseau et pensaient qu'elle stopperait son approche sans le blesser. Mais alors qu'ils se rapprochait, l'aile de son avion coupa cette puissance, permettant à une succion d'avion lieu qui tira l'avion entier dedans, provoquant une désintégration immédiate de l'avion et de son corps.
Egalement Angelucci, Orfeo en 1955, dont un des visiteurs de l'espace déclare que Mantell entreprit de rattraper et capturer un des disques contrôlés à distance
.
La théorie du ballon sonde sera développée plus tard, notamment par Edward J. Ruppelt, qui révèlera que pratiquement aucun des 7 témoins situés dans la tour de contrôle ne s'étaient accordés, non seulement sur la description de l'objet (cornet de glace avec le sommet rouge
est la description qui sera reprise par le communiqué de l'USAF comme commune de l'ensemble des observateurs, mais il y eut également rond et blanc, énorme et argenté ou métallique, petit objet blanc, 1/4 de la taille de la pleine Lune<, 1/10ème de la taille de la pleine Lune
) mais aussi sur les messages de Mantell (un seul déclara que Mantell qualifia l'ovni de métallique et de taille énorme
). Rupplet indiqua également qu'un des aviateurs ne vit jamais rien (il envoya un message radio : Bon sang qu'est-ce que l'on cherche ?
Lorsque l'autre atterrit, il décrivit l'objet comme ressemblant à une réflexion de la canopée
).
Ruppelt apprit dans le cadre du projet Blue Book plus tard qu'un énorme ballon 0 commentaire
Par yvesh Le 28/02/2015
OVNIs : Des traces physiques sur des témoins - Partie 1
Amarantina-Bresil-2006
Nous regrouperons sous cette sous-rubrique les témoignages et études assez nombreux faisant état de traces physiques, parfois de cas psychosomatiques, constatés scientifiquement et les reliant aux phénomènes OVNI. Preuves supplémentaires et études qui montrent que certaines approches scientifiques, y compris la médecine, sont possibles et fonctionnent avec le phénomène OVNI. Yves Herbo
"Très souvent, écrit en substance James M. McCampbell dans son ouvrage "Ufology" (http://www.nicap.org/ufology/ufology.htm), ceux qui ont rencontré des humanoïdes ou ceux qui se sont approchés des soucoupes volantes ont souffert, après leur aventure, de troubles physiologiques ou psychosomatiques dûment constatés par les enquêteurs et les médecins."
Ingénieur, physicien spécialisé dans la technologie nucléaire, telle que la mise au point de réacteurs pour sous-marins et pour centrales électriques, McCampbell s'est acquis une réputation de premier plan parmi ses pairs : il figure en effet en bonne place dans le who's who in Atoms, le gotha des personnalités dans le domaine atomique. (YH : de l'époque bien sûr (1973)). Sa méthode d'approche ne manque pas d'originalité. Alors que la plupart des chercheurs essaient, face aux témoignages relatifs aux OVNI, de faire la part du vrai et du faux, l'ingénieur américain part du principe que les témoins ne mentent pas. "Un zèle excessif dans le passage au crible des témoignages, explique-t-il, a probablement privé les chercheurs et le public de quelques informations de valeur. Une approche différente a été prise ici. La confiance est accordée, non pas tellement aux détails d'un rapport individuel, mais aux corrélations entre de nombreux rapports indépendants."
Aux yeux de McCampbell, les affabulations ou les erreurs de certains témoins ne doivent pas décourager l'homme de science dans sa recherche de la vérité. Il justifie sa méthode en ces termes : " Il est tout à fait approprié pour un chercheur de recourir à toute hypothèse qui lui semble pouvoir aider à clarifier un problème complexe (...) Si la recherche sombre dans la confusion, alors l'hypothèse est jugée inutile et une autre doit être adoptée. En revanche, si l'hypothèse apporte un certain ordre là où régnait le chaos, elle est estimée méritoire. En écartant la confusion et en éclairant un sujet complexe, une hypothèse gagne le droit à la crédibilité jusqu'à ce qu'une autre se révèle accomplir un meilleur travail. Il a été prit comme un fait que l'un ou l'autre phénomène inexpliqué était responsable de la production des rapports d'OVNI (...) Tout rapport individuel est nécessairement fragmentaire, mais les points omis ne seront pas les mêmes dans tous les récits. On peut s'attendre à ce qu'une description complète émerge si on assemble les données de nombreuses observations. A cause du nombre énorme de rapports et de leurs provenances de diverses cultures de par le monde, l'inclusion accidentelle de quelques supercheries et erreurs d'interprétation ne distordrait pas fortement les résultats finaux."
Un point retient particulièrement l'attention du physicien : beaucoup de témoins semblent avoir été "figés", "immobilisés", incapables de faire un mouvement. L'auteur explique ce phénomène de paralysie en faisant appel aux "micro-ondes électromagnétiques".
