Un grand effort spirituel de réflexion était nécessaire pour prendre la décision d'écrire ce livre. Comme vous pouvez facilement l'imaginer, c'est un sujet très facile pour le ridicule et l'ostracisme. En effet, je suis sûr que c'est l'une des principales raisons pour lesquelles plus de gens n'ont pas fait part des expériences qu'ils ont connu.
En ce qui me concerne, l'information que je connais, relative au Project Preserve Destiny (PPD) spécifiquement, n'a absolument aucun impact sur la sécurité nationale. Peut-être que si ils avaient été plus ouverts à la vérité et m'avaient donné conscience d'une plus grande affaire qui avait une incidence sur la sécurité nationale, je ne viendrait pas au devant aujourd'hui. Mais ils ne l'ont pas fait, donc nous voici.
L'histoire que j'ai documenté dans ce livre est un récit authentique de premier niveau sur l'existence des extraterrestres. C'est une histoire de mes expériences personnelles en tant que correspondant intuitif (télépathe de haut niveau) formé par l'United States Air Force (USAF), tout en travaillant pour la National Security Agency (NSA). Mon rapport publique de cette histoire sera considéré espérons-le par les historiens de l'avenir comme le catalyseur qui a ouvert la porte de la circulation de l'information pertinente et concrète en ce qui concerne le rôle du gouvernement dans la dissimulation d'informations relatives aux extra-terrestres.
Je pense que l'une des nombreuses raisons pour lesquelles plus de gens ne se mettent pas en avant est évidente ; la crainte de poursuites. Une autre raison pour laquelle quelqu'un aurait réfléchit à deux fois avant de révéler toute information, est qu'il n'y a aucune preuve physique facilement accessible qui permettrait à quelqu'un de vérifier la validité de leur histoire. Ainsi, en me mettant en avant avec mon histoire, je risque de ne pas être cru et de ridicule pur et simple. J'ai décidé de prendre ce risque parce que je crois que l'histoire doit être racontée et que quelqu'un de premier niveau doit faire le premier pas pour obtenir le début de l'avalanche d'informations.
En fait, la divulgation de renseignements aliens dans le domaine public a été un processus graduel. Je suis convaincu qu'en rendant publique ce que je sais, je vais aider à transformer ce qui a été un filet d'informations jusqu'à présent en une avalanche d'autres rapports de premier niveau. Au moins, c'est ce que j'espère.
Qu'est-ce que je veux dire par "rapport de premier niveau" ? Ceci est expliqué plus en détail au sein du contexte de mon expérience. Pour l'instant, il s'agit d'un système conçu de telle sorte que les gardiens de l'information peuvent exercer un contrôle dessus, et garder certains niveaux cachés de l'information... c'est à dire, les projets traitant de contacts et de la technologie alien.
Quand quelqu'un est affecté à un projet alien, ils sont également affectés à la garantie "mission black" (mission secrète). Une des raisons pour cela est que si quelqu'un tentait de révéler toute information alien, par extension, il serait plus susceptible de révéler quelque chose sur le projet sous couverture et il serait sur cette base comme quelqu'un qui serait poursuivi pour avoir divulgué des informations classifiées. En le positionnant de cette façon, le gouvernement est en mesure de garder le silence et de discréditer quelqu'un efficacement sans jamais avoir à reconnaître l'existence du projet alien.
J'espère que je vais éviter ce scénario en déployant méthodiquement mon histoire. Ainsi, lors de la préparation de ce livre pour la libération des données, j'ai dû prendre certaines précautions. En ce qui concerne légitimement des informations classifiées, mon travail régulier à l'Air Force était aussi un spécialiste du renseignement électronique. L'Armée de l'Air décrit ce champ de carrière comme «analyse de l'énergie électromagnétique pour la valorisation de l'intelligence."
En plus simples termes, j’analysais les caractéristiques internes de l'énergie émanant d'une pièce d'équipement, tel qu'un radar, pour voir quel genre de transmissions, il émettait et de déterminer exactement comment le signal réel serait exploité afin que nous puissions identifier la fonction du radar. Les gens dans ce domaine de carrière sont appelés des spécialistes "ELINT", ou "ELINT'ers." Certaines choses que j'ai faites en tant qu' ELINT'er ne sont pas plus du niveau un du secret, ou en-dessous. Par contre, d'autres missions sur lesquelles j'ai travaillé serait considérées dans le domaine "Top Secret Absolu". C'est dans ce domaine que je commence à marcher sur de la glace fine. Ceci est fortement un territoire sensible, sur lequel le risque de divulgation non autorisée se cache à chaque recoin.
Le défi que je me suis proposé avec ça a été de partager avec le lecteur des informations relatives au projet des gris sans menacer l'existence des projets "Above Top Secret" dont j'ai pu être familier. «Attention» est devenu mon prénom sur mes tâches régulières pour la Force Aérienne. Donc, vous remarquerez que quelques détails concernant mon emploi régulier dans la Force Aérienne sont présents au sein de l'histoire.
Même si je sais que j'ai amené des aspects PPD de mon rôle dans l'US Air Force à la lumière sans révéler d'autres renseignements protégés, je veux toujours qu'il soit connu par mon public que la diffusion de ce livre n'est pas, n'a pas et ne sera jamais une tentative de saper la sécurité de notre nation. Tout ce que je dis en ce qui concerne mes expériences sont pertinentes grâce à ma participation à PPD. PPD n'a rien à voir avec la sécurité nationale et tout à voir avec un gouvernement qui éprouve le besoin de nous protéger d'une région particulière de l'information recueillie aux aliens. (Peut-être que d'autres projets exotiques sont classifiés pour de bonnes raisons, je ne sais pas.)
J'ai aussi eu de la difficulté en liaison à la séquence des événements par rapport à là où j'étais en poste. Même si les lieux géographiques réels de l'endroit où j'ai été en poste ne sont pas classifiés, concernant les bases de certaines autres informations je ne peux écrire où c'est. D'où les références à "PPD base # 1" et "PPD base # 2" dans l'histoire. " (...)
(...) " Vous avez probablement deviné maintenant que cette réunion est un peu inhabituelle."
" En fait, ma curiosité a été piquée," je l'ai dit aussi calmement que possible, je ne veux pas lui faire savoir combien j'étais nerveux.
" Je peux imaginer. J'ai été dans la position de dire aux gens ceci à quelques reprises maintenant, et il n'y a jamais eu un moyen de révéler ça à la légère. Comme vous le savez, vous avez été envoyé ici pour passer bien sûr EA280, mais vous pourrez également l'être en passant par une autre école pendant que vous êtes ici. "
En un court instant, toutes mes angoisses ont disparu. Il voulait juste me prévenir au sujet d'une autre classification. Mais à peine avaient disparu mes angoisses qu'elles réapparurent, encore plus..
" Pour dire les choses crûment, sergent Sherman, pendant l'été de 1960, ta mère a été visitée par ce que le monde se réfère communément comme des aliens ".
" Monsieur ? " était la seule chose que je pouvais dire.
" Des tests aléatoires ont été menés sur la population en général au moment de déterminer la compatibilité ".
J'étais dans un état d'incrédulité quand j'ai demandé d'une voix faible, fissurée, "Compatibilité ?"
" Oui. En fait, c'est une longue histoire. Je vais essayer de l'expliquer autant que possible mais il y a beaucoup que je ne connais même pas. En un mot, vous avez reçu une intéressante capacité à travers ce que nous appelons la gestion génétique ".
Ma mère, la gestion génétique, la compatibilité, longue histoire. Mon esprit était titubant de toutes ces nouvelles informations. Je suis venu ici m'attendant à trouver le déploiement d'un exercice, ou peut-être que j'avais mal rempli mon ticket de Voyage, mais pas ça !
Comme si le capitaine pouvait sentir la puissance du choc que je vivais, il dit: " Je sais que tout cela va être difficile à avaler, mais je peux vous assurer que c'est vrai. "
Tout à coup, je me suis retrouvé avec un sentiment d'étonnement et de curiosité.
Le Capitaine White assis en face de moi, calme et détendu, en me disant que les extraterrestres existaient comme s'il voulait simplement partager avec moi le sujet d'un article obscure de nouvelles qu'il a lu dans le journal d'hier.
Si cela était vrai, alors toutes ces années de jeunesse me posant la question venait d'être validées, d'un seul coup. Il y avait de la vie ailleurs et nous n'étions pas été les seuls dans ce vaste univers. Étais-je en train de rêver ? Serait-ce vraiment en train de se produire ? J'avais entendu des rumeurs sur l'annonce d'expériences sur un vaisseau extraterrestre dans le Nevada, et les essais de nouvelles armes basées sur la technologie alien. Mais ce n'était pas plus qu'une rumeur. C'était la réalité - ma réalité.
