Le changement climatique a déjà provoqué une accélération des épisodes violents ?
Dans un article de la revue Nature Climate Change, Dim Coumou et Stefan Ramstorf, du Potsdam Institute for Climate Impact Research, affirment que changement climatique a déjà provoqué une accélération des épisodes violents.
La question de ces événements violents - néfastes pour l’homme, la production agricole et l’environnement - dans un climat transformé par l’intensification de l’effet de serre (plus de30 milliards de tonnes de CO2 émises par le seul secteur de l’énergie chaque année) est posée depuis plus de vingt ans. Quand Jim Hansen, le climatologue du Goddard Institute for Space Studies, a déclaré en 1988 : «Le changement climatique est déjà là.» Depuis, les scientifiques ont tenté de prévoir l’évolution, suggérée par la physique, de ces extrêmes climatiques. Un climat plus chaud se traduit nécessairement par des vagues de chaleur plus intenses et nombreuses, mais dans quelles proportions ? Une atmosphère basse plus chaude intensifie l’évaporation, favorisant d’importantes sécheresses sur la partie des continents où l’air est sec. A l’inverse, une plus grande quantité de vapeur d’eau sera disponible dans l’atmosphère du fait de l’évaporation de l’eau de mer. La fréquence des épisodes de fortes pluies pourrait donc se multiplier, là où la circulation atmosphérique pousse des masses d’air humides. Enfin, des océans tropicaux plus chauds favoriseront la formation de cyclones.
Ces considérations, cependant, ne suffisent pas à faire des prévisions fiables. Les simulations du climat ne sont pas assez détaillées pour anticiper les cyclones. Et, à cette échelle, les précipitations sont moins prévisibles que les températures. Du coup, les scientifiques se tournent vers la période récente pour tenter de discerner un début d’évolution, perceptible au-delà des variations naturelles et interannuelles. Une observation qui ne se réduit pas à compter les étés chauds et les cyclones : Il faut étudier des statistiques de longue durée et modéliser avec précision le fonctionnement du climat pour vérifier que les événements observés sont liés à son évolution. Ce qui n’a rien de trivial. Plus un événement est extrême, plus il est rare… Et moins les statistiques sont fiables. Ainsi, il ne faut pas attribuer un épisode lié à une oscillation climatique, comme El Niño et La Niña dans le Pacifique, uniquement au changement général en cours.
Ces précautions prises, les deux scientifiques ont étudié les événements des dix dernières années qui dépassent les records précédents à l’aide de 86 articles scientifiques. On y trouve les canicules, sans précédent depuis 500 ans, en Europe de l’Ouest (2003) et en Russie (les grands incendies et la chute de la production de blé en 2010), les inondations dramatiques au Pakistan (20 millions de personnes affectées et au moins 3 000 morts en 2010), les pluies les plus intenses jamais enregistrées dans l’est de l’Australie (1,8 milliard d’euros de dégâts en 2010). Et les précipitations qui se sont abattues sur la Grande-Bretagne au printemps 2007, les plus importantes depuis 1766.
Pour les deux chercheurs, la fréquence et l’intensité des canicules des dix dernières années sont liées au changement climatique. Les épisodes de pluies et les inondations catastrophiques également. Une relation qui ne peut être démontrée que là où des observations météorologiques denses et fiables existent sur une longue durée (Etats-Unis, Europe et Australie).
Pour les cyclones, l’exercice est plus délicat. Année record, 2004 a vu le doublement des ouragans les plus violents (2 à 4) et un cyclone a été observé pour la première fois dans l’Atlantique Sud. En 2007, le plus puissant jamais recensé s’est déchaîné en mer d’Arabie. Autant d’épisodes amènent les scientifiques à noter que l’augmentation de ces phénomènes entre 1980 et 2005 pourrait être due au refroidissement de la stratosphère - conséquence de l’intensification de l’effet de serre. Mais ils estiment qu’il n’y a pas encore suffisamment de preuves d’un effet du changement climatique sur leur nombre et leur intensité.
