Voici le premier volet d'une nouvelle série d'articles compilant les données connues sur ces étranges oeuvres humaines (à priori !) qui ne sont pleinement visibles et admirables que du ciel, c'est à dire d'une certaine hauteur dans l'atmosphère (bien que les grandes lignes de Nazca par exemple soient même visibles de satellites). Je vais donc parler de, et montrer ces gigantesques énigmatiques oeuvres d'art pour certains, cultes aux anciens dieux venus du ciel pour d'autres, témoignages de connaissances ancestrales liées aux astres célestes et à l'agriculture pour encore d'autres... et, comme ma qualité et imagination d'écrivain d'anticipation passionné d'Histoire ancienne me le permet, au contrario d'une science frileuse qui vit de ses théories mal remises en question, je me permettrai donc quelques hypothèses, englobant, vous vous en doutez, la possibilité et même probabilité (la mémoire étant une denrée non périssable pouvant faire abstraction du temps comme de l'espace matériel) d'une grande civilisation mondiale perdue physiquement mais non spirituellement...Je commencerai cette étude, compilation et comparaison non pas par les célèbres lignes et dessins de Nazca (qui ne sont pas uniques de cette civilisation de Nazca car d'autres ont été trouvés bien plus à l'intérieur du continent d'Amérique du Sud (Bolivie et Colombie aussi), mais par des structures visibles en Europe, principalement en Angleterre et en France. Ce qui fait dire à certains chercheurs qu'une origine celte, pour ces gigantesques modifications topographiques locales, est assez probable... hypothèse évidemment contestable quand on sait qu'une "civilisation néandertalienne" (dont on a découvert récemment les premières constructions artificielles par exemple, mais probablement aussi de Cro-Magnon ensuite !) a bel et bien existé dans toutes les localités citées...
Car, et j'insiste là-dessus, nos préhistoriens du 19ème et 20ème siècles se sont largement fourvoyés et égarés sur leurs considérations (politisées et influencées de diverses façons) sur notre réelle préhistoire, on le vérifie de plus en plus, et très scientifiquement... En effet l'Homme de Neanderthal (et probablement même Erectus, Habilis et Denisovien) n'était absolument pas l'abruti total, homme-singe décris dans les annales du 19ème siècle (non remis en question au 20ème siècle, mais enfin au 21ème), mais s'habillait, utilisait des outils de pierre et de bois, d'os même, très perfectionnés sur la longueur (qui ont été repris par l'Homme Moderne), savait naviguer, pratiquait l'art et probablement des cultes, vénérait la fertilité et la femme autant que les premiers hommes modernes (qui ont perdu cette notion et ont en quelque sorte régressés !)...
Je vais donc me pencher sur les découvertes de John Dee, l'astrologue de Elisabeth 1ère, Reine de la Grande-Bretagne au 16ème siècle ! Il semble d'ailleurs que ce dernier se soit appuyé ou faisait partie du cercle intime du médium Edward Kelley, qui a publié la même chose au même moment à l'époque... Il s'agit du Zodiaque de Glastonbury bien sûr, qui est décrit ainsi par l'écrivain Richard Deacon, dans sa biographie de John Dee :
" (...) [la région en question révélait ] l'astrologie et l'astronomie minutieusement et exactement associées et disposées dans une reconstruction scientifique des cieux qui montre que les anciens comprenaient tout ce que les savants savent avéré aujourd'hui ".
Ce qui était encore plus aberrant bien sûr, n'était pas seulement la compréhension de toutes ces données par les anciens, mais leur mise en oeuvre sur le terrain : l'échelle du zodiaque en question a exigé un effort impensable (même à notre époque) pour façonner et adapter le paysage, sans oublier des connaissances inouïes des techniques des relevés topographiques... car ici, on peut littéralement parler de terraformation artistique...
l'une des 12 constellations du zodiaque recensées autour de Glastonbury
Ce sont bien sûr les progrès de la Renaissance sur la géographie et la topographie, la mode des belles cartes agrémentées de beaux dessins, qui permirent cette découverte au 16ème siècle. Qui retomba assez rapidement dans l'oubli historique malheureusement, jusqu'à ce que le sculpteur Katherine Maltwood, en 1929, émette et publie son étonnante théorie sur la présence d'un zodiaque géant entourant la ville de Glastonbury, dans le sud-ouest de l'Angleterre...