Toutes ces choses se passent dans mon esprit pendant que le capitaine a poursuivi avec ses révélations remarquables. " J'ai dit que vous avez une capacité unique, nous appelons cela "communications intuitives." C'est la capacité de communiquer par l'intermédiaire de la manipulation de l'intuition de votre esprit. Il y a eu une poignée de personnes depuis que cette capacité a été perfectionnée qui ont utilisé cette compétence dans l'établissement militaire. Il y en a beaucoup d'autres dans toute la population en général du monde qui ont eu cette capacité, mais jusqu'à ce qu'elle soit mis en évidence par des méthodes d'exercices réguliers, elle est en sommeil. "
A cette époque, je m'étais plongé dans ce que le capitaine me disait, absorbant chaque détail. Je me suis retrouvé d'un moment à l'autre croyant et ne pas croire alors ce qu'il disait. Comment tout cela était gardé de la connaissance publique si bien ? Même dans les tabloïds, où les gens ont systématiquement accès à la naissance des aliens à trois têtes, vous n'avez jamais entendu parler une fois des "communicateurs intuitifs."
" Je m'avance un peu, je vais vous montrer quelques informations sur ce que je veux dire. " Il se leva pour tirer vers le bas un écran au plafond au-dessus du réfrigérateur. Comme je ai secoué la tête avec étonnement, le capitaine White me regarda avec un léger sourire sur son visage et a continué avec son histoire.
Et quelle histoire c'était.
Le Capitaine White a parlé d'abord lentement, comme pour pousser gentiment l'incroyable vérité dans ma direction. " En 1947, le gouvernement américain a pris contact avec une espèce alien. Aujourd'hui, nous les appelons communément comme des "Gris". Grâce à ce contact, nous avons appris beaucoup de choses. Certaines des choses que nous avons apprises étaient bonnes, et certaines pas si bonnes. C'est l'une de ces pas si bonnes choses qui, au final, vous a amené ici, sergent Sherman. "
Mon esprit nageait encore lorsque je lui ai demandé, " Alors qu'est-ce que je fais ici, Monsieur ? "
Le capitaine a continué avec l'histoire comme s'il ne m'avait pas entendu. " En 1960, une expérience a attiré une grande attention dans les cercles de niveau 1... "
" Excusez-moi Monsieur," j'ai interrompu. " Qu'est-ce que Niveau 1 ? "
« Je commençais juste là. Le Niveau 1 est une catégorie de classification qui nous permet de compartimenter toute l'information sur les gris. Vous allez en entendre plus à ce sujet lors de votre endoctrinement de sécurité plus tard ".
" Je vois. "
Le capitaine a continué. « L'expérience auquelle je me référait était, et est toujours nommée Project Preserve destiny. Elle a commencé en 1960 et est devenue pleinement opérationnelle en 1963. C'était un projet de gestion des ressources génétiques dans le seul but de cultiver des descendants humains afin qu'ils aient la capacité de communiquer avec les gris. Votre mère a d'abord été enlevée en 1960 pour les tests, puis à nouveau en 1963 pour la procédure génétique réelle alors que vous étiez dans le ventre ".
Dans les secondes après chaque nouvelle révélation, mon esprit est passé par l'incrédulité, puis par le scepticisme, puis la curiosité pure et simple. Comment cela pouvait-il se produire à moi ? Les aliens étaient les fantasmes confectionnés par des cinéastes d'Hollywood et des écrivains de livres de science-fiction. Ils n'ont pas leur place dans le bétonné domaine tangible de l'armée américaine. Pourtant, ici je me suis assis en face d'un capitaine de l'Armée de l'air américaine avec deux barres en argent sur chaque épaule, à l'écoute de ce que la plupart des gens reconnaissent comme une grande histoire d'aliens :
À un certain moment de notre conversation, je ne me souviens pas exactement quand, je suis devenu un croyant. Tout d'abord, par mon propre désir de croire, puis en fin de compte à cause de mon incapacité à éviter l'information présentée à moi.
" Vos capacités sont un produit du Project Preserve Destiny, sergent Sherman. "
J'étais sur le point de poser une question, lorsque le capitaine a dirigé mon attention vers l'écran, comme pour dire, « pas encore, là-bas il y a plus ! "
Je m'attendais à des images d'aliens et d'autres types de trucs de science-fiction.
Au lieu de cela, j'ai eu droit à une bonne dose de faits et des déclarations d'objectif
" En Janvier 1963, le premier embryon réussi a été réalisé sous la surveillance du PPD. Il n'y avait seulement qu'un certain nombre d' "Intcomm" capables pour le personnel requis, d'où le fait que la phase de gestion génétique du PPD a été résiliée en Mars 1968 ».
Je devinais avec justesse que «intcomm" était un nom raccourci pour communications intuitives. (Plus tard, j'ai appris que je serais appelé un «IC».)
" Parce que les capacités de l'intcomm ne peuvent pas être vraiment pleinement utilisées, biologiquement, avant que le sujet ait environ 25 ans ou plus, nous avons récemment commencé la phase de recrutement et la formation du PPD. Étant donné que le processus de sélection en 1960 était basé sur des données démographiques et statistiques soigneusement calculées, ils ont pu prédire avec précision qu'un certain pourcentage d'une progéniture choisirait le militaire comme carrière ".
J'avais un million de questions qui traversaient mon esprit maintenant, alors j'en ai juste attrapé une et l'ai craché. " Est-ce que ma mère m'a conçu ou j'ai été implanté ? "
Le Capitaine White a répondu d'un ton rassurant, "Tout le monde auquel j'ai eu à le dire a eu le même souci à un certain point dans la conversation. Soyez rassuré, vous êtes 100% humain. Votre conception était aussi normale que toute autre personne ".
Je me souviens distinctement avoir été grandement soulagé de savoir que je n'étais pas en partie alien. Rétrospectivement, cela semble un peu naïf, mais beaucoup de choses se passaient à la fois, et mon esprit a fait la course avec toutes sortes de scénarios possibles.
Je suis en train de devenir de plus en plus impatient aussi. Je voulais savoir les « pourquoi » de ce projet.
" Pourquoi tous ces gens ont été sélectionnés pour ce projet ? Quel est l'ultime but ? "
" C'est une Bonne question. Malheureusement, je n'ai pas de réponse pour vous. Pour la plupart nous en savons seulement assez pour faire nos travaux assignés. Les objectifs à long terme ne sont connus que par une poignée du personnel de niveau 1 dont je ne suis pas. Tout ce qui nous a été dit, c'est que vos capacités seront nécessaires dans l'avenir quand toutes les communications électromagnétiques seront rendus inutiles. "
" Comment cela se produira ? " Ai-je demandé.
" Encore une fois, il y a des choses que vous n'avez pas besoin de savoir à ce stade, et c'est l'une d'elles. Pour vous dire la vérité, je ne sais pas non plus. J'ai mes soupçons, que, j'en suis sûr vous aurez aussi avec le temps qui passe. " (...)
(...) " Retour à l'hôtel, alors que j'étais couché dans le lit, toutes ces questions ont commencé à apparaître. La principale étant ; s'il y avait une vie ailleurs alors d'où vient Dieu pour s'intégrer dans l'image ? Dieu était une entité fictive que nous, les humains, ont imaginé afin de donner un sens à nos vies ? Il devait y avoir un génie qui a mit de l'ordre dans le chaos. Les aliens étaient Dieu ? " (...)
(...) " C'est à ce moment que j'ai posé la question évidente que n'importe qui demanderait : " Pourquoi cacher le programme alien au public pour commencer ? "
" C'est une bonne question, sergent Sherman. Ma conjecture est que l'information étant cachée au public, si elle est libérée, cela créerait une instabilité sur les marchés mondiaux et l'équilibre mondial du pouvoir qui est déjà instable de toute façon ".
J'avais lu que c'était l'une des raisons pour lesquelles le gouvernement gardait les informations sur les aliens secrètes. Cela ressemblait trop à une réponse conservée pour moi. En effet, il l'a dit qu'il comme s'il avait mémorisé la réponse.
Le capitaine a continué. « Je suis sûr que ce n'est pas tant la connaissance spécifique que les extraterrestres existent qui est le problème, c'est plus l'information que nous avonsacquise de communiquer avec eux qui créerait des ravages si elle était libérée ".
