OVNIs : Le film de la mission STS-48 de la navette spatiale Discovery
WEB SOURCES: http://www.ufocom.org/UfocomS/sts48.htm + http://www.williamson-labs.com/ufo.htm
Vol STS 48 : La navette Discovery enregistre les images d’une bien curieuse scène !
Le 15 septembre 1991, le vol STS-48 de la navette américaine Discovery s’est retrouvé au bon milieu d’une scène des plus étranges.
Alors que les membres d’équipage vaquaient à leurs expériences scientifiques et effectuaient les tâches qui faisaient l’objet de leur mission, une caméra, à l’arrière de la soute de la navette, filmait l’horizon terrestre en automatique et transmettait ses données au contrôle au sol.
Nombreux sont les radio-amateurs qui " écoutent " et " observent " les transmissions de ce genre de mission en direct. C’est grâce à l’un de ses sympathiques fouineurs que l’on possède aujourd’hui le film le plus " spectaculaire " de l’histoire de l’ufologie. De plus, même la NASA n’a pu que confirmer l'authenticité de ces images.
Entre 20h00 et 20h30 GMT, un " objet " luisant émerge lentement de l’horizon terrestre et apparaît dans la partie inférieure droite de l’image. Il se déplace en diagonale ascendante vers le côté gauche de l’écran.
Avant cela, d’autres " objets " brillants avaient été visibles et suivaient des trajectoires variées.
Puis il y eut un flash lumineux qui semble provenir du coin inférieur gauche de l’écran. L’objet principal, accompagné des autres, changea brusquement de trajectoire et accéléra d’une manière vertigineuse (+ ou - 14000 G selon certains spécialistes) ! Cela ressemblait vraiment à une réaction occasionnée par le flash.
A peine une seconde plus tard, un premier trait lumineux fonçait en direction de l’objet principal, suivi de près par un second " tir " qui, lui, visait la position de 2 autres objets. Mais ceux-ci étaient déjà loin…
Quelques 65 secondes plus tard, l’angle de la caméra fut modifié. Celle-ci fut tournée vers l’avant de la soute et interrompit ses transmissions quelques secondes plus tard ! Mais trop tard car la scène avait été enregistrée par un " radio-amateur " stupéfait des images qu’il venait de voir.
Ce film fit le tour de la communauté ufologique, partout dans le monde. La NASA allait devoir expliquer ce qui s’était passé.
Elle le fit publiquement un peu plus tard, le 26 juin 1992, par le biais de l’émission de Larry King (Larry King Live) sur CNN. Cette émission accueillait deux personnalités. L’une est Don Ecker, un ufologue, responsable de la revue " UFO Magazine ". L’autre est James Oberg, ingénieur à la NASA et présent en salle de contrôle lors des " événements ". Toutefois, ce dernier intervient en tant que personne et non au nom de la NASA. Enfin, c’est ce qu’il déclare dans l’interview.
Voici la retranscription, en français, de cette émission :
Source : Larry King Live
26/06/92
LARRY KING : Je vous souhaite la bienvenue au Larry King Live. Une caméra à bord de la navette spatiale Discovery a enregistré une scène curieuse, il y a neuf mois. Quelques enquêteurs ufologiques y voient clairement un engin, non pas l’un des nôtres, exécutant une manœuvre à haute vitesse. D’autres disent que ce sont de simples déchets. Jugez vous-mêmes.
La mission STS-48 vola en septembre de l’année passée. Alors que Discovery faisait le tour de la Terre, la caméra a filmé ce qui ressemblait à un objet se déplaçant de gauche à droite. Il a fait soudainement, et étrangement, un virage à droite et fut hors du champ de vision, suivi par un laser du fond de l’écran jusqu’à son sommet. En y regardant plus précisément, l’objet semble changer de direction. La NASA prétend que c’était de l’eau rejetée par Discovery. Les enthousiastes fanatiques des OVNI ne sont pas d’accord et clament que la NASA cache depuis longtemps les rencontres du troisième type.
Nous avons de Los Angeles Don Ecker du " UFO Magazine ". A Houston, l’ingénieur spatial et auteur James Oberg qui a travaillé sur les communications au sol lors de la mission qui nous intéresse. "Don, êtes-vous sûr qu’il s’agit d’un OVNI ?" :
DON ECKER : Et bien, ça a tout l’air, Larry, d’être quelques chose de non identifié. Il donne l’impression de voler. Et l’on n'a jamais vu des eaux usées, de l’urine - comme l’affirment certains - faire des virages à nonante degrés.
KING : Pourquoi la NASA voudrait-elle le cacher ?
ECKER : Pourquoi le gouvernement des Etats-Unis veut-il maintenir le sujet dans l’ombre depuis quarante-cinq ans ?
KING : Pourquoi ?
ECKER : Nous entrerions dans le royaume de la spéculation…
KING : Le gouvernement le nie, alors il faudra que vous me disiez pourquoi vous pensez qu’il le cache ?
ECKER : D’accord, pour commencer, j’ai quelques questions à ce sujet à poser à Jim avant. Pour commencer, bonsoir, Jim. Et j’ai quelques questions. Pour commencer, en qualité de quoi êtes-vous ici ce soir ? Etes-vous là… ?
KING : Attendez. On prépare le micro de Jim. Alors continuons avec vous et on me fera savoir quand tout sera prêt. Quand vous avez vu ces cassettes pour la première fois, n’avez-vous pas nourri votre frénésie, n’était-ce pas quelque chose par lequel vous avez été emballé ? Ou bien les avez-vous calmement analysées ? Avez-vous enquêté sur une explication à leur sujet ?
ECKER : Absolument. En fait, j’ai les documents avec moi, grâce auxquels la NASA a affirmé ce qu’étaient ces objets particulièrement bizarres. Il y a plusieurs événements sur cette cassette qui viennent d’une chaîne de télévision dans les environs du Maryland qui l’a transmis à la NASA. Originellement, c’était le deuxième événement qui montre quelques objets bizarres qui simplement ne concordent avec les conclusions que donne la NASA au sujet de leur identité. Si vous visionnez l’extrait complet, vous remarquerez que quelques temps après que cet événement-là soit apparu, la NASA se prépare à lâcher les eaux usées.
