Cette histoire a déjà été rapidement abordée dans le premier article cité ci-dessus, mais, dans le cadre de mes continuelles recherches de compléments ou de nouveaux mystères liés aux anciennes civilisations (connues ou non), j'ai découvert quelques approfondissements et traces, preuves physiques, que ce récit n'est pas une invention pure et simple, mais repose bien sur des faits vérifiables. Tout au moins une partie, ce qui n'est pas négligeable plus d'un siècle après les événements...
The Castle Crags et l'une des anciennes mines. Une bataille a eu lieu à cet endroit entre les mineurs et les indiens Creeks...
Tout d'abord, il faut rappeler que la présence humaine sur et autour du Mont Shasta remonte à la préhistoire : la datation minimum locale a été établie à 9.000 ans avant JC mais les découvertes faites par les archéologues dans d'autres régions dépassent maintenant allègrement les - 13 à -14.000 ans... des pétroglyphes non datables mais très anciens ont été trouvés sur une partie du Mont Shasta, plus précisément à The Castle Crags. Des pétroglyphes très remarquables d'ailleurs car il s'agit d'empreintes de mains masculines et féminines teintées en rouge et de plusieurs formes de serpents. D'étranges sortes de croix de Malte, plus récentes à priori, ont également été trouvées, en déplaçant certaines roches...
Le magnifique paysage du Mont Shasta se reflétant dans l'eau d'un lac
C'est donc en 1904 que J. C. Brown, géologue britannique employé par " The Lord Cowdray Mining Company of England ", arrive aux Etats-Unis, afin de prospecter la région du Mont Shasta et la Sierra Nevada, afin de réunir des données sur l'or y gisant encore... Voir la suite ci-dessous :
Lord Cowdray a envoyé le géologue prospecter aux USA en 1904
La montagne a déjà un assez long passé de prospection et de mines d'or ou d'autres minerais, l'Histoire rapporte même une célèbre bataille entre les tribus indiennes locales et les mineurs. Les indiens entendaient bien alors défendre ce qu'ils considéraient comme une montagne sacrée, et les légendes indiennes, rapportées par l'auteur Joaquin Miller (dans les années 1870) parlent notamment de la présence de l'esprit du Chef indien Skell, qui serait descendu du ciel sur le sommet de la montagne Shasta. Skell aurait combattu contre l'Esprit du Monde Inférieur, Llao, qui résidait dans le mont Mazama, en lui jetant des pierres chaudes et de la lave, cette bataille représentant probablement des éruptions volcaniques sur les deux montagnes volcaniques...
Lors de sa première expédition dans la région, J.C. Brown a probablement examiné les lieux connus et anciennes mines (épuisées pour la plupart déjà à l'époque), entre autres les fameuses Castle Crags.
Sur les pentes du Mont Shasta, années 1900...
C'est pendant sa seconde expédition qu'il va faire, selon ses propos, une extraordinaire découverte. Non loin de l'une des cascades d'eau qui agrémentent la montagne, il découvre l'entrée d'un tunnel, cachée par la végétation. Ce tunnel a été probablement construit par l'homme il y a de nombreuses années, peut-être même par les indiens eux-mêmes, puisque le chercheur Abraham J. Mansfield, dans ses ouvrages " The Young Indian Chief and The Old Chief of the Secret Indian Mine in Indian Paradise " (1966) et " The Golden Goddess of the Lemurians " (1969-1970), atteste avoir rencontré l'un des indiens, très âgé, qui avait creusé des tunnels dans la montagne, reliant le Mont Shasta à la zone des indiens Creek...
La cascade a été identifiée...
Notre prospecteur descend donc le tunnel, et découvre une grotte dont les murs sont couverts de feuilles de cuivre, après environ 11 miles de lente déclivité (un tunnel de 17,7 kilomètres donc de longueur). Dans la grotte, il découvre un village souterrain rempli d'or, avec des boucliers d'or et des squelettes, des momies, certaines ayant jusqu'à 10 pieds de hauteur (3 mètres), des hiéroglyphes sur les murs, qu'il est incapable de déchiffrer. A son retour, il semble que sa découverte est plutôt mal accueillie : les découvertes archéologiques empêchent toute exploitation des minerais et n'arrangent pas les compagnies minières... il n'insistera pas longtemps, mais ne put jamais oublier sa découverte...
Notons qu'en 1931, le Mont Shasta et sa région sont la proie des flammes : un gigantesque incendie ravage plusieurs villages... mais un mystérieux brouillard étouffe l'incendie avant que le Mont Shasta ne soit abîmé...
