Nous avions déjà, depuis quelques années maintenant (découverte en 1987), la connaissance d'une structure étrange engloutie au large des îles Ryukyu, à Yonaguni, la toute dernière île japonaise au sud, avant Taïwan. Une structure explorée à de maintes reprises par l'université de Ryukyu et le professeur Kimura principalement. Plusieurs "érudits" ont tenté de minimiser la découverte et de l'assimiler à quelque chose de naturel (mais il est vrai que le grès a tendance à se fracturer en lignes très droites et à s'éroder facilement) mais la persévérance et le nombre croissant de convaincus à fini par payer et il a enfin été trouvé des traces humaines au fond de l'eau, avec des inscriptions gravées, et même un parterre ou un chemin avec un dessin donc les premières images ont été révélées depuis...
Mais il y a en plus maintenant d'autres découvertes, et non plus au niveau des îles les plus au sud de l'archipel japonais, mais au large des côtes de la grande île principale nippone de Honshu elle-même. Et l'enquête des japonais met en lumière un mystère lié à 11 tablettes dispersées dans plusieurs musées de l'île d'Okinawa... mais qui se rapportent toutes au même endroit, qui y est d'ailleurs dessiné : une ou plusieurs structures en forme très claire de pyramide ou de ziggourat ! Et des écritures qui se rapprochent aussi étrangement de caractères écrits par les anciens peuples de l'Hindus et de Sumer... tout ceci nous amène donc à nous questionner sur les affirmations du professeur Kimura, qui affirme que la civilisation de Mu et cette légende d'un continent englouti dans le Pacifique dont a parlé le chercheur Churchward il y a bien longtemps était bien réelle... mais qu'elle était située tout autour d'Okinawa et jusqu'à Honshu, avant son engloutissement lié au volcanisme local et à la fin de l'ère glaciaire...
Cette histoire de tablettes recouvertes de caractères et de dessins, et même de tatouages encore portés par les vieilles femmes de la région, qui continuent une antique tradition sans trop plus connaître sa signification a déjà fait l'objet d'un reportage dont vous avez un extrait ci-dessous, mais de nouvelles découvertes et images ont été diffusées au Japon, j'espère en avoir une traduction suite à une demande auprès d'un chercheur local. En attendant, voici les documentaires en japonais, quelques photos et les premières interprétations en attendant mieux...
Et avec pour commencer un rappel sur la structure de Yonaguni et quelques documentaires vidéos :
Cette roche gravée a été trouvée à Yonaguni. Les colorations logicielles font apparaître d'autres signes encore.
C'est donc principalement autour de l'île Honshu pour commencer, que ces découvertes ont eu lieu. Je commence par la région de Wakayama (ancienne province de Kii), où la découvertes de ruines sous-marines pourraient correspondre selon certains spécialistes à la légende de l'île-démon de Momotaro. Il s'agit d'une légende persistante parlant d'une île-fantôme en forme de dragon, qui apparaîtrait parfois au large de la grande île et qui attirerait les marins, les faisant disparaître... En fait, une grande structure semblable à celle de Yonaguni y serait présente, à environ 200 mètres de la côte. On parle d'une grande salle rectangulaire et d'un long couloir y menant, ainsi que des gravures, inscriptions, sculptures...
L'endroit marqué ici dans le viseur en forme de croix est juste en face de Wakayama, la capitale de la région portant le même nom. C'est ici qu'une grande structure a été repérée par les membres d'une équipe de plongeurs professionnels locaux.
Voici l'une des photos présentée par l'équipe en question.
Il y a entre autres une assez grande structure en forme de pyramide lisse. La roche est érodée mais semble nettement avoir été traitée par la main humaine. La pyramide ne semble pas très haute mais sa base invisible est dans la vase et enserrée par des terrasses de blocs de pierre.
Les angles de la pyramide sont parfaitement rectilignes.
Cela ressemble beaucoup a une sorte d'ancien revêtement lisse artificiel dont certaines parties ont disparu à cause de la durée passée dans l'eau.
