Un premier hommage a fait l'objet d'un article ici : http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/ovni-ufo/ovnis-et-personnalites-guy-mouny.htmlGuy-Claude Mouny était un écrivain français qui s'est mit à l'écriture assez tardivement, vers ses 59 ans. Membre de l'ORSEM en tant que Colonel, il a affirmé lui-même avoir eu des rapports très suivis avec les services secrets lors de sa carrière professionnelle, et que c'est certains papiers et rapports, ainsi que son goût des mystères non élucidés (il a été aussi en rapport avec l'Ufologie), qui l'avaient incité à devenir écrivain. Dans la préface du livre « Le Secret de François 1er » de son ami Didier Coilhac, il avouait avoir eu pour ami le Comte de Marenches, ancien Directeur Général du SDEC, (le Service de Documentation Espionnage et Contre Espionnage). Il déclara laconiquement à la radio « Ici et Maintenant » : « J'ai roulé avec le SDEC… ». Egalement auditeur de l'IHEDN, l'Institut des Hautes Etudes de Défense Nationale : il en avait fondé la section marnaise. On retrouve des membres de l'IHEDN comme auteurs du fameux rapport Cometa qui statuait sur les Ovnis. De hautes personnalités bien informées concluaient que les ovnis étaient des engins volants à la provenance inconnue. L'hypothèse extraterrestre était discrètement présentée comme la plus plausible. Comme on pouvait s'y attendre, ce texte fut sévèrement jugé par certains officiels qui n'y participaient pas.Ses enquêtes l'ont finalement convaincues qu'il touchait du doigt une certaine vérité, ce qui l'a poussé à écrire sans relâche et chaque année sur des sujets très proches. Né à Reims en 1930, il est mort dans la nuit du 14 juillet 2007. Il était également Commandeur de l'Ordre National du Mérite.
Mais ce site retrace en plusieurs pages la carrière à cet auteur qui a finalement rencontré beaucoup de monde, y compris des hommes politiques et des vedettes des médias... http://didier-coilhac.com/guy-claude-mouny.html
Bibliographie :
La Croix égyptienne- Si l'Ankh m'était conté, Opuscule de recherche, 1989.
Le Grand Secret des Pyramides de Guizeh (avec Guy Gruais), éditions du Rocher, 1992.
Le Grand Secret du Sphinx de Guizeh (avec Guy Gruais), éditions du Rocher, 1994.
Le Grand Secret du Signe de vie (avec Guy Gruais), éditions Mézarek, 1996.
Guizeh, au-delà des grands secrets (avec Guy Gruais), éditions du Rocher, 1997.
Rennes-le-Château, un autre regard sur l'énigme, éditions Cheminements, 1999.
La Symbolique des dieux, éditions Cheminements, 1999.
Les Engins, l'espace et ceux qui l'occupent : de Peenemünde à Cuicuilco, éditions Cheminements, 2000.
Les Carrés magiques, Axiome éditions, 2001.
Champagne : histoire et confidences, éditions C.L.C., 2001.
L'Ankh : l'incroyable technologie cachée des Égyptiens, éditions les 3 Spirales, 2002.
Lorsque Chéops se met à "réfléchir"..., éditions les 3 Spirales, 2003.
Nouvelles découvertes sur les carrés magiques..., éditions les 3 Spirales, 2005.
Les Mystères du Temps, volume 1, éditions les 3 Spirales, 2005.
Les Mystères du Temps, volume 2, éditions les 3 Spirales, 2006.
Les Mystères du Temps, volume 3, éditions les 3 Spirales, 2007.
Le grand secret des pyramides de Guizeh est un ouvrage de Gruais Guy et Mouny Guy-Claude, paru en 1992 aux éditions du Rocher, qui a été très débattu dans les médias et a offert une autre approche de la civilsation égyptienne, y compris, malgré plusieurs controverses et d'étonnantes tentatives de "mise sous silence" de la part de certains scientifiques et médias... mais le travail de ces deux chercheurs allait au contraire en être "boosté" et allait aboutir à d'autres découvertes, des confirmations et infirmations qui donneront au fil des années de la fin du 20eme siècle plusieurs autres livres...
