La planète Terre s'effrite
La presse ne relaye pas souvent les phénomènes dont les scientifiques non aucune explication logique à fournir au public, et qui affectent sévèrement les paysages de notre planète. En dehors d’inondations d’éruptions volcaniques et de séismes, très rares sont les autres phénomènes, faisant l’objet d’articles. En voici un « tout petit » aperçu à travers le monde, mais ce sont les plus significatifs, ceux qui démontrent sans détours que notre coquille d’oeuf est en pleine restructuration. Fausse est la rumeur selon laquelle notre planète gonflerait.
Les phénomènes dont il est question ci-après, ne sont relatés qu’au travers de publications scientifiques spécialisées et dans les échanges du même ordre entre les chercheurs eux-mêmes. Ce n’est qu’à l’occasion de fuites rares, qu’ils se retrouvent dans la presse et uniquement celle en soif de sensationnalisme. Je parle de ces fissures qui de jour en jour lézardent la croûte terrestre, qui mettent non seulement en danger la vie des populations riveraines, mais également laissent envisager un chaos sans précédent au travers du monde tout entier.
Quelle serait l’origine des ces fissures, qui peuvent s’étendre sur des kilomètres de long et parfois ne faire qu’une dizaine de mètres. Au stade actuel des études lancées à travers le monde, il y a à peine deux ans, les scientifiques de renom, et recrutés par les états, n’ont jusqu’à ce jour, pu apporter une quelconque réponse, alors que ce phénomène s’amplifie. Lors de ma participation à une autre étude, pour évaluer les conséquences d’un Big One californien, sur le Nevada et la caldeira de Yellowstone, j’ai eu accès à des données et autres relevés. Ces derniers, dans ce contexte bien précis, n’avaient pas d’incidences majeures, mais dernièrement je les ai ressortis, pour faire des recoupements sur d’autres sujets. Et là, ils mettaient clairement en évidence, un problème dont jusqu’ici peu de scientifiques ont acceptés d’en avaliser les résultats, tellement ils sont en contradiction avec les quelques connaissances et surtout, les sacrosaints « modèles » de prévisions sur lesquels les chercheurs se reposent. Mais actuellement la Terre est en mouvement accéléré, et donc ne permet plus aux modèles établis, d’être encore d’une quelconque fiabilité. Prenons le déplacement de la plaque Pacific, ces modèles étaient établis sur une échelle de temps de 10 ans. D’après les simulations, il y a 3 ans, le même déplacement s’opérait sur 8 ans et 6 mois, fin 2010 les relevés permettaient de voir une accélération de ce déplacement, amenant les chiffres à 6 ans et 10 mois et fin 2011, ils n’en étaient qu’à 5 ans et 3 mois. Alors que la date de relève fut devancée de 6 mois, les derniers relevés les amènent à 4 ans et 10 mois. Donc en bout de course, un déplacement de 10 cm/an il y a 10 ans nous amène actuellement entre 15 et 17 cm/an et 19cm à certains endroits du Pacific Est.
Donc j’en conclu que les déplacements des plaques étant plus rapides qu’il y a 10 ans, le repositionnement des prismes d’accrétions et la décharge de l’énergie accumulée aux points de friction, se font plus rapidement et de façon plus vive, d’où la puissance plus élevée des séismes. Mais à ce repositionnement s’ajoute un autre phénomène, la partie de plaque supérieure qui prolonge le prisme d’accrétion tente à s’affaisser après le choc. Ce qui fait que la partie concernée, pouvant aller à des centaines, des milliers de kilomètres à l’intérieur des terres, suit ce mouvement d’affaissement et donc se fissure, un peu à l’image de l’effondrement d’une falaise.
Voici quelques exemples très significatifs de ces mouvements de terrains, qu’on peut aisément qualifiés d’annonciateurs d’un évènement important.
- Déjà en 2005 une équipe de chercheurs anglais, a constaté sur base des données transmises par ENVISAT, la formation en à peine 3 semaines, d’une fissure de 8 m de large et s’étendant sur près de 60 km le long du rift d’Afar en Ethiopie. Le point de départ de cette fissure correspondrait avec l’éruption du Dabbahu, et pourrait à terme, séparer l’Ethiopie de l’Erythrée en formant une mer.
- Début juin 2010, Birch Creek, état du Michigan, du jour au lendemain, une fissure de 200 m sur 1,2m apparaît en pleine forêt. Une surélévation de près de 5m oblige les arbres à s’incliner
- Juillet 2010, des scientifiques découvrent la plus profonde des fissures dans la Mer des Caraïbes, elle débute à 5km de profondeur et s’étend sur une centaine de kilomètres, aucune estimation de sa profondeur n’a pu être faite.