Un début. C’est le futur qui est inquiétant. Car nous ne sommes qu’au début du bouleversement provoqué par les émissions de gaz à effet de serre. Ainsi, vers 2070, l’été caniculaire de 2003 en Europe de l’Ouest sera devenu un été moyen. Enfin, les deux scientifiques relèvent une mauvaise compréhension de la réponse favorite des climatologues - «Je ne sais pas» - à la question : «Tel événement est-il lié au changement climatique?» Cette réponse est souvent comprise comme un non. Alors qu’elle signifie simplement que les scientifiques «ne peuvent pas l’affirmer de manière rigoureuse». Et les deux chercheurs de conclure que les pluies et les chaleurs extrêmes, dues à notre action sur le climat, sont déjà là.
Augmentation de la menace des séismes et du volcanisme et mini âge glaciaire ?
De nombreux sites ont relayé une alerte mondiale sur une augmentation de la menace des tremblements de terre et du volcanisme, en particulier aux USA. Plusieurs sources en ont rajouté ou ont mal traduit comme très souvent. Tout d'abord, ce n'est pas une alerte "officielle" et "gouvernementale" comme l'ont affirmé certains, et la NASA, ainsi que le gouvernement fédéral des USA nie toute implication dans ces déclarations et lettres. Tout ceci émane d'un organisme privé et à buts lucratifs, dirigé effectivement par un ancien conseillé scientifique à la Maison Blanche, Monsieur Casey.
Le Space and Science Research Corporation (SSRC) (ne pas confondre avec le SRC, créateur du projet américano-canadien HARP (1967) de Gerald Bull (assassiné par le Mossad à priori dans les années 1990), est le premier organisme de recherche aux États-Unis sur le sujet des changements climatiques liés à une ère de refroidissement global de longue durée (une nouvelle ère glaciaire serait à l'ordre du jour selon ces prévisionnistes). Outre la recherche, son objectif est d’alerter les gouvernements, les médias et les populations sur la nécessité de se préparer à cette nouvelle ère climatique. N'ayant aucun lien avec la NASA, il faut le répéter, le SSRC s'appuie plutôt sur certaines de ces données, dont celles de 2011 pour argumenter sur ses propres résultats, qui viennent de mener à l'envoi d'une lettre officielle d'alerte à la FEMA ( Federal Emergency Management Agency ).
Le SSRC croit, ainsi que d’autres scientifiques et géologues, qu’il existe une forte probabilité que les éruptions volcaniques et les tremblements de terre seront plus nombreux en fréquence et en intensité au cours de cette prochaine ère. Tous ces événements catastrophiques seraient le résultat d’un cycle « d »hibernation solaire », soit une réduction spectaculaire de la production d’énergie du Soleil.
En date du 8 juin dernier, le SSRC a émis un communiqué de presse sur son site intitulé « La menace de tremblements de terre et de volcans augmente pour les États-Unis« .
Le 5 juin 2015, une lettre a été envoyée à Craig Fugate, administrateur de la Federal Emergency Management Agency (FEMA), par le PDG du SSRC. Dans cet écrit, on peut lire que:
– la probabilité de séismes et d’éruptions volcaniques dans les régions sismiques et volcaniques a augmenté de manière significative;
– nous croyons que les États-Unis et tous les pays du monde sont maintenant entrés dans la période la plus dangereuse pour des tremblements de terre catastrophiques et des éruptions volcaniques depuis les derniers deux cents ans;
– une nouvelle tendance vers l’augmentation du nombre et de l’intensité des tremblements de terre et des volcans à l’échelle mondiale a déjà commencé et génère de graves préoccupations dans le domaine de la géologie;
– l’élévation du niveau de menace que nous lançons est intimement liée à une réduction dramatique en cours de la production d’énergie du Soleil (hibernation solaire);
– ces périodes sont universellement reconnues au sein de la communauté de la physique solaire. Notre précédente recherche indiquant le début de la prochaine hibernation solaire est maintenant confirmée par la NASA.
