Un radiesthésiste détecte des souterrains et une salle sous Carcassonne - MAJ 05-08-2014
Albert Fagioli
Le radiesthésiste Albert Fagioli est actuellement dans la Cité de Carcassonne, en France, pour y vérifier in situ les découvertes qu'il a faites en travaillant chez lui, sur des cartes du monument.
Grâce à un appareil en métal, le Dowser (sorte de baguette de sourcier des temps modernes), M. Fagioli a repéré sur plan une quinzaine de souterrains, qui pour la plupart entrent et sortent de la Cité. Mais il a également mis en évidence une galerie en sous-sol qui va de la tour du Tréseau à la porte Saint-Nazaire.
Devant la Tour du Treseau, Carcassonne
Une pièce souterraine :
Le plan sur lequel a travaillé M. Fagioli avec l'emplacement de la salle souterraine (Photo par D.R.)
Fin juillet 2014, son Dowser en mains, Albert Fagiolia attesté l'existence de cette galerie ainsi que celle d'une pièce souterraine circulaire de 8 m de diamètre, enfouie à 15 m de profondeur sous un parking, en plein centre du monument.
Il a repéré ce tracé d'une galerie en sous-sol, partant de la Tour du Tréseau pour traverser le monument jusqu'à la porte Saint-Nazaire. Et, au milieu, sous l'ancien jardin potager du couvent des sœurs de Saint-Vincent-de-Paul, il a dessiné les contours d'une salle souterraine circulaire… Cette salle, "elle est bien là", affirme-t-il une fois rendu sur les lieux, devenus aujourd'hui un parking pour l'hôtel du Donjon.
Presque à l'identique du dessin qu'il avait fait sur le plan, Albert Fagioli retrouve les limites de la salle et fait de grandes traces au sol avec les pieds. À l'aide d'une baguette type sourcier, il affine puis détermine la taille de la salle : environ 8 m de diamètre. Il teste ensuite sa profondeur : elle serait enfouie à quinze mètres sous terre. Enfin, il se concentre sur un nouveau mouvement de sa baguette et lâche, furtivement : " Il y a quelque chose…"
Repérage d'un souterrain
Troublant
Quoi ? On n'en saura pas plus. Un trésor, peut-être ? Albert Fagioli ne veut pas s'avancer. Il a fait face, depuis toutes ses années de pratique de la radiesthésie, à de nombreux sceptiques et ne veut certainement pas ajouter de l'eau au moulin de ses détracteurs. Mais sa capacité à repérer, sur plan, les cavités souterraines et la précision avec laquelle il a effectué, hier, à la Cité, ses confirmations de terrain, sont troublantes. Tout comme ces mouvements du Dowser placé entre les mains d'une consœur journaliste qu'on ne peut soupçonner de complicité. Reste à confirmer, par des fouilles éventuelles, la présence de ces cavités, souterraines et peut-être trésors…
À l'aide de son dowser, outil de recherche radiesthésique, sorte de tube en acier contenant de la poudre radioactive, incliné sur un petit manche, qui effectue des mouvements giratoires à l'approche de cavités ou d'eau, l'homme dit en effet avoir découvert plusieurs portions de souterrains sous la cité médiévale, huit en tout. Certains seraient reliés entre eux et mèneraient à cette salle souterraine, dans laquelle il affirme sans aucun doute qu'il y a quelque chose, même s'il ne veut pas révéler sa nature exacte. Cette étendue privée non-constructible au-dessus de la supposée salle du trésor est l'ancien jardin potager des sœurs de Saint-Vincent de Paul, qui avaient leur couvent à proximité, aujourd'hui le parking de l'Hôtel du Donjon. Pour découvrir ces cavités mystérieuses, Albert Fagioli, passionné d'histoire, qui a notamment travaillé sur le trésor du duc d'Enghien, procède d'abord à distance, chez lui, à partir de cartes ou de vues du ciel tirées de Google maps. Avec un pendule ou son dowser, il procède à un repérage général des lieux probables des souterrains ou cryptes. C'est ensuite en allant sur le terrain qu'il peut affiner sa recherche en arpentant les lieux à l'aide de divers outils qui fonctionnent grâce à un don extrasensoriel. « Chaque personne a ce don, mais c'est puissant d'une échelle de 1 à 10 (selon les individus) » explique-t-il. Pour découvrir si l'homme dit vrai et s'il y a effectivement une cavité souterraine renfermant un possible trésor, il faudrait enclencher des fouilles, ou plus facile d'abord, introduire une caméra le long d'une fibre optique dans le sol pour déceler les mystères de cette cavité inconnue.
