Un premier hommage a fait l'objet d'un article ici : http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/ovni-ufo/ovnis-et-personnalites-guy-mouny.htmlGuy-Claude Mouny était un écrivain français qui s'est mit à l'écriture assez tardivement, vers ses 59 ans. Membre de l'ORSEM en tant que Colonel, il a affirmé lui-même avoir eu des rapports très suivis avec les services secrets lors de sa carrière professionnelle, et que c'est certains papiers et rapports, ainsi que son goût des mystères non élucidés (il a été aussi en rapport avec l'Ufologie), qui l'avaient incité à devenir écrivain. Dans la préface du livre « Le Secret de François 1er » de son ami Didier Coilhac, il avouait avoir eu pour ami le Comte de Marenches, ancien Directeur Général du SDEC, (le Service de Documentation Espionnage et Contre Espionnage). Il déclara laconiquement à la radio « Ici et Maintenant » : « J'ai roulé avec le SDEC… ». Egalement auditeur de l'IHEDN, l'Institut des Hautes Etudes de Défense Nationale : il en avait fondé la section marnaise. On retrouve des membres de l'IHEDN comme auteurs du fameux rapport Cometa qui statuait sur les Ovnis. De hautes personnalités bien informées concluaient que les ovnis étaient des engins volants à la provenance inconnue. L'hypothèse extraterrestre était discrètement présentée comme la plus plausible. Comme on pouvait s'y attendre, ce texte fut sévèrement jugé par certains officiels qui n'y participaient pas.Ses enquêtes l'ont finalement convaincues qu'il touchait du doigt une certaine vérité, ce qui l'a poussé à écrire sans relâche et chaque année sur des sujets très proches. Né à Reims en 1930, il est mort dans la nuit du 14 juillet 2007. Il était également Commandeur de l'Ordre National du Mérite.
Mais ce site retrace en plusieurs pages la carrière à cet auteur qui a finalement rencontré beaucoup de monde, y compris des hommes politiques et des vedettes des médias... http://didier-coilhac.com/guy-claude-mouny.html
Bibliographie :
La Croix égyptienne- Si l'Ankh m'était conté, Opuscule de recherche, 1989.
Le Grand Secret des Pyramides de Guizeh (avec Guy Gruais), éditions du Rocher, 1992.
Le Grand Secret du Sphinx de Guizeh (avec Guy Gruais), éditions du Rocher, 1994.
Le Grand Secret du Signe de vie (avec Guy Gruais), éditions Mézarek, 1996.
Guizeh, au-delà des grands secrets (avec Guy Gruais), éditions du Rocher, 1997.
Rennes-le-Château, un autre regard sur l'énigme, éditions Cheminements, 1999.
La Symbolique des dieux, éditions Cheminements, 1999.
Les Engins, l'espace et ceux qui l'occupent : de Peenemünde à Cuicuilco, éditions Cheminements, 2000.
Les Carrés magiques, Axiome éditions, 2001.
Champagne : histoire et confidences, éditions C.L.C., 2001.
L'Ankh : l'incroyable technologie cachée des Égyptiens, éditions les 3 Spirales, 2002.
Lorsque Chéops se met à "réfléchir"..., éditions les 3 Spirales, 2003.
Nouvelles découvertes sur les carrés magiques..., éditions les 3 Spirales, 2005.
Les Mystères du Temps, volume 1, éditions les 3 Spirales, 2005.
Les Mystères du Temps, volume 2, éditions les 3 Spirales, 2006.
Les Mystères du Temps, volume 3, éditions les 3 Spirales, 2007.
Le grand secret des pyramides de Guizeh est un ouvrage de Gruais Guy et Mouny Guy-Claude, paru en 1992 aux éditions du Rocher, qui a été très débattu dans les médias et a offert une autre approche de la civilsation égyptienne, y compris, malgré plusieurs controverses et d'étonnantes tentatives de "mise sous silence" de la part de certains scientifiques et médias... mais le travail de ces deux chercheurs allait au contraire en être "boosté" et allait aboutir à d'autres découvertes, des confirmations et infirmations qui donneront au fil des années de la fin du 20eme siècle plusieurs autres livres...
