Particule 1

L'être Humain : un émetteur-récepteur qui s'ignore

yvesh Par Le 26/09/2018 4

Dans L'homme Spirituel

L'être Humain : un émetteur-récepteur qui s'ignore

 

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Ce titre étrange pour certains résume à lui seul les conclusions d'une série d'articles et de dossiers qui se centrent sur un sujet commun. L'être humain se reconnaît moralement et scientifiquement plusieurs sens et moyens de transmissions naturels et évolutifs, tels par exemple le langage ou l'écriture associés aux toucher et à la vision nécessaires pour leur réalisation. Nos sens naturels, de l’ouïe à l'odorat en passant par la vision, le goût et le toucher reconnus et "soignés" scientifiquement sont à l'évidence complétés par d'autres sens, moins connus et étudiés pour la plupart et donc encore moins évaluable et "soignables". Parmi le plus connu et mieux apprécié par la science récente se trouve le sens de l'équilibre, qui pose malgré tout toujours certains problèmes médicaux, donc scientifiques. Tous les effets néfastes et positifs de ce sens n'ont pas été découverts encore. Le sens de l'équilibre nous informe à tout moment de notre rapport à l'espace. Des canaux semi-circulaires sont intégrés au sens de l'ouïe dans notre oreille interne mais les signaux qu'ils captent sont interprétés par le cerveau de façon à pouvoir comparer avec la perception visuelle. L'œil et les canaux semi-circulaires envoient des données au cerveau sur la position de la tête dans l'espace et à quelle vitesse notre corps se déplace, accélère, ralentit, interagit ou non avec l'espace. Lorsque ces deux sens envoient au cerveau des informations considérées comme contradictoires (hors de la "physique" du cerveau), nous ressentons une désagréable sensation d'étourdissement, jusqu'à la nausée et le vertige, parfois pire...

Un autre sens moins connu mais reconnu est celui qui découle du sens de l'équilibre allié à celui du toucher. Il est appelé scientifiquement la Proprioception et elle est très utilisée par les danseurs par exemple. Les muscles envoient des données au cerveau sur les variations de forces qui lui sont nécessaires pour contrebalancer les effets de l'attraction terrestre. Et le toucher informe en permanence sur la position de chaque membre par rapport au reste du corps, le tout est aidé par les réflexes. On utilise aussi tous ce sens quand on a les yeux recouverts de mousse sous la douche et qu'on continue à se nettoyer les yeux fermés sans soucis.Un autre sens reconnu mais déjà plus contesté et sujet à théories est le sens du Temps. Dans les dogmes postulés jusqu'à présent par les chercheurs historiques, cette notion fait appel à la durée et au rythme. En comparant ses mémoires (par exemple entre le coucher et le lever), le cerveau reboucle ses informations et déduit un écoulement de temps entre les deux. On fait très bien la différence quand on n'a dormi que 3, 6 ou 9 heures d'affilées par exemple. Cette perception du temps est constante et inégale subjectivement selon les individus mais suffit à obtenir en permanence notre position temporelle par rapport au reste de l'univers (perceptible). Cette notion est renforcée par le fait qu'une anesthésie totale provoque une annulation de ce sens : la notion de temps n'existe pas au réveil, et celui-ci à l'air instantané, sans aucun notion de durée estimable par le cerveau... d'autres notions seraient avancées par des chercheurs, notamment sur l'organisation du temps via le rythme du cœur humain ou encore une sorte de synchronisation de cycles communautaires lié au rythme biologique humain estimé être en moyenne de 24 heures 30 minutes. Il y a aussi le chercheur Maxime Sainte-Marie par exemple qui affirme pour sa part que le Temps n'existe pas et que nous l'avons toujours confondu avec le rythme, et il le prouve même :

 

Si les organismes vivants et les assemblages mécaniques communiquent leur rythme aux autres éléments grâce à la structure à laquelle ils appartiennent, nous pouvons alors ajouter le sens du rythme au sens du temps.

