J'ai déjà abordé sur mon blog diverses théories et hypothèses liées à la présence pouvant être ponctuelle mais historiquement constante d'entités biologiques extra-terrestres (EBE) mais les possibilités étant nombreuses et s'entremêlant avec des hypothèses plus larges (voir même touchant à l'immatériel et à des possibilités métaphysiques, quantiques, psychiques et multi-dimensionnelles), il n'est pas inutile, surtout en considérant les progrès et recherches en cours, de parler du fait que ces mêmes entités pourraient ne pas être "extra-terrestres" au sens propre du terme, mais provenant d'une dimension qu'il nous semble bien déjà expérimentée par l'être humain : le Temps...
Apparence "classique" d'un EBE vu près d'un OVNI, un "Gris" ayant le crane allongé et une machoire rétrécie...
J'ai parlé de la théorie du paléontologue et géologue américain (de naissance, naturalisé canadien) Dale Russel, professeur de recherche au MEAS, sur la possibilité d'un reptoïd intelligent qui aurait pu évoluer et être à notre place s'il en avait eu le temps. Ses recherches et dessins nous font bel et bien voir un être ressemblant en tout point à ces mêmes entités rencontrées à de multiples reprises depuis au moins 1947 (mais des représentations préhistoriques, antiques et même plus tardives, dont j'ai déjà parlé également, font apparaître des correspondances assez troublantes aussi) : https://www.sciences-faits-histoires.com/blog/legendes-mythes/ebe-is-be-les-gris-et-la-theorie-des-dinosauriens.html
évolution d'un "raptor troodon" préhistorique en un être humanoïde ayant le crane allongé et la mâchoire rétrécie...
La théorie liée à ces dinosauriens/reptiliens envisagerait une évolution finalement assez longue de ce reptoïd, qui ne se serait donc pas éteint (ou évolué en oiseau comme d'autres dinosaures !) mais aurait développé suffisamment son intelligence sur plusieurs dizaines de millions d'années (le troodon existant déjà il y a 70 millions d'années) après la catastrophe mondiale de -65 millions d'années (qui n'a finalement pas empêché la survivance de certains dinosaures à plumes qui ont évolué en oiseaux par exemple) pour finir par dominer un certain temps son éco-système mais dont les traces ont totalement disparu suite à la rupture de la Pangée et de l'enfoncement tectonique des plaques dans le sol terrestre... Mais, entre-temps, cette race dino-reptilienne (possiblement douée naturellement de dons psychiques (le serpent ayant toujours eu mythologiquement parlant un don de manipulation par exemple), aurait donc eu largement le temps de développer des techniques diverses, pour survivre aux catastrophes et aux autres prédateurs, y compris spatiales, peut-être même dimensionnelles et temporelles...
Nous avons étonnamment une autre hypothèse scientifique qui, elle, nous parle de l'évolution de l'Humanité actuelle, qui devrait nous mener à une modification assez importante de notre apparence physique si nous survivons les quelques millions d'années nécessaires... et qui nous amène au même type d'entité biologique (un "gris" !) que ce reptoïd préhistorique !
Il y a eu aussi la théorie (toujours controversée) des scientifiques françaises Anne Dambricourt Malassé et Marie-Joseph Deshayes (voir ici : http://www.hominides.com/html/references/homo-sapiens-dambricourt-chaline.php ) mais toutes les prévisions sérieuses nous mènent dans le futur à une apparence définie ainsi :
" Notre processus évolutif serait le résultat d'une logique interne qui aurait conduit nos ancêtres d'il y a 60 millions d'années vers l'homme d'aujourd'hui, et qui nous pousse déjà vers l'homme de demain. On peut imaginer que l'homme de demain aura le crâne de plus en plus bombé et une mâchoire de plus en plus petite... En extrapolant, l'homme sera peut être la première espèce à pouvoir modifier ou intervenir sur sa propre évolution... "
évolution future de l'être humain... qui nous montre un être au crane élargi et avec une mâchoire rétrécie... cette triple conjonction vers une même apparence physique peut-elle vraiment être uniquement due au pur hasard ?...
L'objet de mon hypothèse présentée ici, qui en reste une de toute façon et qui a peut-être été émise par d'autres avant, cela ne me préoccupe pas, est donc de poser par écrit la possibilité qu'une grande partie des phénomènes inexpliqués au fil du temps et lisible aussi bien dans les textes et témoignages antiques, du moyen-âge et des temps modernes, tant mythologiques que religieux, parapsychologiques, paranormaux, ufologiques et métaphysiques, liés à des observations considérées parfois comme matérielles, parfois comme immatérielles, soient en forte relations avec la présence dans l'environnement de notre perception physique et matérielle, de ces entités provenant d'un lointain passé... ou du futur de l'humanité, par manipulations génétiques multiples tout au long de l'apparition de la Vie sur notre planète par exemple...