Avant-propos de l'éditeur. Ce livre fascinant marque une étape importante dans la connaissance de l'Egypte ancienne. S'inspirant de la tradition de la géométrie sacrée, les auteurs prouvent de façon irréfutable que la configuration du plateau de Guizeh et de ses pyramides répond à un ordre secret, à une conception bien antérieure à la mise en œuvre des travaux. Ce plan d'ensemble prévoyait de longue date la disposition de chacun des monuments les uns par rapport aux autres, y compris des petites pyramides, dites «des reines» et du Sphinx. ...
Le Grand Secret du Sphinx de Guizeh est aussi bien sûr un ouvrage de Gruais Guy et Mouny Guy-Claude, paru en 1994 aux éditions du Rocher, et qui a d'ailleurs été suivi par d'autres livres et précisions, voir ci-dessous...
Avertissements des auteurs. C'est une grande aventure qui nous a conduits à déchiffrer le mode de raisonnement des Égyptiens et comprendre leur extraordinaire géométrie. L'apparente facilité avec laquelle le fil des découvertes se déroule, inexorable, implacable et flagrant, n'est pas due au hasard. Notre étude des hiéroglyphes, et en particulier de la croix égyptienne (signe de vie), nous révéla une approche d'autres dimensions, dont probablement la « transcommunication ». Nous nous sommes donc sentis bien humbles à l'égard de l'interprétation et pourtant, les faits étaient là, déroutants, non par leur logique mais par leurs conséquences. L'acquisition de l'attention des lecteurs d'abord, puis de leur participation, devait se faire rapidement et de manière évidente. Aussi, avions-nous choisi, pour le premier contact, de présenter nos observations e.t leurs interprétations à travers un premier livre où chacun pourrait vérifier lui-même tout ce que nous avancions. Ce fut Le Grand Secret des pyramides de Guizeh, avec tous ses tableaux dont la rigueur a convaincu plus d'un lecteur, mais qui ne pouvait avoir l'aspect séducteur d'un magazine de voyages. ...
Dans leurs deux premiers ouvrages. les auteurs ont montré que le Grand secret des Pyramides de Guizeh ou de son Sphinx résidait en un complexe souterrain fabuleux, technologique, découlant lui-même d' une incroyable géométrie dont la précision n'est pas rattrapée de nos jours. Tout concourt à établir le jeu inéluctable d'une civilisation antérieure et probablement extérieure. Puisque, selon leur définition, il s'avère que les Égyptiens montrent sans montrer, disent sans dire et cachent sans cacher, il fallait décoder les hiéroglyphes, idéogrammes et pictogrammes, principalement ceux d 'origine mal connue et considérés arbitrairement comme « magiques » avec nuance de symbole. C est ce qu'ils ont fait et sont entrés dans une nouvelle lecture du message symbolique ou religieux . Celui-ci a délivré successivement tous les éléments matériels correspondant rigoureusement à ces signes soi-disant innocents. Ils ont un nom contemporain : l' électromagnétisme. C est-à-dire la communication son et image. Dès lors, on comprend pourquoi ce peuple mystérieux a privilégié le spirituel et négligé un « matériel» sans intérêt réel. Le lien des Égyptiens avec l'au-delà explique tout. A la lumière des travaux de Gruais-Mouny, tout prend un sens cohérent, global, vérifiable. C'est l'Ankh, la croix ansée ou égyptienne, le signe de vie, qui schématise tout ce transfert. C'est un grand voyage. à travers le temps et l'espace, qu'offre le signe de vie, aux lecteurs...
en 1997 le livre Guizeh, au-delà des grands secrets.
Préface. Nous nous sommes rencontrés sur la planète Mars, un jour de juin 1996, dans la région de Cydonia Mensaé. Le vent de sable venait de cesser. Nous avons visité la pyramide éventrée et parcouru les quadrilatères voisins. Nous sommes montés sur la colline ronde, par la rampe Ouest, en s'arrêtant au niveau de la terrasse circulaire, avant de grimper sur la coupole sommitale. Nous avons vu aussi bien d' autres lieux voisins. Nous n' étions pas gênés par nos combinaisons spatiales car cette étude avait lieu... dans un petit coin de France, d'après les clichés de la NASA étalés sur la table, bien au calme dans mon parc, et il n'y avait pas de vent de sable. ...