OVNI : preuves physiques sur des témoins :
Mais la paralysie n'est pas, loin de là, l'unique symptôme observé chez plusieurs témoins d'OVNI. Nous allons ci-dessous découvrir plusieurs récits de rencontres étranges ayant des conséquences inattendues :
Le premier témoin - que nous appellerons JM - est de garde, le 10 août 1959, dans le service des ambulanciers de l’hôpital de Perpignan, France. Peu avant la fin de son tour de garde, un appel d'urgence l'oblige à se rendre auprès d'une victime d'accident de la route. L'épouse du blessé, accourue sur les lieux, manifeste le désir de voir celui-ci ramené chez lui à Rouen, avant que ne survienne l'issue fatale qui lui a été annoncée.
JM quitte donc Perpignan en ambulance Citroën DS pour Rouen, à 18h15, en compagnie de son jeune frère, du mourant et de son épouse. En cours de route, il s'arrête à plusieurs reprises pour régler le débit de sérum et d'oxygène. Hélas ! Tous ces soins se révèlent inutiles. A deux heures du matin, l'ambulancier ne peut que constater le décès du blessé. Grâce à une tolérance particulière dans de tels cas, JM poursuit sa route. Après un arrêt d'environ une heure à Paris, il emprunte la RN13 bis en direction de Rouen. Mais laissons à JM le soin de raconter son aventure :
" Une ligne droite à trois voies matérialisées s'ouvrit devant moi, raconte JM. Je roulais à 145 km/h environ, dans le couloir de droite. Près de moi, mon jeune frère sommeillait sur son siège, étendu en couchette. Ma passagère, le regard vide, contemplait la dépouille de son mari.
" Je fixait attentivement la route lorsque mon attention fut attirée par un sifflement strident. C'est alors que mon regard se porta vers une sorte de sphère incandescente, brillant comme du mercure, qui se déplaçait à l'horizon, perpendiculairement à mon véhicule. L'objet décrivit un cercle et vint face à moi, survolant la route à une altitude d'environ 400 mètres. Avec curiosité, je regardais cette chose inconnue en essayant de définir à quel arsenal elle pouvait appartenir. Soudain, une autre Citroën DS se présenta face à moi à environ 1800 mètres. Le mystérieux objet céleste parut ralentir sa vitesse et s'immobilisa en point fixe, entre les deux véhicules. Pendant de courtes secondes, je pus me rendre compte qu'il s'agissait d'un engin sphérique surmonté d'un dôme autour duquel un anneau tournait à grande vitesse, dégageant une intense lumière blanche. Le tout ressemblait à la planète Saturne en miniature.
"Quittant l'engin des yeux, je constatai que la voiture qui arrivait en face de moi s'était engagée sur la voie centrale, alors que la portion de route située à sa droite était totalement vide. Elle me fonçait dessus en zigzaguant." JM actionne alors le klaxon de son ambulance tout en faisant des appels de phares. Ses manoeuvres dangereuses continuèrent, poursuit-il, en parlant du conducteur de l'autre voiture. Sa DS zigzaguait de plus belle. Tout me laissait supposer qu'il n'était plus maître de son véhicule. Avec stupeur, je vis que chacune de mes tentatives d'échapper à la collision était contrée par un acte réflexe du conducteur de la voiture folle. En une fraction de seconde, je compris que la voiture qui m'arrivait dessus était télécommandée. Je rétrogradait pour ralentir tout en donnant un violent coup de volant qui amena l'ambulance dans le couloir central. L'autre voiture s'engagea instantanément sur la même voie. Je repris de la vitesse tout en me déportant totalement à droite. Mon adversaire une fois encore apparut devant mon capot !
"Enfin, dans un réflexe désespéré, je lançais la voiture dans le couloir central, espérant qu'à la dernière seconde le "chauffeur fou" parviendrait à me croiser à droite. Ce que je vis me glaça d'effroi. Le véhicule qui arrivait à quelques mètres de moi n'avait pas de conducteur ! Le choc fut terrible car la collision eut lieu de plein fouet. Je roulais à 140 km/h et l'enquête de gendarmerie établit que mon adversaire atteignait, lui, les 160 km/h.
" Avec le recul du temps, je comprends maintenant, explique JM, que le chauffeur de l'autre DS, qui fut décapité dans l'accident, était déjà mort et couché sur son siège, lorsque nos voitures se télescopèrent. Dès que je repris connaissance, plusieurs jours après ce drame, j'eus la certitude que l'engin spatial inconnu qui nous avait survolés quelques minutes avant le télescopage n'était pas étranger à cette catastrophe. Malgré mes tentatives désespérées et la très grande maîtrise dont je fis preuve, j'ai la conviction d'avoir été irrésistiblement attiré vers le véhicule qui me faisait face, comme mon adversaire avait dû l'être par l'ambulance. Incontestablement, nous avons tous deux été pris dans des faisceaux magnétiques dirigés par des pilotes de l'espace. "
JM formule donc un commencement d'explication au jeu diabolique dont lui-même et le malheureux conducteur de l'autre DS ont été à la fois les victimes et les instruments : les deux véhicules auraient été téléguidés. Cependant, aucune des personnes à qui le témoin raconte son aventure ne semble prendre au sérieux l'hypothèse d'une intervention de forces extra-terrestres et, à sa sortie de l'hopital, JM décide de mener une enquête personnelle. Il apprend que le chauffeur de l'autre DS ne se servait de son véhicule que pour se rendre à son travail. Il ne s'agit donc pas d'un spécialiste de la conduite automobile et, en conséquence, rien ne peut expliquer ses réflexes extraordinaires. Par ailleurs, cet homme était un homme corpulent de un mètre quatre-vingts, ancien boxeur, et sa présence au volant ne pouvait passer inaperçue.