 

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André Mayer propose, dans Apologie des contraires, la notion que le genre pourrait être considéré comme un sens à part entière. Etre une femme ou un homme (ou quelque part entre les deux) serait-il lié à une émanation ou une configuration corporelle qui en donnerait le sentiment ? Pourrait-on attribuer ce sens, pourquoi pas, à nos organes sexuels ? La nature, même sous la forme sexuée la plus rudimentaire que celle du mollusque, bien que dépourvue de la vue, de l'ouïe et de tous les sens reconnus comme tels, n'en a pas moins la perception de ce qui lui est indispensable pour se reproduire...

Mais d'autres pistes existent et, avec les progrès de la science, commencent à sortir de l'ornière du "peu probable" au "possible". Ces autres sens ou moyens de perceptions, de transmissions sont liés a des notions nettement plus sensorielles, comme le fait qu'un aveugle peut développer ses autres sens jusqu'à obtenir d'autres échos et données sur les réalités spatio-temporelles qui l'entourent, mais aussi les cas de perceptions et de transmissions à distance, et même des soins prouvables à distances. Les sens liés aux sourciers (les chercheurs de sources d'eau) et à la prédiction sont un peu mieux compréhensibles ou mis en lumière par les réelles prédictions statistiques en physique et les possibilités de la physique quantique.

Il n'est pas inutile ici de commencer par un avis scientifique sur les dogmes actuels :

Les dogmes de la Science remis en cause par Rupert Sheldrake

La démarche scientifique est-elle réellement porteuse de « vérité » ? Rupert Sheldrake, scientifique éminent, dénonce une série de dogmes établis, qui selon lui ne tiennent plus et empêchent de nouvelles découvertes. Découvrez la conférence TEDx qui crée cette polémique, traduite en français exclusivement par l’INREES.

Le biologiste Rupert Sheldrake a créé la controverse lors d’une conférence de TEDx en janvier 2013. Au point que la vidéo a été retirée, avant d’être finalement remise en ligne. La raison de la discorde ? Des dogmes que la science ne veut pas examiner scientifiquement, et qui conditionnent son fonctionnement : l’idée que l’univers est une grande machine sans âme, que notre réalité n’est que physique et que la matière est inerte, que la nature et les constantes de l’univers sont fixes, que le libre arbitre est une illusion, que la conscience est le produit du cerveau…

Selon Rupert Sheldrake, « il y a un conflit au cœur de la science. D’un coté, elle repose sur une méthode de recherche basée sur la raison, la preuve, et l’investigation collective, et de l’autre, elle est fondée sur un système de croyances. Malheureusement, ce consensus existant sur la réalité des choses en est venu à inhiber et restreindre la recherche libre qui est l’essence même de l’effort scientifique ».

Ce scientifique, mondialement connu pour sa théorie sur les résonances morphiques et auteur de plus de 80 papiers scientifiques, a consigné ses arguments dans son dernier livre The Science Delusion (« L’Illusion de la Science »).

 

 

LES THERAPIES QUANTIQUES

(The living Matrix)

La nouvelle vision du corps humain

Loin de la conception cartésienne de l'être humain, des scientifiques sont en train de prouver l'existence de champs énergétiques liant le corps, l'esprit et l'environnement. Le documentaire The Living Matrix évoque ces pistes de recherches qui bouleversent nos conceptions traditionnelles. Si le film juxtapose parfois les témoignages et les découvertes scientifiques sans démontrer leur lien logique, il esquisse aussi le portrait prometteur d'une médecine d'avenir.

Serions-nous à l’aube d’une révolution médicale ?

Les avancées en matière de biophysique et de soins bioénergétiques sont en passe de changer fondamentalement notre conception de l’univers et de l’être humain. Les peuples premiers et les cultures ancestrales ont toujours considéré l’univers comme un tout. A la fin du 17ème siècle, les découvertes d’Isaac Newton et de René Descartes nous ont extraits de la trame de cet Univers, créant un modèle mécaniste où nous sommes tous séparés les uns des autres, et où l’esprit est séparé du corps. Un esprit réduit à un épiphénomène de la matière. Un corps sans pensée ni intériorité, qu’on voit comme une machine chimique à deux moteurs : le cerveau et le cœur, et qu’il suffit, en cas de défaillance, de rebooster avec la bonne substance chimique pour aller mieux.

