J'en avais déjà parlé en février 2015, de nouvelles photos avaient été découvertes, montrant à l'évidence un extra-terrestre du type "petit gris" ou proche, et rattachées à la récupération par l'armée des USA de débris d'un engin alien à Roswell, en 1947. Ces photos ont bien été analysées par un spécialiste de la photographie puisqu'il s'agit de l'ancien directeur du musée de la photographie de Chicago, cité dans le premier et deuxième article ci-dessous. Comme annoncé, une conférence s'est tenue le 05 mai 2015 pour montrer au public officiellement ces diapositives non truquées datées de 1947.
Cet article fait donc suite à ceux-ci, dans lesquels tous les débuts de ce rebondissement sur les événements de Roswell et la présence avérée d'êtres humanoïdes ayant une origine inconnue, sur notre planète (il est peut-être trop tôt pour parler d'extra-terrestres au sens où nous l'entendons dans la science-fiction, car il y a scientifiquement d'autres possibilités : voyageurs inter-dimensions, voyageurs temporels, certains parlent même de races anciennes terriennes mais sous-marines !, etc...) :
La présentation de cette vieille photo a donc bien eu lieu à Mexico le 05 mai 2015, par Edgar Mitchell, l'un des astronautes ayant posé les pieds sur la Lune, lors d'une conférence organisée par le célèbre ufologue James Maussan à laquelle participait également le journaliste chercheurAnthony Bragalia. D'après RTBE, ce dernier a confirmé sans aucune hésitation que nous avions bien sous les yeux, même si les photos étaient vieilles et abîmées logiquement, une preuve d'un alien, correspondant bien à de multiples témoignages. Participaient également à cette conférence, qui a été aussi l'occasion d'un complet historique de l'affaire Roswell, des spécialistes tels que James J. Hurtak, l'ancien ministre de la Défense canadienne Paul T. Hellyer (en duplex du Canada), Thomas J. Carey, Donald R. Schmitt, le Dr Jose Jesus Zalce Benitez, Luis Antonio De Alba et Richard Dolan, la présentation a consisté à reprendre l'historique des éléments de l'affaire de Roswell datant de 1945. Le duplex avec le Canada et Mr Hellyer a élargi le débat sur ce qu'il pensait de la probabilité de la vie extra-terrestre et du phénomène que nous observons localement et de ses connaissances du cas de Roswell. Les techniciens du labo ayant amélioré les vieilles photos ont insisté auparavant (voir leurs propres vidéos sur le sujet) sur leur authenticité et la logique de leur mauvaise qualité due à leur âge.
Pour rappel (voir les articles ci-dessus), c'est le géologue Bernard A. Ray qui a pris ces photographies entre 1947 et 1949 sur un film Kodachrome qui a été retrouvé dans le grenier d’une maison, à Sedona, en Arizona, dans une boîte qui contenait d’autres images dont celles de Bing Crosby, Clarke Gable et Dwight Eisenhower avant son mandat de président. Des photos très convaincantes appelées "Roswell slide" et authentifiées par l'ancien directeur du musée de la photographie de Chicago, Rod Slemmons qui, après avoir mené des tests détaillés et approfondis sur les diapositives, a conclu qu'elles étaient d'authentiques diapositives de 1947qui n'avaient pas été "modifiées ou manipulées d'une aucune façon."
Selon Jaime Maussan, animateur et journaliste mexicain de l'émission de télévision "Tercer Milenio", spécialisé dans le domaine des extra-terrestres, elles fourniraient enfin des preuves "indéniables" que les extra-terrestres existent.
Le chercheur, écrivain Richard Dollan, connu des ufologues pour son œuvre intitulée "UFO’s and The National Security State" a validé l'authenticité de ces images également à Edgar Mitchell, 6ème astronaute à s’être posé sur la Lune avec la mission Apollo 14, docteur en sciences de l'aéronautique et de l'astronautique au MIT, qui était également présent. Convaincu que l’existence des extraterrestres est connue des autorités américaines, il était accompagné d’une équipe d'enquêteurs spécialisés. Ces derniers ont également confirmé que les images n’étaient pas trafiquées.
