Cranes allongés et Paracas : de nouvelles analyses ADN
A Paracas skull with its red hair. Credit: Brien Foerster
En 2014, des premières analyses ADN de plusieurs cranes de la tribu des Paracas, une tribu antique ayant précédé les Nasca dans la même région du Pérou, il y a plus de 2800 ans, avaient déclanché une forte controverse. Ces premières analyses avaient pourtant bien été faites et annoncées par un généticien, mais comme on l'a constaté à de nombreuses reprises, les scientifiques n'ont aucun problème quand ils annoncent des découvertes conformes aux dogmes (voir dictats !) établis dont il ne faut guère s'éloigner sous peine de... chasse aux sorcières digne du moyen-âge...
Mais quand le doute est semé et que l'Histoire prouve qu'aucune science ne peut être figée ni définitive, le Temps se charge souvent de remettre "une couche" et de répéter, amplifier les doutes et éléments de preuves (bien qu'une preuve scientifique ne soit pas non plus, on l'a vu plusieurs fois, une donnée définitive, mais bien souvent une preuve provisoire et locale !).
J'ai écris ou traduit déjà plusieurs articles sur le sujet de ces cranes allongés (artificiellement ou non), et même sur des analyses du génome humain disant des choses très surprenantes, et ce nouvel article est en droite ligne des précédents, complétant un peu plus donc cette compilation de données apparues dans nos temps modernes, surtout celui-ci en ce qui concerne les premières analyses ADN de cranes allongés de Paracas :
Vous trouverez tout en bas de cet articles des liens vers les autres données, qu'il est important de connaître pour ceux qui s'intéressent à ce sujet bien sûr très controversé (mais ce sont les sujets les plus intéressants aussi souvent !).
C'est donc en 2014 qu'un généticien qui avait effectué des tests ADN préliminaires avait indiqué avoir trouvé de l'ADN mitochondrial " possèdant des mutations inconnues dans tout être humain, primate ou même animal connu à ce jour ". Maintenant, cette année 2016, une deuxième série de tests d'ADN a été effectuée et les résultats sont tout aussi dérangeants- les crânes testés, qui remontent au moins à 2000 ans (les Paracas sont censés être apparus vers -1000/-800 Avant JC et avoir disparu vers +200 après JC), auraient des origines d'Europe et du Moyen-Orient. Ces résultats surprenants changeraient l'histoire connue sur la façon dont les Amériques ont été peuplées il y a des milliers d'années (ou tout au moins certains endroits...).
A Paracas elongated skull and an artist’s impression based on a digital reconstruction. Credit: Marcia Moore / Ciamar Studio
Paracas est une péninsule désertique située dans la province de Pisco, sur la côte sud du Pérou. C'est ici que l'archéologue péruvien Julio Tello, a fait une découverte étonnante en 1928 - un massif et complexe cimetière contenant des tombes remplies des restes de personnes ayant les plus grands crânes allongés connus du monde entier. Ceux-ci sont venus à être connus comme les « Crânes de Paracas ». Au total, Tello a trouvé plus de 300 de ces crânes allongés, dont certains remontent à environ 3000 ans.
Il est bien connu que la plupart des cas d'allongement du crâne sont le résultat de la déformation crânienne volontaire, technique d'aplatissement de la tête, dont le crâne est délibérément déformé en appliquant une force contraignante sur une longue période de temps. Elle est habituellement réalisée en liant la tête entre deux morceaux de bois, mais une autre méthode utilisant des cordes et du tissu fortement comprimé a existé aussi dans certains endroits du monde (car cette méthode est mondiale (!) et très ancienne : du néolithique au minimum... et encore très récemment historiquement !). C'est aussi une méthode très dangereuse pour l'enfant, avec des pertes (décès) estimées entre 30 et 50 % (la grosse question est le pourquoi de cette pratique millénaire) !
Credit: Brien Foerster
Cependant, alors que la déformation crânienne modifie la forme du crâne, elle n'altère pas son volume, son poids ou autres éléments qui sont caractéristiques d'un crâne humain normal. Ce qui ne semble pas être le cas des crânes de Paracas (et d'autres apparemment trouvés en Corée par exemple) !
