OVNI-USA : des millions de $ dans une étude secrète et des preuves - MAJ 2019
C'est paru dans des gros médias comme la BBC et The Gardian, et en France même France Info en parle aujourd'hui, le Pentagone vient d'admettre l'existence d'un programme secret de plusieurs millions de dollars pour enquêter sur la très probable existence du phénomène OVNI. Ce nouveau programme secret (car il ne s'agit pas du premier, loin de ça) aurait démarré en 2007, suite notamment à une forte preuve provenant de l'US Air Force : le film et les témoignages de deux pilotes militaires concernant un engin ovale sans ailes tournant sur lui-même à grande vitesse...
La révélation provient entre autres d'un ancien sénateur démocrate du Nevada, Harry Reid, qui à l'époque était le chef de la majorité démocrate au Sénat. Selon la même source, seuls quelques fonctionnaires sont au courant du programme secret, qui a démarré en 2007 et aurait été complété en 2012...
La suite est très intéressante car même le New York Times affirme que les documents liés à ce programme secret, qui comprendrait plusieurs films et photos, parlent d'avions étranges qui volent à grande vitesse ou flottent et quivolent des objets :
Il semble que le programme secret, nommé «Advanced Aviation Threat Identification Program» (programme d'identification des menaces aérospatiales avancées (AATIP)), était une idée de l'ancien sénateur démocrate Harry Reid, qui à l'époque était le chef de la majorité démocrate au Sénat, soutenu par deux autres sénateurs. Comme il l'a dit au New York Times: "Je n'ai pas honte, et je ne regrette pas d'avoir commencé ça. J'ai fait quelque chose que personne n'avait fait dans le passé". Mais aucun des trois hommes ne souhaitait débattre en public de cette question sensible et du financement du programme.
Au sein de l'armée, les militaires qui observaient des phénomènes inexpliqués n'en parlaient pas toujours à leur hiérarchie, " car les soldats craignaient qu'on leur rie au nez ", affirme Harry Reid au New York Times. Robert Bigelow, milliardaire dans l'avionique et impliqué dans le programme, explique aussi que les scientifiques américains ont " peur d'être ostracisés et les médias ont peur d'être stigmatisés " s'ils prennent la question au sérieux. Il assure d'ailleurs que la Chine et la Russie " sont bien plus ouvertes ", tout comme " la Belgique, la France, l'Angleterre ou le Chili. Ils sont actifs et évoquent volontiers le sujet, plutôt que d'être bridés par un tabou enfantin ", assure-t-il.
Le sénateur Harry Reid, à l'initiative du programme militaire
Reed est un sénateur du Nevada. Près de Rachel, Nevada, se trouve la région appelée "autoroute Alien" (Extraterrestrial Highway), initiée par le parlement local en 1996 et qui passe à côté de la zone 51, une base militaire et site d'essai, dont l'existence avait été admise longtemps que par quelques membres du gouvernement américain.
Le financement du programme « Advanced Aerospace Threat Identification Program » a été complété - provisoirement au moins, il y a cinq ans, mais les employés de ce programme se sont déplacés vers d'autres postes au sein du Pentagone afin d'obtenir d'autres preuves encore et enquêter sur des données sur les mystérieux objets volants, jusqu'en automne 2017...
Le financement annuel du programme, soit 22 million de dollars, était caché dans les budgets de défense des États-Unis. Une vidéo publiée en août dernier et qui était conservée par ce programme secret, montre deux avions de chasse de la Marine américaine pourchassant un objet volant ovale blanc qui avait la taille d'un avion de ligne, au large de San Diego en 2004.
Un des anciens membres du programme, qui n'est pas nommé dans le rapport, a dit à Politicoque l'un des objectifs du programme était aussi de faire le suivi des avancées technologiques rivales des puissances étrangères, comme la Chine ou la Russie... " Est-ce que cette Chine ou cette Russie essayait de faire quelque chose ou avait un système de propulsion que nous ne connaissons pas ? ", a-t-il dit.
Plus tôt cette année 2017, la Central Intelligence Agency (CIA) américaine a publié des millions de pages de documents déclassifiés en ligne. Les enregistrements comprenaient des observations d'OVNIS et une collection de rapports sur les "soucoupes volantes".
Le sénateur Harry Reid continue : " Si quelqu'un dit avoir les réponses, il se trompe. Nous ne connaissons pas les réponses, mais nous avons beaucoup de preuves pour appuyer les questions. C'est une question de science et de sécurité nationale. Si l'Amérique ne prend pas la tête pour répondre à ces questions, d'autres le feront... ".
Le milliardaire de l'avionique Robert Bigelow, dans l'émission de CBS “60 Minutes” en mai 2017, Mr. Bigelow a dit qu'il était "absolument convaincu" que les extra-terrestres existaient et que leurs OVNI visitaient la Terre. Credit Isaac Brekken for The New York Times
Les contrats liés à ce programme, consultés par le New York Times montrent que ces millions de dollars étaient surtout destinés à Bigelow Aerospace, la société du milliardaire Robert Bigelow chargée d'évaluer la menace posée par ces ovnis. L'argent a notamment permis à Bigelow Aerospace d'agrandir ses bâtiments à Las Vegas (Nevada) afin de stocker les métaux et autres matériaux récupérés et attribués à des phénomènes non identifiés. Les chercheurs de Bigelow ont également interrogé des personnes affirmant avoir ressenti des modifications physiologiques après des rencontres avec des ovnis, ainsi que des militaires qui avaient aperçu ces objets volants inconnus.
" Des 'phénomènes aériens non identifiés' rapportés par des pilotes et des militaires apparaissaient beaucoup plus avancés que la technologie américaine ou étrangère ", selon des personnes impliquées dans le dossier, citées par Politico. " Dans certains cas, ces engins manœuvraient de façon si inhabituelle et si rapide qu'ils semblaient défier les lois de la physique(NdT : connue) ", expliquent encore ces sources, pour justifier l'existence du programme.
L'AATIP a également collecté des enregistrements vidéo et audio, dont les images d'un appareil "entouré d'une sorte de halo lumineux, volant à grande vitesse tout en tournant sur lui-même ". On peut entendre les pilotes qui tentent de comprendre ce qu'ils voient, dans cette vidéo publiée par le département de la Défense, datée de 2004 et vers San Diego (voir en bas de l'article).
" Ce qui était considéré hier comme de la science-fiction est à présent un fait scientifique ", est-il écrit dans un document du Pentagone datant de 2009, cité et étudié par le New York Times. Et les Etats-Unis seraient " incapables de se défendre contre les technologies découvertes ". Le sénateur Harry Reid, à l'origine du programme, plaidait à l'époque pour renforcer la sécurité de ces recherches, arguant que "de grands progrès" avaient été réalisés "dans l'identification de plusieurs découvertes non conventionnelles et très sensibles".
