C'est le 07-08-2018 au soir que je reçois un email me proposant un témoignage et une photo d'un phénomène aérien étrange pour celui qui l'a observé. Le témoin apparaît être une personne sérieuse car il s'agit d'un médecin à la retraite et, de surcroît, un astronome amateur équipé. Dans son message, il affirme avoir enregistré des signaux inhabituels, le 17-04-2018, lors d'une pose de 30 secondes avec un appareil photo Cannon 600 SD et se propose de me l'envoyer, ainsi que les coordonnées exactes du lieu d'observation. Je lui répond le lendemain, en acceptant sa proposition, et il m'envoie par email des documents, dont sa photographie, et des précisions concernant son observation.
Ayant examiné ces derniers, je lui ai posé quelques questions les jours suivants, ait demandé l'autorisation de publier les documents tant à lui qu'au représentant ufologue qu'il avait contacté à l'époque, Monsieur Christian Diot, qui avait envoyé plusieurs documents réunis sur ce cas à la revue spécialisée LDLN, qui en a publié une partie. Il est aussi important de savoir que l'organisme officiel du CNES, le GEIPAN, chargé de collecter officiellement pour la France (via un budget gouvernemental) les données sur de tels phénomènes aériens non identifiés, a également été contacté à la même période, a reçu les mêmes documents, mais n'a jamais répondu ni enquêté auprès du témoin à ce jour... J'espère que ce rappel ici les fera un peu réagir et enquêter, après tout, ce sont bien les impôts du peuple français qui est utilisé par cet organisme officiel...
Voici donc le témoignage et les documents en appui de Monsieur Laurent Weill, médecin en région parisienne, maintenant retraité, et qui se trouvait donc dans le Gers ce 17 avril 2018, quand il a prit cette photographie en pause (classique en astronomie pour capter la lumière des astres) vers 23 heures... :
Si vous avez été témoin le 17 avril 2018 (il y a une erreur de date dans l'Email du témoin), en début de nuit ou après, de lumières clignotantes anormalement fortes traversant le ciel assez rapidement, merci de me contacter via les commentaires de ces articles ou la fiche contact trouvable dans le menu de droite de ce blog, et de laisser un moyen de vous joindre, il sera dans tous les cas répondu (y compris sur Facebook par exemple en message privé). Et si des pilotes (militaires ou non) peuvent donner aussi leur avis, ce serait un plus en attendant des contacts après les vacances...
Une chose est aussitôt étonnante en ce qui concerne cette photo et le clignotement dont parle le témoin, mais j'en parlerai après. Commençons par les faits bruts.
Notons que Mr Laurent Weill est également cofondateur de l'association des "amis de Camille Flammarion" et est intervenu à plusieurs reprises dans les écoles primaires de la région parisienne pour parler d'astronomie bien sûr, et a d'ailleurs été récompensé à ce titre en 2005, avec la médaille attribuée par la Société Astronomique de France (SAF). Il a été aussi membre de l'association astronomique locale dans le Gers.
En tant qu'astronome amateur, Mr Weill prend régulièrement des photos du ciel étoilé nocturne en pauses (les pauses pouvant aller de quelques secondes à quelques minutes selon l'objet de la photo) et, ce soir du 17 avril 2018, il a procédé de même, sa lunette étant dirigée vers l'est comme l'indique cette photo des lieux de l'observation :
Mr Weill en 2005 avec sa lunette pour le Soleil
Comme on peut le voir ici, l'objectif de l'appareil photo était dirigé (le Nord se trouvant en haut) vers le Sud-Est, mais orienté au zénith (c'est à dire à la verticale). L'objet observé et photographié ayant donc une trajectoire Nord-Ouest vers Sud-Est. Ceci est d'ailleurs confirmé par le témoignage et la carte du ciel ci-dessous. Il s'agit ici d'un tout petit village et aucune luminosité ne peut perturber les observations astronomiques...
Point d'observation :Saint-Lanne – Lagraulet du Gers (32330)
GPS :Lat : 43° 54' 54" N – Long : 00° 13' 42" E
Coordonnées du phénomène :
Azimut Hauteur Début --------- 75° ----------------- 60° Fin------------- 220°----------------- 38°
Notons que Mr Weil a pris son cliché sur 30 secondes au début de son observation mais a pu observer environ 3 minutes le phénomène
Le récit de Mr Weill :
Notons aussi que, question météo, la soirée était très douce : 19°C, le ciel totalement dégagé, avec une humidité très faible et aucun vent. Le lieu d'observation est à une altitude de 161 mètres. Le GEIPAN a été contacté par courrier dès le 20-04-2018, sans réponse à ce jour. Mr Weill n'a pu estimer l'altitude de l'objet. Merci à Mr Weill et Mr Christian Diot pour les documents et infos.