Cela semble un peu plus crédible, me suis-je dit.
" Bien que, du simple fait qu'il y ait une vie intelligente autre que nous dans l'univers, les religions du monde seraient probablement mis en pression, ce qui pourrait avoir un effet domino dans les relations internationales. Pour en revenir au point, je ne suis pas sûr exactement de savoir pourquoi cette information n'a pas été libérée, mais je sais que ce n'est pas à notre place de le partager avec tout le monde. C'est la raison pour laquelle le PPD a été caché derrière d'autres projets classifiés. Je suis sûr que vous avez entendu parler des projets cachés, la presse aime à faire des rapports sur le budget caché ". (...)
(...) " Mais j'ai une question. " Comment vais-je savoir quand commencer les communications avec mon contact alien ? " demandai-je.
" Pour la petite histoire, sergent Sherman, ne jamais dire ce mot. Ils sont référencés comme des «gris». S'il vous plaît il faut s'habituer à n'en par parler du tout, mais si c'est inévitable, le mot est «gris». En réponse à votre question, toutefois, je n'en ai aucune idée. Vous êtes l'expert dans ce domaine, pas moi. Vous êtes le premier IC avec lequel je n'ai jamais travaillé ".
Cette révélation était un peu choquante. " Combien de temps avez-vous été dans le programme, Sir ? " Ai-je demandé, en espérant ne pas être trop présomptueux ou naïf.
« C'est sans importance, mais il suffit de dire que très peu de gens ont travaillé avec des effectifs IC réels. Je ne sais pas si vous savez que vous et les autres membres du personnel IC capables représentent l'aboutissement de 30 ans de "attendre et voir" pour certains ? Cela a été longtemps à venir et c'est très excitant pour les gens impliqués. Vous faites partie de la première vague de ce qui sera un petit mais stable flux de personnel capable et qualifié de IC. Pour la plupart d'entre nous, c'est un tout nouveau territoire que nous retraçons et si il semble que quelque chose ne soit pas aussi bien organisée que ce que vous attendriez, c'est parce que nous allons à l'aveuglette parfois. (...) "
(...) " Puis nous sommes entrés dans le C-Van, je venais d'éteindre la boîte d'alarme et ai commencé à alimenter mon équipement lorsque je reçu le message intuitif " prépare pour chaine d'information ".
J'étais tellement surpris que je poussai un peu de bruit inintelligible, puis enchaînait avec un signal sonore " Attendez ! " Mon partenaire de l'équipage m'a demandé ce qu'il devait attendre.
" Oh, désolé, je parlais juste à moi-même " je l'ai dit automatiquement, sans vouloir qu'il pense que j'étais fou.
Je n'étais pas tout à fait sûr de ce qu'il faut faire au sujet de la comm imminente depuis mon ordinateur qui n'était pas en service encore. Il a fallu un certain laps de temps à l'ordinateur pour démarrer et j'ai eu au moins 2 ou 3 minutes à attendre encore. Dans le même temps que j'ai eu un audible parlé "attendre", j'avais aussi renvoyé un comm disant "attendre". Je ne l'ai réalisé qu'après avoir rejoué mentalement la situation plus tard. Je n'avais jamais vocalisé aucune comm avant. Je ne l'ai jamais fait de nouveau non plus, mais la comm m'a pris par surprise parce que mes facultés sonores ont été affectées par mes capacités intuitives.
Je me sentais tellement sans ressorts. Même si l'acte de communiquer intuitivement était quelque chose que je pouvais faire, les conséquences psychologiques de vous rendre compte que vous êtes en communication avec une entité non-humaine prend un peu plus de temps pour s'y habituer que vous pourriez l'imaginer. "
(...) " Un comm commencerait par ce que j'ai appelé le «préambule». Le préambule a consisté en la même séquence de nombres qui se différencient très peu. je recevais toujours un nombre à trois chiffres en premier lieu, qui était le numéro qui identifie pour moi à qui l'information allait quand j'envoyais mon rapport. Ce nombre était 118. Il chronométrera les pauses entre chaque phrase ou expression.
La pause était toujours la même. Je n'ai jamais obtenu l'arrêt du chronomètre mais le rythme de celui-ci était constant, de sorte qu'il était évident que c'était le même tout le temps. La pause était probablement d'environ 3 secondes. (Sauf pour la pause entre la comm qui serait de me dire de "préparer pour la chaîne de l'information" et le moment où la chaîne d'information commencerait. Cette pause serait autant longue qu'il me faudrait pour me préparer à recevoir la comm.
Après que le numéro "118" soit adopté, une autre chaîne de nombres suivait habituellement. Cette chaîne était un nombre à 5 chiffres qui varie mais était répété souvent dans d'autres messages. J'ai appelé cela le code postal.
Après ces huit numéros cependant, il n'y avait ni rime ni raison comme la plupart du temps. Un échantillon de comm à ce point ressemblait à cela :
118/67555/995500400043/47477899055/9400 / / /
Les comms étaient tout simplement une série de chiffres séparés par un caractère "/".
C'est de cette manière qu'on m'a appris à séparer les sections de comm à l'école. Chaque fois qu'il y a eu une pause, je mettrais le caractère "/" entre les phrases. Parfois, je pouvais trouver des choses évidentes comme la latitude et la longitude, quand j'ai d'abord noté que des latitudes et longitudes étaient communiquées, je voulais les regarder sur une carte mais nous n'avions pas de cartes détaillées dans notre C-Van et j'étais terrifié par l'écriture de quoi que ce soit et de le prendre avec moi. J'ai vite perdu la motivation pour rechercher les emplacements. (...) "
(...) Après qu'un certain temps se soit écoulé depuis que la première comm, j'ai pris la liberté de nommer le contact gris, je communique avec "Spock". Mon meilleur ami avait toujours été un grand fan de Star Trek et cela semblait un nom qui sied. C'était aussi parce que je percevais beaucoup de structures logiques dans ses communications. " (...)
(...) Le capitaine s'assit dans le siège laissé vacant par mon partenaire. Il fouilla dans sa poche et en sortit une bouteille gris brillant.
" Sergent Sherman, vous souvenez-vous avoir pris des pilules pendant que vous étiez à l'école ? " demanda le capitaine pendant qu'il plaçait la bouteille sur le comptoir en face de moi.
" Oui, Monsieur. J'ai pris deux comprimés chaque jour, j'ai assisté à l'école. Je me demandais si j'aurai jamais à les reprendre ".
" Eh bien, c'est de ça qu'il s'agit. Nous avons besoin de vous pour commencer à les prendre à nouveau jusqu'à nouvel ordre. "
J'ai commencé à avoir un peu plus d'audaces dans mes questions, surtout que je n'ai eu aucune réponses à des questions pendant une longue période.
" Que sont-ils, capitaine ? " Ai-je demandé.
« Je n'en ai aucune idée, sergent Sherman. J'ai juste été chargé de vous faire commencer à prendre de nouveau les pilules ".
Poussant plus loin, j'ai continué, " Vous les avez prises ? "
"Je ne peux pas répondre à toutes les questions sur les pilules, sergent Sherman. Je sais que vous êtes naturellement curieux, mais honnêtement, je ne peux plus en parler. Prenez en deux à chaque quart de travail. Vous devez les garder dans votre tiroir en sécurité ici dans le C-Van. je sais que vous le savez bien, mais je dois le dire quand même : ne pas essayer de les prendre en dehors du site. Il est important que vous les preniez comme indiqué. Je sais que cela paraît avoir la main lourde, mais nous saurons si vous n'en avez pas pris un seul donc s'il vous plaît suivez les instructions à la lettre. "
Avec cela, il a quitté le van. " (...)
(...) " Le contraste entre ma première base PPD et celle-ci était énorme. à ma première, nous avons eu moins de 50 personnes qui travaillaient toutes pour soutenir un petit site apparemment au milieu de nulle part. Celui-ci était une place énorme avec des milliers de personnes qui travaillaient sous un même toit. Les différences globales étaient comme la nuit et le jour. Mais par rapport à la mission PPD, les choses étaient identiques ... au premier abord.
J'avais été là pendant près de trois mois avant de finalement recevoir une troisième partie de l'introduction de mon prochain commandant PPD. " (...)
(...) " La première comm que j'ai reçue à la base N°2 du PPD était de la même structure que toutes les autres que j'avais reçues à ce moment-là. Plus de nombres et apparemment des chaînes de chiffres et de lettres codifiées. Mais j'ai réalisé que je n'étais pas en comm' ING avec le même contact gris comme je l'étais avant. Il semblait que "Spock" avait été remplacé, je pouvais détecter la modification de la texture du message.
