Un nouveau type d'OVNI risque de rendre la perception du vrai phénomène plus difficile encore pour l'être humain dans le futur : la voiture volante. En effet, la recherche est en plein boum sur le sujet, et les premiers prototypes confirment les progrès effectués en la matière :
Premier test réussi pour la voiture volante
Le rêve d'une voiture volante renaît grâce à la compagnie néerlandaise PAL-V (Personal Air and Land Vehicle), qui a complété avec succès ses premiers tests aériens au cours des deux dernières semaines.
Le véhicule breveté fonctionne comme un gyrocoptère, aussi appelé autogire, utilisant une grande hélice au sommet pour s'élever dans les airs et une petite hélice pliante à l'arrière pour se propulser vers l'avant.
Le PAL-V respecte les normes de transport actuellement en vigueur dans les grandes régions du monde, autant sur route que dans le ciel. En tout temps, sa vitesse de pointe s'établit à 180 km/h. Il dispose également d'une autonomie en vol allant de 350 à 500 kilomètres, dépendamment de la charge qu'il transporte. Son moteur consomme de l'essence, mais le fabricant promet une version biodiesel/bioéthanol dans un avenir rapproché.
Un système breveté d'inclinaison permet à ce trois-roues de se comporter comme une moto. Les accélérations, par ailleurs, s'avèrent dignes d'une voiture sport.
Parce qu'il décolle et atterrit à basse vitesse, le PAL-V demeure facile à contrôler. En fait, seulement 20 à 30 heures de formation sont nécessaires pour obtenir un permis de pilote. Pour quitter le sol, le véhicule a besoin d'une piste de 165 mètres, qu'elle soit en asphalte ou en gazon.
Aux Etats-Unis, la firme Terrafugia a annoncé le succès du premier vol d'essai de sa voiture volante ce mardi. Le prototype baptisé "Transition" --un petit avion qui peut circuler sur route avec les ailes repliées-- a volé pendant huit minutes, ouvrant la voie à sa commercialisation d'ici un an, a précisé la firme Terrafugia .
«Avec ce vol, nos équipes ont montré leur capacité à rendre réel ce qui était jusqu'à maintenant considéré comme un rêve impossible à réaliser», se félicite le fondateur de l'entreprise, Carl Dietrich. D'une autonomie de 787 kilomètres, «Transition» est large de 2,3 m en version voiture, ce qui lui permet de se garer dans un garage classique, et de 8 m quand ses ailes sont déployées pour voler.
Pour s'envoler, l'engin a besoin d'une piste de 762 mètres de long, rendant de fait impossible le rêve de s'envoler au-dessus des embouteillages, sauf à prévoir son décollage à l'avance.
De nombreuses entreprises ont déjà tenté de vendre une voiture volante, mais aucune n'est parvenue à céder plus de quelques modèles. D'un coût de 279.000 dollars, "Transition" a déjà été commandé à une centaine d'exemplaires, assure Terrafugia. Les constructeurs espèrent aussi d'ici là séduire les forces de l'ordre, la police aux frontières ou même l'armée, en plus des passionnés d'aviation.
OVNIs, Secrets d'Etats et Economie - 3 ans après...
1952, le Capitol survolé par une flotte d'ovnis
Dès 2005, l'ingénieur français et ex informaticien du ministère de la défense Christel Seval énonçait une théorie concernant les raisons du blackout complet sur le phénomène OVNI, les implications des gouvernements américains et un probable recours au déséquilibre économique (entre autres) pour gagner du temps face à une échéance inéluctable... théorie appuyée sur la conjonction de faits historiques rapportés par plusieurs militaires notamment ou les médias, et qui conclue que les Etats-Unis (et certains de ses alliés) pourraient bien tout faire pour ne pas perdre sa suprémacie actuelle (et menacée) sur la planète, et ce à n'importe quel prix...
Personnellement, je ne peux m'empêcher de penser qu'il y a eut effectivement une accélération et une accumulation de données historiquement importantes en très peu de temps sur notre planète... : certains pays figés depuis des décennies se sont très (extrêmement vite même) soulevés et ont modifié leur histoire en quelques jours, se pensant "libérés", les désordres économiques (et réactions en chaînes non réglées à ce jour !) se sont accélérés, ont éclaté et d'autres pays se sont ou risquent de s'écrouler sous la dictature financière, les guerres pour les ressources et le pétrole sont déjà démarrées depuis l'Afghanistan des Russes (reprise par les "Alliés") et la 1ère guerre du Golfe...
Voici un extrait résumant assez bien une partie de la théorie :
Australie-1994
Des ovnis contre le secret défense
" Après Nagasaki et Hiroshima, énormément d’ovnis vont survoler les États américains et se positionner avec précision au-dessus de tous les sites impliqués dans les activités militaires atomiques, comme s’ils cherchaient à s’informer sur les développements des armes atomiques terrestres. Dès 1946 les sites du Manhattan Project, les sites d’essais d’explosions atomiques comme l’atoll de Bikini, le site de Trinity, Roswell et les bases du Nouveau Mexique en 1947, Albuquerque, Sandia en décembre 1948, Los Alamos en janvier 1949, Camp Hood au Texas en mars 1949. Toute la filière atomique est découverte : des sites de recherche et d’essais, jusqu’aux lieux de stockage en passant par la chaîne de production des bombes. Pas un site secret n’est épargné. Les officiels de la Défense américaine sont aux abois. Leur pire cauchemar vient de prendre forme. Toutes les installations les plus secrètes du pays sont survolées par des ovnis. Il suffirait à un espion de relever la carte des apparitions d’ovnis de 1946 à 1950 pour avoir avec précision la situation géographique de toutes les installations nucléaires de l’armée américaine. C’est la panique dans les rangs US.
En juillet 1952, le Pentagone et la Maison Blanche sont survolés à deux reprises, en plein centre d’une zone névralgique strictement protégée, interdite à la circulation aérienne. Rien n’échappe aux ovnis, de la filière militaire à la filière politique.
Dès l’arrivée au pouvoir de D. Eisenhower en 1953, Nelson Rockefeller sera chargé de présider une commission de refonte du département de la Défense. A partir de cette date, l’empire Rockefeller, le CFR (Council on Foreign Relations), la Trilatérale et les Bilderbergs vont gérer le secret OVNI dans tous ses prolongements, scientifiques, technologiques, militaires, renseignements, désinformation, jusqu’aux financements et infiltrations des associations ufologiques.
burbabk-californie-juin-1945
OVNI et Secret Défense
En 1954, l’installation de Fort Meade, siège NSA, qui plus tard mettra en œuvre le réseau mondial d’écoute électronique Echelon, est survolée.