Des milliers de spectateurs
La présentation de ces images a eu lieu lors d'un événement appelé "Soyez témoins" à l'Auditorium National de Mexico où 10 000 personnes étaient attendues et environ 7.000 sont venues (tout de même !). Voici un extrait de la conférence avec les photos :
Yves Herbo : Bon, il est assez peu certain que ces deux diapositives soient suffisantes pour convaincre la planète de la régulière visite d'aliens ou autres sur Terre, en 1947 comme maintenant d'ailleurs. Même si les présentateurs et spécialistes étaient enthousiastes, convaincus et convaincants... Je l'ai déjà dit ailleurs et je le redit ici (et plus bas) : des gens trop impliqués financièrement et professionnellement dans et avec le milieu ufologique n'arriveront jamais à convaincre une majorité du public, tout simplement parce qu'ils sont trop impliqués, justement, et trop "bénéficiaires" d'une approbation quelconque... C'est peut-être triste à dire pour ceux qui ne voudraient en effet que la vérité, juste la vérité et sans contre-partie, mais cette vérité ne proviendra certainement pas d'une personne "spécialiste" du sujet ou fortement impliqué dans celui-ci, et surtout en en vivant professionnellement comme certains "ufologues" (attribut et "métier" qu'ils se donnent à eux-mêmes bien souvent et sans grande justification ! Je ne vais pas me faire que des amis avec ces propos, mais je ne suis pas là pour ça : sur ce sujet, je suis un témoin curieux de vérité, c'est tout...). Il y a eu trop de canulars, de triches, trucages et mensonges pour que cela soit le cas. Je pense que la vérité proviendra directement de nos visiteurs, quand et où ils l'auront décidés, peut-être via des témoins "au-dessus de tous soupçons", mais rien n'est moins sûr : peuvent-ils faire eux-mêmes confiance en l'être humain devant la montagne de canulars érigée par ce dernier (et aussi les autorités) à leur encontre ? Déjà, même si de vrais spécialistes de la photographie ont analysé et authentifié ces diapos, ces dernières sont tout de même soupçonnées comme fausses : le public ne fait même plus confiance en des spécialistes ou des scientifiques, les seuls à pouvoir prouver quoi que ce soit... : l'alien sur les diapos a été presque immédiatement comparé et assimilé à une momie d'enfant antique, telle que l'Institut Smithsonien en a présentée une pas plus tard qu'en 2014 (un mauvais hasard ?)...
La diapo originale de 1947 retravaillée et améliorée par le labo
La diapo originale de 1947
La momie d'un enfant de l'ancienne égypte exposée en 2014. This photo of Smithsonian National Museum of Natural History is courtesy of TripAdvisor
Est-ce un autre hasard ou les événements étaient attendus depuis déjà plusieurs mois déjà ? Car il semble bien que le FBI lui-même ait préféré "libérer" à l'avance certains documents classifiés en sa possession concernant Roswell... et la mention non pas d'une seule "soucoupe volante" (ou ballon-espion, officiellement, pour l'US Army, hum ! ) mais bien de trois engins aliens récupérés... mais les ufologues les plus sérieux attendent d'autres confirmations à ce sujet, trop de "médias impliqués" dans l'ufologie en rajoutent sans de réelles preuves, comme ici apparemment... :
Breaking News UFO Sightings FBI Releases Top Secret Files Three UFOs Recovered Roswell New Mexico !