Sa théorie démontrait qu'il y avait une carte complète des 12 constellations disposée sur un cercle d'environ 16 kilomètres de diamètre. Les routes (anciens chemins), les collines, les rivières, ruisseaux et autres éléments topographiques établis depuis des millénaires en composaient les diverses figures et animaux associés aux signes du zodiaque, bien que tous ne soient pas ceux que nous connaissons de nos jours. Ce qui renforce la très grande ancienneté de ce façonnage du paysage est que le Verseau par exemple, au centre du zodiaque, est représenté par un phénix, alors que le Cancer l'est par un bateau... alors que d'autres constellations sont identiques, comme le Taureau qui a bien ses cornes et le Lion dont le bas-ventre est dessiné par une rivière, pendant que l'un des deux Gémeaux a des côtes apparentes par des champs en terrasse et des cheveux façonnés par une petite forêt...
De nombreux chercheurs se sont depuis penchés sur cette énigme et, alors que Katherine Maltwood (qui ignorait apparemment les précédentes découvertes du 16ème siècle) pensait que sa théorie et son zodiaque étaient uniques, il en a été découvert plusieurs autres depuis ! Au minimum 8 autres zodiaques ont été découverts en Grande-Bretagne et en France ! Les exemples les mieux conservés se trouvent surtout dans le sud de l'Angleterre et au Pays de Galles, alors que quatre d'entre eux sont exactement sur la même latitude : 52° nord...
Tous ces zodiaques semblent très précisément situés et être le résultat d'un relevé topographique professionnel. Une première théorie a été émise par plusieurs experts, qui ont postulés qu'à l'époque pré chrétienne (Celte donc), l'ensemble des îles Britanniques était divisé en "Provinces Géomantiques", chacune contenant un zodiaque. A l'avènement du christianisme, ce système fut remplacé par des diocèses placés sous l'autorité d’évêques. Les zodiaques identifiés semblent se trouver exactement dans ces diocèses, ce qui suggère que l'Eglise chrétienne a pu adopter un système antérieur et "païen" de division et organisation territoriale.
C'est en 1977 que le respectable professeur Robert Lord écrit dans son livre " Terrestrial Zodiacs in Britain " : " Nous risquons de ne jamais être en mesure de redécouvrir l'usage précis des zodiaques terrestres britanniques (et français ou européens de surcroît). Mais, les données s'accumulant, il devrait être possible dans quelques années de concevoir une théorie globale de leur signification, si tant est qu'on parvienne à surmonter les préjugés qu'ils suscitent. Ce sera d'autant plus significatif si on trouve des zodiaques dans des régions d'Europe au passé mieux connu que celui de la Grande-Bretagne (qui pèche il est vrai par son manque d'écrits et de mémoire... volontairement ou non !) ".
Le professeur continu, estomaqué par la réalité : " On peut néanmoins être sûr que la construction de ces zodiaques n'était pas un caprice d'un peuple semi-primitif. Projeter des dessins d'une telle complexité sur un paysage, les organiser en un ordre particulier et intégrer des éléments naturels tels que des rivières et des ruisseaux exigeraient un savoir-faire considérable en matière de relevé topographique ".
Il semble évident que la construction et l'aménagement de plusieurs d'entre eux a nécessité plusieurs générations, un dévouement et une ingéniosité locale inégalées sur plusieurs siècles. Encore plus récemment, dans les années 1990, les mathématiques ont renforcé cette impression générale. Effectivement, Mary Caine, qui a repris et étudié les travaux de Katherine Maltwood, a dit des zodiaques terrestres (pleinement visibles du ciel) :
" Absurde ? Peut-être, mais là, sur la carte, on voit les douze signes du zodiaque en ordre exact dans un cercle de huit kilomètres (de rayon). Cela peut-il être l'effet du hasard ? On a calculé que, si les chances que deux signes se correspondent vraiment sont de 2 contre une, les chances que les douze soient correctement placés sont de 480 millions contre une... ".
D'autres chercheurs, comme Anthony Thorley par exemple, continuent les recherches (avec une approche sur la recherche du Sacré Graal aussi, puisque Mme Maltwood y a fait référence d'abord : le zodiaque de Glastonbury peut également être mis en rapport avec la table ronde du roi Arthur, ses 12 chevaliers, Guenièvre et Merlin, car Glastonbury (situé dans le signe du verseau) est l'île d'Avalon mythique...) et tentent de rendre les choses publiques, malgré le désintérêt à priori anti-culturel de la communauté scientifique actuelle... on peut aussi noter les recherches de Donald Allen, Kevin Rowan-Drewitt ou Richard Dell sur le même sujet...
On note par exemple que les noms des villages situés dans un signe zodiacal sont souvent en corrélation avec ce signe. Par exemple, au Nord de Glastonbury, on trouve Aries Drive (route du Bélier) dans le signe du Bélier...