Luis Elizondo, qui était à la tête du programme AATIP
Selon Luis Elizondo, qui était à la tête du programme," les phénomènes étudiés ne semblaient pas provenir d'un quelconque pays ". En outre, " ces observations ont souvent été situées près d'installations nucléaires, qu'il s'agisse de navires en mer ou de centrales ", explique-t-il à Politico.Yves Herbo : On peut ici s'interroger sur les soit-disant drones aperçus mais jamais capturés il y a un an et demi au-dessus de nombreuses centrales nucléaires françaises, et dont certains employés de ces mêmes centrales auraient affirmé qu'il ne s'agissait pas du tout de drones (qui aurait si facilement échappé à l'armée de l'air française et aux gendarmes déployés...).
Ni le New York Times ni Politico n'ont obtenu plus d'informations sur ces "découvertes très sensibles". Au New York Times, plusieurs scientifiques mettent en garde : ne pas savoir d'où provient un objet ne signifie pas qu'il arrive d'une autre planète ou d'une autre galaxie. Un ancien ingénieur de la Nasa affirme par ailleurs que " beaucoup de gens sont actifs dans les airs et ne veulent pas que les autres le sachent ". Yves Herbo : On parle donc ici de sociétés secrètes ou encore d'entreprises technologiquement plus avancées que les armées américaines si on suit ces scientifiques et ingénieurs !... qui pourraient tout aussi bien cacher des programmes financés par d'autres sources...
Chris Mellon, ancien directeur du personnel démocrate du Comité sénatorial du renseignement et ancien sous-secrétaire adjoint à la défense pour le renseignement, contribue également à cet effort. Parmi les autres membres du programme, citons un ancien haut responsable de la CIA et l'ancien directeur des systèmes avancés de l'usine de Skunk Works de Lockheed Martin en Californie.
" Je pense que nous sommes tous frustrés par le fait que notre gouvernement et notre science négligent certains des problèmes les plus intéressants et les plus provocateurs et potentiellement les plus importants ", explique Mellon dans une vidéo.
Politico a pris connaissance du programme du Pentagone au début de l'automne 2017, peu de temps après que Mellon et ses collègues aient déployé leur nouvel effort privé, qui cherche maintenant des investisseurs avec un achat minimum de 200 $ en actions ordinaires. Son site Web To The Stars Academy revendique 2 291 investisseurs, qui ont acheté pour l'instant un peu plus de 2 millions de dollars d'actions.
Lors d'une récente conférence de presse de To The Stars à Las Vegas, Mellon a décrit l'une des observations rapportées par les pilotes de la US Navy: « Il est blanc, oblong, de 40 pieds de long et peut-être 12 pieds d'épaisseur ... Les pilotes sont étonnés et se réorientent soudainement vers l'approche avec leurs F / A-18. Dans une série de manœuvres discrètes de l'engin qui semblent défier les lois de la physique, l'objet prend position directement derrière le F / A-18 approchant. En regardant l'imagerie infrarouge de l'objet, ils sont surpassés par une technologie qu'ils n'ont jamais vu. "
" Ils n'ont pas fait preuve d'hostilité ouverte ", a déclaré Elizondo, directeur de la sécurité mondiale et des programmes spéciaux à To The Stars, dans une récente interview publiée de la série de rencontres rapprochées. " Mais quelque chose d'inexpliqué est toujours supposé être une menace potentielle jusqu'à ce que nous soyons certains que ce n'est pas le cas. Du bon côté, je crois que nous sommes plus proches que jamais dans notre compréhension de la façon dont cela fonctionne ".
Les financements officiels ont donc été coupés, mais le programme ne s'est pas forcément arrêté pour autant. Luis Elizondoaffirme avoir continué à travailler avec la Navy et la CIA jusqu'en octobre 2017, quand il a remis sa démission, frustré que les Etats-Unis ne consacrent pas plus d'énergie et de moyens à la recherche sur les ovnis.
Pourtant, selon ses bailleurs de fonds, le programme existe toujours et les responsables continuent d’enquêter sur les épisodes d’OVNI portés à leur attention par les militaires, selon le journal.
Le Pentagone a ouvertement reconnu le sort du programme en réponse à une requête de Reuters. “ Le programme avancé d’identification des menaces de l’aviation a pris fin en 2012 ”, a déclaré Laura Ochoa, porte-parole du Pentagone, dans un courriel. “ Il a été déterminé que d’autres questions plus prioritaires méritaient un financement et qu’il était dans le meilleur intérêt du DoD d’apporter un changement ”, a-t-elle ajouté.
Mais le Pentagone était moins clair sur la question de savoir si le programme OVNI continuait à planer quelque part dans le vaste univers de la défense américaine :
“ Le DoD prend au sérieux toutes les menaces et menaces potentielles qui pèsent sur notre peuple, nos biens et notre mission et prend des mesures chaque fois qu’une information crédible est développée ”, a déclaré M. Ochoa.
Il est évident que des pilotes amenés parfois à transporter des ogives nucléaires sous leurs avions ne peuvent être que crédibles, et les preuves concernant le nombre de leurs témoignages sont écrasantes et très crédibles...
Ci-dessous l'un des documents qui étaient conservés par le programme secret et qui a fini par être publié et révélé par le DOD, le Département de la Défense américaine, un quelconque trucage est donc officiellement écarté en ce qui concerne ce document filmé par des militaires de l'US Air Force... :
MAJ 05-06-2019 : De nouveaux éléments sont apparus depuis la fin 2017 en ce qui concerne cette affaire, en voici la teneur :
Tout d'abord, beaucoup de personnes réclamaient la déclassification officielle des documents et rapports concernant les observations effectuées par les pilotes et le navire Nimitz au large de San Diego en 2004. J'ai donc sureillé pendant plusieurs semaines les publications éventuelles concernant cette demande, et cela a fini par apparaître et j'ai pu récupérer un fichier PDF (daté de mai 2018) (https://cropper.watch.aetnd.com/cdn.watch.aetnd.com/sites/2/2019/05/TIC-TAC-UFO-EXECUTIVE-REPORT_1526682843046_42960218_ver1.0-copy.pdf). Il ne s'agit pas d'un rapport officiel, mais un autre document, beaucoup plus officiel, a été publié en avril 2019, j'en parle après...
Le journaliste d'investigation George Knapp de KLAS-TV Las Vegas a rédigé ce premier résumé sur l' événement «Tic Tac» de l'USS Nimitz en 2004. Selon Knapp, le rapport de 2009 a été créé pour l'armée américaine et comprend les déclarations de sept pilotes de la marine ainsi que d'opérateurs de radars. Le résumé indique les capteurs avancés utilisés pour détecter le vaisseau en forme de Tic-Tac, l'emplacement exact de l'interception du commandant David Fravor et les capacités extraordinaires du "Tic Tac" (appelé ainsi à cause de sa forme).
