La mystérieuse affaire de l’Utsuro-Bune - 2012 - up 07-2015
Le Japon à t-il connu une rencontre extraterrestre du troisième type au cours de la période Edo?
La période d’Edo au Japon de 1603 à 1867 fut un temps prospère pour le peuple japonais. Pour la plupart des historiens à l’époque, le Japon a été coupé (presque) complètement du monde extérieur. Aucune négociation, les voyages, la migration et l’immigration se sont produits au cours du XX ème siècle. Un détachement total du monde et de tous ses habitants de leurs coutumes, des pratiques et des religions éloignés. Pour les Japonais, cet isolement leur a permis de vivre sans guerre et se concentrer plutôt sur leur culture, l’art et l’état économique du pays.
Durant la période Edo, nous commençons à voir répandre le folklore japonais comme une traînée de poudre dans toute l’île. Peut-être que le produit de l’isolement leur ont permis de cultivé des histoires de type mythologique et légende un peu comme la période grecque finalement ! Mais les Ufologues ce posent une question à propos d’une histoire mystérieuse :
“Le Japon a t-il connu une rencontre extraterrestre du troisième type au cours de la période Edo?”
L’histoire de Utsuro-bune, ou le “vaisseau creux”.
Durant l’année 1803, quelques pêcheurs du village côtier de Harasha-ka-Hama, qui est située sur la côte nord du Japon, étaient sur le point de se détendre d’une dure journée de travail, quand ils ont repéré quelque chose d’étrange venant vers le rivage. De loin, les hommes ont repéré ce qui semblait être un bateau bizarre. L’objet semblait être à la dérive sans but à travers l’océan Pacifique. Comme il a dérivé de plus en plus près du rivage, les hommes ont décidé de s’aventurer dans les eaux et l’examiner de plus près. Prudemment, mais plus intrigué, les pêcheurs glissent lentement vers l’objet que la marée rapprocha du rivage. Dès qu’ils étaient assez proches du “bateau”, ils ont remarqué que ce n’était pas ordinaire. Au moins rien comme ils l’avez jamais vu.
Les hommes décidèrent rapidement d’inspecter ce navire étrange et le remorquer jusqu’au rivage. Avec un peu d’orientation, ils parviennent à faire glisser les trois à cinq mètres de large du vaisseau vers un endroit sûr sur la plage. Des gens étaient réunis autour, curieux de voir ce qui était à l’intérieur de ce navire étrange. Les hommes se sont rapidement encerclés et une inspection minutieuse des matériaux de construction commença. De ce qui est connu, la description de la partie supérieure de ce vaisseau ressemblait à du bois de bambou. Il semblait être très lisse et solide avec une couche de peinture rouge qui couvrait toute la partie supérieure. Toujours sur le dessus, des fenêtres de cristal qui leur a permis de scruter l’intérieur du navire Quant à la partie inférieure du navire, la légende rapportes qu’il soit construit à partir de plaques d’airain. Un design vraiment bizarre pour cette époque. Mais ce qui était plus bizarre était ce qui était à l’intérieur du navire.
Les pêcheurs ont vu que l’intérieur était décoré par un texte inconnu et étrange. Le texte, plus comme des symboles géométriques, les pêcheurs japonais ce demandais bien, ce que tout ça voulaient bien dire? Et d’oû cela provenais?
Ces questions seront bientôt disparues à mesure que les hommes feront une découverte remarquable. A l’intérieur du navire, parmi les étranges hiéroglyphes il était assis une femme. Selon l’histoire, la femme était assez jeune et semblait n’avoir que dix-huit ou vingt ans. Elle a été décrit comme ayant des cheveux rouge feu et les sourcils très lisse et une très pâle couleur de peau. Les hommes ont remarqué que la femme à l’intérieur du navire était vêtus de vêtements qui ont été faits de tissus inconnus.
Ils se sont rapidement rassemblés autour du bateau en regardant cette étrangère, elle est serrait sur elle une sorte de boîte allongée. La tenant serré contre sa poitrine. La femme se leva et les hommes bondirent en arrière. Là, en plein jour, la mystérieuse voyageuse émergea de la “cuve” et mis les pieds sur la rive nord du Japon.