Pour ce propos, je vais m'aider bien sûr des affirmations scientifiques connues actuellement en ce qui concerne le Temps, cette dimension que nous pratiquons tous, sans nous en rendre vraiment compte et sans en avoir le choix à priori, pour l'instant. Et en commençant bien sûr par Newton et Einstein, qui ont en quelque sorte posé les premières briques théoriques sur ce sujet, puis sur les quelques spécialistes (qui se comptent sur nos deux mains à cinq doigts, pas plus) qui ne se préoccupent que du Temps...
Selon Isaac Newton (1642-1727), il existait un temps et un espace absolu, identiques pour tous les observateurs. Il considérait, dans la mesure où la simple observation physique des choses semblait le prouver, que le temps s'écoulait à la même vitesse et de la même façon pour tous. Newton a théorisé le temps qui nous est familier, celui que l'on peut mesurer et comparer, celui sur lequel reposent nos exercices de mathématiques, car pour lui les vitesses s'additionnent lors d'un changement de référentiel.
Mais nous savons aujourd'hui que le temps n'est pas figé. En 1905, Albert Einstein ajoute de nouvelles lois à la physique avec sa théorie de la relativité restreinte, élargissant la théorie de la relativité « tout court » de Galilée établie en 1632, laquelle voulait que la vitesse d'un objet dépende de son repère d'observation, alors que les durées et les distances n'en dépendent pas. Autrement dit, il n'existait pas pour Galilée de vitesse absolue, alors que les unités de temps et de distance étaient, elles, absolues. Einstein, lui, établit que la lumière se déplace dans le vide et que sa vitesse est constante, quelle que soit celle de son observateur. Reprenons l'exemple classique d'une fusée se rapprochant de la Terre à 30 000 km/h et tirant un missile vers l'avant à une vitesse de 4 000 km/h par rapport à la fusée. La vitesse du missile par rapport à la Terre est l'addition de ces deux vitesses : 34 000 km/h, suivant la loi d'addition des vitesses galiléennes. Si, maintenant, la fusée ne tire pas un missile mais émet un rayon lumineux (type laser photonique par exemple) vers l'avant : la vitesse de ce rayon par rapport à la fusée sera identique à la vitesse de ce rayon par rapport à la Terre. La vitesse de la lumière, appelée « c » pour « célérité », est donc constante dans le vide. Elle ne dépend ni du mouvement de la source ni de l'observateur et, additionnée à n'importe quelle vitesse, c redonne c. Une particularité liée à la valeur très élevée de cette vitesse, 299 792 458 mètres par seconde (soit un peu plus d'un milliard de kilomètres par heure), mais aussi liée au fait que les photons sont a priori de masse nulle. Cela dit, comme on ne se déplace pas souvent à cette vitesse et que la mécanique galiléenne suffit à expliquer le comportement des objets usuels, c'est cette dernière qui est toujours enseignée dans les lycées. Mais la relativité restreinte est notamment utilisée dans la technologie GPS : sans elle, les informations de localisation, qui circulent par des satellites à très hautes altitudes et à vitesse rapide, seraient fausses de plusieurs kilomètres !
Albert Einstein (Domaine Publique)
Albert Einstein a par la suite étendu la théorie de la relativité restreinte aux mouvements accélérés, aboutissant à la « relativité générale », laquelle est en fait une théorie de la gravitation assez différente de celle de Newton. Avec la relativité générale, l'écoulement du temps est aussi différent selon l'intensité de la gravitation: il ralentit au voisinage des masses, le temps s'écoulant plus vite au dernier étage d'un immeuble qu'au rez-de-chaussée. Les conséquences de ces deux théories de la relativité, restreinte et générale, sont surprenantes. Le temps et l'espace ne sont plus absolus, ils se déforment selon le référentiel pour obliger la lumière à conserver constante sa vitesse. Avec la vitesse, les longueurs se contractent et les durées se dilatent. Une fois ce principe admis, il n'y a qu'un pas (théorique) à franchir pour donner la recette du voyage dans le temps... Un objet en mouvement « vieillit » moins vite qu'un objet immobile, son temps propre s'écoule plus lentement.