Plus bas sur le fond, il y a des restes de terrasses et d'énormes blocs lisses et taillés, avec de nombreux angles droits.
Ici, de grands blocs forment des murs qui descendent en V pour former une sorte de couloir menant à une grande salle parfaitement rectangulaire. Le couloir a 1 mètre de largeur et deux mètres de hauteur d'après le schéma explicatif.
Voilà un schéma global des structures avec les dimensions prises par les plongeurs. Tout est bien trop régulier pour être naturel.
Sur certains gros blocs, il y a des restes de gravures ou sculptures érodées : peut-être ce qui ressemble à un œil ici et là ?
Ici nous sommes toujours sur l'île de Honshu mais du côté de la province d'Aomori.
Plusieurs structures très étranges et probablement artificielles ont été repérées récemment par des plongeurs. On note que cet endroit, entre deux îles du Japon, était à l'air libre il y a environ-13.000 à -12.000 ans. On sait que la région était déjà habitée puisque des haches et des pierres polies datées de -40.000 à - 30.000 ans ont été trouvées dans la région de Miyagi et que des artefacts Jomon datés de -16.000 ans aussi. On sait que les Jomon sont bien installés et très répandus dans tout le japon vers -12.000 ans, date à laquelle les glaces et les terres qui reliaient les îles entre elles mais aussi au continent asiatiques fondent et sont englouties par la fonte de la fin de la glaciation.
Voici le reportage d'où sont tirées ces photos :
Ici, nous sommes à Okinawa, région au nord-ouest de l'île, en regardant vers le continent donc. Un endroit à 200 mètres de la côte et qui était probablement encore à l'air libre il y a environ 12.000 ans.
Voici une reconstitution de ce que les plongeurs ont vu et filmé : une pyramide à degrés ou un ziggourat...
Les images ne sont pas d'une très bonne qualité mais on voit bien des alignements de rocs réguliers formant des degrés sur ce monticule...
Cette pyramide découverte ressemble parfaitement à ce dessin visible sur cette roche gravée, appelée "la Pierre de rosette d'Okinawa". Car il semble qu'il y ait deux sortes d'écritures sur cette très vieille pierre antique, dont l'une s'apparente au sanscrit ancien hindoux apparemment, et l'autre à une proto-écriture ancienne de Mésopotamie !
En fait, nous suivons l'enquête des chercheurs dans plusieurs musées d'Okinawa, et ils découvrent qu'il existe au moins 11 tablettes différentes, éparpillées dans toute l'île... qui proviennent probablement d'un même lieu car certaines tablettes se complètent, ont les mêmes signes et montrent la même chose... la première question est : qui a donc fait en sorte de disperser ce message antique, qui a probablement été trouvé dans un seul endroit à l'origine ? Et pourquoi ?
Un gros plan de l'une des principales pierres gravées
On peut comparer aisément cette écriture visible sur ces tablettes (à gauche) et une tablette d'origine... sumérienne (à droite et dessous) ! Une origine commune ? On sait que les Sumériens sont apparus subitement en Mésopotamie, possèdant déjà des connaissances élevées... étaient-ils des survivants de l'engloutissement de la région autour d'Okinawa, du Mu de Churchward, vers 13.000 à 12.000 avant JC ?
Une autre pierre montrant la même structure.
Celle-ci montre indéniablement un bateau à voile antique possédant un gouvernail. La ligne de signes en-dessous serait une explication d'un mécanisme selon le professeur Kimura qui en parle...
Voici les endroits où se trouvent les 11 tablettes citées dans ce reportage que vous trouvez ci-dessous :
Un autre mystère existe du côté d'Okinawa, c'est la persistance des apparitions d'OVNI : il ne s'est jamais passé une seule année à priori sans que des Objets Volants Non Identifiés n'aient été signalés dans le ciel de cette île... et n'oublions pas que les japonais ont une très grande habitude de voir des lanternes asiatiques,et que lorsqu'ils signalent quelque chose d'anormal dans le ciel, c'est pris au sérieux en général par les autorités... En voici un exemple récent, en 2014 :
Japan's mysterious pyramids (en anglais)
Il y aura probablement des mises à jour de cet article avec des corrections possibles de mauvaises traductions éventuelles. N'hésitez pas à signaler toute erreur ou omission selon votre connaissance du sujet...
