Le 24 Août 1990, de nombreux témoins indépendants ont observé des formations de sphères lumineuses dans le ciel près de la ville de Greifswald, située à proximité de la côte de la mer Baltique. De nombreux rapports de témoins oculaires, soutenus par des vidéos et des photographies, font de ce cas l'une des observations les mieux documentées en Europe.
Bien que le degré d'étrangeté dans ce cas n'est pas très élevé, aucune explication scientifique testée et démontrée n'a été trouvée à ce jour. Certains sceptiques ont essayé de réduire les caractéristiques de ce phénomène à un phénomène connu. Mais, jusqu'à présent, personne n'a expliqué avec succès toutes les données observées et documentées. Les sceptiques semblent
être satisfaits de toute explication possible, même sans démonstrations scientifiques le prouvant. Et d'un point de vue scientifique, une possibilité n'est que le point de départ pour la collecte de preuves et la recherche de confirmation. Dans les " cas Greifswald " pas d'explications convaincantes n'ont été trouvées pour aucune des hypothèses.
Beaucoup d'observations de ce qui semblait être des groupes de sphères lumineuses ont été signalées dans les premiers jours de Août 1990 près de la côte de la mer Baltique, entre les villes
de Rostock, Greifswald et l'île de Rügen et Usedom. Ces lumières ont affiché un comportement inhabituel, contraire aux avions, ballons, munitions et phénomènes atmosphériques lumineux. Les mouvements de ces lumières semblaient incompatibles avec des objets connus, leur accélération semblait trop rapide et abrupte.
M. Gerald Schwab, un touriste de Berlin, a décrit ses observations à un journal Allemand. Il a déclaré que : « Elles étaient là pendant trois minutes avant d'accélérer rapidement vers l'avant " (Bild, le 31 août 1990).
Le 24 août 1990, les lumières planaient dans le ciel au nord-est de Greifswald pendant une relativement longue période de temps. Des centaines de touristes et les résidents locaux de Greifswald, Rostock, l'île de Rügen, l'île d'Usedom et Neubrandenburg ont observé, photographié et filmé les phénomènes. (Fig. 1).
Les informations contenues dans les rapports de nombreux témoins ont été confirmés par beaucoup de films vidéo et de photographies. Ceux-ci sont considérés comme des protocoles de mesure dans un sens scientifique. Même si les protocoles individuels n'ont pas été pris en vertu de conditions scientifiques, ils sont aussi bien faits que d'autres analyses scientifiques.
L'équipe d'analyse de photos du MUFON-CES a reçu six vidéos et 11 photos de différentes personnes et interrogé plus d'une douzaine de témoins personnellement. Aucune des personnes interrogées n'a observé le phénomène depuis le début, ni aucune ne pouvait se rappeler le temps de départ exact de leurs observations individuelles. Cependant, plusieurs des caméras utilisées indiquent un code de temps qui est affiché sur le film. Cela nous a permis de conclure que les phénomènes étaient composés de deux groupes de sphères lumineuses qui planaient presque immobiles pendant environ 30 minutes, entre 20h30 et 21h00 sur la mer Pommearnian (14 ° 10 ' de longitude Est et 54 ° 25' de latitude Nord). Le groupe brillant et le plus proche (à une altitude d'environ 13 °) a formé un cercle de 6 sphères lumineuses. Le second groupe (à une altitude d'environ 20 ° comme on le voit à partir de Greifswald) a formé une sorte de "Y" (par la suite dénommé formation-Y) (Fig. 2).
Fig. 2 - Grand angle lumières de Greifswald - 24-08-1990
Un groupe de témoins est composée de 40 écoliers et leurs enseignants qui ont observé des objets à partir d'une distance d'environ 30 km. Les garçons passaient leurs vacances à Mukran sur l'île de Rügen. Ils ont observé que les objets de la formation-Y n'étaient pas stationnaires mais avaient effectué des mouvements individuels au sein du groupe. L'un des garçons a confirmé que certains des petits objets avaient voyagé et fait des va-et-vient entre les deux groupes de lumières.
Lire la suite ci-dessous :
Au moment du phénomène, le soleil était situé à 8 ° au-dessous de l'horizon et illuminait les nuages inférieurs. La lune était encore d'environ 90 ° sous l'horizon. le Service météorologique allemand de Rostock a indiqué qu'environ 5/8 du ciel était couvert par une formation de hauts nuages floconneux ronds, blancs ou gris, en partie des masses ombragées, ainsi que d'une formation de nuages en forme de feuilles grises ou bleuâtres à une altitude minimum de 2.500 mètres. Il y avait un léger vent d'est nord-est, et la température était d'environ 60° F (15.5° C).
Ludmilla Ivanov, un médecin, et son mari, l'ingénieur de projet Nicolai Ivanov, ont filmé les objets de leur balcon au troisième étage avec une caméra vidéo Orion ( LP 11,7 mm/s, Fuji super HG EF- 30, VHS-PAL).