Communiquer intuitivement, c'est comme toucher et sentir une tapisserie exquise par rapport à nos moyens normaux de communication. C'est tellement plus dynamique que tous les sens que nous les humains utilisons généralement comme des attouchements, l'ouïe, voir, goûter et sentir. Tous ceux-ci sont détectés dans un monde unidimensionnel par rapport à la richesse de la communication intuitive. Au cours de la première comm dans ma nouvelle base, j'ai remarqué que la texture de la "tapisserie" avait changé. Avant, quand je communiquais avec "Spock", je n'avais rien à comparer à sa tapisserie parce que c'était mon premier et seul contact gris. J'étais venu à m'attendre que chaque comm était la même. Celle-ci était tout à fait différente, que je nommais "Bones". (...)
(...) " Alors que la comm prenait fin, au lieu de donner le signal de fin comme normalement, "Bones" a commencé à communiquer avec moi sur un autre plan une fois de plus. Cela m'a pris par surprise, comme je m'attendais le voirquitter après la comm.
" Quelles sont vos intentions en communiquant sur ce plan ? " a demandé "Bones", en étant tout à fait intéressé dans sa question.
" J'ai pu trouver ce plan tout en communicant avec mon précédent contact PPD, tout à fait par accident. Il était intéressant de constater qu'il y avait un autre niveau de communication, mais je n'ai pas pu explorer pleinement de communiquer sur ce plan avec le contact précédent de PPD parce que j'ai déménagé peu de temps après. Il y avait tellement que je voulais lui demander. Je pensais que je pourrais vous le demander, maintenant que vous êtes mon contact. Serait-ce d'accord ? " Demandai-je.
" Nous n'avons pas de préférences en matière de communication à ce niveau," répondit-il.
" Est-ce un oui ou un non ? Je ne suis pas clair sur votre réponse," je lui ai répondu, en me demandant ce qu'il voulait dire dans sa dernière déclaration.
" Vous n'êtes pas clair sur la réponse parce que vous vous attendiez à un autre," a-t-il dit, énigmatique.
Je n'étais pas sûr de ce qu'il voulait dire, mais je n'y faisait pas attention, j'allais aller de l'avant.
" Pourquoi je ne peux comm avec vous de façon informelle sur ce niveau, mais pas sur l'autre ? " je posais la même question intentionnellement, j'avais demandé la même à "Spock" afin de comparer les réponses.
" Il n'y a pas de spécifications sur la formalité de votre communication avec nous. Il est vrai que le plan inférieur est un plan utilisé uniquement à des fins de sujets de communication pré-existants, mais je n'ai jamais poursuivi de comms pré-existantes avec vous parce qu'il n'y a jamais eu une raison de le faire ".
C'était une excellente réponse, parce que c'était la façon dont "Spock" avait répondu à la même question.
Poursuivant la comparaison, j'ai demandé, "communiquer sur ce plan est autorisé ? "
" Il n'y a pas de mal à cette communication," dit-il, répondant de la même manière que "Spock" l'avait fait des mois plus tôt. " (...)
(...) J'ai appris que le Temps, comme nous le connaissons, n'a pas la même signification pour eux. Ils ont encore un âge comme nous le faisons, mais ils ne sont pas aussi liés par la physique du temps que nous le sommes actuellement. Bien sûr, ce serait une hypothèse évidente pour quiconque suit les sujets de la science-fiction. J'ai toujours été fasciné par le temps, donc c'était une question que j'ai posée à plusieurs reprises. Leurs moyens de voyage à travers de grandes distances sont fortement tributaires de la manipulationdu temps, mais pas comme nous le percevons. J'ai demandé si ils peuvent voyager dans le temps : par exemple - peuvent-ils revenir en arrière ou avancer dans le temps ? Il m'a dit que ce n'était pas possible d'assister à une réalité qui a eu lieu dans un autre temps, mais au présent.
Pour remonter dans le temps, on doit supposer qu'il existe un point de référence permettant de mesurer en arrière ou en avant. C'est une impossibilité. Essentiellement, ils n'étaient pas en mesure de voyager dans le temps, mais autour du temps et par le temps. Je n'ai jamais vraiment compris ce que "Bones" voulait dire par là.
Religion
Ayant été élevé dans la foi chrétienne, j'ai eu naturellement des questions sur le sens de la foi et l'institution de la religion en général. Une question dont je me rappelle tout à fait était clairement quand j'ai demandé s'ils avaient une âme. Comme généralement le cas, sa réponse a été tout à fait curieuse. Peut-être que quelqu'un à la lecture de ceci pourra mieux que moi comprendre. Il a dit que toute entité qui réalise sa propre existence possède l'intelligence et donc doit avoir une âme. Nous avons été créés à partir de la même unité (mon interprétation), et toute cette création est devenue intelligente et non intelligente. Ce sont les seules formes de vie dans l'univers. nous étions tous deux (eux et nous), avec beaucoup d'autres, une partie de l'aspect intellectuel de la création.
Quand j'ai demandé s'il y avait un Dieu, il a répondu que ce n'était pas à sa place de répondre à cette question. Mais il a dit quelque chose comme " la question que vous posez se répond
à elle-même ". C'était toute sorte d'obscurité pour y placer toute signification concrète. Basé sur ce qu'il disait à l'époque, toutefois, je me souviens arriver à la conclusion qu'il doit y avoir un «Dieu» que nous avons tous partagé.
Depuis combien de temps ils nous visitent ?
Il a dit qu'ils nous ont visités (encore une fois, il a utilisé le terme navire d'océan ou quelque chose d'équivalent) pour un moment très long. Je n'ai vraiment pas compris les termes qu'il utilisait pour décrire "moment", pour moi combien de temps ils avaient été ici, mais je me souviens avoir pensé, cela doit avoir été il y a longtemps. Il a dit qu'ils avaient visité nos cultures de temps en temps tout au long de notre histoire. Aucun des contacts directs qu'ils ont initié a bien tourné. C'est l'une des raisons pour lesquelles ils ne sont pas des visiteurs «communs» (mon interprétation d'un autre terme peu familier) aujourd'hui. Cependant, il a dit qu'il était beaucoup plus facile de visiter notre peuple dans le passé qu'il ne l'est aujourd'hui.
Ils se sont révélés à de nombreuses reprises dans le passé et même contribué à certaines sociétés et leurs technologies. Ils ont appris beaucoup sur l'engagement d'autres personnes. Mais puisque notre technologie a évolué, le risque de se révéler à l'échelle mondiale, en ce moment, n'est pas un effort digne d'intérêt.
Mes propres lectures m'ont amené à croire qu'ils ont probablement impacté les Sociétés inca, maya et égyptienne. Je pense que ce serait des hypothèses évidentes, si vous saviez que les extraterrestres existent et ont visité les cultures du passé. Il est également tout à fait possible que le continent perdu de l'Atlantide soit un souvenir d'une civilisation qui a été créée par les aliens. Je n'ai jamais posé cette question, mais maintenant je voudrais savoir.
Métissage
Je suis tombé sur une partie de l'information au cours d'une comm mais je ne peux pas tout à fait me rappeler à quel sujet était la ligne de conversation. Je me souviens avoir pensé qu'ils s'étaient croisés avec des êtres humains une seule fois. C'était peut-être une autre espèce d'aliens... Je ne me souviens pas. Mais je pense qu'il est tout à fait possible qu'il y ait des gens qui vivent aujourd'hui qui sont les descendants de croisements "inter-terrestres". Mes soupçons sont, si cela est vrai, que le peuple basque sur les montagnes entre l'Espagne et la France sont les candidats les plus probables pour la recherche de leur progéniture. J'ai lu que la langue basque n'a pas de racines identifiables et qu'ils sont aussi génétiquement différents de tous les autres humains sur la planète. Pour autant que je puisse dire, pour la communauté scientifique, ils sont une anomalie humaine. Cela pourrait expliquer pourquoi.
Autre vie intelligente
Selon "Bones", il y a un grand nombre d'autres «intelligences» dans l'Univers. J'ai eu le sentiment quand j'ai demandé, qu'il pensait que c'était une question stupide.
Sexes
J'avais demandé à un moment s'ils avaient deux sexes comme nous. La réponse a été Oui. Il semble qu'ils procréent aussi, mais pas de la même manière. Je n'ai pu aller plus loin dans mes questions, et il n'était pas volontaire pour plus d'informations.
