Nous avions déjà, depuis quelques années maintenant (découverte en 1987), la connaissance d'une structure étrange engloutie au large des îles Ryukyu, à Yonaguni, la toute dernière île japonaise au sud, avant Taïwan. Une structure explorée à de maintes reprises par l'université de Ryukyu et le professeur Kimura principalement. Plusieurs "érudits" ont tenté de minimiser la découverte et de l'assimiler à quelque chose de naturel (mais il est vrai que le grès a tendance à se fracturer en lignes très droites et à s'éroder facilement) mais la persévérance et le nombre croissant de convaincus à fini par payer et il a enfin été trouvé des traces humaines au fond de l'eau, avec des inscriptions gravées, et même un parterre ou un chemin avec un dessin donc les premières images ont été révélées depuis...
Mais il y a en plus maintenant d'autres découvertes, et non plus au niveau des îles les plus au sud de l'archipel japonais, mais au large des côtes de la grande île principale nippone de Honshu elle-même. Et l'enquête des japonais met en lumière un mystère lié à 11 tablettes dispersées dans plusieurs musées de l'île d'Okinawa... mais qui se rapportent toutes au même endroit, qui y est d'ailleurs dessiné : une ou plusieurs structures en forme très claire de pyramide ou de ziggourat ! Et des écritures qui se rapprochent aussi étrangement de caractères écrits par les anciens peuples de l'Hindus et de Sumer... tout ceci nous amène donc à nous questionner sur les affirmations du professeur Kimura, qui affirme que la civilisation de Mu et cette légende d'un continent englouti dans le Pacifique dont a parlé le chercheur Churchward il y a bien longtemps était bien réelle... mais qu'elle était située tout autour d'Okinawa et jusqu'à Honshu, avant son engloutissement lié au volcanisme local et à la fin de l'ère glaciaire...
Cette histoire de tablettes recouvertes de caractères et de dessins, et même de tatouages encore portés par les vieilles femmes de la région, qui continuent une antique tradition sans trop plus connaître sa signification a déjà fait l'objet d'un reportage dont vous avez un extrait ci-dessous, mais de nouvelles découvertes et images ont été diffusées au Japon, j'espère en avoir une traduction suite à une demande auprès d'un chercheur local. En attendant, voici les documentaires en japonais, quelques photos et les premières interprétations en attendant mieux...
Et avec pour commencer un rappel sur la structure de Yonaguni et quelques documentaires vidéos :
Cette roche gravée a été trouvée à Yonaguni. Les colorations logicielles font apparaître d'autres signes encore.
C'est donc principalement autour de l'île Honshu pour commencer, que ces découvertes ont eu lieu. Je commence par la région de Wakayama (ancienne province de Kii), où la découvertes de ruines sous-marines pourraient correspondre selon certains spécialistes à la légende de l'île-démon de Momotaro. Il s'agit d'une légende persistante parlant d'une île-fantôme en forme de dragon, qui apparaîtrait parfois au large de la grande île et qui attirerait les marins, les faisant disparaître... En fait, une grande structure semblable à celle de Yonaguni y serait présente, à environ 200 mètres de la côte. On parle d'une grande salle rectangulaire et d'un long couloir y menant, ainsi que des gravures, inscriptions, sculptures...
L'endroit marqué ici dans le viseur en forme de croix est juste en face de Wakayama, la capitale de la région portant le même nom. C'est ici qu'une grande structure a été repérée par les membres d'une équipe de plongeurs professionnels locaux.
Voici l'une des photos présentée par l'équipe en question.
Il y a entre autres une assez grande structure en forme de pyramide lisse. La roche est érodée mais semble nettement avoir été traitée par la main humaine. La pyramide ne semble pas très haute mais sa base invisible est dans la vase et enserrée par des terrasses de blocs de pierre.
Les angles de la pyramide sont parfaitement rectilignes.
Cela ressemble beaucoup a une sorte d'ancien revêtement lisse artificiel dont certaines parties ont disparu à cause de la durée passée dans l'eau.
Plus bas sur le fond, il y a des restes de terrasses et d'énormes blocs lisses et taillés, avec de nombreux angles droits.
Ici, de grands blocs forment des murs qui descendent en V pour former une sorte de couloir menant à une grande salle parfaitement rectangulaire. Le couloir a 1 mètre de largeur et deux mètres de hauteur d'après le schéma explicatif.
Voilà un schéma global des structures avec les dimensions prises par les plongeurs. Tout est bien trop régulier pour être naturel.
Sur certains gros blocs, il y a des restes de gravures ou sculptures érodées : peut-être ce qui ressemble à un œil ici et là ?
Ici nous sommes toujours sur l'île de Honshu mais du côté de la province d'Aomori.