En 1963 et 1964, les satellites mis en orbite par les États-Unis tombent systématiquement en panne, et, étrangement, se remettent à fonctionner spontanément.
Novembre 1965 : une gigantesque panne d’électricité affecte New York et le sud Canadien. Un disque lumineux est aperçu au-dessus de la station de distribution électrique de Clay, point d’interconnexion de plusieurs réseaux haute tension. Décembre : une panne identique touche plusieurs États, le Nouveau Mexique, le Texas. Les bases militaires Holloman, White Sands et Fort Bliss sont privées de courant. C’est le scénario que les responsables de la Défense craignaient le plus : des actions agressives paralysant à la fois l’économie de la Nation et les capacités des forces militaires.
En 1967 la base de Malmstrom, Montana qui abrite 120 missiles intercontinentaux du Strategic Air Command, est survolée par des ovnis. Le 16 mars, par une nuit glaciale, des lumières zigzaguent dans la nuit à des vitesses incroyables. L’officier de tir est alerté. Puis une soucoupe rougeoyante s’avance, survole la grille d’entrée au grand dam des gardes. En quelques secondes, ce sont huit silos de missiles qui sont déclarés hors service. Puis dix. Un commando chargé de s’approcher de l’ovni stationnaire a été légèrement blessé et est évacué. Plusieurs commandos partis inspecter les silos signalent des ovnis à leur tour. Dans une autre unité de silos plus au nord-est, un ovni évolue aux alentours de la zone interdite. Dix missiles sont à leur tour mis hors service. Il faudra plus d’une journée avant que les missiles ne soient déclarés à nouveau opérationnels. L’enquête technique conclura qu’il n’y a aucune explication rationnelle à la défaillance simultanée des 20 missiles ICBM.
En novembre 1975, les ovnis retournent sur la base de Malmstrom dans le Montana. 7 ovnis lents, qui déjouent les intercepteurs lancés contre eux, reproduisent le scénario de 1967 et déprogramment les ogives nucléaires.
Lac Chauvet, France, 1952
La Nouvelle Donne
À partir de cette date, rien ne sera plus comme avant affirme Jean-Gabriel Greslé : " Des puissances inconnues s’ingénient à rendre leur présence évidente par des manifestations aériennes non conventionnelles. Elles disposent de moyens techniques nécessaires pour convaincre l’ensemble du monde, une fois pour toutes, de leur présence et de leur supériorité. Pourtant, elles ne le font pas. De leur côté, le gouvernement américain et le département de la Défense utilisent leurs moyens considérables, renforcés en 1953 pour dissimuler eux aussi cette réalité au public.
Les mêmes puissances inconnues, entre 1947 et 1967 ont exercé une pression croissante sur les gouvernements américains. De toute évidence elles cherchent à obtenir quelque chose. Le gouvernement américain pourtant dominé par une technologie supérieure à la sienne a refusé, en apparence, de céder."
Le gouvernement refuse effectivement d’inverser sa politique de développement des armes nucléaires. Tous les gouvernements engagés dans la course aux armements de destruction massive sont confrontés aux mêmes problèmes de survols de leurs installations nucléaires par des ovnis. Une pression venue d’outre espace, demande une autre politique pour la sauvegarde de la planète. De quelle genre d’intervention s’agit-il? La marge de manœuvre des intelligences à l’oeuvre est très mince. Imposer la paix avec une technologie qui neutralise toutes les technostructures militaires de la planète serait perçu comme une dictature venu d’outre espace entraînant un ethnocide généralisé. Le remède serait pire que le mal. Par contre ne rien faire signifierait à moyen terme laisser l’humanité s’autodétruire volontairement ou par accident. Le développement des armes à plasma fait peser un péril pire que l’arme nucléaire. La pression globale sur l’écosystème ne saurait continuer encore des décennies. Il est donc essentiel d’intervenir progressivement en exerçant une pression toujours plus forte. L’augmentation du nombre de crop circles est significative ces dernières années. Certains agroglyphes révèlent des schémas d’appareillages militaires ultra secrets, d’autres portent sur des symboles de sociétés secrètes influentes, ou encore répondent à un message envoyé il y a 27 ans dans la direction de la constellation d’Hercule. Au Mexique, les soucoupes volantes sont omniprésentes sans affoler les autorités ou les populations. Gorbatchev lui-même s’est toujours opposé à l’idée que les ovnis constituaient une menace pour l’humanité. Alors un premier contact officiel est-il possible? Non car la technostructure gouvernementale américaine n’a pas intérêt à ce que des ovniens entament une procédure de contact avec l’humanité.
Erpatak-hongrie-27-10-1996
Géostratégie militaire US
Tout contact avec une race extraterrestre technologiquement plus avancée que nous, engagerait un processus collégial de représentation de l’humanité auprès des visiteurs qui nuirait à la souveraineté des Etats-Unis. Il s’ensuivrait des réformes économiques et écologiques proposées et impulsées par les extraterrestres pour améliorer la situation de l’humanité dans son ensemble, ce qui nuiraient à l’hégémonie américaine. La révélation ou le partage de données techniques et scientifiques jusque là classées secret défense nuirait également aux Etats Unis.
Aussi les États-Unis peuvent-ils être amenés à envisager d’entretenir volontairement un foyer mondial de perturbations économiques afin de repousser au plus loin le jour du contact qui nécessite maturité et stabilité. L’accélération et l’amplification d’une politique de domination et d’annexion du reste du monde, notamment par le biais du vecteur pétrolier et de programmes d’armes de nouvelle génération semblent être à l’ordre du jour.
Ainsi, au moment du contact, les États-Unis occuperont une place prépondérante, un fait accompli qui ne sera peut-être pas remis en cause par les extraterrestres par respect pour la liberté de l’humanité. Les États-Unis auront à leur disposition un arsenal technologique qui leur permettra de faire pression sur les volontés extraterrestres si ceux-ci en émettent.
Car, quel est le mobile qui peut pousser les stratèges militaires américains à construire des bombes à antimatière dix mille fois plus puissantes qu’une bombe thermonucléaire, si puissantes qu’elles ne peuvent pas être utilisées sur Terre ? La peur d’un astéroïde ? La probabilité d’un géocroiseur spatial en approche dangereuse dans les parages de la Terre ? Foutaises, c’est la paranoïa anti-extraterrestre, c’est le désir forcené de l’oligarchie militaro-industrielle des États-Unis de pouvoir faire obstruction aux extraterrestres et, le jour du contact, d’avoir à leur portée un maximum de moyens de pression contre eux, voire d’armes efficaces car tel semble être leur rêve d’indépendance virile."