NASA Data Confirms Solar Hibernation and Climate Change to Cold Era (2011).
– par conséquent, nous croyons que les zones sismiques et volcaniques à haut risque aux États-Unis, surtout en Californie, en Caroline du Sud et en particulier la zone sismique de New Madrid, peuvent éprouver de grands tremblements de terre ou éruptions volcaniques à tout moment entre maintenant et jusqu’en 2030.
– dans le cas de la faille de New Madrid, nous montrons que dans chacune des quatre dernières périodes d’hibernation solaire, un tremblement de terre catastrophique a frappé la région. Maintenant qu’une nouvelle hibernation solaire a commencé, nous en appelons à prendre des précautions maximales étant donné la forte probabilité que d’autres tremblements de terre dévastateurs frappent à nouveau la zone sismique de New Madrid.
– la fenêtre pour un prochain grand tremblement de terre sur la faille de New Madrid est comprise entre 2017 et 2038.
John L. Casey, PDG du SSRC, termine sa lettre en disant:
" Il est compréhensible que cette lettre puisse être difficile à accepter étant donné l’ampleur du problème et des obstacles que vous rencontrerez d’un point de vue politique et scientifique pour en arriver à prendre une action décisive comme nous vous exhortons à le faire. Toutefois, avant de rejeter ce message, je demande instamment que vous examiniez soigneusement nos recherches, nos conclusions et nos recommandations pour la préparation de ce nous croyons être une période géophysique destructive jamais inégalée. "
La lettre a été signée par le président SSRC, M. John Casey, et livrée au siège de la FEMA à Washington, DC. Dans la lettre, M. Casey explique comment la réduction dramatique en cours de la production d'énergie du Soleil ne va pas seulement plonger le monde dans une période froide pour des décennies (certains parlent de 200 ans), mais en même temps, apporter une série de dévastations géophysiques avec de monstrueux tremblements de terre et des éruptions volcaniques. Ces périodes de climat froid appelées «hibernations solaires» ou «minimums solaires," sont bien connues des spécialistes de la communauté de la physique solaire (elles sont aussi appelées "mini âge glaciaire"). Le SSRC a fait un travail de pionnier dans le domaine de la modélisation du climat conventionnel et solaire et est lui-même établi comme un chef de file dans la prévision du climat et de l'étude de ces hibernations du Soleil.
Citant la nouvelle recherche inclue dans le Rapport semi-annuel du climat mondial de la SSRC (GCSR) à paraître le mercredi 10 juin 2015, la lettre à Craig Fugate de la FEMA contenait un avertissement important pour toutes les grandes zones de failles de tremblements de terre et les zones volcaniques actives. La recherche se concentre en particulier sur la menace accrue pour la zone sismique de New Madrid (NMSZ) entre Saint-Louis et Memphis.
Cette nouvelle information sur cette menace est contenue dans l'un des plusieurs articles de l'édition de Juin 10 du document GCSR rédigé par M. Casey et le Dr Dong Choi, directeur de la recherche pour le tremblement de terre et le Centre international de Volcan de prévision (IEVPC). Le document montre que le NMSZ est sous la menace d'un autre tremblement de terre catastrophique entre 2017 et 2038. Les Dr Choi et Casey montrent que quatre fois de suite depuis l'année 1450, un séisme majeur a frappé le NMSZ lorsque le Soleil est entré dans une phase d'hibernation. Cette révélation scientifique est ce que Choi et Casey estiment avoir résolu le mystère sur quand le prochain séisme majeur frappera la région. Les géologues ont étudié la NMSZ depuis de nombreuses années en utilisant des approches traditionnelles. Casey et Choi disent que c'est la recherche combinée dans les domaines de la physique solaire et la géologie qui offre la meilleure opportunité à ce jour d'estimer quand le prochain tremblement de terre dévastateur sur NMSZ va frapper. D'autres scientifiques sont d'accord avec leur opinion.
