Des chercheurs de l’EPFZ sont parvenus à déplacer des objets à travers les airs grâce à des ondes acoustiques. Le dispositif pourrait être utile pour manipuler des produits biologiques, chimiques ou radioactifs
Il n’y a pas que les saints, bonzes et super-héros américains païens qui s’y connaissent en lévitation. Les physiciens aussi font voler toutes sortes de choses: y compris des insectes, des poissons et des grenouilles. Des chercheurs de l’Ecole polytechnique fédérale de Zurich (EPFZ) viennent de franchir une nouvelle étape. Grâce à des ondes sonores, ils arrivent à déplacer des objets à travers les airs. Des gouttelettes de liquide, mais aussi des particules solides, des petites boules d’acier et même un cure-dent. Leur dispositif permet de manipuler plusieurs éléments à la fois, voire de les mélanger, sans les toucher. Plusieurs applications sont déjà envisagées. Ces travaux ont été publiés cette semaine dans Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS).
La lévitation n’est pas une branche récente de la physique. Il y a plus d’un siècle, Lord Rayleigh posait les bases de la méthode acoustique. D’autres techniques, comme la lévitation magnétique ou optique, ont déjà fait leurs preuves. « Mais l’approche magnétique est limitée à des matériaux ayant des propriétés particulières, commente Dimos Poulikakos, un des auteurs de l’étude parue dans PNAS. Quant à la méthode optique, elle ne fonctionne que pour des objets extrêmement petits. » En septembre dernier, des chercheurs de l’Argonne National Laboratory, près de Chicago, avaient fait sensation avec leur système acoustique permettant de faire léviter plusieurs gouttes de liquide.
Les ondes sonores sont des variations de pression. Elles exercent une force sur les surfaces qu’elles rencontrent. Si leur intensité est assez élevée, elles peuvent contrebalancer la gravité. Le dispositif classique comprend une plaque vibrante, à laquelle on oppose une autre plaque, qui fait office de réflecteur, explique Dimos Poulikakos. L’onde sonore émise par la partie vibrante et sa réflexion se superposent pour créer une onde stationnaire, c’est-à-dire une onde dont certains éléments – appelés nœuds – restent fixes dans le temps. « Sur ces nœuds, la force due à la pression acoustique compense la gravitation. De plus, la pression locale est nulle, alors que ça n’est pas le cas juste en dessous ou en dessus. » C’est ce qui stabilise le système : l’objet se trouvant à cet endroit est comme pris au piège.
« Mais cela fait plus de cent ans qu’on en est à ce point, poursuit le chercheur. C’est impressionnant, un peu magique, mais pas très utile. Pour la première fois, nous sommes capables de manipuler de manière contrôlée des particules, et de les déplacer à l’intérieur d’un plan. » Au lieu d’une seule plaque vibrante, le système mis au point par les Zurichois comprend un assemblage de petites plaques de la taille d’un timbre, disposées en damier. Chacune peut être activée et contrôlée séparément. En variant les paramètres de deux plaques voisines, on arrive à faire glisser horizontalement le «piège acoustique» de l’une à l’autre. Et ainsi déplacer l’objet en suspension.
Les chercheurs travaillent à environ 160 décibels – soit bien au-delà de ce qui est supportable par l’oreille humaine –, mais dans les ultrasons, à une fréquence inaudible pour nous. Grâce à leur dispositif, ils ont notamment mélangé «en apesanteur» de l’eau et du sodium, provoquant la brutale réaction qui libère de l’hydrogène. Ils ont aussi inséré de l’ADN dans des cellules. Ou encore préparé de minuscules portions de café instantané.
Dans le Washington Post, Rick Weber, de l’Argonne National Laboratory, qui avait fait léviter les gouttelettes, salue l’approche «hautement innovative» des chercheurs de l’EPFZ. Il ajoute que la méthode ouvre beaucoup de nouvelles perspectives pour la lévitation acoustique. Dimos Poulikakos est déjà en discussion avec l’industrie pharmaceutique suisse. Il souligne que le dispositif peut être utile pour la manipulation de toutes sortes d’échantillons, chimiques ou biologiques, en particulier. Notamment lorsque l’on souhaite éviter qu’ils ne soient contaminés par un récipient. Ou alors, pour manier des produits dangereux, chimiques ou radioactifs, par exemple.
« On pourrait penser que le problème majeur est le poids, relève Dimos Poulikakos, mais nous sommes parvenus à faire léviter des petites boules d’acier, qui sont dix fois plus denses que l’eau. Il est beaucoup plus difficile de manipuler des liquides. Si la pression acoustique est trop forte, ils s’évaporent. » Il ne faut pas que la pression dépasse la tension superficielle, cette tendance contractive due à la cohésion des molécules, qui fait que la surface d’un verre d’eau est bombée ou que des insectes peuvent courir sur une marre. Mais le réglage est subtil car, si la pression est trop faible, la goutte tombe.
Hormis le cure-dent, les éléments que les chercheurs zurichois ont déplacé en l’air mesuraient jusqu’à quelques millimètres. Peut-on imaginer passer à des objets plus grands ? Voire expérimenter nous-même un jour les joies de la lévitation acoustique ? « En théorie, il n’y a pas de raison qu’on ne puisse pas aller plus loin, estime Dimos Poulikakos. Mais, dans la pratique, il risque d’y avoir des problèmes techniques.»
Tell al`Ubaid from 4500 B.C.E, ( BEFORE COMMON ERA ) NFOSource
Pour simplifier les choses, l'archéologie moderne énonce que la première civilisation humaine a commencé en Irak, dans l'ancienne Mésopotamie, avec la grande civilisation de Sumer. Mais les découvertes récentes ont largement remis en question ce concept simplifié de l'Histoire Humaine, avec les découvertes de la civilisation de l'Indus et de celle d'Aratta, qui prouvent que Sumer n'était pas l'unique civilisation aux mêmes périodes, voir que certaines pourraient bien l'avoir précédé. Mieux encore, on a aussi découvert que les sumériens, quand ils sont arrivés en Mésopotamie, ont en fait envahi et soumis des populations qui étaient déjà sur place. Des peuples qui possédaient déjà bien sûr leur propre langue et même... leurs propres constructions et architectures ! Les preuves sont maintenant multiples, que l'on parle de la découverte du premier temple d'Uruk, qui date de plus de 5000 ans avant JC (avant l'arrivée des sumériens donc) mais aussi des différences de noms et d'appellations dans la propre langue et écriture des sumériens : la preuve qu'ils ont adopté eux-mêmes des termes et mots des langues des populations locales soumises...