Christel Seval - Extraits des chapitres 6 à 11 pp 177-300, "Le plan pour sauver la Terre", Éditions JMG, 8 rue de la Mare-80290 Agnières
France-05-11-1990
Nous sommes maintenant en 2015, 3 ans pileaprès que cet article me soit apparu comme très important étant donné les événements de cette époque... et trois ans après, tous les événements concordent également, les choses sont de pire en pire et le phénomène OVNI n'a jamais été aussi présent, alors que toutes les autorités tentent d'en minimiser l'importance (voir la recalification en drônes l'apparition d'objets non identifiés (et toujours non identifiés malgré de l'intox auprès des médias...) au-dessus de nombreuses centrales électriques françaises (mais aussi ailleurs) et la continuité de survols de centres nucléaires dans le monde entier...
La déstabilisation de pays jusqu'à présent calmes et pondérés comme le Canada et la France, la Belgique par des factions de "terroristes-gangsters" manipulés et armés par un ancien organisme créé, armé et entraîné par la CIA américaine à l'origine (Al Qaida) ressemble très fortement à la continuité de ce type de plan qui consiste à ruiner les économies et capacités de raisonner de pays n'acceptant plus la domination à outrance de la jeune nation (qui, de par sa jeunesse, a une tendance à la dictature et à la paranoïa) que sont les USA...
La soumission de l'Europe aux désirs des américains sur le nouveau pouvoir néo-nazi ukrainien, contre la Russie, un pays pourtant en grande partie européen lui-même et ayant de profondes racines dans les peuples européens (dont la majorité sont bel et bien issus, en sont les descendants !) est une lourde erreur qui peut avoir des conséquences dramatiques pour l'Europe, bien plus que pour les américains... Le monde doit ouvrir les yeux devant l'évidence et les enchaînements à l'évidence organisés par des organisations riches, très riches et bien armées, sans arrêt aidées par des "erreurs" occidentales... et bel et bien par des vendeurs d'armes parmi les plus importants du monde, des moyens logistiques identifiés et du même type...
Yves Herbo, Sciences, Faits, Histoires, 12-01-2012, up 11-01-2015
Tell al`Ubaid from 4500 B.C.E, ( BEFORE COMMON ERA ) NFOSource
Pour simplifier les choses, l'archéologie moderne énonce que la première civilisation humaine a commencé en Irak, dans l'ancienne Mésopotamie, avec la grande civilisation de Sumer. Mais les découvertes récentes ont largement remis en question ce concept simplifié de l'Histoire Humaine, avec les découvertes de la civilisation de l'Indus et de celle d'Aratta, qui prouvent que Sumer n'était pas l'unique civilisation aux mêmes périodes, voir que certaines pourraient bien l'avoir précédé. Mieux encore, on a aussi découvert que les sumériens, quand ils sont arrivés en Mésopotamie, ont en fait envahi et soumis des populations qui étaient déjà sur place. Des peuples qui possédaient déjà bien sûr leur propre langue et même... leurs propres constructions et architectures ! Les preuves sont maintenant multiples, que l'on parle de la découverte du premier temple d'Uruk, qui date de plus de 5000 ans avant JC (avant l'arrivée des sumériens donc) mais aussi des différences de noms et d'appellations dans la propre langue et écriture des sumériens : la preuve qu'ils ont adopté eux-mêmes des termes et mots des langues des populations locales soumises...
C'est sur le site archéologique de Al Obeid, que de nombreuses preuves et artefacts ont été trouvés. Des artefacts pré-sumériens de 7.000 ans, représentant notamment des personnages humanoïdes avec des caractéristiques de lézard... Voir ci-dessous :
L'Histoire est en grande partie constituée des textes trouvés et accumulés le long des âges, comparés entre eux et théorisés pour reconstituer, à l'aide des datations écrites et des preuves archéologiques, un déroulement cohérent de l'évolution des civilisations. Il s'agit donc de témoignages écrits (toujours soumis à l'appréciation propre de celui qui écrit et de sa classe sociale), de travaux réels de compilations de bases de données de témoignages (ce que sont les almanachs ou études d'historiens antiques ou non) et de traces de produits manufacturés des époques concernées. L'étude des écrits Grecs notamment nous prouvent qu'à une époque (assez courte !), les idées et expressions ont été totalement libres et que les échanges contradictoires et l'élaboration de certaines règles "démocratiques" ont été inventées (ou réinventées) à cette période. Notez que je dis "réinventées" parce que les "scientifiques reconnus" ont aussi beaucoup trop tendance à affirmer sans preuves que leurs découvertes "est la première de quelque chose"...
Tout comme quand un scientifique affirme que sa découverte prouve par exemple que l'Homo Sapiens est apparu à telle date, alors que d'autres découvertes peuvent contredire son affirmation. On cite le Temple de Gobleki Tepe en Turquie "comme la première apparition de l'architecture humaine vers 10.000 ans avant JC" (voir 12.000 à 13.000 ans avant JC maintenant), sans reconnaître qu'il ne s'agit en fait que de la plus ancienne découverte à ce jour, mais qu'il en existe probablement d'autres, plus anciennes... Il faudrait que cette réalité soit clairement écrite dans tout ce qui se rapporte à l'Histoire : rien n'est figé, surtout sur tout ce qui s'est déroulé avant la Renaissance (à mon avis), et les historiens devraient plus souvent parler au conditionnel qu'autre chose pour les époques précédentes (sauf quelques recoupements très cohérents, mais tous issus d'une certaine classe sociale de leur époque : ceux qui savaient lire et écrire...). Il devrait être aussi écrit sur chaque manuel scolaire de la matière "Histoire", que cette matière peut être manipulée assez facilement vu le peu de documentations sur certaines périodes, vu la possession du savoir et aussi de la technique d'écriture par une même "élite" de son époque (souvent religieuse ou Noble), de l'influence de concepts "noble-religieux" évidentes dans une majorité de textes, donc de sectes, etc...
Après des témoignages importants de blessures occasionnées par des rencontres liées aux OVNIs, (VOIR PARTIE 1, lien ci-dessus), nous allons aborder quelques cas plus graves puisqu'ils ont entraîné le décès du témoin direct. Tout comme des écrits historiques antiques ou du moyen-age se recoupant par de multiples témoignages, ceux-ci sont également appuyés par des preuves physiques (des examens médicaux officiels notamment).