Plusieurs structures très étranges et probablement artificielles ont été repérées récemment par des plongeurs. On note que cet endroit, entre deux îles du Japon, était à l'air libre il y a environ-13.000 à -12.000 ans. On sait que la région était déjà habitée puisque des haches et des pierres polies datées de -40.000 à - 30.000 ans ont été trouvées dans la région de Miyagi et que des artefacts Jomon datés de -16.000 ans aussi. On sait que les Jomon sont bien installés et très répandus dans tout le japon vers -12.000 ans, date à laquelle les glaces et les terres qui reliaient les îles entre elles mais aussi au continent asiatiques fondent et sont englouties par la fonte de la fin de la glaciation.
Voici le reportage d'où sont tirées ces photos :
Ici, nous sommes à Okinawa, région au nord-ouest de l'île, en regardant vers le continent donc. Un endroit à 200 mètres de la côte et qui était probablement encore à l'air libre il y a environ 12.000 ans.
Voici une reconstitution de ce que les plongeurs ont vu et filmé : une pyramide à degrés ou un ziggourat...
Les images ne sont pas d'une très bonne qualité mais on voit bien des alignements de rocs réguliers formant des degrés sur ce monticule...
Cette pyramide découverte ressemble parfaitement à ce dessin visible sur cette roche gravée, appelée "la Pierre de rosette d'Okinawa". Car il semble qu'il y ait deux sortes d'écritures sur cette très vieille pierre antique, dont l'une s'apparente au sanscrit ancien hindoux apparemment, et l'autre à une proto-écriture ancienne de Mésopotamie !
En fait, nous suivons l'enquête des chercheurs dans plusieurs musées d'Okinawa, et ils découvrent qu'il existe au moins 11 tablettes différentes, éparpillées dans toute l'île... qui proviennent probablement d'un même lieu car certaines tablettes se complètent, ont les mêmes signes et montrent la même chose... la première question est : qui a donc fait en sorte de disperser ce message antique, qui a probablement été trouvé dans un seul endroit à l'origine ? Et pourquoi ?
Un gros plan de l'une des principales pierres gravées
On peut comparer aisément cette écriture visible sur ces tablettes (à gauche) et une tablette d'origine... sumérienne (à droite et dessous) ! Une origine commune ? On sait que les Sumériens sont apparus subitement en Mésopotamie, possèdant déjà des connaissances élevées... étaient-ils des survivants de l'engloutissement de la région autour d'Okinawa, du Mu de Churchward, vers 13.000 à 12.000 avant JC ?
Une autre pierre montrant la même structure.
Celle-ci montre indéniablement un bateau à voile antique possédant un gouvernail. La ligne de signes en-dessous serait une explication d'un mécanisme selon le professeur Kimura qui en parle...
Voici les endroits où se trouvent les 11 tablettes citées dans ce reportage que vous trouvez ci-dessous :
Un autre mystère existe du côté d'Okinawa, c'est la persistance des apparitions d'OVNI : il ne s'est jamais passé une seule année à priori sans que des Objets Volants Non Identifiés n'aient été signalés dans le ciel de cette île... et n'oublions pas que les japonais ont une très grande habitude de voir des lanternes asiatiques,et que lorsqu'ils signalent quelque chose d'anormal dans le ciel, c'est pris au sérieux en général par les autorités... En voici un exemple récent, en 2014 :
Japan's mysterious pyramids (en anglais)
Il y aura probablement des mises à jour de cet article avec des corrections possibles de mauvaises traductions éventuelles. N'hésitez pas à signaler toute erreur ou omission selon votre connaissance du sujet...
Les Scandinaves du Néolithique utilisaient des bateaux en peau d'animaux pour la chasse et les échanges, le transport à longue distance. Une étude récente menée par le Dr Mikael Fauvelle et publiée dans le Journal of Maritime Archaeology suggère que la culture scandinave antique de la céramique piquée (PWC) aurait pu construire des bateaux en utilisant des peaux d'animaux, en particulier des peaux de phoque, pour naviguer, pêcher, chasser et transporter, échanger sur de vastes distances. La PWC a prospéré entre 3500 et 2300 avant J.-C. dans les régions entourant la mer Baltique et la mer du Nord, y compris certaines parties de la Suède, du Danemark et de la Finlande actuels.
Gigès, le mystérieux inventeur de la monnaie métallique
Pièce de Lydie en Electrum
Les plus anciennes pièces de monnaie métallique, marquant peu à peu le changements définitif (pour le monde entier sauf aux Amériques, où les peuples ont continué leur économie spécifique jusqu'à l'arrivée des envahisseurs et culture dévastatrice) de l'économie de l'Humanité, passant de la dernière économie créée (le troc) aux échanges par monnaie de substitution, toujours pratiqués de nos jours, ont été découvertes en Turquie, dans l'ancien Royaume de Lydie (ou Méonie pour Homère). Les Lydiens (aussi connus comme les Lud par les Egyptiens et Assyriens) était un peuple indo-européen descendant de Lydos, fils d'Attis d'après Homère. Quand on sait qu'Attis est en fait un Dieu très connu, d'origine Phrygienne (qui dominaient les Lydiens au début) et que l'on retrouve sous le nom d'Adonischez les Grecs et Romain ou Tammuzchez les Hindoux, on devine que les origines mêmes de ce peuple sont aménagées. Et ce n'est pas mieux pour leur Roi Gigès, qui a régné (d'après la science officielle mais avec une fourchette temporelle) de entre 708 et 687 avant Jésus-Christ, sa mort étant entre 680 et 648 avant Jésus-Christ...