Trente ans plus tard, en 1934, J.C. Brown raconte enfin son histoire à John C. Roots qui procède au rassemblement d'une équipe d'exploration à Stockton, en Californie. 80 personnes ont rejoint l'équipe, mais, alors que la veille, tout était arrangé, le jour où l'équipe devait partir, Brown ne se présente pas. Et Brown n'a plus été entendu ni vu depuis... il a purement et simplement disparu dans la nuit du 19 juin au 20 juin 1934...
Au printemps 1953, l'expédition du pionnier de Siskiyou, Marcelle Masson, a relié une légende des Indiens de Wintun au sujet d'une course de géants féroces habitant les cavernes autour de la montagne. A l'inverse les légendes du “Little People”, ils auraient été vus autour des formations géologiques étranges connues sous le nom de "cercles en pierre de Siskiyou"...
Dans les années 1950, et notamment en 1955, de nombreuses personnes habitant la région signalent une lumière très brillante sur la montagne. Le phénomène OVNI est dans une grosse période de "vague" à cette époque... Les légendes indiennes et d'autres, liées aux histoires spirituelles "new age" centrées sur le monde souterrain, l'Agartha, la Lémurie et Telos atteignent une sorte de paroxysme en 1956, avec plusieurs journées de commémorations et de processions sur le Mont Shasta, approuvées par le gouvernement... et surtout les institutions commerciales et culturelles locales...
Mais les choses retomberont lentement dans l'oubli, jusqu'aux années 1970, dans lesquelles de nouveaux témoignages étranges surviendront (voir le premier article cité en haut sur le Mont Shasta qui parle d'archives des années 1970 en ma possession), avec un retour remarqué du phénomène OVNI.
Il faut attendre les années 2000 pour un regain d'intérêt sur les légendes locales. L'enquêteur Stephen Sindoni prend connaissance de la légende et mène sa propre enquête. Voici une interview du chercheur, en janvier 2010, qui a fini par publier un documentaire sur ses recherches :
" En avril 2008, j'ai été invité sur Coast to Coast matin avec George Noory pour discuter de la légende de JC Brown.
Puis en mai 2009, en suivant les indices contenus dans la légende, j'ai été en mesure de faire un voyage jusqu'au Mont Shasta en Californie, j'ai pu découvrir l'emplacement de l'entrée du tunnel cité par l'homme de la légende, JC Brown alias ''JB Conseil'' ou le ''Lord Cowdray'' de la Compagnie minière Anglaise. (Sindoni pense à l'époque que Brown était possiblement le vrai Lord Cowdray).
Il a fait valoir que lors de sa prospection, elle serait située a environ 11 miles sous le Mont Shasta, où il a découvert une ancienne civilisation Lémurienne, et qu'à environ 3 kilomètre de l'entrée du tunnel, JC Brown a affirmé qu'il aurai trouvé une mine d'or antique. C'est ma conviction qu'il existe une chance de les retrouver.
Certains d'entre vous, qui avez lu ce communiqué de presse, peuvent se demander pourquoi je suis disposé à partager l'emplacement exact du trésor caché ? Depuis sa publication, ma vie a été en danger. Il y a eu plusieurs tentatives sur ma vie.
J'ai été sous surveillance constante, mon téléphone a été fouillé, mon ordinateur a été altéré, et mon site internet est constamment piraté. A cause de cette surveillance, il est été difficile pour moi d'entreprendre une prochaine expédition au Mt. Shasta sans l'accompagnement d'un grand groupe de personnes.
La deuxième raison de rendre cette information publique est que je veux que la vérité sorte. Le peuple américain et le monde entier ont besoin de savoir qu'il y a une ancienne race de gens qui a été et qui sont peut-être encore vivants en dessous du mont Shasta.
J'ai créé un site Web sur TreasureofMtShasta.webs.com (YH : n'existe plus) où vous pouvez voir des photos de l'entrée du tunnel qui mène au trésor enterré. Pour ceux que cela intéresse de poursuivre le trésor il y a des informations à la fin de la vidéo qui vous fourniront des indications pour me contacter, afin que je puisse vous envoyer par courriel une carte voyage d'informations. Les hôtels, motels, terrains de caravaning dans la zone où vous resterez tout en recherchant le trésor. Vous pouvez consulter mon site Web à DailyMotion.com/SindoniProductions. Et regarder des vidéos pour en apprendre plus sur la légende. Ou tout simplement faire une recherche google sur The Legend of JC Brown. (voir le film (VO) ici : http://www.youconvids.com/videos/legends-of-mt-shasta-the-movie-b6w5c646q565g6a5y4e554.html
La fortune sourit aux courageux ! Je vous souhaite à tous bonne chance dans votre quête pour trouver le trésor qui est enterré près du Mont Shasta. "
portail Lémurien ?