Tout le monde a plus ou moins entendu parler de Nibiru, ou d'Hercolubus, Nemesis, Perséphone, ou encore de la ou les planètes X... ces dernières étant d'ailleurs un terme générique inventé vers la fin du 19ème siècle par les astronomes pour indiquer d'éventuelles planètes de notre système solaire encore à découvrir à l'époque. Il est bon de rappeler de temps en temps que la première planète à être appelée "planète X" a été Neptune, mais aussi Pluton, avant leurs découvertes officielles... car ces planètes avaient bien été "découvertes" par les calculs et grâce à leur influence gravifique, bien avant leur observation visuelle grâce aux télescopes...
Dans les mythologies, surtout celles des babyloniens et des sumériens d'ailleurs, il est question d'une planète Nibiru (ou Hercolobus, voir les deux ou les trois si on parle aussi de Nemesis) qui posséderait une très lente orbite autour du Soleil puisqu'elle ne s'en approcherait que tous les 3.600 ans (ou 26.000 ans environ suivant les versions...), provoquant dans tout le système solaire des bouleversement catastrophiques. Cette orbite particulière expliquerait d'ailleurs les cycles d'extinction de la vie sur Terre, mais aussi les glaciations/réchauffements et même la ceinture d'astéroïdes entre Mars et Jupiter - une ancienne collision avec une planète située auparavant sur cette orbite... on peut ainsi dire qu'il y a autant de versions possibles que d'auteurs ou même traducteurs d'écritures anciennes ou textes anciens... Une chose est pourtant certaine, c'est que cette ou ces planètes sont bien citées dans plusieurs textes très anciens, et à priori par plusieurs auteurs et à des époques différentes - ces textes réunissent donc effectivement certains attributs qui sont acceptés pour d'autres textes, visibles dans nos livres d'Histoire, sans beaucoup plus de preuves d'ailleurs...
Déjà, une comparaison des rapports de la NASA et ce qui est lisible dans la presse et les médias d'il y a un an laisse apparaîtreune forte distorsion et mauvaise interprétation de la part des médias... En effet, il s'agissait d'un rapport sur les premières analyses des données transmises par le laboratoire spatiale WISE de la part de la NASA... qui avait bien affirmé plusieurs années auparavant (lors du lancement de WISE), que les millions de données transmises par WISE mettraient probablement DE NOMBREUSES ANNEES a être analysées et pour pouvoir envisager avoir une idée un peu plus précise des nombreux objets circulant dans notre système solaire, astéroïdes ou planètes, comètes... il était plutôt question de deux à quatre ans APRES LA FIN des transmissions de WISE et même de NEO-WISE (puisque le labo a été spécialisé après sur la détection des astéroïdes)... Or, la fin des transmissions de WISE n'a eu lieu que fin 2013, ce qui fait que toutes les données n'ont même pas encore été analysées... et mieux encore, la NASA a également admis que les techniques dans l'ultra-violet et infra-rouge utilisées par WISE ont été améliorées depuis, et qu'il est possible que ces nouvelles techniques pourraient permettre de détecter des objets encore invisibles par WISE, notamment dans les ceintures lointaines des comètes...
Et mieux encore, la NASA a aussi expliqué, en complément, que même s'il était assez improbable qu'une autre planète de la taille de Jupiter par exemple, puisse exister dans notre système solaire, au-delà de l'orbite de Pluton, il était possible qui y existe des planètes intermédiaires, c'est-à-dire des Super-Terres par exemple, des astres de 4 à 10 fois la taille de la Terre donc, indétectables par WISE par leur manque de luminosité ou cachées derrière des nuages cométaires ou de poussières... de plus, on a vu, en observant d'autres systèmes stellaires plus éloignés, que notre modèle "accepté" de la création des systèmes stellaires, dont le nôtre...n'était pas fiable, et que des planètes pouvaient être créées dans des disques d'accrétions beaucoup plus étendus qu'imaginés jusqu'à présent...