Barra da Tijuca-Brasil 07-05-1952
Commençons par le cas le plus célèbre car étayé par de nombreux témoignages, examens médicaux et traces physiques sur le corps du maleureux João Prestes Filho, Brésilien de 40 ans qui a péri en 1946 suite a une rencontre imprévue :
"A Aragariguama, petit bourg tranquille de l'Etat de São Paulo, un phénomène curieux alimente les conversations de ses habitants : pendant la nuit, des lumières étranges évoluent dans le ciel en décrivant par bonds des trajectoires irrégulières, au-dessus des monts et des bois de la région...
En 1946, le jour de Mardi-gras, João Prestes Filho et son ami Salvador dos Santos quittent tôt le matin le village pour une partie de pêche. Avant de partir, João a demandé à sa femme, qui devait emmener leurs fils aux divertissements du Carnaval, de laisser une des fenêtres de la maison entrebaillée pour lui permettre de rentrer.
C'est vers 19 heures que les deux pêcheurs regagnent le village. Une heure plus tard, Prestes, l'air terrorisé, fait irruption dans la maison de sa soeur Maria et explique, en bredouillant, que lorsqu'il a tenté d'ouvrir la fenêtre de sa maison, un faisceau de lumière, venu d'on ne sait où, l'a atteint.
La soeur de João appelle immédiatement les voisins. Parmi les personnes accourures, il y a Aracy Gomide, inspecteur fiscal de la préfecture de São Roque. Gomide, qui possède des connaissances médicales pratiques, a l'habitude de soigner les maladies bénignes de ses voisins. Principal témoin, celui-ci précisera plus tard que les yeux, les paupières et les sourcils de João, que ce dernier disait avoir protégés avec les mains, semblaient parfaitement normaux. De même, toujours selon Gomide, les parties couvertes par les vêtements ne présentaient aucune trace de brûlure.
Peu de temps après, sur les parties touchées par la mystérieuse lumière, la peau commence à se rider comme si elle était restée plusieurs heures dans de l'eau bouillante. Puis les chairs apparaissent et semblent se décoller des os. La pointe du nez commence à se désagréger, les dents inférieures sont mises à nu. Sur les pieds et les mains décharnés, les ongles ont totalement disparu. Seuls, le palais et la langue ne paraissent pas touchés, car João parle normalement. Chose incroyable : à aucun moment João ne ressent la moindre douleur.
Plusieurs livres racontant cette histoire disent qu'en l'espace de deux heures, le corps de João s'est désagrégé, le nez et les oreilles se détachant et roulant au sol. Reprenons plutôt les témoignages des plus proches de l'affaire :
Voici celui du fils de feu Roque Prestes, le frère de João, Luis Prestes qui témoigne des paroles de son père :
" Récemment, peu de temps avant son décès, mon père se rappela la tragique mort de son frère, survenue durant l'année 1946. J'étais jeune à l'époque - 9 ans - mais je me souviens bien de ce qui est arrivé à mon oncle Joao. C'était lors du week-end de carnaval, et Joao, qui répugnait à aller à ce genre de festivités, décida de pêcher et partit avec sa charrette. Il vivait à Araçariguama, un petit village localisé à 7 km de Sao Roque, une communauté tranquille et isolée. Ma tante alla à la fête avec ses enfants et laissa le repas de Joao à la maison. J'étais à Araçariguama, quand j'appris que mon oncle était à l'agonie. Il était dans une maison proche de celle où je me trouvais. Je voulais le voir, mais cela m'était interdit. J'étais trop jeune et l'état physique de Joao aurait pu me choquer. Mon père le vit, et Joao lui dit que tandis qu'il retournait chez lui, quelque chose ressemblant à une "torche ardente" entra dans la pièce dans laquelle il se trouvait après qu'il eut ouvert la fenêtre. Il tomba à terre et sentait que son corps était en feu. S'enveloppant dans une couverture, il fit plus de deux kilomètres dans le village. Mon père m'expliqua que Joao était brûlé partout au-dessus de la ceinture, sauf au niveau de ses cheveux. Je réussit à voir mon oncle quand ils le sortirent de la maison, le mettant dans un camion pour l'emmener à Santana de Pamaiba, où se trouvait l'hôpital le plus proche. Je me souviens que le drap le couvrant était noirci, peut-être par les brûlures sur son corps. Joao mourut peu de temps avant d'arriver à l'hôpital."
"Un certain nombre de livres publiés en anglais, en japonais et même en russe affirmèrent que Joao Prestes mourut de façon horrible, avec des morceaux de son corps, comme les oreilles ou des parties de son visage, qui fondaient. Est-ce vrai ?" demandai je. "Non. Selon mon père, qui l'a escorté jusqu'à l'hôpital, son apparence était vraiment affreuse, mais pas de manière aussi extrême. Il avait de sérieuses brûlures sur tout le corps. Sa chair était noircie mais ne présentait aucune blessure." répondit notre interlocuteur. Cette indication contredisait l'histoire apparue dans de nombreux livres et articles à propos de ce cas. "Mon père était policier à Santana de Parnaiba. Il réclama toute l'assistance qu'il pouvait obtenir de la part de l'unité médico-légale, mais je ne connais pas les résultats de l'enquête. Aucune trace de brûlure ne fut trouvée dans la pièce où se trouvait Joao quand le feu apparut. Il n'avait aucun ennemi et ne connaissait personne ayant intérêt à le tuer. Même à l'article de la mort, il répétait qu'une lumière l'avait attaqué et qu'elle venait d'un autre monde."
"Avant cela, les habitants voyaient constamment des boules de feu connues sous le nom de "assombraçoes" (fantômes) à Araçariguama et dans sa proximité. Certains croyaient qu'elles venaient de la mine d'or, qui est maintenant fermée. D'autres choses étranges arrivèrent. Feu mon père me raconta qu'en 1922 il vit un lobisomem (un loup-garou) avec mon grand-père et mon oncle. Mon oncle lui lança une pierre et apparemment, le toucha à la main. Le lendemain, un voisin portait un bandage à sa main. D'autres gens racontaient des histoires similaires.", nous informa Luis Prestes.
"Emiliano Prestes, le frère de Joao, vécut également quelque chose d'effrayant. Quelques mois après la tragique mort de son frère, Emiliano marchait dans une forêt d'Agua Podre - la même dans laquelle apparu le lobisomem en 1922 et la lumière qui brûla Joao. Une lumière ardente parut devant lui. Emiliano, terrifié, courut jusqu'à la bordure d'un canyon quand la chose tomba sur lui. Tout ce qu'il put faire fut de s'agenouiller et de prier pour sa vie. Il me dit qu'il ressentit une chaleur intense, mais par chance, la lumière partit et disparut." Le compte-rendu de Luis augmente le nombre de phénomènes mystérieux dans la région. La lumière ardente ou boule de feu fut vue en de nombreuses occasions par le père de Luis. L'objet effraya des chevaux et cavaliers tandis qu'il rentrait dans leurs humbles demeures la nuit. "Les lumières furent observées le plus souvent entre 3 et 4 heures du matin, et sont 3 à 4 fois plus grandes que la Lune. Les gens sentaient leur chaleur à distance, et elles étaient capables de se mouvoir à une vitesse surprenante. Mon père cessa d'aller à des fêtes la nuit à cause de ces lumières.", se rappelle Luis.