C'est sur le site archéologique de Al Obeid, que de nombreuses preuves et artefacts ont été trouvés. Des artefacts pré-sumériens de 7.000 ans, représentant notamment des personnages humanoïdes avec des caractéristiques de lézard... Voir ci-dessous :
Augmentation de la menace des séismes et du volcanisme et mini âge glaciaire ?
De nombreux sites ont relayé une alerte mondiale sur une augmentation de la menace des tremblements de terre et du volcanisme, en particulier aux USA. Plusieurs sources en ont rajouté ou ont mal traduit comme très souvent. Tout d'abord, ce n'est pas une alerte "officielle" et "gouvernementale" comme l'ont affirmé certains, et la NASA, ainsi que le gouvernement fédéral des USA nie toute implication dans ces déclarations et lettres. Tout ceci émane d'un organisme privé et à buts lucratifs, dirigé effectivement par un ancien conseillé scientifique à la Maison Blanche, Monsieur Casey.
Le Space and Science Research Corporation (SSRC) (ne pas confondre avec le SRC, créateur du projet américano-canadien HARP (1967) de Gerald Bull (assassiné par le Mossad à priori dans les années 1990), est le premier organisme de recherche aux États-Unis sur le sujet des changements climatiques liés à une ère de refroidissement global de longue durée (une nouvelle ère glaciaire serait à l'ordre du jour selon ces prévisionnistes). Outre la recherche, son objectif est d’alerter les gouvernements, les médias et les populations sur la nécessité de se préparer à cette nouvelle ère climatique. N'ayant aucun lien avec la NASA, il faut le répéter, le SSRC s'appuie plutôt sur certaines de ces données, dont celles de 2011 pour argumenter sur ses propres résultats, qui viennent de mener à l'envoi d'une lettre officielle d'alerte à la FEMA ( Federal Emergency Management Agency ).
Le SSRC croit, ainsi que d’autres scientifiques et géologues, qu’il existe une forte probabilité que les éruptions volcaniques et les tremblements de terre seront plus nombreux en fréquence et en intensité au cours de cette prochaine ère. Tous ces événements catastrophiques seraient le résultat d’un cycle « d »hibernation solaire », soit une réduction spectaculaire de la production d’énergie du Soleil.
En date du 8 juin dernier, le SSRC a émis un communiqué de presse sur son site intitulé « La menace de tremblements de terre et de volcans augmente pour les États-Unis« .
Le 5 juin 2015, une lettre a été envoyée à Craig Fugate, administrateur de la Federal Emergency Management Agency (FEMA), par le PDG du SSRC. Dans cet écrit, on peut lire que:
– la probabilité de séismes et d’éruptions volcaniques dans les régions sismiques et volcaniques a augmenté de manière significative;
– nous croyons que les États-Unis et tous les pays du monde sont maintenant entrés dans la période la plus dangereuse pour des tremblements de terre catastrophiques et des éruptions volcaniques depuis les derniers deux cents ans;
– une nouvelle tendance vers l’augmentation du nombre et de l’intensité des tremblements de terre et des volcans à l’échelle mondiale a déjà commencé et génère de graves préoccupations dans le domaine de la géologie;
– l’élévation du niveau de menace que nous lançons est intimement liée à une réduction dramatique en cours de la production d’énergie du Soleil (hibernation solaire);
– ces périodes sont universellement reconnues au sein de la communauté de la physique solaire. Notre précédente recherche indiquant le début de la prochaine hibernation solaire est maintenant confirmée par la NASA.
NASA Data Confirms Solar Hibernation and Climate Change to Cold Era (2011).
– par conséquent, nous croyons que les zones sismiques et volcaniques à haut risque aux États-Unis, surtout en Californie, en Caroline du Sud et en particulier la zone sismique de New Madrid, peuvent éprouver de grands tremblements de terre ou éruptions volcaniques à tout moment entre maintenant et jusqu’en 2030.
– dans le cas de la faille de New Madrid, nous montrons que dans chacune des quatre dernières périodes d’hibernation solaire, un tremblement de terre catastrophique a frappé la région. Maintenant qu’une nouvelle hibernation solaire a commencé, nous en appelons à prendre des précautions maximales étant donné la forte probabilité que d’autres tremblements de terre dévastateurs frappent à nouveau la zone sismique de New Madrid.
– la fenêtre pour un prochain grand tremblement de terre sur la faille de New Madrid est comprise entre 2017 et 2038.
John L. Casey, PDG du SSRC, termine sa lettre en disant:
" Il est compréhensible que cette lettre puisse être difficile à accepter étant donné l’ampleur du problème et des obstacles que vous rencontrerez d’un point de vue politique et scientifique pour en arriver à prendre une action décisive comme nous vous exhortons à le faire. Toutefois, avant de rejeter ce message, je demande instamment que vous examiniez soigneusement nos recherches, nos conclusions et nos recommandations pour la préparation de ce nous croyons être une période géophysique destructive jamais inégalée. "
La lettre a été signée par le président SSRC, M. John Casey, et livrée au siège de la FEMA à Washington, DC. Dans la lettre, M. Casey explique comment la réduction dramatique en cours de la production d'énergie du Soleil ne va pas seulement plonger le monde dans une période froide pour des décennies (certains parlent de 200 ans), mais en même temps, apporter une série de dévastations géophysiques avec de monstrueux tremblements de terre et des éruptions volcaniques. Ces périodes de climat froid appelées «hibernations solaires» ou «minimums solaires," sont bien connues des spécialistes de la communauté de la physique solaire (elles sont aussi appelées "mini âge glaciaire"). Le SSRC a fait un travail de pionnier dans le domaine de la modélisation du climat conventionnel et solaire et est lui-même établi comme un chef de file dans la prévision du climat et de l'étude de ces hibernations du Soleil.
Citant la nouvelle recherche inclue dans le Rapport semi-annuel du climat mondial de la SSRC (GCSR) à paraître le mercredi 10 juin 2015, la lettre à Craig Fugate de la FEMA contenait un avertissement important pour toutes les grandes zones de failles de tremblements de terre et les zones volcaniques actives. La recherche se concentre en particulier sur la menace accrue pour la zone sismique de New Madrid (NMSZ) entre Saint-Louis et Memphis.