Bon, nous avons donc plusieurs astronomes ou astrophysiciens qui ont calculé qu'une ou même deux planètes X devraient se trouver au-delà de l'orbite de Pluton puisqu'elle(s) perturbe(nt) les orbites de mini-planètes connues (comme Sedna, ou 2012VP113) et des orbites d'astéroïdes et comètes connues...
Mais il y a aussi d'autres découvertes surprenantes, qui viennent en corrélations avec ces fameuses planètes X : la découverte de nombreuses planètes errantes, sans étoile apparente pour tourner autour, et qui semblent filer à toute vitesse dans l'espace ! (mais il y a peut-être aussi des planètes très très excentriques, tournant tellement loin autour d'une étoile qu'on ne l'a pas identifiée avec certitude !
Et aussi la confirmation de l'existence de cette fameuse Matière Noire, qui pourrait aussi parfaitement expliquer pourquoi WISE ni personne n'a encore pu "voir" ces fameuses planètes X, y compris dans notre propre système solaire ! :
Cette modélisation réalisée en 2007 par des astrophysiciens de l'Université de Stanford illustre la présence de matière noire (taches brillantes) qui serait contenue dans les galaxies satellites de notre Voie Lactée. Crédits : Université de Stanford
(Extrait) : " C'est en 2009 qu'une étude dirigée par l'astrophysicienne Sukanya Cakrabarti (Institut de Technologie de Rochester, États-Unis) prédisait l'existence d'une galaxie naine jusqu'ici non détectée, qui serait située juste à côté de notre galaxie (vous pouvez lire un résumé de cette étude et des travaux ultérieurs menés par cette équipe sur ce même sujet ici : "New technique could pinpoint Galaxy X"). Une galaxie est composée de millions ou de milliards d'étoiles et de planètes, rappelons-le... Cette galaxie, principalement constituée de matière noire, cette hypothétique forme de matière indétectable car n'émettant aucun rayonnement, dont l'existence était à l'époque postulée, à cet endroit, par les chercheurs de l'Institut de Technologie de Rochester, en raison de "rides" repérées dans la partie externe de notre galaxie. Des rides dont ces scientifiques faisaient l'hypothèse qu'elles étaient causée par l'influence gravitationnelle de cette galaxie.
Or maintenant, ces mêmes chercheurs de l'Institut de Technologie de Rochester pensent avoir découvert cette fameuse "galaxie X". Des travaux publiés le 5 février 2015 dans la revue Astrophysical Journal Letters.
En analysant les données recueillies par les installations de l'Observatoire européen austral, ces astronomes ont découvert l'existence de quatre jeunes étoiles situées à 300 000 années-lumière de la Terre, et dont ils pensent qu'elles appartiennent à cette galaxie naine dont ils avaient postulé l'existence en 2009 : "J'ai décidé de regarder si nous pouvions trouver cet objet. Il s'agissait d'une prédiction difficile à tester car l'endroit était proche du plan de notre galaxie, par conséquent difficile à observer à l'aide d'un télescope optique. Ces jeunes étoiles sont probablement la signature de cette galaxie qui avait été prédite. Elles ne peuvent pas appartenir à notre galaxie car le disque de la Voie Lactée s'achève à 48 000 années-lumière", explique Sukanya Cakrabarti dans un communiqué publié par l'Institut de Technologie de Rochester.
Cette galaxie naine invisible aux yeux des télescopes optiques, mais détectable par les yeux infrarouge du télescope VISTA de l'Observatoire européen austral, serait majoritairement constituée de matière noire, cette forme de matière indétectable dont les récents travaux de la mission Planck ont montré qu'elle constituerait pas moins de 25.9% du contenu de l'univers (lire sur le Journal de la Science "Planck révèle de nouveaux secrets sur l'enfance de l'Univers"), ce qui contribuerait à expliquer pourquoi sa détection aurait été si difficile.