Rennes-le-Château Un autre regard sur l'énigme, en 1999
Préface. Préfacer un livre, est-ce le cautionner, l'accompagner, constater ? De fait, la lecture de ce livre écrit par un ami appelle la complicité. L'itinéraire de Guy-Claude Mouny passe de la Terre au Ciel, entre méridien et galaxie. La rencontre avec l' Abbé Saunière et le Prieuré de Sion, cette « égrégore » du Temple, était en quelque sorte préparée par ses précédents voyages en Égypte (et non en égyptologie). Vous serez sûrement aussi surpris que moi par une technique d'exploration basée sur la coïncidence et le rapprochement : la poétique des faits inspire à Guy-Claude Mouny une prudence fertile. Il compte les coups du hasard et nous propose une pièce à secrets successifs. Ce journal d'une vie d'observateur, expressément naïf et attentif au moindre fait, tente d'approcher moins un personnage, l'Abbé Saunière, que les ombres et lumières qui entourent l' affaire de Rennes-le-Château. De spire en spire, le récit sous forme d'entonnoir considéré par les deux côtés, le lecteur rejoint l'histoire des Rois de France et l'utopie de Jérusalem. La Chrétienté occidentale, particulièrement la nôtre, fut tour à tour apocalyptique et lumineuse avec saint Louis, traditionnelle et occulte à partir du XVIIIe siècle. Jérusalem appartenait à ce point à notre histoire qu'elle a fondé Paris comme cité modèle : les symboles que croit déceler Guy-Claude Mouny lui permettent de relier notre capitale et Rennes-le-Château. Pourquoi pas ? De toutes les manières, cette énigme fut « traitée» à Paris, comme il se doit en régime centralisé...
La symbolique des Dieux par la circoncision, L'arche, les Jérusalems, l'étoile de David et Pétra, Année : 1999
Préface. C'est par amitié, je suppose, que l'auteur de ce livre m'a demandé cette préface. C'est par respect pour l'auteur et par conviction que j'ai accepté de la rédiger. « La Symbolique des Dieux » restera dans les meilleurs livres qui marqueront le siècle qui commence. Son sous-titre nous montre que l'auteur a une perception claire de la connaissance qui engage l'Homme dans son évolution et dans sa rencontre avec l'Éternel. Guy-Claude Mouny, auteur de « Rennes-le-Château », coauteur de « Guizeh au-delà des Grands Secrets, du Grand Secret des Pyramides » et « du Sphinx », pour ne citer que ceux-là, a déjà su dans le passé, à travers ses ouvrages, nous montrer l'importance des hiéroglyphes« Ankh »et « Dy». Le débat reste ouvert...
Les engins l'espace et ceux qui l'occupent de Peenemünde à Cuicuilco Un point à l'aube du IIIe millénaire, Année : 2000
Préface. Œuvrant depuis longtemps dans les milieux ufologiques, je peux prétendre avoir accumulé toute une série d'interrogations, d'observations, de confrontations tout autant que d'affirmations et contradictions éventuelles. Pour être réaliste et espérer contribuer à une progression utile, il me faut être objectif et attentif à tout. C'est dans ce cadre que j'ai suivi, depuis longtemps, les travaux de Guy-Claude Mouny qu'il a continués ensuite avec Guy Gruais, les deux hommes posant une géométrie inattendue mais assez bien verrouillée de " posés d'OVNI ", laquelle se poursuit avec les travaux de Raymond Terrasse. Gruais est parti vers l'analyse de la Lune et Mauny a repris seul ces recherches sur le phénomène OVNI en l'inscrivant dans une réflexion plus large, historique et philosophique, élargissant le champ d'investigations et extrapolant allègrement. Il en a régulièrement rendu compte à J. J. Velasco, le responsable du SEPRA, dépendant du C. N . E. S., avec qui il est en correspondance et on voit que le sujet n'est plus " tabou "...