Il n’y a plus d’interconnexion entre les êtres vivants, et tout n’est plus qu’une histoire de suprématie de la matière, régie par des lois fixes. Cette idée réductionniste demeure le fondement de la pensée occidentale. Et notre médecine actuelle fonctionne encore sur cet ancien paradigme de la physique. Pourtant, aujourd’hui, des chercheurs en biophysique et biologie cellulaire vont vers une nouvelle compréhension de l’Univers, de l’Homme, du corps, de l’esprit et de la maladie, laissant entrevoir alors de nouvelles perspectives sur le plan médical. Le documentaire The Living Matrix, réalisé en 2009, par Greg Becker, donne la parole à des chercheurs, des thérapeutes, une journaliste scientifique, Lynne Mc Taggart ou encore l’astrophysicien Edgar Mitchell, pour explorer les principes de la bioénergétique du champ corporel humain.

Si, à sa sortie, ce film n’avait pas fait grand bruit, il devient aujourd’hui une référence pour tous ceux qui s’intéressent aux médecines alternatives. Un succès tardif qui coïncide avec une ouverture d’esprit récente du grand public, et symbolise une tendance à ne plus vouloir considérer la science comme une vérité immuable et absolue. « A travers les siècles, explique le Dr Bruce Lipton, biologiste et généticien, nous nous sommes focalisés sur la réalité mécanique et avons abandonné le concept d’énergie et de champs dans la biologie. Mais on reconnaît maintenant que l’esprit est un champ énergétique de pensée que l’on peut lire avec les capteurs d’un électroencéphalogramme ou encore mieux, à l’aide d’un nouveau procédé de magnéto-encéphalographie, une sonde qui, bien qu’elle soit placée en dehors de la tête, peut lire les champs de l’activité nerveuse, sans même toucher le corps ». « La physique quantique tente de comprendre comment les cellules se parlent entre elles et comment elles gèrent l’information », explique Peter Fraser, chercheur en biophysique. 

 Documentaire à voir : The Living Matrix

 

LA RECONNEXION DU DR ERIC PEARL du film "THE LIVING MATRIX" (VF)

 

 

 

https://www.filmsdocumentaires.com/films/1007-the-living-matrix (sous-titré en français - payant)

 

Le documentaire en VO

 

Site: www.Frequences-Reconnectives.fr. (YH : notez que ce groupe a quitté en 2016 la "mouvance" du Dr Pearl, non pas à cause de la méthode en soit, mais pour des raisons à priori financières et d'engagements liés). LA RECONNEXION du Dr Eric PEARL (extrait du film The Matrix Living produit par Emaginate, réalisé par Greg BECKER et Harry MASSEY, traduit en français par Salvatore LAURICELLA-Praticien Professionnel de La Reconnexion et son équipe.). Ce film nous raconte l’histoire émouvante et fascinante d’une guérison incroyable d’un enfant atteint de paralysie cérébrale par la Reconnexion de Guérison. Commenté par la mère du petit garçon et par le Dr Eric PEARL lui-même, auteur du livre best-seller international : " La Reconnexion®: Guérir les autres et se guérir soi-même", paru déjà en 30 langues. Cette vidéo nous démontre un exemple extraordinaire des nombreux bienfaits qui peuvent se produire par la Reconnexion du Dr Eric PEARL qui agit bien au-delà du corps physique et qui, de nos jours, est en train de révolutionner la science moderne…

Ceci n’est pas une fiction avec des machines qui contrôlent le monde (quoique !). The Living Matrix est un documentaire qui donne la parole à des chercheurs et praticiens sur les dernières découvertes en terme de santé et de guérison. Les guérisons « miraculeuses » le sont-elles vraiment? Quelle est la signification d’un cancer? Comment soigner une maladie chronique? Où se situe vraiment la nature de l’information qui régit notre santé et notre équilibre ? Vous connaissiez l’effet Placebo, découvrez maintenant the Living Matrix !