Mode de Voyage
Quand il a répondu à cette question, je n'ai pas pu comprendre la moitié de ce qu'il me disait et ne pouvais pas traduire si je le tentais. Le peu que j'ai compris de la conversation était qu'ils utilisent en quelque sorte le temps et l'énergie électromagnétique en tant que source de propulsion. (Il y avait des moments où je regrettais de ne pas avoir écouté de plus près la physique 101.)
La durée de vie
Leur durée de vie est semblable à la nôtre, mais je n'étais pas en mesure de comprendre la mesure du temps qu'il utilisait. J'ai toujours eu du mal à comprendre touts les aspects du temps quand cela a été discuté en référence à un calendrier. "Bones" m'a fait comprendre que leur durée de vie était semblable à la nôtre, peut-être encore plus courte.
énergie
Lorsqu'on leur a demandé au sujet de l'énergie et sur quelle forme ils l'utilisaient, il n'a pas fait mention de leur source d'énergie, mais parlait de nos sources d'énergie. Il m'a dit que notre soleil était très unique et qu'un jour nous serions en mesure de comprendre comment il fonctionnait vraiment et comment nous pourrions utiliser les mêmes méthodes qu'ils utilisent, mais sur une plus petite échelle. Il a dit que nos scientifiques ont tout juste commencé à comprendre comment le soleil pourra être utilisé en tant que source d'énergie pour les besoins futurs.
Projet Préserver le Destin
Lorsqu'il a été interrogé à ce sujet, "Bones" était presque toujours parti. Il y a deux reprises où il ne l'a pas fait. Une fois il a répondu à la question de savoir combien de nombreux pays ont été impliqués avec ça. Sa réponse a été moins exacte, mais c'était une réponse. Il a dit, «plus d'un».
L'autre question concernait l'événement futur sur lequel on m'avait dit que l'ensemble du projet était concerné. Il a dit seulement que " la Terre est à son enfance géologiqueet que nous devrions nous attendre à beaucoup de changements ". Après ça il a éteint. Qu'est-ce que il disait par là ? Était-ce juste une ruse, et le projet était pour quelque chose d'autre ? Je ne le saurai sans doute jamais.
Technologie d'annulation du bruit
J'ai demandé à "Bones" sur la suppression du bruit et l'importance de la chose. Ce fut l'un des sujets sur lequel je n'ai jamais reçu une réponse dessus. Je pensais qu'il était bizarre que soit il ne répondais pas soit il coupait chaque fois que j'ai demandé sur ce sujet. Bien entendu, en réagissant de cette façon, je suis devenu encore plus intrigué que si il m'avait donné une réponse simple et censée. A ce jour, je me demande toujours ce que l'annulation du bruit a à voir avec PPD. J'ai fait beaucoup de lecture sur le sujet au cours des dernières années (depuis l'incident du van blanc) et ai mis au jour des informations intéressantes, mais rien de nécessairement lié à la PPD.
Si c'est pris à l'extrême, l'annulation de bruit a de nombreuses applications militaires. Une théorie de physicien a peut-être même été corrélée avec la propulsion en quelque sorte. L'Annulation du bruit fonctionne sur le principe de la théorie de la phase négative. Si vous analysez la fréquence du bruit que vous voulez éliminer, déterminer ses angles de phase discrets à un débit de données très élevé, vous pouvez générer une fréquence identique calculée pour être de 180 degrés hors de phase avec la fréquence originale. Si vous mélangez les deux fréquences en même temps dans un processus appelé "hétérodyne" vous obtenez 180 - 180 = 0. Bien sûr, je n'ai résumé cette explication que par souci de simplicité. C'est ma théorie que le gouvernement travaille sur ce type de technologie et des éons avant que l'annulation du bruit dans le monde civil soit connu en termes de progrès. Encore une fois, si elle est poussé à l'extrême, cette technologie peut aller au-delà des utilisations originales de simplement annuler un bruit non désiré.
La lumière est également composée de l'énergie électromagnétique et présente une fréquence. Que faire si une personne pouvait contrôler l'annulation de la lumière à volonté ? Pensez aux conséquences si un pays avait plein usage de cette capacité. Je ne suis pas un physicien, mais je peux vous dire que les utilisations de cette technologie sont innombrables. "
Extraits traduits par Yves Herbo
Interview filmée de Dan Sherman et traduction française dans le lien ci-dessous :
Gigès, le mystérieux inventeur de la monnaie métallique
Pièce de Lydie en Electrum
Les plus anciennes pièces de monnaie métallique, marquant peu à peu le changements définitif (pour le monde entier sauf aux Amériques, où les peuples ont continué leur économie spécifique jusqu'à l'arrivée des envahisseurs et culture dévastatrice) de l'économie de l'Humanité, passant de la dernière économie créée (le troc) aux échanges par monnaie de substitution, toujours pratiqués de nos jours, ont été découvertes en Turquie, dans l'ancien Royaume de Lydie (ou Méonie pour Homère). Les Lydiens (aussi connus comme les Lud par les Egyptiens et Assyriens) était un peuple indo-européen descendant de Lydos, fils d'Attis d'après Homère. Quand on sait qu'Attis est en fait un Dieu très connu, d'origine Phrygienne (qui dominaient les Lydiens au début) et que l'on retrouve sous le nom d'Adonischez les Grecs et Romain ou Tammuzchez les Hindoux, on devine que les origines mêmes de ce peuple sont aménagées. Et ce n'est pas mieux pour leur Roi Gigès, qui a régné (d'après la science officielle mais avec une fourchette temporelle) de entre 708 et 687 avant Jésus-Christ, sa mort étant entre 680 et 648 avant Jésus-Christ...
Crésides d'argent, attribuée à Crésus-5ième siècle av JC
Il était appelé Gugu par les Assyriens, et serait à l'origine des traditions bibliques sur Gog, prince de Magog (c'est-à-dire en assyrien mā(t) Gugu : « pays de Gygès »). En fait, on ne sait pas vraiment comment il est arrivé au pouvoir car les sources sont rares (donc à fiabilité resteinte) et divergent complètement... :
Selon Hérodote (né vers 484 avant notre ère et mort vers 420 - donc 250 ans après environ), Gygès était à l'origine le fils d'un des gardes et le confident du tyran Candaule, (ou Sadyate, ou encore Myrsile), roi très légendaire descendant d'Héraclès (Hercule), qui était un roi vantard qui ne cessait de vanter la beauté de sa femme. Ne supportant pas que Gygès puisse douter des charmes de son épouse, Candaule lui donne l'ordre de tout faire pour la voir nue et constater sa vérité. Après avoir refusé car pensant que c'est indigne, Gygès finit par céder et se cache dans la chambre royale au bon moment pour admirer le déshabillage de la Reine. Mais celle-ci le découvre sans le laisser paraître. Elle a compris que le roi ne peut être que l'auteur de cette indignité et décide de se venger de cet outrage. Elle convoque Gigès le lendemain et lui fait le chantage suivant : soit il assassine Candaule, devient son époux et le nouveau Roi, soit il est exécuté... Gigès n'a pas trop le choix, poignarde le Roi et s'empare du trône de Sardes, capitale de la Lydie...Mais selon Platon (né en 424/423 av. J.-C., mort en 348/347 av. J.-C. - donc 300 ans après environ), Gygès n'était qu'un simple berger lydien à l'origine, qui faisait paître son troupeau lorsqu'un violent orage fit s'affaisser une colline. Il s'y aventura et découvrit un énorme cheval de bronze dans les flancs duquel étaient pratiquées des portes (Cheval qui rappelle un peu le célèbre Cheval de Troie de part sa description !). Après avoir ouvert ces portes, Gygès aperçut à l'intérieur du cheval le squelette d'un géant portant au doigt un anneau d'or. Il se saisi de cet anneau, se le passa au doigt, et, sans dire un mot de son aventure, il alla rejoindre les autres bergers du voisinage. Par hasard, il remarqua que, à chaque fois qu'il tournait sa bague vers l'intérieur, il devenait invisible de tous, tout en gardant la faculté de voir et d'entendre ce qu'il se passait autour de lui. Dès qu'il retournait la bague en sens inverse, il redevenait visible. Après avoir essayé les pouvoirs de son anneau par plusieurs expériences, il se rendit au palais et séduisit la reine. Il complota avec elle la mort du roi, le tua et s'empara du trône...