Avant-propos de l'éditeur. Ce livre fascinant marque une étape importante dans la connaissance de l'Egypte ancienne. S'inspirant de la tradition de la géométrie sacrée, les auteurs prouvent de façon irréfutable que la configuration du plateau de Guizeh et de ses pyramides répond à un ordre secret, à une conception bien antérieure à la mise en œuvre des travaux. Ce plan d'ensemble prévoyait de longue date la disposition de chacun des monuments les uns par rapport aux autres, y compris des petites pyramides, dites «des reines» et du Sphinx. ...
Le Grand Secret du Sphinx de Guizeh est aussi bien sûr un ouvrage de Gruais Guy et Mouny Guy-Claude, paru en 1994 aux éditions du Rocher, et qui a d'ailleurs été suivi par d'autres livres et précisions, voir ci-dessous...
Avertissements des auteurs. C'est une grande aventure qui nous a conduits à déchiffrer le mode de raisonnement des Égyptiens et comprendre leur extraordinaire géométrie. L'apparente facilité avec laquelle le fil des découvertes se déroule, inexorable, implacable et flagrant, n'est pas due au hasard. Notre étude des hiéroglyphes, et en particulier de la croix égyptienne (signe de vie), nous révéla une approche d'autres dimensions, dont probablement la « transcommunication ». Nous nous sommes donc sentis bien humbles à l'égard de l'interprétation et pourtant, les faits étaient là, déroutants, non par leur logique mais par leurs conséquences. L'acquisition de l'attention des lecteurs d'abord, puis de leur participation, devait se faire rapidement et de manière évidente. Aussi, avions-nous choisi, pour le premier contact, de présenter nos observations e.t leurs interprétations à travers un premier livre où chacun pourrait vérifier lui-même tout ce que nous avancions. Ce fut Le Grand Secret des pyramides de Guizeh, avec tous ses tableaux dont la rigueur a convaincu plus d'un lecteur, mais qui ne pouvait avoir l'aspect séducteur d'un magazine de voyages. ...
Dans leurs deux premiers ouvrages. les auteurs ont montré que le Grand secret des Pyramides de Guizeh ou de son Sphinx résidait en un complexe souterrain fabuleux, technologique, découlant lui-même d' une incroyable géométrie dont la précision n'est pas rattrapée de nos jours. Tout concourt à établir le jeu inéluctable d'une civilisation antérieure et probablement extérieure. Puisque, selon leur définition, il s'avère que les Égyptiens montrent sans montrer, disent sans dire et cachent sans cacher, il fallait décoder les hiéroglyphes, idéogrammes et pictogrammes, principalement ceux d 'origine mal connue et considérés arbitrairement comme « magiques » avec nuance de symbole. C est ce qu'ils ont fait et sont entrés dans une nouvelle lecture du message symbolique ou religieux . Celui-ci a délivré successivement tous les éléments matériels correspondant rigoureusement à ces signes soi-disant innocents. Ils ont un nom contemporain : l' électromagnétisme. C est-à-dire la communication son et image. Dès lors, on comprend pourquoi ce peuple mystérieux a privilégié le spirituel et négligé un « matériel» sans intérêt réel. Le lien des Égyptiens avec l'au-delà explique tout. A la lumière des travaux de Gruais-Mouny, tout prend un sens cohérent, global, vérifiable. C'est l'Ankh, la croix ansée ou égyptienne, le signe de vie, qui schématise tout ce transfert. C'est un grand voyage. à travers le temps et l'espace, qu'offre le signe de vie, aux lecteurs...
en 1997 le livre Guizeh, au-delà des grands secrets.
Préface. Nous nous sommes rencontrés sur la planète Mars, un jour de juin 1996, dans la région de Cydonia Mensaé. Le vent de sable venait de cesser. Nous avons visité la pyramide éventrée et parcouru les quadrilatères voisins. Nous sommes montés sur la colline ronde, par la rampe Ouest, en s'arrêtant au niveau de la terrasse circulaire, avant de grimper sur la coupole sommitale. Nous avons vu aussi bien d' autres lieux voisins. Nous n' étions pas gênés par nos combinaisons spatiales car cette étude avait lieu... dans un petit coin de France, d'après les clichés de la NASA étalés sur la table, bien au calme dans mon parc, et il n'y avait pas de vent de sable. ...
