Généralement l’Eglise fait preuve d’une très grande prudence avant de canoniser un saint ou de reconnaître un miracle et les esprits scientifiques — rationalistes impénitents ou non — ne pourront, en l’occurrence, que lui donner raison; nous en avons justement présentement de très bons exemples sous les yeux, bien sûr avec le cas de Fatima en 1917 auquel s’est intéressé le feu contre- amiral Gilles Pinon mais aussi avec celui de Medjugorje en Yougoslavie et et de Kibeho au Rwanda qui sont un peu moins connus.
avis très intéressant du Contre-Amiral français Gilles Pinon sur le prodige de Fatima en relation très nette avec les OVNI et la présence probable d'entités exterieures à la Terre qui tentent de nous faire réfléchir (cliquez sur les liens en cas)...
Que s’y est t-il passé en effet ? A Medjugorje, aux fins fonds des Balkans, plusieurs adolescents ont prétendus voir et parler quotidiennement à la Sainte Vierge pendant plus de mille jours, et foules et autorités s’en sont émus; des pèlerinages ont même eu lieu, sans la caution de la hiérarchie ecclésiastique. voir ci-dessous :
Au Rwanda, les choses se compliquent encore un peu plus, même si à l’origine, les événements semblent identiques : pendant plus de trois ans, une poignée de collégiennes et un tout jeune homme du petit village de Kibeho ont affirmés non seulement voir la Vierge Marie, mais également — ce qui est rarissime — Jésus, et s’entretenir avec eux des malheurs de ce monde. En outre, et c’est là précisément que les choses se corsent — l’un des « voyants » aurait fait état, selon un observateur s’étant rendu sur place, de « signes dans le ciel », comme à Fatima au Portugal, lorsque le disque solaire avait soit-disant dansé et était descendu vers la foule rassemblée à la Cova de Iria, le 17 octobre 1917.
Disque, croix, ou hostie géante ? ou plutôt ovni, comme l’affirment depuis longtemps certains ufologues avertis ?
Le doute est toujours permis en pareil cas, d’autant qu’à l’époque, aucun observatoire n’a été en mesure de détecter quoi que ce soit d’anormal dans le ciel au jour et à l’heure dite.
Hallucinations collectives ou véritables « apparitions » ?
Il existe bien certes des phénomènes dits solaires depuis fort longtemps — de nombreux témoignages et observations ont déjà été collectés — , mais malheureusement, tous les efforts déployés jusqu’ici pour établir une corrélation évidente quelle qu’elle soit entre les dits phénomènes solaires et les apparitions de type ufologique ou mariale, n’ont jamais abouti et le mystère demeure.
La seule chose que l’on puisse affirmer est qu’un fort pourcentage des apparitions de type religieux qu’elles soient contemporaines ou passées, font intervenir des phénomènes lumineux d’une nature particulière que l’on retrouve également dans de nombreuses observations déjà cataloguées comme ovni. Le rapprochement est troublant mais c’est la seule évidence dont on dispose à l’heure actuelle.
On sait cependant aujourd’hui que le phénomène ovni est un phénomène universel au même titre que les apparitions mariales dont les premières connues remontent au Moyen-âge. Par Sylvain SCHNEYDER.
Ovnis, apparitions mariales et religions
Par Alain MOREAU
L’objectif du présent texte n’est pas de faire une étude des multiples apparitions mariales répertoriées depuis des siècles (et notamment du dix-neuvième siècle à nos jours), mais de montrer le rapport existant entre certaines manifestations relevant des ‘‘mariophanies’’ (apparitions de la Vierge) et certaines caractéristiques du phénomène OVNI, ce rapport pouvant être étendu à d’autres types de manifestations religieuses, notamment dans la Bible.
Précisons une chose : il ne s’agit pas, ici, de dire que les mariophanies dans leur ensemble relèvent de l’ufologie, mais de défendre l’idée que quelques mariophanies comportent une indiscutable « coloration » ufologique. Le cas le plus connu de connotation « ufologique » est bien sûr Fatima (Portugal, 1917).