MAJ 19-05-2015 : Bon, ceux qui suivent un peu l'actualité sur ces "nouvelles photos d'alien de Roswell" sont maintenant au courant depuis le 13 mai : il ne s'agit pas du tout d'un alien mais bien d'une momie d'un enfant. Selon les dernières déclarations d'Anthony Bragalia (qui ne fait pas partie des découvreurs et présentateurs de ces photos mais qui avait enquêté depuis longtemps sur ces découvertes sans rien trouver de suspect), il ne s'agit absolument pas d'un "hoax" ou de faux, mais d'une regrettable erreur, d'une mauvaise interprétation. En effet, les analyses des photos par le spécialiste du musée de la photographie de Chicago (et par le laboratoire pour les "restaurer" ensuite, ne sont pas remises en question : les diapos datent bien de 1947 et la concordance avec Roswell paraissait justifiable. Mais c'est là que l'erreur a été commise : le lien avec Roswell était tout à fait possible, mais faux... car cette momie a bien été trouvée en 1896 par S.L. Palmer, à Camp Verde / Montzuma Castle, Arizona. Le fils de Palmer, à la fin des années 1930, a prêté la momie de l'enfant et d'autres objets au Musée de Mesa Verde, au Colorado, et c'est probablement là que les photographies trouvées ont été prises mais on ne sait pas par qui... elle se sont retrouvées dans cette boite en fer trouvée récemment et ont engendré cet enchaînement malheureux d'erreurs... qui a rapporté pas mal d'argent semble-t-il à certains "ufologues" ou de gens se donnant à eux-mêmes ce titre. C'est surtout à ce niveau que ce genre d'affaire peu faire le plus de mal à ceux qui sont honnêtes et ne tentent pas de gagner le "jackpot" à la moindre occasion...
Pour aller plus loin sur Roswell et les autres articles présents sur ce site :
Les Scandinaves du Néolithique utilisaient des bateaux en peau d'animaux pour la chasse et les échanges, le transport à longue distance. Une étude récente menée par le Dr Mikael Fauvelle et publiée dans le Journal of Maritime Archaeology suggère que la culture scandinave antique de la céramique piquée (PWC) aurait pu construire des bateaux en utilisant des peaux d'animaux, en particulier des peaux de phoque, pour naviguer, pêcher, chasser et transporter, échanger sur de vastes distances. La PWC a prospéré entre 3500 et 2300 avant J.-C. dans les régions entourant la mer Baltique et la mer du Nord, y compris certaines parties de la Suède, du Danemark et de la Finlande actuels.
Gigès, le mystérieux inventeur de la monnaie métallique
Pièce de Lydie en Electrum
Les plus anciennes pièces de monnaie métallique, marquant peu à peu le changements définitif (pour le monde entier sauf aux Amériques, où les peuples ont continué leur économie spécifique jusqu'à l'arrivée des envahisseurs et culture dévastatrice) de l'économie de l'Humanité, passant de la dernière économie créée (le troc) aux échanges par monnaie de substitution, toujours pratiqués de nos jours, ont été découvertes en Turquie, dans l'ancien Royaume de Lydie (ou Méonie pour Homère). Les Lydiens (aussi connus comme les Lud par les Egyptiens et Assyriens) était un peuple indo-européen descendant de Lydos, fils d'Attis d'après Homère. Quand on sait qu'Attis est en fait un Dieu très connu, d'origine Phrygienne (qui dominaient les Lydiens au début) et que l'on retrouve sous le nom d'Adonischez les Grecs et Romain ou Tammuzchez les Hindoux, on devine que les origines mêmes de ce peuple sont aménagées. Et ce n'est pas mieux pour leur Roi Gigès, qui a régné (d'après la science officielle mais avec une fourchette temporelle) de entre 708 et 687 avant Jésus-Christ, sa mort étant entre 680 et 648 avant Jésus-Christ...