Ici des données sur Yellowstone, qui est aussi dans un certain état d'alerte à cause de remontées magmatiques déformant la région en ce moment.
Une gigantesque poche de magma de 25 kilomètres de hauteur a été découverte.
Lien vers l'article de 20 Minutes:fr/sciences/1594427-20150424-gigantesque-reservoir-magma-decouvert-sous-super-volcan-yellowstone Tous les lieux à risques séismiques et volcaniques aux USA...
Pour cette raison singulière, les Dr Choi et M. Casey ont fortement recommandé à l'administrateur de la FEMA, Fugate, que toutes les zones et les zones de faille sismique à haut risque, ayant des antécédents d'éruptions volcaniques dans les États-Unis, prennent des précautions immédiates pour atténuer ce qu'ils décrivent comme une «période inégalée de létalité géophysique et de destruction ".
M. Casey ajoute: " La très forte corrélation entre ces minimums solaires et l'incidence des tremblements de terre catastrophiques dans le monde entier est une impressionnante démonstration de la façon dont nous sommes tous interconnectés à notre monde naturel et les cycles du Soleil. Il serait imprudent d'ignorer, en particulier, l'histoire des grands tremblements de terre dans le NMSZ et le fait que, lors de chaque hibernation solaire depuis les 600 dernières années, cette région a connu des tremblements de terre dévastateurs allant de M6.8 à M8.0. "
" Alors que nous abordons le risque New Madrid dans ce communiqué de presse et dans le Rapport de situation du Climat Global du 10 Juin 2015, la coïncidence de grands tremblements de terre avec des minimums solaires n'est pas limitée à cette région des États-Unis. Voilà pourquoi notre lettre à l'administrateur Fugate avait une alerte à l'échelle nationale. Le séisme Cascadia d'environ M9.0 et le tsunami de 1700 était au milieu de la plus froide période d'hibernation solaire qui a été appelée le minimum de Maunder.Le Grand Tremblement de terre de San Francisco de 1906 était au milieu d'un autre point bas solaire - le minimum «Centennial» comme on l'appelle à la SSRC. Cette association forte de l'activité solaire et des pires tremblements de terre et éruptions volcaniques pourrait représenter le «chaînon manquant» pour la prévision des catastrophes géophysiques ".
Dr Choi (Australie) soutient aussi l'opinion de Casey en disant, " La recherche approfondie effectuée dans ce domaine est claire dans ses implications. Lorsque les minimums solaires arrivent, les pires séismes sont enregistrés et les éruptions volcaniques en hausse. Le dernier minimum solaire par exemple, a donné la plus grande série de tremblements de terre dans l'histoire humaine dans le NMSZ et la plus grande éruption volcanique enregistrée au mont Tambora en Indonésie. Ces événements se sont produits à quelques années l'un de l'autre au cours de la période la plus froide dans la dernière hibernation du Soleil dans le début des années 1800 ".