Donc il suffit d'utiliser la dilatation du temps pour voyager dans le futur. Le principe est simple : si on s'éloigne de la Terre à très grande vitesse puis qu'on y retourne, on aura moins vieilli que ceux qui y sont restés. Nous aurons donc un aperçu du futur de notre planète ! Subsiste toutefois un problème : pour atteindre cette vitesse élevée, il faut d'abord subir une longue phase d'accélération et ça, l'organisme humain ne le supporte pas très bien. Sauf si l'on s'en tient à une accélération de 9,81 m/s2, qui équivaut à la pesanteur terrestre que nous subissons tous les jours. Avec cette accélération, il est possible d'atteindre le centre de notre galaxie, distant de 30 000 années-lumière, en un peu plus de 39 ans. Le temps de freiner, de faire demi-tour et de revenir, près de 80 ans se seront écoulés dans le vaisseau... Alors que sur Terre, près de 60 000 années seront passées ! Reste un problème : pour effectuer un tel voyage, un vaisseau spatial consommera en un an l'équivalent de toute l'énergie produite sur Terre pour la même période...
II reste donc à inventer un système de propulsion qui soit capable de nous envoyer aussi loin, aussi vite et pendant aussi longtemps, tout en étant moins gourmant en énergie que ce que nous connaissons aujourd'hui. Les scientifiques planchent déjà sur un vaisseau qui, en guise de carburant, capturerait les photons qui circulent librement dans le vide intersidéral... et bien sûr, aucun retour à l'époque d'origine des astronautes ne serait possible à priori...
A priori, à moins que l'on envisage un voyage par un trou de ver ! Encore plus bizarre que les trous noirs (qui semblent maintenant bien prouvés), il y aurait (selon toujours les théories) les trous de ver, que l'on pourrait décrire comme deux trous noirs reliés entre eux par un tunnel. Si on entre par l'un, on ressort par l'autre et vice versa. L'ensemble forme comme un raccourci entre deux points très éloignés dans l'espace : emprunter ce passage revient à couper par le tunnel du Mont-Blanc plutôt que d'escalader et redescendre la montagne à pied. Or ce qu'il y a de pratique (du moins en théorie) avec les trous de ver, c'est qu'on peut déplacer les deux bouches l'une par rapport à l'autre sans modifier la longueur du tunnel. Donc, plus on éloigne les deux bouches l'une de l'autre, plus on peut franchir une grande distance en peu de temps. Maintenant, « garons » la bouche A d'un trou de ver près de la Terre, et accrochons la bouche B de ce trou de ver au vaisseau dont nous venons de parler plus haut, et refaisons notre voyage en direction le centre de la galaxie avec une accélération de 9,81 m/s2. Au retour vers la Terre, la bouche de sortie est âgée de 40 ans, tandis que la bouche d'entrée a vu défiler 60 000 années. Les occupants du vaisseau spatial, après avoir découvert à quoi ressemblera la Terre dans le futur, pourront donc se glisser par le trou de ver le plus vieux pour ressortir par le plus jeune, ce qui équivaudra pour eux à un retour dans le passé, moins les 40 ans nécessaires au voyage. Idem, si l'envie en prend aux Terriens, ils peuvent emprunter la bouche A, ressortir par la B, admirer le monde tel qu'il sera dans 60 000 ans, puis revenir dans le présent en faisant le chemin inverse...
Trou de ver : deux trous noirs reliés l'un à l'autre à travers le continuum espace-temps et permettant de faire un aller-retour dans le futur
Ce qui expliquerait peut-être que nous n'ayons encore jamais croisé la route d'un voyageur du futur (à priori, à moins que nos OVNIs en soient !) : on ne peut pas remonter le temps avant la création du trou de ver, et pour le moment il ne s'agit que d'un objet théorique encore jamais observé directement dans le cosmos mais dont l'existence est probable selon beaucoup de physiciens, et qui a été décrit dans les années 1980 par le scientifique britannique Stephen Hawking et son collègue Kip Thorne. Si aucun trou de ver n'a été observé « en liberté », il est possible qu'ils existent uniquement à l'échelle microscopique. Il s'agirait dans ce cas-là, pour construire une machine à remonter le temps, ou plutôt à passer à travers le temps, d'en trouver un puis de l'agrandir, de le stabiliser en y injectant de l'antimatière pour lutter contre l'énorme gravitation qui sévit à l'intérieur du tunnel et éviter que celui-ci ne s'effondre. Il faudrait ensuite le charger électriquement, et déplacer l'une des bouches à grande vitesse par rapport à l'autre, avec un vaisseau spatial d'un type tout à fait nouveau, afin d'induire un décalage temporel entre les deux. Tout ceci demanderait plus d'énergie que le Soleil ne va en produire pendant toute sa vie. Bref, ce ne serait possible qu'avec des technologies hautement avancées, qui seront peut-être possibles... dans le futur. On doit aussi noter que comme, mathématiquement parlant, nous ne pouvons être seuls dans l'univers, d'autres civilisations, sur d'autres planètes, pourraient très bien déplacer de telles bouches de vers pour venir nous voir rapidement et à volonté, si elles sont en avance sur nous, ce qui pourrait aussi expliquer certains témoignages étalés dans l'Histoire de l'Humanité... mais également des possibilités de manipulations de la Vie sur notre planète et d'autres, dont je vais parler...