Dans une récente interview (voir source), l'auteur et chercheur L.A. Marzullidécrit comment certains des crânes Paracas sont différents des crânes humains ordinaires : " Il y a une possibilité que cela aurait pu être fait par les crânes sur les bords des berceaux, mais la raison pour laquelle je ne le pense pas provient de la position du foramen magnum qui est trop détourné vers l'arrière du crâne. Un foramen magnum normal serait plus proche de la ligne de la mâchoire... "
LA Marzulli points to the position of the foramen magnum in a Paracas skull which is also the point at which they drilled in order to extract bone powder for DNA testing.
Marzulli a expliqué qu'un archéologue a écrit un article sur son étude de la position du foramen magnum dans plus de 1000 crânes. " Il affirme que sur les crânes des Paracas, la position du foramen magnum est complètement différente de celui d'un être humain normal, il est également plus petit, ce qui se prête à notre théorie selon laquelle ce n'est pas des déformations par des bords de berceaux, cela est génétique ".
The pronounced cheek bones can be seen in artist Marcia Moore’s interpretation of how the Paracas people looked based on a digital reconstruction from the skulls. Marcia Moore / Ciamar Studio
En outre, Marzulli décrit comment certains des crânes des Paracas ont un arc zygomatique très prononcé (pommettes), des orbites différentes et aucune suture sagittale, qui est un joint de tissu conjonctif entre les deux os pariétaux du crâne. " Dans un crâne humain normal, il devrait y avoir une suture qui va de la plaque frontale... nette sur le dôme du crâne séparant les plaques pariétales - les deux plaques séparées - et la connexion avec la plaque occipitale à l'arrière ", a déclaré Marzulli. " Nous voyons beaucoup de crânes de Paracas qui sont complètement dépourvus d'une suture sagittale. Il y a une maladie connue sous le nom de craniosténose, qui se traduit par la fusion des deux plaques pariétales ensembles, cependant, Marzulli dit qu'il n'y a aucune preuve de cette maladie dans les crânes de Paracas (et c'est une maladie très rare en plus).
The sagittal suture, highlighted in red, separates the two parietal plates (public domain)
LA Marzulli shows the top of one of the Paracas skulls, which has no sagittal suture.
Les nouveaux tests ADN
Le regretté Juan Navarro, propriétaire et directeur du Museo Arqueologico Paracas, qui abrite une collection de 35 des crânes de Paracas, avait permis le prélèvement d'échantillons de trois des crânes allongés, dont un nourrisson, pour des tests d'ADN. Un autre échantillon a été obtenu à partir d'un crâne péruvien qui avait été aux États-Unis depuis 75 ans. L'un des crânes était daté de près de 2.000 ans, tandis qu'un autre était âgé de 800 ans.
Les échantillons comprenaient des cheveux et des os en poudre, qui ont été extraits par le forage en profondeur dans le trou occipital (foramen magnum). Ce processus, a expliqué Marzulli, est afin de réduire le risque de contamination. En outre, des vêtements de protection complets ont été portés lors des prélèvements. Les échantillons ont ensuite été envoyés à trois laboratoires distincts pour les analyses - un au Canada et deux aux États-Unis. Les généticiens ont seulement dit que les échantillons provenaient d'une ancienne momie, afin de ne pas créer d'idées préconçues.
Des résultats surprenants
À partir des échantillons, seul l'ADN mitochondrial (l'ADN à partir du côté de la mère) peut être extrait. Sur quatre échantillons de cheveux, l'un d'entre eux n'a pu être séquencé. Les trois échantillons de cheveux restants ont tous montrés un haplotype (groupe de population génétique) de H2A, qui se trouve le plus souvent en Europe orientale (de l'Est), et à une fréquence faible en Europe occidentale (de l'Ouest). La poudre d'os du crâne le plus allongé a été testée comme venant du T2B, qui est originaire de Mésopotamie et ce qui est maintenant la Syrie, essentiellement du cœur du " croissant fertile ". " Cela réécrit l'histoire telle que nous la connaissons ", a déclaré Marzulli.
" Si ces résultats sont valables ", écrit Brien Foerster sur son site "Hidden Inca Tours", " l'histoire de la migration des populations vers les Amériques est beaucoup plus complexe que ce que nous avons dit précédemment ".
Si ces résultats sont confirmés par d'autres analyses, cela signifie que les peuples d'Europe et du Moyen-Orient ont migré vers les Amériques longtemps avant qu'on ne le croit classiquement.