Pour aller plus loin, vous verrez ci-dessous que Mr Casey dénonce depuis 2007 le retard du GIEC sur la réalité scientifique (mais aussi les politiques et leur volonté de tirer de l'argent grâce à des taxes "écologistes" non justifiées... destinées à protéger les nantis comme ces hommes politiques, des banquiers et des mafieux, et avoir des fonds pour les mettre à l'abri (mais pas la population qui paie les taxes bien sûr !)... Voici une vidéo très récente (novembre 2014), dans laquelle il fait le point et dénonce la réalité (selon ses travaux et ceux de son organisme, selon certaines données choisies et les ordinateurs...). Que peut-on constater objectivement ? Qu'il semble faire tout de même toujours + chaud qu'avant (la neige n'est pas tellement revenue en masse et pour des deux durées de 2-3 mois comme auparavant dans les régions du nord de l'Europe par exemple), qu'il y a effectivement des dérèglements climatiques anormaux (tornades et trombes, orages et tempêtes, moussons supérieurs aux normes et ailleurs que la normale), que le pôle nord semble toujours fondre, alors qu'au contraire, une (mince) couche de banquise glaciaire semble s'étendre au pôle sud. Nous avons aussi la confirmation d'une hausse du nombre des gros séismes, une activité volcanique intense et une activité solaire "décalée" : le cycle de 11 ans du Soleil a eu un décalage, même s'il semble que plusieurs éruptions solaires se sont bien produites et qu'une inversion solaire magnétique ait eu lieu cette année... Autrement dit, c'est très difficile de faire la part des choses question "visuel", car tant un réchauffement qu'un refroidissement mènent de toute façon à des catastrophes en nombre pour l'être humain et son environnement ! Voilà la vidéo en question, en VO malheureusement (les médias français sont dépassés et "aux ordres" de leurs dirigeants milliardaires (et "protégeables" !) sur ce sujet...) :
Mais quand on va et recherche encore plus, on tombe sur un journaliste qui lui, enquête sur Mr Casey depuis des années et... qui n'est pas très entendu ni suivi ! Il affirme en effet avoir des preuves que Mr Casey est surtout... un affabulateur et éventuellement un vendeur de rêve, voir un escroc (mais il n'y a aucune preuve de "détournement de subventions ou de paiement non dû non plus à priori !). En tout cas, d'après lui, ce fameux "Centre de recherches" n'existe pas car l'adresse indiquée et la photo du site ne montre qu'un immeuble qui loue des adresses à des compagnies et des particuliers (pour 49 $ par mois, une "entreprise" y a ses "locaux !") et son enquête sur sa "carrière" à la NASA ou à la Maison Blanche dirait plutôt qu'il n'a jamais été rien de cela du tout ! tout ceci en vidéo... alors, où se situe la vérité ? Entre un homme qui fait des conférences (filmées) et montre des articles, des traces écrites, et en tire (à priori mais sans preuves) des bénéfices... et un homme qui tente de démontrer que ce que dit le premier est faux... pour en tirer la vérité et dénoncer les mensonges (ou aussi faire des bénéfices ?)... ? Nous sommes apparemment encore entre les deux, dans un monde basé sur "celui qui dira le plus de mensonges gagne ... ! ". Quel monde, c'est presque à souhaiter qu'il disparaisse, finalement... l'argent corrompt trop l'esprit humain et c'est de pire en pire... :
Ci-dessus, à la recherche du "SSRC" à Orlando...
Mais tout ceci fait tout de même les affaires de certains, et les politiques ne sont pas les derniers à en tirer profit, car les bunkers et souterrains existent bien et sont bien créés en attendant ! :
Lundi matin, un trou géant a en partie englouti un imposant hôtel en Floride. Le Summer Bay Resort sis à côté de Disney World a été engouffré dans une énorme fosse de 5 mètres de profondeur et de 15 mètres de largeur. Bien que l'incident n'ait fait aucune victime, près d'un tiers du complexe hôtelier a été pris dans le gouffre. Les secours sont arrivés à temps pour évacuer les 20 personnes qui se trouvaient à l'intérieur de l'hôtel et dans les établissements avoisinants.
Reuters photos
Les résidents de l'hôtel ont déjà remarqué quelque chose d'anormal dimanche soir, aux environs de 22h30. Il semblerait que les fenêtres ont un peu tremblé. Pourtant, cet établissement a déjà subi plusieurs tests géologiques depuis sa construction, il y a 15 ans de cela. Et les tests ont relevé que le terrain était stable.