Cette nouvelle information sur cette menace est contenue dans l'un des plusieurs articles de l'édition de Juin 10 du document GCSR rédigé par M. Casey et le Dr Dong Choi, directeur de la recherche pour le tremblement de terre et le Centre international de Volcan de prévision (IEVPC). Le document montre que le NMSZ est sous la menace d'un autre tremblement de terre catastrophique entre 2017 et 2038. Les Dr Choi et Casey montrent que quatre fois de suite depuis l'année 1450, un séisme majeur a frappé le NMSZ lorsque le Soleil est entré dans une phase d'hibernation. Cette révélation scientifique est ce que Choi et Casey estiment avoir résolu le mystère sur quand le prochain séisme majeur frappera la région. Les géologues ont étudié la NMSZ depuis de nombreuses années en utilisant des approches traditionnelles. Casey et Choi disent que c'est la recherche combinée dans les domaines de la physique solaire et la géologie qui offre la meilleure opportunité à ce jour d'estimer quand le prochain tremblement de terre dévastateur sur NMSZ va frapper. D'autres scientifiques sont d'accord avec leur opinion.
Ici des données sur Yellowstone, qui est aussi dans un certain état d'alerte à cause de remontées magmatiques déformant la région en ce moment.
Une gigantesque poche de magma de 25 kilomètres de hauteur a été découverte.
Lien vers l'article de 20 Minutes:fr/sciences/1594427-20150424-gigantesque-reservoir-magma-decouvert-sous-super-volcan-yellowstone Tous les lieux à risques séismiques et volcaniques aux USA...
Pour cette raison singulière, les Dr Choi et M. Casey ont fortement recommandé à l'administrateur de la FEMA, Fugate, que toutes les zones et les zones de faille sismique à haut risque, ayant des antécédents d'éruptions volcaniques dans les États-Unis, prennent des précautions immédiates pour atténuer ce qu'ils décrivent comme une «période inégalée de létalité géophysique et de destruction ".
M. Casey ajoute: " La très forte corrélation entre ces minimums solaires et l'incidence des tremblements de terre catastrophiques dans le monde entier est une impressionnante démonstration de la façon dont nous sommes tous interconnectés à notre monde naturel et les cycles du Soleil. Il serait imprudent d'ignorer, en particulier, l'histoire des grands tremblements de terre dans le NMSZ et le fait que, lors de chaque hibernation solaire depuis les 600 dernières années, cette région a connu des tremblements de terre dévastateurs allant de M6.8 à M8.0. "
" Alors que nous abordons le risque New Madrid dans ce communiqué de presse et dans le Rapport de situation du Climat Global du 10 Juin 2015, la coïncidence de grands tremblements de terre avec des minimums solaires n'est pas limitée à cette région des États-Unis. Voilà pourquoi notre lettre à l'administrateur Fugate avait une alerte à l'échelle nationale. Le séisme Cascadia d'environ M9.0 et le tsunami de 1700 était au milieu de la plus froide période d'hibernation solaire qui a été appelée le minimum de Maunder.Le Grand Tremblement de terre de San Francisco de 1906 était au milieu d'un autre point bas solaire - le minimum «Centennial» comme on l'appelle à la SSRC. Cette association forte de l'activité solaire et des pires tremblements de terre et éruptions volcaniques pourrait représenter le «chaînon manquant» pour la prévision des catastrophes géophysiques ".
Dr Choi (Australie) soutient aussi l'opinion de Casey en disant, " La recherche approfondie effectuée dans ce domaine est claire dans ses implications. Lorsque les minimums solaires arrivent, les pires séismes sont enregistrés et les éruptions volcaniques en hausse. Le dernier minimum solaire par exemple, a donné la plus grande série de tremblements de terre dans l'histoire humaine dans le NMSZ et la plus grande éruption volcanique enregistrée au mont Tambora en Indonésie. Ces événements se sont produits à quelques années l'un de l'autre au cours de la période la plus froide dans la dernière hibernation du Soleil dans le début des années 1800 ".
Pour aller plus loin, vous verrez ci-dessous que Mr Casey dénonce depuis 2007 le retard du GIEC sur la réalité scientifique (mais aussi les politiques et leur volonté de tirer de l'argent grâce à des taxes "écologistes" non justifiées... destinées à protéger les nantis comme ces hommes politiques, des banquiers et des mafieux, et avoir des fonds pour les mettre à l'abri (mais pas la population qui paie les taxes bien sûr !)... Voici une vidéo très récente (novembre 2014), dans laquelle il fait le point et dénonce la réalité (selon ses travaux et ceux de son organisme, selon certaines données choisies et les ordinateurs...). Que peut-on constater objectivement ? Qu'il semble faire tout de même toujours + chaud qu'avant (la neige n'est pas tellement revenue en masse et pour des deux durées de 2-3 mois comme auparavant dans les régions du nord de l'Europe par exemple), qu'il y a effectivement des dérèglements climatiques anormaux (tornades et trombes, orages et tempêtes, moussons supérieurs aux normes et ailleurs que la normale), que le pôle nord semble toujours fondre, alors qu'au contraire, une (mince) couche de banquise glaciaire semble s'étendre au pôle sud. Nous avons aussi la confirmation d'une hausse du nombre des gros séismes, une activité volcanique intense et une activité solaire "décalée" : le cycle de 11 ans du Soleil a eu un décalage, même s'il semble que plusieurs éruptions solaires se sont bien produites et qu'une inversion solaire magnétique ait eu lieu cette année... Autrement dit, c'est très difficile de faire la part des choses question "visuel", car tant un réchauffement qu'un refroidissement mènent de toute façon à des catastrophes en nombre pour l'être humain et son environnement ! Voilà la vidéo en question, en VO malheureusement (les médias français sont dépassés et "aux ordres" de leurs dirigeants milliardaires (et "protégeables" !) sur ce sujet...) :
Mais quand on va et recherche encore plus, on tombe sur un journaliste qui lui, enquête sur Mr Casey depuis des années et... qui n'est pas très entendu ni suivi ! Il affirme en effet avoir des preuves que Mr Casey est surtout... un affabulateur et éventuellement un vendeur de rêve, voir un escroc (mais il n'y a aucune preuve de "détournement de subventions ou de paiement non dû non plus à priori !). En tout cas, d'après lui, ce fameux "Centre de recherches" n'existe pas car l'adresse indiquée et la photo du site ne montre qu'un immeuble qui loue des adresses à des compagnies et des particuliers (pour 49 $ par mois, une "entreprise" y a ses "locaux !") et son enquête sur sa "carrière" à la NASA ou à la Maison Blanche dirait plutôt qu'il n'a jamais été rien de cela du tout ! tout ceci en vidéo... alors, où se situe la vérité ? Entre un homme qui fait des conférences (filmées) et montre des articles, des traces écrites, et en tire (à priori mais sans preuves) des bénéfices... et un homme qui tente de démontrer que ce que dit le premier est faux... pour en tirer la vérité et dénoncer les mensonges (ou aussi faire des bénéfices ?)... ? Nous sommes apparemment encore entre les deux, dans un monde basé sur "celui qui dira le plus de mensonges gagne ... ! ". Quel monde, c'est presque à souhaiter qu'il disparaisse, finalement... l'argent corrompt trop l'esprit humain et c'est de pire en pire... :
Ci-dessus, à la recherche du "SSRC" à Orlando...