I. Fatima (Portugal), 1917 :
Le premier auteur à avoir fait des rapprochements pertinents entre l’apparition mariale de Fatima et certaines manifestations d’OVNIs est, à ma connaissance, Paul Misraki (1962, 1968). Ultérieurement, d’autres auteurs (Jacques Vallée, etc.) ont aussi évoqué les ressemblances entre ces deux types de phénomènes.
Le 13 mai 1917, trois petits bergers (deux fillettes et un garçon) déclarèrent avoir aperçu une « Dame de Lumière », d’une grande beauté, laquelle avait flotté au-dessus de la cime d’un chêne vert. L’apparition avait parlé : elle avait demandé notamment aux pastoureaux de revenir en ce même lieu le 13 du mois suivant.
Le 13 juin, une escorte accompagna les petits à leur rendez-vous :
« Là, les assistants purent voir les trois enfants tomber à genoux, cependant qu’une légère vapeur blanche se formait autour d’eux ; la lumière du jour, ainsi que la température, perdaient aussi de leur intensité ; une brise fraîche souffla. On ne distinguait aucune ‘‘belle dame’’, mais l’aînée des enfants, Lucia, parlait comme si elle s’adressait à quelqu’un, puis écoutait d’inaudibles réponses. Les villageois, eux, ne percevaient, selon leurs dires, qu’un léger bourdonnement… Au moment où Lucia signala le départ de la Dame il se passa quelque chose : les branches du chêne vert s’inclinèrent comme entraînées dans la direction indiquée par la petite fille. »
Le 13 juillet plusieurs centaines de personnes s’agglomérèrent à la Cova da Iria, lieu des apparitions, pour assister à un spectacle en tous points semblable à celui du mois précédent. Lucia déclara que la « Dame » lui avait confié des « secrets ». Cette fois, le départ de la céleste visiteuse fut ponctué d’une détonation brutale que tous entendirent, cependant qu’un portique de fortune, érigé pour l’occasion, fut secoué sur ses bases.
L’administrateur de l’arrondissement voulut faire avouer aux enfants qu’ils avaient tout inventé. Peine perdue. Il ne put non plus obtenir les « secrets » de la Dame. Le 13 août il séquestra les petits fauteurs de troubles à l’ordre public pour les soumettre à un nouvel interrogatoire. Il menaça les enfants de les plonger dans une marmite d’huile bouillante s’ils persistaient dans leur mutisme !
« ‘‘Ton petit frère est déjà frit !’’, dit-il à l’une des fillettes, qui pâlit mais continua de se taire. Les enfants passèrent le reste de la journée dans la prison, mêlés aux détenus de droit commun. »
Pendant ce temps, à la Cova, les pèlerins assemblés apprirent que les enfants ne viendraient pas. On entendit cependant une sorte de coup de tonnerre, semblable à l’éclatement d’un pétard, suivi d’un éclair. La nuée blanche s’éleva du sol. Quatre jours après, les trois petits virent le vallon s’illuminer de la teinte jaune d’or qui précédait généralement les apparitions. La « Dame » se montra alors. Lucia la supplia de faire en sorte que son entourage puisse la croire quand elle raconte ce qu’elle a vu. La Dame promit pour le mois d’octobre un prodige éclatant.
1. Le globe lumineux :
Le 13 septembre 20.000 à 30.000 personnes étaient rassemblées autour de la visionnaire. En plus de la vapeur blanche entourant les enfants, certains assistants aperçurent un globe lumineux traversant le ciel en direction du chêne vert. Il cessa d’être visible. Dix minutes après, le globe reparut et s’éloigna vers le ciel.