D'après la description de ce rapport présenté par plusieurs sites, il s'agit d'un rapport détaillé préparé par et pour l'armée. Elizondo n’est pas autorisé à divulguer de telles informations, mais la LasVegasNow.com I-Team / George Knapp en a néanmoins obtenu une partie. Plus tôt cette année, nous avons effectué un voyage éclair à Washington pour un compte rendu organisé par l'ancien sénateur Harry Reid. Pendant son séjour à Washington, l'I-Team a obtenu des copies de documents non classifiés liés aux rencontres d'ovnis, y compris le Tic Tac. L'analyse a été compilée en 2009 avec la participation de plusieurs agences.
Le rapport d'analyse n'est pas daté et n'a pas de logo, mais quatre personnes distinctes qui connaissent bien son contenu ont confirmé à l'équipe I-Team que c'était la vraie affaire et qu'il avait été écrit dans le cadre d'un programme du Pentagone.
Une autre version hautement classifiée a également été écrite, mais il est peu probable qu'elle soit publiée. La photo de Google Maps contenue et les citations de sources externes concordent avec sa rédaction en 2009. Le style général de ce rapport n’est pas vraiment celui d’une enquête détaillée cherchant des explications, mais plutôt un recueil de témoignages mettant l’accent sur ses aspects prétendument inexplicables, avec des descriptions d’aéronefs et d’instruments copiés directement de Wikipedia et du marketing du constructeur de matériaux. Ce n’est pas exactement ce à quoi on pourrait s’attendre des rapports d’enquête officiels du DoD ou autres.
L'article indique que "le rapport initial de la marine a été enterré" et "Cinq ans plus tard, une évaluation plus complète a été compilée mais n'a jamais été rendue publique et n'a été vue que par peu de personnes, même à l'intérieur du Pentagone". Ce rapport pourrait très bien être une simple combinaison de ces rapports "enterrés" antérieurs, agrémentés d'éléments recopiés de Wikipédia et d'ailleurs. La raison pour laquelle il a été "vu par quelques-uns" est peut-être simplement qu'il s'agit d'un document de travail interne de l'AATIP résumant ce qu'ils ont trouvé dans les documents officiels antérieurs et qui vient d'être envoyé à leurs sous-traitants.
Le rapport décrit le contact visuel, en particulier tel que décrit par David Fravor, qui est le seul pilote dont le nom figure dans cette version du rapport. Cependant, pour certaines parties clés, la description semble moins détaillée que le récit que Fravor a donné en novembre 2017. Ces parties incluent les manœuvres exactes que Fravor et l'objet ont fait et le rapport omet également la description des conversations et transformations qu'ils ont effectuées après qu'ils aient perdu le contact et avant que Princeton ne les informe, l'objet aurait volé jusqu'à leur position de CAP, donnant l'impression que ce mouvement avait été presque instantané.
Le rapport indique également que Fravor n’a pas utilisé la "capacité d’enregistrement de son casque", ce qui "n’est généralement pas pratique" "en raison du nombre important de mouvements de la tête". Il semble probable qu’il n’y aura pas de métrage supplémentaire à l’exception du film FLIR.
Suivi FLIR
Le rapport indique que la séquence FLIR a été prise plusieurs heures plus tard et confirme que l’équipe qui l’a filmée ne l’a pas vue et ne peut même pas confirmer qu’il s’agissait du même objet.
Il mentionne également « Comme le Lieutenant [caché] regardait l'objet, il a commencé à sortir du champ de vue FLIR à gauche. Le Lieutenant [caché] n'a fait aucune tentative pour orienter le FLIR, puis a perdu conscience de la situation à l'objet.
Cela doit être la déclaration la plus intéressante de ce rapport: " Un exercice de tir réel a été mené par l'USS Louisville pendant et à proximité des observations de l'AAV; Cependant, l'arme utilisée ne correspondait pas au profil de vol ou aux caractéristiques visibles de l'AAV.
Cela semble être un indice évident qui pourrait expliquer au moins certaines parties des rencontres. À quelle distance était-il de ce lieu et de cette heure ? Est-ce que ceux-ci étaient proches des trois (3) occurrences où les AAV ont été détectés par le radar ? Quelles parties du "profil de vol" il ne correspondait pas, et à quelles parties il aurait pu correspondre ? Est-ce que cela correspond par exemple à cette partie:
AAV présentait les caractéristiques des missiles balistiques en ce qui concerne son apparence, sa vitesse et ses indications sur le radar. Étant donné que le radar était en mesure de gérer l’interception aérienne des avions conventionnels, il n’a jamais réussi à obtenir une trace précise des AAV et a été rapidement "lâché" par le radar, ce qui signifie qu’il a été éliminé par l’ordinateur afin de réduire l’encombrement sur le radar, toute autre fausse cible est traitée. Si le radar avait été configuré de manière à permettre le suivi des missiles balistiques, il aurait probablement été en mesure de suivre le AAV.
Bizarrement, ce rapport ne tente pas de répondre à de telles questions ni d’en expliquer les raisons. Il semble plutôt vouloir effacer cette partie en déclarant:
En outre, tout tir réel aurait été coordonné dans l'ensemble du CSG et tout le trafic aérien aurait été parfaitement au courant du lancement et du fonctionnement du système d'arme. L’avion n’aurait pas été utilisé pour l’interception d’une arme américaine en vol. Mais ils ont apparemment été orientés vers le même endroit "pendant la période".
Se pourrait-il que la "partie balistique" sur le radar ait été causée par cette arme, et que cette partie était déjà terminée lorsque l'interception a eu lieu, et que l'engin qui a été vu là-bas était autre chose ? Était-ce même envisagé ?
Il est également étrange que le rapport indique: L’agent météorologique (METOC) à bord du Princeton a présenté un exposé sur les phénomènes météorologiques de haute altitude où des cristaux de glace peuvent se former et être détectés par le système AN / SPY-1.
Alors, y a-t-il eu une sorte d'évaluation si cela pouvait avoir un rapport avec ce qui a été observé ? C'est étrange que le rapport ne mentionne rien d'autre à ce sujet.
Il a également été mentionné que: Les AAV descendraient «très rapidement» d’environ 60 000 pieds à environ 50 pieds en quelques secondes. Ils volaient alors en stationnaire pendant une courte période et partaient à des vitesses élevées et à des vitesses de virage démontrant une capacité d'accélération avancée (G).
Il n'a pas vu l'objet sur son radar (vidéo brute) jusqu'à ce que l'USS Princeton ait dirigé le contact et donné à l'E-2 la direction générale pour diriger son radar. Le Lieutenant [caché] a initialement pensé que le retour était une vague, car dans un état de haute mer (4 ou plus), le E-2C RADAR peut en réalité détecter les vagues. De plus, la cible était si basse et le retour si faible que sans les apports de l'USS Princeton, le retour aurait été manqué / ignoré. Cela était d'autant plus intéressant que l'USS Princeton avait initialement indiqué que la cible se situait entre 15 000 et 20 000 pieds MSL. En raison du retour radar intermittent de la cible, la vitesse n'était pas disponible.