L'Ankh L'incroyable technologie cachée des Égyptiens, Année : 2002
Incroyable, mais vrai ! Alors que des millions de personnes sont passées devant le hiéroglyphe égyptien Ankh sans autre émotion que d'y voir ce que l'on appelle couramment " la Croix de Vie ", G. C. Mouny découvre ce symbole sur place en 1987 et est vite convaincu que ce " signe de Vie " ou " Croix Ansée ", omniprésent dans les fresques égyptiennes, cache de nombreux mystères d'ordre spirituel et matériel, directement liés à l'Homme et à ses origines. Ce colonel de réserve (au flair infaillible et à la curiosité insatiable), arrivera rapidement à la conclusion que derrière cette Croix se profile l'indice d'une civilisation très ancienne, antérieure aux Pharaons et probablement extérieure même à notre Terre . La résurgence de techniques inattendues et très sophistiquées (peut-être non égalées de nos jours), en provenance de l'ancienne Egypte, se devait d'être sérieusement étayée. Aussi ce livre met-il surtout en avant, grâce à divers concours, les techniques d'électromagnétisme transparaissant dans les hiéroglyphes, idéogrammes et pictogrammes, c'est-à-dire la Communication sous toutes ses formes. Pas le téléviseur de Néfertiti, mais peut-être pire ou... meilleur ! Il nous a paru intéressant que le public (averti ou non) soit tenu au fait de ces découvertes vitales pour notre évolution et la compréhension des clés de notre existence, divulguées jusque-là confidentiellement. Le lecteur pourra alors, s'il le veut, faire pression pour que les Intelligences d'hier préludent enfin au débouché de celles de demain. Une nouvelle clef pour l'avenir ! À coup sûr un pas en avant dans la compréhension de notre Monde ! ...
Lorsque Chéops se met à "réfléchir"... La Chiralité, du graviton au neutrino, 2003
Même fictifs, les moyens de communication (son/image) fonctionnaient au plus haut niveau, Terre-Espace ou Espace-Terre, et c'est des sables d'Égypte que part la démonstration de la chiralité, base probable du Vivant. Cette chiralité ignorée du grand public et pourtant récompensée d'un prix Nobel en octobre 2001, pourrait expliquer les drames de la Thalidomide, peut-être du Distilbène, et devenir un outil possible dans la lutte contre le cancer etc... En cela, cet ouvrage est déjà une révélation en soi, mais la suite logique des observations conduit à comprendre aussi le mode de construction des pyramides et leur manière de "réfléchir" c'est-à-dire de renvoyer les rayons solaires ! À la théorie - qui s'impose de plus en plus - de pierres moulées et non taillées, il manquait une approche solide et cohérente de l'avant et l'après fabrication. Lorsque Chéops se met à "réfléchir" explique toute la technique utilisée, en amont et en aval de cette préparation des pierres et notamment le moyen de les élever. C'est le triangle hiéroglyphique DY (en fait un cône susceptible d'expliquer une sorte de lévitation) qui donne l'hypothèse, verrouillée, de la technique employée pour monter les pierres des pyramides. ...
Les mystères du temps Tome 1 en 2005
En partant de nouvelles évidences, en particulier celles que les pyramides seraient un ensemble de pierres moulées et non taillées, l'émergence d'un sous-sol technique sur le plateau de Guizeh, le fameux méridien zéro, l'application terrestre de la Jérusalem céleste, la réalité des Ovni, les pyramides martiennes, le hiéroglyphe Dy etc., Guy-Claude Mouny nous offre une compilation de ses découvertes successives et nous apporte une vision novatrice sur ces messages flagrants venus d'lntelligences formelles...
Les mystères du temps Tome 2 Ascenseur pour galaxie On a retrouvé le pharaon Chéops, Année : 2006
Prologue. Colonel ? Quel intérêt ? Il ne s'agit pourtant pas du complot des Colonels, mais on sait que les découvertes qui ont permis une montée en puissance du passé égyptien furent essentiellement une œuvre de Colonels (même s'il y eut un certain général...) : Vyse, Campbell, Percy Fawcett, le Colonel français Bouchard (découvreur de la "pierre de Rosette" même s'il n 'était que capitaine à l'époque), le britannique Straton, colonel de dragons (un peu informateur de Belzoni), un autre Anglais, Ashton, colonel de son état lui aussi découvreur de la grotte n °1 de Qoumrân et même le colonel Missett, consul général d'Angleterre... Je m'en voudrais d'oublier le colonel Nasser, pas tellement égyptologue mais maître des Lieux. Si, au fil de mes recherches, j 'ai été amené à traiter de l'Inde, même là j'ai trouvé un colonel : James Tod qui a déchiffré le "rocher de Girnar". Il y a eu le colonel Bernadino Drovetti, de l'Armée de Bonaparte et nommé plus tard Consul Général de France, taxé d'avoir écumé la Vallée du Nil. Il faut situer les Colonels de l'époque et en particulier dans cette Armée qui, sous Napoléon, devint Impériale. Par un simple sondage, on trouve qu'il y a, à la tête des compagnies, des capitaines. Pour huit capitaines, il y a un chef de bataillon puis un colonel pour cinq chefs de bataillon. Au-dessus, on trouve le général...