A la lumière de la physique quantique, nous savons désormais l’importance des pensées et des croyances dans les maladies et les processus de guérison. La santé comme vous allez le découvrir est essentiellement une question de choix. Alors choisirez-vous la pilule bleue ou la pilule rouge?

(à découvrir aussi, le documentaire What the bleep do we know en 3 parties vostfr pour mieux comprendre les découvertes révolutionnaires de la physique quantique) :

 

 

 

 

Le pouvoir de la pensée

D’après les scientifiques intervenant dans ce documentaire, tout est question d’interconnexions entre les champs énergétiques du corps et de l’esprit. Les pensées, qui possèdent une réelle énergie physique, iraient même jusqu’à créer le corps. Le mental, l’intention et les croyances seraient alors trois facteurs capables d’influencer la maladie ou la guérison. « Nous avons constaté en laboratoire que lorsque nous avons des pensées positives, nous envoyons des substances chimiques, explique Edgar Mitchell.

Pareil pour les pensées négatives qui ont un effet significatif sur le comportement des cellules. » Si je pense : « Je vais aller mieux », serai-je réellement capable de me soigner ? « Un tiers des guérisons - incluant les médicaments, la chirurgie et autres interventions allopathiques - tient de l’effet placebo, répond Dr Bruce Lipton, c’est-à-dire au fait qu’une croyance puisse influencer la biologie d’une personne.

Autrement dit, un tiers parvient à se guérir par la pensée positive, c’est fabuleux ! Pourtant, on en parle quinze minutes en cours de pharmacologie, et on continue d’ignorer le pouvoir de la pensée et des processus mentaux sur la biologie ! ».

Peut-il exister un transfert d’informations et d’énergies à distance, comme en sont capables certains guérisseurs qui agissent sur leurs patients dont ils sont pourtant séparés par des milliers de kilomètres ou encore des personnes proches qui se connaissent bien ? Après avoir effectué des études sur des couples dont l’un des partenaires souffrait d’un cancer, on a constaté une corrélation significative entre l’activité physiologique de celui qui envoyait des pensées d’amour et de compassion à distance et celle de l’autre qui, même à des centaines de kilomètres, et sans le savoir, réagissait instantanément. « Cela suggère qu’il y a un moyen par lequel l’information est transférée », assure Marilyn Schlitz, chercheuse et présidente de l’Institut des Sciences Noétiques.

La physique quantique a découvert ce qu’on appelle le « champ du point zéro » ou l’énergie du vide. Un échange d’énergie entre les particules subatomiques composants de la matière de taille inférieure à celle d’un atome qui « en s’envoyant et en recevant de l’énergie créent, le temps d’un battement de paupière, des particules virtuelles, explique Lynne Mc Taggart. Ce petit échange ne représente pas beaucoup d’énergie, environ un demi-watt. Mais lorsqu’on additionne toutes les particules subatomiques qui font cet échange d’énergie à travers tous les éléments de l’Univers, on arrive à une quantité d’énergie inimaginable. Ce champ d’énergie géant, nous y sommes tous connectés, même aux plus lointains confins de l’univers. ».

http://www.philo5.com/Cogitations/031004%20Les%20huit%20sens.htm

http://www.inrees.com/articles/Les-dogmes-de-la-Science-remis-en-cause-par-Rupert-Sheldrake/

http://messagesdelanature.ek.la/les-therapies-quantiques-p390029

 

A suivre dans d'autres articles sur le même thème 'L'Homme Spirituel" - sur les guérisons à distance, des témoignages, des perceptions à distance ou proches, etc...

 

Yves Herbo-Sciences-F-H-03-02-2014, MAJ 26-09-2018

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