KING : D’accord, James, êtes-vous maintenant avec nous ? M’entendez-vous ?
JAMES OBERG, Ingénieur Spatial : Tout va bien. Nous pouvons communiquer, mais j’ai eu un problème avec votre…
KING : Très bien, voici donc James Oberg, ingénieur spatial et auteur. Il a travaillé sur le contrôle du vol lors de cette mission. Et vous dites que ce ne fut pas un événement paranormal, n’est-ce pas ?
OBERG : C’est un phénomène très familier. Larry, nous voyons cela depuis les lucioles sur le vol de John Glenn, il y a trente ans. La navette est entourée de nuages de déchets : glace, poussières, restes d’isolation et autres. Ces événements - et j’ai vu ces cassettes et des centaines d’heures de vidéo du même type - sont tout à fait normaux.
KING : D’accord, Don a quelques questions pour vous. Don ?
ECKER : Oui. Jim, en qualité de quoi êtes-vous là ce soir ? Etes-vous ici en tant que civil ? Etes-vous un représentant de Lockheed…
OBERG : Don, je ne représente…
ECKER : ...ou de la NASA ?
OBERG : Don, ne posez pas de questions stupides. Je n’ai pas de relation avec Lockheed. Je suis un simple passionné de l’espace. Je suis intéressé par le mythe et le folklore de l’extraterrestre…
ECKER : Donc en d’autres mots, vous êtes ici parce que vous l’avez voulu ?
KING : Oui, en d’autres mots, James, vous ne représentez pas la NASA, c’est cela ?
OBERG : Je vous renvoie la balle, Don. Je ne suis pas un éditeur de magazine qui cherche à vendre d’autres abonnements.
KING : D’accord, James, mais…
ECKER : D’accord, laissez-moi vous dire cela…
KING : On se calme, on se calme, on se calme, on se calme…
ECKER : Laissez-moi vous dire cela…
KING : On se calme, on se calme…
ECKER : James…
KING : Don, Don, Don, du calme ! C’est mon émission. James, vous ne représentez donc pas la NASA, c’est cela ?
OBERG : Non, j’ai écrit à ce sujet il y a longtemps.
KING : D’accord, avez-vous travaillé sur cette mission ?
OBERG : Oui.
KING : En qualité de quoi ?
OBERG : J’étais dans le centre de contrôle du vol, dont l’une des tâches était de lâcher un des satellites. Donc j’étais là pour…
KING : Etes-vous un employé sous contrat avec la NASA ?
OBERG : Oui, oui, je le suis. Oui.
KING : D’accord, mais ce soir vous venez en tant que James Oberg l’ingénieur
spatial…
OBERG : C’est cela.
KING : …ne représentant pas la NASA ?
OBERG : Tout à fait.
ECKER : D’accord, Larry, j’ai une autre question pour Jim…
KING : Continuez, Don, continuez.
ECKER : Oui, j’ai une autre question pour lui. Jim, travaillez-vous ici sous les contraintes d’un contrat de sécurité que vous auriez signé avec la NASA ?
OBERG : Non, ce n’est pas moi l’important ici. L’essentiel sont ces films et l’énorme affaire que l’on est en train de faire autour.
ECKER : Bien, voici une simple question, Jim. Travaillez-vous sous des contraintes de sécurité ?
KING : James, ceci est une question valable. Avez-vous signé une sorte d’arrangement avec la NASA qui stipule que vous n’avez pas le droit de révéler certaines choses ?
OBERG : Les dossiers du DOD, oui. Mais cela n’en est pas un et ceci n’est pas secret. Rien de cette affaire n’est secret…
ECKER : D’accord, laissez-moi… Une dernière question, Jim…
KING : DOD veut dire " Département de la Défense " ?
OBERG : C’est cela.
KING : Très bien. Continuez, Don.
ECKER : Une dernière question, et elle est très simple. Avec les engagements que vous avez signés avec, avant que nous ne parlions de ce bout de vidéo en particulier, seriez-vous libres de parler de parler de ces objets bizarres, si vous vous rendiez compte de leur existence ? Et je ne parle des objets bizarres qui sont nos débris ou notre vaisseau spatial.
OBERG : Je suis absolument libre de parler de ces sujets, tout ce qui a été vu sur la navette. J’en ai parlé. J’ai écrit des articles dans Omni Magazine, dans d’autres revues, et aussi des livres…
ECKER : Non, non, non, ce n’est pas ce que je voulais dire…
OBERG : …parce que c’est clair…
ECKER : Vous êtes généralement sur…
OBERG : Je donne mon opinion de professionnel…
KING : Don, Don, Don, on se calme. Messieurs, on se calme. Ce n’est pas un combat, Don. Il a répondu à la question. Si ce n’était pas par peur du Département de la Défense, il pouvait parler au sujet de n’importe quoi. Maintenant, James, pourriez-vous brièvement…
OBERG : Il n’y avait rien sur le STS-48 qui n’a été tenu secret, rien sur ce vol.
KING : Très bien. Pourriez-vous nous dire, êtes-vous convaincu que ces choses volantes étaient des débris ?
OBERG : Cela en a tout l’air, simplement. Maintenant, si quelqu’un veut y voir autre chose… Regardez ces pièces. Elles sont petites. Ce sont toujours de petites pièces qui sont juste très proches des caméras. Il y a toujours des déchets de ce type qui flottent autour. Quand les réacteurs sont en marche, quand on expulse des choses hors de la navette, ces éléments heurtent les débris. Ils changent de direction. Je l’ai vu… Je ne dirais pas des centaines fois, mais je l’ai vu auparavant sur d’autres missions.
KING : Don, qu’en pensez-vous, que sont ces objets ? Si c’est un OVNI, qu’est-ce, Don ?
ECKER : Et bien pour commencer, Larry…
KING : Je veux dire par là, pourquoi n’atterrissent-ils pas et viennent discuter avec nous ?
ECKER : Si, en fait, c’était des débris - Et Jim le sait très bien - ils bougeraient, se bousculeraient et tourneraient en orbite. Un examen du segment de film digitalisé en question ne montre pas du tout des mouvements hasardeux. Il se déplace en ligne droite. Il fait un parfait angle droit et disparaît dans l’espace. Maintenant, si, en effet, c’était le résultat de…
OBERG : Don doit encore visionner quelques cassettes en plus. Il doit regarder encore une centaine d’heures en plus et il verra cela tout le temps.