Stephen Hawking et son collègue Kip Thorne
Avant d'en arriver là, tous les regards sont aujourd'hui braqués sur le Grand Collisionneur d'hadrons (Large Hadron Collider ou LHC) de Genève, le plus grand accélérateur de particules jamais construit jusqu'à présent. Piloté par le CERN (Organisation européenne pour la recherche nucléaire) qui est capable de produire théoriquement des minitrous noirs à la durée de vie pour l'instant très limitée...
Dans l'état de la Recherche actuelle sur le Temps, notons que, pour l'instant et en l'absence de preuves formelles de l'existence des trous de ver, le voyage vers le futur est théoriquement très possible et probablement réalisable un jour (avec la technique adéquate), mais que le retour vers le passé l'est beaucoup moins...
Pour en revenir à mon hypothèse d'une possible forte ingérence d'une ou plusieurs civilisations extérieures (mais on peut aussi bien imaginer une intervention de l'Humanité du futur sur son propre passé, notez-le bien ! Ce qui ferait que même ce que l'on pourrait considérer comme EBE aujourd'hui, vu leur apparence, serait en fait des humains évolués, avec un ADN très proche du notre donc très logiquement !), il suffit donc qu'une civilisation (prenons celle des "Gris" qui convient parfaitement) soit suffisamment évoluée technologiquement pour avoir vaincu les mystères du Temps grâce à la maîtrise des trous noirs. Avec une telle maîtrise et de bonnes techniques, il est possible de choisir une planète tellurique bien placée sur une "route spatiale", comme la Terre par exemple, et de venir la façonner à volonté pour qu'elle puisse accueillir la Vie, et y introduire les éléments de base de cette dernière pour y produire une évolution bactérienne puis animalière. Un laboratoire de dimension planétaire visitable à volonté, et même par les mêmes généticiens, puisque les milliards d'années de la même planète de peuvent se résumer qu'à quelques mois et années pour cette fabrication du point de vue de cette civilisation. On peut par la suite, et en toute logique, pratiquer des expériences génétiques sur les animaux en question qui se sont adaptés localement (et même introduire des espèces végétales et animales d'autres planètes) et ensuite même introduire son propre génome pour recréer une espèce intelligente, hybridée ou non avec des espèces locales, voir plusieurs espèces semi-intelligentes ou évolutives, pouvant servir de plusieurs façon pour la même civilisation, de la nourriture à l'esclave, en passant par des corps-vaisseaux (avec l'hypothèse connue de transplantations de consciences) ou de la sauvegarde génétique...
Avec une telle technique spatio-temporelle, les possibilités sont évidemment infinies, ainsi que les manipulations assez aisées sur des civilisations entières, et sur des milliers d'années... Une question d'éthique se pose bien évidemment, si l'on considère qu'une civilisation plus ancienne que la notre de plusieurs milliers ou millions d'années, et qui aurait survécue à sa propre auto-destruction (mais il faudrait ici considérer que toutes les civilisations suivent le même schéma d'évolution, ce qui n'est pas prouvé bien sûr), aurait développé une plus grande sagesse spirituelle et ne serait pas encline a effectuer ce genre de manipulation à de fins peu reluisantes. Mais nous n'en savons en réalité rien du tout et ce serait même le contraire si on considère qu'une civilisation technologique (comme la notre et cela devient de plus en plus visible) épuise assez rapidement toutes les ressources naturelles de son lieu de naissance... et doit donc pouvoir le remplacer, et même régulièrement, pour pouvoir survivre. Et quand on considère le nombre infini de planètes "terraformables", pourquoi se gêner, en fait ?... Créatrice de vie ou exploitante de vie existante, cette civilisation pourrait tout simplement justifier ses actions par sa simple volonté de survivre et de répandre son génome par milliards dans un univers de toute façon infini et encore en expansion... tout en restant en permanence dans son propre présent immuable, puisque maître du Temps...