Mme Vinogradova, vivant avec son mari Valery dans la même deuxième maison de la rue, a été alertée par les enfants bruyants dans la rue. Elle a dit que ça sonnait comme si ils observaient quelque chose de très inhabituel. Par la fenêtre, elle a vu environ 50 personnes regarder le ciel. Elle a remarqué deux groupes lumineux de lumières dans le ciel et a donc appelé son mari, qui travaille en tant que traducteur. Il a pris une photo au moment où deux objets se sont joints à une formation de trois lumières qui étaient déjà présentes (photo : Zenith-E ; Objectif : Industar 50 mm, le film : SweMA - G5Gost, 18 ° DIN). Ce groupe d'objets a formé plus tard un anneau de 7 sphères lumineuses. Le groupe en forme d'anneau a disparu après avoir été clairement visible pendant quelques minutes.
L'autre groupe, plus haut et plus loin, n'était pas clairement visible au début. Lorsque le groupe en forme d'anneau a disparu, celui en formation-Y est devenu concentré et clair. Au début, il n'y avait que 4 objets dans ce groupe, formant une croix. Puis 2 autres sont arrivés d'un jet vers elle et un peu plus tard un autre objet est apparu entre la partie supérieure des lumières. Ludmilla Ivanov a filmé pendant environ 4 minutes, mais le groupe était encore visible pendant encore 15 minutes. Les objets semblaient tourner autour de leurs axes.
Les deux formations ont été observées à partir de Trassenheide autour de 20h40 par M. Rainer Ladwig, qui se promenait sur la plage avec sa famille quand il a repéré les lumières. Il est allé chercher son appareil photo (Yashica, optique 300 fois) et a réussi à prendre quelques photos avec l'exposition automatique d'une seconde. Ces images sont floues, mais M. Ladwig a également pris une photo sans la fonction automatique. (Fig. 3).
Fig. 3 - blurred image of both groups, shot from Trassenheide - computer generated blur reduction of the
same image
Le temps d'exposition était trop court pour obtenir une photo assez lumineuse. Cependant, cette photo sous-exposée s'est avérée être très bonne, en fait c'est la meilleure, pour une analyse par l'ordinateur. Les lumières dans cette photo que M. Ladwig a prise ne sont pas lumineuses, mais elles montrent un contraste structuré (Fig. 6).
Fig. 6
Une autre photo que M. Ladwig a prise cette nuit a capturé le reflet des lumières dans l'eau. Par conséquent, ce n'aurait pas pu être un mirage. Les témoins qui ont observé les lumières de Trassenheide ont indiqué que la formation-Y semblait être aussi brillante que la pleine lune. Cela démontre qu'elles étaient clairement visibles même à 100 km du lointain Neubrandenburg. Par conséquent, les lumières ne pouvaient pas être des ballons d'air chaud (lanternes).
M. Luchterhand, qui vit à Berlin, conduisait avec sa famille à environ 6 km au sud de la Centrale nucléaire de Greifswald quand il a repéré les lumières. Il a arrêté sa voiture et filmé les formations avec la vidéo caméra de son beau-père (Canon, 8 X zoom).
Leur distance à la formation-Y était d'environ 25 km. Vers 20h45 les lumières de la formation en forme d'anneau, qui semble tourner lentement dans le sens horaire, disparaissent. Quelques commentaires intéressants des témoins ont également été enregistrés sur la vidéo. Par exemple, on peut entendre M. Luchterhand s'écrier : « Je ne crois pas aux Ovnis et en de telles absurdités, mais je n'ai jamais rien vu de tel de toute ma vie ".
Le 24 Octobre 1994, l'un des deux grands réseaux de télévision en Allemagne, l'ARD, a transmis un documentaire avec le titre : " ovnis - ils existent " Cette émission, qui a été basée sur le livre " L'Etat de la recherche OVNI " par I. von Ludwiger, inclus un rapport sur les observations de Greifswald. Après la diffusion, encore plus de gens ont contacté le MUFON -CES et ont fait part de leurs observations sur les formations lumineuses.
M. et Mme Groeschel ont fourni une vidéo de 15 minutes des lumières. Ils ont assisté aux phénomènes alors qu'ils séjournaient dans le village de Uckeritz sur l'île d'Usedom. Il peut être clairement vu dans la vidéo que la formation-Y a dérivé avec le vent (15 km/h) vers Peenemünde. Peenemünde était l'ancien site de production des roquettes V - 2, et un moment une base militaire russe. Puisque cette caméra vidéo était très sensible à la lumière, le fond de nuages dans le film est suffisamment lumineux et clair pour révéler des détails mineurs. Cela nous a permis d'écarter quelques explications possibles. Les lumières ne pouvaient pas avoir été causées par des munitions lumineuses ou des bombes légères, car elles auraient toutes brûlé en seulement 3 minutes et un maximum de 10 minutes et elles montreraient des parachutes qui leur sont attachés, qui auraient été vus sur cette vidéo (Fig. 7).