ECKER : Si, en fait, Jim, … Encore un instant. Si, en fait, c’était un déchet et si les réacteurs étaient en marche, donc, le champ de vision de la caméra a été programmé sur cette mission-là, parce que la navette s’est déplacée quelques temps après l’événement.
OBERG : Je suis simplement époustouflé de voir combien de choses Don peut apprendre au sujet du programme spatial, éloigné de milliers de kilomètres du centre de contrôle de la mission. C’est le genre de choses qui…
ECKER : En fait, Jim, si vous voulez de cela, c’est très bien. Si nous commençons à nous faire des attaques ad hominem, c’est une autre chose.
OBERG : Bon, revenons à nos films.
KING : Nous reviendrons très vite avec James Oberg et Don Ecker. Nous allons aussi prendre des coups de téléphone à ce sujet. C’est le Larry King Live. Ne partez pas. {Coupure de publicité}
KING : Commençons par prendre des coups de téléphone pour Don Ecker - c’est un enquêteur pour UFO Magazine - et James Oberg, ingénieur spatial et auteur.
Huntsville, Alabama - coin fameux pour les OVNI - Bonsoir.
4e PERSONNE AU TELEPHONE : {Huntsville, Alabama} Bonsoir ?
KING : Oui.
4e : Mon nom est O. H. Bond, Jr. Je suis à Huntsville, Alabama.
KING : Oui, monsieur.
4e : J’ai eu une expérience sur la navette qui a volé quelques fois pour une mission appelée expérience des éclairs de la mésosphère (Mesoscale?), dans laquelle nous cherchons des éclairs dans la mésosphère et les effets d’événements inhabituels qui se produisent dans l’espace.
KING : Et ?
4e : Plus précisément, nous cherchons des événements lumineux que l’on a vus monter tout droit de la couche de nuages jusqu’à la stratosphère, vingt miles plus haut.
KING : Ce qui veut dire ?
4e : La question, messieurs, que je veux vous poser est celle-ci : Avec le respect des OVNI, je suis d’accord avec James Oberg. De ce que j’ai vu pendant ces années, visionnant des vidéos, ces sont des débris du vaisseau. Et la deuxième chose est que je crois que la plupart des objets que nous voyons sont d’autres débris qui sont en orbite.
KING : Don ?
ECKER : Je devrais demander, Larry, si, en fait, ceci est bien un débris de la navette, dans ce cas, pourquoi ne bouge-t-il pas ? Pourquoi a-t-il fait un net virage ? Le fait est que la NASA clame que…
OBERG : Puis-je répondre à cela ? Si vous me donnez un peu de temps, je peux répondre cela.
ECKER : Bon, la question m’a été adressée en premier, et je demande la question, Jim, et ensuite ce sera à vous.
OBERG : Et vous ferez en sorte de ne pas le faire ainsi… Vous ne voulez pas la réponse.
KING : Très bien, mais Don pose une question valable, et laissez Jim répondre. Pourquoi un débris bougerait-il de cette manière ? Je n’ai jamais vu un débris se déplacer ainsi.
OBERG : Les gens peuvent voir cela. Quand la navette se place en orbite, les gens ne réalisent pas qu’il y a plus de cinquante sorties sur le nez de la navette, la queue, sur le côté - plus de cinquante sorties par lesquels sont évacués les déchets, bouts de glace et eaux - hors du centre de la navette. Et quand ces déchets sont évacués et que les réacteurs peuvent fonctionner, ils
forment ce que l’on appelle " plumes ". Ils forment une explosion. Et quand ces débris vont dans cette zone, ils tournent, et vous pouvez le voir. Heureusement, sur le satellite SATCOM F2R et beaucoup d’autres satellites des réseaux de câbles que la NASA sélectionne du vol spatial. C’est pourquoi ces personnes ont vu cette cassette en premier. Je leur conseillerais simplement qu’eux et n’importe qui visionnent cette cassette pour plus que quelques heures. Regardez-les pendant des années, en terme de mission. Et ils verront ce genre d’événement. Mais la raison pour laquelle ce sont simplement des débris et non un vaisseau, extraterrestre, c’est qu’ils sont toujours petits. Ils sont toujours juste à la limite de la caméra.
KING : Mais vous ne savez pas…
OBERG : Qu’importe la valeur du zoom de la caméra, cela reste un point…
KING : James, ce n’est pas à cent pour cent…
OBERG : …et cela vous montre simplement que ce sont de petites pièces.
KING : Vous n’en êtes sûrement pas certain, mais c’est votre meilleure réponse, n’est-ce pas ?
OBERG : Je vous dirais que, si nous avons vu un véritable vaisseau, si j’ai vu un véritable vaisseau - et je connais beaucoup de gens dans le programme spatial - s’ils ont vu quelque réelle preuve de quelque chose de révolutionnaire, rien sur Terre ne pourra arrêter personne de venir à votre émission…
ECKER : Une chose, Larry…
KING : Laissez-moi prendre un autre appel. Sykesville, Maryland, bonsoir.
5e : (Sykesville, Maryland) Bonsoir, je suis Vincent Di Pietro.
KING : Oui.
5e : De Sykesville, Maryland.
KING : Oui.
5e : J’ai fait une analyse de la cassette que vous avez diffusée à la télévision.
KING : Ah !
5e : Et j’aimerais faire quelques commentaires à ce sujet.
KING : Etes-vous un scientifique ?
5e : Je travaille au Goddard Space Flight Center. Je suis ingénieur.
KING : Bien.
5e : Je travaille avec le programme spatial.
KING : Très bien.
5e : Mais je fais cela en tant que pigiste. Et j’aimerais dire que j’ai envoyé cela à quelques scientifiques, que j’ai appelé des ingénieurs, et ils m’ont tous décrit cet objet comme étant de la glace.
KING : De la glace ?