Pour information, le " sinkhole " est assez fréquent en Floride. Ceci, en raison de la composition du sol. En effet, le terrain de cette région des États-Unis est composé en grande partie de calcaire et d'argile, des minéraux qui sont sensibles à l'érosion par les eaux. Un phénomène semblable a déjà été constaté le mois de mars dernier à Seffner, toujours en Floride. Un homme qui dormait dans sa chambre avait été emporté par un sinkhole. Malheureusement, l'homme victime de cet effondrement n'a jamais été retrouvé.
Pour indemniser les victimes, le gouvernement va imposer aux assureurs d'élaborer une couverture contre le sinkhole. (autrement dit, l'état s'en lave les mains comme souvent et s'arrange pour que les victimes paient par l'intermédiaire de l'augmentation de leurs charges d'assurances et ceux qui ne pourront payer une assurance seront invités à quitter le même état ou à tout perdre...)
Un sinkhole subit est apparu au passage d'un engin de construction en plein Montreal le 05-08-2013.(Reuters Photos)
Voir la carte des sinkholes apparus récemment dans le mondehttps://maps.google
Des épandages illégaux par avion ou hélico de plus en plus dénoncés en France
Paysage du Sud ouest de la france "chemtraillisé"... Histoire de repenser, faisant court, pour les incrédules, à l'ensemble du problème chemtrails-contrails.
Essayez pour le moins, de ne pas trouver si "jolies" les arabesques de l'aviation moderne qui commencent a devenir un peu trop spectaculaire. Si vous ne connaissez pas la maladie du Morgellons encore, voir sur mon canal : http://www.youtube.com/watch?v=dWy2zGLwyZo&feature=channel
Les personnes isolées qui pensent être atteinte de cette maladie peuvent m'envoyer un message privé, je les mettrai en contact avec d'autres malades. Ceci dans le but d'évaluer aussi la réelle étendue de la maladie, en attendant une information plus étendue par les médias. Par EVRTIE
Le problème est réel et il semble que le nouveau ministre de l'agriculture a été mis au courant très rapidement de celui-ci (juillet 2012) :
Epandage de pesticides par avion: le ministre de l'agriculture veut y mettre fin
Le ministre de l'Agriculture Stéphane Le Foll a déclaré lundi qu'il souhaitait que les agriculteurs français n'aient plus recours à moyen terme à l'épandage érien de pesticides. Cette pratique, autorisée par exemple aux Etats-Unis ( voir la photo ci-dessus) est interdite en France mais soumise à des dérogations. Une circulaire adressée le 5 mars 2012 aux directions régionales de l'agriculture et aux services vétérinaires par l'ancien ministre, Bruno Le Maire, avait donné une liste de produits "autorisés ou en cours d'évaluation" pour les cultures de banane, de riz, de maïs et de vigne. (Yves Herbo : cela ne surprend personne le nombre de décisions et lois de l'ancien gouvernement juste avant les élections - dont des lois assouplissant les casinos et le blanchissement d' argent ?).
Stéphane Le Foll constate que ces dérogations sont utilisées de manière différente selon les départements. Interrogé sur France Inter lundi, le ministre a indiqué vouloir mettre en place " des critères qui soient beaucoup plus transparents ". (Yves Herbo : jusqu'à l'invisibilité ? hum...)
Ce mardi des précisions sur l'épandage aérien sont apportées sur le site du ministère de l'agriculture. On peut toutefois noter une baisse de 22% des surfaces traitées entre 2010 et 2011.
De son côté, dans une région voisine, l'Aquitaine, Europe Ecologie les Verts demande un moratoire sur ces épandages, comme l'explique Noël Mamère dans ce reportage :
En Haute-Vienne, un agriculteur de Châlus en conversion bio s'est vu suspendre son label en 2011 de certification à la suite d'un épandage aérien sur une châtaigneraie voisine qui semble avoir contaminé ses parcelles . Il a alors porté plainte car des pulvérisations de pesticides par hélicoptère sur des châtaigniers en lisière de sa propriété lui portaient un gros préjudice. Six autres plaintes de même nature ont été déposées pour des motifs similaires dans la région limousine.