Comme la légende de J.C. Brown, Sindoni a découvert que la légende a ses propres éléments de drame et de mystère. Les légendes indiennes et des témoignages parlent aussi de rencontres avec des êtres mi-hommes, mi-reptiles (des reptiliens)...
Une rencontre entre un chef indien et un "lémurien"...
Arrivé à Shasta l'automne dernier (2009), Sindoni est tombé sur l'histoire d'une prétendue observation Lémurienne en 2008, dans une zone juste au nord de Dunsmuir. Armé de ce morceau de tradition locale récente et les informations disant que le géologue Body et Cowdray avaient été dans cette zone en général au cours de leur première visite en 1904, Sindoni a commencé à explorer à pied. (Sindoni a fini par identifier le géologue J. C. Brown au géologue John B. Body)
À son propre étonnement, il prétend avoir trouvé l'entrée d'une grotte qui, selon lui, est la même que celle que Body/Brown lui-même avait découvert en 1904. Il affirme que sa description physique et son emplacement général semblent être similaires. Il y a cependant quelques problèmes qui empêchent ce cas d'être totalement "résolu", le premier étant que le site est situé sur une propriété privée et est donc inaccessible. (Sindoni a noté qu'il avait reçu la permission de faire une randonnée sur la propriété au cours de son incursion initiale). Il a dit qu'à cause de cela, il n'est pas en mesure de révéler l'emplacement exact. Sindoni a expliqué que l'ouverture a été scellée avec du ciment et que de plus, il y a des inscriptions hiéroglyphiques qui l'entourent.
D'autres anomalies
Prié de dire s'il croit que ses résultats indiquent que la "civilisation perdue" existe bel et bien sous la montagne, Sindoni répondit : " Depuis il y a quatre semaines, je suis devenu convaincu que oui ". Actuellement, Sindoni tente de terminer sont projet d'explorer quelques-unes des autres légendes qui existent dans la région. Car elles contiennent d'autres indices et anomalies en lien...
En parlant du temps qu'il a passé à Mt. Shasta, il en dit, " j'en suis devenu amoureux. Je suis là où je dois être, et la montagne m'a donné sa validation ".
Les entrées scellées du tunnel dans la propriété privée découvertes par Sindoni... l'entrée de Telos et du monde des Lémuriens (voir le premier article) ?
Notons pour finir que plusieurs tunels et grottes existent sur le Mont Shasta, et que certaines sont d'ailleurs visitables, d'autres toujours explorées et à découvrir... :
Cités englouties, données compilées - MAJ 19-08-2014
Dwarka, Inde
Comme on le sait avec de plus en plus de fiabilité et de précisions, l'être humain et ses civilisations ont connu dans le passé des bouleversements souvent catastrophiques, non seulement liés aux migrations de peuples envahissant les autres et guerres de territoires, mais le plus souvent liés aux bouleversements climatiques dus aux périodes glaciaires-interglaciaires et aux éruptions volcaniques, séismes et tsunamis (qui sont souvent des conséquences de précédents événements eux-mêmes). Tous ces bouleversements, souvent méconnus, sont découverts de nos jours et apportent un éclairage nouveau sur des disparitions de civilisations ou même d’ethnies humaines et races animales du passé. Un grand nombre de ces données réapparaissent d'endroits aujourd'hui sous les eaux et nous font comprendre et réaliser l'immensité réelle des territoires ainsi perdus et engloutis, et la probabilité que certains territoires aient bien été habités par des milliers, voir des millions d'individus à certaines périodes. L'un de ces énormes endroit disparu est bel et bien en train d'être redécouvert au nord de l'Europe avec la civilisation du Doggerland et ses probables annexes englouties vers l'Ecosse et la Scandinavie. Mes réflexions me font pour l'instant penser que les anomalies récemment découvertes dans la Mer Baltique (attention, ce dossier a commencé en 2012 !) font bien partie de la même période que cette civilisation du néolithique du Doggerland et qu'il s'agit de territoires et paysages possiblement terraformés par l'homme...
Commençons donc déjà cette compilation de données avec celles déjà présentes sur ce site en ordre dispersées, je me propose de les réunir par océans/mers et par coordonnées des parallèles géographiques classiques (adaptable) - notez bien qu'il s'agit de cités ou ruines englouties par les eaux, mais aussi par la jungle parfois ou les boues volcaniques, les sables et également parfois dans des lacs ou fleuves, il est aussi question de vestiges sur des îles...