Le rapport nous dit: L'USS Princeton a à plusieurs reprises détecté plusieurs véhicules aériens anormaux (AAV) opérant à proximité du CSG. Les AAV descendraient «très rapidement» d’environ 60 000 pieds à environ 50 pieds en quelques secondes. Ils volaient ou restaient stationnaires sur le radar pendant une courte période et partaient à des vitesses élevées et à des taux de rotation optimaux. Le 14 novembre, après avoir de nouveau détecté l'AAV, l'USS Princeton saisit l'opportunité de faire revenir un vol de deux F / A-18F après une mission de formation pour approfondir ses recherches.
Ils ont été détectés à trois reprises au cours de la semaine au large de la côte ouest des États-Unis et du Mexique. L’officier de l’aviation tactique à bord du Princeton n’a pas pu identifier le contact radar et, étant donné la vitesse élevée, l’altitude était étonnante.
Alors, y avait-il juste un seul AAV à plusieurs occasions ou plusieurs à la fois? Ces descriptions semblent indiquer qu'il y en a plusieurs, et encore une fois, elles décrivent uniquement "l'AAV" ou "le contact radar".
Selon Dave Fravor, " il y en a eu une douzaine" (apparemment au même moment selon le radar): Ces choses allaient tomber, il y en avait une douzaine, elles s'en allaient et elles descendaient, elles traînaient à une trentaine de mètres pendant quelques heures, puis elles remontaient tout droit " - David Fravor dans une interview du 15 mars 2018.
Selon le rapport, "le contact visuel et capteur avec l'AAV" s'est produit "à 30 km de la côte de la Basse-Mexique", et il existe également une carte pour cet endroit. Cependant, Fravor a déclaré qu’ils volaient plus longtemps que leur CAP vers l’ouest pour l’intercepter. Cela mettrait leur PAC sur le Mexique. L'emplacement indiqué dans le rapport ne correspond pas non plus à celui indiqué dans le journal des événements de la marine . Par conséquent, l'emplacement indiqué dans le rapport est probablement incorrect.
OVNI UFO du Pentagone, David Fravor pilote de F18 ( VOSTFR )
Dans un article/enquête complémentaire au rapport, (https://fightersweep.com/1460/x-files-edition/), " le BSM a d'abord détecté un contact sur le radar à environ 30 km de distance alors qu'il fonctionnait en mode balayage RWS. Il vérifia les coordonnées et il était effectivement en vol stationnaire à leur point précis du CAP. Il a tenté plusieurs verrous STT, en vain. Plus tard, dans le compte rendu, il a expliqué qu'il avait de multiples indices d'EA. L'aspect cible du fichier de piste tournait à 360 degrés avec d'autres indications de brouillage distinctes. Dans le mode de numérisation moins précis, le retour indiquait que l'objet était, selon les termes du BSM: « Quelques milliers de mètres au-dessous de nous. Vers 15-20 km - mais immobile en vol stationnaire. » Le seul mouvement qui a été généré a été l'arrivée du chasseur sur le site du CAP. Le WSO a eu recours au module FLIR à bord, l'asservissant à la piste faible que le mode RWS avait pu générer. "
Cependant, selon le rapport: " Le Lieutenant [x] contrôlait le radar et FLIR et a tenté à plusieurs reprises de faire passer le radar en mode STT (Single Target Track) sur l’objet. Le radar ne pouvait pas verrouiller, le balayage b décrivait autour du résultat, construisait un vecteur d’aspect initial (qui ne se stabilisait jamais), puis baissait et poursuivait le balayage binaire RWS normal. Quand on lui a demandé, le Lieutenant [x] a déclaré qu'il n'y avait pas de signal de blocage (stroboscopique, bulles de champagne, "aucune indication EA normale") . Il "est juste apparu comme si le radar ne pouvait pas le pirater." Le radar n'a pas pu recevoir suffisamment d'informations pour créer un seul fichier de piste cible. La FLIR, en esclave L + S, pointait dans la direction de la piste initiale alors que le radar tentait de verrouiller. "
Notons pour finir que ce rapport ne parle pas d'UFO mais utilise un nouveau terme, AAV.
" Le Service a également annoncé qu’il « avait organisé une série de briefings à l’intention de hauts responsables du renseignement de la marine et d’aviateurs ayant signalé des dangers pour la sécurité de l’aviation ».
La marine américaine élabore de nouvelles directives à l’intention des pilotes et du personnel pour signaler les rencontres avec des «aéronefs non identifiés», nouvelle étape importante dans la création d’un processus formel de collecte et d’analyse des observations inexpliquées – et de les déstigmatiser.
Cette directive, qui n’avait jamais été signalée auparavant, fait suite à une série d’observations d’avions inconnus et très avancés qui ont pénétré dans les groupes de frappe de la marine et dans d’autres formations et installations militaires sensibles, a annoncé le Service.
« Un certain nombre de rapports sur des avions non autorisés et / ou non identifiés qui ont pénétré dans diverses zones de tir contrôlées par l’armée et dans un espace aérien identifié au cours des dernières années », a déclaré la Marine dans un communiqué en réponse aux questions de POLITICO. « Pour des raisons de sécurité, la marine et l’US Air Force prennent ces rapports très au sérieux et enquêtent sur chacun de ces rapports. Dans le cadre de cet effort », a-t-il ajouté, " la Marine met à jour et formalise le processus permettant de signaler aux autorités compétentes les informations relatives à de telles incursions présumées. Un nouveau message à la flotte détaillera les étapes de la notification en projet. "
Pour être clair, la marine ne souscrit pas à l’idée que ses marins ont rencontré un vaisseau spatial extraterrestre. Mais il faut reconnaître que le personnel militaire est crédible et hautement qualifié a fait suffisamment d’observations aériennes pour qu’il soit consigné dans le compte rendu officiel et étudié, plutôt que d’être considéré comme un phénomène douteux et assimilé au domaine de la science-fiction. (YH : sans oublier tout de même que la science-fiction anticipe bel et bien le futur (voir le présent) et que de réelles découvertes ou "prédictions" en sont issues).