Marzulli dit que les universitaires traditionnels vont probablement attaquer ces résultats en soulignant le fait qu'il ne soit pas un scientifique (reconnu), mais il exhorte tout sceptique à reproduire l'étude. " Attaquez les preuves. Allez en bas et obtenez vos propres échantillons, payez pour un laboratoire d'ADN, puis revenez à moi avec votre science ... faites un peu de science comme nous l'avons fait ", a-t-il dit. Les rapports complets des tests ADN des laboratoires sont disponibles dans le livre de L.A. Marzulli "Nephilim Hybrides".
Les résultats sont également compatibles avec le fait que bon nombre des crânes des Paracas contiennent encore des traces de cheveux roux, une couleur qui n'est pas nativement trouvée en Amérique du Sud, mais est originaire du Moyen-Orient et d'Europe.
" Aucun des universitaires, autant que nous pouvons dire, ne peut expliquer pourquoi certains des crânes qui ont encore des cheveux, sont roux ou même blonds ", écrit Brien Foerster, "l'idée que ce soit du au temps ou au blanchiment a été réfutée par deux experts du cheveux. Pour l'ancien peuple des Paracas, au moins, ils avaient des cheveux blonds rougeâtres qui est 30% plus mince que les cheveux des américains NATIFS. C'est GENETIQUE !"
A Paracas skull with its red hair. Credit: Brien Foerster
En raison de la forme et des caractéristiques inhabituelles des crânes des Paracas, il a longtemps été spéculé qu'ils sont d'origine extra-terrestre, et beaucoup ont espéré que les tests d'ADN prouverait que ce soit le cas.
" En ce qui concerne un composant ou une ascendance " alien " des crânes, nous ne saurons jamais ", écrit Brien Foerster. " Les programmes de tests d'ADN ne peuvent comparer un échantillon d'ADN qu'avec ceux qui sont connus, et ceux qui se trouvent dans une énorme base de données appelée Gentech aux États-Unis. En outre d'autres tests, avec la coopération des archéologues péruviens et le ministère de la Culture sont maintenant en cours. "
Que cette hypothèse soit ou non correcte, les résultats des tests d'ADN sont un changement dramatique de l'Histoire et d'autres tests peuvent aider à démêler l'histoire complexe du peuple des Paracas (qui sont donc apparus subitement environ vers - 1000 ans ou - 800 ans avant JC sur les côtes péruviennes, là où se trouve maintenant le désert le plus sec de la planète et à proximité des Nascas (et des célèbres figures étranges visibles que du ciel) avec lesquels ils vont plus tard se mêler jusqu'à disparaître complètement vers 200 après JC...).
Prochaines étapes
L.A. Marzulli et ses collègues ont des plans pour des tests supplémentaires et travaillent actuellement avec des archéologues péruviens et américains. Ils ont l'autorisation verbale du leader archéologue d'un musée péruvien pour prendre plus d'échantillons. Ceux-ci seront ensuite présentés au Ministère de la Culture pour consentement final avant que les échantillons prennent la direction des laboratoires US pour les tests. Ce processus devrait prendre au moins deux ou trois ans.
L. A. Marzulli & Richard Shaw team up again for perhaps the most startling episode in the ongoing Watchers series! www.lamarzulli.net
Source (vo) : http://www.ancient-origins.net/news-history-archaeology/breaking-new-dna-testing-2000-year-old-elongated-paracas-skulls-changes-020914?nopaging=1 by April Holloway
Un premier hommage a fait l'objet d'un article ici : http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/ovni-ufo/ovnis-et-personnalites-guy-mouny.htmlGuy-Claude Mouny était un écrivain français qui s'est mit à l'écriture assez tardivement, vers ses 59 ans. Membre de l'ORSEM en tant que Colonel, il a affirmé lui-même avoir eu des rapports très suivis avec les services secrets lors de sa carrière professionnelle, et que c'est certains papiers et rapports, ainsi que son goût des mystères non élucidés (il a été aussi en rapport avec l'Ufologie), qui l'avaient incité à devenir écrivain. Dans la préface du livre « Le Secret de François 1er » de son ami Didier Coilhac, il avouait avoir eu pour ami le Comte de Marenches, ancien Directeur Général du SDEC, (le Service de Documentation Espionnage et Contre Espionnage). Il déclara laconiquement à la radio « Ici et Maintenant » : « J'ai roulé avec le SDEC… ». Egalement auditeur de l'IHEDN, l'Institut des Hautes Etudes de Défense Nationale : il en avait fondé la section marnaise. On retrouve des membres de l'IHEDN comme auteurs du fameux rapport Cometa qui statuait sur les Ovnis. De hautes personnalités bien informées concluaient que les ovnis étaient des engins volants à la provenance inconnue. L'hypothèse extraterrestre était discrètement présentée comme la plus plausible. Comme on pouvait s'y attendre, ce texte fut sévèrement jugé par certains officiels qui n'y participaient pas.Ses enquêtes l'ont finalement convaincues qu'il touchait du doigt une certaine vérité, ce qui l'a poussé à écrire sans relâche et chaque année sur des sujets très proches. Né à Reims en 1930, il est mort dans la nuit du 14 juillet 2007. Il était également Commandeur de l'Ordre National du Mérite.