Rennes-le-Château Un autre regard sur l'énigme, en 1999
Préface. Préfacer un livre, est-ce le cautionner, l'accompagner, constater ? De fait, la lecture de ce livre écrit par un ami appelle la complicité. L'itinéraire de Guy-Claude Mouny passe de la Terre au Ciel, entre méridien et galaxie. La rencontre avec l' Abbé Saunière et le Prieuré de Sion, cette « égrégore » du Temple, était en quelque sorte préparée par ses précédents voyages en Égypte (et non en égyptologie). Vous serez sûrement aussi surpris que moi par une technique d'exploration basée sur la coïncidence et le rapprochement : la poétique des faits inspire à Guy-Claude Mouny une prudence fertile. Il compte les coups du hasard et nous propose une pièce à secrets successifs. Ce journal d'une vie d'observateur, expressément naïf et attentif au moindre fait, tente d'approcher moins un personnage, l'Abbé Saunière, que les ombres et lumières qui entourent l' affaire de Rennes-le-Château. De spire en spire, le récit sous forme d'entonnoir considéré par les deux côtés, le lecteur rejoint l'histoire des Rois de France et l'utopie de Jérusalem. La Chrétienté occidentale, particulièrement la nôtre, fut tour à tour apocalyptique et lumineuse avec saint Louis, traditionnelle et occulte à partir du XVIIIe siècle. Jérusalem appartenait à ce point à notre histoire qu'elle a fondé Paris comme cité modèle : les symboles que croit déceler Guy-Claude Mouny lui permettent de relier notre capitale et Rennes-le-Château. Pourquoi pas ? De toutes les manières, cette énigme fut « traitée» à Paris, comme il se doit en régime centralisé...
La symbolique des Dieux par la circoncision, L'arche, les Jérusalems, l'étoile de David et Pétra, Année : 1999
Préface. C'est par amitié, je suppose, que l'auteur de ce livre m'a demandé cette préface. C'est par respect pour l'auteur et par conviction que j'ai accepté de la rédiger. « La Symbolique des Dieux » restera dans les meilleurs livres qui marqueront le siècle qui commence. Son sous-titre nous montre que l'auteur a une perception claire de la connaissance qui engage l'Homme dans son évolution et dans sa rencontre avec l'Éternel. Guy-Claude Mouny, auteur de « Rennes-le-Château », coauteur de « Guizeh au-delà des Grands Secrets, du Grand Secret des Pyramides » et « du Sphinx », pour ne citer que ceux-là, a déjà su dans le passé, à travers ses ouvrages, nous montrer l'importance des hiéroglyphes« Ankh »et « Dy». Le débat reste ouvert...
Les engins l'espace et ceux qui l'occupent de Peenemünde à Cuicuilco Un point à l'aube du IIIe millénaire, Année : 2000
Préface. Œuvrant depuis longtemps dans les milieux ufologiques, je peux prétendre avoir accumulé toute une série d'interrogations, d'observations, de confrontations tout autant que d'affirmations et contradictions éventuelles. Pour être réaliste et espérer contribuer à une progression utile, il me faut être objectif et attentif à tout. C'est dans ce cadre que j'ai suivi, depuis longtemps, les travaux de Guy-Claude Mouny qu'il a continués ensuite avec Guy Gruais, les deux hommes posant une géométrie inattendue mais assez bien verrouillée de " posés d'OVNI ", laquelle se poursuit avec les travaux de Raymond Terrasse. Gruais est parti vers l'analyse de la Lune et Mauny a repris seul ces recherches sur le phénomène OVNI en l'inscrivant dans une réflexion plus large, historique et philosophique, élargissant le champ d'investigations et extrapolant allègrement. Il en a régulièrement rendu compte à J. J. Velasco, le responsable du SEPRA, dépendant du C. N . E. S., avec qui il est en correspondance et on voit que le sujet n'est plus " tabou "...