5e : De la glace qui a tourné d’une certaine manière. Si vous regardez les autres débris sur l’écran, vous verrez que chacun fait un angle droit. En d’autres termes, il n’y a pas…
ECKER : Bon, Vince - Vince, laissez-moi vous poser une question, parce que j’ai la cassette entière. Et j’ai aussi la partie que vous avez agrandie numériquement. Elle montre clairement un objet circulaire et courbe qui a été enregistré lors de la mission. Niez-vous cela ?
5e : Je le vois, et je ne sais pas ce que c’est.
ECKER : L’avez-vous numériquement agrandi ?
5e : Oui.
ECKER : Très bien, était-ce pour vous un objet bizarre ou un débris de glace ?
5e : Cela ressemble à un objet, mais je ne peux pas expliquer ce que c’est. Et je ne dis pas que ce n’est pas ce que vous décrivez. La seule chose que je dis est que l’explication que j’ai est : cet objet est un débris de glace. Il n’y a aucun moyen de connaître sa taille. Ce pourrait être de l’ordre du micro-pouce, ou de quelques pouces. Mais pas des centaines de pieds, comme beaucoup de personnes penchent à croire. Et l’explication que j’ai est que c’était des fusées, de petites et fines fusées, utilisées pour changer l’altitude du vaisseau sur les côtés ; et cela se fait lorsque ces objets sont évacués - C’est l’acide nitrique et l’hydrogène qui font fonctionner ces fusées. Quand elles sont envoyées…
ECKER : Oui, et il n’y a pas de lumière, n’est-ce pas, Vince ?
5e : Il y a un flash que l’on peut voir au début. Et si vous êtes aussi méticuleux que pour mettre une pièce en cellophane sur votre télévision, vous verrez que tous ces objets - Non pas les étoiles, parce que les étoiles que l’on voit clairement vont derrière l’horizon. Mais si vous regardez les objets qui volent de gauche à droite, ils font tous un virage à gauche. C’est même moins…
ECKER : Bon, Vince, comme vous travaillez sur ce segment de film, laissez-moi vous poser une autre question. Avant que ces événements n’arrivent, l’objet monte hors de l’obscurité et voyage de droite à gauche. Maintenant, si cela était ici avant le début de la séquence, comment l’expliqueriez-vous ?
5e : Je l’expliquerais ainsi : si vous écoutez attentivement la cassette, vous constaterez que le vaisseau est sorti de l’obscurité pour aller dans la lumière du soleil. Maintenant, s’il y avait des débris volant autour dans l’obscurité de l’espace, vous ne le verriez pas tant que la lumière n’y est pas.
KING : Très bien, nous devrons continuer ainsi sur ce…
OBERG : Ou peut-être cela aurait pu venir de la " payload bay " (baie de chargement), où les lumières sont. D’un côté, cela pourrait l’expliquer.
KING : Faisons une pause, et nous reviendrons tout de suite après. Merci d’avoir appelé, Vince, en passant. Nous reviendrons avec plus de choses. C’est fascinant - je ne comprends pas, mais c’est fascinant ! Ne partez pas. {Coupure de publicité}
KING : Très bien, nous sommes juste dans les temps. Don, verrons-nous un jour l’un d’entre eux atterrir sur la pelouse de la Maison Blanche et parler avec eux ?
ECKER : Et bien, je ne sais s’ils atterriront sur la pelouse de la Maison Blanche, Larry, mais il y eut trois engins volant qui survolé en 1952 la Maison Blanche. J’ai une dernière question que je veux poser à Jim très rapidement et brièvement.
KING : Très bien, mais vite.
ECKER : Jim, êtes-vous conscient des études de la NASA sur le phénomène OVNI ?
OBERG : Je le suis, Don, ce sont des histoires d’écoute qui durent depuis trente ans…
ECKER : Je ne parle pas de vaisseaux spatiaux. Je parle de…
OBERG : …Dans les magazines d’ufologie…
ECKER : Je parle de…
OBERG : …Prendre des copies…
KING : Messieurs, nous vous accueillerons une autre fois. L’émission est terminée. Merci à tous…
OBERG : et les falsifier.
KING : Très bien. C’est fini. Merci beaucoup. Nous espérons que vous avez apprécié cette édition de ‘Don Ecker Live’ de Washington. {Rires}. [fin de retranscription]
Voilà ce qui se passa en direct du Larry King Live, sur CNN, le 26 juin 92. Pour l’anecdote, une petite quinzaine de jours plus tard, un conseiller du Sénat US pour les affaires de sécurité nationale et internationale se rendait à la SOBEPS, en Belgique, et chez le Général De Brouwer afin d’obtenir des renseignements sur les OVNI belges ainsi que les données radar enregistrées par la Force Aérienne dans la nuit du 30 au 31 mars 1990. Mais cela n’a certainement rien à voir…
Quelques années plus tard, James Oberg rédigera un article où il explique comment il ne croit pas non plus à un test de la " Guerre des Etoiles "… Définitivement, l’hypothèse de la NASA est celle qui conclut à des débris s’échappant de la navette.
Mais qui est ce James Oberg en définitive ? Un simple ingénieur de la NASA intéressé par le folklore ufologique ?
Non… Je ne le pense pas. Ce monsieur Oberg est un personnage bien plus important que cela.
J’en veux pour croire le rapport déposé à la Chambre des Représentants des Etats Unis, le 18 septembre 1997, concernant la sécurité des astronautes américains à bord de la station spatiale MIR. On y retrouve James Oberg en tant que " témoin - consultant ". A la fin de ce rapport diffusé par " Spacecast " (adresse Internet : http://www.spacer.com/spacecast/news/mirhill-97i.html), magazine électronique américain abordant l’actualité spatiale scientifique et technique.
Mais voici plutôt :
Profil de James E. Oberg (extrait d’un rapport de la Chambre sur la sécurité sur MIR)
James Oberg, âgé de 52 ans, est à ce jour un ancien ingénieur de l’espace à Houston, où il est spécialisé dans les opérations de contrôle des missions de la NASA pour les rencontres en orbite, en tant qu’employé de la " United Space Alliance " (anciennement appelé " Rockwell Space Operation Company "), et en tant que principal contractant de la NASA pour les vols habités. Il a travaillé au " Johnson Space Center " à Houston depuis 1975. Comme soutien aux opérations spatiales, il a écrit plusieurs ouvrages sur les procédures de rencontres en orbite et sur l’histoire de ces rencontres. En honneur à son travail de pionnier dans le développement et la documentation des techniques de rencontres orbitales, il a été choisi par la " NASA-Area Association of Technical Societies " pour être leur Personne Technique de l’année 1984.