Chris Mellon, ancien responsable des services de renseignement du Pentagone et ancien membre du Comité du renseignement du Sénat, a déclaré " qu’établir un moyen plus formel de rendre compte de ce que l’armée appelle désormais « des phénomènes aériens inexpliqués » – plutôt que des « objets volants non identifiés » – serait un changement. »
« Actuellement, nous sommes dans une situation dans laquelle les ovnis et les UAP sont traités comme des anomalies à ignorer plutôt que comme des anomalies à explorer », a-t-il déclaré. « Nous avons des systèmes qui excluent cette information et la rejettent, comme les données satellitaires ou un radar qui voit quelque chose se déplacer à Mach 3. Ils larguent [les données] parce qu’il ne s’agit pas d’un aéronef ou d’un missile conventionnel. » »
Cette évolution s’explique par l’intérêt croissant des membres du Congrès suite aux révélations de POLITICO et du New York Timesfin 2017 sur le fait que le Pentagone a créé un bureau dédié au sein de la Defense Intelligence Agency, chargé d’étudier les PAN, à la demande de plusieurs sénateurs qui ont secrètement réservé des crédits pour le projet.
Ce bureau a consacré quelque 25 millions de dollars à la réalisation d’une série d’ études techniques et à l’évaluation de nombreuses incursions inexpliquées, dont une de plusieurs jours impliquant le groupe USS Nimitz Carrier Strike en 2004. Dans ce cas, des avions de combat de la Marine ont été manœuvrés par des avions non identifiés cela semblait défier les lois de la physique connue.
Raytheon, un important sous-traitant de la défense, a utilisé les rapports et la vidéo officielle du ministère de la Défense sur les observations au large des côtes de la Californie (YH : ou du Mexique ?) pour saluer l’un de ses systèmes radar permettant de capturer le phénomène.
Le bureau de recherche sur les ovnis du Pentagone, connu sous le nom de Programme avancé d’identification des menaces dans l’aérospatiale, a été officiellement fermé en 2012, à la fin du mandat du Congrès.
Mais de plus en plus de législateurs posent maintenant des questions, rapporte également la Marine.
« En réponse aux demandes d’informations émanant des membres et du personnel du Congrès, les responsables de la marine ont organisé une série de briefings avec de hauts responsables du renseignement naval ainsi que des aviateurs qui ont signalé des risques pour la sécurité de l’aviation », a déclaré le service dans une déclaration à POLITICO.
La Marine a refusé de préciser qui a été informé et ne donnerait pas plus de détails sur les directives en matière de compte rendu en cours de rédaction pour la flotte. L’armée de l’air n’a pas immédiatement répondu à une demande de commentaire.
Les défenseurs qui traitent ces observations comme une menace potentielle pour la sécurité nationale reprochent depuis longtemps aux chefs militaires d’accorder relativement peu d’attention au phénomène et d’encourager une culture dans laquelle les membres du personnel estiment que le fait de parler de ce phénomène pourrait nuire à leur carrière.
Luis Elizondo, l’ancien responsable du Pentagone qui dirigeait le prétendu bureau de l’AATIP, s’est plaint après sa retraite du service gouvernemental que l’approche du Pentagone à l’égard de ces appareils non identifiés ait été beaucoup trop biaisée.
« Si vous êtes dans un aéroport très fréquenté et que vous voyez quelque chose, vous êtes censé dire quelque chose », a déclaré Elizondo. « Avec nos propres militaires, c’est un peu l’inverse: Si vous voyez quelque chose, ne dites rien.»
Il a ajouté que parce que ces avions mystérieux « n’ont pas de numéro sur la queue, ni de drapeau – dans certains cas pas même une queue – ce sont des grillons. Que se passera-t-il dans cinq ans s’il s’avère que ce sont des avions russes extrêmement avancés ? »
Elizondo sera présenté dans une prochaine série documentaire sur les recherches sur les ovnis qu’il a supervisées au Pentagone. Il a dit que la série en six parties révélera des observations plus récentes de PANs par des dizaines de pilotes militaires. (Série diffusée à partir de fin mai 2019 aux USA).
Elizondo et Mellon sont tous deux associés à l’Académie des arts et des sciences To the Stars, qui soutient la recherche pour expliquer les progrès techniques apportés par ces PAN décrits.
CORRECTION: Une version antérieure de ce rapport donnait une fausse déclaration du nom du bureau de recherche sur les ovnis du Pentagone. C'est ce qu'on appelle le Programme avancé d'identification des menaces aérospatiales : Advanced Aerospace Threat Identification Program.
Présentation de la série de 6 épisodes diffusée depuis le 24-05-2019 aux USA, avril 2020 en France
Début décembre 2018, un rapport beaucoup plus sérieux sort. Il imane d'un organisme scientifique, le SCU, qui est une coopérative de scientifiques, d'anciens membres des forces armées et de la force publique et d'autres professionnels, dont beaucoup ont des dizaines d'années d'expérience dans la recherche de PAN, croient qu'il reste de nombreuses questions en suspens et qu'un examen sérieux est justifié.
Ce document (récupérable en pdf mais trop gros pour être chargé ici) est visible sur leur site et fait 270 pages et a été mis à jour pour la dernière fois le 25 avril 2019.
25 avril 2019 - " La Coalition scientifique pour les études sur les UAP (SCU) a publié un article de 270 pages examinant les vitesses extrêmes, accélérations et puissances démontrées par les ovnis rencontrés par l'USS Princeton, l'USS Nimitz et le F / A-18 Super Hornets lors d'un exercice militaire de la marine le 14 novembre 2004 au large de la côte sud-ouest de la Californie.
Peter Reali, un ingénieur en électricité diplômé de Berkley, l'un des auteurs de l'article, explique l'importance de leurs conclusions. " Nous avons déterminé que les objets rapportés par les officiers de la Marine démontraient des accélérations supérieures à celles d'un avion ou de tout aéronef à ailes. Les caractéristiques de ces objets ne peuvent être expliquées par aucun type de drone ou autre engin. Leur origine est inconnue. "
Un autre auteur de l'article, Robert Powell, ancien directeur technique sur la fabrication de nanotechnologies, souligne l'importance d'obtenir toutes les informations disponibles auprès de la Marine pour les analyser. " Bien que nous soyons confiants dans les accélérations élevées que nous avons calculées sur la base de témoignages militaires de haute qualité, nous pourrions obtenir beaucoup plus si nous pouvions avoir accès aux fichiers radar d'origine de la Marine ainsi qu'à tout autre signal EM qu'ils ont détecté. "
L’un des membres du conseil d’administration de la SCU et auteur de The National Intelligence Problem of Ovnis, a résumé le problème général en termes de non-ovni mais également de menaces émanant d’autres nations en déclarant: " Par souci d’efficacité, les services ont largement concentré leurs collections de renseignements et leurs études sur des observations susceptibles de constituer des menaces connues. Il est encourageant de constater que la marine a récemment reconnu la nécessité de remédier à de véritables incidents tels que ceux signalés aux alentours des groupes de frappe de la marine. Il y a peut-être beaucoup à apprendre des incidents aériens et maritimes anormaux, en particulier de ceux dans lesquels des données techniques fiables indiquent quelque chose qui dépasse la gamme des produits conventionnels, connus et déjà catalogués, y compris des plates-formes d’armes précédemment inconnues. "
Résumé du document - Le 14 novembre 2004, le Carrier Strike Group onze (CSG 11) de la US Navy, comprenant le porte-avions nucléaire USS Nimitz et le croiseur missile USS Princeton, effectuait un exercice d'entraînement au large de la Californie du Sud, les systèmes radar de la marine ont détecté jusqu'à 20 véhicules aériens anormaux (AAV). Ces AAV étaient considérés comme un danger pour la sécurité lors d'un prochain exercice aérien et le capitaine de l'USS Princeton a ordonné une interception avec deux F / A-18F.
