Février 1974: des gendarmes français pourchassent et voient un OVNI
Toujours dans les archives, voici une série d'observations de février 1974, dans deux départements de la France, où des témoins, dont plusieurs gendarmes locaux, ont nettement vu ce qui semble être le même OVNI ou tout au moins le même type d'objet si ce n'est pas le même ! Pour certains, à l'époque, c'était une quasi-preuve et il faut bien dire que même le Ministre des Armées de l'époque, Mr Galley, a été obligé d'admettre qu'il existait bien quelque chose de matériel et de non expliqué... de tellement non-expliqué qu'une chape de silence gêné à fini par retomber sur le mystère OVNI après cette grosse vague d'observations (dont beaucoup par des témoins "assermentés", ou avec traces) des années 1973-1974... plus aucun ministre ou "officiel" élu n'a pu d'ailleurs aborder le sujet comme avait osé le faire, assez courageusement d'ailleurs, Robert Galley à l'époque... Ses paroles sont enregistrées dans des archives qui feront l'objet d'un article prochain.
Voici deux articles qui décrivent un même objet, vu deux jours consécutifs dans deux départements français proches... on se rappellera les précédents articles déjà publiés ici sur l'observation d'un cigare ayant même atterri à Hulluche près de Lens dans le Pas-de-Calais... cet engin ou d'autres semblent avoir visités d'autres régions françaises vers la même époque d'ailleurs, vu le nombre d'articles de presse et témoignages à cette époque... :
" C'est un témoignage exclusif que "France-Dimanche" verse aujourd'hui au dossier des OVNI (Objets Volants Non Identifiés), autrement dit des "soucoupes volantes". (France-Dimanche du 03-03-1974).
" Il émane en effet de " témoins professionnels " : l'adjudant Robin et le gendarme Dormoy, de la gendarmerie de Chevillon, près de Saint-Dizier, en Haute-Marne. A 20 h 13 précises, dans la soirée du dimanche 24 février 1974 ils ont vu de leurs propres yeux un OVNI, une " soucoupe volante " !
Notre dessinateur a reconstitué scrupuleusement l'apparence du mystérieux objet, d'après les indications des gendarmes. Et l'adjudant Robin a bien voulu nous raconter en détail ce qu'il a vu.
" Dimanche 24 février, dans la soirée, j'étais en permanence avec le gendarme Dormoy. Un peu après vingt heures, le téléphone sonne. Au bout du fil, je reconnais la voix d'un de mes collègues d'une brigade voisine : " Il se passe quelque chose de bizarre dans votre secteur, me dit-il, un certain M. Maréchal, de Curel, nous signale qu'il a vu un disque bleu clair dans le ciel et il trouve cela étrange. C'est dans votre secteur : allez-y ! "
" Sans trop y croire, mais comme le devoir me l'ordonne, je fais sortir l'Estafette. Il est 20 h 10. Moi-même et le gendarme Dormoy prenons la route de Curel. La nuit est sans lune et l'on aperçoit nettement la voûte étoilée ! "
" Nous n'avons pas besoin d'aller très loin. A la sortie même de Chevillon, nous apercevons " la Chose ". Elle planait, poursuit l'adjudant Robin, au-dessus d'une ligne de crête à une altitude approximative de 170 m. Elle n'émettait aucun son. Nous avons été frappés par sa forme. Ce n'était pas une soucoupe mais un cigare dont on n'apercevait au premier abord qu'une des extrémités, ronde, en forme de disque, et dont la couleur était gris bleu luminescent. "
" Sous cette extrémités, il y avait trois disques superposés comme des assiettes parsemées de pointes émettant une lumière jaune orangée et séparés entre eux par des tranches plus sombres. Le cigare était de forme cylindrique, de couleur bleu gris comme la lumière émise à l'extrémité, quoiqu'un peu plus foncé et zébré curieusement de raies sombres. L'extrémité du cylindre se perdait dans les ténèbres. La chose ne bougeait pas. Nous sommes restés frappés de stupeur, pendant quelques secondes. Puis j'ai envoyé le gendarme chercher l'appareil photo qui nous sert à prendre les constats. Il est revenu au bout de sept à huit minutes. Mais l'objet s'était déplacé derrière la crête. Nous avons immédiatement décidé de le suivre. "