Pour contextualiser ces nouveaux travaux, il nous faut signaler ici que de nombreux astronomes font depuis longtemps l'hypothèse que les grandes galaxies sont entourées de petites galaxies naines analogues à celle qui aurait été détectée par Sukanya Cakrabarti et ses collègues. Majoritairement constituées de matière noire dont par définition échappant à toute détection directe, leur influence gravitationnelle n'en serait pas moins considérable. Sur ce point, se reporter à l'image ci-dessus, produite en 2007 par des astronomes de l'Université de Harvard (États-Unis).
Si, comme la mission Planck le prouve, la Matière Noire constitue près de 26% de toute la matière de notre univers, il y a donc une forte probabilité qu'elle soit également présente dans notre propre système solaire et, pourquoi pas, sous la forme d'une ou plusieurs planètes X non encore détectées, mais qui ont bien une influence gravifique calculable (et calculée d'ailleurs apparemment par certains...). Il ne faut pas oublier non plus que WISE a même découvert récemment d'autres systèmes stellaires voisins, dont tout un système stellaire, très proche du notre puisque c'est un voisin, seulement visible dans l'infra-rouge... et même probablement un troisième astre caché...
Voici une série de vidéos sur le thème Nibiru, attention, comme je l'ai déjà dit, il ne faut pas croire tout ce que disent les médias, ni prendre à la lettre ce que disent les scientifiques, mais encore moins ceux qui en rajoutent sans aucune preuve réelle... ceci est juste à titre informatif et c'est à votre propre cerveau d'analyser les choses, pas celui des autres...
Canaries et les Guanches : des Atlantes, des Cro-Magnons Aryens ou des Celtes ?
Très ancienne gravure sur roche aux Canaries - datations impossibles
Ce n'est pas la première fois que je vous parle des îles Canaries et de ses mystérieux habitants originaux, les Guanches, mais des recherches supplémentaires (et toujours en cours) sont évidemment toujours nécessaires, tant qu'une avancée significative vers la solution aux énigmes n'est pas établie, si elle peut être établie un jour, d'ailleurs...
Cet article est donc dans le prolongement de ces autres chapitres concernant cette quête particulière sur des îles ou cités englouties et de leurs peuples (ayant survécus ou non) :
Ces nouvelles recherches dans les bibliothèques et sur internet m'ont menées à nouveau du côté des Canaries, et même sur la trace des nazis, suite à certains passages de livres en parlant et de photos historiques disponibles dans certaines vieilles archives.
Ainsi, un peu comme Indiana Jones dans sa quête de l'Arche Perdue, il s'avère que les idéologues nazis étaient également convaincus que les Canaries étaient non seulement des vestiges de l'antique Atlantide, mais que les natifs de ces îles étaient des survivants des grands atlantes. Les premiers directeurs de l'Académie des Sciences Nazies, Ahnenerbe, avaient tendance à exacerber la droiture et valeur des aborigènes can-aryens, qui avaient résistés tant de temps aux conquistatores espagnols, et même défait l'armée espagnole lors d'une bataille. Aussi, dès 1939, ils organisèrent une expédition aux Canaries, menée par le Docteur Huth, un universitaire expert en religions qui parlait sept langues, dont l'hébreu. Huth, comme H. Pringle, avait lu tout ce qui était disponible sur la préhistoire des Canaries et en avait conclu que les natifs canariens étaient : " membres d'une lignée pure et non polluée par la Race Nordique, qui avaient bien préservés les anciennes pratiques Aryennes jusqu'au 15ème siècle "...
Tout aussi convaincu de ça était son accompagnateur nazi, l'archéologue Docteur Fischer, président de l'université de Berlin, et le premier chercheur à avoir discuté et démontré les lois de Mendel dans le croisement des races, avec Wolffel et l'autre spécialiste des races, le Docteur Schwidesky, assurant qu'étudier les restes des Guanches feraient parti des meilleures recherches aux Canaries pour Ahnenerbe.