Les informations obtenues jetaient une lumière nouvelle sur le cas de Joao Prestes, et nous en étions satisfaits. Nous pensions ne rien pouvoir ajouter à tout cela. Mais juste avant la fin de notre entretien, Luis nous donna un indice intéressant : l'existence du dernier témoin à avoir vu l'agonie de Joao. "C'est un vieux gentleman, mais encore lucide et fort. Il vit proche de chez moi à Sao Roque. Voici son adresse." Nous nous dirigeâmes immédiatement vers la résidence de Virgilio Francisco Alves. Sa fille nous avertit qu'il travaillait dans les champs devant la maison, nettoyant la végétation à la faux. Après quelque temps, Vergilio apparut. A notre surprise, il produisit sa carte d'identité prouvant qu'il avait bien 92 ans.
Assis sur un sofa usé, Virgilio nous expliqua qu'il était le cousin de Joao Prestes. "Je suis né et j'ai grandi à Araçariguarna. J'ai commencé à travailler à la mine d'or de Morro Velho à l'âge de 15 ou 16 ans. Il y avait un ingénieur anglais qui ne pouvait écrire mon nom et m'appelait garoto de ouro (golden boy). Je vais vous dire ce que je sais de l'horrible mort de Joao Prestes. Cela s'est passé durant le week-end de carnaval en 1946. Il était parti pêcher sur la rivière Tieté, avec sa charrette, tandis que sa femme et ses enfants allaient aux festivités. C'était la saison sèche et il ne pleuvait pas. Quand il revint, il mit son cheval dans l'écurie et le nourrit. Il mit les poissons dans une marmite et fit chauffer de l'eau au feu de bois pour prendre un bain. Alors qu'il changeait ses vêtements, une espèce de faisceau de lumière jaune apparut dans la pièce. Il sentit son corps brûler, ainsi que sa barbe. Paniqué, incapable de bouger ses mains, Joao ouvrit la porte avec ses dents et courut dans la rue pieds nus, étant donné qu'il ne portait jamais de chaussures. Il arriva en hurlant chez sa soeur Maria, proche de l'église d'Araçariguama. Il se laissa tomber sur un lit et raconta qu'il avait été brûlé. Le chef de la police, Joao Malaquias, vint immédiatement. On lui dit qu'il n'y avait personne à blâmer pour ce qui était arrivé, car l'attaquant n'était pas de ce monde. Un orage, avec une averse torrentielle, suivit ..."
"Quoiqu'il en soit, atterrés par ce spectacle atroce, les voisins chargent João sur une charette qui doit l'emmener à l'hôpital le plus proche. Mais il ne l'atteindra pas : il meurt en cours de route, six heures après l'agression du faisceau de lumière. Un certificat de décès, signé par les témoins, est dressé. Et sur ce certificat, une mention unique qui ne reflète guère la mort effroyable de João : " Mort par brûlures généralisées ".
Les services de police locaux, alertés par les témoins, effectuent quelques recherches qui se révèlent négatives : aucune trace ne put être relevée, ni sur les lieux de l'agression, ni à l'intérieur de la maison où rien n'avait disparu. Pendant plusieurs jours, après les sombres évènements du Mardi-Gras, les habitants de Aragariguama voient encore les mystérieuses lumières se livrer à des évolutions désordonnées dans le ciel..."
Un autre témoignage provient d'un riche fermier brésilien de l'Etat de Goias. Cet homme, qui a gardé secrète la mort d'un de ses employés pendant un an, a finalement accepté d'apporter son témoignage indirect, sous la condition que son anonymat soit strictement respecté. voici le récit de M. A.S.M.
" Les faits se sont produits le 13 août 1967. Je suis arrivé à la ferme trois jours après les événements et je ne savais rien. A la descente de mon avion particulier, mon employé Inacio de Souza m'attendait et il me dit qu'il était souffrant. Comme c'était un homme fort et qu'il ne s'était jamais alité, je me suis rendu le lendemain à son appartement et, en le voyant couché, je lui ai dit avec énergie :
" Qu'avez-vous mon garçon ?" Alors il me répondit : " Patron, j'ai tué un homme ! "
Je suis resté pantois et je lui ai demandé : " Mais comment as-tu pu faire cela ?"
"Pressé de questions, Inacio finit par raconter à son patron sa terrible aventure. Le 13 août 1967, Inacio et sa femme revenaient chez eux, dans la ferme de Santa Maria, entre Crixas et Pilar de Goias, dans l'Etat de Goias. En arrivant près de la maison, rapporte Inacio, nous vîmes un étrange objet ayant la forme d'une cuvette dont l'ouverture serait tournée vers le bas. L'objet avait 35 mètres de diamètre (...), entre l'appareil et la maison, se trouvaient trois inconnus."
" J'ai pensé que c'étaient des gens qui venaient nous rendre visite, mais j'étais un peu effrayé du genre d'avion qu'ils avaient. C'étaient des personnes de même apparence que nous, sauf qu'ils paraissaient chauves. Ils étaient en train de jouer, de folâtrer comme des enfants, mais en silence. Quand ils nous aperçurent, ils me désignèrent du doigt et se mirent à courir dans notre direction. J'ai crié à ma femme de rentrer en courant à la maison. Comme j'avais avec moi une carabine, j'ai tiré sur celui qui était le plus proche. A ce moment est sortie de sous l'avion, comme d'une lanterne, une lumière verte qui m'a atteint à la poitrine du côté gauche. Je suis tombé à terre. Ma femme a couru vers moi, en prenant l'arme, mais les hommes étaient déjà rentrés dans l'avion qui s'est élevé en vol vertical, à grande vitesse, et en faisant un bruit semblable à celui des abeilles. "
Le lendemain, le fermier se décide à examiner les lieux dans l'espoir de trouver d'éventuelles taches de sang laissées par l'homme que la balle tirée par Inacio a pu atteindre. Aucune trace n'apparaît. Pourtant Inacio a précisé : " J'ai bien visé la tête ". Et A.S.M. sait que son employé n'a jamais manqué un tir à 60 mètres de distance : Inacio, cela est connu, est un excellent tireur. Le fermier poursuit ses révélations :
" Les premier et second jours, Inacio a souffert de nausées, de fourmillements et d'un engourdissement de tout le corps, et ces jours-là ses mains tremblaient. Je me suis décidé à l'emmener à Goiania (à 180 km de la capitale Brasilia) pour lui faire subir un examen complet et je lui ai recommandé de garder le silence sur l’événement. A Goiania, le médecin, sans savoir ce qu'il avait, constata l'existence d'une brûlure circulaire de 15 centimètres de diamètre environ sur la partie gauche du tronc, presque à l'épaule. Pour soigner la brûlure, il décida d'appliquer le remède appelé Unguento picrato de Butesin. En ce qui concernait les autres symptômes, il diagnostiqua comme origine une cause végétale, il pensa qu'Inacio avait pu manger quelque mauvaise herbe."