Ce document examine le sous-ensemble public de ces données: informations de témoins oculaires fournies par les pilotes et les opérateurs de radar; Libération en vertu de la Freedom of Information Act de quatre documents de la marine; et une agence de renseignement de la défense a diffusé une vidéo prise par un avion à réaction F / A-18F à l’aide d’un radar infrarouge à visée avancée AN / ASQ-228 (ATFLIR). Des calculs analytiques basés sur des notes radar, des témoignages de pilotes et la vidéo ATFLIR sont utilisés pour calculer la vitesse, l'accélération et la puissance estimée démontrées par les manœuvres de l'AAV. Les accélérations calculées pour les AAV allaient de 40 G à des centaines de G et la puissance estimée sur la base d’un poids d’une tonne variait de un à neuf gigawatts. Aucun des témoins de la marine n'a déclaré avoir jamais vu de véhicules militaires ou civils dotés de ces capacités de manœuvres. Les aéronefs habités, tels que les F-22 et les F-35, sont limités à neuf forces-g et le F-35 a maintenu l’intégrité structurelle jusqu’à 13,5 g. Nos résultats suggèrent que, compte tenu des informations disponibles, les capacités de l'AAV dépassent toutes les technologies connues. La publication de tous les documents de la marine associés à cet incident afin de permettre une enquête scientifique complète et ouverte est fortement recommandée. "
Notons que le SCU a également fait un rapport très complet de 159 pages (récupérable en PDF) sur une observation filmée d'avion à Agadilla, Porto Rico en 2013, dont voici la vidéo :
Les journaux rapportent que cette décision au sujet de nouvelles instructions de la part de la Navy sur le phénomène OVNI est en grande partie due à de multiples observations faites par ses pilotes entre 2014 et 2015, sans oublier celles de 2004 :
Entre 2014 et 2015, des pilotes expérimentés de la US Navy ont connu de nombreuses expériences d'OVNIS au cours de missions d'entraînement alors que les pilotes étaient à mi-vol, leurs caméras et leurs radars détectaient des objets apparemment impossibles volant à des vitesses hypersoniques jusqu'à des altitudes de 30 000 pieds (9 144 mètres); ces mystérieux ovnis l'ont fait sans aucun moyen de propulsion visible, a rapporté le New York Times le 26 mai 2019.
Les vidéos filmées par les pilotes de la marine montrent deux rencontres d'objets volants. L'un d'eux a été capturé par la caméra d'un avion au large de la côte de Jacksonville, en Floride, le 20 janvier 2015. Cette séquence, publiée auparavant mais sans contexte, montre un objet incliné comme une toupie qui se déplace contre le vent. Un pilote fait référence à une flotte d'objets, mais aucune image d'une flotte n'a été publiée. La deuxième vidéo a été prise quelques semaines plus tard. Credit US Department of Defense
Les objets étranges, dont l'un ressemblait à une toupie se déplaçant contre le vent, sont apparus presque tous les jours de l'été 2014 à mars 2015, haut dans le ciel sur la côte est. Les pilotes de la marine ont signalé à leurs supérieurs que les objets ne présentaient aucun moteur ou panache d'échappement visible à l'infrarouge, mais qu'ils pouvaient atteindre 30 000 pieds et des vitesses hypersoniques.
" Ces choses seraient là toute la journée ", a déclaré le lieutenant Ryan Graves, un pilote de F / A-18 Super Hornet qui travaille dans la marine depuis 10 ans et qui a rapporté ses observations au Pentagone et au Congrès. " Garder un avion en l'air nécessite une quantité d'énergie importante. Avec les vitesses observées, 12 heures dans les airs sont 11 heures de plus que prévu. ”
À la fin de 2014, un pilote du Super Hornet a eu une quasi-collision avec l'un des objets et un rapport d'accident officiel a été déposé. Certains des incidents ont été enregistrés sur vidéo, notamment celui pris par la caméra d'un avion au début de 2015, qui montre un objet surfant sur les vagues de l'océan alors que les pilotes doutent de ce qu'ils regardent.
Personne dans le département de la Défense ne dit que les objets étaient extraterrestres, et les experts soulignent que des explications terrestres peuvent généralement être trouvées pour de tels incidents. Le lieutenant Graves et quatre autres pilotes de la marine, qui ont déclaré lors d'entretiens avec le New York Times avoir vu les objets en 2014 et 2015 lors de manœuvres d'entraînement du porte-avions Theodore Roosevelt allant de Virginie à la Floride, ne font aucune affirmation quant à leur provenance.
Joseph Gradisher, un porte-parole de la Marine, a déclaré que les nouvelles instructions étaient une mise à jour des instructions adressées à la flotte en 2015, après les incidents de Roosevelt. " Il y avait un certain nombre de rapports différents, a-t-il déclaré. Certains cas auraient pu être des drones commerciaux, a-t-il déclaré, mais dans d'autres cas, «nous ne savons pas qui fait cela, nous n'avons pas assez de données pour suivre cela. Le message adressé à la flotte a donc pour objectif de fournir des indications actualisées sur les procédures de compte rendu des intrusions présumées dans notre espace aérien. "
Les observations ont été signalées au programme d'identification de la menace aérospatiale avancée, peu connu du Pentagone, qui a analysé les données radar, les séquences vidéo et les comptes rendus fournis par des officiers supérieurs du Roosevelt. Luis Elizondo, un responsable du renseignement militaire qui a dirigé le programme jusqu'à sa démission en 2017, a qualifié les observations « de série d'incidents frappants ».
L'escadron a commencé à remarquer des objets étranges juste après que la Marine eut mis à niveau les systèmes radar de ses avions de combat F / A-18.
Le programme, qui a débuté en 2007 et qui était en grande partie financé à la demande de Harry Reid, le démocrate du Nevada, alors leader du Sénat, a été officiellement arrêté en 2012, lorsque les fonds ont été réduits, selon le Pentagone. Mais la Marine a récemment déclaré qu'elle enquêtait actuellement sur des rapports militaires sur des ovnis, et M. Elizondo et d'autres participants ont déclaré que le programme - certaines parties restent classées - s'est poursuivi sous d'autres formes.