Ils voulaient prouver que les canariens d'origine étaient des purs cro-magnons, comme les Aryens, et qu'il s'agissaient de beaux hommes et femmes, du type nordique, et réaffirmeraient ce qu'ils disaient sur les temps anciens. Ils disaient " regardez, cette jeune fille des Canaries ressemblait à n'importe quelle fille d'une ville comme à Baden, de Westphalie ou Hesse. Ces allemands ont en fait fondé l'Ecole d'Archéologie à l'Université de La Laguna, où ils sont restés longtemps, avec les fonds donnés par Himmler, et ont écrits de nombreux articles pendant la guerre sur " la Psychologie Raciale ", publiés dans le journal de l'Ahnenerbe...
Le plus intéressant est que ces nazis sont rejoints par le philologiste Dominik Wölfel, autrichien, qui est tout de même l'auteur de "Monumenta Lingae Canariae", la meilleure étude à ce jour du langage des arboricoles canariens, écrite dès 1933, et qui enregistre la découverte de Runes Nordiques dans le ravin de Guayadeque à Grand Canarie. Ces scientifiques allemand connaissent probablement la saga islandaise, la Eyrbyggiasaga, qui raconte l'histoire d'un marin d'une île nordique dont le bateau est transporté jusqu'aux Canaries par une énorme tempête et qui se retrouve, vers l'an 1000, comme chef aborigène à Grand Canarie...
Dans une nouvelle découverte étonnante dans les jungles du Mexique, les archéologues ont mis au jour deux anciennes cités mayas, y compris des temples en ruines d'une pyramide, des restes de palais, un tunnel en forme de bouche de monstre, un terrain de jeu de balles, des autels et d'autres monuments de pierre, selon une nouvelle édition de Discovery News. En fait, l'une des villes avait été trouvée il y a des décennies, mais toutes les tentatives de dégagement avaient échoué. L'autre ville était auparavant inconnue et est une découverte nouvelle, un éclairage nouveau sur l'ancienne civilisation Maya.
One of the cities featured an extraordinary facade with an entrance representing the open jaws of an earth monster. Credit: Ivan Sprajc / Discovery News
Le Chef d'expédition Ivan Sprajc, du Centre de recherche de l'Académie slovène des Sciences et des Arts (ZRC SAZU), a expliqué que la découverte a été facilitée par des photographies aériennes de la forêt tropicale du Yucatan central dans l'État de Campeche, au Mexique. Certaines anomalies ont été constatées dans la végétation épaisse de la forêt et une équipe a été envoyée pour enquêter sur place.
Les archéologues ont été stupéfaits de découvrir une ville entière dans une zone située entre les régions de Rio Bec et Chenes s'étendant sur plus de 1800 miles (et où aucune structure n'avait été trouvée jusqu'à présent !), qui se caractérisent par leur architecture classique datant d'environ 600 à 1000 de notre ère.
Bien qu'une ville avait d'abord été trouvée par l'archéologue américain Eric Von Euw dans les années 1970, qui a produit des documents et des dessins de ruines mayas, l'emplacement a été perdu et toutes les tentatives de relocalisation de la ville, qu'il appela Lagunita, avaient échoué jusqu'à maintenant.
Šprajc encontró el año pasado estelas en la zona de Chactún. Foto: Especial
L'une des caractéristiques les plus impressionnantes de la cité maya est l'énorme porte d'entrée monstre-bouche (représentée dans l'image sélectionnée), qui représente une divinité de la terre maya de la fertilité. " Ces portes symbolisent l'entrée d'une grotte et, en général, à l'aquatique souterrain, lieu d'origine mythologique du maïs et demeure des ancêtres ", a déclaré Sprajc à Discovery News.
Au-delà de la porte d'entrée, Sprajc et son équipe ont rencontré un grand temple pyramidal mesurant 65 pieds (20 mètres) de hauteur, ainsi que les ruines d'un complexe de palais organisé autour de quatre grandes places. À proximité, ils ont trouvé de nombreuses sculptures en pierre et plusieurs autels, tous gravés avec des reliefs et des inscriptions bien conservées.