Cinq photos ont été soumises pour les analyses par le pilote Gerald Drape. Il a pris les photos des objets au nord de Greifswald. Il a écrit qu'il était très impressionné quand les petits objets se sont approchés de la formation-Y, avec ce qu'il estime comme étant une vitesse supersonique, et sont parvenus à un arrêt mortel quand ils ont atteint la formation.
Drape a déclaré : « En raison de leurs mouvements spécifiques de vol, il faut conclure que ces objets ont volé sous contrôle intelligent ".
En Février 1995 l'équipe des analyses photos a reçu un enregistrement vidéo des 6 lumières de M. Stoffers. Il a filmé les phénomènes de Zinnowitz sur l'île de Rügen, qui était à seulement 10 km de la lumière. Sur son film des nuages lumineux sont visibles entre les sphères de lumière, ils ressemblent à de la fumée pyrotechnique (Fig. 5).
Fig. 5 - Capture vidéo TV Rügen-Film - This enlargement from video 6 (recorded by Thiessow) shows the seven objects of
the Y-group plus a small ball, that just entered the group
Certains des témoins ont rapporté que vers 20h47, ils ont observé un brusque flash de lumièreà environ 100 m du groupe en Y, mais à peu près à la même altitude. Cela pourrait être observé sur les vidéos réalisées par le Dr Ivanov et M. Luchterhand. Le flash ressemble à l'explosion d'un missile terre-air, mais aucun son d'explosion n'a été rapporté par les témoins interrogés. Le diamètre du flash sur le film est quatre fois plus grand que celui de la plus brillante lumière, et il a diminué pendant 1/8 de seconde jusqu'à disparaître. Une explication possible pourrait être que peut-être l'ancienne Armée Nationale de l'Allemagne de l'Est ait tiré sur les objets. Ils auraient organisé des manœuvres militaires une fois dans la région. Les enquêtes ultérieures n'ont pu découvrir une partie responsable. Le lieutenant-général Berger, l'ancien commandant de l'Armée de l'Air NVA, a déclaré que les Soviétiques avaient fermé toutes les installations militaires et n'étaient plus actifs dans la région.
Vers 21h00 les objets disparurent les uns après les autres, comme le feraient des munitions lumineuses (Fig. 4). Cependant, après quelques minutes, la formation-Y soudainement réapparue au nord-est de la première position, avec à peu près la même forme et semblait plus lumineuse et plus grande pour les témoins sur l'île de Rügen. La réapparition a été remarquée par les témoins sur Rügen et à Neubrandenburg, qui est à environ 100 km. Aucune vidéos n'ont été présentées qui montreraient le deuxième aspect des objets. La réapparition a duré environ une ou deux minutes, selon les témoins, avant qu'elle ne disparaisse.
Fig 4 - Frames from the blur reduced Greifswald video 4. The objects slowly disappear, their form does not change significantly.
La taille des objets peut être estimée par triangulation. A partir des données obtenues, deux éléments pourraient être utilisés pour calculer la distance : La ligne de visée de Greifswald et de Posetitz sur l'île de Rügen. Il a été conclu que la formation-Y était à environ 30 km de Greifswald. Elle tournait à une altitude de 6.500 m de la sphère la plus basse à la plus élevée. A partir des enregistrements vidéos, il apparaît que la taille des taches lumineuses est d'environ 1/20 à 1/10ème de la taille de l'ensemble de la formation. En prenant la plus petite extension de l'une des taches de lumière sur une des photos très fortement sous-exposées (prise par M. Ladwig), soit 1/20 du groupe de lumières, une valeur estimée de 12 ± 2 mètres comme résultats pour le diamètre d'une sphère. L'amélioration grâce à l'ordinateur et l'augmentation du contraste révèlent que les bords des taches sont plus sombres que leur milieu. Cela montre que chaque point est composé d'anneaux exacts ayant la même luminosité. Par conséquent, les objets étaient certainement des sphères (Fig. 6).
Une estimation grossière de l'énergie ou de la puissance que les lumières rayonnaient a été réalisée par comparaison de la puissance des lumières avec celle de la pleine lune qui éclaire le paysage pendant la nuit. D'une distance de 14 km (Trassenheide), le groupe Y semblait aussi lumineux que la pleine lune, selon M. Ladwig. Si la répartition spectrale est égale à celle de la lune, alors la loi du carré de la distance pour la puissance de la lumière de la lune avec 0,318 lux (correspondant à 1,8 x 10 ³ watts / m²), on obtient une lumière rayonnée estimée à une puissance (L) de :
4π 1,8 10-³ (14.000)² ≈ 4,43
Une autre estimation a été obtenue à partir de photographies qui comprenaient des maisons avec les lumières. Les lumières semblent avoir la même luminosité que l'un des objets dans le ciel dans l'une des photographies, Valery Vinogradov a capturé des lampes qui brillent dans plusieurs salons de chambres dans un immeuble à 150 m. La luminosité des ampoules électriques sert à des fins de comparaisons, étant donné que celles-ci ont à peu près le même rapport de luminosité que les objets dans cette image. En supposant qu'une ampoule et l'une des sphères lumineuses sur la photo aient exactement la même luminosité, et en supposant que l'une des lampes soit équipée dune 'ampoule de 75 watts, le gain de lumière est d'environ 8 % et la puissance de rayonnement (E) est d'environ 6 watts. Si l'ampoule apparaît aussi brillante que l'un des objets, alors la puissance de rayonnement (E) d'un des objets dans le ciel à 30 kilomètres au loin serait d'environ :
E = 6.(30.000)²/(150)² ≈ 0.24 Megawatt
C'est dans le même ordre de grandeur que dans la première estimation. A 100 000 watts l'ampoule projecteur génère 2,5 × 105 lm.