Crésides d'argent, attribuée à Crésus-5ième siècle av JC
Il était appelé Gugu par les Assyriens, et serait à l'origine des traditions bibliques sur Gog, prince de Magog (c'est-à-dire en assyrien mā(t) Gugu : « pays de Gygès »). En fait, on ne sait pas vraiment comment il est arrivé au pouvoir car les sources sont rares (donc à fiabilité resteinte) et divergent complètement... :
Selon Hérodote (né vers 484 avant notre ère et mort vers 420 - donc 250 ans après environ), Gygès était à l'origine le fils d'un des gardes et le confident du tyran Candaule, (ou Sadyate, ou encore Myrsile), roi très légendaire descendant d'Héraclès (Hercule), qui était un roi vantard qui ne cessait de vanter la beauté de sa femme. Ne supportant pas que Gygès puisse douter des charmes de son épouse, Candaule lui donne l'ordre de tout faire pour la voir nue et constater sa vérité. Après avoir refusé car pensant que c'est indigne, Gygès finit par céder et se cache dans la chambre royale au bon moment pour admirer le déshabillage de la Reine. Mais celle-ci le découvre sans le laisser paraître. Elle a compris que le roi ne peut être que l'auteur de cette indignité et décide de se venger de cet outrage. Elle convoque Gigès le lendemain et lui fait le chantage suivant : soit il assassine Candaule, devient son époux et le nouveau Roi, soit il est exécuté... Gigès n'a pas trop le choix, poignarde le Roi et s'empare du trône de Sardes, capitale de la Lydie...Mais selon Platon (né en 424/423 av. J.-C., mort en 348/347 av. J.-C. - donc 300 ans après environ), Gygès n'était qu'un simple berger lydien à l'origine, qui faisait paître son troupeau lorsqu'un violent orage fit s'affaisser une colline. Il s'y aventura et découvrit un énorme cheval de bronze dans les flancs duquel étaient pratiquées des portes (Cheval qui rappelle un peu le célèbre Cheval de Troie de part sa description !). Après avoir ouvert ces portes, Gygès aperçut à l'intérieur du cheval le squelette d'un géant portant au doigt un anneau d'or. Il se saisi de cet anneau, se le passa au doigt, et, sans dire un mot de son aventure, il alla rejoindre les autres bergers du voisinage. Par hasard, il remarqua que, à chaque fois qu'il tournait sa bague vers l'intérieur, il devenait invisible de tous, tout en gardant la faculté de voir et d'entendre ce qu'il se passait autour de lui. Dès qu'il retournait la bague en sens inverse, il redevenait visible. Après avoir essayé les pouvoirs de son anneau par plusieurs expériences, il se rendit au palais et séduisit la reine. Il complota avec elle la mort du roi, le tua et s'empara du trône...
Le mystère des tunnels de la cité engloutie de Baïes
Baïes (Baia de nos jours) est le nom d'une ancienne cité romaine, située en Italie, plus précisément au nord du golfe de Naples, dans une anse sur la rive est du cap Misène, entre la pointe de la Lanterne au sud et la pointe de l'Épitaphe au nord. Elle est proche de la base navale romaine de Misène, et fait face à Pouzzoles, de l'autre côté de la baie donc.
Plutôt qu'une ville, Baïes était un regroupement de villae de villégiature étagées sur la pente intérieure d'un ancien cratère (l'endroit est une caldeira volcanique, suite à une éruption explosive vers - 35000), en partie submergé par la mer, Baïes devait son succès à la douceur de son climat et surtout à la présence de sources thermales engendrées par le volcanisme actif des Champs Phlégréens. Ces sources chaudes, sulfureuses ou salines, sont vantées comme les plus curatives et les plus abondantes d'Italie par Pline l'Ancien, Strabon, Florus, Fronton et aussi Flavius Josèphe.
Des milliers d'outils en pierre taillée, d'os de chevaux, et une dent de lait humaine: une grotte du plateau central iranien a livré des traces d'occupation humaine vieilles de 452.000 à 165.000 ans, les plus anciennes jamais trouvées dans cet immense territoire à la croisée du Levant et de l'Asie.
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Commentaires
1
JD56
Le 31/03/2015
Cela fait quelques années maintenant que je suis votre site, je voulais vous féliciter pour la qualité constante de votre travail. continuer à nous informer comme vous le faites! :)
yveshLe 01/04/2015
Merci pour vos encouragements ! Je continuerai tant que je pourrai mais je craints fort que le manque de moyens et de réels soutiens ne fasse que ce site disparaisse un jour ou l'autre comme tant d'autres...
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