Contrairement aux gendarmes de Louviers qui concluent hâtivement à un suicide, la famille de la victime écarte énergiquement cette thèse. Cet ensemble de données ne fait que renforcer la conviction de JM : c'est bien une voiture folle qui l'a heurté le 11 août, à 5h25 du matin, sur la route de Paris à Rouen. En outre, un fait demeure rationnellement inexplicable et peut confirmer l'hypothèse du témoin : 5 bouteilles d'oxygène qui étaient à l'intérieur de l'ambulance et qui contenaient chacune 700 litres de gaz se sont entrechoquées, certaines ayant même été éjectées sous la violence du choc, sans qu'aucune n'ait éclaté. De même, un manomètre a laissé échapper, sans causer de dommage, un énorme volume de gaz.
Que faut-il penser de l'accident dont JM a été victime ? Son caractère peu banal suffit-il à justifier la possibilité d'une intervention extra-terrestre ? Nous ne bénéficions, ne l'oublions pas, pour appuyer cette thèse, que d'un certain nombre de faits troublants et de la seule conviction du témoin lui-même...
Par la suite, il devint évident que JM voulut tirer parti de sa nouvelle notoriété dans le milieu ufologique, car il ajouta avoir été contacté plus tard par ces êtres, qui l'avaient évidemment choisi, lui, pour préparer leur arrivée vers la fin des années 90 sur Terre pour sauver la population d'une prochaine destruction de la planète... il affirma que 2 millions de Terriens étaient déjà programmés sans qu'ils le sachent toujours, en préparation des événements à venir...
Fort heureusement, tous les témoins n'ont pas eu à subir les conséquences dramatiques de l'accident survenu à JM : fractures des deux fémurs et du bassin, éclatement de la vésicule biliaire, du foie et de la rate. Cependant, les troubles observés sur Luce Fontaine sont tout de même inquiétants. Cultivateur dans la plaine des Cafres, près de Saint-Denis de la Réunion, marié à une institutrice et père de quatre enfants, Luce Fontaine est, de l'avis de son entourage, un homme modeste, pondéré et digne de foi.
Dessin d'après description de Luce Fontaine
" Le 31 juillet 1968, à 9 heures du matin, raconte-t-il, je me trouvais au kilomètre 21 dans une petite clairière au centre d'un bois d'acacias. Courbé vers le sol, je ramassais ce matin-là de l'herbe pour mes lapins, quand j'ai brusquement aperçu dans la clairière une sorte de cabine ovale à 25 mètres de moi, comme suspendue à 4 ou 5 mètres du sol. Ses extrémités étaient bleu foncé, le centre était plus clair, plus transparent, un peu comme le pare-brise d'une 404. Au-dessus et au-dessous, il y avait comme "deux pieds de verre en métal brillant".
" Au centre de la cabine se tenaient "deux individus", le dos tourné vers moi. Celui de gauche a tourné la tête sur lui-même et m'a donc fait face. Il était debout, petit, 90 cm environ, enveloppé des pieds à la tête dans une sorte de combinaison comme les bonshommes Michelin. Celui de droite a simplement tourné la tête vers moi, mais j'ai quand même eu le temps d'entrevoir son visage, en partie masqué par une sorte de casque. Tous les deux m'ont ensuite tourné le dos et il y a eu un éclair aussi violent que celui de l'arc électrique d'un appareil de soudure. Tout est devenu blanc autour de moi, une forte chaleur s'est dégagée, puis comme un souffle et quelques secondes plus tard il n'y avait plus rien.
" Je me suis alors approché de l'endroit où se tenait l'engin ; il n'y avait aucune trace. Cet objet mesurait 4 ou 5 mètres de diamètre et 2.50 mètres de haut environ. Il était de couleur bleutée, blanc sur les parties supérieures et inférieures. J'ai raconté tout cela à ma femme et aux gendarmes, tous m'ont cru tout de suite."
Effectivement, tant la gendarmerie que le Service de la Protection Civile ont pris cette aventure au sérieux. Des enquêteurs se sont rendus sur les lieux de l'apparition de l'engin, munis d'instruments de détection de radioactivité. Les recherches ne sont pas demeurées vaines. En effet, les enquêtes officielles ont relevé une radioactivité anormale dans un rayon de 5 à 6 mètres autour du lieu présumé de l'atterrissage. Bien plus, les vêtements du témoin, examinés eux aussi, ont révélé la présence de traces similaires, du moins sur les côtés se trouvant du côté de l'appareil. " Huit points de radioactivité ont retenu notre attention, a déclaré le capitaine Legros, chef du Service de la protection civile. Sur des touffes d'herbe, sur des galets, nous avons détecté jusqu'à 60 millièmes de Röntgen." (Aujourd’hui encore, aucune explication n’a été fournie publiquement.)