L'Ankh L'incroyable technologie cachée des Égyptiens, Année : 2002
Incroyable, mais vrai ! Alors que des millions de personnes sont passées devant le hiéroglyphe égyptien Ankh sans autre émotion que d'y voir ce que l'on appelle couramment " la Croix de Vie ", G. C. Mouny découvre ce symbole sur place en 1987 et est vite convaincu que ce " signe de Vie " ou " Croix Ansée ", omniprésent dans les fresques égyptiennes, cache de nombreux mystères d'ordre spirituel et matériel, directement liés à l'Homme et à ses origines. Ce colonel de réserve (au flair infaillible et à la curiosité insatiable), arrivera rapidement à la conclusion que derrière cette Croix se profile l'indice d'une civilisation très ancienne, antérieure aux Pharaons et probablement extérieure même à notre Terre . La résurgence de techniques inattendues et très sophistiquées (peut-être non égalées de nos jours), en provenance de l'ancienne Egypte, se devait d'être sérieusement étayée. Aussi ce livre met-il surtout en avant, grâce à divers concours, les techniques d'électromagnétisme transparaissant dans les hiéroglyphes, idéogrammes et pictogrammes, c'est-à-dire la Communication sous toutes ses formes. Pas le téléviseur de Néfertiti, mais peut-être pire ou... meilleur ! Il nous a paru intéressant que le public (averti ou non) soit tenu au fait de ces découvertes vitales pour notre évolution et la compréhension des clés de notre existence, divulguées jusque-là confidentiellement. Le lecteur pourra alors, s'il le veut, faire pression pour que les Intelligences d'hier préludent enfin au débouché de celles de demain. Une nouvelle clef pour l'avenir ! À coup sûr un pas en avant dans la compréhension de notre Monde ! ...
Lorsque Chéops se met à "réfléchir"... La Chiralité, du graviton au neutrino, 2003
Même fictifs, les moyens de communication (son/image) fonctionnaient au plus haut niveau, Terre-Espace ou Espace-Terre, et c'est des sables d'Égypte que part la démonstration de la chiralité, base probable du Vivant. Cette chiralité ignorée du grand public et pourtant récompensée d'un prix Nobel en octobre 2001, pourrait expliquer les drames de la Thalidomide, peut-être du Distilbène, et devenir un outil possible dans la lutte contre le cancer etc... En cela, cet ouvrage est déjà une révélation en soi, mais la suite logique des observations conduit à comprendre aussi le mode de construction des pyramides et leur manière de "réfléchir" c'est-à-dire de renvoyer les rayons solaires ! À la théorie - qui s'impose de plus en plus - de pierres moulées et non taillées, il manquait une approche solide et cohérente de l'avant et l'après fabrication. Lorsque Chéops se met à "réfléchir" explique toute la technique utilisée, en amont et en aval de cette préparation des pierres et notamment le moyen de les élever. C'est le triangle hiéroglyphique DY (en fait un cône susceptible d'expliquer une sorte de lévitation) qui donne l'hypothèse, verrouillée, de la technique employée pour monter les pierres des pyramides. ...
Les mystères du temps Tome 1 en 2005
En partant de nouvelles évidences, en particulier celles que les pyramides seraient un ensemble de pierres moulées et non taillées, l'émergence d'un sous-sol technique sur le plateau de Guizeh, le fameux méridien zéro, l'application terrestre de la Jérusalem céleste, la réalité des Ovni, les pyramides martiennes, le hiéroglyphe Dy etc., Guy-Claude Mouny nous offre une compilation de ses découvertes successives et nous apporte une vision novatrice sur ces messages flagrants venus d'lntelligences formelles...