Les mystères du temps Tome 3 Ascenseur pour galaxie Le divin et la chaîne du vivant, Année : 2007
Dans Le Divin et la chaîne du Vivant, Guy-Claude Mouny fait le point sur les sujets abordés dans ses précédents ouvrages, nous livre ses dernières réflexions, et nous invite à poursuivre au-delà… « Il est manifeste qu’entre les événements et nous, il y a un écran qui fausse l’exploitation de l’image. Banalisé, le filtre estompe ce qu’il y a de l’autre côté. Nous avons une vue sélective et dépassée, accessoirement confortée par un guidage extérieur malhonnête qui la rend ainsi inexploitable. » Le 14 juillet 2007, il quitte ce monde, sa famille et ses amis et laisse en guise de testament : Le Divin et la chaîne du Vivant. ...
Ayant des relations avec le SDEC, mais aussi avec Jacques Chirac par exemple, on peut bien sûr s'interroger sur les propos de Mr Mouny par rapport aux secrets cachés par la NASA et les USA au sujet de Mars...
L'étrange statue égyptienne The Starving of Saqqarah
Au centre de l'immense nécropole de Memphis, qui s'étend sur 20 kilomètres, se trouve le plateau de Saqqarah, où l'on retrouve et recherche encore de nos jours les tombes des rois et nobles des toutes premières dynasties de l'Egypte antique... C'est depuis 1999 en fait qu'une mystérieuse sculpture a été récupérée. Mystérieuse car les archéologues et les historiens de l'art égyptien de l'université de Concordia à Montréal, Canada, qui l'a récupéré, s'interrogent toujours sur son origine. Car comme il est impossible de dater le calcaire dont est fait la statuette, que les restes de peintures présents n'ont pas été analysés par manque de budget débloqué à cause de ces inconnues, les chercheurs n'ont pas encore pu déterminer s'il s'agit bien d'un artefact datant de plusieurs milliers d'années ou d'un faux sans aucune valeur historique...Un autre problème vient encore compliquer les choses : la statuette comporte des inscriptions apparemment très anciennes... mais tellement anciennes qu'elles ne ressemblent à aucune écriture connue...
Tell al`Ubaid from 4500 B.C.E, ( BEFORE COMMON ERA ) NFOSource
Pour simplifier les choses, l'archéologie moderne énonce que la première civilisation humaine a commencé en Irak, dans l'ancienne Mésopotamie, avec la grande civilisation de Sumer. Mais les découvertes récentes ont largement remis en question ce concept simplifié de l'Histoire Humaine, avec les découvertes de la civilisation de l'Indus et de celle d'Aratta, qui prouvent que Sumer n'était pas l'unique civilisation aux mêmes périodes, voir que certaines pourraient bien l'avoir précédé. Mieux encore, on a aussi découvert que les sumériens, quand ils sont arrivés en Mésopotamie, ont en fait envahi et soumis des populations qui étaient déjà sur place. Des peuples qui possédaient déjà bien sûr leur propre langue et même... leurs propres constructions et architectures ! Les preuves sont maintenant multiples, que l'on parle de la découverte du premier temple d'Uruk, qui date de plus de 5000 ans avant JC (avant l'arrivée des sumériens donc) mais aussi des différences de noms et d'appellations dans la propre langue et écriture des sumériens : la preuve qu'ils ont adopté eux-mêmes des termes et mots des langues des populations locales soumises...