De tels taux sont certes faibles, mais aucune explication rationnelle ne peut justifier leur existence dans l'endroit où ils ont été relevés. Par ailleurs, il faut préciser que les opérations de détection ont été menées plus de dix jours après les événements et pendant la période des pluies tropicales qui n'ont pas manqué de laver abondamment le terrain, contribuant, sans aucun doute, à diminuer très sensiblement le taux de radioactivité.
La conclusion des enquêteurs apparaît d'elle-même : Luce Fontaine a assisté à un phénomène totalement anormal. Cependant, le point qui nous concerne plus précisément est celui de l'effet physiologique provoqué par la mystérieuse apparition. Le témoin a en effet, durant les huit jours qui ont suivi l'observation, été pris d'abondants saignements de nez qui n'ont pas manqué d'inquiéter le praticien consulté à cette occasion. Des analyses de sang n'ont pas révélé de troubles graves.
La Réunion est d'ailleurs un endroit assez privilégié en ce qui concerne les OVNI liés à l'Océan. On peut aussi mentionner une célèbre affaire survenue en 1975, trop proche de celle de Luce Fontaine pour être retenue pour certains, celle de Antoine Séverin :
Voici le procès-verbal de synthèse rédigé par brigade de la Gendarmerie Nationale de Petite-Ile, compagnie de Saint-Pierre, le 3 mars 1975. Ce document est apparu dans la littérature ufologique il y a longtemps.
Le 15 février 1975 à 10 heures, au bureau de notre brigade, se présente Mme S[-] Marie, sans profession, domiciliée à Petite-Ile dans la Réunion. Cette personne porte à notre connaissance que le 14 février 1975, vers 13 heures, son fils Antoine âgé de vingt et un ans a été fortement commotionné par un rayon lumineux provenant d'une boule brillante aperçue sur le piton du Calvaire à Petite-Île. L'intéressé a regagné sa demeure à pied en empruntant le chemin du cratère qui passe près du cimetière. Notre informatrice précise que son fils lui a déclaré avoir vu trois petits bonshommes descendre de l'engin bizarre qui ne touchait pas le sol, les avoir observés puis avoir été projeté à terre par un puissant éclair parti de la partie supérieure de la soucoupe laquelle s'est ensuite élevée en sifflant très fort. Mme S[-] ajoute qu'après lui avoir fait le récit dont il a été témoin, son garçon, très bouleversé et choqué, a perdu l'usage de la parole et que de ce fait le docteur en médecine T[-] de Petite-Île a été appelé au chevet du patient vers 19 heures.
Sur notre demande, Mme S[-] affirme que son fils Antoine, parfaitement équilibré, n'a jamais été soigné pour maladie mentale. Elle ne croit pas à une hallucination. Nous prenons alors contact avec le docteur T[-] Ce praticien nous déclare verbalement que S[-] Antoine victime d'un choc émotionnel important est sous l'effet d'une crise pithiatique. Qu'il jouit de toutes ses facultés mentales, qu'il n'est pas atteint de blessures et ne porte pas de brûlures. L'intéressé est placé sous contrôle médical et un repos de quarante-huit heures lui est imposé. Sous la direction du maréchal des logis P[-], chef de poste, tout le personnel de la brigade participe à l'enquête administrative.
Mesures prises
Au reçu de ces informations, à 10 h 15 le 15 février 1975, nous rendons compte des faits au commandant de la compagnie de gendarmerie à Saint-Pierre. Suivant les instructions de cet officier, nous procédons au recueil de renseignements complémentaires permettant de concrétiser l'affaire et de localiser si possible le lieu de l'apparition de l'objet volant non identifié. Un message établi à 14 heures le 15 février 1975, est adressé à notre commandant de compagnie et ce message fait état de nos premières investigations et constatations.
Etat des lieux et constatations
Selon les dires de Mme S[-] Marie, l'endroit où l'objet a été observé se situe sur le piton Calvaire, territoire de la commune de Petite-Île à la Réunion, à 300 mètres à l'ouest de l'agglomération. Ce piton, couvert sur ses versants de bois de filaos, comporte un plateau cultivé, traversé nord-sud par le chemin du cratère qui dessert quelques cases dissimulées dans la verdure. Compte tenu de l'imprécision du lieu et en raison du relief parfois rocailleux et broussailleux au sol, l'exploration du piton s'avère difficile. Nous ne découvrons aucune trace ou indice laissés éventuellement par le passage d'un objet volant non identifié.
Antoine Severin à l'endroit de l'apparition-Reunion-1975
Enquête
Le 15 février 1975 à 10 h 30, les gendarmes C[-] et C[-] se transportent au domicile de M. S[-] Maximin où se trouve son fils Antoine. Ils s'entretiennent quelques minutes avec l'observateur, celui-ci est alité. Ils constatent que l'intéressé est dans un état de prostration incontestable, ses yeux grands ouverts fixent l'inconnu. Sa mère présente, lui annonce la visite des enquêteurs, il tressaille. Aux questions qui lui sont posées, S[-] ne peut répondre de vive voix. Avec beaucoup d'acharnement par gestes, il décrit avec ses mains une forme ronde et allongée qui brille. Pour expliquer ce fait, il porte plusieurs fois ses mains horizontalement vers ses yeux.