Leon Golub, astrophysicien expérimenté au Centre d'astrophysique Harvard-Smithsonian, a déclaré que la possibilité d'une cause extraterrestre " est tellement improbable qu'elle rivalise avec de nombreuses autres explications peu probables mais plus mondaines ", a-t-il ajouté. Des possibilités - bugs dans le code pour les systèmes d’imagerie et d’affichage, effets et réflexions atmosphériques, surcharge neurologique provenant de multiples entrées pendant un vol à grande vitesse. "
Le lieutenant Graves ne peut toujours pas expliquer ce qu'il a vu. À l'été 2014, lui et le lieutenant Danny Accoin, un autre pilote du Super Hornet, faisaient partie d'un escadron, le VFA-11 «Red Rippers» de la base aéronavale Oceana, en Virginie, qui s'entraînait pour un déploiement dans le Golfe Persique.
Les lieutenants Graves et Accoin ont discuté avec le Times des objets. Trois autres pilotes de l'escadron ont également parlé au The Times des objets, mais ont refusé de donner leur nom.
Les lieutenants Graves et Accoin, ainsi que d'anciens responsables des services de renseignement américains, ont été entendus dans une série de six épisodes intitulée «Unidentified: Inside U's Investigation», diffusée à partir de vendredi 24-05-2019. Le Times a mené des entretiens séparés avec les principaux participants.
Les pilotes ont commencé à remarquer les objets après que leur radar datant des années 1980 eut été amélioré pour devenir un système plus avancé. Après avoir reçu le nouveau radar, les avions de chasse ont commencé à repérer les objets, mais ils ont ignoré ce qu'ils pensaient être de fausses pistes radar.
« Les gens ont vu des choses étranges dans les avions militaires depuis des décennies », a déclaré le lieutenant Graves. " Nous effectuons cette mission très complexe: franchir les 30 000 pieds d'altitude. Ce serait un gros problème d'avoir quelque chose là-haut. "
Mais il a dit que les objets persistaient, apparaissant à 30 000 pieds, 20 000 pieds, même au niveau de la mer. Ils pourraient accélérer, ralentir puis atteindre des vitesses hypersoniques.
Le lieutenant Accoin a déclaré qu'il avait interagi deux fois avec les objets. La première fois, après avoir relevé l'objet sur son radar, il a décidé de faire rugir son avion, volant à 1 000 pieds au-dessous de lui. Il a dit qu'il aurait dû pouvoir le voir avec sa caméra pour casque, mais qu'il ne pouvait pas, même si son radar lui a dit qu'il était là.
Quelques jours plus tard, le lieutenant Accoin a déclaré qu'un missile d'entraînement sur son jet était verrouillé sur l'objet et que sa caméra infrarouge le détectait également. " Je savais que je l'avais, je savais que ce n'était pas un faux coup ", a-t-il déclaré. Mais quand même, "Je ne pouvais pas le prendre visuellement."
À ce stade, les pilotes ont indiqué qu'ils avaient spéculé sur le fait que les objets faisaient partie d'un programme de drones classifié et extrêmement avancé.
Mais alors les pilotes ont commencé à voir les objets. À la fin de 2014, le lieutenant Graves a déclaré être de retour à la base de Virginia Beach lorsqu'il a rencontré un membre de l'escadron qui venait de rentrer d'une mission « avec un air de choc sur le visage ».
Il a dit qu'il était abasourdi d'entendre les mots du pilote. " J'ai presque touché l'une de ces choses ", a déclaré le pilote au lieutenant Graves.
Le pilote et son ailier volaient en tandem à environ 30 mètres de distance au-dessus de l'Atlantique, à l'est de Virginia Beach, quand quelque chose s'est envolé entre eux, juste devant le cockpit. Le lieutenant Graves a dit que le pilote a dit qu'il ressemblait à une sphère contenant un cube.
L’incident a tellement effrayé l’escadron qu’un rapport sur la sécurité des vols a été déposé, a déclaré le lieutenant Graves.
Le quasi-accident, ont-ils déclaré avec d'autres pilotes interrogés, ont mis l'escadron en colère et les ont convaincus que les objets ne faisaient pas partie d'un programme de drones classés. Les représentants du gouvernement sauraient que les pilotes de chasse s'entraînaient dans la région, ont-ils raisonné, et n'enverraient pas de drones pour se mettre en travers.
« Le programme de drones potentiellement classé est devenu un problème de sécurité », a déclaré le lieutenant Graves. " Ce ne serait qu'une question de temps avant que quelqu'un ait une collision en l'air ".
Selon les pilotes, ce qui était étrange, c’était que la vidéo montrait des objets qui accéléraient à une vitesse hypersonique, effectuaient des arrêts soudains et des virages instantanés - quelque chose qui dépassait les limites physiques d’un équipage humain.
« La vitesse ne vous tue pas », a déclaré le lieutenant Graves. “ Arrêter le fait. Ou l'accélération. "
Lorsqu'on leur a demandé ce qu'ils pensaient être les objets, les pilotes ont refusé de spéculer.
« Nous avons des hélicoptères en vol stationnaire », a déclaré le lieutenant Graves. « Nous avons des avions capables de voler à une altitude de 30 000 pieds et à la surface. » Mais « combinez tout cela dans un véhicule de quelque type que ce soit, sans moteur à réaction, ni panache d’échappement ».
Le lieutenant Accoin a seulement déclaré que " nous sommes ici pour faire un travail avec excellence, pas inventer des mythes."
En mars 2015, les Roosevelt ont quitté les côtes de la Floride pour se rendre dans le golfe Persique dans le cadre de la mission menée par les États-Unis contre l'État islamique en Irak et en Syrie. Les mêmes pilotes qui interagissaient avec les objets étranges au large de la côte Est effectuaient bientôt des missions de bombardement sur l'Irak et la Syrie.
Les incidents ont diminué après leur départ des États-Unis, ont indiqué les pilotes.
C'est en mai 2019 que, dans une déclaration fournie exclusivement à The Post, un porte-parole du ministère de la Défense a déclaré qu’une initiative gouvernementale secrète baptisée Advanced Aerospace Identification Threat Program « poursuivait ses recherches et ses enquêtes sur des phénomènes aériens non identifiés ».
Et tandis que le DOD (département de la défense) a déclaré avoir mis fin à l’AATIP en 2012, le porte-parole Christopher Sherwood a reconnu que le ministère enquêtait toujours sur les supposées observations de vaisseau spatial extraterrestre.
« Le département de la Défense est toujours soucieux de maintenir une identification positive de tous les aéronefs dans notre environnement opérationnel, ainsi que d’identifier toute capacité étrangère pouvant constituer une menace pour la patrie », a déclaré Sherwood.