Certains chercheurs ont noté aussi le fait que Glastonbury se trouve sur une ligne (ley) d'alignement de points remarquables (ici en 8), toujours en liaison avec cette antique civilisation qui utilisait des références magnétiques et telluriques qui nous sont aujourd'hui inconnues ou ignorées, mais qui a été récupéré par la chrétienté, en toute connaissance de cause apparemment... :
Le ley britannique St Michel - Il met en évidence une ligne qui traverse tout le sud de l'Angleterre sur 600 km. Elle démarre à la pointe sud-ouest, en Cornouailles, au Michael's Mount, une ile de forme pyramidale située dans Mount's Bay (jumelle du célèbre Mont St Michel français...). L'axe traverse des sites célèbres comme Glastonbury et Avebury, et passe par de nombreux bâtiments religieux dédiés à SAINT-MICHEL...
Glastonbury n'est pas le seul cas de roue zodiacale imprimée dans le paysage. Jean Richer, en Grèce, a mis en évidence celle de Delphes. Il postule aussi que Milan (Italie) et Tolède (Espagne) sont des centres zodiacaux.
G.R. Doumayrou (dans Géographie sidérale) a montré qu'il en existait une autour de Toulouse (France). Les noms de lieux, les blasons des villes ou des régions, sont symboliquement en rapport avec le secteur zodiacal dans lequel ils se trouvent. Selon lui, le nom Toulouse évoque de façon suggestive le grec Thòlos, qui désignait, dans les temps primitifs, la touffe végétale coiffant et liant le sommet des huttes rondes en branchages. Par la suite, le sens s'en est étendu à la coupole hémisphérique en pierres sèches, et enfin plus particulièrement à la voûte des fours et étuves. En France, c'est la constellation de la Vierge qui domine. Ainsi les Cathédrales NOTRE-DAME forment la constellation de la VIERGE au dessus de la France avec PARIS pour SPICA et ROUEN pour l'EPI DE BLE. On retrouve cette constellation de la maison du pain dans toutes les cultures et bien évidement sur le ZODIAQUE égyptien. Il existe bien évidement d'autres constructions avec la VIERGE et les autres signes, mais il semblerait que la France représente la VIERGE dans la construction.
Voici une série de vidéos vous montrant les travaux sur le zodiaque de Glastonbury et les preuves évidentes, vous pourrez voir la majorité des signes du zodiaques étudiés et placés sur les cartes :
Avons-nous affaire à une civilisation antique dirigée par des astrologues, des mages, des astronomes et de savants topographes et géologues très au courant des choses de la Terre et du Ciel ? Il faut bien avouer que ces premières traces et preuves de travaux gigantesques qui établissent un pouvoir universel sur l'humanité d'alors sont impressionnantes, et ce n'est que le premier article...
Sources et références :L'Inexpliqué (Extraits, Ed. Robert Laffont 1997),
Les Scandinaves du Néolithique utilisaient des bateaux en peau d'animaux pour la chasse et les échanges, le transport à longue distance. Une étude récente menée par le Dr Mikael Fauvelle et publiée dans le Journal of Maritime Archaeology suggère que la culture scandinave antique de la céramique piquée (PWC) aurait pu construire des bateaux en utilisant des peaux d'animaux, en particulier des peaux de phoque, pour naviguer, pêcher, chasser et transporter, échanger sur de vastes distances. La PWC a prospéré entre 3500 et 2300 avant J.-C. dans les régions entourant la mer Baltique et la mer du Nord, y compris certaines parties de la Suède, du Danemark et de la Finlande actuels.
Gigès, le mystérieux inventeur de la monnaie métallique
Pièce de Lydie en Electrum
Les plus anciennes pièces de monnaie métallique, marquant peu à peu le changements définitif (pour le monde entier sauf aux Amériques, où les peuples ont continué leur économie spécifique jusqu'à l'arrivée des envahisseurs et culture dévastatrice) de l'économie de l'Humanité, passant de la dernière économie créée (le troc) aux échanges par monnaie de substitution, toujours pratiqués de nos jours, ont été découvertes en Turquie, dans l'ancien Royaume de Lydie (ou Méonie pour Homère). Les Lydiens (aussi connus comme les Lud par les Egyptiens et Assyriens) était un peuple indo-européen descendant de Lydos, fils d'Attis d'après Homère. Quand on sait qu'Attis est en fait un Dieu très connu, d'origine Phrygienne (qui dominaient les Lydiens au début) et que l'on retrouve sous le nom d'Adonischez les Grecs et Romain ou Tammuzchez les Hindoux, on devine que les origines mêmes de ce peuple sont aménagées. Et ce n'est pas mieux pour leur Roi Gigès, qui a régné (d'après la science officielle mais avec une fourchette temporelle) de entre 708 et 687 avant Jésus-Christ, sa mort étant entre 680 et 648 avant Jésus-Christ...