The remains of a temple pyramid in the ancient Mayan city of Lagunita. Credit: Ivan Sprajc / Discovery News
L'une des inscriptions a été analysée par épigraphiste Octavio Esparza Olguin de l'Université nationale autonome du Mexique, qui a révélé que les hiéroglyphes notent la date du 29 Novembre de l'an 711 et se réfèrent à un "seigneur de 4 k'atuns" (un k 'atun est une période de 20 ans, 80 ans donc). Toutefois, malheureusement, la section de texte qui aurait noté le nom du règnant n'est pas suffisamment claire pour être lue.
The hieroglyphic inscription dated to 29th November, 711 AD. Credit : Ivan Sprajc / Discovery News
Les archéologues ont également trouvé 10 stèles (grands Arbres de pierre sculptés) et trois autels (moyennes pierres circulaires) qui présentaient des reliefs bien conservés et des inscriptions hiéroglyphiques. Une tablette maya découverte raconte une lutte de pouvoir. - Credit: Ivan Sprajc / Discovery News
Credit: Ivan Sprajc / Discovery News
Credit: Ivan Sprajc / Discovery News
Encore plus étonnante que la redécouverte de Lagunita, il y a aussi le fait que Sprajc et son équipe sont également tombés sur un autre ensemble de ruines antiques à proximité, qui était jusque-là inconnu, y compris un temple pyramidal, un autel, et de grandes acropoles entourées de trois temples. Ces structures ressemblent à une autre ville maya, qu'ils ont maintenant nommé Tamchen («puits profond»), après avoir trouvé plus de trente chultans, des chambres souterraines profondes utilisées pour recueillir l'eau de pluie.
Plus de 30 chultuns ont été trouvés sur le site. Ce sont des chambres souterraines en forme de bouteille, en grande partie destinés à la collecte des eaux pluviales. " Plusieurs chultuns étaient exceptionnellement profonds, allant aussi loin que 13 mètres (43 pieds) ", a déclaré Sprajc. Credit: Ivan Sprajc / Discovery News
Stone structure from the previously unknown city, which has since been named ‘Tamchen. Credit: Ivan Sprajc / Discovery News
Bien qu'il semble que les deux villes aient existé en même temps pendant au moins une partie de leur existence, il est évident que Tamchen pourrait avoir été créée avant Laguinita, avec des structures liées à une période pré-classique tardive (300 avant JC - 250 après JC).
Sprajc a expliqué que les deux villes " ouvrent de nouvelles questions sur la diversité de la culture maya, le rôle de ce domaine étant largement inexploré dans l'histoire profonde des Mayas, et ses relations avec les autres entités politiques.".
" Selon l'archéologue Octavio Esparza, plusieurs de ces monuments ont été réutilisés dans les derniers temps, peut-être entre la fin de l'époque classique jusqu'à la fin ou au début de la postclassique.
« Ces gens ne savaient pas la signification de ces monuments, puisque certaines des stèles ont été trouvées à l'envers ; cependant, ils savaient qu'ils étaient importants et les adoraient ", a déclaré l'expert.
Avec Chactún, Lagunita et Tamchén détiennent plusieurs éléments inhabituels, ce qui représente un défi pour la recherche future dans le domaine archéologique inconnu du Campeche oriental.
Açores, vestiges néolithiques et antiques dont des pyramides
Je continue encore sur ma lancée sur les découvertes archéologiques de la zone Atlantique médian au large de l'Europe et de l'Afrique de l'ouest. Après les Canaries donc, et les îles du Cap Vert, retour aux Açores dont j'ai déjà parlé ici... car d'autres découvertes ont eu lieu depuis ! (et voir aussi les nombreux liens connexes dans ces articles).