Quoi qu’il en soit, quand il écrit ou parle en public sur des sujets tels que le programme spatial russe, ses idées et opinions sont entièrement les siennes et ne représente pas celles de la NASA, de la " United Space Alliance " ou d’un quelconque autre gouvernement, corporation ou organisation privée.
C’est un auteur largement publié au sujet des opérations spatiales passées, présentes et futures, il a écrit huit livres et un millier d’articles. Parmi ses livres, on trouve : " Red Star in Orbit ", universellement considéré comme le meilleur portrait intérieur de l’histoire des activités spatiales soviétiques durant 1981 ; " New Earths ", la première analyse non-fictionnelle au sujet de "
terraforming " ou de " planetary engineering " ; Pioneering Space (avec sa femme comme co-auteur), une large et profonde entrée dans le côté humain d’une expérience en vol spatial ; et " Uncovering Soviet Disasters ", une analyse sur les retards technologiques de l’ancienne URSS qui a reçu des louanges dans le monde entier, et même dans le Moscou d’après Glasnost.
De plus, il est un spécialiste reconnu dans le monde entier sur les opérations spatiales russes. Il parle français et russe, maintient d’étroites relations personnelles avec les officiels des programmes spatiaux russes et français, et il a été invité à faire partie de la nouvelle " Académie Russe de la Cosmonautique ", dont il est le premier membre étranger. Il voyage régulièrement
en Russie et est allé plusieurs fois au Cosmodrome de Baïkonour au Kazakhstan. Il fournit une assistance experte et des prévisions sur des techniques spatiales russes significatives pour les programmes américains.
Maison Américaine des Représentants, Comité Scientifique
Le 18 septembre 1997
Il est indéniable que M. James Oberg n’est pas le simple ingénieur de la NASA, amateur de folklore ufologique tel qu’il a été présenté dans le Larry King Live de CNN… C’est l’un des pontes de la NASA ! Un spécialiste de l’espace et des planètes… Une référence en matière des technologies " ex-soviétiques ".
Et il semblerait que James Oberg soit également intéressé par d’autres choses… En cherchant davantage d’informations sur ce monsieur, je trouve cet article issu des newsgroups sur Internet : http://newton.dep.anl.gov/askasci/1995/astron/ast101.htm
Auteur : js
Subject : Le visage de Mars
Qu’est-ce qu’un homme nommé Hoagland a proposé sur ce qui a été photographié sur le visage de Mars ?
Auteur : rcwinther
TITRE : Metropolis sur Mars, dans " Omni Magazine ",
Mars 1985, p. 64 :
Trois ans après que les photos de Viking sur Mars avaient été prises, les scientifiques Vincent DiPietro et Gregory Molenaar ont trouvé l’image d’un visage symétrique à trois dimensions sur Mars parmi deux de ces photos. Elargissant l’interprétation de ces photos, l’écrivain scientifique Richard Hoagland déclare avoir trouvé des traces d’une civilisation éteinte sur Mars. Il fonde son argumentation sur un groupe de formes caractéristiques, incluant une " forme ressemblant à une grille de marques rectilignes " ressemblant à celles d’une ville. Les bâtiments construits dans ces rues semblent avoir été faits pour absorber la chaleur de l’hiver et voir le solstice. James Oberg, expert de Mars et ingénieur de l'Aéronautique Nationale et de l’Espace, et Harold Masursky, ancien scientifique de la " U.S. Geological Survey " et un expert de la géologie martienne reconnu mondialement, réfutent tous deux les découvertes de Hoagland. Aucun des deux, quoi qu’il en soit, n’admet la possibilité de vie intelligente sur Mars.
Et hop ! Ici, on apprend que James Oberg est également " amusé " par le débat lié au fameuses " structures " sur la planète Mars. Mais il y a un élément, dans cet extrait, qui devrait retenir tout particulièrement notre attention. En effet, parmi les noms cités, on retrouve celui de Vincent Di Pietro… Vous vous souvenez ? C’est cet intervenant qui a appelé lors du Larry King Live et s’est présenté comme étant un ingénieur du Goddard Space Flight Center et qui avait analysé le film pris par STS-48. Il était venu apporter de l’eau au moulin de son " ami " et supérieur James Oberg. Mais cela n’a pas été présenté ainsi. Di Pietro, donc, s’intéresse également au folklore extraterrestre et semble être porté sur les analyses de documents visuels. Well, cela commence à faire beaucoup de gens " sérieux " qui se passionnent pour ce genre de choses présentées comme peu " sérieuses "… Le plus rafraîchissant dans cette histoire est que tout le monde feint de ne pas se connaître…
James Oberg a également rédigé un article d’une dizaine de page sur les OVNI dans l’ex-Union Soviétique. Sa connaissance des technologies, du monde scientifique et de la langue russe lui ont certainement été d’une aide précieuse… Il serait curieux qu’aucun service de renseignements d’état ou militaire US n’ait été intéressé par son expérience… qui n’est pas si récente.
Et la Guerre Froide alors ? Comment se fait-il qu’un ingénieur américain faisant partie de la NASA - dont le client principal est l’armée des Etats-Unis - puisse évoluer aussi facilement au sein de l’Agence Spatiale Russe - dont le patron directe était l’Armée Rouge elle-même au temps des Soviets ?
Quelle dépense d’énergie et de temps pour étudier un folklore qui, normalement, est censé intéresser les seuls sociologues. J’aurais pourtant pensé que l’agenda d’un personnage comme James Oberg devait être plus chargé que cela… A moins que la " surveillance " du monde ufologique n’entre dans ses fonctions… Mais non, n’est-ce pas ? C’est tout à fait délirant ! C’est un fantasme…
Et les images prises par la mission STS-48 ? Bah… De simples débris, des morceaux de glace, de l’urine d’astronaute en goguette… John Glenn avait, lui aussi, vu des choses étranges depuis sa capsule spatiale et il les avait décrites comme des lucioles… A ce sujet, Raymond, de notre équipe "Sciences", mentionne ceci :
Les fameuses "lucioles" de l'astronaute J.Glenn provenaient de la desintégration de la partie externe et des joints du bouclier de protection thermique de la capsule Mercury-Friendship 7 lancée le 20 fevrier 1962 de Cap Canaveral. C'est d'ailleurs pour cette raison (alors inconnue à l'époque) que la mission a été écourtée. De plus, le bouclier présentait des fissures et piqures
caractéristiques qui sont absentes des autres capsules après modification de la structure et de la composition de ce même bouclier.