Je vous invite à découvrir mon dernier livre, "M.I.B. sur la Côte d'Azur. De Roswell à Nice". Il est disponible gratuitement en PDF sur Google Livres et Apple Store.
Vous y découvrirez les M.I.B., les vrais, habillés comme vous et moi, qui se sont répandus depuis Roswell jusqu' en France et les soubassements de ce type d'incorporation extraterrestre sur Terre qui a touché les rouages de l'État français. J'y apporte des preuves concrètes de cette filiation inattendue. Vos pourrez y lire aussi une description que j'ai voulu d'ordre spirituel sur ce phénomène qui, d'évidence, touche nos sociétés de plus en plus.
Marianne Marti
Yves Herbo :Marianne Marti est inscrite sur ce site et elle vient de choisir d'utiliser (ce que possède tous les lecteurs inscrits) l'option "publier un billet" présente pour tous en haut à droite de l'écran. Ce site étant modéré, non seulement pour des raisons d'esthétiques (polices de caractères, présentation, etc...) mais aussi d'éthiques et de thèmes (images/photos, pas de pub pour un site non en rapport avec les thèmes du site, pas d'attaques personnelles ou orientées, pas de fakes-news, des références et liens consultables, etc...), les articles sont lus et mis en page avant toute publication... Je n'ai pas encore lu les livres de Marianne mais en voilà l'occasion...
Marianne Marti a également publié deux autres livres, vous trouverez les liens concernant ces trois livres ci-dessous (cliquez sur la roue crantée à droite) :
Voici un résumé de l'hypothèse décrite par un spécialiste nommé Dr. Ellis Silver dans son livre « Les humains ne viennent pas de la Terre: une évaluation scientifique de la preuve», qui se base en partie sur des écrits sumériens, notamment la célèbre tablette de Kish, datée de 3500 avant JC (et l'un des plus anciens documents de l'Humanité) et d'autres recherches de spécialistes de la Mésopotamie, mais surtout sur le fait que les êtres humains affichent des problèmes inhabituels qui ne figurent pas parmi les membres du règne animal, ce qui laisse suggérer que le corps humain n’a pas évolué pour faire face aux conditions de la planète Terre comme les autres animaux.
C'est à Al-Uhaymir de l'Irak moderne, où se trouvait l'ancienne cité sumérienne de Kish qu'a été trouvé cette tablette millénaire en proto cunéiforme, et pour l'instant, les spécialiste disent que cet ancien document précède l'écriture cunéiforme des Sumériens et les hiéroglyphes égyptiens d'au moins cent ans. La liste des souverains sumériens (dont je parle ici : https://www.sciences-faits-histoires.com/blog/archeologie/la-liste-des-rois-sumeriens-deconcerte.html ) déclare indirectement que Kish fut la première ville à avoir des rois après le déluge, alors que le tout premier roi de la fondation de la ville se nomme Jushur. Le successeur de Jushur s'appelle Kullassina-bel, mais il s'agit en fait d'une phrase en akkadien signifiant «Tous étaient seigneurs». Ainsi, certains chercheurs ont suggéré que cela pourrait avoir été destiné à signifier l'absence d'une autorité centrale comme un seul roi à Kish pendant un certain temps, entre Jushur et Etana, le premier roi après le "déluge-inondation".