Le courant électrique produit par le groupe Y de lumières ( B ) semblait aussi brillant que le clair de lune : ? = 0,318 ( 14,000 ) ² ≈ 623 105 lm
En comparaison : les films et les photos sont prises avec un léger courant de 20,000 lm quand une ampoule de 650 watts est utilisée. Le groupe d'objets a eu 25 fois plus d'énergie. De similaires observations d'objets avec cette luminosité ont été enregistrées par d'autres chercheurs (Vallée, 1990).
L'identification des " objets " de Greifswald est difficile en raison de ce qui suit en détails, qui ont été vus par plusieurs témoins indépendants :
• Pendant un court laps de temps, la lumière des objets a été éteinte. Les objets sombres se sont déplacés à un autre endroit et ont allumé leurs lumières à nouveau.
• De Mukran sur l'île de Rügen, M. Mirack a remarqué dans les environs de la deuxième formations un halo de " nombreuses petites lumières scintillantes blanches, comme un feu d'artifice. "
• Des Objets à plusieurs reprises s'envolèrent hors de la formation, en vol stationnaire à une certaine distance pour un vol stationnaire, avant de revenir à la formation et s'arrêter brusquement à leur position d'origine. Vu de Mukran, l'incident est apparu comme suit : La formation en forme de bague avait des sphères lumineuses volant dedans et à intervalles irréguliers. M. Minack a écrit : " Elles semblaient quelque fois aussi grandes que les lumières de la formation, ou encore plus lumineuses, et se déplaçaient très rapidement. Etant donné que la formation émettait des boules lumineuses vers le bas, l'échange ressemblait à un jeu de ping-pong. "
• Les petites sphères volaient dedans et hors de la formation-Y quand elle était seule dans le ciel. Cela a également été témoigné par Mme Vinogradova à Greifswald.
• M. Ladwig à Trassenheide, sur l'île d'Usedom, a observé que les sphères quittaient le groupe Y des deux côtés ainsi que vers le bas. Elles volaient à 10 ° environ, alors planaient pendant plusieurs minutes. Après cela, elles ont revolé vers la formation. L'arrivée de ces objets a été filmée à deux reprises par M. Luchterhand (vidéo n° 4 dans Klein und v Ludwiger 1997). Ses vidéos montrent des petites lumières qui approchent le groupe Y. Chaque fois que les lumières sont devenues invisibles, sur le film, elles ne pouvaient être vues non plus par les témoins oculaires.
• Les sphères sur les films semblent voler à une vitesse d'un arc de 0,5 °/seconde, qui correspondrait à peu près à la vitesse du son. Il n'est pas clair de voir si les objets accélèrent avant d'entrer dans la formation. Les témoins ont déclaré qu'ils sont parvenus à un arrêt brusque à leur arrivée dans la formation (fig. 5).
• Selon le journal Bild, le 31 août 1990, les écrans radar de l'NVA n'avait pas reçu de signal. Mais l'ancien colonel de la NVA, M. Mann, qui était responsable de l'installation technique des dispositifs d'armes, a informé M. von Ludwiger qu'il a entendu que cette apparition avait été « capturée ».
• L'ancien commandant en chef de l' Armée de l'Air NVA, le lieutenant-général Berger, n'était pas au courant de l'incident. Il a confirmé, toutefois, que la durée de combustion des munitions lumineuses est de moins de 20 minutes et il a mentionné que ni les Russes, ni la NVA n'avaient de munitions avec de si longues combustions.
• Le Bureau de la défense aérienne allemande a également confirmé que cette longue combustion de munitions lumineuses n'est pas encore disponible.
• Au moment de l'incident, le pédiatre, le docteur Lueder-Stock de Rostock était à proximité de son navire dans la mer Baltique quand il a repéré les objets. Il pensaient que les feux avaient été tirés à partir de navires de la Marine. Les sceptiques ont pris ses hypothèses pour l'explication finale. Dans une entrevue avec M. von Ludwiger, le Dr Lueder-Stock a admis qu'il n'a jamais vu de navires, en raison des ténèbres, mais il croiyait juste que c'était l'explication.