Cette confusion ne l’a pourtant pas empêché de devenir sénateur des Etats Unis et de faire partie, entre autre, des comités suivant :
-Les Services Armés (Armed Service)
-Les Affaires Gouvernementales (Gouvernmental Affairs)
-Le Comité Spécial des " personnes âgées " (Special Committee on Aging)
-Le Comité sur les Services Secrets (Select Committee on Intelligence)
Il partage ainsi quelques fonctions avec son ami démocrate, le sénateur Robert C. Byrd, au sein du fameux Comité aux Services Armés.
Voici deux vidéos-conférences du groupe OVNI-Paris avec :
Soirée Ovni-Paris du 2 Décembre 2014 avec Didier Leroux et Jean Luc Rivera qui présentent le dernier ouvrage de Didier Leroux et de Jean Goupil "OVNI et intelligence extraterrestre LA REVELATION" aux éditions le Temps Présent
Ce livre commence par exposer en quoi consisterait un voyage interstellaire, c’est-à-dire d’une étoile à une autre ; voyage autrement difficile qu’une expédition terre-lune avec laquelle le grand public est familiarisé aujourd’hui. Là où ce nouveau livre se démarque du premier, c’est qu’il va beaucoup plus loin en exposant tout ce qu’une civilisation avancée pourrait obtenir d’un recours notamment à la nanotechnologie. Celle-ci consiste en la miniaturisation extrême d’outils, de machines, et même de robots...
Soirée Ovni-Paris du 7 décembre 2014 avec les Frères Leroux.
Les Frères Leroux présentent et discutent de leur film "La quatrième nuit".
Un homme est interpelé en pleine nuit par une lumière étrange. Les jours qui suivent, il sent qu’une présence invisible l’observe… Bande-Annonce
Les USA mentent à leurs alliés, et pas que la NSA... la NASA aussi...
Depuis que la NSA a été prise la main dans le sac et a été obligée d'avouer son espionnage constant et depuis des décennies de tous ses "alliés", beaucoup de citoyens du "monde libre" (entre guillemets car on se doute de plus en plus que ce terme est issu de propagande historique avant tout) ne sont plus dupes et ont ouvert leur esprit à la possibilité que leurs parents, leurs grands-parents et eux-mêmes ont été en permanence trompés et manipulés par tout un système de propagande, et dès leur naissance via les institutions scolaires bien huilées et les médias possédés par une poignée de manipulateurs...
Le vieux monde bâti sur le mensonge se fissure de toute part depuis les révélations et tentatives des Huxley, Assenge, Snowden, McKinnon et tant d'autres qui ont payé même de leur existence et liberté le simple fait de vouloir parler et révéler au monde la vérité. Une vérité qui fait mal et que refuse encore de voir un grand nombre de gens, tout simplement parce qu'elle signifie la fin de leurs croyances et de leurs confiances envers tout un système, un système issu et accepté par leurs propres parents, il faut insister là-dessus pour expliquer cet aveuglement et refus d'accepter la seule vérité possible...
Histoire passée manipulée, déformée et tronquée donc, présent lié déséquilibré et mouvant, instable et mensonger, avenir incertain, flou et désespéramment vide sont maintenant le lot d'une jeunesse qui ne peut que se défier de ses propres parents impuissants en grande partie, aveuglés par les illusions et les écrans de fumée médiatiques et la corruption monétaire, et les promesses d'une "meilleure vie", d'un "rêve américain" accessibles par le mensonge de la "croissance" ravageuse de ressources et de vie et les publicités politiques mensongères...
Voici quelques témoignages et réalités sur les mensonges et manipulations orchestrés par un organisme américain nommé NASA que même ses concurrents (et aussi ceux issus d'"ennemis" politiques comme les Chine et Russie - encore entre guillemets car même Poutine a admis récemment, si vous lisez entre les lignes, que ces "pouvoirs-nations" n'ont jamais été vraiment "ennemis" mais ont toujours participé a une certaine manipulation d'élites...) ont toujours respecté et admiré. Conspirationnisme diront certains, eux-même aveuglés par de fausses "impossibilités"... Non, je le répète déjà depuis des mois, il suffit de prendre un peu de recul, de regarder le passé, même l'Histoire manipulée et tronquée, pour voir que tout ne peut être déformé à cause des témoins humains, justement. Une part de vérité demeure TEMPORELLEMENT et pendant quelques générations. Ensuite, elle peut effectivement être effacée, avec le temps, de toutes les mémoires. Et je vous l'annonce, c'est par exemple ce qu'il s'est produit en France après la disparition de De Gaulle et l'escroquerie financière signée par MM Pompidou et Giscard d'Estaing : la majorité des documents politiques et historiques d'après-guerre, les documents donc filmés et papier, audios conservés dans les archives de la Cinémathèque française (des archives aussi de l'INA qui n'a sauvé que quelques documents) ONT BEL ET BIEN ETE DETRUITS (volontairement d'après ce que je sais, et non pas accidentellement), après avoir été cachés au Pontel, au début des années 1980 (source : Les archives audiovisuelles Par Jacques Guyot,Thierry Rolland)... détruits toutes les preuves françaises sur les milliers de viols des soldats américains sur des françaises innocentes (dénoncés et jugés en partie (par les américains !) mais jamais indemnisés), détruits les films et papiers du ministère de MM. Miterrand et Bousquet sous Vichy (même s'il a été obligé de le reconnaître par la suite grâce aux témoins, justement...), détruits les négociations de De Gaulle sur le gaz et le nucléaire français en Algérie, la protection des riches commerçants, banquiers et "personnalités" juifs (acteurs connus par exemple) par le même gouvernement de Vichy, pendant qu'il "vendait" les pauvres juifs (après dépouillement total) aux nazis... détruits les livraisons de moteurs américains au régime nazi, dans les ports français, pendant que le même gouvernement français livrait et arrêtait des résistants français aux même nazis... ce ne sont que quelques exemples de ce que les "politiques" de toutes les générations sont prêts à faire pour... protéger leurs propres pouvoirs, argent, relations corrompues et riches passées et futures... .