Et oui, le père du tout premier roi des Israélites, Saül, se nomme dans ce livre... Qish ! Et quand on sait que le site de Kish ("père" de Saül ?) porte aussi le nom d'un dieu sumérien, Kish, qui apparaît dans une légende sumérienne dont on a retrouvé des extraits sur des tablettes, il semble bien que la conjonction entre l'ancien testament (ou plutôt la Thora des juifs) et les écrits sumériens est flagrante... Et on peut même insister entre les correspondances entre écrits religieux (avec aussi les textes védiques de l'Inde) avec le texte de la-dite légende de Etana :
C'est assez étonnant mais de grands scientifiques comme de simples chercheurs curieux se sont pareillement posés au cours du temps la même question : Un lien existerait-il entre les dimensions de la Grande Pyramide de Kheops et différentes prophéties connues de longues dates ?
C'est pour cette unique raison qu'en 1864, le professeur et astronome de la Cour écossais Piazzi Smyth passa quatre mois à Gizeh, en Egypte, à calculer les dimensions mathématiques de la pyramide afin de pouvoir les comparer par la suite à une liste de datations prophétiques... Il publia d'ailleurs ses travaux dans " Our inheritance in the great pyramid ", qui devenait aussi la base de la pyramidologie, jusqu'en 1928...
La plus surprenante observation du professeur Smyth à l'époque fut le rapport précis (1/2 n) existant entre la hauteur de la pyramide et la circonférence dans laquelle s'inscrit sa base. Il en conclut que la fameuse « coudée sacrée », mesure utilisée par les bâtisseurs du gigantesque édifice, était de la même longueur (0,525 m) que celle utilisée par Moïse pour bâtir le tabernacle. Cette hypothèse révèlait au monde du 19ème siècle très influencé par la Franc-Maçonnerie la richesse des significations ésotériques de la pyramide, et plus particulièrement ses dimensions. Dans son ouvrage, le réputé professeur démontrait, entre autres, que la grande pyramide était un repère géodésique, une horloge astronomique et une sorte de bibliothèque des connaissances de l'époque antique. Connaissances très avancées qui ne peuvent être déchiffrées qu'à l'aide de l'introduction de deux unités de mesure arbitraires, le pouce pyramidal valant 1,001 pouce anglais et la coudée sacrée (différente de la coudée royale égyptienne) valant 25,025 pouces anglais, toutes deux créées par l'astronome à cette occasion... Mais le tout basé sur des mesures assez approximatives, qui seront affinées dans le temps jusqu'à nos jours par divers auteurs et chercheurs...
Le Livre de Daniel est un texte de l'ancien testament très contesté mais c'est probablement le texte prophétique le plus important de cette partie de la bible, ce n'est donc pas très étonnant. Sa datation fait partie des controverses car il a été considéré comme le plus ancien Livre canonique, puisqu'il a été considéré comme écrit vers 580 Avant J.-C. très longtemps, alors que les spécialistes sont parvenus à un consensus aujourd'hui pour supposer qu'il a été écrit pendant le IIè siècle Avant notre ère, ce qui expliquerait la plus grande partie des prédictions, puisqu'il s'agissait déjà d'Histoire à cette période. Néanmoins, certains paragraphes parlent bien du futur, et même de la fin des temps...
En tout cas, et c'est tout aussi intéressant pour l'Histoire car certains faits ont pu être vérifiés par d'autres écrits et l'archéologie, les faits historiques qui sont relatés dans une partie du Livre de Daniel se produisirent entre 607 et 534 avant J.-C., ce qui fait supposer que l'auteur (Daniel ?) a eu accès probablement à au moins un ouvrage disparu d'un auteur historien inconnu qui parlait de l'histoire de cette période, ou qu'il en a fait lui-même une compilation pour ses textes (qui ont possiblement disparu en grande partie)...
Daniel 3:24,25 : Alors le roi Nebucadnetsar (Nabuchodonosor II) fut effrayé, et se leva précipitamment. Il prit la parole, et dit à ses conseillers: « N’avons-nous pas jeté au milieu du feu trois hommes liés ? » - Ils répondirent au roi: « Certainement, ô roi ! » - Il reprit et dit: « Eh bien, je vois quatre hommes sans liens, qui marchent au milieu du feu, et qui n’ont point de mal; et la figure du quatrième ressemble à celle d’un Fils des dieux.»
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