C'est sur le site archéologique de Al Obeid, que de nombreuses preuves et artefacts ont été trouvés. Des artefacts pré-sumériens de 7.000 ans, représentant notamment des personnages humanoïdes avec des caractéristiques de lézard... Voir ci-dessous :
Une petite compilations d'archives trouvables sur internet sur le thème de l'archéologie mystérieuse, interdite ou parallèle. Tout n'est bien sûr pas à prendre à la lettre, l'archéologie étant surtout une science d'interprétations étayées ou non, mais certains faits ont bien été vérifiés et avérés, certaines recherches ont bien modifié l'Histoire, qui n'est pas figée comme une certaine logique le voudrait...
Voici une découverte de taille! La tombe d'Osiris où le culte des mystères égyptiens fut pratiqué, Hérodote en parla, les grands philosophes grecs y furent initiés, les secrets de la vie s'y révélèrent avec silence. Sa tombe est située sur le plateau de Gizeh, combien de secret cache donc ce plateau ?
Archéologie mystérieuse - La Cité perdue de Krishna 2/2
Dwaraka ! Ville magique et splendide de la grande épopée Hindoue, le Mahabharata ! Oubliée et perdue pendant plus de 5000 ans, la revoilà sortie des eaux où un symbole et une histoire mythique viennent nous rappeler d'où l'on vient, notre histoire a été volée (voir ci-dessous):
Une très étrange découverte aurait été faite en Egypte pendant l'année 1988 : un entrepreneur connu en Suisse et passionné d'égyptologie, Gregor Spörri, serait entré en contact en 1988 avec un vieil homme, héritier d'une vieille dynastie de pilleurs de tombes. A environ 100 km du Caire au nord-est, une réunion s'est tenue dans une ferme vers les Bir Hooker. Spörri doit donner 300 dollars juste pour jeter un oeil à la collection invendable des voleurs de tombes.
Un os est enveloppé dans de vieux chiffons et une peau de cuir, dit Spörri, l'emballage était rectangulaire et c'était confiné dedans. J'étais choqué quand j'ai vu le vestige brun foncé et quand je l'ai pris dans mes mains. J'ai pu le photographier et mettre un billet de banque à côté pour comparer la taille.
Le doigt courbé avait éclaté et était couvert de moisissures séchées. C'était étonnamment léger, à peine quelques centaines de grammes. C'était incroyable. A partir de ce doigt, la dimension du géant devait être au minimum de 5 mètres...
Le voleur de tombe a montré aussi encore un certificat d'authenticité et une radiographie du doigt au suisse. Les deux des années soixante. Le voleur de tombe a juré par tous les noms d'Allah qu'il disait la vérité et que cette chose avait été trouvée dans une tombe pas très loin des pyramides de Gizeh. Mais le doigt n'a pas pu être vendu. Il a semblé être beaucoup trop important pour lui et sa famille... Aujourd'hui, Spörri regrette qu'il n'ai pu récupérer que des photos dans la maison. Cette découverte l'occupait pendant des années, mais les scientifiques ne se sont pas intéressés à la découverte, qui devait être impossible... "Le vestige ne collait pas avec les théories", dit l'explorateur à BILD.de. Ils ne voulaient pas se faire moquer par d'autres experts. Ce n'est qu'en 2009 qu'on recherche à nouveau un Arabe âgé et le vestige. Mais les traces dans les Bir Hooker étaient devenues du sable depuis...
Gregor Spörri, certain de ce qu'il a vu et tenu dans ses mains, passe une bonne partie de sa vie à chercher intensivement des vestiges et preuves de la réalité du mythe des géants. Il est surtout allé en Egypte, et a trouvé des sarcophages géants, parfois incomplets et faux, mais aussi des vrais, trop grands pour des êtres humains normaux.
Y a-t-il eudesgéantsenEgypte?L'historienFlaviusJosephusromaina fait un rapport en 79aprèsleChristd'unetelle existencedanssonhistoirede laguerrejuive:" Desgéantsétaientlà.Organisésbeaucoupplus grandementetautrementque l'hommenormal.Craintsterriblement.Celui quine l'a pas vue de ses propres yeux ne peut pascroirequ'ilsaient étésiextrêmementgrands."
Spörri
Quoiqu'il en soit, l'artefact a disparu et son propriétaire avec. Spörri a décidé de changé de vie et, n'étant pas scientifique pour parler de sa découverte, il a décidé de la révéler via un roman, auquel ses preuves photographiques sont ajoutées dans l'histoire... Il l'a sorti volontairement du contexte pour le montrer, et plusieurs experts sont à la recherche de témoignages et traces du côté des Bir Hooker... au public de considérer la chose, dit Spörri, et de décider lui-même de sa propre opinion...