Il montre ensuite quatre doigts de sa main indiquant ainsi qu'il y avait quatre passagers vêtus de blanc et désigne pour cela le drap de son lit. Sa main se maintient à environ un mètre du plancher indiquant la taille des sujets. Des explications muettes, il apparaît que trois personnages équipés d'antennes étaient au sol groupés près d'une échelle à trois marches, le quatrième se trouvait dans la sphère ou coupole. De sa position allongée, S[-] Antoine fait une esquisse de l'engin qu'il a aperçu. Il termine sa démonstration en portant d'abord ses mains aux oreilles, puis au front et ensuite aux yeux. Sa face est grimaçante, il peut alors émettre un sifflement aigu, de très bas en crescendo tout en faisant tourbillonner l'index de sa main droite pointée vers le plafond, expliquant alors que l'engin s'élevait et disparaissait.
Au préalable en décrivant les trois sujets, S[-] Antoine a élevé verticalement les deux index à 20 centimètres au-dessus de sa tête précisant qu'ils étaient équipés de courtes antennes et que celles du troisième ont bougé. A l'issue de l'entretien, S[-] Antoine, très agité, ne s'aperçoit plus de la présence des deux militaires dans la pièce.
Le 16 février 1975 à 9 heures, le lieutenant-colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Réunion, informé la veille des faits par notre commandant de compagnie nous ordonne d'effectuer une enquête, de rédiger un questionnaire OVNI et de procéder à diverses vérifications, notamment auprès des services de la tour de contrôle de l'aéroport de Gillot Saint-Denis, afin de connaître si des avions ou hélicoptères étaient en vol
le 14 février 1975 entre 12 heures et 14 heures. Les instructions émanant de cette haute autorité sont exécutées dans le courant de la matinée du 16 février 1975. Aucun aéronef n'a survolé le département de la Réunion aux dates et heures indiquées. A noter que le 14 février 1975, à 13 heures, heure de l'apparition de l'OVNI, le temps était clair, le ciel dégagé, le soleil non voilé se trouvait pratiquement au zénith, il n'y avait pas de vent, aucune précipitation de pluie n'a eu lieu depuis le 10 février 1975. Le 16 février 1975 à 15 heures, S[-] Antoine est toujours dans un état second, il n'a pas retrouvé l'usage de la parole et de plus sa vue s'est considérablement affaiblie. Il peut faire quelques pas et toujours par gestes tente quelques explications concernant l'OVNI. Nous comprenons alors que cet engin ne touche pas le sol au moment de l'observation et s'est stabilisé à environ 1,50 mètre de la surface.
S[-] Antoine explique que s'approchant du lieu de l'apparition, il a été attiré par des sons "bip-bip" qu'il peut prononcer une douzaine de fois. Il a cherché à savoir d'où venaient ces bruits et a ainsi découvert la soucoupe au fond d'un champ, sur sa droite à une distance de 15 à 20 mètres. S[-] saute à pieds joints pour nous faire comprendre la démarche de trois petits bonshommes se déplaçant sur la terre. Ceux-ci ont rejoint la passerelle qui s'est escamotée sous l'engin. Il explique avoir été renversé par une décharge lumineuse au moment où le troisième sujet qui lui a fait face a actionné ses antennes, les deux autres étant de profil.
En 1976, un gendarme se retrouve stoppé à St Denis par un nuage étrange. Photo de l'endroit-Réunion
S[-] s'est alors enfui en retroussant son pantalon. Le dialogue avec l'observateur s'avère fastidieux, notamment lorsque nous lui demandons de situer l'endroit de l'apparition. Nous remarquons alors qu'il ouvre plusieurs fois ses mains, sans en comprendre la signification. Un membre de sa famille nous apporte alors un dictionnaire franco-anglais, sur la page de garde vierge, S[-] a tracé au crayon l'objet qu'il a observé mais aussi une sorte de plan des lieux, lequel trop imprécis s'avère inexploitable par nos soins. Le dessin esquissé sur le Larousse, le 14 février 1975, peu après l'observation, est semblable à celui exécuté le 16 février 1975. L'objet volant non identifié a la forme d'un chapeau, type coiffure de la police montée canadienne. Deux hublots rectangulaires apparaissent à la partie supérieure; sous la soucoupe se trouve inclinée une courte échelle comportant trois marches.
Le 17 février 1975 à 8 heures, toujours très agité, encore dépourvu de la parole et de la vue, S[-] Antoine voudrait nous amener sur les lieux de l'observation mais, accompagné d'hommes armés. L'intéressé veut prouver sa bonne foi, mais ce transport est différé en raison du handicap physique du témoin. Avant tout, ce jeune homme doit être remis en confiance. Au début, son histoire a provoqué une certaine hilarité dans son village, puis il a fallu se rendre à l'évidence que les dires de S[-] Antoine pouvaient être pris au sérieux. Les renseignements complémentaires recueillis à son sujet indiquent qu'il est parfaitement équilibré. Plusieurs personnes entendues verbalement, semblent être convaincues de l'existence des soucoupes volantes, ou ne rejettent pas catégoriquement la possibilité de telles apparitions. Le même jour à 9 heures, nous contactons le responsable de la station météorologique de Gillot. il est porté à notre connaissance que dans le département de la Réunion, il n'est pas procédé au lâcher de ballons sondes. En outre, le président de l'aéro-club du Sud nous indique qu'aucun avion n'a décollé de la piste de Pierrefond Saint-Pierre le 14 février 1975 durant la journée.