Mais tout ceci fait tout de même les affaires de certains, et les politiques ne sont pas les derniers à en tirer profit, car les bunkers et souterrains existent bien et sont bien créés en attendant ! :
L'Histoire est en grande partie constituée des textes trouvés et accumulés le long des âges, comparés entre eux et théorisés pour reconstituer, à l'aide des datations écrites et des preuves archéologiques, un déroulement cohérent de l'évolution des civilisations. Il s'agit donc de témoignages écrits (toujours soumis à l'appréciation propre de celui qui écrit et de sa classe sociale), de travaux réels de compilations de bases de données de témoignages (ce que sont les almanachs ou études d'historiens antiques ou non) et de traces de produits manufacturés des époques concernées. L'étude des écrits Grecs notamment nous prouvent qu'à une époque (assez courte !), les idées et expressions ont été totalement libres et que les échanges contradictoires et l'élaboration de certaines règles "démocratiques" ont été inventées (ou réinventées) à cette période. Notez que je dis "réinventées" parce que les "scientifiques reconnus" ont aussi beaucoup trop tendance à affirmer sans preuves que leurs découvertes "est la première de quelque chose"...
Tout comme quand un scientifique affirme que sa découverte prouve par exemple que l'Homo Sapiens est apparu à telle date, alors que d'autres découvertes peuvent contredire son affirmation. On cite le Temple de Gobleki Tepe en Turquie "comme la première apparition de l'architecture humaine vers 10.000 ans avant JC" (voir 12.000 à 13.000 ans avant JC maintenant), sans reconnaître qu'il ne s'agit en fait que de la plus ancienne découverte à ce jour, mais qu'il en existe probablement d'autres, plus anciennes... Il faudrait que cette réalité soit clairement écrite dans tout ce qui se rapporte à l'Histoire : rien n'est figé, surtout sur tout ce qui s'est déroulé avant la Renaissance (à mon avis), et les historiens devraient plus souvent parler au conditionnel qu'autre chose pour les époques précédentes (sauf quelques recoupements très cohérents, mais tous issus d'une certaine classe sociale de leur époque : ceux qui savaient lire et écrire...). Il devrait être aussi écrit sur chaque manuel scolaire de la matière "Histoire", que cette matière peut être manipulée assez facilement vu le peu de documentations sur certaines périodes, vu la possession du savoir et aussi de la technique d'écriture par une même "élite" de son époque (souvent religieuse ou Noble), de l'influence de concepts "noble-religieux" évidentes dans une majorité de textes, donc de sectes, etc...
Après des témoignages importants de blessures occasionnées par des rencontres liées aux OVNIs, (VOIR PARTIE 1, lien ci-dessus), nous allons aborder quelques cas plus graves puisqu'ils ont entraîné le décès du témoin direct. Tout comme des écrits historiques antiques ou du moyen-age se recoupant par de multiples témoignages, ceux-ci sont également appuyés par des preuves physiques (des examens médicaux officiels notamment).
Barra da Tijuca-Brasil 07-05-1952
Commençons par le cas le plus célèbre car étayé par de nombreux témoignages, examens médicaux et traces physiques sur le corps du maleureux João Prestes Filho, Brésilien de 40 ans qui a péri en 1946 suite a une rencontre imprévue :
"A Aragariguama, petit bourg tranquille de l'Etat de São Paulo, un phénomène curieux alimente les conversations de ses habitants : pendant la nuit, des lumières étranges évoluent dans le ciel en décrivant par bonds des trajectoires irrégulières, au-dessus des monts et des bois de la région...
En 1946, le jour de Mardi-gras, João Prestes Filho et son ami Salvador dos Santos quittent tôt le matin le village pour une partie de pêche. Avant de partir, João a demandé à sa femme, qui devait emmener leurs fils aux divertissements du Carnaval, de laisser une des fenêtres de la maison entrebaillée pour lui permettre de rentrer.
C'est vers 19 heures que les deux pêcheurs regagnent le village. Une heure plus tard, Prestes, l'air terrorisé, fait irruption dans la maison de sa soeur Maria et explique, en bredouillant, que lorsqu'il a tenté d'ouvrir la fenêtre de sa maison, un faisceau de lumière, venu d'on ne sait où, l'a atteint.
La soeur de João appelle immédiatement les voisins. Parmi les personnes accourures, il y a Aracy Gomide, inspecteur fiscal de la préfecture de São Roque. Gomide, qui possède des connaissances médicales pratiques, a l'habitude de soigner les maladies bénignes de ses voisins. Principal témoin, celui-ci précisera plus tard que les yeux, les paupières et les sourcils de João, que ce dernier disait avoir protégés avec les mains, semblaient parfaitement normaux. De même, toujours selon Gomide, les parties couvertes par les vêtements ne présentaient aucune trace de brûlure.
Peu de temps après, sur les parties touchées par la mystérieuse lumière, la peau commence à se rider comme si elle était restée plusieurs heures dans de l'eau bouillante. Puis les chairs apparaissent et semblent se décoller des os. La pointe du nez commence à se désagréger, les dents inférieures sont mises à nu. Sur les pieds et les mains décharnés, les ongles ont totalement disparu. Seuls, le palais et la langue ne paraissent pas touchés, car João parle normalement. Chose incroyable : à aucun moment João ne ressent la moindre douleur.