On peut bien sûr imaginer à ce titre une création pure et simple du genre humain (qui ne connaît toujours pas ses origines et ancêtres directs, alors que sa sortie du continent africain est même remise en doute et que la date de son apparition recule de plus en plus dans le temps (-300 000 ans maintenant)) par hybridations, croisements et même manipulations génétiques avec un génome "étranger", si l'on considère aussi les problèmes physiques anormaux de l'humanité par rapport à son propre environnement, déjà évoqués récemment ici : https://www.sciences-faits-histoires.com/blog/ovni-ufo/l-humanite-n-est-pas-nee-sur-terre.html
J'ajoute aux données les recherches et publications de certains chercheurs sur le folklore humain (celles de l'astronome Jacques Vallée notamment avec "Chroniques des apparitions extra-terrestres, du folklore aux soucoupes volantes", mais aussi de Bertrand Méheustavec"Soucoupes Volantes et Folklore") qui appuient un peu plus cette possibilité d'une manipulation (non seulement psychique mais historique et culturelle) du genre humain sur une très longue période. Jacques Vallée entrevoit dans le phénomène ufologique un système de « contrôle » évolutionniste terrestre, opérant sur l'inconscient collectif de notre espèce, d'où une vision holistique au travers d'exemples de phénomènes folkloriques ou contemporains (poltergeists, OVNI...) sortant de l'ordinaire de la perception humaine. Cette perception de Vallée, devenu aussi informaticien de renom, s'affirme notamment à la lecture de la trilogie "Autres dimensions/confrontations/révélations" des années 1990 qui se base aussi sur les principes des systèmes d'informations, un outil idéal pour une manipulation de masse...
Les astronomes-ufologues J. Allen Hynek et Jacques Vallée (à droite) - Domaine Public
Tout ceci n'est bien sûr que réflexions et "pensées à voix haute" sur une hypothèse basée tout de même sur ces triples coïncidences (et même plus encore si on considère toutes ces figurines antiques, pétroglyphes par centaines dans le monde et céramiques aussi, montrant de tels êtres aux crânes allongés, aux petits mentons, souvent grands yeux obliques, sans oublier cette étrange pratique millénaire de la déformation volontaire des crânes des bébés humains...) passées, présentes et futures de créatures hantant ainsi l'esprit humain depuis toujours...
Yves Herbo (c), avec des extraits (pour le Temps) de l'ouvrage "Les grandes énigmes de l'Histoire et de la Science" de Gautier Lamy et Charlotte Desvaux aux éditions Euro Services Internet
Les Scandinaves du Néolithique utilisaient des bateaux en peau d'animaux pour la chasse et les échanges, le transport à longue distance. Une étude récente menée par le Dr Mikael Fauvelle et publiée dans le Journal of Maritime Archaeology suggère que la culture scandinave antique de la céramique piquée (PWC) aurait pu construire des bateaux en utilisant des peaux d'animaux, en particulier des peaux de phoque, pour naviguer, pêcher, chasser et transporter, échanger sur de vastes distances. La PWC a prospéré entre 3500 et 2300 avant J.-C. dans les régions entourant la mer Baltique et la mer du Nord, y compris certaines parties de la Suède, du Danemark et de la Finlande actuels.
Gigès, le mystérieux inventeur de la monnaie métallique
Pièce de Lydie en Electrum
Les plus anciennes pièces de monnaie métallique, marquant peu à peu le changements définitif (pour le monde entier sauf aux Amériques, où les peuples ont continué leur économie spécifique jusqu'à l'arrivée des envahisseurs et culture dévastatrice) de l'économie de l'Humanité, passant de la dernière économie créée (le troc) aux échanges par monnaie de substitution, toujours pratiqués de nos jours, ont été découvertes en Turquie, dans l'ancien Royaume de Lydie (ou Méonie pour Homère). Les Lydiens (aussi connus comme les Lud par les Egyptiens et Assyriens) était un peuple indo-européen descendant de Lydos, fils d'Attis d'après Homère. Quand on sait qu'Attis est en fait un Dieu très connu, d'origine Phrygienne (qui dominaient les Lydiens au début) et que l'on retrouve sous le nom d'Adonischez les Grecs et Romain ou Tammuzchez les Hindoux, on devine que les origines mêmes de ce peuple sont aménagées. Et ce n'est pas mieux pour leur Roi Gigès, qui a régné (d'après la science officielle mais avec une fourchette temporelle) de entre 708 et 687 avant Jésus-Christ, sa mort étant entre 680 et 648 avant Jésus-Christ...