Le mystère des tunnels de la cité engloutie de Baïes
Baïes (Baia de nos jours) est le nom d'une ancienne cité romaine, située en Italie, plus précisément au nord du golfe de Naples, dans une anse sur la rive est du cap Misène, entre la pointe de la Lanterne au sud et la pointe de l'Épitaphe au nord. Elle est proche de la base navale romaine de Misène, et fait face à Pouzzoles, de l'autre côté de la baie donc.
Plutôt qu'une ville, Baïes était un regroupement de villae de villégiature étagées sur la pente intérieure d'un ancien cratère (l'endroit est une caldeira volcanique, suite à une éruption explosive vers - 35000), en partie submergé par la mer, Baïes devait son succès à la douceur de son climat et surtout à la présence de sources thermales engendrées par le volcanisme actif des Champs Phlégréens. Ces sources chaudes, sulfureuses ou salines, sont vantées comme les plus curatives et les plus abondantes d'Italie par Pline l'Ancien, Strabon, Florus, Fronton et aussi Flavius Josèphe.
Série Docu-Drama " Les Envoutés de l'Espace " - MAJ FIN - Update : 4 scènes coupées
Ce téléfilm de 1992 est basé sur des faits réels tirés du livre du spécialiste Budd Hopkins et vient en soutien à cet autre documentaire basé sur celui du scientifique John Mack.
Titre original : Intruders. Autres titres Canada : Les Visiteurs de l'au-delà. Tous Publics. Réalisateur Dan CURTIS. Scénariste(s) Barry ORINGER, Tracy TORMÉ. Auteurs originaux : D'Après le Livre ' Intruders ' de Budd Hopkins. Producteur(s) Michael APTED, Dan CURTIS, Branko LUSTIG, Eric SCHIFF, Tracy TORME.
Acteurs : Richard CRENNA, Mare WINNINGHAM, Susan BLAKELY, Daphne ASHBROOK, Alan AUTRY, Ben VEREEN, Steven BERKOFF, Lorry GOLDMAN, Rosalind CHAO, Robert MANDAN, Warren FROST
Sciences-Faits-Histoires (SFH) publiera les 19 parties à raison de 5 à la fois (4+présentation aujourd'hui) tous les 2-3 jours.
" Ce passage est extrait du reportage de Jimmy Guieu : « OVNI-USA : de nouvelles révélations », où Guieu présente le téléfilm que vous pouvez voir ici en 19 parties. Les commentaires sont du détenteur des vidéos "Videodocu".
Il a tout d’abord été diffusé en décembre 1993 sur Canal +, sous le titre « Les envoûtés de l’espace » (et le samedi 1er janvier 1994 à 14 h 00, dans son intégralité), puis plusieurs fois sur M6 à partir d’août 1995, sous le titre « les visiteurs de l’au-delà », sous la forme de téléfilms en deux parties.
John Mack et Budd Hopkins ont tous deux été conseillers techniques sur le film, ce qui lui donne une indéniable qualité de « docu-drama ».
Le générique du début signale que le film est basé sur le livre d’Hopkins « Intruders » (l’affaire Kathie Davis/Déborah Tomey), et le message final stipule bien, par ailleurs, que le film se base sur des faits réels.
Le tout est servi par un casting composé de stars du petit ou du grand écran (Richard Crénna et Steven Berkoff de la saga « Rambo », Mare Winningham de la série « Les oiseaux se cachent pour mourir ») et des effets spéciaux très bons pour l’époque, utilisés à bon escient et sans excès.
Personnellement, je trouve que les Extraterrestres montrés dans ce film sont beaucoup plus convaincant et saisissant que nombre d’ET actuels en images de synthèse.
Enfin, n’oubliez pas, en le regardant, que ce téléfilm date de 1992, c’est-à-dire bien avant la création d’ « X-Files » ou l’affaire de la créature de Roswell.
A noter que deux ouvrages français ont traité plus en détail de ce téléfilm :
« Alien Télévision » de Richard D. Nolane (Editions CGR, P. 227 à 232) et « Aux frontières du réel. Vol. 2 : l’appel des étoiles » de Francis Valéry (editions DLM, P. 121 à 124).
Trailer :
Partie 1 :
Téléfilm réalisé par Dan Curtis en 1992, et basé sur des faits réels : les « abductions » ou enlèvements extraterrestres.
Conseillers techniques : Budd Hopkins & John E. Mack
- Eléments ufologiques montrés dans cette scène : La détection des OVNI par les radars militaires ; la conspiration du silence et la politique de black-out sur le dossier OVNI. - Commentaires divers : Ce téléfilm semble clairement avoir influencé Chris Carter, pour « X-Files », à tout le moins l’épisode « L’ange déchu » (« Fallen Angel ») de la saison 1.
Cet épisode d’X-Files traite des enlèvement E.T., réutilise le même code que celui dont se sert le général Hanley dans le film (« Confirmation d’un ange ») pour désigner l’atterrissage d’un OVNI, et surtout vous y retrouverez presque tel quel la scène d’intro d’ « Intruders », lorsque la technicienne radar s’oppose à son supérieur hiérarchique…
Partie 2 :
- Eléments ufologiques montrés dans cette scène : Les symptômes classiques de l’ « abduction » : les souvenirs-écrans, les réminiscences partielles mais intrusives de l’expérience aux hasard de la vie quotidienne (particulièrement le souvenir marquant de grands yeux noirs), phobie liée à certains animaux, et surtout apparition inexplicable de cicatrices ou autres traces d’opérations sur le corps des victimes.
Partie 3 :
- Eléments ufologiques montrés dans cette scène : Les symptômes classiques de l’ « abduction » : les souvenirs-écrans, le « Missing Times » ou amnésie temporaire de plusieurs heures, séquelles psychologiques se répercutant dans la vie quotidienne, et les saignements de nez consécutifs à la pose d’un implant nasal.
Partie 4 :
- Eléments ufologiques montrés dans cette scène : Les symptômes classiques de l’ « abduction » : les réminiscences partielles mais intrusives de l’expérience aux hasard de la vie quotidienne, phobie liée à certaines images. La mise sous surveillance illicite des « abductés » et de leur environnement.
Partie 5 :
- Eléments ufologiques montrés dans cette scène : La régression hypnotique comme technique thérapeutique et d’investigation des cas d’ « abductions ». L’ « abduction » et ses caractéristiques : les souvenirs-écrans dissimulant l’enlèvement et l’apparence réelle des EBE, la description des « Petit-gris » et les expériences médicales auxquelles ils se livrent sur les victimes. L’hypothèse sceptique d’abus sexuels humains refoulés, puis resurgissant sous forme d’enlèvement extraterrestre à l’âge adulte.
Partie 6 :
- Eléments ufologiques montrés dans cette scène : Les symptômes classiques de l’ « abduction » : séquelles psychologiques se répercutant sur la vie de famille, crise de panique et phobie liées à certaines images (la vue de lumière dans le ciel, celle d’un hélicoptère, mais rappelant inconsciemment celle d’un OVNI).
Partie 7 :
- Eléments ufologiques montrés dans cette scène : La mise sous surveillance illicite des ufologues et autres enquêteurs s’intéressant de trop près aux « abductions ». Les symptômes classiques de l’ « abduction » : les saignements de nez consécutifs à la pose d’un implant nasal, et les séquelles physiques de l’abduction (inexplicable trace d’opération chirurgicale), angoisse et phobie liées au milieu médical ou à la vue d’instruments médicaux. - Commentaires divers : Vous remarquerez que l’ufologue se présente comme un « ovniologue », francisation amusante du terme. Il ajoute aussi, dans sa discussion avec le Dr Chase à propos des « abductions », « avant que les enlèvements ne devienne à la mode », ce qui démontre qu’aux USA, en 1992, on parlait depuis déjà un bon moment de ces faits !
Partie 8 :
- Eléments ufologiques montrés dans cette scène : Les symptômes classiques de l’ « abduction » : grossesse inexplicable, crise de panique et phobie liées à certains animaux, souvenir-écran d’animaux aux comportement bizarre dissimulant les EBE responsables de l’enlèvement.
Partie 9 :
- Eléments ufologiques montrés dans cette scène : La régression hypnotique comme technique thérapeutique et d’investigation des cas d’ « abductions ». L’hypothèse sceptique d’abus sexuels humains refoulés, puis resurgissant sous forme d’enlèvement extraterrestre à l’âge adulte. C’est vraiment une scène-clé du film, car elle montre la reconstitution de façon très réaliste de l’ « abduction » en tant que telle, comme la vivent généralement les victimes.