« On se le montre du doigt, cependant qu’une vieille dame aux cheveux blancs, missel en main, trépigne : ‘‘Je ne vois rien ! Je ne vois rien ! »… »
On constate alors qu’une pluie decorpuscules blancs, comparables à de minces flocons de neige, tombe du ciel et se désagrège au moment de toucher le sol.
Voici quelques témoignages :
« ‘‘A ma vive surprise’’, dit l’un d’eux, ‘‘je vis clairement et distinctement un globe de lumière glissant lentement et majestueusement à travers l’espace (…). Puis subitement, avec la lumière extraordinaire qu’il dégageait, ce globe disparut à mes yeux, et le prêtre qui était à mes côtés cessa lui aussi de le voir.’’ »
Comme il demande à ce voisin son opinion sur ce globe, ce dernier répond sans hésiter « qu’il s’agit sans doute du véhicule grâce auquel la Vierge Marie s’approchait des enfants… ».
Tous ceux qui aperçurent le globe, dit un autre texte, en retirèrent l’impression qu’il s’agissait d’un aéroplane de lumière apportant la « Mère de Dieu » au rendez-vous des pastoureaux et la rapportant ensuite au « Paradis »…
2. Les corpuscules blancs :
Je viens de mentionner les corpuscules blancsaperçus par les assistants. Une dame déclara avoir vu un de ces « pétales de fleurs » tomber sur son épaule gauche. Elle voulut le saisir, mais ne trouva plus rien.
De semblables pluies blanches se sont reproduites par la suite, à la Cova da Iria, le 13 mai 1918 (jour anniversaire de la première apparition) et le 13 mai 1924.
Paul Misraki fait ici un judicieux parallèle avec certains témoignages d’OVNIs :
a) Oloron, 1952 :
En 1952, dans les Pyrénées-Atlantiques (alors appelées « Basses-Pyrénées »), on vit passer, dans le ciel d’Oloron, un cigare et plusieurs disques. Tous ces objets laissèrent derrière eux « une abondante traînée qui tombait lentement vers le sol en se désagrégeant ». Pendant quelques heures il y en eut des paquets accrochés aux arbres, aux fils téléphoniques, sur le toit des maisons.
« C’était comme des fils de laine ou de nylon, ressemblant à des fils de la Vierge ; ils devenaient rapidement gélatineux, puis fondaient et disparaissaient. Parmi les nombreux assistants qui purent les recueillir et les tenir dans la main pendant quelques instants, se trouvaient les professeurs du collège ; l’un d’eux les examina attentivement mais ne put en faire l’analyse car ils se sublimèrent avant qu’il ne parvînt à un laboratoire. »
b) Graulhet, 1954 :
Le 13 octobre 1954 au-dessus de Graulhet (Tarn), et le 18 octobre 1954 à Vienne (Isère), il y eut la même pluie évoquant de la laine de verre ou des fils de toile d’araignée.
« Des experts se penchèrent sur la question et proposèrent des explications ‘‘naturelles’’ plus étonnantes encore, par leur insuffisance, que le phénomène lui-même.
Laine de verre, fils d’araignée : ces comparaisons ne correspondent pas tout à fait aux ‘‘corpuscules blancs’’ qu’une pieuse préoccupation transforme en ‘‘pétales de fleurs’’. Il reste cependant une analogie certaine entre ces diverses chutes de ‘‘mannes’’ célestes, ‘flocons de neige’’ ou… ‘‘fils de la Vierge’’, qui fondent rapidement à la chaleur du sol. »
La manne céleste :
On fera aussi le parallèle avec la « manne » du récit de l’Exode. Dans l’Ancien Testament la « manne » est une nourriture tombée du ciel grâce à laquelle tout un peuple put subsister dans le désert « pendant quarante ans ».
Six jours sur sept, une couche de rosée recouvrait les alentours du camp. Puis, la rosée évaporée, apparaissait sur la surface du désert « quelque chose de menu, de granuleux » (traduction incertaine), « de fin comme le givre ».(Exode, 16, 14.)