Plusieurs livres racontant cette histoire disent qu'en l'espace de deux heures, le corps de João s'est désagrégé, le nez et les oreilles se détachant et roulant au sol. Reprenons plutôt les témoignages des plus proches de l'affaire :
Voici celui du fils de feu Roque Prestes, le frère de João, Luis Prestes qui témoigne des paroles de son père :
" Récemment, peu de temps avant son décès, mon père se rappela la tragique mort de son frère, survenue durant l'année 1946. J'étais jeune à l'époque - 9 ans - mais je me souviens bien de ce qui est arrivé à mon oncle Joao. C'était lors du week-end de carnaval, et Joao, qui répugnait à aller à ce genre de festivités, décida de pêcher et partit avec sa charrette. Il vivait à Araçariguama, un petit village localisé à 7 km de Sao Roque, une communauté tranquille et isolée. Ma tante alla à la fête avec ses enfants et laissa le repas de Joao à la maison. J'étais à Araçariguama, quand j'appris que mon oncle était à l'agonie. Il était dans une maison proche de celle où je me trouvais. Je voulais le voir, mais cela m'était interdit. J'étais trop jeune et l'état physique de Joao aurait pu me choquer. Mon père le vit, et Joao lui dit que tandis qu'il retournait chez lui, quelque chose ressemblant à une "torche ardente" entra dans la pièce dans laquelle il se trouvait après qu'il eut ouvert la fenêtre. Il tomba à terre et sentait que son corps était en feu. S'enveloppant dans une couverture, il fit plus de deux kilomètres dans le village. Mon père m'expliqua que Joao était brûlé partout au-dessus de la ceinture, sauf au niveau de ses cheveux. Je réussit à voir mon oncle quand ils le sortirent de la maison, le mettant dans un camion pour l'emmener à Santana de Pamaiba, où se trouvait l'hôpital le plus proche. Je me souviens que le drap le couvrant était noirci, peut-être par les brûlures sur son corps. Joao mourut peu de temps avant d'arriver à l'hôpital."
"Un certain nombre de livres publiés en anglais, en japonais et même en russe affirmèrent que Joao Prestes mourut de façon horrible, avec des morceaux de son corps, comme les oreilles ou des parties de son visage, qui fondaient. Est-ce vrai ?" demandai je. "Non. Selon mon père, qui l'a escorté jusqu'à l'hôpital, son apparence était vraiment affreuse, mais pas de manière aussi extrême. Il avait de sérieuses brûlures sur tout le corps. Sa chair était noircie mais ne présentait aucune blessure." répondit notre interlocuteur. Cette indication contredisait l'histoire apparue dans de nombreux livres et articles à propos de ce cas. "Mon père était policier à Santana de Parnaiba. Il réclama toute l'assistance qu'il pouvait obtenir de la part de l'unité médico-légale, mais je ne connais pas les résultats de l'enquête. Aucune trace de brûlure ne fut trouvée dans la pièce où se trouvait Joao quand le feu apparut. Il n'avait aucun ennemi et ne connaissait personne ayant intérêt à le tuer. Même à l'article de la mort, il répétait qu'une lumière l'avait attaqué et qu'elle venait d'un autre monde."
"Avant cela, les habitants voyaient constamment des boules de feu connues sous le nom de "assombraçoes" (fantômes) à Araçariguama et dans sa proximité. Certains croyaient qu'elles venaient de la mine d'or, qui est maintenant fermée. D'autres choses étranges arrivèrent. Feu mon père me raconta qu'en 1922 il vit un lobisomem (un loup-garou) avec mon grand-père et mon oncle. Mon oncle lui lança une pierre et apparemment, le toucha à la main. Le lendemain, un voisin portait un bandage à sa main. D'autres gens racontaient des histoires similaires.", nous informa Luis Prestes.
"Emiliano Prestes, le frère de Joao, vécut également quelque chose d'effrayant. Quelques mois après la tragique mort de son frère, Emiliano marchait dans une forêt d'Agua Podre - la même dans laquelle apparu le lobisomem en 1922 et la lumière qui brûla Joao. Une lumière ardente parut devant lui. Emiliano, terrifié, courut jusqu'à la bordure d'un canyon quand la chose tomba sur lui. Tout ce qu'il put faire fut de s'agenouiller et de prier pour sa vie. Il me dit qu'il ressentit une chaleur intense, mais par chance, la lumière partit et disparut." Le compte-rendu de Luis augmente le nombre de phénomènes mystérieux dans la région. La lumière ardente ou boule de feu fut vue en de nombreuses occasions par le père de Luis. L'objet effraya des chevaux et cavaliers tandis qu'il rentrait dans leurs humbles demeures la nuit. "Les lumières furent observées le plus souvent entre 3 et 4 heures du matin, et sont 3 à 4 fois plus grandes que la Lune. Les gens sentaient leur chaleur à distance, et elles étaient capables de se mouvoir à une vitesse surprenante. Mon père cessa d'aller à des fêtes la nuit à cause de ces lumières.", se rappelle Luis.
Les informations obtenues jetaient une lumière nouvelle sur le cas de Joao Prestes, et nous en étions satisfaits. Nous pensions ne rien pouvoir ajouter à tout cela. Mais juste avant la fin de notre entretien, Luis nous donna un indice intéressant : l'existence du dernier témoin à avoir vu l'agonie de Joao. "C'est un vieux gentleman, mais encore lucide et fort. Il vit proche de chez moi à Sao Roque. Voici son adresse." Nous nous dirigeâmes immédiatement vers la résidence de Virgilio Francisco Alves. Sa fille nous avertit qu'il travaillait dans les champs devant la maison, nettoyant la végétation à la faux. Après quelque temps, Vergilio apparut. A notre surprise, il produisit sa carte d'identité prouvant qu'il avait bien 92 ans.
Assis sur un sofa usé, Virgilio nous expliqua qu'il était le cousin de Joao Prestes. "Je suis né et j'ai grandi à Araçariguarna. J'ai commencé à travailler à la mine d'or de Morro Velho à l'âge de 15 ou 16 ans. Il y avait un ingénieur anglais qui ne pouvait écrire mon nom et m'appelait garoto de ouro (golden boy). Je vais vous dire ce que je sais de l'horrible mort de Joao Prestes. Cela s'est passé durant le week-end de carnaval en 1946. Il était parti pêcher sur la rivière Tieté, avec sa charrette, tandis que sa femme et ses enfants allaient aux festivités. C'était la saison sèche et il ne pleuvait pas. Quand il revint, il mit son cheval dans l'écurie et le nourrit. Il mit les poissons dans une marmite et fit chauffer de l'eau au feu de bois pour prendre un bain. Alors qu'il changeait ses vêtements, une espèce de faisceau de lumière jaune apparut dans la pièce. Il sentit son corps brûler, ainsi que sa barbe. Paniqué, incapable de bouger ses mains, Joao ouvrit la porte avec ses dents et courut dans la rue pieds nus, étant donné qu'il ne portait jamais de chaussures. Il arriva en hurlant chez sa soeur Maria, proche de l'église d'Araçariguama. Il se laissa tomber sur un lit et raconta qu'il avait été brûlé. Le chef de la police, Joao Malaquias, vint immédiatement. On lui dit qu'il n'y avait personne à blâmer pour ce qui était arrivé, car l'attaquant n'était pas de ce monde. Un orage, avec une averse torrentielle, suivit ..."