A 11 h 45, nous rendons compte de la progression de l'enquête à notre chef de corps à Saint-Denis et l'informons de ce que le commandant L[-], directeur de la protection civile, doit se déplacer à Petite-Île. L'officier supérieur de la gendarmerie nous signale qu'il se rendra à Petite-Île le 18 février 1975, à 9 h 30.
A 18 heures, le 17 février 1975, téléphoniquement, le docteur H[-], remplaçant de son confrère T[-] nous dit avoir examiné S[-] Antoine dans la journée et que son diagnostic n'est pas alarmant. Le patient est difficile à questionner et peut rester dans l'état d'anxiété actuel, dû à un fort choc émotionnel, de trois jours à trois mois. L'état général est bon, le plus grand repos lui est conseillé sinon l'intéressé devra être confié à un psychiatre. Les autorités annoncées arrivent à Petite-Île le 18 février 1975 à 9 h 30 et sont conduites auprès de S[-] Antoine. L'intéressé alité, a la tête enfouie dans des coussins et serviettes de toilette. Au bout de quelques minutes et malgré une mise en condition précaire, S[-] Antoine se soumet sans difficulté à l'interrogatoire du lieutenant-colonel commandant le groupement de la gendarmerie.
Les gestes précisant l'OVNI et ceux de l'équipage sont les mêmes que ceux enregistrés les jours précédents. Parallèlement le commandant L[-], muni d'un appareil Geiger procède à une détection de radioactivité sur la personne et les vêtements de l'observateur. Le résultat est négatif. S[-] Antoine, plein de bonne volonté, veut conduire les personnes intéressées sur le plateau du Piton-Calvaire, mais doit y renoncer en raison de sa cécité. C'est alors qu'il nous fait comprendre qu'une voisine, Mme F[-] Albert, présente lors du récit initial, serait en mesure de nous emmener dans le champ de maïs où il a aperçu l'OVNI. Cette personne nous rejoint rapidement et nous dit avoir remarqué trois trous dans le sol. Elle nous guide à l'endroit indiqué, qui se situe non loin de son domicile près du chemin cratère, soit dans le périmètre englobant le plan dressé par le témoin quelques heures après l'observation.
En l'absence du témoin principal, nous nous fions aux dires de Mme F[-]. Cette personne se dirige dans un champ d'une superficie de 13 ares environ, propriété de Mme O[-]. Le sol est dénudé, mais quelques souches de maïs subsistent. Dans l'angle nord-ouest, Mme F[-], accompagnée de ses deux filles retrouve finalement l'emplacement des trois trous qu'elle dit avoir remarqués au début de la matinée du 15 février 1975. Ils sont espacés d'un mètre et disposés en triangle isocèle.
Ils n'ont pas de forme bien précise en raison de la friabilité de la terre et se confondent avec d'autres cavités ayant la même grosseur semblables à de petits bols profonds de 2 à 3 centimètres, très évasés. Ces creux répartis sur une grande surface du terrain semblent avoir été occasionnés par des oiseaux cherchant de la nourriture. La recherche d'autres indices s'avère d'autant plus compliquée que le sol a été largement foulé par des pas humains, plus particulièrement durant les journées des 15 et 16 février 1975. Le contrôle de la radioactivité effectué à cet endroit par le commandant L[-] est négatif.
Le 19 février 1975 à 22 h 45, au bureau de notre brigade, sommes avisés par M. S[-] Maximin que son fils Antoine a retrouvé, dans la soirée, l'usage de la parole et a retrouvé la vue. L'observateur désire que sa déposition soit rapidement enregistrée car il craint de ne pouvoir rester lucide très longtemps. A cet effet, l'audition de l'intéressé est recueillie à 23 h 50. Pendant près d'une heure, le gendarme enquêteur doit écouter le déroulement des faits vécus par S[-] Antoine le 14 février 1975 vers 13 heures. Il ne se souvient pas être resté six jours dans un état comateux et réalise péniblement cette vérité apportée par les siens. Au cours du récit qui reflète parfaitement les explications fournies par gestes, S[-] Antoine a des coupures. C'est-à-dire que pendant quelques secondes il retombe dans un état second. Lorsqu'il reprend ses esprits son corps tressaille. Il dit alors avoir été en communication avec l'objet, il veut nous conduire sur les lieux de l'observation. En raison de la nuit complète et de l'état de fatigue de l'intéressé, ce transport est reporté au début de la matinée du 20 février 1975.