" Je me suis décidé à relater au médecin ce qui était arrivé. Surpris, il demanda à Inacio : " Quelqu'un d'autre a-t-il vu ces hommes ? " Inacio répondit : " Ma femme ". Alors le médecin me prit à part et me demanda si j'avais jamais parlé à Inacio des "OANI" (Objet Aérien Non Identifié). Je lui dis que non. Il se décida alors de demander à Inacio s'il avait jamais vu en quelque autre occasion ce type d'avion ou si quelqu'un lui en avait déjà parlé. Inacio répondit : " Non, monsieur, je n'en ai jamais vu ni entendu parler ". Le médecin prescrivit alors à Inacio qu'il se fasse admettre en clinique et demande à subir un examen complet des matières fécales, de l'urine et du sang."
" Quatre jours après avoir été mis en observation, poursuit A.S.M., Inacio fut renvoyé chez lui. Surpris qu'on ne l'eût pas gardé en traitement plus longtemps, j'allai voir le médecin. Celui-ci me dit alors que le cas d'Inacio était fatal, que les examens avaient montré qu'il était atteint de leucémie, le cancer du sang, et qu'il ne lui restait que 60 jours de vie, au maximum. Il me dit encore : " Et le monsieur (le malade) m'a suggéré d'oublier tout ce qui lui était arrivé... il sera entendu qu'il n'a rien vu. Il a un nom à préserver et tout cela ne ferait que créer une panique. Quant à moi, je n'ai rien entendu et je ne sais rien. J'ai une réputation et, pour moi, son cas est un cas de leucémie. "
La femme d'Inacio a relaté au fermier les derniers instants du mourant. D'après son récit, il présentait sur tout le corps des taches d'une couleur jaune blanchâtre, de la dimension d'un ongle, et il ressentait des douleurs atroces. Il maigrissait à vue d’œil, au point qu'avant de mourir il n'avait plus que la peau et les os. Sa femme se souvient de ses dernières recommandations qui revenaient comme un leitmotiv : brûler le lit, le matelas et toute la literie après son décès. Sa mort survint le 11 octobre 1967, et, selon son vœu, toutes ses affaires personnelles furent brûlées.
Voici un rapport établi par le professeur Felipe Machado Carrion, qui a expliqué de façon extrêmement précise les effets mortels de radiations ionisantes, en date du 30 janvier 1969, à Porto Alegre :
"Inacio de Souza présentait les symptômes classiques de la leucémie d'origine radioactive, de laquelle il est mort dans les 60 jours prévus par le médecin. A partir du moment où il a reçu le faisceau lumineux vert, sa santé a été ébranlée et il a commencé à présenter tous les symptômes caractéristiques de l'exposition à des radiations mortelles.Qu'elles proviennent de tubes à rayons X, de fluoroscopes, de cyclotrons, d'isotopes radioactifs ou de toutes autres sources, les radiations ionisantes (rayons Alpha, Bêta, Gamma, flux de neutrons, rayons cosmiques ou autres) produisent des effets identiques sur les cellules et les organes.Il n'existe pas de conséquences qui soient particulières à un type donné de radiation, bien qu'il y ait des différences, par exemple en ce qui concerne la dose nécessaire pour faire apparaître un résultat déterminé, les conditions restant identiques, telles que le fait d'être atteint sur tout le corps, le temps d'exposition, etc. Les particules lourdes, telles que les rayons Alpha, ont de plus grandes possibilités que les particules plus légères de briser les éléments des tissus vivants. (...)"
" La partie du corps humain sur laquelle apparaissent les premiers indices physiques résultant d'une dose d'irradiation est la peau, où l'on observe une irritation semblable à celle causée par une brûlure. Dans le cas d'Inacio, une brûlure était nettement visible dans la région atteinte par le rayon lumineux. (...) La leucémie d'origine radioactive peut aussi bien résulter de petites doses d'irradiation répétées durant des mois ou des années, que d'une simple et unique exposition à haute dose. La leucémie est très fréquente chez des personnes qui ont été exposées à des radiations ionisantes excessives. Tous les symptômes présentés par Inacio de Souza étaient ceux d'une leucémie causée par une forte dose de radiations."
"OVNIs et Extra-Terrestres" Tome 3 Yves Naud
Barra da Tijuca-Brasil 07-05-1952
Thomas Francis Mantell Junior naît à Franklin (Kentucky) le vendredi 30 juin 1922. Il fait ses études au lycée de garçon de Louisville, après quoi il entre rapidement dans l'AAF le mardi 16 juin 1942, et sort diplômé de l'Ecole d'Aviation le jour de ses 21 ans, le mercredi 30 juin 1943.
Pendant la 2nde guerre mondiale, il est affecté à 440èmeGroupe de Transport de Troupes, dans le 96ème Escadron de Transport de la 9ème Air Force. Il participe à l'invasion de la Normandie par les forces alliées (il reçoit la Croix de Distinction en Vol et la Médaille de l'Air w/3OLCs pour héroisme) et à de nombreuses autres opérations européennes durant la guerre.
Après avoir quitté le service actif en janvier 1947, il revient à Louisville et rejoint Garde Nationale Aérienne du Kentucky, toute nouvellement réorganisée. Le capitaine Mantell y est chef de vol "C" dans le 165ème escadron de chasseurs le 16 février 1947.
Reconnaissance fatale
Le mercredi 7 janvier 1948, un objet énorme, rond et lumineux est aperçu en début d'après-midi au-dessus de Madisonville (Kentucky) par des dizaines (milliers selon d'autres sources) de témoins. Les autorités, inquiètes de sa présence dans les environs de Fort Knox (la réserve d'or des Etats-Unis), donnent l'alarme à 13:30.