Et ces découvertes sont assez remarquables pour pouvoir en parler... d'autant plus qu'elles gênent l'archéologie officielle qui refuse de reconnaître que ses méthodes sont dépassées et souvent faussées par ses propres dogmes et mauvaises habitudes : l'obligation de corréler des monuments découverts avec des objets culturels découverts à proximité et de préférence de cultures déjà connues et identifiées... ce qui élimine logiquement toute découverte de nouvelles cultures inconnues (et donc gênantes dans les chronologies "déduites"), mais aussi d'autres possibilités pourtant toutes aussi logiques et plausibles (pillages ou imports d'objets culturels par d'autres cultures, envahissement d'une culture par une autre et réhabitation d'anciens lieux, etc... - fausses attributions donc de monuments à une culture données, par exemple...). Il est évident que ces méthodes font passer nos connaissances et découvertes à côté de réalités et vérités en contradiction avec celles que l'on veut maintenir à tout prix pour le soutien d'une certaine "civilisation à dominance occidentale", au détriment d'une civilisation entièrement "terrienne"...
Suite de mes enquêtes sur les cités préhistoriques et antiques englouties, recherches sur l'Atlantide et autre civilisations légendaires...
Cet article est en complément des autres recherches au niveau de la zone d'Atlantique centrale proche de l'Europe et de l'Afrique de l'Ouest : Açores, Pays Basque et Landes françaises, cotes du Portugal, d'Espagne, Gibraltar, Maroc, Mauritanie, Canaries et Iles du Cap Vert... des liens vers les articles de ces zones sont en bas de cet article.
Un petit aparté pour parler brièvement des affirmations de la psychologue et linguiste passionnée d'Atlantide, Maxine Asher, au sujet d'une expédition organisée par elle avec les fonds de la célèbre université américaine privée Pepperdine. C'est en 1973 que cette expédition a eu lieu, au large de Cadiz et Gibraltar en Espagne et au large du Maroc.
Composée de 70 enseignants, étudiants et d'autres parties intéressées, les membres de l'expédition étaient préparés pour des plongées libres le long de la côte de l'Espagne et du Maroc, à la recherche de preuves de l'île perdue d'Atlantide. Employée à l'époque par Pepperdine comme expert de l'enseignement audiovisuel, Asher a exprimé sa confiance dès le début que le voyage serait un succès. Le groupe a ensuite affirmé avoir découvert et photographié des artefacts atlantes, mais ils ont été contraints de chercher refuge en Irlande après avoir eu des problèmes avec le gouvernement fasciste espagnol de Franco, qui croyait qu'ils étaient des espions. Asher a affirmé qu'il y avait eu des tentatives de meurtre, et que, à un moment, elle a été forcée de sauter d'une voiture en mouvement, pour échapper à des kidnappeurs. Elle a écrit un scénario qui n'a jamais été produit sur ses expériences espagnoles. Après son arrivée en Irlande, son groupe a exploré des sites intérieurs autour de la baie de Galway, Craughwell, et la péninsule de Dingle, et a mené des plongées dans la région de la baie de Galway, près de la côte des îles d'Aran. Ces enquêtes ont été menées en Irlande dans la conviction que les mégalithes irlandais anciens sont vraiment le travail des Atlantes... Aucun matériel n'a jamais été publié, Asher a affirmé que son travail et ses preuves avaient été censurés (volés ?) par les autorités religieuses chrétiennes ou juives car certaines prouvaient l'impossibilité de certaines données bibliques... Asher a tout de même publié plusieurs livres sur le sujet mais ses tentatives pour sa propre existence et vie (les moyens pour gagner sa vie) ont surtout mené à sa mise au banc des accusés (à tord ou à raison) pour des détournements de lois sur l'éducation, et sa ruine, l'exil. Elle est décédée récemment en 2015 :
Lire la suite ci-dessous :
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Commentaires
1
JD56
Le 31/03/2015
Cela fait quelques années maintenant que je suis votre site, je voulais vous féliciter pour la qualité constante de votre travail. continuer à nous informer comme vous le faites! :)
yveshLe 01/04/2015
Merci pour vos encouragements ! Je continuerai tant que je pourrai mais je craints fort que le manque de moyens et de réels soutiens ne fasse que ce site disparaisse un jour ou l'autre comme tant d'autres...