Nous mentionnons qu'au début de notre entretien, S[-] Antoine porte à notre connaissance que deux jours avant l'apparition, il avait déjà entendu, dans un rêve, les sons "bip-bip" et que cela l'avait intrigué et énervé. Cet élément précurseur des faits est vraisemblable car un habitant de la commune de Petite-Île avait remarqué les 12 et 13 février 1975, l'attitude peu communicative de l'intéressé qui travaillait dans le magasin de son employeur, M. Gabriel A[-] L'observateur précise que l'échelle à trois marches en forme de porte ne touchait pas complètement le sol, que le premier personnage, genre nain Michelin, portait un instrument brillant et le second une sorte de sachet ou cornet également étincelant. Il ne les a pas vus en action de prélèvement d'échantillons de terre. Il a remarqué qu'ils se déplaçaient plus facilement sur l'échelle au contact du métal que sur le sol où leur démarche était gauche.
A 8 h 30, le 20 février 1975, S[-] Antoine, fermement décidé à nous montrer le lieu de l'apparition de l'OVNI, prend place dans la jeep de la brigade de Petite-Île conduite par le gendarme C[-] M. S[-] Maximin est présent, il accompagne son fils sur le chemin de terre aboutissant au sentier qui conduit aux habitations des S[-] et tape sur l'épaule du chauffeur, lui indiquant ainsi le champ de maïs déjà prospecté par les enquêteurs le 18 février 1975. S[-] Antoine fait quelques pas dans le champ, son regard dirigé vers le fond de la parcelle près du bois de filaos, il s'arrête subitement, porte les mains à ses oreilles en appuyant très fort, puis il vacille s'écroulant sur le sol.
Dessin d'après Luce fontaine-Reunion
Son pouls retentit faiblement, ses mains sont froides, ses yeux se révulsent. il est immédiatement ramené chez lui et ne reprend partiellement ses esprits que trente minutes plus tard. Il explique alors qu'une force inexplicable l'empêche d'avancer en direction du lieu précis où il a observé l'objet volant non identifié. Sur prescription du docteur L[-], S[-] Antoine doit être examiné par un psychiatre à l'hôpital Saint-Paul. L'intéressé accepte ce contrôle mais veut être accompagné par sa mère. A 8 h 55, le lieutenant-colonel commandant le groupement de gendarmerie de la Réunion est mis au courant des évolutions de l'enquête et plus particulièrement du comportement physiologique de l'observateur. Le même jour nous apprenons que S[-] Antoine, examiné à l'hôpital psychiatrique de Saint-Paul, a regagné son domicile dans le courant de la matinée.
Un deuxième contrôle de la radioactivité est effectué le 20 février 1975 sur la personne de S[-] Antoine, soit six jours après l'apparition supposée de l'engin non identifié. Le commandant L[-] n'a pas décelé de présence de radioactivité.
Au cours de l'enquête, plusieurs personnes ont été entendues notamment l'employeur, la fiancée, les compagnons de l'observateur ainsi que le maire de la commune de Petite-Île. Unanimement, elles dépeignent S[-] Antoine comme un garçon sérieux, honnête, sobre et jouissant de l'estime générale. L'audition de Mme S[-] Marie confirme sa déposition verbale du 15 février 1975 ayant motivé l'ouverture d'une enquête. Celle de Mme F[-] Marie précise que l'intéressée a été témoin d'un deuxième malaise survenu à S[-] Antoine le 22 février 1975 alors qu'il s'approchait du lieu où il avait observé la soucoupe volante. Malaise analogue à celui du 20 février mais d'une durée de deux heures. Dans divers témoignages, tant verbaux qu'écrits, il est précisé que S[-] Antoine n'est pas passionné de télévision (il n'en possède pas), ni de lectures à caractère scientifique ou humoristique traitant des soucoupes volantes ou autres phénomènes extra-terrestres.
Enfin le 24 février 1975 à 16 h 30, au cours d'une interview officielle accordée à un journaliste de Saint-Denis de la Réunion, S[-] Antoine accepte de se rendre sur le terrain du Piton-Calvaire. Aucune objection n'est formulée par les membres de sa famille. Arrivés à destination, c'est-à-dire dans le champ décrit plus haut, l'observateur, dès qu'il foule le sol, est victime d'une syncope inexplicable. Comme les deux fois précédentes il est possédé, semble-t-il, par la vision initiale, qui l'a profondément choqué. L'observateur agite ses mains parallèlement au sol, ses yeux se révulsent, son pouls ralentit et les extrémités des membres refroidissent. Ramené à sa demeure, il reprend ses esprits trente minutes plus tard.
Entendu à nouveau le 25 février 1975, S[-] Antoine ne peut expliquer ses pertes de connaissance chaque fois qu'il se rend sur place. Il entend encore les sons "bip bip", l'obligeant à se boucher les oreilles. Il affirme n'avoir jamais entendu parler d'une soucoupe volante aperçue en 1968 dans la plaine des Cafres (île de la Réunion) et déclare ne pas lire ou feuilleter des revues de science fiction.