• Bien que les stations de télévision les plus grandes en Allemagne aient transmis les rapports de ces apparitions, aucune partie responsable n'a pu être découverte.
• Les sceptiques Oranized croient que la société Silbermühle a produit des munitions à longue combustion lumineuses pour la NVA. Dans une déclaration écrite par des employés de cette société, qui est maintenant intégrée dans l'entreprise NICO (près de Hambourg), il est indiqué que la durée de combustion des munitions lumineuses était limitée à environ 10 minutes à cette époque.
• Le service météorologique allemand de Greifswald n'a détecté aucune apparition inhabituelle sur le radar.
• En mai 1995, le Dr Aschascha, ancien commandant d'un sous-marin soviétique a statué sur la possibilité, dans un entretien avec M. von Ludwiger, que la marine russe possède des munitions lumineuses qui brûlent plus de 10 minutes. Il a déclaré que l'allumage de 14 de ces corps lumineux à longue combustion chers par les Russes - si disponibles - doivent être exclus.
Il doit y avoir plusieurs centaines de témoins. Tous les témoins interrogés ont rapporté en avoir vu un grand nombre à proximité qui regardaient le ciel, et observaient très bien les phénomènes. Un groupe similaire d'objets a été vu et filmé de l'île d'Usedom, le 23 mai 1993, à environ 21 h. Cette fois, les objets ont été vus pendant au moins une heure à 90 minutes. (Fig. 7).
Fig. 7 - île d'Usedom, le 23 mai 1993
Seulement un mois plus tard, un M. J.Ksrodski a filmé avec succès ces lumières pendant environ 5 minutes à Mrzezyno près de Kolberg, Pologne, 22h30-22h45 (le 22 Juin 1993) depuis le balcon de sa maison dans une direction sud-est. Il a utilisé un Sony CCD - F 385 E, 8 mm. Encore une fois, 10 à 12 objets lumineux planaient à peu près immobiles dans le ciel.Trois petites lumières tournaient autour de la formation. La vidéo, qui a été envoyée au MUFON-CES pour enquête, montre seulement l'un des plus petits des objets en mouvement, vers le bas du groupe, très lentement (Fig. 8).
Fig 8 et agrandissement
Puisque le caméraman n'a pas tenu sa caméra stable, les objets ont dû être recentrés, image par image, afin de rendre les objets dans l'image immobiles et observer les mouvements des membres du groupe. Encore une fois, comme à Greifswald, la formation s'est mise en rotation dans le sens des aiguilles d'une montre autour de l'axe vertical de la figure. Lea objets disparaissaient lentement comme dans le cas de Greifswald. Après la transmission de la documention TV susmentionnée, M. et Mme Bode ont soumis à M. von Ludwiger qu'ils avaient tous deux observés une apparition similaire le 13 août 1994. Ils étaient en vacances à Pissuri près de Limassol à Chyprequand ils ont vu une formation comme celle de Greifswald.
Pendant la nuit, une formation de 7 lumières restaient immobiles dans le ciel. Une sphère a quitté la formation " très rapidement comme une flèche, de sorte que l'on ne pouvait voir qu'une ligne lumineuse. " La sphère s'arrêta un instant dans un arc d'une longueur de 20°, puis a volé de nouveau à la même vitesse, en restant dans la formation. La lumière en forme de ballon s'envola, vers la droite et vers la gauche. Les témoins ont dit que les petits objets se regardaient comme des boules de billard, échangeant des impulsions avec la formation avant de s'envoler.
En 1999, le MUFON-CES a reçu 14 photo de plus d'un groupe de lumières, comme celui du type de Greifswald qui ont été prises à la fin de Juin 1994 à Sassnitz sur l'Île de Rügen. Le groupe de lumières a lentement disparu derrière l'horizon. Nulle part ne pouvait être vu des bateaux de la Marine. (Fig. 9)
Fig. 9
Dans tous les cas signalés, les objets légers ont été vus au-dessus de l'eau. Mais le 24 août 1999, un groupe similaire de lumières est apparu sur Beinwil - Hirzel - Richterswil, en Suisse, à environ 19 h, sous les nuages. Les témoins ont observé le groupe fixe pendant 41 minutes ! Le témoin principal a une video d'environ 90 secondes. (Fig. 10)
Fig. 10
D'après les caractéristiques des phénomènes, il est impossible d'expliquer l'apparition par des manœuvres militaires. Si les objets plus petits étaient des munitions en vol et les objets vifs agissant comme une cible, alors les petits objets auraient explosé à l'intérieur de ce groupe ou volés à travers lui. Personne ne peut expliquer comment on peut arrêter un corps dans l'air à
une vitesse nulle sans perdre de hauteur. Jusqu'à aujourd'hui, personne ne s'est présenté et revendiqué être le créateur de ces phénomènes. Bien que différentes possibilités ont été considérées, pas l'une d'entre elles pourrait tenir compte de tous les différents détails rapportés, et personne n'a été capable de reproduire des formations légères comme celles observées à proximité de Greifswald.