Mais ce sont bien des milliers de documents compromettants ou gênants qui sont cachés au public bien naïf, et en permanence, malgré la volonté de quelques journalistes de révéler des choses, ceux-ci savent très bien le danger qu'ils encourent eux-mêmes a être trop curieux sur les secrets des divers gouvernements... jusqu'aux manipulations qui les fait élire, presque naturellement, par des peuples formatés pour les croire...
En ce qui concerne le secret spatial - et les ovnis -, qui sont bel et bien l'un des plus grand secret POLITIQUE qu'ait connu l'humanité depuis toujours, voici le témoignage public de Donna Hare, qu'elle a fait lors du Disclosure Project en 2001.
"J'étais dessinatrice industrielle chez Philco Ford aeropace, un des contractants de la NASA, de 1967 à 1981. Mais la plupart du temps je travaillais dans le Bâtiment 8 [du Centre Spatial Johnson]. J'avais une accréditation pour circuler dans les zones réservées. Il m'est arrivé de pénétrer dans un labo photo de la NASA, et de parler avec des techniciens. L'un d'eux attira mon attention sur une tache... Je lui ai demandé si c'était un défaut sur la pellicule, et il m'a répondu en riant : "Les défauts de pellicule ne projettent pas d'ombres au sol !"
C'était une photo aérienne, sans doute de la Terre parce que je pouvais voir des sapins, et cette ombre ronde, légèrement ovale, était orientée dans le même sens que les ombres portées des arbres. C'était pour moi un 'objet non-identifié', qui se trouvait à faible altitude au-dessus des arbres. J'ai réalisé que c'était un secret parce que je lui avais demandé ce qu'il comptait faire de cette information, et il m'avait répondu : "Nous faisons toujours en sorte de les effacer avant de les proposer à la vente."
J'ai par la suite interrogé d'autres personnes, mais en-dehors des bureaux de la NASA. Un garde m'a confié qu'il avait été chargé de brûler des photos, sans les regarder. Il était lui-même surveillé par un autre garde pendant cette mission. Il avait cependant vu une des photos, et elle représentait un Ovni. Il avait alors reçu un violent coup sur la tête et s'était évanoui. Il est depuis très effrayé, et mériterait d'être placé sous protection.
J'ai connu également une personne qui s'était trouvée à l'isolement avec les astronautes d'Apollo placés en quarantaine après leur retour; ils lui avaient révélé avoir vu un Ovni sur la Lune pendant leur alunissage. Mais ils lui avaient ordonné de garder ça pour lui." - Source 1 - Source 2
NASA Secrets Revealed - Donna Hare (Disclosure Project Witness)
On constate que les informations sont difficiles a recouper, que certaines disparaissent, sont censurées ou victimes de "protections de droit d'auteurs"... qui arrangent bien le secret et l'accès à la vérité, quelle qu'elle soit d'ailleurs : je n'ai personnellement aucun intérêt financier ou autre en la matière...
Mais il y a d'autres informations dans les tournages du documentaire "Moon Rising" réalisé par José Escamilla, qui associe le témoignage de Donna Hare et du Sergent Karl Wolfe, à propos de structures artificielles sur la Lune...
En cherchant, on retrouve les vidéos et documentaires, témoignages (sous-titrées en espagnol via José Escamilla) ici :
Moon Rising Parte 1 de 2
Moon Rising Parte 2 de 2
Les sites parlent aussi du hacker britannique Garry McKinnon à ce sujet et de ses déclarations, basées sur le témoignage ci-dessus, en affirmant que c'est en cherchant à prouver ce témoignage qu'il a piraté... et qu'il a trouvé... : "Un expert photographique de la NASA a déclaré que dans le bâtiment 8 du Centre Spatial Johnson, à Houston, des techniciens passent leur temps à retoucher les images satellite à haute résolution pour effacer les ovnis : ils ont des dossiers nommés 'filtrées' et 'non-filtrées', 'à traiter' et 'brutes'."
Il existe aussi le très intéressant témoignage du Docteur X, décédé maintenant, à l'âge de 48 ans... :
Une photo mal truquée trouvée sur un site de la NASA selon la source
Voici un autre documentaire, plus rare et difficile d'accès car c'est de l'audio avant tout et issu d'une source unique (mais identifiée et non censurée à ce jour) :
Inde et NASA : bataille sur les secrets de la Lune !
De nombreuses particules d'eau sur la Lune révélées par l'Inde, puis par la NASA, obligée : des quantités importantes d'eau trouvées sur notre satellite... mais aussi des substances intrigantes gardées secrètes... dont des substances organiques à base de carbone en surface ! De grandes plaques de glace révélées aux pôles, des minéraux très intéressants également, etc...
OVNIs : Vidéos 1965 - Aimé Michel et la vague de 1954
Aimé Michel
Le 14 février 1965, l’ORTF a diffusé un reportage consacré aux OVNI, sous le titre « Les soucoupes volantes ».
Il traite principalement de la grande vague de l’automne 1954, avec, pour intervenant principal, le célèbre ufologue français Aimé Michel.
Jean Cocteau et son ami Aimé Michel, au sujet des soucoupes volantes (automne 1954; "ceux venus d'ailleurs").
En guise d’introduction, cette première partie expose le sujet du reportage, en montrant des coupures de presse d’époque, et livre quelques considérations sur l’astronomie, l’exobiologie, avec les interviewes de Jean-Jacques Walter et de Lucien Barnier.