" Il y a quelque chose là-dedans ", affirme le radiesthésiste amateur, mécanicien sur machines offset de profession, qui a notamment écrit un livre sur ses découvertes concernant le trésor du Duc d'Enghien, sensé avoir caché la fortune des Condé dont il avait hérité après la Révolution.
MAJ 05-08-2014 : Commentaires de Mr Albert Fagioli sur facebook : " Confirmation de la présence de 9 départs de souterrain depuis l'enceinte de la Cité de Carcassonne, du départ de 3 souterrains depuis le château comtal, d'un départ de souterrain depuis le pillier du pont pour entrée dans le château comtal (direction la Basilique Saint-Nazaires) (Celui-ci semble être connu par les anciens de Carcassonne et il aurait été bouché par les Allemands pendant l'occupation de la Cité) (Pourquoi les Allemands auraient bouché ce souterrain ??? Et en creusé d'autres !!!! Pour chercher quoi !!! )
Quel chance pour Mr Fagioli que cette salle se trouve sur un parking...on a pu ainsi définir les dimensions exactes, ainsi que les deux départs de souterrain depuis celle-ci. Et surtout la présence d'une salle souterraine d'environ 8m circulaire dans le parking de l'Hotel du Donjon... Avec un départ depuis la tour du Tréseau et de la Tour Saint-Martin (depuis la tour Saint-Martin il y a une sortie en dehors de la Cité)
A quelques mètres près tout ces souterrains ont été confirmés, ainsi que la salle souterraine en présence d'un responsable de la Cité, de trois journalistes...qui ont été litérallement scotchés par mes confirmations sur le terrain...
Un rapport détaillé va être envoyé au Maire de Carcassonne, Mr Gérard Larrat, au responsable de la DRAC Mr Henri Marchesi (qui a déjà reçu mes deux autres rapports sur Rennes-le-Château et Alet-les-Bains) et la directrice du Centre des Monuments Nationaux, Mme Bénidicte Lefeuvre...Sans oublier une copie à Mme Delphine Christophe, des Bâtiments de France à Montpellier...
Pour info il n y a qu'une seule salle souterraine qui m'intéresse dans la Cité, il peut y en avoir d'autres, ainsi que d'autres souterrains...mais les principaux sont sur mon croquis qui sera bientôt publié sur mon blog et mon Facebook... D'ici la fin d'année il va y avoir d'autres découvertes (localisations) dans l'Aude publié sur mon blog....A suivre... " Albert Fagioli
Deux choses pour compléter cet article. Tout d'abord, un drône a récemment survolé la belle cité de Carcassonne et sa vidéo a été mise en ligne par la Mairie. Mis en ligne ce lundi sur le site internet de la Ville, un film de près de trois minutes offre une vision inédite de Carcassonne et de la Cité, grâce au marché passé par la municipalité avec la société catalane Modélisme 66. Agréé pour la prise de vues en milieu urbain et évenementiel, la société basée à Perpignan a oeuvré jeudi dernier pour les prises de vue opérées au moyen d'une caméra embarquée sur un drone. Les voici, ce qui nous permet d'admirer de haut l'ensemble de la zone.
En ligne depuis ce 4 août 2014, ces images seront diffusées à l'occasion des journées du patrimoine les 20 et 21 septembre 2014 par le ministère des Affaires étrangères à l'entrée de l'hôtel du ministre. :
Ensuite, le radiesthésiste Albert Fagioli a découvert d'autres salles et souterrains sous l'Abbaye d'Alet :
Alet les bains en 1905
" En compagnie d'André Galaup, lui aussi passionné d'Histoire (et auteur d'un livre démythificateur sur l'abbé Saunière), le chercheur "extrasensoriel" (A. Fagioli se qualifie ainsi) s'est rendu dans les ruines de l'abbaye d'Alet-les-Bains. Son but ? Démontrer l'existence, comme il y a un an à Rennes-le-Château, de diverses cavités. Dowser en mains (équivalent moderne de la baguette du sourcier), il a délimité les périmètres concernés : " Sous la cathédrale, entre la nef et le chœur, il y a une salle souterraine de 11,60 m sur 8,60 m située à environ dix mètres de profondeur et elle est reliée à une autre salle, circulaire celle-là (7,85 m de diamètre) implantée sous l'autre église. Sous cette salle circulaire, il pourrait y avoir des malles contenant les archives du diocèse d'Alet ". Selon lui, dans la crypte située sous la cathédrale, il y aurait des tombeaux renfermant les restes d'anciens seigneurs, moines, père abbés...