"Quoiqu'il en soit, atterrés par ce spectacle atroce, les voisins chargent João sur une charette qui doit l'emmener à l'hôpital le plus proche. Mais il ne l'atteindra pas : il meurt en cours de route, six heures après l'agression du faisceau de lumière. Un certificat de décès, signé par les témoins, est dressé. Et sur ce certificat, une mention unique qui ne reflète guère la mort effroyable de João : " Mort par brûlures généralisées ".
Les services de police locaux, alertés par les témoins, effectuent quelques recherches qui se révèlent négatives : aucune trace ne put être relevée, ni sur les lieux de l'agression, ni à l'intérieur de la maison où rien n'avait disparu. Pendant plusieurs jours, après les sombres évènements du Mardi-Gras, les habitants de Aragariguama voient encore les mystérieuses lumières se livrer à des évolutions désordonnées dans le ciel..."
Un autre témoignage provient d'un riche fermier brésilien de l'Etat de Goias. Cet homme, qui a gardé secrète la mort d'un de ses employés pendant un an, a finalement accepté d'apporter son témoignage indirect, sous la condition que son anonymat soit strictement respecté. voici le récit de M. A.S.M.
" Les faits se sont produits le 13 août 1967. Je suis arrivé à la ferme trois jours après les événements et je ne savais rien. A la descente de mon avion particulier, mon employé Inacio de Souza m'attendait et il me dit qu'il était souffrant. Comme c'était un homme fort et qu'il ne s'était jamais alité, je me suis rendu le lendemain à son appartement et, en le voyant couché, je lui ai dit avec énergie :
" Qu'avez-vous mon garçon ?" Alors il me répondit : " Patron, j'ai tué un homme ! "
Je suis resté pantois et je lui ai demandé : " Mais comment as-tu pu faire cela ?"
"Pressé de questions, Inacio finit par raconter à son patron sa terrible aventure. Le 13 août 1967, Inacio et sa femme revenaient chez eux, dans la ferme de Santa Maria, entre Crixas et Pilar de Goias, dans l'Etat de Goias. En arrivant près de la maison, rapporte Inacio, nous vîmes un étrange objet ayant la forme d'une cuvette dont l'ouverture serait tournée vers le bas. L'objet avait 35 mètres de diamètre (...), entre l'appareil et la maison, se trouvaient trois inconnus."
" J'ai pensé que c'étaient des gens qui venaient nous rendre visite, mais j'étais un peu effrayé du genre d'avion qu'ils avaient. C'étaient des personnes de même apparence que nous, sauf qu'ils paraissaient chauves. Ils étaient en train de jouer, de folâtrer comme des enfants, mais en silence. Quand ils nous aperçurent, ils me désignèrent du doigt et se mirent à courir dans notre direction. J'ai crié à ma femme de rentrer en courant à la maison. Comme j'avais avec moi une carabine, j'ai tiré sur celui qui était le plus proche. A ce moment est sortie de sous l'avion, comme d'une lanterne, une lumière verte qui m'a atteint à la poitrine du côté gauche. Je suis tombé à terre. Ma femme a couru vers moi, en prenant l'arme, mais les hommes étaient déjà rentrés dans l'avion qui s'est élevé en vol vertical, à grande vitesse, et en faisant un bruit semblable à celui des abeilles. "
Le lendemain, le fermier se décide à examiner les lieux dans l'espoir de trouver d'éventuelles taches de sang laissées par l'homme que la balle tirée par Inacio a pu atteindre. Aucune trace n'apparaît. Pourtant Inacio a précisé : " J'ai bien visé la tête ". Et A.S.M. sait que son employé n'a jamais manqué un tir à 60 mètres de distance : Inacio, cela est connu, est un excellent tireur. Le fermier poursuit ses révélations :
" Les premier et second jours, Inacio a souffert de nausées, de fourmillements et d'un engourdissement de tout le corps, et ces jours-là ses mains tremblaient. Je me suis décidé à l'emmener à Goiania (à 180 km de la capitale Brasilia) pour lui faire subir un examen complet et je lui ai recommandé de garder le silence sur l’événement. A Goiania, le médecin, sans savoir ce qu'il avait, constata l'existence d'une brûlure circulaire de 15 centimètres de diamètre environ sur la partie gauche du tronc, presque à l'épaule. Pour soigner la brûlure, il décida d'appliquer le remède appelé Unguento picrato de Butesin. En ce qui concernait les autres symptômes, il diagnostiqua comme origine une cause végétale, il pensa qu'Inacio avait pu manger quelque mauvaise herbe."
" Je me suis décidé à relater au médecin ce qui était arrivé. Surpris, il demanda à Inacio : " Quelqu'un d'autre a-t-il vu ces hommes ? " Inacio répondit : " Ma femme ". Alors le médecin me prit à part et me demanda si j'avais jamais parlé à Inacio des "OANI" (Objet Aérien Non Identifié). Je lui dis que non. Il se décida alors de demander à Inacio s'il avait jamais vu en quelque autre occasion ce type d'avion ou si quelqu'un lui en avait déjà parlé. Inacio répondit : " Non, monsieur, je n'en ai jamais vu ni entendu parler ". Le médecin prescrivit alors à Inacio qu'il se fasse admettre en clinique et demande à subir un examen complet des matières fécales, de l'urine et du sang."
" Quatre jours après avoir été mis en observation, poursuit A.S.M., Inacio fut renvoyé chez lui. Surpris qu'on ne l'eût pas gardé en traitement plus longtemps, j'allai voir le médecin. Celui-ci me dit alors que le cas d'Inacio était fatal, que les examens avaient montré qu'il était atteint de leucémie, le cancer du sang, et qu'il ne lui restait que 60 jours de vie, au maximum. Il me dit encore : " Et le monsieur (le malade) m'a suggéré d'oublier tout ce qui lui était arrivé... il sera entendu qu'il n'a rien vu. Il a un nom à préserver et tout cela ne ferait que créer une panique. Quant à moi, je n'ai rien entendu et je ne sais rien. J'ai une réputation et, pour moi, son cas est un cas de leucémie. "
La femme d'Inacio a relaté au fermier les derniers instants du mourant. D'après son récit, il présentait sur tout le corps des taches d'une couleur jaune blanchâtre, de la dimension d'un ongle, et il ressentait des douleurs atroces. Il maigrissait à vue d’œil, au point qu'avant de mourir il n'avait plus que la peau et les os. Sa femme se souvient de ses dernières recommandations qui revenaient comme un leitmotiv : brûler le lit, le matelas et toute la literie après son décès. Sa mort survint le 11 octobre 1967, et, selon son vœu, toutes ses affaires personnelles furent brûlées.