- L’année 2011 fut très riche dans ce type de phénomène, janvier, plusieurs fissures de 4 à 7m de profondeur apparaissent sur la côte Est du Sri Lanka sur la localité de trincomalee.
- En février une gigantesque fissure sème l’effroi parmi les habitants de Puno au Pérou. Une fissure de 100 m de large sur 3 km de long offre un spectacle effrayant des roches de plusieurs tonnes sont comme remontées à la surface sans avoir subit le moindre séisme. Le terrain ressemble à un champ ayant été labouré. Les constructions sont comme broyées.
D’autres évènements similaires se sont produits dans toute l’Amérique du Sud.
- La plaque Nord américaine et Eurasienne s’écartent l’une de l’autre au rythme de quelques centimètres par ans, créant ainsi des failles, volcans et des geysers. C’est donc en avril qu’apparaît une fissure entre 10 et 14m de profondeur dans la partie nord de l’Islande, cette région constitue la partie la plus à l’Est de la plaque Nord-américaine. Ce types de fissure est à l’origine en 2001, de la disparition de la moitié d’un lac de 6 km, ne laissant comme paysage que des geysers et abandonnant les maisons du bord du lac, à près d’un km de la nouvelle rive.
- Avril, le sol se fissure sur l’île d’Usedom au nord de l’Allemagne en Mer Baltique, 50 m de long et 4 m de profondeur. Là, notre équipe fut à pied d’oeuvre durant une semaine et fut contrecarrée par une décision des autorités allemandes de ne faire aucune déclaration à la presse allemande. Nos relevés tentent à démontrer que l’évènement est fort probablement lié à l’activité du sol au départ de Legnica et remontant vers le nord. Cela à fait l’objet d’un autre article. Il concerne la rupture nette du relief et un effondrement entre Copenhagen et Oslo.
- Fin mai, de profonds affaissements sont apparu subitement dans la région de Charlesbourg (Québec, Canada), endommageant champs et voiries, ils ont près de 8 m de large sur 5 m de profondeur.
- En juin, suite à l’éruption du volcan Puyehue au Chili, un énorme trou s’est formé atteignant 10 km de long et 5 de large obligeant les autorités locales, à évacuer la population des abords.
- Décembre au nord-Ouest de la Colombie, déjà que de très nombreux violents glissements de terrain ont eu lieux, mais la situation s’aggrave de plus en plus.
Eagleeyes pour Les moutons enragés.
YH : Article très intéressant qui confirme plusieurs de mes observations passées, notemment la formation d'un trou circulaire de plusieurs dizaines de mètres de diamètre et de profondeur en pleine bourgade allemande le jour de la Toussaint 2010... les choses s'accélèrent naturellement en 2012 et pour ma part, si on compare le retard enregistré question accumulation d'énergie dans beaucoup de régions considérées comme calmes (parceque soumise à un gros évènement réel mais espacé dans le temps question retour - mais ça revient toujours), et où des entrepôts nucléaires, chimiques ou biologiques, des bases et lanceurs de missiles ont été construites "en toutes sécurité", j'affirme qu'il faut malheureusement s'attendre a de gros bouleversements de terrains, sur de grandes distances aux endroits déjà actifs, mais également à des endroits réputés plus calmes et où les générations ont oublié les précédentes catastrophes...
On constate aussi plusieurs gros séismes sous de très vieux volcans endormis (notamment récemment en Basse-Californie et Amérique Latine) étonnemment sans répliques : remontée puissante de magma probable donc en mai 2012 du côté Pacifique Est et Nasca. Du Côté Europe de l'Ouest, considérée comme plus calme en moyenne (ce qui a permis un gros développement et implantations des industries à hauts risques), après des alertes l'année dernière en Allemagne du nord, puis en début d'année 2012, en Espagne où plusieurs décès ont été a déplorer, entre la France et la Corse, en Grèce plus habituellement ainsi qu'en Islande, puis très récemment bien sûr l'Italie (qui est le pays Européen le plus à risque évidemment à l'Ouest avec l'Islande), mais aussi la Bulgarie dont on a peu parlé et juste dans la Mer de Norvège en même temps...
http://chine.aujourdhuilemonde.com/fissures-pudong-les-gratte-ciel-trop-lourds-pour-shanghai : les autorités tentent des théories qui ne plaisent pas aux architectes...
SFH 05-2012