Notons aussi qu'il y a un projet de nanites atmosphériques américain déjà assez élaboré à ma connaissance, et qu'il y a un certain lien avec les OVNIs dans la mesure où plusieurs d'entre eux ont été filmés très près ou à l'intérieur de telles traînées d'avions, certains semblant même les étudier ou "jouer" avec...
Aucun média ne vous en a parlé, ( ils ont d'autres marronniers de l'été à traiter, et l'épisode Fukushima est loin ) mais la sécheresse combinée à la canicule risque de poser de gros problèmes à nos installations nucléaires.
Les cours d'eau imposent en effet de nombreuses contraintes aux centrales. Elles doivent tout d'abord respecter des normes de débit minimal.
Enfin, les centrales doivent s'assurer d'une bonne dilution des effluents radioactifs dans les cours d'eau. En dessous d'un certain débit, par exemple 30 mètres cubes par seconde pour la Loire, les centrales doivent stocker leurs effluents dans des bâches le temps que le fleuve se renfloue. Et au bout de plusieurs semaines, si les sites de stockages sont pleins, il faut arrêter les réacteurs.
Tours de Refroidissement - Chinon
La canicule de l'été 2003 avait démontré la faillite du système nucléaire : non seulement les 58 réacteurs français n'empêchent pas le réchauffement climatique, mais c'est au contraire ce dernier qui en montre les faiblesses.
En 2012 avec les nouvelles températures records de cette mi Août 2012 , nous pouvons de nouveau nous attendre comme en 2003 ou 2006, à ce que l'exploitant demande des dérogations pour dépasser les températures maximales de rejets. Les centrales chauffent alors les cours d'eau, entraînant des conséquences pour la faune et la flore.
Alors qu'en 2012 trente-neuf départements sont concernés par des restrictions d'usage de l'eau, et 19 par une interdiction de tout prélèvement «non prioritaire», en 2005, EDF avait prélevé 42 milliards de m3 pour refroidir tout le parc (thermique à flamme et nucléaire) !
Question nucléaire, on rappelle aussi ici les conséquences de la radioactivité maintenant présente pour longtemps sur Fukushima au Japon : des papillons mutants, déjà apparus et en pleine expansion : http://fukushima-informations.fr/?p=2794
Rio+20: 10 chiffres alarmants sur l'état de la planète
Crédits : REUTERS/Ueslei Marcelino
Le coup d'envoi du sommet sur le développement durable Rio+20 vient d'être donné. Au moment où se négocie un engagement en faveur d'un développement qui allierait protection de l'environnement et éradication de la pauvreté, découvrez les 10 chiffres qui inquiètent sur l'avenir de la Terre.
9,3 milliards d'habitants sur terre d'ici 2050
Nous sommes à l'heure actuelle 7 milliards d'humains sur terre, c'est à dire 2 fois plus qu'en 1950. Et en 2050, la population mondiale devrait culminer à près de 9,3 milliards. Toutefois, le taux de croissance de la population mondiale est en baisse de 27% depuis 1992. Dans les pays les plus pauvres, la population a été multipliée par 4,3 depuis 1961. Actuellement 50% de la population mondiale vit dans les villes, en 2050, c'est 2 personnes sur 3 qui y vivront.
1,3 milliard de personnes en situation de pauvreté extrême
Avec moins d'1,25 dollar par jour, 1,289 milliard d'habitants souffrent de pauvreté extrême, en 2008, dont 47% des Africains. Ils étaient 1,9 milliard en 1990. Dans les pays en développement, 43% de la population vivent avec moins de 2 dollars par jour, et près d'un être humain sur sept souffre de sous-alimentation. Quelque 800 millions de personnes n'ont pas accès à de l'eau potable améliorée (canalisations, puits protégés). 2,6 milliards ne disposent pas d'installations sanitaires, et 1,4 milliard n'ont pas l'électricité.