Tunnel sous l'Aude
Toujours par radiesthésie, il a également repéré un souterrain situé à 17 m de profondeur : " Il passe sous le fleuve Aude et rejoint un lieu-dit nommé 'Le Casteillas'. Je pense que la direction régionale des affaires culturelles devrait entreprendre des fouilles. Elles démontreraient ce que j'ai repéré avec le dowser ". En ces temps de restrictions budgétaires, il n'est pas sûr - du moins le suppose-t-on- que des fouilles soient bientôt engagées. "
Cet article et éventuelle découverte (la balle semble être dans le camp de la Mairie de Carcassonne et de l'Hotel en question maintenant), rejoint la série de données regroupées dans "L'Homme Spirituel".
Les Scandinaves du Néolithique utilisaient des bateaux en peau d'animaux pour la chasse et les échanges, le transport à longue distance. Une étude récente menée par le Dr Mikael Fauvelle et publiée dans le Journal of Maritime Archaeology suggère que la culture scandinave antique de la céramique piquée (PWC) aurait pu construire des bateaux en utilisant des peaux d'animaux, en particulier des peaux de phoque, pour naviguer, pêcher, chasser et transporter, échanger sur de vastes distances. La PWC a prospéré entre 3500 et 2300 avant J.-C. dans les régions entourant la mer Baltique et la mer du Nord, y compris certaines parties de la Suède, du Danemark et de la Finlande actuels.
Gigès, le mystérieux inventeur de la monnaie métallique
Pièce de Lydie en Electrum
Les plus anciennes pièces de monnaie métallique, marquant peu à peu le changements définitif (pour le monde entier sauf aux Amériques, où les peuples ont continué leur économie spécifique jusqu'à l'arrivée des envahisseurs et culture dévastatrice) de l'économie de l'Humanité, passant de la dernière économie créée (le troc) aux échanges par monnaie de substitution, toujours pratiqués de nos jours, ont été découvertes en Turquie, dans l'ancien Royaume de Lydie (ou Méonie pour Homère). Les Lydiens (aussi connus comme les Lud par les Egyptiens et Assyriens) était un peuple indo-européen descendant de Lydos, fils d'Attis d'après Homère. Quand on sait qu'Attis est en fait un Dieu très connu, d'origine Phrygienne (qui dominaient les Lydiens au début) et que l'on retrouve sous le nom d'Adonischez les Grecs et Romain ou Tammuzchez les Hindoux, on devine que les origines mêmes de ce peuple sont aménagées. Et ce n'est pas mieux pour leur Roi Gigès, qui a régné (d'après la science officielle mais avec une fourchette temporelle) de entre 708 et 687 avant Jésus-Christ, sa mort étant entre 680 et 648 avant Jésus-Christ...