MAJ 05-2015 : L'affaire n'est toujours pas résolue et ce fossile a disparu avec la famille du découvreur. Les suppositions raisonnables les plus récentes font appel au primate préhistorique Gigantopithecus Blacki pour expliquer ce doigt et son gigantisme...
Le premier Gigantopithèque décrit par un anthropologue a été trouvé en 1935 par Ralph von Koenigswald, dans une boutique d'un l'apothicaire. Les dents et les os fossilisés sont souvent broyés en poudre et utilisés dans certaines branches de la médecine traditionnelle chinoise... Von Koenigswald a nommé ces espèces théorisés le Gigantopithèque.
Wikipedia.en
Depuis lors, relativement peu de fossiles du Gigantopithèque ont été récupérés. Mis à part les molaires récupérées dans les magasins chinois de la médecine traditionnelle, la grotte de Liucheng à Liuzhou, Chine, a produit de nombreuses dents du Gigantopithèque blacki, ainsi que plusieurs mâchoires. Les autres sites donnant des découvertes importantes ont été au Vietnam et en Inde. Ces découvertes suggèrent que la race des Gigantopithèques était en Asie du sud-est (on note aussi avec l'Inde et ces régions certaines références historiques et religieuses en lien avec l'Armée des Singes, le Dieu-Singe et les textes védiques sur le compagnon de Rama et la construction d'un pont entre l'Inde et Sri-Lanka (Ceylan) par une armée de Singes géants intelligents, y compris aussi le fameux Yéti qui remonte à très loin).
En 1955, 47 dents de Gigantopithèques blacki ont été trouvées parmi une cargaison d' "os de dragon" (aka "os d'oracle") en Chine. En traçant ces dents jusqu'à leur source, on a abouti à la récupération de plus de dents et d'une grande mandibule assez complète. En 1958, trois mandibules et plus de 1300 dents avaient été récupérés. Les restes de Gigantopithèques proviennent de sites dans le Hubei, Guangxi et Sichuan, à partir d'entrepôts pour les produits médicinaux chinois, ainsi que des dépôts de grottes. Tous les restes chinois n'ont pas été datés de la même période de temps, et les fossiles dans le Hubei semblent être d'une date plus tardive qu'ailleurs en Chine. Les dents du Hubei sont également plus grandes.
Wikipedia.en
Le Gigantopithèque est considéré comme une race éteinte de singe qui existait depuis environ neuf millions d'années jusqu'à il y a aussi récemment que 100.000 ans, dans ce qui est maintenant la Chine, l'Inde et le Vietnam, plaçant le Gigantopithèque dans le même laps de temps et la situation géographique que plusieurs espèces d'hominidés (y compris l'homme moderne qui était déjà apparu, mais pas en Asie (à priori)). les archives fossiles suggère que les individus de l'espèce Gigantopithèque Blacki étaient les plus grands singes qui ont jamais vécu, mesurant debout jusqu'à 3 m (9,8 pieds) et pesant jusqu'à 540 kg (1,200 livres), ce qui rend l'espèce deux à trois fois plus lourde que les gorilles modernes et près de cinq fois plus lourde que l'orang-outan, son plus proche parent vivant. Les grands mâles peuvent avoir eu une envergure des bras de plus de 12 pieds (3,6 m). L'espèce aurait eu un fort dimorphisme sexuel, les femelles adultes pesant environ la moitié du poids des hommes. En raison de grandes différences entre les espèces trouvées et leur relation entre la dent et la taille du corps, certains soutiennent qu'il est plus probable que le Gigantopithèque le plus répandu (non Blacki) était beaucoup plus petit, d'environ 1,8 m (5,9 pi).
Les espèces vivaient en Asie et habitaient probablement des forêts de bambous, puisque ses fossiles sont souvent trouvés aux côtés de ceux des ancêtres disparus du panda. La plupart des éléments prouvent que Gigantopithèque était un herbivore.
Mais la question ultime est : que ferait un doigt fossilisé d'un Gigantopithèque Chinois ou Hindoux dans une tombe de l'ancienne Egypte ?...