La Visiteuse
Les hommes chantaient autour du mystérieux visiteur et ils ont immédiatement fait remarquer que non seulement elle ne leur ressemblai pas, mais elle parlait dans une langue inconnue. Elle a été décrite comme étant très sympathique et courtoise. Tant les pêcheurs et les visiteurs ont essayé de communiquer avec, mais ont constaté qu’il s’agissait d’un effort futile. De là les pêcheurs décidèrent de découvrir pourquoi la femme tenais sur la poitrine une boîte allongée si étroitement, comme si que le contenu de la boîte pourrait lui sauver la vie. Elle n’a jamais permis à personne de toucher la boîte et a été décrite comme suspectant quiconque qui l’interrogerais à ce sujet.
Cela a conduit les hommes à théorisé que peut-être ce qu’elle portait dans la boîte était la tête de son amant. Ce qui expliquerait sa réaction bizarre. Mais ce n’était qu’une théorie. Les hommes ont essayé à nouveau de communiquer avec elle, et elle aussi a essayé d’échanger des informations.
Après avoir tenté de communiquer, les pêcheurs ont signalé que la femme, avait apparemment abandonné l’échange, et était remonté sur le Utsuro-bune afin de battre en retraite dans les eaux froides qui la ramènerais dans son monde.
Explications possibles
Bien sûr, essayer de trouver une explication dans le folklore ancien est une tâche impossible. D’un côté, l’histoire est remplie de contradictions si nombreuses, qu’il devient parfois difficile de distinguer l’imagination de la réalité. D’autre part, pourquoi somme nous en tant que citoyens du monde moderne, obligé de trouver des explications scientifiques à ces contes?
Narcissisme? Curiosité?
Pendant l’ère des Vikings, la pratique de l’inhumation en mer ont été quelque chose de sacré pour eux. Les gens des pays nordiques envoyaient souvent les morts à la mer pour passer le Valhalla, via un petit bateau, mais joliment décorées. A l’intérieur avec le morts est généralement posé une série de choses comme des reliques, nourritures (des fruits et de la viande de cheval), et parfois des armes, ils pouvaient également sacrifié une servante malheureuse qui était censé répondre à son maître dans l’au-delà. La victime passait par un rituel de repas, de boire et de forniquer avant d’être sacrifié par un coup de couteau à la poitrine, et la mise à la dérive dans son bateau.
Bien sûr, l’âge des Vikings existait des centaines d’années avant l’incident Utsuro-bune, il est donc hautement douteux que cet étrange visiteur qui a atterri dans la terre du Japon a été dans les territoires nordiques. Mais nous sommes juste entrain de parler des ressemblances ici.
En 1997, un professeur japonais fut fasciné par l’histoire du voyageur mystérieux et décida de lancer son enquête. Le Dr Kazuo Tanaka de l’Université de Gifu, à Tokyo a conclu que l’histoire était un mythe. Il a conclu qu’il s’agissait d’une combinaison de folklore et de l’imagination, une sorte de légende urbaine.
Alors, que faisons-nous de cette histoire ? Pourrait-il s’agir d’une rencontre avec un ovni flottant ? Pourrions nous être sur que la mystérieuse femme aux cheveux rouges flottait à travers le Pacifique dans une embarcation de fortune ?
Ne serait-ce pas une voyageuse du Futur ? Peut-être aussi venait elle de l’extérieur de notre galaxie ou d’un monde qui existe dans les profondeurs de l’océan Pacifique.
Une chose est sûre, l’histoire de la Utsuro-bune restera à jamais un mystère.
Par Untel pour S-R et MdM
MAJ 08-2012 :
OANI et contact au Japon en 1803
Une histoire particulièrement étrange et assez bien documentée est apparue pendant la période Edo japonaise (1603-1867). Cette période a été d'ailleurs la dernière pour les japonais en ce qui concerne un isolement exceptionnellement bénéfique pour sa prospérité, sa paix et sa culture, qui se sont développés plus facilement. Cette assez longue période sans guerre, sans migrations ni commerce avec l'extérieur pratiquement a donc permis un développement complet de la culture japonaise sur toutes les îles que comporte ce grand archipel, y compris ses légendes et folklores, la mythologie étant cultivée et améliorée.
Mais une histoire retient particulièrement l'attention, car il ne s'agit pas d'un vieil héritage japonais ancestral, mais bien d'une nouvelle légende apparue à l'époque :
La datation n'est pas très précise, mais on sait que, un jour de l'année 1803, quelques pêcheurs du petit port de Harasha-ka-Hama, au nord du Japon, venait d'arrêter leur dur labeur de la journée pour se reposer, lorsqu'ils repèrent un objet étrange venant du rivage. De loin, les hommes voient ce qui ressemble à un bateau étrange, apparemment à la dérive sans but dans l'océan Pacifique. Alors qu'il dérivait plus proche du rivage, les pêcheurs ont décidé de plonger et d'aller le voir de plus près. Très intrigués mais avec prudence, les hommes nagent lentement vers le "bateau" pendant que la marée les aide en le rapprochant encore. Dès qu'ils sont assez proches, ils savent que ce n'était pas ordinaire, ce n'était rien de ce qu'ils avaient jamais vu de leur vie.