2,3 milliards de tonnes de gaz polluants émis d'ici à 2020
Si rien n'est fait, les métropoles de la planète rejetteront dans l'atmosphère pas moins de 2,3 milliards de tonnes de gaz à effets de serre d'ici à 2020. En 2010, les 59 plus grandes villes en ont émis 1,7 milliards de tonnes. C'est la Chine qui cause le plus de rejets, avec 8.248 tonnes en 2010, devant les États-Unis, avec 5.497 tonnes.
La température sur la Terre a augmenté de 0,4 degré en 10 ans
Sous l'effet des émissions de gaz à effet de serre qui ont augmenté de 3% par an au cours de la dernière décennie, les températures se sont d'ores et déjà réchauffées de 0,4 degré Celsius. L'Agence internationale de l'énergie s'attend à une hausse de 20 % des émissions de dioxyde de carbone d'ici à 2035, ce qui porterait la température de la planète vers une hausse de plus de 3,5 degrés.
La consommation mondiale d'énergie va doubler d'ici 2030
La consommation mondiale d'énergie en hausse de 5,6% en 2010 devrait doubler d'ici 2030. Les énergies fossiles représentent 87% de l'énergie consommée, le nucléaire 5,2% (22% dans les pays de l'OCDE), et les énergies renouvelables environ 13%.
La destruction du capital naturel s'accélère
Les pays émergents et les États-Unis sont les plus mauvais élèves de la planète en matière de gestion des ressources naturelles, selon un rapport du Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE). En 20 ans, laChine a détruit 17% de son capital naturel, c'est à dire les ressources renouvelables et non renouvelables, les combustibles fossiles, et les forêts et réserves de pêche. Les États-Unis en ont fait disparaître 20%, le Brésil, 25%, et l'Afrique du Sud, 33%.
Les besoins en ressources naturelles représentent 1,5 année de production
La production de la Terre ne suffit plus à couvrir la consommation. Dans le rapport Planète vivante 2012, le WWF estime qu'"au rythme de consommation actuel, il faut une année et demi à la Terre pour produire et renouveler les ressources naturelles consommées par les êtres humains en l'espace d'une année." Et à l'horizon 2030, on prévoit que deux planètes ne suffiraient pas à répondre à nos besoins.
Consommation de viande en hausse de 26%
La consommation alimentaire augmente plus vite que la population. Alors qu'en 15 ans, de 1992 à 2007, la consommation de poissons et produits de la mer était en hausse de 32%, et celle de la viande de 26%, la population mondiale n'augmentait que de 22%.
300 millions d'hectares de forêts en moins
Depuis 1992, les forêts primaires se sont réduites de 300 millions d'hectares, soit à peu près la superficie de l'Argentine. Ne serait-ce qu'entre 2000 et 2010, 13 millions d'hectares de forêts ont disparu chaque année. Les pertes les plus importantes sont constatées dans les régions tropicales qui détiennent aussi la plus grande biodiversité. Dans l'hémisphère nord, au contraire, le reboisement dépasse désormais la déforestation. 350 millions de personnes, parmi les plus pauvres, dépendent des forêts pour leur subsistance quotidienne et leur survie à long terme, selon la FAO.
La biodiversité en déclin de 28%
Entre 1970 et 2008, les populations de mammifères, oiseaux, reptiles, amphibiens, poissons ont décliné de28%, et particulièrement les écosystèmes tropicaux, en baisse de plus de 60% (30% depuis 1992). 41% des espèces amphibies sont menacées, 33% des barrières de corail, 25% des mammifères, 20% des plantes et 13% des oiseaux, selon la Liste rouge de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Avec des prises de poissons multipliées par 5 de 1950 à 2005, la surpêche a réduit certains stocks de poissons de plus de 90%.
Yves Herbo : Tout le monde remarquera les absences des présidents américains, russes et chinois à cette importante conférence...