Caractéristiques du cliché :
Heure : 23h 02mn (heure locale)
Source : CANON EOS 600D
Vitesse obturateur : Pose 30 secondes
Ouverture : 14
Sensibilité ISO : 6400
Focale : 18 mm
Analyse des lumières : 12 phases allumage / extinction au cours des 30 secondes de pause, soit 2,5 secondes chaque phase. Ligne haute : 1 permanente – 4 clignotantes : 1204 – 0234 – 1200 – 1204 – 1030 – 1030 – 1004 – 1034 – 0030 – 1204 – 1234 – 1030 Ligne basse : 4 clignotantes 1234 sur 11 phases + 1230 sur la 12ème.
Ces lumières clignotantes non symétriques sont très étonnantes (l'appareil de visée étant dirigé vers le zénith, un éventuel avion se trouverait prit par en-dessous, les deux lignes de lumières étant donc probablement les lumières aux extrémités des ailes. Le problème étant qu'il n'y a pas 4 lumières clignotantes au niveau du bout des ailes. Il peut éventuellement y en avoir 3, dont deux clignotantes et une fixe (si le pilote veut vérifier si il y a de la glace sur son aile). De plus la mention d'une lumière fixe située au même niveau que les 4 autres placées sur l'aile droite d'un éventuel avion (la ligne haute car le "trafic" descend vers le Sud-Est et passe de gauche à droite dans la photo) est très improbable, en tout cas pour un avion de ligne classique. La possibilité d'un avion militaire ou même d'un avion ou drone d'espionnage n'est pas à exclure. Surtout le fait que le témoin affirme que les clignotements étaient si puissants (alors que le "trafic" était au zénith et à priori à bonne hauteur, et sans bruit !) qu'ils éclairaient le sol par intermittence ! Or, les feux de positions ou anti-collisions d'un avion ne sont pas faits pour éblouir ou éclairer le paysage, mais juste signaler l'appareil... voir ci-dessous pour les différents feux d'un avion de ligne, les avions militaires possédant les mêmes par convention, mais peut-être d'autres (pour le ravitaillement en vol par exemple).
En ce qui concerne les lumières d'un avion de ligne, voici ce que j'ai trouvé, et c'est tout récent (janvier 2018) :
Récapitulatif des lumières extérieures sur un avion de ligne:
- Feux de navigation, ou "nav lights": en bout d'aile, vert à droite et rouge à gauche + blanc à l'arrière. Ces feux doivent être allumés dès que l'appareil est sous tension, au parking. Ils sont donc constamment ON (fixes). (Obligatoires).
- Feux d'anticollision, ou "beacon": rouge clignotant, au dessus et au dessous du fuselage.
Ces feux sont allumés dès que l'avion devient dangereux, donc en déplacement (repoussage) ou dès que les moteurs vont être démarrés. Ils sont éteints après l'arrêt des moteurs, au parking de destination. (Obligatoires).
- Feux à éclat, ou strobes, en bout d'ailes : un flash blanc toutes les x secondes. Sont mis en route dès que l'avion pénètre sur la piste, pendant tout le vol, et stoppés quand l'avion libère la piste après l'atterrissage. (Grâce à eux, on peut savoir de nuit si l'avion que l'on voit est un Airbus: Les strobes émettent des doubles flash et non des flash simples comme chez les autres constructeurs. Sur avions plus récents, il y a aussi des "Taxi Camera Lights" qui éclairent les trains avant et principaux (ceux ci sont sous le regard d'une caméra pour aider les pilotes aux manœuvres au sol: pas mettre un bouggie dans l'herbe sur un virage serré).
- Phares d'atterrissage, ou landing lights: gros phares à l'emplanture des ailes, ou escamotables en bout d'aile. Ils sont mis sur ON dès que l'avion a reçu l'autorisation de décollage, puis sont gardés allumés tant que l'avion est au-dessous de 10.000 pieds. Ils sont éteints quand l'avion libère la piste après l'atterrissage
En outre, on trouve aussi des feux de roulage, ou taxi lights, allumés dès que l'avion roule sur le tarmac, et éteints quand l'avion s'approche du parking, afin de ne pas éblouir le personnel de piste. Egalement des feux de croisement de piste, ou runway turnoff, allumés au roulage par mauvaise visibilité et notamment quand l'avion traverse une piste. Des feux d'ailes, ou wing lights, qui servent à éclairer les bords d'attaques des ailes en vol de nuit pour vérifier un éventuel dépôt de glace. Pour finir, on trouve l'éclairage de dérive (queue de l'appareil), ou logo light, pour que le logo de la compagnie soit visible (large et fixe si allumé), et un éclairage des puits de train, ou wheel well lights, afin de pouvoir inspecter ces derniers au sol lors de la visite prévol.