Crésides d'argent, attribuée à Crésus-5ième siècle av JC
Il était appelé Gugu par les Assyriens, et serait à l'origine des traditions bibliques sur Gog, prince de Magog (c'est-à-dire en assyrien mā(t) Gugu : « pays de Gygès »). En fait, on ne sait pas vraiment comment il est arrivé au pouvoir car les sources sont rares (donc à fiabilité resteinte) et divergent complètement... :
Selon Hérodote (né vers 484 avant notre ère et mort vers 420 - donc 250 ans après environ), Gygès était à l'origine le fils d'un des gardes et le confident du tyran Candaule, (ou Sadyate, ou encore Myrsile), roi très légendaire descendant d'Héraclès (Hercule), qui était un roi vantard qui ne cessait de vanter la beauté de sa femme. Ne supportant pas que Gygès puisse douter des charmes de son épouse, Candaule lui donne l'ordre de tout faire pour la voir nue et constater sa vérité. Après avoir refusé car pensant que c'est indigne, Gygès finit par céder et se cache dans la chambre royale au bon moment pour admirer le déshabillage de la Reine. Mais celle-ci le découvre sans le laisser paraître. Elle a compris que le roi ne peut être que l'auteur de cette indignité et décide de se venger de cet outrage. Elle convoque Gigès le lendemain et lui fait le chantage suivant : soit il assassine Candaule, devient son époux et le nouveau Roi, soit il est exécuté... Gigès n'a pas trop le choix, poignarde le Roi et s'empare du trône de Sardes, capitale de la Lydie...Mais selon Platon (né en 424/423 av. J.-C., mort en 348/347 av. J.-C. - donc 300 ans après environ), Gygès n'était qu'un simple berger lydien à l'origine, qui faisait paître son troupeau lorsqu'un violent orage fit s'affaisser une colline. Il s'y aventura et découvrit un énorme cheval de bronze dans les flancs duquel étaient pratiquées des portes (Cheval qui rappelle un peu le célèbre Cheval de Troie de part sa description !). Après avoir ouvert ces portes, Gygès aperçut à l'intérieur du cheval le squelette d'un géant portant au doigt un anneau d'or. Il se saisi de cet anneau, se le passa au doigt, et, sans dire un mot de son aventure, il alla rejoindre les autres bergers du voisinage. Par hasard, il remarqua que, à chaque fois qu'il tournait sa bague vers l'intérieur, il devenait invisible de tous, tout en gardant la faculté de voir et d'entendre ce qu'il se passait autour de lui. Dès qu'il retournait la bague en sens inverse, il redevenait visible. Après avoir essayé les pouvoirs de son anneau par plusieurs expériences, il se rendit au palais et séduisit la reine. Il complota avec elle la mort du roi, le tua et s'empara du trône...
Le mystère des tunnels de la cité engloutie de Baïes
Baïes (Baia de nos jours) est le nom d'une ancienne cité romaine, située en Italie, plus précisément au nord du golfe de Naples, dans une anse sur la rive est du cap Misène, entre la pointe de la Lanterne au sud et la pointe de l'Épitaphe au nord. Elle est proche de la base navale romaine de Misène, et fait face à Pouzzoles, de l'autre côté de la baie donc.
Plutôt qu'une ville, Baïes était un regroupement de villae de villégiature étagées sur la pente intérieure d'un ancien cratère (l'endroit est une caldeira volcanique, suite à une éruption explosive vers - 35000), en partie submergé par la mer, Baïes devait son succès à la douceur de son climat et surtout à la présence de sources thermales engendrées par le volcanisme actif des Champs Phlégréens. Ces sources chaudes, sulfureuses ou salines, sont vantées comme les plus curatives et les plus abondantes d'Italie par Pline l'Ancien, Strabon, Florus, Fronton et aussi Flavius Josèphe.
Des milliers d'outils en pierre taillée, d'os de chevaux, et une dent de lait humaine: une grotte du plateau central iranien a livré des traces d'occupation humaine vieilles de 452.000 à 165.000 ans, les plus anciennes jamais trouvées dans cet immense territoire à la croisée du Levant et de l'Asie.
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