Crésides d'argent, attribuée à Crésus-5ième siècle av JC
Il était appelé Gugu par les Assyriens, et serait à l'origine des traditions bibliques sur Gog, prince de Magog (c'est-à-dire en assyrien mā(t) Gugu : « pays de Gygès »). En fait, on ne sait pas vraiment comment il est arrivé au pouvoir car les sources sont rares (donc à fiabilité resteinte) et divergent complètement... :
Selon Hérodote (né vers 484 avant notre ère et mort vers 420 - donc 250 ans après environ), Gygès était à l'origine le fils d'un des gardes et le confident du tyran Candaule, (ou Sadyate, ou encore Myrsile), roi très légendaire descendant d'Héraclès (Hercule), qui était un roi vantard qui ne cessait de vanter la beauté de sa femme. Ne supportant pas que Gygès puisse douter des charmes de son épouse, Candaule lui donne l'ordre de tout faire pour la voir nue et constater sa vérité. Après avoir refusé car pensant que c'est indigne, Gygès finit par céder et se cache dans la chambre royale au bon moment pour admirer le déshabillage de la Reine. Mais celle-ci le découvre sans le laisser paraître. Elle a compris que le roi ne peut être que l'auteur de cette indignité et décide de se venger de cet outrage. Elle convoque Gigès le lendemain et lui fait le chantage suivant : soit il assassine Candaule, devient son époux et le nouveau Roi, soit il est exécuté... Gigès n'a pas trop le choix, poignarde le Roi et s'empare du trône de Sardes, capitale de la Lydie...Mais selon Platon (né en 424/423 av. J.-C., mort en 348/347 av. J.-C. - donc 300 ans après environ), Gygès n'était qu'un simple berger lydien à l'origine, qui faisait paître son troupeau lorsqu'un violent orage fit s'affaisser une colline. Il s'y aventura et découvrit un énorme cheval de bronze dans les flancs duquel étaient pratiquées des portes (Cheval qui rappelle un peu le célèbre Cheval de Troie de part sa description !). Après avoir ouvert ces portes, Gygès aperçut à l'intérieur du cheval le squelette d'un géant portant au doigt un anneau d'or. Il se saisi de cet anneau, se le passa au doigt, et, sans dire un mot de son aventure, il alla rejoindre les autres bergers du voisinage. Par hasard, il remarqua que, à chaque fois qu'il tournait sa bague vers l'intérieur, il devenait invisible de tous, tout en gardant la faculté de voir et d'entendre ce qu'il se passait autour de lui. Dès qu'il retournait la bague en sens inverse, il redevenait visible. Après avoir essayé les pouvoirs de son anneau par plusieurs expériences, il se rendit au palais et séduisit la reine. Il complota avec elle la mort du roi, le tua et s'empara du trône...
Le mystère des tunnels de la cité engloutie de Baïes
Baïes (Baia de nos jours) est le nom d'une ancienne cité romaine, située en Italie, plus précisément au nord du golfe de Naples, dans une anse sur la rive est du cap Misène, entre la pointe de la Lanterne au sud et la pointe de l'Épitaphe au nord. Elle est proche de la base navale romaine de Misène, et fait face à Pouzzoles, de l'autre côté de la baie donc.
Plutôt qu'une ville, Baïes était un regroupement de villae de villégiature étagées sur la pente intérieure d'un ancien cratère (l'endroit est une caldeira volcanique, suite à une éruption explosive vers - 35000), en partie submergé par la mer, Baïes devait son succès à la douceur de son climat et surtout à la présence de sources thermales engendrées par le volcanisme actif des Champs Phlégréens. Ces sources chaudes, sulfureuses ou salines, sont vantées comme les plus curatives et les plus abondantes d'Italie par Pline l'Ancien, Strabon, Florus, Fronton et aussi Flavius Josèphe.
Des milliers d'outils en pierre taillée, d'os de chevaux, et une dent de lait humaine: une grotte du plateau central iranien a livré des traces d'occupation humaine vieilles de 452.000 à 165.000 ans, les plus anciennes jamais trouvées dans cet immense territoire à la croisée du Levant et de l'Asie.
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