A 13:45, l'objet est signalé à la verticale de la base aérienne de Godmann, à quelques km du but supposé. Pourtant, une fois au-dessus des pistes, il s'arrête : tous les militaires le voient osciller lentement en passant régulièrement du rouge au blanc.
Pendant ce temps Mantell est à la tête d'un convoi de 4 P-51D Mustangs parti de Marietta (Georgie) pour la base deStandiford (Kentucky). Entre , l'escadrille de Mantell est à gauche de l'événement. Alors qu'ils s'approchent de Godman Field, Mantell bascule sur le canal "B" pour contacter la base de Standiford, mais est repéré par la tour voisine de Godman. Le colonel Guy F. Hix, commandant de la base, a décidé de contacter les pilotes, et le sergent Quinton Blackwell, opérateur de la tour, contacte la formation :
Blackwell : Tour de Godman appelant le vol de 4 vaisseaux en direction du Nord au-dessus du terrain de Godman. Vous me recevez ? A vous. (Pause) Tour de Godman appelant le vol de 4 vaisseaux en direction du Nord au-dessus du terrain de Godman. Vous me recevez ? A vous.
— Roger, tour de Godman. Ici la Garde Nationale 869, chef de vol de la formation. A vous.
Blackwell : Garde Nationale 869 depuis la tour de Godman. Nous avons un objet ici au Sud de Godman que nous ne pouvons pas identifier, et nous voudrions savoir si vous avez assez de carburant ; et si vous pourriez donc aller voir pour nous si vous le voulez bien.
— Roger, j'ai le carburant et je vais aller regarder pour vous si vous me donner la bonne direction et toute information que vous avez pour localiser l'objet.
Un des aviateurs de Mantell, le lieutenant Bob Hendricks, remarque que Mantell est en train de parler, et bascule alors du canal "C" (sur lequel l'escadron était) au canal "B" pour entendre la tour dire Venez au-dessus du terrain en direction 330° et nous essaierons de vous guider.
— Reçu, je vous appelerait quand je l'authentifierai, répond Mantell.
Bob Hendricks, pressé d'arriver à Standiford, demander à Mantell s'il peut partir, ce à quoi l'autorise Mantell. Il est alors 14:55 (14:40 d'après l'heure de Hendricks, apparemment en retard) quand Hendricks décroche.
Mantell entâme une spirale sur sa droite et faire une ascension à grande puissance à 180 ISP, revenant sur sa route. Le lieutenant Al Clements et son copilote le lieutenant Hammond doivent monter la puissance jusqu'à 2700 tours/mn juste pour rester à niveau, bien que ne sachant pas de quoi il s'agit. Il atteignent 14 000 pieds lorsque Mantell sort de sa spirale et prend une direction Sud-Ouest de 220°, maintenant la puissance d'ascension.
Mantell signale à Godman :
— Je suis à 15000 pieds. J'ai l'objet en vue au-dessus et devant moi, et il semble se déplacer à environ la moitié de ma vitesse ou approximativement 180 miles/h. Je monte jusqu'aux 20 000.
— Pouvez-vous, euh, nous donner une description de l'objet ? A vous.
La tour de Godman capte cette dernière communication, enregistrée à :Juste devant moi et légèrement au-dessus, et se déplace maintenant à ma vitesse environ ou plus. J'essaie de me rapprocher pour avoir une meilleure vision.
A 22 500 pieds Clements dit à Mantell qu'ils sont trop haut. Son copilote commence déjà à être étourdi. A 23 000 pieds Clements rappelle Mantell pour lui dire que lui et Hammond décrochent. La réponse de Mantell n'est pas déchiffrable. La dernière vision de Clements est Mantell en train de monter à haute puissance directement vers le Soleil.
A terre, le colonel Hix suit l'incroyable ascension à la jumelle. Il voit l'ovni. Il a la forme d'un parapluie. Sa taille apparente atteint celle de la moitié de la Lune. Il est complètement blanc, sauf une bande colorée qui semble tourner. A la tour de contrôle, la radio grésille encore : c'est Clements qui annonce que l'objet vient de disparaître dans les nuages après une accélération effarante. Il arrêtent la poursuite, sauf Mantell qui n'est pas encore à 6000 m.
Crash
Un homme au sol, Glenn T. Mayes, est attiré à sa fenêtre par les bruits alternés bizarres d'un moteur d'avion. Selon ce dernier, l'avion de Mantell fait 3 cercles lents, puis part dans une chute de puissance, tournant lentement. Il explose à la mi-chemin du sol. La même histoire est aussi relatée par Mrs. Carey Phillips, qui le vit de sa fenêtre s'écraser à 250 yards de sa ferme, à quelques miles au sud-ouest de Franklin.
La police encadre le périmètre et l'employée de la morgue du comté, Harry Booker, examine le corps de Mantell. Il note que la montre au poignet de Mantell s'est arrêtée à .
La mort de Mantell soulève un émoi considérable dans tous les Etats-Unis. C'est en outre le 1er crash de la Garde Nationale Aérienne du Kentucky.
Enquête de l'USAF
Le capitaine Richard Tyler, chargé de l'enquête et meilleur ami de Mantell, décolle à dans un C-47 depuis Standiford pour Franklin, avec une équipe de mécaniciens et spécialistes entraînés. L'appareil de Mantell est trouvé configuré pour une ascension maximale. Le verrou de son habitacle est toujours en place.
Tyler conclut dans un rapport préliminaire :
Mon opinion personnelle sur l'accident est que Mantell, un pilote agressif, a tenté de poursuivre l'objet aussi longtemps que possible, même s'il a réalisé le danger de son manque d'oxygène. A environ 25 000 pieds je pense qu'il est mort d'anoxie et que l'avion a continué à monter jusqu'à près de 30 000 pieds où il a fait 3 lents cercles et est tombé en perte de puissance, tournant lentement sur la gauche avec le couple moteur. Je pense qu'il a atteint la compressibilité à environ 15 000 pieds et que l'aile gauche à explosé, des parties commençant à tomber sur près de 1 mile dans une direction nord-sud, éparpillant les morceaux les plus légers le plus loin. Je pense que le pilote est mort d'anoxie lorsqu'il a commencé à redescendre. Lorsque l'aile gauche est partie l'aile droite a commencé à agir comme un aileron ou un gouvernail pour le fuselage et a guidé celui-ci vers le bas, parallèlement au sol.
...J'étais l'ami le plus proche de Mantell ...Son intérêt pour le vol ne pourrait être dépassé. Il adorait le P-51, pensait en être le maître et volait... pas imprudemment mais comme un pilote de chasse agressif. Je pense réellement que s'il a pensé avoir une chance de rattraper l'objet il l'a probablement poursuivit conscient de sa mort. Je pense qu'il a vu quelque chose de plus qu'une étoile ou un ballon... et il était d'une intelligence au-dessus de la moyenne. Il connaissait l'avion et les dangers de l'anoxie. Si une force extérieure n'a pas causé sa mort, je pense qu'il est mort trop rapidement pour changer sa ligne de vol.