• Klein, R.-D. and v. Ludwiger, I.: CD-ROM: UFO - Beweise für ein Phänomen, Wissen auf CD-ROM, München-Grünwald: Komplett-Media, 1997
• v.Ludwiger, I., 1995: Die ungewoehnlichen Lichterscheinungen ueber Greifswald, in: UFOs - Zeugen und Zeichen; pp. 251-257; Berlin: edition q
• Vallée, J. 1990: Confrontations - A Scientist´s Research for Alien Contact; New York; Ballentine Books, p. 30
Décidémment, la mystérieuse Zone 51 est toujours plus ou moins dans le collimateur des chercheurs de scénarios intéressants. Nous avions déjà eu une tentative l'année dernière avec un scénario vendu à Syfy pour l'émission After Dark est qui avait finalement donné un téléfilm nommé évidemment Aera 51. Ce téléfilm avait été diffusé en février 2011 sur Syfy, en pleine nuit... Maintenant, c'est au tour de AMC à s'intéresser à la fameuse base secrète américaine, par l'entremise de Todd E. Kessler (The Unit, The Good Wife, Rome) qui écrit le scénario d'une adaptation du livre de Annie Jacobsen, Aera 51 qui est basé sur l'interview de 19 employés de la base qui n'est plus vraiment secète depuis longtemps.
Photo tirée du téléfilm Aera 51 de Syfy
Dans le téléfilm Aera 51 (prévu comme une série au début) réalisé par le fils de Sean, Jason Connery, pour Syfy, d'après une idée du réalisateur, l'histoire met en scène un groupe de journalistes qui tentent de révéler les secrets qui se cachent derrière la base secrète américaine, rattachée aussi au fameux crash de Roswell, pour découvrir que tout est réel. Avec des effets spéciaux signés Vincent J. Guastini, le film comporte quelques scènes assez violentes et des aliens assez effrayants... Avec Jason London (Wildfire, Devil's Tomb), Rachel Miner (Californication, Supernatural), Bruce Boxleitner (Tron : Legacy), John Shea (Lois & Clark, Mutant X), Vanessa Branch (Pirates des Caraibes 1,2,3,4)... Ce téléfilm canadien (sa diffusion a rencontré un certain succès local) a probablement servi en parti d'exemple pour le projet ci-dessous, mais le scénario n'est pas prévu pour aller dans le même sens à priori...
La série pour AMC est tirée du livre de Annie Jacobsen, Aera 51, et c'est l'écrivain Todd E. Kessler qui va en sortir un script pour la chaîne, alors que Gale Anne Hurd (The Walking Dead) est productrice exécutive et que Annie Jacobsen serait co-productrice du projet pour les studios Valhalla Entertainment et AMC Studios.
L'Aire 51 est une portion secrète et interdite de la base Edwards de l'Air Force au Nevada, dans laquelle des rumeurs persistantes situent l'existence d'extra-terrestres capturés ou participant volontairement aux avancées fabuleuses de l'Armée américaine, en tout secret. Tout ceci aurait commencé lors du fameux crash de juin 1947 près de Roswell, et les débris de vaisseaux spatiaux, ramenés dans la Zone 51, auraient permis de découvrir vite de nombreux nouveaux secrets techniques (d'après certains, l'apparition du transistor et de la miniaturisation, et l'essor de l'informatique y seraient entre autres liés). Officiellement bien sûr, cette base est un centre d'essai où sont développés de nouveaux prototypes d'avions ou d'armes. Ainsi, la série sera plus proche du livre de l'auteure, qui délaisse plutôt l'aspect extra-terrestre pour l'aspect plus CIA... La série se situera dans les années 50/60 et montrera les ingénieurs et soldats de la zone 51, attachés à protéger les secrets américains, y compris les débris du crash de Roswell, et qui sont pris dans la tourmente paranoïa de la guerre froide. Dans son livre, Annie Jacobsen soutien que Roswell n'est pas le résultat d'un accident d'aliens sur la terre, mais l'horrible résultat d'une expérimentation américaine sur des êtres humains. Elle pense aussi que le crash en soit est le début réel de la guerre froide.
Son livre, sorti en mai 2011, ne peut tenir évidemment compte des derniers rebondissements concernant cette fameuse affaire Roswell. En effet, la théorie du ballon Mogul exposée par l'US Army ayant été démontée et refusée officiellement par le Congrès américain il y a déjà quelques temps, les batailles au sujet de documents déclassifiés n'ont cessé entre les partisans ou non de la thèse officielle (ou même entre tenants d'autres thèses entre eux, ce qui n'arrange pas le débat), jusqu'à encore très récemment où un ex agent des services secrets a révélé avoir eu accès à certains documents prouvant l'existence d'un crash extra-terrestre à Roswell, et où un nouveau soldat témoin affirme avoir des preuves de non pas un, mais de deux crashs proches de Roswell... Tous ces débris ressortiront-ils vraiment un jour ?... s'il s'agit d'expérimentations sur l'humain, ces débris ressortiront peut-être quand le peuple américain sera prêt à admettre qu'il a commit de très grosses atrocités lui aussi (en plus des indiens natifs) au nom de la raison d'Etat... une grosse évolution que cette jeune civilisation ne semble pas être prête à envisager.