" Nous avons gravi à vive allure la côte qui rejoint un immense plateau situé derrière la ligne de crête. Là, nous l'avons retrouvé. " La chose " se déplaçait très lentement, avançant par à-coups. J'ai remarqué un fait curieux. La lumière des cercles oranges, aussi bien que celle du cigare, était froide, sans rien de scintillant comme si c'était une lumière qui venait de l'intérieur. "
" Peu à peu, nos yeux s'habituant à l'obscurité, nous avons constaté la présence d'une masse noire et informe placée sous les disques orange. Si sombre qu'elle tranchait sur le ciel nocturne. Et, chose étonnante, la lumière pourtant vive des disques orange n'y jetait aucun reflet. Comme si cette masse " absorbait " la lumière. La marche de l'objet était très curieuse. Il zigzaguait très légèrement, puis oscillait d'avant en arrière. Il avançait très lentement. Nous nous sommes arrêtés plusieurs fois tant son allure était précautionneuse. "
" En tout cas, il y a une chose dont je suis sûr : cette chose était " dirigée ", " gouvernée " par des intelligences, quelles qu'elles soient. L'engin avançait ainsi d'Est en Ouest, semblant observer quelque chose, je ne sais trop quoi. Nous l'avons suivi sur une distance de onze kilomètres jusqu'au village de Maigneux. Là, il était 20 h 55, l'engin a accéléré subitement et a disparu bientôt au-delà de la ligne d'horizon. Nous avions pu prendre des photos. Hélas, nous ne disposions que d'un appareil d'amateur et ces clichés n'ont rien donné. "
" Nous avons tout de même eu le temps de déterminer son altitude. Pas plus de 700 mètres : nous l'avons évaluée en nous repérant sur des poteaux télégraphiques et sur la ligne de crête. "
" Sa grosseur ? Énorme, si l'on en juge par la taille du diamètre du Cigare, que nous avons estimée à vingt mètres environ. L'engin devait avoir une bonne centaine de mètres de long et la taille de quatre ou cinq avions de lignes ". J'ai observé tous les phénomènes atmosphériques possibles et imaginables. J'ai l'habitude des avions. Je sais reconnaître un nuage d'un ballon sonde. Mais là, je ne comprends pas. Et pourtant, je l'ai vue, cette chose. Elle était bien réelle. Ce genre d'aventure vous fait réfléchir ".
Sur ces mots, l'adjudant Robin est resté silencieux. Puis il a ajouté avec dans la voix l'accent d'une conviction ferme : " Monsieur, je ne suis pas fou, Dormoy non plus. Mes années de service le prouvent. "
Par Pierre Lachkareff, photo des lieux par Yves Leroux avec dessin intégré.
Voici l'article en question :
Autre article, début mars et parlant d'autres témoins voyant le même engin, le lendemain (25-02-2014), mais en Bourgogne cette fois :
" OVNI : le " cigare volant " a fait pleurer 30 écoliers "
" Dijon. - L'objet volant non identifié, ayant la forme d'un cigare, que des gendarmes haut-marnais avaient aperçu et longuement suivi l'autre nuit, a été vu le lendemain matin en Bourgogne ".
" Il était 8 h 30, lorsque M. Dandel, agent de police, et une trentaine d'écoliers de Quetigny, commune toute proche de Dijon, qui attendaient le car de ramassage scolaire sur la place, aperçurent dans le ciel un objet ressemblant au " cigare " volant de la veille, qui laissait derrière lui une traînée rouge, si brillante qu'elle fit pleurer les yeux des enfants. "
" Par ailleurs, les gendarmes de Forbach (Moselle) ont révélé que deux d'entre eux avaient observé, au cours du mois de novembre dernier (1973), un objet volant non identifié. A l'époque, ils avaient envoyé un rapport à la Défense Nationale ".
Voici l'article en question, paru dans " Le Parisien " début mars 1974 :
Notez bien que toutes ces archives sont librement utilisables (notamment pour la recherche et l'éducation) à la condition absolue que les sources et références indiquées dessus, ainsi que mon nom, prénom et adresse de ces sites internet (https://www.sciences-faits-histoires.com/ et https://herboyves.blogspot.com/) soient mentionnés visiblement.
Yves Herbo Archives, Sciences, Faits, Histoires, 14-11-2014