Voici un rapport établi par le professeur Felipe Machado Carrion, qui a expliqué de façon extrêmement précise les effets mortels de radiations ionisantes, en date du 30 janvier 1969, à Porto Alegre :
"Inacio de Souza présentait les symptômes classiques de la leucémie d'origine radioactive, de laquelle il est mort dans les 60 jours prévus par le médecin. A partir du moment où il a reçu le faisceau lumineux vert, sa santé a été ébranlée et il a commencé à présenter tous les symptômes caractéristiques de l'exposition à des radiations mortelles.Qu'elles proviennent de tubes à rayons X, de fluoroscopes, de cyclotrons, d'isotopes radioactifs ou de toutes autres sources, les radiations ionisantes (rayons Alpha, Bêta, Gamma, flux de neutrons, rayons cosmiques ou autres) produisent des effets identiques sur les cellules et les organes.Il n'existe pas de conséquences qui soient particulières à un type donné de radiation, bien qu'il y ait des différences, par exemple en ce qui concerne la dose nécessaire pour faire apparaître un résultat déterminé, les conditions restant identiques, telles que le fait d'être atteint sur tout le corps, le temps d'exposition, etc. Les particules lourdes, telles que les rayons Alpha, ont de plus grandes possibilités que les particules plus légères de briser les éléments des tissus vivants. (...)"
" La partie du corps humain sur laquelle apparaissent les premiers indices physiques résultant d'une dose d'irradiation est la peau, où l'on observe une irritation semblable à celle causée par une brûlure. Dans le cas d'Inacio, une brûlure était nettement visible dans la région atteinte par le rayon lumineux. (...) La leucémie d'origine radioactive peut aussi bien résulter de petites doses d'irradiation répétées durant des mois ou des années, que d'une simple et unique exposition à haute dose. La leucémie est très fréquente chez des personnes qui ont été exposées à des radiations ionisantes excessives. Tous les symptômes présentés par Inacio de Souza étaient ceux d'une leucémie causée par une forte dose de radiations."
"OVNIs et Extra-Terrestres" Tome 3 Yves Naud
Barra da Tijuca-Brasil 07-05-1952
Thomas Francis Mantell Junior naît à Franklin (Kentucky) le vendredi 30 juin 1922. Il fait ses études au lycée de garçon de Louisville, après quoi il entre rapidement dans l'AAF le mardi 16 juin 1942, et sort diplômé de l'Ecole d'Aviation le jour de ses 21 ans, le mercredi 30 juin 1943.
Pendant la 2nde guerre mondiale, il est affecté à 440èmeGroupe de Transport de Troupes, dans le 96ème Escadron de Transport de la 9ème Air Force. Il participe à l'invasion de la Normandie par les forces alliées (il reçoit la Croix de Distinction en Vol et la Médaille de l'Air w/3OLCs pour héroisme) et à de nombreuses autres opérations européennes durant la guerre.
Après avoir quitté le service actif en janvier 1947, il revient à Louisville et rejoint Garde Nationale Aérienne du Kentucky, toute nouvellement réorganisée. Le capitaine Mantell y est chef de vol "C" dans le 165ème escadron de chasseurs le 16 février 1947.
Reconnaissance fatale
Le mercredi 7 janvier 1948, un objet énorme, rond et lumineux est aperçu en début d'après-midi au-dessus de Madisonville (Kentucky) par des dizaines (milliers selon d'autres sources) de témoins. Les autorités, inquiètes de sa présence dans les environs de Fort Knox (la réserve d'or des Etats-Unis), donnent l'alarme à 13:30.
A 13:45, l'objet est signalé à la verticale de la base aérienne de Godmann, à quelques km du but supposé. Pourtant, une fois au-dessus des pistes, il s'arrête : tous les militaires le voient osciller lentement en passant régulièrement du rouge au blanc.
Pendant ce temps Mantell est à la tête d'un convoi de 4 P-51D Mustangs parti de Marietta (Georgie) pour la base deStandiford (Kentucky). Entre , l'escadrille de Mantell est à gauche de l'événement. Alors qu'ils s'approchent de Godman Field, Mantell bascule sur le canal "B" pour contacter la base de Standiford, mais est repéré par la tour voisine de Godman. Le colonel Guy F. Hix, commandant de la base, a décidé de contacter les pilotes, et le sergent Quinton Blackwell, opérateur de la tour, contacte la formation :
Blackwell : Tour de Godman appelant le vol de 4 vaisseaux en direction du Nord au-dessus du terrain de Godman. Vous me recevez ? A vous. (Pause) Tour de Godman appelant le vol de 4 vaisseaux en direction du Nord au-dessus du terrain de Godman. Vous me recevez ? A vous.
— Roger, tour de Godman. Ici la Garde Nationale 869, chef de vol de la formation. A vous.
Blackwell : Garde Nationale 869 depuis la tour de Godman. Nous avons un objet ici au Sud de Godman que nous ne pouvons pas identifier, et nous voudrions savoir si vous avez assez de carburant ; et si vous pourriez donc aller voir pour nous si vous le voulez bien.
— Roger, j'ai le carburant et je vais aller regarder pour vous si vous me donner la bonne direction et toute information que vous avez pour localiser l'objet.
Un des aviateurs de Mantell, le lieutenant Bob Hendricks, remarque que Mantell est en train de parler, et bascule alors du canal "C" (sur lequel l'escadron était) au canal "B" pour entendre la tour dire Venez au-dessus du terrain en direction 330° et nous essaierons de vous guider.
— Reçu, je vous appelerait quand je l'authentifierai, répond Mantell.
Bob Hendricks, pressé d'arriver à Standiford, demander à Mantell s'il peut partir, ce à quoi l'autorise Mantell. Il est alors 14:55 (14:40 d'après l'heure de Hendricks, apparemment en retard) quand Hendricks décroche.