Vénus
Si l'USAF envisage que Mantell se soit tué en poursuivant soit un ballon-sonde, elle préférera cependant avancer l'explication de la planète Vénus, ce qui lui vaudra le ridicule. Venus était visible ce jour-là dans, seulement 6 fois plus lumineuse que le ciel du Sud où elle se trouvait. A l’œil nu elle était à peine visible. Cependant comme l'objet observé était venu du Sud de Godman, Vénus pouvait faire un bon candidat. Cependant le témoignage du lieutenant Clements confirme que Mantell et lui-même, vers la fin de leur vol, approchaient l'objet depuis l'Est, et qu'ils se dirigeaient plein Ouest en direction du Soleil. Venus aurait alors été un petit point pâle sur leur gauche.
Le lendemain paraît un communiqué de presse Clinton Co. Airfield, Ohio :
PUBLIC INFORMATION OFFICE ALL WEATHER Flying Center Clinton County Army Air Field WILMINTON, OHIO 8 Janvier 1948 __________________________________________________________________
COPIE (PIECE JOINTE 1) DIFFUSION IMMEDIATE
WILMINGTON (Ohio) 8 Janvier -- Un phénomène céleste, décrit par les observateurs de la base aérienne du comté de Clinton comme ayant l'apparence d'un cône rouge enflammé suivi d'une traînée gazeuse brumeuse verte, est apparu dans les cieux du Sud-Ouest de Wilminton la nuit dernière entre .
Le Sgt./S Gale F. Walter et le Cpl. James Hudson, opérateurs de tour de contrôle sur la base aérienne, ont d'abord vu le phénomène à et observé ses manœuvres dans le ciel jusqu'à lorsqu'il aurait disparu sur l'horizon. Le phénomène céleste était accroché suspendu dans les airs par intervalles puis a gagné de l'altitude à ce qui a semblé être des accélérations terribles de vitesse. La lumière intense du phénomène céleste perçait à travers une couche épaisse de nuages passant par intermittence sur la zone et obscurcissant d'autres phénomènes célestes.
Le sergent-major Irvin H. Lewis, le Sgt/S John P. Haag, le Sg. Harold E. Olvis et le Sgt./TLeroy Ziegler, 4 membres de l'équipe d'alerte, ont rejoint les opérateurs de la tour de contrôle dans l'observation des phénomènes célestes durant 35 mn environ.
Le 20 Janvier, avis confidentiel du Cpl. Hudson :
PAGE II
STATE OF OHIO ) ) COUNTY OF CLINTON)
Devant moi, l'autorité sous-signée pour administrer les serments de ce type, apparaît personnellement James H. Hudson, Cpl, ASN 13220873 qui, étant d'abord dûment assermenté par moi, dépose et déclare ;
L'information suivante provient du Plan 62:
L'observation fut faite dans le Kentucky sur les lieux du crash du P-51 avec un télescope 8" :
Altitude, 4 miles.
Largeur, 43 feet.
Hauteur de l'objet, 100 pieds.
Vitesse à ce moment, 10 miles/h
Forme, Cone.
Couleur, rouge avec queue verte.
Cette observation fut faite à Godman Field (Kentucky), avec un théodolite :
1854 CST : Elévation, 2.4 Azimut 254.6
1856 CST : Elévation, 2.0 Azimut 253.9
1902 CST : Elévation, 1.2 Azimut 253.0
1906 CST : Disparu.
Ce qui suit est mon opinion : L'objet n'était pas une comète ou une étoile, mais était fait de la main de l'homme. Ce n'était pas un ballon, une comète, une étoile, ou un appareil d'un type quelconque. La lumière ne venait pas des feux de position d'un appareil. L'objet paraissait dans son ensemble entouré d'un gaz brûlant ou de quelque chose qui lui donnait une lumière.
-- schémas --
Further the deponent sayeth not, //signé// JAMES H. HUDSON, Cpl 13220873
Juré et souscrit devant moi ce 20ème jour de janvier 1948 //signé//
GEORGE W. HOHANNESS
Capitaine, USAF
La presse grand public se fait bien sûr écho de l'incident ("Flier Dies Chasing a 'Flying Saucer'", The New York Times, 9 janvier 1948).
Diverses personnes vont se faire l'écho de la tragique fin de Mantell : George Hunt Williamson déclare que les derniers mots de Mantell étaient : Il y a des fenêtres et je peux voir des gens dedans !(Captain, 1954, 4), puis George Adamski (1955) dont un des contact, "Ramu de Mars", parle d'un accident que nous avons regretté... Les membres de l'équipage avaient remarqué que le capitaine Mantell montait vers eux et savaient que son intérêt était sincère, non bélligérant. Ils étaient pleinement conscients de la puissance émanant de leur vaisseau et pensaient qu'elle stopperait son approche sans le blesser. Mais alors qu'ils se rapprochait, l'aile de son avion coupa cette puissance, permettant à une succion d'avion lieu qui tira l'avion entier dedans, provoquant une désintégration immédiate de l'avion et de son corps. Egalement Angelucci, Orfeo en 1955, dont un des visiteurs de l'espace déclare que Mantell entreprit de rattraper et capturer un des disques contrôlés à distance.
Le ballon sonde
La théorie du ballon sonde sera développée plus tard, notamment par Edward J. Ruppelt, qui révèlera que pratiquement aucun des 7 témoins situés dans la tour de contrôle ne s'étaient accordés, non seulement sur la description de l'objet (cornet de glace avec le sommet rouge est la description qui sera reprise par le communiqué de l'USAF comme commune de l'ensemble des observateurs, mais il y eut également rond et blanc, énorme et argenté ou métallique, petit objet blanc, 1/4 de la taille de la pleine Lune<, 1/10ème de la taille de la pleine Lune) mais aussi sur les messages de Mantell (un seul déclara que Mantell qualifia l'ovni de métallique et de taille énorme). Rupplet indiqua également qu'un des aviateurs ne vit jamais rien (il envoya un message radio : Bon sang qu'est-ce que l'on cherche ? Lorsque l'autre atterrit, il décrivit l'objet comme ressemblant à une réflexion de la canopée).
Ruppelt apprit dans le cadre du projet Blue Book plus tard qu'un énorme ballon 0 commentaire
Questions / Réponses
Aucune question. Soyez le premier à poser une question.