« Le département continuera à enquêter, selon les procédures normales, sur les rapports d’avions non identifiés rencontrés par des aviateurs militaires américains afin d’assurer la défense de la patrie et la protection contre les surprises stratégiques des adversaires de notre pays. »
Luis Elizondo, l'ancien responsable de l'AATIP, le programme OVNI du Pentagone, répond en octobre 2018 à une question du journaliste allemand Robert Fleischer (ExoMagazin.tv) concernant la nature des OVNIS et des matériaux analysés. Il a déclaré: " Mes collègues de l'AATIP et moi-même étions très convaincus que ceux-ci étaient contrôlés de manière intelligente. En ce qui concerne les comportements, les experts ont estimé que les ovnis présentent des schémas répétitifs qui semblent indiquer un intérêt pour le nucléaire et l'eau ".
JT Ovni en France, vous partage les dernières observations d'ovni/oani/ovi dans l'Histoire, les conférences et événements ufologiques mais également un dossier sur les OVNIs dans l'Histoire d'un département ou d'une région. (ps: Toutes les images ou vidéos que vous pensez être des films d'ovni dans cette vidéo sont des reconstitutions selon le ou les dessins des témoins, comme indiquées en haut à gauche). Attention : les propos et points de vue exprimés par les invités ne représentent pas l'équipe d'ODHtv. Merci.
L'édition de Janvier 2022 vous est présentée par Jenny et Gilles.T
Sommaire
- Les infos d'odh tv
- programme du JT en 2022
- Courriers des Odhnautes avec Bruno Botta et Rémy Fauchereau
- Annonce - Reportage sur le XIème congrès ufologique d'Ovni Languedoc
- Les astuces du veilleur - La veillée de l'AEPA du 23 octobre 2021
- Cultur'Ovni / Ovi - Le dernier LDLN avec Jean-Louis Lagneau
- Cultur'Ovni / Ovi avec Rémy Fauchereau
- Question de l'édition avec Bruno Bousquet
- Actu O.D.H avec Christian Morgenthaler
- Le Dossier : Tour de France des Ovni / Ovi dans l'Histoire avec Gilles Durand Les sources Les différences entre "recueil" et "enquête"
Et bien, suite aux dernières nouvelles, témoignages de réels médecins péruviens et ce qui semble de plus en plus être une confirmation d'anciens témoignages (on peut remonter au minimum au crash d'ovni de mai 1953 à Kingman en Arizona, USA pour les concordances, voir Roswell ou autres en 1947 !) et l'évidence que de telles séries de hasards et de témoignages à travers le temps sont difficiles à contrer, y compris les témoignages de militaires maintenant à la retraite. Il devient évident que les autorités américaines ont voulu garder secrètes leurs interactions et rétroingénieries aliens le plus longtemps possible, mais que c'est bien une technologie récente, internet, qui est en train de les empêcher de maintenir ce secret plus longtemps...
Comme beaucoup de personnes ayant vécu des événements étranges au cours de leur vie, Jacky est curieux des publications s'en approchant et d'autres témoignages et recherches les concernant. C'est ainsi que, comme plusieurs milliers de mes lecteurs et lectrices (voir sur la page d'accueil en bas : bientôt 4 millions de visiteurs uniques ayant visualisé bientôt 10 millions de pages d'articles depuis 2012, merci à eux !), il a découvert ici certaines affaires et recherches liées au phénomène OVNI. Après plusieurs mois, il a décidé de me contacter car il ressentait le besoin de raconter ce qui lui était arrivé, même si de mauvais souvenirs et faits allaient remonter. Jacky approche du cap des 70 ans mais ces différentes rencontres l'ont marqué à vie, et encore maintenant... Je le remercie pour ces témoignages.
Questions / Réponses
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Commentaires
1
Louise
Le 18/12/2017
Pour ceux qui s'intéressent au sujet ça ne présente à peu près aucun interêt..je suis sûr qu'on peut retrouver les mêmes déclarations prononçées dans les années 50 et 60 ... déjà.
Idem pour la vidéo, les archives...où est l'information nouvelle ?
On retourne à la posture du "phénomène réel mais inconnu" ...ce qui ne présente pas beaucoup d'interêt ou d'innovation, surtout que le "phénomène ovni" à l'air de s'être calmé depuis quelques années.
En cas de vague de témoignages (restons prudents) , que diront les autorités ?
Peut être est-ce sincère, ils n'en savent pas plus que l'homme de la rue mais en cas d'interêt massif ou de panique je suis sûr qu'on retombera dans la dénégation et les explications officielles farfelues
yveshLe 21/12/2017
Ce n'est pas très exact ce que vous dites en fait ! Dans les années 50 (MacCartisme !) et 60, c'était plutôt la "chasse aux sorcières" aux USA, et les militaires ne parlaient pas du tout, et quand ils en disaient trop, c'était démenti et le militaire avait des problèmes... Il n'y a aucun point en commun avec les années 50-60 au cours desquelles des projets NON-SECRETS (Blue Book, etc...) ont été officiellement annoncés dès leur début... a ma connaissance, les américains n'ont jamais affirmé que le phénomène était bien réel mais inexpliqué (seul le ministre français des armées Robert Galley a affirmé ça en 1974 et pendant quelques années seulement ^^). Et surtout, dans les années 50-60, il n'y avait pas encore de lois obligeant les organismes officiels a déclassifier certains documents comme de nos jours ^^. Aucun rapport donc, vous êtes dans l'erreur. Et la grosse différence aussi est bien que des gens payés par l'état et les armées insistent sur le fait qu'il y a des preuves concrètes et qu'il est anormal que les "officiels" et l'administration ait fini par préférer consacrer cet argent au financement de groupuscules islamistes soit-disant "modérés" mais... qui se retournent invariablement contre eux ^^ Je pense personnellement que si l'administration Obama a coupé les vivres officiellement à ce projet secret (mais pas officieusement car il a continué ou un autre a pris le relais), cela peut tout aussi bien être pour protéger un secret d'état (sans parler de complotisme, il faudrait être stupide pour ne pas réaliser que cela a toujours existé et existera toujours) qui engage toutes les administrations passées et présentes... On a remarqué aussi que les services de renseignements tentent désespérément depuis 5 ans de "révéler" que toutes les observations d'ovni "lointains" des années 50-60 étaient bien dues à leur avion secret de l'époque, l'U2, qui était alors l'un des seuls à pouvoir atteindre la stratosphère pour pouvoir espionner les russes ou chinois... Tout comme ils ont essayé de le faire pour la vague des années 1990 en Belgique avec des soit-disant avions furtifs US (tellement furtifs qu'ils ont été vus par des centaines de témoins, poursuivis au sol par des gendarmes et des radars, et des pilotes belges dans les airs ^^), les services de renseignements, aidés par des "débunkers" payés probablement, font tout pour que les populations assimilent des OVNIs a des armes secrètes américaines ou autres, à ce niveau ce n'est pas trop nouveau, sauf qu'on assiste à une "guerre interne" entre plusieurs organismes et que même des armées officielles de certains états (comme le Chili par exemple) affirment sans honte qu'ils ont des preuves concrètes de l'existence du phénomène, qui les bat technologiquement parlant...