« On eût dit de la graine de coriandre, c’était blanc, cela avait le goût de la galette au miel. » (Exode, 16, 31.)
Il fallait procéder au ramassage dès l’aurore, car ce « pain du ciel » fondait à la chaleur du jour.
Apparitions miraculeuses à Zeitoun, Egypte, 1968-1969
Le 2 avril 1968, une heure et demie après le coucher du soleil, l'attention des mécaniciens et des chauffeurs se trouvant dans ce garage fut attirée par des bruits et des mouvements dans la rue.
Ils virent alors une forme humaine, une femme habillée de vêtements blancs, se tenant sur le dôme central de l'Église, tenant la main sur la croix dominant ce dôme.
Les personnes se trouvant dans le garage : Farouk Mohammed Atwa (chauffeur), Hussein Awwad (mécanicien), Abd-el-Aziz-Ali (gardien), Mahmoun Afifi (chauffeur) et Yacout Ali, tous musulmans, ont raconté en détail ce qu'ils ont vu.
Ils crurent, en voyant distinctement cette forme blanche, être en présence d'une religieuse en habit blanc.
Etant donné qu'elle se tenait sur une surface arrondie et glissante, ils lui crièrent de faire attention et d'attendre.
L'un d'eux, craignant qu'il ne s'agisse d'une personne voulant se suicider, avertit la police.
Un autre frappa à la porte de l'église.
Ce fut Adel Youssef Ibrahim, âgé de 18 ans, fils du père Youssef Ibrahim, l'un des prêtres de la paroisse qui lui ouvrit.
Ayant constaté l'apparition, il prévint son père, lequel l'ayant vue à son tour, en avertit le supérieur : le père Constantin Moussa.
Pendant ce temps, une grande foule s'étant amassée devant l'église, la circulation dut être interrompue dans la rue Touman Bey.
Rapport du curé de la paroisse
Le père Constantin Moussa, curé de la paroisse, établit un rapport officiel dans lequel il écrit en particulier
"Après cette soirée mémorable, la Sainte Vierge apparut plus d'une fois et fut aperçue par différentes autres personnes parmi lesquelles M. Michel Soliman et sa famille qui habitent en face de l'église.
La Sainte Vierge apparut de nouveau le 9 avril.
La nuit suivante, aussi bien les soeurs d'une école voisine que mon fils ainé (élève ingénieur) me dirent avoir de nouveau aperçu la Sainte Vierge. Je me précipitai sur la place et je vis l'apparition, cette fois sous la forme d'un buste dans l'une des ouvertures du dôme du côté nord-est de l'église.
Manifestation Étrange du Soleil en Côte d'Ivoire avec apparition de type Mariale le 20 avril 2011 :
"Mercredi 20 Avril 2011 dans le quartier de yopougon à Abidjan Côte d'Ivoire, soit 9 jours après le passage d'Alassane Dramane Ouattara, une manifestation étrange qu'on pourrait qualifier de divine, à moins d'être incrédule, se déroule à la vue de tous..." (un avertissement par rapport aux événements qui se sont produits ensuite ?...)
MAJ 05-2015 :Yves Herbo : Je ne peux évidemment m'empêcher de comparer ma propre observation, de très près, (estimation de 15 mètres de distance environ dans la mesure où l'objet a brièvement éclairé le devant du toit de l'immeuble), d'une grosse sphère blanche lors de mon enfance, et des événements l'ayant précédés et l'ayant suivis... + ajout de nouvelles vidéos et liens.
A suivre avec 3 autres articles...
Yves Herbo, S,F,H, 03-2012, MAJ 05-2015, Up 11-2018
Les Scandinaves du Néolithique utilisaient des bateaux en peau d'animaux pour la chasse et les échanges, le transport à longue distance. Une étude récente menée par le Dr Mikael Fauvelle et publiée dans le Journal of Maritime Archaeology suggère que la culture scandinave antique de la céramique piquée (PWC) aurait pu construire des bateaux en utilisant des peaux d'animaux, en particulier des peaux de phoque, pour naviguer, pêcher, chasser et transporter, échanger sur de vastes distances. La PWC a prospéré entre 3500 et 2300 avant J.-C. dans les régions entourant la mer Baltique et la mer du Nord, y compris certaines parties de la Suède, du Danemark et de la Finlande actuels.