Crésides d'argent, attribuée à Crésus-5ième siècle av JC
Il était appelé Gugu par les Assyriens, et serait à l'origine des traditions bibliques sur Gog, prince de Magog (c'est-à-dire en assyrien mā(t) Gugu : « pays de Gygès »). En fait, on ne sait pas vraiment comment il est arrivé au pouvoir car les sources sont rares (donc à fiabilité resteinte) et divergent complètement... :
Selon Hérodote (né vers 484 avant notre ère et mort vers 420 - donc 250 ans après environ), Gygès était à l'origine le fils d'un des gardes et le confident du tyran Candaule, (ou Sadyate, ou encore Myrsile), roi très légendaire descendant d'Héraclès (Hercule), qui était un roi vantard qui ne cessait de vanter la beauté de sa femme. Ne supportant pas que Gygès puisse douter des charmes de son épouse, Candaule lui donne l'ordre de tout faire pour la voir nue et constater sa vérité. Après avoir refusé car pensant que c'est indigne, Gygès finit par céder et se cache dans la chambre royale au bon moment pour admirer le déshabillage de la Reine. Mais celle-ci le découvre sans le laisser paraître. Elle a compris que le roi ne peut être que l'auteur de cette indignité et décide de se venger de cet outrage. Elle convoque Gigès le lendemain et lui fait le chantage suivant : soit il assassine Candaule, devient son époux et le nouveau Roi, soit il est exécuté... Gigès n'a pas trop le choix, poignarde le Roi et s'empare du trône de Sardes, capitale de la Lydie...Mais selon Platon (né en 424/423 av. J.-C., mort en 348/347 av. J.-C. - donc 300 ans après environ), Gygès n'était qu'un simple berger lydien à l'origine, qui faisait paître son troupeau lorsqu'un violent orage fit s'affaisser une colline. Il s'y aventura et découvrit un énorme cheval de bronze dans les flancs duquel étaient pratiquées des portes (Cheval qui rappelle un peu le célèbre Cheval de Troie de part sa description !). Après avoir ouvert ces portes, Gygès aperçut à l'intérieur du cheval le squelette d'un géant portant au doigt un anneau d'or. Il se saisi de cet anneau, se le passa au doigt, et, sans dire un mot de son aventure, il alla rejoindre les autres bergers du voisinage. Par hasard, il remarqua que, à chaque fois qu'il tournait sa bague vers l'intérieur, il devenait invisible de tous, tout en gardant la faculté de voir et d'entendre ce qu'il se passait autour de lui. Dès qu'il retournait la bague en sens inverse, il redevenait visible. Après avoir essayé les pouvoirs de son anneau par plusieurs expériences, il se rendit au palais et séduisit la reine. Il complota avec elle la mort du roi, le tua et s'empara du trône...
Le mystère des tunnels de la cité engloutie de Baïes
Baïes (Baia de nos jours) est le nom d'une ancienne cité romaine, située en Italie, plus précisément au nord du golfe de Naples, dans une anse sur la rive est du cap Misène, entre la pointe de la Lanterne au sud et la pointe de l'Épitaphe au nord. Elle est proche de la base navale romaine de Misène, et fait face à Pouzzoles, de l'autre côté de la baie donc.
Plutôt qu'une ville, Baïes était un regroupement de villae de villégiature étagées sur la pente intérieure d'un ancien cratère (l'endroit est une caldeira volcanique, suite à une éruption explosive vers - 35000), en partie submergé par la mer, Baïes devait son succès à la douceur de son climat et surtout à la présence de sources thermales engendrées par le volcanisme actif des Champs Phlégréens. Ces sources chaudes, sulfureuses ou salines, sont vantées comme les plus curatives et les plus abondantes d'Italie par Pline l'Ancien, Strabon, Florus, Fronton et aussi Flavius Josèphe.
Des milliers d'outils en pierre taillée, d'os de chevaux, et une dent de lait humaine: une grotte du plateau central iranien a livré des traces d'occupation humaine vieilles de 452.000 à 165.000 ans, les plus anciennes jamais trouvées dans cet immense territoire à la croisée du Levant et de l'Asie.
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Commentaires
1
Sweetlilou
Le 18/07/2015
Les sourciers de nos campagnes ont pendant des siècles, et tout récemment encore, recherché de l’eau en utilisant leur baguette de coudrier en forme de Y.Tenant celle-ci à deux mains et bien horizontale, ils parcouraient lentement un terrain, jusqu’à ce que la baguette se redresse verticalement, indiquant la présence d’eau souterraine.Les sourciers expérimentés savaient, non seulement détecter la présence de l’eau, mais aussi sa profondeur, sa quantité et même sa qualité (potable, douce, dure…).C’est grâce à cette méthode que furent déterminés les emplacements de la plupart des puits ruraux anciens. Cette méthode relève de la radiesthésie et sur cette page, on en parle justement:http://radiesthesie.confort-domicile.com/
2
Gascht
Le 18/08/2014
Ceci me semble très intéressant félicitations pour toutes les recherches cela est super