Les mystères du temps Tome 2 Ascenseur pour galaxie On a retrouvé le pharaon Chéops, Année : 2006
Prologue. Colonel ? Quel intérêt ? Il ne s'agit pourtant pas du complot des Colonels, mais on sait que les découvertes qui ont permis une montée en puissance du passé égyptien furent essentiellement une œuvre de Colonels (même s'il y eut un certain général...) : Vyse, Campbell, Percy Fawcett, le Colonel français Bouchard (découvreur de la "pierre de Rosette" même s'il n 'était que capitaine à l'époque), le britannique Straton, colonel de dragons (un peu informateur de Belzoni), un autre Anglais, Ashton, colonel de son état lui aussi découvreur de la grotte n °1 de Qoumrân et même le colonel Missett, consul général d'Angleterre... Je m'en voudrais d'oublier le colonel Nasser, pas tellement égyptologue mais maître des Lieux. Si, au fil de mes recherches, j 'ai été amené à traiter de l'Inde, même là j'ai trouvé un colonel : James Tod qui a déchiffré le "rocher de Girnar". Il y a eu le colonel Bernadino Drovetti, de l'Armée de Bonaparte et nommé plus tard Consul Général de France, taxé d'avoir écumé la Vallée du Nil. Il faut situer les Colonels de l'époque et en particulier dans cette Armée qui, sous Napoléon, devint Impériale. Par un simple sondage, on trouve qu'il y a, à la tête des compagnies, des capitaines. Pour huit capitaines, il y a un chef de bataillon puis un colonel pour cinq chefs de bataillon. Au-dessus, on trouve le général...
Les mystères du temps Tome 3 Ascenseur pour galaxie Le divin et la chaîne du vivant, Année : 2007
Dans Le Divin et la chaîne du Vivant, Guy-Claude Mouny fait le point sur les sujets abordés dans ses précédents ouvrages, nous livre ses dernières réflexions, et nous invite à poursuivre au-delà… « Il est manifeste qu’entre les événements et nous, il y a un écran qui fausse l’exploitation de l’image. Banalisé, le filtre estompe ce qu’il y a de l’autre côté. Nous avons une vue sélective et dépassée, accessoirement confortée par un guidage extérieur malhonnête qui la rend ainsi inexploitable. » Le 14 juillet 2007, il quitte ce monde, sa famille et ses amis et laisse en guise de testament : Le Divin et la chaîne du Vivant. ...
Ayant des relations avec le SDEC, mais aussi avec Jacques Chirac par exemple, on peut bien sûr s'interroger sur les propos de Mr Mouny par rapport aux secrets cachés par la NASA et les USA au sujet de Mars...
Les Scandinaves du Néolithique utilisaient des bateaux en peau d'animaux pour la chasse et les échanges, le transport à longue distance. Une étude récente menée par le Dr Mikael Fauvelle et publiée dans le Journal of Maritime Archaeology suggère que la culture scandinave antique de la céramique piquée (PWC) aurait pu construire des bateaux en utilisant des peaux d'animaux, en particulier des peaux de phoque, pour naviguer, pêcher, chasser et transporter, échanger sur de vastes distances. La PWC a prospéré entre 3500 et 2300 avant J.-C. dans les régions entourant la mer Baltique et la mer du Nord, y compris certaines parties de la Suède, du Danemark et de la Finlande actuels.
Gigès, le mystérieux inventeur de la monnaie métallique
Pièce de Lydie en Electrum
Les plus anciennes pièces de monnaie métallique, marquant peu à peu le changements définitif (pour le monde entier sauf aux Amériques, où les peuples ont continué leur économie spécifique jusqu'à l'arrivée des envahisseurs et culture dévastatrice) de l'économie de l'Humanité, passant de la dernière économie créée (le troc) aux échanges par monnaie de substitution, toujours pratiqués de nos jours, ont été découvertes en Turquie, dans l'ancien Royaume de Lydie (ou Méonie pour Homère). Les Lydiens (aussi connus comme les Lud par les Egyptiens et Assyriens) était un peuple indo-européen descendant de Lydos, fils d'Attis d'après Homère. Quand on sait qu'Attis est en fait un Dieu très connu, d'origine Phrygienne (qui dominaient les Lydiens au début) et que l'on retrouve sous le nom d'Adonischez les Grecs et Romain ou Tammuzchez les Hindoux, on devine que les origines mêmes de ce peuple sont aménagées. Et ce n'est pas mieux pour leur Roi Gigès, qui a régné (d'après la science officielle mais avec une fourchette temporelle) de entre 708 et 687 avant Jésus-Christ, sa mort étant entre 680 et 648 avant Jésus-Christ...