Retrouvez l'intégralité de ce dossier mis à jour, composé de liens d'articles documentés avec photos et/ou vidéos et cartes au niveau des PAGES ou via ce lien :
Açores, vestiges néolithiques et antiques dont des pyramides
Je continue encore sur ma lancée sur les découvertes archéologiques de la zone Atlantique médian au large de l'Europe et de l'Afrique de l'ouest. Après les Canaries donc, et les îles du Cap Vert, retour aux Açores dont j'ai déjà parlé ici... car d'autres découvertes ont eu lieu depuis ! (et voir aussi les nombreux liens connexes dans ces articles).
Et ces découvertes sont assez remarquables pour pouvoir en parler... d'autant plus qu'elles gênent l'archéologie officielle qui refuse de reconnaître que ses méthodes sont dépassées et souvent faussées par ses propres dogmes et mauvaises habitudes : l'obligation de corréler des monuments découverts avec des objets culturels découverts à proximité et de préférence de cultures déjà connues et identifiées... ce qui élimine logiquement toute découverte de nouvelles cultures inconnues (et donc gênantes dans les chronologies "déduites"), mais aussi d'autres possibilités pourtant toutes aussi logiques et plausibles (pillages ou imports d'objets culturels par d'autres cultures, envahissement d'une culture par une autre et réhabitation d'anciens lieux, etc... - fausses attributions donc de monuments à une culture données, par exemple...). Il est évident que ces méthodes font passer nos connaissances et découvertes à côté de réalités et vérités en contradiction avec celles que l'on veut maintenir à tout prix pour le soutien d'une certaine "civilisation à dominance occidentale", au détriment d'une civilisation entièrement "terrienne"...
Suite de mes enquêtes sur les cités préhistoriques et antiques englouties, recherches sur l'Atlantide et autre civilisations légendaires...
Cet article est en complément des autres recherches au niveau de la zone d'Atlantique centrale proche de l'Europe et de l'Afrique de l'Ouest : Açores, Pays Basque et Landes françaises, cotes du Portugal, d'Espagne, Gibraltar, Maroc, Mauritanie, Canaries et Iles du Cap Vert... des liens vers les articles de ces zones sont en bas de cet article.
Un petit aparté pour parler brièvement des affirmations de la psychologue et linguiste passionnée d'Atlantide, Maxine Asher, au sujet d'une expédition organisée par elle avec les fonds de la célèbre université américaine privée Pepperdine. C'est en 1973 que cette expédition a eu lieu, au large de Cadiz et Gibraltar en Espagne et au large du Maroc.
Composée de 70 enseignants, étudiants et d'autres parties intéressées, les membres de l'expédition étaient préparés pour des plongées libres le long de la côte de l'Espagne et du Maroc, à la recherche de preuves de l'île perdue d'Atlantide. Employée à l'époque par Pepperdine comme expert de l'enseignement audiovisuel, Asher a exprimé sa confiance dès le début que le voyage serait un succès. Le groupe a ensuite affirmé avoir découvert et photographié des artefacts atlantes, mais ils ont été contraints de chercher refuge en Irlande après avoir eu des problèmes avec le gouvernement fasciste espagnol de Franco, qui croyait qu'ils étaient des espions. Asher a affirmé qu'il y avait eu des tentatives de meurtre, et que, à un moment, elle a été forcée de sauter d'une voiture en mouvement, pour échapper à des kidnappeurs. Elle a écrit un scénario qui n'a jamais été produit sur ses expériences espagnoles. Après son arrivée en Irlande, son groupe a exploré des sites intérieurs autour de la baie de Galway, Craughwell, et la péninsule de Dingle, et a mené des plongées dans la région de la baie de Galway, près de la côte des îles d'Aran. Ces enquêtes ont été menées en Irlande dans la conviction que les mégalithes irlandais anciens sont vraiment le travail des Atlantes... Aucun matériel n'a jamais été publié, Asher a affirmé que son travail et ses preuves avaient été censurés (volés ?) par les autorités religieuses chrétiennes ou juives car certaines prouvaient l'impossibilité de certaines données bibliques... Asher a tout de même publié plusieurs livres sur le sujet mais ses tentatives pour sa propre existence et vie (les moyens pour gagner sa vie) ont surtout mené à sa mise au banc des accusés (à tord ou à raison) pour des détournements de lois sur l'éducation, et sa ruine, l'exil. Elle est décédée récemment en 2015 :
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