Après les zombies de The Walking Dead, AMC ne se lance donc pas vraiment dans l'alien, mais plutôt dans les théories de complots et d'espionnage...
Achives CNROVNIS : « Note à l’attention de messieurs les parlementaires »
PARLEMENT : UNE NOTE D’INFORMATION SUR LES OVNIS
(dépêche Agence Transcontinentale de Presse du 12/12/1980)
(ATP) A la demande d’un certain nombre de parlementaires s’intéressant au problème, la « Commission nationale de recherches sur les objets volants non-identifiés », a rédigé une brève note d’information résumant à l’intention de nos députés et sénateurs, l’essentiel des données de ce mystérieux et pourtant célèbre dossier.
Selon ce document, M. Raymond Barre (1er Ministre) aurait reçu dès 1978 un volumineux rapport de près de 1000 pages du Centre National d’Etudes Spatiales, lequel serait réputé n’être accessible ni aux journalistes, ni mêmes aux chercheurs. Cette note rappelle aussi la création du GEPAN en 1977, ainsi que la décision prise par M. Galley, alors Ministre des Armées, d’étendre les compétences dévolues à la Gendarmerie à des enquêtes spécialisées sur le terrain, chaque fois qu’un ou plusieurs témoins révèlent avoir rencontre un objet spatial insolite. Précisons qu’aux dires de la Direction de la Gendarmerie nationale, les-dits rapports d’enquête sont, eux aussi réputés incommunicables…avant 60 ans !
L’une des conclusions rédigée par la CNROVNI(S) est qu’il existe bien en France, en effet, tout comme d’ailleurs aux Etats-Unis, un véritable « Black-out », qui gêne le travail des chercheurs et enquêteurs privés, et ne peut qu’irriter un public de plus en plus concerné, et surtout, très désireux d’en savoir plus. Ses rédacteurs suggèrent enfin la création en France d’une commission parlementaire d’enquête permanente, à l’instar de ce qui existe déjà au Parlement britannique. »
COMMISSION NATIONALE DE RECHERCHES Sur les objets volants non identifiés JORF du 29/08/1975
Paris, le 18 juin 1980
NOTE A MESSIEURS LES PARLEMENTAIRES
« LE DOSSIER OVNI(S), PROBLEME POLITIQUE AUTANT QUE SCIENTIFIQUE »
Messieurs les Parlementaires,
Depuis qu’à la date du 7 octobre 1954, deux députés français, MM. De Léotard et Nocher posèrent leur question écrite à Monsieur le Secrétaire d’Etat à l’Air, aucun parlementaire, à notre connaissance, n’aura pris l’initiative d’interpeller notre Gouvernement au sujet du dossier des « objets volants non identifiés », en abrégé « OVNI(S) », terminologie adoptée et reconnue par les milieux scientifiques pour désigner les fameuses « soucoupes volantes » encore appelés « M.O.C » (mystérieux objets célestes) ou « OVNI ».
C’est d’autant plus regrettable que le dossier « OVNI(S) » (en anglais « UFO » ou « unknown flight object », s’est révélé, depuis la date du 24 juin 1947, comme étant une affaire non seulement du plus haut intérêt pour les sciences, mais aussi et encore, pour ne pas dire surtout, comme une question aux implications multiples, notamment dans les domaines de la sociologie, des « médias », de la défense et de la politique.
Il n’est pas question dans le cadre de la présente note, essentiellement rédigée à l’adresse des parlementaires, de retracer un historique complet des « OVNI(S) ». Nous rappellerons simplement et pour mémoire, que des objets spatiaux étranges et ressemblant à des machines ont de tout temps été observés, y compris à l’époque de l’Empire Romain, à proximité plus ou moins immédiate de notre planète et, dans notre paysage social, à une époque remontant à la fin de la deuxième guerre mondiale puisque c’est à la fin de celle-ci qu’ont vit apparaître pour la première fois la notion de « foo-fighter » ou « fantôme volant » et que c’est seulement en 1947, avec la fameuse observation de l’américain Kenneth Arnold au Mont Rainier (Etat de Washington) que naquit la très populaire appellation de « soucoupe volante »
De 1940 à 1980, le phénomène « OVNI(S) », dont certains esprits sceptiques avaient imprudemment prophétisés la disparition, a au contraire affirmé son caractère à la fois permanent et planétaire. Si l’on estime généralement que le nombre total des observations d’ « UFO » effectuées sur une période de quarante années, avoisine le chiffre de 90 millions, le nombre proprement dit de cas effectivement observés et scientifiquement répertoriés sur ordinateur ou autrement, se chiffre par dizaines de milliers.