De l'enquête effectuée, il ressort que S[-] Antoine, de bonne conduite et moralité, normalement équilibré, n'est pas un simulateur. Les personnes entendues ne croient pas à une hallucination de l'observateur et ses dires sont pris au sérieux. D'ailleurs deux personnes dignes de foi ont été témoins de l'observation d'un objet volant non identifié dans le ciel réunionnais. Il s'agit de M. P[-] Guy, déjà entendu, qui a aperçu
Par yvesh Le 22/01/2015
Suite des compilations de Janvier à Mars 2014. avril 2014 mai 2014 - juin 2014 - juillet-août 2014 - août-septembre 2014 - septembre-octobre 2014 - octobre-novembre 2014 -
Compilation Ovni UFOs année 2014 - parue en janvier 2015 - Plusieurs nouvelles vidéos réparties tout au long de l'année 2014 by pseudo 007
UFO,S Static Over Atrscan Russia - OVNI Flota EN Astracan Russia Edit 20-11-2014
Ovni ufo Amazing Unknown Transparent Vehicle Captured Over Vienna, Austria, Nov 26, 2014
The best UFO sightings of the past couple of months including many live television captures, a NASA capture and a great sighting over Las Vegas.
UN objet dans l'espace a partir de 0 minute 16 secondes sur la vidéo juste au dessus de la spirale nuageuse ( voir en plein écran ) 01-12-2014
Bizarre UFO Sightings [Interdimensional UFO Caught On Video - 10-2014] - Two bizarre ufo sightings submitted to Thirdphaseofmoon. John and Sherry Lyons While on vacation late October visit the sacred falls known as Akaka. Visited by Tourist tens of thousands of times a year. Take a look at what they captured. After zooming in you notice the spiritual being gives of refractions of light as it enters the waterfall. The Ancient Hawaiians call them The Kukuihaele, the dancing lights. Could this be an interdimensional being caught on video?
San Antonia Texas SAUFOTX submits his video of what he claims is a Cluster of Energy U.F.O's traveling overhead caught with his Infrared Video Camera and a 950 IR Filter. A massive flock of birds, balloons or something otherworldly take a look. [Mass UFO Fleet TX] Dec 2014
Its been making the rounds on the net, the original video link https://www.youtube.com/watch?v=AB--K...
UFO 2014 over Moscow Russia 04th december 2014
UFO OVER THE FOREST OVNI MEDELLIN COLOMBIA 06 December 2014
Mass UFO Sighting in California - December 6, 2014
Arizona - December 7, 2014
UFOs In Fleet in Santiago de Chile - OVNIs En Flota en Santiago de Chile 18-12-2014 (A mon avis, des phares d'avions ou d'hélico qui ont virés, d'où disparition)
Paris France UFO December 2014! Recorded From Seine River Eiffel Tower Sighting
UFO OVER AVILA IS HIDDEN IN THE CLOUDS Espagne, Avila, 19 DECEMBER 2014
Scott Waring : " Dans cette photo et vidéo magnifique vous pouvez voir un Ovni quitter le soleil. C’est un cliché très détaillé et qui ne laisse aucun doute quant à ce que vous voyez. Sa sortie a provoqué une explosion solaire massive. Je dis dans la vidéo que l’ovni fait la taille de la Lune, mais en bas à gauche se trouve la taille de la Terre. Qui est plus petite que le vaisseau mère. " - Date of sighting: Dec 24, 2014
Location of sighting: Earths Sun
Source: http://helioviewer.org/
Was looking at the Helioviewer online and noticed this giant triangle UFO leaving our sun. It exit caused a massive solar explosion. I say in the video that the UFO is moon size, but in the lower left corner is the earths size...which is smaller than this mothership. SCW
www.ufosightingsdaily.com - Bon, Scott Waring a tout de même la réputation d'en rajouter beaucoup, voir énormément... mais dans le lot, dans le sac, il doit bien y avoir de vraies choses...
OVNI dia Figuras en campos de Cultivo en Texcoco Mexico UFO Crop Circle Day in Texcoco 25_12_2014
UFO in Brazil 2 masive Sightings - OVNIS en Brasil 2 Avistamientos masivos 28-12-2014
OVNI negro sobre Cajicá, en dirección a Tabio, con forma hexagonal y rotando. Tabio - Cajica Cundinamarca, Colombia 31-12-2014
UFO OVNI Plativolo Platillo Objeto Volador No Identificado Artefacto Color Plateado Flotando Sobre Un Rancho En Mexico December 2014
Machu Picchu Flying Saucer UFO Sightings [Strange UFO Clouds] Dec 2014 - Two ufo videos submitted to Thirdphaseofmoon 1st lets go to Machu Picchu the 15th-century Inca city! Joeseph Stanton while visiting the Sacared site. looks in the direction of a young girls observation, of what looks to be a cigar shaped ufo hovering over the enigmatic ancient site. Skander Gharbi of Tunisia Captures A Strange Circular formation of Clouds, what could have formed this could phenomenon ?
Encore quelques observations pour ce mois de décembre 2014 (ces quelques vidéos n'en sont qu'un petit aperçu, juste le sommet de l'iceberg...)
Comme toujours, je vous invite à apprécier par vous même la valeur de ces vidéos, compte tenu de vos propres réflexions et sensibilités, à la lumières des événements historiques actuels également mais de l'augmentation mondiale de ces observations aussi (possiblement liées à la vente inconsidérée de drônes aussi de loisir, bien sûr). A vous de décider comme toujours...
Yves Herbo, Sciences, F, H, 22-01-2015
Questions / Réponses
Ajouter un commentaire