Diagramme de positionnement des phares et feux sur un avion de ligne1 - Feux de position (rouge et vert) 2 - Feu à éclat à l'arrière 3 - Feux d'anti-collision 4 - Éclairage du logo de la compagnie sur la dérive - Crédit Wikimedia CC by 3.0
Une autre chose qui apparaît très étonnante, mais c'est peut-être un hasard absolu (et étrange en soit !), c'est que la ligne du haut, avec ses clignotements non réguliers, ressemble... au code Morse international (dont vous avez l'intégralité ci-dessous dans le lien wikipedia) !
Et si on se fie à ce code et à la ligne du haut (en tenant compte de 4 impulsions max), on peut lire les lettres suivantes, de gauche à droite :
f - b - i - f - r - r - p - l - g - f - h - r.
Ce qui ne veut pas dire grand chose à part d'éventuels sigles, certes... Il aurait été intéressant de voir sur toute la séquence si il y avait une boucle car la lettre f par exemple est présente 3 fois sur 12 impulsions, ce qui est curieux en soit. Mais il pourrait tout aussi bien s'agir d'un autre code... ou d'une coïncidence. Un code binaire en 4 bits pourrait aussi contenir un message crypté avec une clé. Néanmoins, des clignotements aléatoires et asymétriques semblent tout aussi improbables dans une mécanique électrique humaine, surtout quand on regarde les lampes à rotation ou clignotantes fabriquées, qui sont très régulières et bien rythmées ! Je comprends pourquoi Mr Weill n'a reconnu aucun avion, satellite ou autre engins "classiques" sur ce cliché, quand il le compare aux autres pris tout au long de sa pratique de l'astronomie et observation du ciel : ce cliché comporte une anomalie physique en soit, en dehors de l'observation de l'étrange luminosité de ces impulsions éclairant jusqu'au sol mentionnée dans le témoignage...
Sans qu'il y ait un lien quelconque, on peut noter également qu'un OVNI a été observé et même filmé du côté d'Annecy (au Sud-Est de la France donc) vers minuit. En tout cas, une unique "lanterne thaïlandaise" paraît peu probable à cette heure le 17-04-2018. :
Yves Herbo (C) Relai, Sciences-Faits-Histoires.com, http://herboyves.blogspot.com/, 12-08-2018
Les Scandinaves du Néolithique utilisaient des bateaux en peau d'animaux pour la chasse et les échanges, le transport à longue distance. Une étude récente menée par le Dr Mikael Fauvelle et publiée dans le Journal of Maritime Archaeology suggère que la culture scandinave antique de la céramique piquée (PWC) aurait pu construire des bateaux en utilisant des peaux d'animaux, en particulier des peaux de phoque, pour naviguer, pêcher, chasser et transporter, échanger sur de vastes distances. La PWC a prospéré entre 3500 et 2300 avant J.-C. dans les régions entourant la mer Baltique et la mer du Nord, y compris certaines parties de la Suède, du Danemark et de la Finlande actuels.
Gigès, le mystérieux inventeur de la monnaie métallique
Pièce de Lydie en Electrum
Les plus anciennes pièces de monnaie métallique, marquant peu à peu le changements définitif (pour le monde entier sauf aux Amériques, où les peuples ont continué leur économie spécifique jusqu'à l'arrivée des envahisseurs et culture dévastatrice) de l'économie de l'Humanité, passant de la dernière économie créée (le troc) aux échanges par monnaie de substitution, toujours pratiqués de nos jours, ont été découvertes en Turquie, dans l'ancien Royaume de Lydie (ou Méonie pour Homère). Les Lydiens (aussi connus comme les Lud par les Egyptiens et Assyriens) était un peuple indo-européen descendant de Lydos, fils d'Attis d'après Homère. Quand on sait qu'Attis est en fait un Dieu très connu, d'origine Phrygienne (qui dominaient les Lydiens au début) et que l'on retrouve sous le nom d'Adonischez les Grecs et Romain ou Tammuzchez les Hindoux, on devine que les origines mêmes de ce peuple sont aménagées. Et ce n'est pas mieux pour leur Roi Gigès, qui a régné (d'après la science officielle mais avec une fourchette temporelle) de entre 708 et 687 avant Jésus-Christ, sa mort étant entre 680 et 648 avant Jésus-Christ...