A cet égard, l’un des fichiers les plus élaborés, selon la méthode informatique, est celui du Dr Saunders, qui comporte entre 60000 et 80000 cas environ.
Mais revenons au présent : en cette année 1980, il est important de souligner qu’il ne s’écoule pas de semaines, sans qu’au moins une ou plusieurs observations, rapprochées ou éloignées, à haut coefficient d’étrangeté et de crédibilité (pilotes, militaires, ingénieurs, scientifiques, policiers, ruraux, etc…) soient rapportées, le plus généralement, par le truchement des grandes agences de presse, ou de la radio et de la télévision, en provenance du monde entier.
Aussi bien, le portrait-robot de l’OVNI est il aujourd’hui assez bien connu : « l’OVNI – quelques soient par ailleurs ses formes et ses dimensions – (ses formes sont infiniment nombreuses, et ses dimensions peuvent aller du ballon de rugby au vaisseau géant de plusieurs centaines de mètres et quelque fois plus ! ) – se caractérise par son absence de bruit (sauf exception), des manipulations de lumières très étranges et très variées (dont les fameux faisceaux dits « tronqués »), des apparitions et disparitions très souvent quasi-instantanées, mais presque toujours rapides, voire brutales, ses facultés de virage à angle droit, d’accélération ou de décélération ou de statisme à volonté, toutes performances réputées, aujourd’hui encore, impossibles pour nos engins conventionnels, même les plus sophistiqués. La même observation vaut pour ses effets sur notre environnement, en cas de survols à haute ou basse altitude et surtout, d’atterrissages virtuels ou effectifs : effets électromagnétiques puissants, pouvant provoquer des pannes de courant à haute tension, ou des arrêts de moteurs de voitures ; traces au sol, indélébiles, en ce sens que des effets de calcination au sol ou sur la végétation peuvent subsister très longtemps après leur passage ou leur présence.
Peu de savants à « label » officiel ont consenti jusqu’à présent à se pencher sérieusement sur un phénomène qui les déconcertaient, en dérangeant maintes conceptions bien établies, pour ne pas dire érigées en dogmes, eux-mêmes réputés immuables ; en revanche, de nombreux chercheurs privés ont entrepris à partir de données restreintes dont ils disposaient, un véritable travail de déchiffrage, dans des conditions rendues fort ingrates, par suite d’un manque de moyen d’une part et de l’existence, il faut bien le dire, de tabous intellectuels, culturels ou religieux, principalement imputable à notre attitude anthropocentriste et rationaliste.
Chasseurs d'OVNIs (UFO Hunters) - Saison 3 VF - MAJ : Episode 13 - FIN
Il s`agit d`une série d`enquêtes sur les OVNIS et Phénomènes connexes, mené à partir des investigations du site NY-SPI... "New York Strange Phenomena Investigators".
NY-SPI a été fondé en 2006 et est basé à Manhattan. Il est composé d`un groupe restreint de professionnels formés uniquement avec des décennies d`expérience dans le domaine ufologique sur le terrain. L`équipe emploie diverses méthodes scientifiques pour disséquer et examiner les phénomènes physiques, statistiques et psychologiques associés à ces phénomènes. Avec des cas d'examens bien établis et des protocoles de recherche en place, ces enquêteurs sont équipés pour reconstituer les détails des observations d`OVNI possibles ou des «enlèvements» et de déterminer leur validité et leur crédibilité. Chaque cas est poursuivi et traité comme un nouveau mystère.
Titre Original : UFO Hunters
Année 1ère diffusion : 2008
Origine de la série : Etats-Unis (USA) Genre : Téléréalité, documentaire, Paranormal, Ufologie
Nombre de Saisons : 3 - Saison 1 en [VF] 13 épisodes. Saison 2 en [VF] 13 épisodes. Saison 3en [VF] 13 épisodes.
Nombre d'épisodes total série : 39 épisodes de 42 minutes
Avec Bill Birnes, Ted Ackworth, Pat Uskert, Kevin Cook, producteurs exécutifs : David Pavoni, Jeff Tober, Jon Alon Walz
Bill Birnes, Ted Ackworth et Pat Uskert enquêtent sur des Objets Volants Non Identifiés qui ont été aperçus aux quatre coins des États-Unis. Ils tentent de séparer le vrai du faux à l'aide de témoignages, d'expériences scientifiques et de documents gouvernementaux. Les événements les plus récents bénéficient parfois d'une abondance de preuves audio ou vidéo, tandis qu'une affaire datant de 1897 oblige l'équipe à creuser dans un puits condamné depuis longtemps. En outre, le trio pose un nouveau regard sur l'affaire Roswell, examine les dossiers d'un enquêteur célèbre, et se rend au Royaume-Uni, où il semble que le ciel soit rempli de phénomènes inexpliqués.
Chasseurs d'Ovnis (UFO Hunters) - S03x01 - Le mystère des triangles fr
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