Crésides d'argent, attribuée à Crésus-5ième siècle av JC
Il était appelé Gugu par les Assyriens, et serait à l'origine des traditions bibliques sur Gog, prince de Magog (c'est-à-dire en assyrien mā(t) Gugu : « pays de Gygès »). En fait, on ne sait pas vraiment comment il est arrivé au pouvoir car les sources sont rares (donc à fiabilité resteinte) et divergent complètement... :
Selon Hérodote (né vers 484 avant notre ère et mort vers 420 - donc 250 ans après environ), Gygès était à l'origine le fils d'un des gardes et le confident du tyran Candaule, (ou Sadyate, ou encore Myrsile), roi très légendaire descendant d'Héraclès (Hercule), qui était un roi vantard qui ne cessait de vanter la beauté de sa femme. Ne supportant pas que Gygès puisse douter des charmes de son épouse, Candaule lui donne l'ordre de tout faire pour la voir nue et constater sa vérité. Après avoir refusé car pensant que c'est indigne, Gygès finit par céder et se cache dans la chambre royale au bon moment pour admirer le déshabillage de la Reine. Mais celle-ci le découvre sans le laisser paraître. Elle a compris que le roi ne peut être que l'auteur de cette indignité et décide de se venger de cet outrage. Elle convoque Gigès le lendemain et lui fait le chantage suivant : soit il assassine Candaule, devient son époux et le nouveau Roi, soit il est exécuté... Gigès n'a pas trop le choix, poignarde le Roi et s'empare du trône de Sardes, capitale de la Lydie...Mais selon Platon (né en 424/423 av. J.-C., mort en 348/347 av. J.-C. - donc 300 ans après environ), Gygès n'était qu'un simple berger lydien à l'origine, qui faisait paître son troupeau lorsqu'un violent orage fit s'affaisser une colline. Il s'y aventura et découvrit un énorme cheval de bronze dans les flancs duquel étaient pratiquées des portes (Cheval qui rappelle un peu le célèbre Cheval de Troie de part sa description !). Après avoir ouvert ces portes, Gygès aperçut à l'intérieur du cheval le squelette d'un géant portant au doigt un anneau d'or. Il se saisi de cet anneau, se le passa au doigt, et, sans dire un mot de son aventure, il alla rejoindre les autres bergers du voisinage. Par hasard, il remarqua que, à chaque fois qu'il tournait sa bague vers l'intérieur, il devenait invisible de tous, tout en gardant la faculté de voir et d'entendre ce qu'il se passait autour de lui. Dès qu'il retournait la bague en sens inverse, il redevenait visible. Après avoir essayé les pouvoirs de son anneau par plusieurs expériences, il se rendit au palais et séduisit la reine. Il complota avec elle la mort du roi, le tua et s'empara du trône...
Le mystère des tunnels de la cité engloutie de Baïes
Baïes (Baia de nos jours) est le nom d'une ancienne cité romaine, située en Italie, plus précisément au nord du golfe de Naples, dans une anse sur la rive est du cap Misène, entre la pointe de la Lanterne au sud et la pointe de l'Épitaphe au nord. Elle est proche de la base navale romaine de Misène, et fait face à Pouzzoles, de l'autre côté de la baie donc.
Plutôt qu'une ville, Baïes était un regroupement de villae de villégiature étagées sur la pente intérieure d'un ancien cratère (l'endroit est une caldeira volcanique, suite à une éruption explosive vers - 35000), en partie submergé par la mer, Baïes devait son succès à la douceur de son climat et surtout à la présence de sources thermales engendrées par le volcanisme actif des Champs Phlégréens. Ces sources chaudes, sulfureuses ou salines, sont vantées comme les plus curatives et les plus abondantes d'Italie par Pline l'Ancien, Strabon, Florus, Fronton et aussi Flavius Josèphe.
Des milliers d'outils en pierre taillée, d'os de chevaux, et une dent de lait humaine: une grotte du plateau central iranien a livré des traces d'occupation humaine vieilles de 452.000 à 165.000 ans, les plus anciennes jamais trouvées dans cet immense territoire à la croisée du Levant et de l'Asie.
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