Yves Herbo, Sciences, Faits, Histoires, 03-2012, MAJ 05-2015
Un paléoanthropologue insiste sur l'intelligence des néandertaliens
Le paléoanthropologue portugais João Zilhão
João Zilhão : « Les Néandertaliens n'étaient ni stupides ni éteints »
Le paléoanthropologue portugais rejette l'idée répandue que ces anciens Européens étaient une espèce différente avec des capacités cognitives inférieures. Les Néandertaliens sont difficiles à ne pas appeler l'espèce humaine qui a habité l'Europe pendant des centaines de milliers d'années jusqu'à ce qu'ils disparaissent mystérieusement il y a environ 40 000 ans (?).
(YH : En fait, le plus récent squelette de néandertalien date officiellement de 35 000 ans, c'est à dire que les premières peintures pariétales attribuées aux hommes modernes, tout comme les premières statuettes "Vénus" avaient déjà été créées ! - La science penche maintenant pour une réelle disparition de Néanderthal entre il y a 35 000 et 30 000 ans - mais a-t-il réellement disparu, ou une espèce hybride "néandertalo-CroMagnon" a-t-elle été absorbée en final par ce dernier ? Maisdes recherches conduites de 1999 à 2005 dans la grotte de Gorham à Gibraltarsuggèrent que les Néandertaliens y ont vécu jusqu'à −28 000 ans, voire −24 000 ans, ce qui est toujours contesté, en particulier d'ailleurs par Joäo Zilhäo).
C'est ainsi qu'il présente la plupart des articles populaires au grand public, et probablement peu d'anthropologues seraient mal à l'aise avec la description. Mais nous en avons trouvé un qui le fait. Pour João Zilhão (Lisbonne, 1957), chercheur ICREA à l'Université de Barcelone, cette première phrase est pleine d'erreurs. Le chercheur défend depuis des années que les Néandertaliens et ce que nous appelons l'homme moderne sont en fait la même espèce et que les deux populations se sont mélangées intensément, c'est pourquoi en Europe chacun de nous porte un pourcentage important du génome néandertalien (jusqu'à 30% , de 2 4%, dans votre ADN. " Ce sont nos ancêtres ", dit-il. Cela l'a amené à réfléchir à des découvertes, autrefois très controversées, comme le garçon de Lagar Velho au Portugal en 1998 ou les restes squelettiques trouvés dans une grotte roumaine, la Pestera cu Oase, en 2003-2005, dans laquelle il croyait avoir vu un grand métissage. Zilhão est également convaincu de l'intelligence et des capacités cognitives des Néandertaliens. Il ne trouve aucune raison de penser qu'ils étaient inférieurs. Ils ont même été les premiers à peindre de l'art rupestre, - https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/prehistoire-homme-neandertal-t-il-peint-premieres-fresques-rupestres-monde-70276/ - comme l'ont conclu des recherches impressionnantes publiées dans la revue "Science" en 2018. Les dernières découvertes sur cette population humaine fascinante semblent le prouver. YH : notons tout de même qu'en 2019, les datations de 64 000 ans pour ces peintures ont été contestées et même en fait la méthode de datation au Uranium-Thorium en entière pour les grottes ! : https://www.hominides.com/html/actualites/datation-u-th-art-parietal-remise-en-cause-1386.php
néandertaliens reconstitution 1 (Musée de l'Homme de Neanderthal à Kaprina, Croatie)
- C'est un héritage du 19ème siècle, continue João Zilhão, lorsque le premier fossile néandertalien a été trouvé, et il continue d'être répété. Mais les Néandertaliens n'étaient pas une espèce différente mais une petite population périphérique d'Europe qui a fini par être absorbée il y a environ 40 000 ans. Le concept de comparer les Néandertaliens à nous porte en lui une notion anti-évolutionnaire, la notion que nous avons été créés il y a 200 000 ans comme nous le sommes aujourd'hui, et ce n'est pas le cas (YH : les plus anciens Homo Sapiens sont maintenant datés de 300 000 ans, au Maroc : https://www.sciences-faits-histoires.com/blog/archeologie/l-homme-moderne-apparition-entre-500-000-a-300-000-ans.html).
-Mais l'hypothèse des deux espèces est dominante :
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