Ils se décidèrent assez rapidement pour une inspection du navire étrange et entreprirent de le remorquer jusqu'au rivage, toujours aidés par la marée. Ils parvinrent à faire glisser les trois à cinq mètres de large du vaisseau étrange à un endroit sûr de la plage. Le village entier se réunit autour, curieux de voir ce qu'il y avait à l'intérieur de ce navire inconnu. Une inspection minutieuse des matériaux de construction fut d'abord effectuée. Ce qui nous est parvenu, c'est une description de la partie supérieure de ce navire, qui ressemblait à du bois de bambou. Cependant très lisse et solide, avec une couche de peinture rouge qui couvrait toute la partie supérieure. Toujours au-dessus se trouvaient des fenêtres de cristal qui leur ont permis de scruter l'intérieur du bateau. Pour la partie inférieure du vaisseau, la légende rapporte qu'elle était faite de plaques d'airain... un design extrêmement étrange pour cette époque. Le plus étrange étant encore ce qui se trouvait à l'intérieur du navire.
En effet, l'intérieur était décoré avec un texte écrit dans un langage inconnu et étrange. C'était beaucoup plus des symboles géométriques et les simples pêcheurs japonais ne pouvaient comprendre ce que cela voulait bien dire, et qui l'avait écrit. Jusqu'à ce qu'ils découvrent, au milieu de ces étranges hiéroglyphes, une femme assise. Selon la légende, cette femme était assez jeune d'apparence, pas plus de 18 ou 20 ans. Ils l'ont décrite comme ayant les cheveux rouges feu et des sourcils très lisses, une couleur de peau très pâle. Ses vêtements étaient faits de tissus inconnus.
La femme tenait serré contre sa poitrine une sorte de boîte allongée, et les hommes bondirent en arrière quand elle se leva. Ils reculèrent tous et encerclèrent le mystérieux navire pendant que l'étrange voyageuse sortait de la "cuve" (description de la légende) et mettait les pieds sur la plage.
Les hommes chantèrent autour de la visiteuse, remarquant immédiatement que non seulement elle ne leur ressemblait pas du tout, mais qu'elle parlait également une langue inconnue. Elle est décrite comme très sympathique et courtoise. Ils ont tous essayé de communiquer avec elle, y compris des voyageurs d'autres villages, mais en vain. Les pêcheurs ont tenté de découvrir pourquoi la femme tenait en permanence une boîte allongée sur la poitrine si étroitement, comme si le contenu de la boîte pouvait lui sauver la vie. Elle n'a jamais autorisé quiconque à toucher la boîte, et a été décrite comme très soupçonneuse envers quiconque tentait de l'interroger à ce sujet.
Les hommes ont pensé que cela pouvait être la tête de son amant qui se trouvait dans la boîte, ce qui expliquerait son étrange comportement. Mais ce n'était qu'une théorie et les hommes ont tenté à nouveau de communiquer avec elle, et elle a aussi essayé d'échanger des informations.
Toujours en vain d'ailleurs, la femme décide d'abandonner les tentatives de communications, remonte sur le Utsuro-bune (nom donné à l'appareil par les locaux) avant de battre en retraite dans les eaux froides qui la ramèneront vers son monde...
Difficile de trouver une explication logique souvent quand il s'agit de légendes et de mythologie, mais ce récit ressemble beaucoup plus à un simple témoignage qu'à un montage pseudo-religieux ou une mauvaise interprétation d'un événement ordinaire (source de la plupart des mythologies pour la science officielle). Cela n'empêcha pas le professeur japonais Kazuo Tanaka de l'Université de Gifu, à Tokyo, de conclure en 1997 que l'histoire était un mythe. Il a conclu qu'il s'agissait d'une combinaison de folklore et d'imagination, une sorte de légende urbaine...
OANI et contact au Japon en 1803 by Mouss2015
Par Yves Herbo (c) pour S,F,H 23-08-2012 lien : http://www.sciences-faits-histoires.com/blog/ovni-ufo/oani-et-contact-au-japon-en-1803.html
Yves Herbo, Sciences,Faits, Histoires, 27-6-2012, 23-08-2012, up 07-2015