Aimé Michel et « Les Soucoupes Volantes » (1965) – (1/5)
Aimé Michel et « Les Soucoupes Volantes » (1965) – (2/5)
Aimé Michel et « Les Soucoupes Volantes » (1965) – (3/5)
Aimé Michel et « Les Soucoupes Volantes » (1965) – (4/5)
Aimé Michel et « Les Soucoupes Volantes » (1965) – (5/5.FIN)
Aimé Michel naît en 1919. Il est originaire de Saint Vincent-les-Forts, un village des Alpes provencales où toute sa famille est née depuis le 17ème siècle et qui ne compte à l'époque qu'une trentaine de maisons. Il vit là jusqu'en 1939 où une épidémie de poliomyélite le rend inapte au travail manuel, et l'oriente vers une licence de philosophie. En 1944 il entre à la RDF en passant le concours des ingénieurs du son du studio d'essai. Il travaille ensuite au service de la recherche.
Michel commence à s'intéresser à l'ufologie dès1946, avec la vague des observations scandinaves. Il pense tout d'abord, comme beaucoup, qu'il s'agit d'engins allemands récupérés que les russes essaient sur la Baltique ou d'une nouvelle arme américaine.
A partir de 1948 il s'intéresse plus exclusivement aux faits de psychologie exceptionnelle ainsi qu'aux phénomènes mal étudiés par la science. Quand le livre de Donald E. Keyhoe paraît en 1950, Michel est encore moins convaincu de phénomènes extraordinaires, et en arrive même à penser que tout est inventé de A à Z par de mauvais journalistes.
Revirement
Par la suite, alors qu'il travaille comme ingénieur du son pour une émission de radio sur la météorologie, Roger Clausse, un ingénieur de la Météorologie Nationale, lui montre un dossier d'observations inexplicables transmises par les stations. Michel est alors très étonné de retrouver dans ce dossier des cas en tous points identiques à ceux du livre de Keyhoe. Il revoit alors son jugement, et considère qu'il y a vraiment "quelque chose".
Couverture du 1er livre de Michel, en 1954
Michel approfondit alors son enquête. Travaillant à Paris au service de la recherche de la RTF, il collecte des articles de journaux comme Le Figaro, ou Le Parisien libéré (journal qu'il cite le plus) et fait la connaissance du capitaine Clérouin, qui dirige les services de renseignement de l'Armée de l'Air, sous les ordres du général Lionel Max Chassin." "Il aide beaucoup Michel : "Oui", commentera ce dernier, "Comme vous, je fais une enquête. Mais je vous présente un précurseur : M. Latappy qui, lui, recueille tout depuis le début, depuis l'affaire Kenneth E. Arnold, en 1947. Personne en France n'en sait plus que lui. Il n'est pas militaire. Il est le dessinateur de Forces aériennes françaises, notre revue de l'armée de l'Air. Mais tout ce que j'ai, il l'a" 1 . Ainsi en 1953, pour écrire son 1er livre sur le sujet, Michel se trouve à la tête d'une documentation substantielle 2 . Il y postule l'existence de systèmes de propulsion "électrogravitationnelle" pour les soucoupes, s'inspirant de la théorie du capitaine Jean Plantier, mais sans rien affirmer de catégorique. Il demande à Jean Cocteau, qui s'intéresse au phénomène, d'en écrire la préface. Le livre connaît un certain succès. Dans les semaines qui suivent sa parution, il reçoit des courriers de Cocteau et de Pierre Guérin, avec qui il se lie d'amitié.
En 1954, alors que son livre 3 sort, Michel annonce un pic d'observation à venir en Août 1954, avec l'arrivée de Perseïdes 4 . C'est en fait fin Octobre qu'une vague d'observations sans précédent touche la France. Au terme de celle-ci, il rend visite à Cocteau. Il s'interroge sur la manière de prouver scientifiquement la réalité de ce qu'il appelle les " MOC", au milieu de témoignages incontrôlables et de récits publiés par les journaux. Cocteau lui répond : "Si ce que racontent ces gens est vrai, si ces engins existent et si on les a vus, il est inconcevable qu'un ordre quelconque ne se cache pas sous ce désordre. C'est cela qu'il faut chercher : l'ordre caché sous le désordre."
Un ordre derrière le chaos de 1954, Michel croit en trouver un en 1957, et publie un 2ème livre l'année suivante 5 . Ce livre frappe Jacques Vallée, qui lui écrit et finit par le rencontrer en 1961. Dans les années 1960s, Michel rédige de nombreux articles pour la revue Planète, notamment sur la parapsychologie et sur les phénomènes physiques liés aux extases religieuses. A la même époque, il rédige aussi des articles pour Science & Vie, et se lie d'amitié avec Jacques Bergier.
En 1966, Michel présente Yves Rocard à Jacques Vallée. Par la suite, ceux-ci vont travailler au sein du même "collège invisible".
En 1969, il fait partie du comité de rédaction de LDLN.
A la fin de sa vie, Michel déclare modestement que tout ce dont il est certain à propos des ovnis tiendrait aisément sur un timbre poste. Il meurt en 1992.
Sur le site de l'INA, vous avez aussi une très intéressante et longue interview du 29-10-1966 de Aimé Michel de presque une heure, dont vous pouvez voir un extrait de 5 minutes ici :
JT Ovni en France, vous partage les dernières observations d'ovni/oani/ovi dans l'Histoire, les conférences et événements ufologiques mais également un dossier sur les OVNIs dans l'Histoire d'un département ou d'une région. (ps: Toutes les images ou vidéos que vous pensez être des films d'ovni dans cette vidéo sont des reconstitutions selon le ou les dessins des témoins, comme indiquées en haut à gauche). Attention : les propos et points de vue exprimés par les invités ne représentent pas l'équipe d'ODHtv. Merci.
L'édition de Janvier 2022 vous est présentée par Jenny et Gilles.T
Sommaire
- Les infos d'odh tv
- programme du JT en 2022
- Courriers des Odhnautes avec Bruno Botta et Rémy Fauchereau
- Annonce - Reportage sur le XIème congrès ufologique d'Ovni Languedoc
- Les astuces du veilleur - La veillée de l'AEPA du 23 octobre 2021
- Cultur'Ovni / Ovi - Le dernier LDLN avec Jean-Louis Lagneau
- Cultur'Ovni / Ovi avec Rémy Fauchereau
- Question de l'édition avec Bruno Bousquet
- Actu O.D.H avec Christian Morgenthaler
- Le Dossier : Tour de France des Ovni / Ovi dans l'Histoire avec Gilles Durand Les sources Les différences entre "recueil" et "enquête"