Crésides d'argent, attribuée à Crésus-5ième siècle av JC
Il était appelé Gugu par les Assyriens, et serait à l'origine des traditions bibliques sur Gog, prince de Magog (c'est-à-dire en assyrien mā(t) Gugu : « pays de Gygès »). En fait, on ne sait pas vraiment comment il est arrivé au pouvoir car les sources sont rares (donc à fiabilité resteinte) et divergent complètement... :
Selon Hérodote (né vers 484 avant notre ère et mort vers 420 - donc 250 ans après environ), Gygès était à l'origine le fils d'un des gardes et le confident du tyran Candaule, (ou Sadyate, ou encore Myrsile), roi très légendaire descendant d'Héraclès (Hercule), qui était un roi vantard qui ne cessait de vanter la beauté de sa femme. Ne supportant pas que Gygès puisse douter des charmes de son épouse, Candaule lui donne l'ordre de tout faire pour la voir nue et constater sa vérité. Après avoir refusé car pensant que c'est indigne, Gygès finit par céder et se cache dans la chambre royale au bon moment pour admirer le déshabillage de la Reine. Mais celle-ci le découvre sans le laisser paraître. Elle a compris que le roi ne peut être que l'auteur de cette indignité et décide de se venger de cet outrage. Elle convoque Gigès le lendemain et lui fait le chantage suivant : soit il assassine Candaule, devient son époux et le nouveau Roi, soit il est exécuté... Gigès n'a pas trop le choix, poignarde le Roi et s'empare du trône de Sardes, capitale de la Lydie...Mais selon Platon (né en 424/423 av. J.-C., mort en 348/347 av. J.-C. - donc 300 ans après environ), Gygès n'était qu'un simple berger lydien à l'origine, qui faisait paître son troupeau lorsqu'un violent orage fit s'affaisser une colline. Il s'y aventura et découvrit un énorme cheval de bronze dans les flancs duquel étaient pratiquées des portes (Cheval qui rappelle un peu le célèbre Cheval de Troie de part sa description !). Après avoir ouvert ces portes, Gygès aperçut à l'intérieur du cheval le squelette d'un géant portant au doigt un anneau d'or. Il se saisi de cet anneau, se le passa au doigt, et, sans dire un mot de son aventure, il alla rejoindre les autres bergers du voisinage. Par hasard, il remarqua que, à chaque fois qu'il tournait sa bague vers l'intérieur, il devenait invisible de tous, tout en gardant la faculté de voir et d'entendre ce qu'il se passait autour de lui. Dès qu'il retournait la bague en sens inverse, il redevenait visible. Après avoir essayé les pouvoirs de son anneau par plusieurs expériences, il se rendit au palais et séduisit la reine. Il complota avec elle la mort du roi, le tua et s'empara du trône...
Le mystère des tunnels de la cité engloutie de Baïes
Baïes (Baia de nos jours) est le nom d'une ancienne cité romaine, située en Italie, plus précisément au nord du golfe de Naples, dans une anse sur la rive est du cap Misène, entre la pointe de la Lanterne au sud et la pointe de l'Épitaphe au nord. Elle est proche de la base navale romaine de Misène, et fait face à Pouzzoles, de l'autre côté de la baie donc.
Plutôt qu'une ville, Baïes était un regroupement de villae de villégiature étagées sur la pente intérieure d'un ancien cratère (l'endroit est une caldeira volcanique, suite à une éruption explosive vers - 35000), en partie submergé par la mer, Baïes devait son succès à la douceur de son climat et surtout à la présence de sources thermales engendrées par le volcanisme actif des Champs Phlégréens. Ces sources chaudes, sulfureuses ou salines, sont vantées comme les plus curatives et les plus abondantes d'Italie par Pline l'Ancien, Strabon, Florus, Fronton et aussi Flavius Josèphe.
Des milliers d'outils en pierre taillée, d'os de chevaux, et une dent de lait humaine: une grotte du plateau central iranien a livré des traces d'occupation humaine vieilles de 452.000 à 165.000 ans, les plus anciennes jamais trouvées dans cet immense territoire à la croisée du Levant et de l'Asie.
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Commentaires
1
Kris
Le 13/02/2023
nous sommes le 13/02/2023 vu ce soir à 19h 50 (approximativement) dans le ciel de panassac
une bande de petite lumière régulière qui avance lentement dans le ciel, ni un avion, ni un dirigeable, trop long pour etre un dirigeable, ne clignote pas pour être un avion, pas de scintillement, course dans le ciel régulière. photo trop mauvaise pour être partager.
Qu'est ce que c'est ? ca n'a rien de militaire car ca c'est estompé au fur et à mesure comme un grand vaiseau qui disparait de la vu sans bruit.
contactez moi.
yveshLe 14/02/2023
Si ciel dégagé comme en ce moment ici, il s'agit probablement d'une suite de satellites Starlink d'Elon Musk...