Crésides d'argent, attribuée à Crésus-5ième siècle av JC
Il était appelé Gugu par les Assyriens, et serait à l'origine des traditions bibliques sur Gog, prince de Magog (c'est-à-dire en assyrien mā(t) Gugu : « pays de Gygès »). En fait, on ne sait pas vraiment comment il est arrivé au pouvoir car les sources sont rares (donc à fiabilité resteinte) et divergent complètement... :
Selon Hérodote (né vers 484 avant notre ère et mort vers 420 - donc 250 ans après environ), Gygès était à l'origine le fils d'un des gardes et le confident du tyran Candaule, (ou Sadyate, ou encore Myrsile), roi très légendaire descendant d'Héraclès (Hercule), qui était un roi vantard qui ne cessait de vanter la beauté de sa femme. Ne supportant pas que Gygès puisse douter des charmes de son épouse, Candaule lui donne l'ordre de tout faire pour la voir nue et constater sa vérité. Après avoir refusé car pensant que c'est indigne, Gygès finit par céder et se cache dans la chambre royale au bon moment pour admirer le déshabillage de la Reine. Mais celle-ci le découvre sans le laisser paraître. Elle a compris que le roi ne peut être que l'auteur de cette indignité et décide de se venger de cet outrage. Elle convoque Gigès le lendemain et lui fait le chantage suivant : soit il assassine Candaule, devient son époux et le nouveau Roi, soit il est exécuté... Gigès n'a pas trop le choix, poignarde le Roi et s'empare du trône de Sardes, capitale de la Lydie...Mais selon Platon (né en 424/423 av. J.-C., mort en 348/347 av. J.-C. - donc 300 ans après environ), Gygès n'était qu'un simple berger lydien à l'origine, qui faisait paître son troupeau lorsqu'un violent orage fit s'affaisser une colline. Il s'y aventura et découvrit un énorme cheval de bronze dans les flancs duquel étaient pratiquées des portes (Cheval qui rappelle un peu le célèbre Cheval de Troie de part sa description !). Après avoir ouvert ces portes, Gygès aperçut à l'intérieur du cheval le squelette d'un géant portant au doigt un anneau d'or. Il se saisi de cet anneau, se le passa au doigt, et, sans dire un mot de son aventure, il alla rejoindre les autres bergers du voisinage. Par hasard, il remarqua que, à chaque fois qu'il tournait sa bague vers l'intérieur, il devenait invisible de tous, tout en gardant la faculté de voir et d'entendre ce qu'il se passait autour de lui. Dès qu'il retournait la bague en sens inverse, il redevenait visible. Après avoir essayé les pouvoirs de son anneau par plusieurs expériences, il se rendit au palais et séduisit la reine. Il complota avec elle la mort du roi, le tua et s'empara du trône...
Le mystère des tunnels de la cité engloutie de Baïes
Baïes (Baia de nos jours) est le nom d'une ancienne cité romaine, située en Italie, plus précisément au nord du golfe de Naples, dans une anse sur la rive est du cap Misène, entre la pointe de la Lanterne au sud et la pointe de l'Épitaphe au nord. Elle est proche de la base navale romaine de Misène, et fait face à Pouzzoles, de l'autre côté de la baie donc.
Plutôt qu'une ville, Baïes était un regroupement de villae de villégiature étagées sur la pente intérieure d'un ancien cratère (l'endroit est une caldeira volcanique, suite à une éruption explosive vers - 35000), en partie submergé par la mer, Baïes devait son succès à la douceur de son climat et surtout à la présence de sources thermales engendrées par le volcanisme actif des Champs Phlégréens. Ces sources chaudes, sulfureuses ou salines, sont vantées comme les plus curatives et les plus abondantes d'Italie par Pline l'Ancien, Strabon, Florus, Fronton et aussi Flavius Josèphe.
Des milliers d'outils en pierre taillée, d'os de chevaux, et une dent de lait humaine: une grotte du plateau central iranien a livré des traces d'occupation humaine vieilles de 452.000 à 165.000 ans, les plus anciennes jamais trouvées dans cet immense territoire à la croisée du Levant et de l'Asie.
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