Gigès, le mystérieux inventeur de la monnaie métallique
Pièce de Lydie en Electrum
Les plus anciennes pièces de monnaie métallique, marquant peu à peu le changements définitif (pour le monde entier sauf aux Amériques, où les peuples ont continué leur économie spécifique jusqu'à l'arrivée des envahisseurs et culture dévastatrice) de l'économie de l'Humanité, passant de la dernière économie créée (le troc) aux échanges par monnaie de substitution, toujours pratiqués de nos jours, ont été découvertes en Turquie, dans l'ancien Royaume de Lydie (ou Méonie pour Homère). Les Lydiens (aussi connus comme les Lud par les Egyptiens et Assyriens) était un peuple indo-européen descendant de Lydos, fils d'Attis d'après Homère. Quand on sait qu'Attis est en fait un Dieu très connu, d'origine Phrygienne (qui dominaient les Lydiens au début) et que l'on retrouve sous le nom d'Adonischez les Grecs et Romain ou Tammuzchez les Hindoux, on devine que les origines mêmes de ce peuple sont aménagées. Et ce n'est pas mieux pour leur Roi Gigès, qui a régné (d'après la science officielle mais avec une fourchette temporelle) de entre 708 et 687 avant Jésus-Christ, sa mort étant entre 680 et 648 avant Jésus-Christ...
Crésides d'argent, attribuée à Crésus-5ième siècle av JC
Il était appelé Gugu par les Assyriens, et serait à l'origine des traditions bibliques sur Gog, prince de Magog (c'est-à-dire en assyrien mā(t) Gugu : « pays de Gygès »). En fait, on ne sait pas vraiment comment il est arrivé au pouvoir car les sources sont rares (donc à fiabilité resteinte) et divergent complètement... :
Selon Hérodote (né vers 484 avant notre ère et mort vers 420 - donc 250 ans après environ), Gygès était à l'origine le fils d'un des gardes et le confident du tyran Candaule, (ou Sadyate, ou encore Myrsile), roi très légendaire descendant d'Héraclès (Hercule), qui était un roi vantard qui ne cessait de vanter la beauté de sa femme. Ne supportant pas que Gygès puisse douter des charmes de son épouse, Candaule lui donne l'ordre de tout faire pour la voir nue et constater sa vérité. Après avoir refusé car pensant que c'est indigne, Gygès finit par céder et se cache dans la chambre royale au bon moment pour admirer le déshabillage de la Reine. Mais celle-ci le découvre sans le laisser paraître. Elle a compris que le roi ne peut être que l'auteur de cette indignité et décide de se venger de cet outrage. Elle convoque Gigès le lendemain et lui fait le chantage suivant : soit il assassine Candaule, devient son époux et le nouveau Roi, soit il est exécuté... Gigès n'a pas trop le choix, poignarde le Roi et s'empare du trône de Sardes, capitale de la Lydie...Mais selon Platon (né en 424/423 av. J.-C., mort en 348/347 av. J.-C. - donc 300 ans après environ), Gygès n'était qu'un simple berger lydien à l'origine, qui faisait paître son troupeau lorsqu'un violent orage fit s'affaisser une colline. Il s'y aventura et découvrit un énorme cheval de bronze dans les flancs duquel étaient pratiquées des portes (Cheval qui rappelle un peu le célèbre Cheval de Troie de part sa description !). Après avoir ouvert ces portes, Gygès aperçut à l'intérieur du cheval le squelette d'un géant portant au doigt un anneau d'or. Il se saisi de cet anneau, se le passa au doigt, et, sans dire un mot de son aventure, il alla rejoindre les autres bergers du voisinage. Par hasard, il remarqua que, à chaque fois qu'il tournait sa bague vers l'intérieur, il devenait invisible de tous, tout en gardant la faculté de voir et d'entendre ce qu'il se passait autour de lui. Dès qu'il retournait la bague en sens inverse, il redevenait visible. Après avoir essayé les pouvoirs de son anneau par plusieurs expériences, il se rendit au palais et séduisit la reine. Il complota avec elle la mort du roi, le tua et s'empara du trône...