Partie 10 :
- Eléments ufologiques montrés dans cette scène : Les caractéristiques de l’ « abduction » : début des premiers enlèvements dès l’enfance, neutralisation du conjoint ou de toutes autres personnes présentes mais non-directement visées par les enlèvements au moment des faits, impuissance des victimes à faire face et à réagir pour contrer les exactions EBE, et enfin, saignements de nez généralement consécutifs à la pose d’un implant nasal.
Partie 11 :
- Eléments ufologiques montrés dans cette scène : La régression hypnotique comme technique thérapeutique et d’investigation des cas d’ « abductions ». Les caractéristiques de l’ « abduction » : le commencement des premiers enlèvements dès l’enfance, et le suivi génétique de famille entière, d’une génération à l’autre, par les EBE. Il est bien stipulé que l’enlèvement est rarement unique, mais se répète tout au long d’une vie, ce qui correspond aux caractéristiques réels du phénomène. Enfin, cette scène montre une cicatrice typique des séquelles physiques d’un enlèvement : la « scoop-mark », généralement à la jambe. Notez que le passage du début, en quelques lignes de dialogue, prend également en compte les implications des enlèvements par rapport à la religion biblique. C’est aussi la première fois dans ce film que des « métis » humains-extraterrestres sont mis en scène.
Partie 12 :
- Eléments ufologiques montrés dans cette scène : Traces physiques au sol, avec effet sur l’environnement, d’atterrissage d’ OVNI. Récupération par les ufologues et analyse des implants métalliques, bien réels, posés dans le corps des « abductés » par les EBE durant les enlèvements. Ces implants, d’une technologie avancée, peuvent entrer en symbiose avec le corps humains, et sont quelquefois pourvus d’un système d’autodestruction pour ne pas laisser de preuves. Ceux qui sont intéressés par cet aspect des « abductions » pourront lire avec profit le livre « OVNI et implants » du Dr. Roger K. Leir (traduit et paru en français, aux éditions du Mercure Dauphinois).
Partie 13 :
- Eléments ufologiques montrés dans cette scène : L’affaire du crash de Roswell, couvert par le black-out militaire, et les crashes d’OVNI en général. Vous remarquerez que le lieu de l’action se situe près de la base d’Holloman, une base du Nouveau-Mexique, ufologiquement réputée pour avoir reçu la visite « officielle » d’extraterrestres en avril 1964 (selon Richard Doty), ce qui démontre que les scénaristes ont vraiment bien travaillé leur sujet... A moindre titre, cette scène montre aussi les diverses anomalies électromagnétiques qui se produisent fréquemment lors d’observations d’OVNI (dérèglement des appareils électriques). - Commentaires divers : Aux USA, Ben Vereen, qui joue ici le rôle de Jim, est un célèbre acteur de théâtre, de télévision et de cinéma. Il a été plusieurs fois nominé aux Golden Globes et aux Emmy Awards. Son rôle le plus marquant est celui qu'il a interprêté pour la série "Racines". Avez-vous aussi remarquez ce petit détail ? Vers 4’18/4’19 de cette scène, à la limite de l’image subliminale, on peut voir une sorte de « tête de mort » formé par le jeu d’ombres et de lumières sur un pan de mur, à l’intérieur de la soucoupe, lorsque Jim entre dans l’OVNI écrasé.
Partie 14 :
- Eléments ufologiques montrés dans cette scène : Les expériences d’engeenerie génétique auxquelles se livrent les EBE grâce aux enlèvements, dans le but de créer des hybrides humains-extraterrestres : insémination artificielle de femmes humaines lors d’un premier enlèvement, lesquelles servent de mères porteuses jusqu’au moment d’un second enlèvement, où les EBE prélèvent le fœtus. Il va sans dire que c’est souvent une expérience très traumatisante pour les femmes qui subissent ces exactions, comme le restitue très bien cette scène. On y voit également un de ces hybrides adultes, au visage étrange, mi-humain, mi-alien. Dans la réalité, ce type d’humanoïde est effectivement signalé aux côtés des « short greys » durant les abductions. Une courte séquence laisse aussi apercevoir un homme normal enlevé à bord du vaisseau ET, montrant qu’il y a aussi des « abductions » masculines, même si le film se concentre les « abductions » féminines.
Partie 15 :
- Eléments ufologiques montrés dans cette scène :
Les différentes questions et hypothèses des ufologues vis-à-vis des abductions, de l’origine des E.T. et du but final des expériences d’hybridation.
Les groupes de soutien organisés aux USA pour les « abductés », les premiers ayant été créés à l’initiative de Budd Hopkins.
Chaque enlevé peut venir y faire part de son expérience, et partager son vécu avec d’autres.
Cette scène permet à cette occasion de montrer plusieurs autres infos sur le phénomène des « abductions », en se plaçant surtout du point de vue des enlevés et non plus de l’enquêteur (le Dr. Chase).
Premièrement, l’isolement terrible ressenti par les victimes d’enlèvements extraterrestres, qui ne peuvent guère parler de leur calvaire dans la vie courante.
Deuxièmement, les « abductions » peuvent toucher n’importe qui, n’importe quand, sans discrimination, que l’on soit WASP ou latino (dans le film), homme ou femme, de n’importe quelle catégorie socioprofessionnelle. Dans une certaine mesure, le film s’attachait déjà à ce fait via ces deux protagonistes féminins : Mary la « campagnarde » est enlevée comme Lesley la « citadine ».
Enfin, le tour de table des différents « abductés » montrent la diversité des réactions ressentis par ceux-ci vis-à-vis de leurs ravisseurs EBE, que l’on retrouve aussi dans la réalité.
- Commentaires divers :
Une phrase formidable de la part du personnage de Steven Berkoff, qui pourrait devenir une des devises de l’ufologie : « Les personnes qui avancent de nouvelles idées sont traitées de malades ou de fous. Et puis un jour, le monde les rattrape, et les appelle des visionnaires !… »
Partie 16 :
- Eléments ufologiques montrés dans cette scène :
L’intolérance et le déni de la communauté intellectuelle et scientifique vis-à-vis du problème des enlèvements extraterrestres, et des chercheurs qui les étudient ou essayent d’en parler ouvertement.
Parmi l’auditoire qui crie au scandale, un personnage représente notamment les psychosociologues hostiles à la réalité objective des « abductions ».
L’hypothèse socio-psychologique y est plutôt bien résumée : « Avant les gens voyaient apparaître la Vierge ; maintenant, sous l’influence de la S-F, ils voient des petits hommes verts ! » Les pressions mises en œuvre au niveau professionnel et social pour faire taire les chercheurs s’étant penchés sur les « abductions » ou les OVNI, notamment par l’usage de menaces pour leur carrière.
Là encore, les scénaristes n’ont rien inventé du tout : des universitaires comme Léo Sprinckle, John Mack ou des médecins comme le Dr. Leir, ont réellement eu à subir ce genre de pressions chacun dans leur milieu professionnel respectif.
Partie 17 :
- Eléments ufologiques montrés dans cette scène :
Le MJ12et les groupes « ultra-top secret » destinés à gérer le dossier OVNI. Les implications politiques de la reconnaissance officielle des OVNI, des « abductions », et la mise en place du black-out gouvernemental destiné à cacher la vérité au grand public.
Partie 18 :
- Eléments ufologiques montrés dans cette scène :
Traces physiques au sol, avec effet sur l’environnement, d’atterrissage d’ OVNI.
La trace au sol sur laquelle la neige ne tient pas est effectivement un phénomène s’étant produit durant l’affaire « Kathie Davis » étudiée par Hopkins dans son livre « Intruders ».
Les expériences d’engeenerie génétique auxquelles se livrent les EBE grâce aux enlèvements, dans le but de créer des hybrides humains-extraterrestres :
dans de nombreux comptes-rendus d’ « abductions », les enlevés décrivent des parois (voire des pièces) entières remplies d’incubateurs pour les embryons hybrides, tel que Mary en voit à bord du vaisseau.
Il n’est pas rare que des jeunes femmes « abductées » et ayant servi de mère-porteuse pour un fœtus hybride à un moment de leur vie, soit également enlevées par la suite pour voir et toucher leurs « enfants »
Pour plus de détails, je vous recommande de regarder en entier le reportage de Jimmy Guieu : « OVNI – USA : de nouvelles révélations », et/ou de lire « Les kidnappeurs d’un autre monde » de David Jacobs.
Partie 19 :
- Eléments ufologiques montrés dans cette scène :
Il y a deux grandes thèses ufologiques à propos du but poursuivi par les extraterrestres au travers des enlèvements et de leurs expériences d’hybridation : la thèse « optimiste » (Mack, Sprinckle) et la thèse « pessimiste » (Jacobs, Hopkins).