Le mystère des tunnels de la cité engloutie de Baïes
Baïes (Baia de nos jours) est le nom d'une ancienne cité romaine, située en Italie, plus précisément au nord du golfe de Naples, dans une anse sur la rive est du cap Misène, entre la pointe de la Lanterne au sud et la pointe de l'Épitaphe au nord. Elle est proche de la base navale romaine de Misène, et fait face à Pouzzoles, de l'autre côté de la baie donc.
Plutôt qu'une ville, Baïes était un regroupement de villae de villégiature étagées sur la pente intérieure d'un ancien cratère (l'endroit est une caldeira volcanique, suite à une éruption explosive vers - 35000), en partie submergé par la mer, Baïes devait son succès à la douceur de son climat et surtout à la présence de sources thermales engendrées par le volcanisme actif des Champs Phlégréens. Ces sources chaudes, sulfureuses ou salines, sont vantées comme les plus curatives et les plus abondantes d'Italie par Pline l'Ancien, Strabon, Florus, Fronton et aussi Flavius Josèphe.
Des milliers d'outils en pierre taillée, d'os de chevaux, et une dent de lait humaine: une grotte du plateau central iranien a livré des traces d'occupation humaine vieilles de 452.000 à 165.000 ans, les plus anciennes jamais trouvées dans cet immense territoire à la croisée du Levant et de l'Asie.
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Commentaires
1
cj
Le 31/07/2014
mon enseignement en ma religion catholique m as aucunement affecter en ma foi , j avais déjà la foi en l existence de la conception de la vie en Dieu, l univers est grand et je crois sincèrement que Dieu a crée toute l univers et les extra-terrestres venues d un autre planète. aujourd hui ils le demontrent en dévoilant existence de cette autre vie et je pense que la suite va venir .
yveshLe 01/08/2014
Il y a une notion pourtant évidente que beaucoup d'êtres humains oublient à cause de mauvaises convictions : c'est qu'en matière de religions, l'âme qui naît est à 100% tributaire de la religion dominante de l'endroit où elle s'incarne... Mais une grande partie des occidentaux par exemple a pris du recul par rapport à toutes les religions pratiquées parce qu'on a pu les convaincre (en partie) que croire en une science (également réservée à une élite qui ne se comprend qu'entre elle, comme une religion dans les faits) est plus évolutif et surtout censé... et oublient volontiers que ce n'est absolument pas le cas dans toutes les parties du monde... Ce n'est pas facile de se "désimprégner" des dogmes et raisonnements orientés établis dans une communauté par des textes vieux de 2000 ou 1400 ans. Pouvoir choisir ou non ses propres croyances est l'une des libertés les plus fondamentales pour un être intelligent, mais on oublie aussi que cette liberté est faussée dès son seuil par son environnement... et qu'un grand nombre de peuples dans ce monde n'ont pas vraiment accès à cette liberté fondamentale (et beaucoup de femmes logiquement) que de devoir "épouser" une religion dominante locale... La stupidité de tout cela, pour un alien par exemple qui regarde ce qu'il se passe sur Terre, c'est que toutes les grandes religions sont d'accord sur l'existence d'un Dieu unique... et qui s'étripent sur des détails venant probablement de l'imagination humaine... jusqu'à ce qu'il approfondisse un peu et comprenne que tout cela ne sert que des intérêts économiques en finalité...