Comme vous pouvez le voir, la scène finale de ce téléfilm conclut en se rattachant à la vision « optimiste » des enlèvements, façon John E. Mack.
Ouf ! Le « Happy End » à l’américaine est sauf ! C’est le seul petit reproche que je ferais à ce téléfilm.
Il se pourrait bien, en effet, que la réalité soit beaucoup moins angélique quant au but des EBE et de leurs expériences d’hybridations !…
Si vous vous donnez la peine de regarder le générique en entier, vous pourrez voir que Budd Hopkins et John Mack ont bel et bien été crédités comme conseillers techniques, et que le sempiternel message : « Ceci est une fiction, toute ressemblance avec des faits ou des personnages réels ne seraient qu’une pure coïncidence » a laissé place à un message final précisant que ce téléfilm est basé sur des faits réels.
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Jimmy Guieu Vs Pierre Lagrange (1997) – Les abductions
Le lundi 27 janvier 1997, le magazine d’Arte « 7 ½ », présenté par Dominique Bromberger, a consacré sa troisième partie aux enlèvements extraterrestres, ou « abductions ».
Sur ce thème, un reportage confronte deux hommes diamétralement opposés : l’ufologue Jimmy Guieu, chercheur indépendant, qui dénonce le complot planétaire de nos institutions pour cacher la réalité de ces enlèvements extraterrestres, et le débunker Pierre Lagrange, sociologue, qui cherche à le discréditer en ne voyant là que de vulgaires ragots issu de l’extrême-droite.
A titre d’exemple concret, on peut voir Jimmy Guieu mener une enquête sur le cas d’enlèvement d’une femme, Edmonde, abductée en 1972, dans le Doubs, alors qu’elle était en voiture avec trois collègues de travail.
Au cours d’une régression hypnotique pratiquée par l’hypnotiseur Daniel Huguet, Edmonde se souvient de sa rencontre avec une entité nommée Axor (il me semble qu’elle a quelque rapport avec Haurrio, de l’affaire Cergy-Pontoise…) et de l’examen médical qui s’en est suivi.
Le livre de Jimmy Guieu dont il est question à partir de 02:15, « Terre : ta civilisation fout le camp », resté longtemps inédit, est maintenant disponible gratuitement sur Internet.
A noter enfin que le magazine « L’œil du cyclone », de Canal +, reprendra quelques extraits de l’intervention de Jimmy Guieu pour illustrer son numéro sur « Le grand complot », à peu près un an plus tard, en avril 1998.
« Intruders » - Scène coupée 1
Après avoir revu récemment le film « Intruders » en DVD (présenté ici en 19 parties), il m’a semblé de mémoire qu’il manquait certaines lignes de dialogues.
J’ai donc repris l’enregistrement VHS que j’avais fait sur Canal + du film en janvier 1994, et j’ai ainsi repéré pas moins de trois « scènes coupées » qui, pour une raison qui m’échappe complètement à ce jour, n’ont pas été retenues pour le montage final de la version DVD.
Ce qui est fort dommage, car cela ampute non seulement le film d’un total de 8 minutes, mais nous prive aussi de trois scènes qui éclairent le scénario en nous montrant quelques éléments ufologiques supplémentaires.
Cette première scène coupée se situe dans le courant de la scène 3.
Raccompagnant Lesley après leur premier rendez-vous thérapeutique, le Dr. Chase découvre une trace étrange dans le jardin de celle-ci.
Ce qui explique pourquoi une équipe de faux « géologues » vient faire des prélèvements de terrain à cet endroit dans la scène suivante (scène 4), et fait un lien avec la trace au sol qui sera découverte plus tard par les protagonistes de l’histoire, dans la scène 12.
- Eléments ufologiques montrés dans cette scène :
Traces physiques au sol, avec effet sur l’environnement, d’atterrissage d’ OVNI.
Plus spécifiquement, cela fait référence à la trace mystérieuse découverte près de la maison de Kathie Davis, dans l’ouvrage « Intruders » de Budd Hopkins (illustration en face de la P. 138 et Chap. 2). A moindre titre, la ligne de dialogue concernant « la lune » qui aurait atterri fait penser à une déclaration d’un des membres du couple Hill à propos de son abduction : « La lune semble avoir atterri dans la clairière ».
« Intruders » - Scène coupée 2
Cette seconde scène coupée se situe exactement entre les scènes 13 et 14.
Le fait qu’elle se situe juste entre le moment où le Dr. Chase a reçu les confidences de Jim sur un crash d’OVNI façon Roswell, et celui où il est convoqué dans le bureau de son supérieur hiérarchique donne un sens supplémentaire à l’histoire : on peut supposer que l’on envoie des MIB « prévenir » le Dr. Chase à partir du moment où il commence à en savoir trop et à rassembler véritablement des éléments positifs (confidences de Jim, découverte et photos de l’implant), et que parallèlement aux pressions exercés sur celui-ci, des consignes ont également été officieusement données à son supérieur hiérarchique pour augmenter la pression.
- Eléments ufologiques montrés dans cette scène :
Les « Hommes-en-noir » ou MIB (men-in-black), se faisant souvent passer pour des membres d’une institution officielle (ici : la NASA), qui viennent conseiller « amicalement » aux chercheurs s’étant penchés sur les « abductions » ou les OVNI d’abandonner leur recherche, et qui essayent de les décourager pour les inciter à se taire.
« Intruders » - Scène coupée 3
Cette troisième scène coupée se situe exactement entre les scènes 16 et 17.
En montrant que le « MIB » vu dans la scène coupée 2 est à la fois au courant de l’emploi du temps du Dr. Chase et le représentant du Général Hanley, cette scène fait le lien entre les différentes scènes précédentes montrant témoins et chercheurs sous surveillance illicite (scènes 4 et 7), les manœuvres de black-out militaire (scènes 1 et 13) et la rencontre avec le Général Hanley, dans la scène suivante, évoquant les groupes « ultra top-secret » chargés de gérer le dossier OVNI.
- Eléments ufologiques montrés dans cette scène :
La visite d’ « Homme-en-noir » ou MIB (men-in-black) au domicile des chercheurs ou des témoins.
Le « messager » du Général Hanley en a d’ailleurs fortement l’apparence vestimentaire : imper noir et chapeau mou noir.
« Intruders » - Scène coupée 4
Après avoir revu récemment le film « Intruders » en DVD (présenté ici en 19 parties), il m’a semblé de mémoire qu’il manquait certaines lignes de dialogues. J’ai donc repris l’enregistrement VHS que j’avais faites sur Canal + du film en janvier 1994.
A la suite de cela, j’avais déjà repéré trois « scènes coupées » qui, pour une raison qui m’échappe complètement à ce jour, n’ont pas été retenues pour le montage final de la version DVD. Avec cette scène coupée 4 d’une durée d’environ 3 minutes 30, cela porte actuellement à plus de 10 minutes le total de l’amputation effectuée sur la version originale.
Cette quatrième scène coupée se situe dans le courant de la scène 12, juste après la découverte de la trace au sol.
- Eléments ufologiques montrés dans cette scène :
Traces physiques au sol, avec effet sur l’environnement, d’atterrissage d’ OVNI.
En Août 1608, les habitants du Sud la France et du nord-ouest de l'Italie, de Marseille à Gênes, assistent à une véritable vague d’OVNIs, relatée dans une chronique d’époque intitulée “Discours des terribles et espouvantables signes apparus sur la mer de Gennes”.
Ce livret datant de 1608 est rédigé par un certain Pierre Ménier “portier de la porte saint-victor” à Paris. Il n'y est pas question de "soucoupe volante" ou "d'engins mystérieux" car les engins volants n'existaient pas du tout à l'époque et le terme n'avait pas encore été inventé. N'oublions pas que, par exemple, les indiens d'amérique appelaient "Cheval de fer" les premières locomotives à vapeur utilisées par les colons européens en amérique... ne jamais oublier que tout témoignage est lié non seulement aux perceptions des témoins, mais aussi à leurs connaissances et époques...
Ce document est une banale brochure comme on en a découvert beaucoup datées de ces périodes du XVIIe siècle, le récit fait tout de même 7 pages, et est écrit en provençal (dialecte français de dérivation néo-latine).
Couverture et 1ère page. Ceci est probablement une réédition de 1875 par l'imprimeur Louis Perrin à Paris dont l'ornement en couverture est connu à cette époque
Voici ci-dessous la traduction en français moderne de tout le texte :
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