Mantell entâme une spirale sur sa droite et faire une ascension à grande puissance à 180 ISP, revenant sur sa route. Le lieutenant Al Clements et son copilote le lieutenant Hammond doivent monter la puissance jusqu'à 2700 tours/mn juste pour rester à niveau, bien que ne sachant pas de quoi il s'agit. Il atteignent 14 000 pieds lorsque Mantell sort de sa spirale et prend une direction Sud-Ouest de 220°, maintenant la puissance d'ascension.
Mantell signale à Godman :
— Je suis à 15000 pieds. J'ai l'objet en vue au-dessus et devant moi, et il semble se déplacer à environ la moitié de ma vitesse ou approximativement 180 miles/h. Je monte jusqu'aux 20 000.
— Pouvez-vous, euh, nous donner une description de l'objet ? A vous.
La tour de Godman capte cette dernière communication, enregistrée à :Juste devant moi et légèrement au-dessus, et se déplace maintenant à ma vitesse environ ou plus. J'essaie de me rapprocher pour avoir une meilleure vision.
A 22 500 pieds Clements dit à Mantell qu'ils sont trop haut. Son copilote commence déjà à être étourdi. A 23 000 pieds Clements rappelle Mantell pour lui dire que lui et Hammond décrochent. La réponse de Mantell n'est pas déchiffrable. La dernière vision de Clements est Mantell en train de monter à haute puissance directement vers le Soleil.
A terre, le colonel Hix suit l'incroyable ascension à la jumelle. Il voit l'ovni. Il a la forme d'un parapluie. Sa taille apparente atteint celle de la moitié de la Lune. Il est complètement blanc, sauf une bande colorée qui semble tourner. A la tour de contrôle, la radio grésille encore : c'est Clements qui annonce que l'objet vient de disparaître dans les nuages après une accélération effarante. Il arrêtent la poursuite, sauf Mantell qui n'est pas encore à 6000 m.
Crash
Un homme au sol, Glenn T. Mayes, est attiré à sa fenêtre par les bruits alternés bizarres d'un moteur d'avion. Selon ce dernier, l'avion de Mantell fait 3 cercles lents, puis part dans une chute de puissance, tournant lentement. Il explose à la mi-chemin du sol. La même histoire est aussi relatée par Mrs. Carey Phillips, qui le vit de sa fenêtre s'écraser à 250 yards de sa ferme, à quelques miles au sud-ouest de Franklin.
La police encadre le périmètre et l'employée de la morgue du comté, Harry Booker, examine le corps de Mantell. Il note que la montre au poignet de Mantell s'est arrêtée à .
La mort de Mantell soulève un émoi considérable dans tous les Etats-Unis. C'est en outre le 1er crash de la Garde Nationale Aérienne du Kentucky.
Enquête de l'USAF
Le capitaine Richard Tyler, chargé de l'enquête et meilleur ami de Mantell, décolle à dans un C-47 depuis Standiford pour Franklin, avec une équipe de mécaniciens et spécialistes entraînés. L'appareil de Mantell est trouvé configuré pour une ascension maximale. Le verrou de son habitacle est toujours en place.
Tyler conclut dans un rapport préliminaire :
Mon opinion personnelle sur l'accident est que Mantell, un pilote agressif, a tenté de poursuivre l'objet aussi longtemps que possible, même s'il a réalisé le danger de son manque d'oxygène. A environ 25 000 pieds je pense qu'il est mort d'anoxie et que l'avion a continué à monter jusqu'à près de 30 000 pieds où il a fait 3 lents cercles et est tombé en perte de puissance, tournant lentement sur la gauche avec le couple moteur. Je pense qu'il a atteint la compressibilité à environ 15 000 pieds et que l'aile gauche à explosé, des parties commençant à tomber sur près de 1 mile dans une direction nord-sud, éparpillant les morceaux les plus légers le plus loin. Je pense que le pilote est mort d'anoxie lorsqu'il a commencé à redescendre. Lorsque l'aile gauche est partie l'aile droite a commencé à agir comme un aileron ou un gouvernail pour le fuselage et a guidé celui-ci vers le bas, parallèlement au sol.
...J'étais l'ami le plus proche de Mantell ...Son intérêt pour le vol ne pourrait être dépassé. Il adorait le P-51, pensait en être le maître et volait... pas imprudemment mais comme un pilote de chasse agressif. Je pense réellement que s'il a pensé avoir une chance de rattraper l'objet il l'a probablement poursuivit conscient de sa mort. Je pense qu'il a vu quelque chose de plus qu'une étoile ou un ballon... et il était d'une intelligence au-dessus de la moyenne. Il connaissait l'avion et les dangers de l'anoxie. Si une force extérieure n'a pas causé sa mort, je pense qu'il est mort trop rapidement pour changer sa ligne de vol.
Vénus
Si l'USAF envisage que Mantell se soit tué en poursuivant soit un ballon-sonde, elle préférera cependant avancer l'explication de la planète Vénus, ce qui lui vaudra le ridicule. Venus était visible ce jour-là dans, seulement 6 fois plus lumineuse que le ciel du Sud où elle se trouvait. A l’œil nu elle était à peine visible. Cependant comme l'objet observé était venu du Sud de Godman, Vénus pouvait faire un bon candidat. Cependant le témoignage du lieutenant Clements confirme que Mantell et lui-même, vers la fin de leur vol, approchaient l'objet depuis l'Est, et qu'ils se dirigeaient plein Ouest en direction du Soleil. Venus aurait alors été un petit point pâle sur leur gauche.
Le lendemain paraît un communiqué de presse Clinton Co. Airfield, Ohio :
PUBLIC INFORMATION OFFICE ALL WEATHER Flying Center Clinton County Army Air Field WILMINTON, OHIO 8 Janvier 1948 __________________________________________________________________
COPIE (PIECE JOINTE 1) DIFFUSION IMMEDIATE
WILMINGTON (Ohio) 8 Janvier -- Un phénomène céleste, décrit par les observateurs de la base aérienne du comté de Clinton comme ayant l'apparence d'un cône rouge enflammé suivi d'une traînée gazeuse brumeuse verte, est apparu dans les cieux du Sud-Ouest de Wilminton la nuit dernière entre .
Le Sgt./S Gale F. Walter et le Cpl. James Hudson, opérateurs de tour de contrôle sur la base aérienne, ont d'abord vu le phénomène à et observé ses manœuvres dans le ciel jusqu'à lorsqu'il aurait disparu sur l'horizon. Le phénomène céleste était accroché suspendu dans les airs par intervalles puis a gagné de l'altitude à ce qui a semblé être des accélérations terribles de vitesse. La lumière intense du phénomène céleste perçait à travers une couche épaisse de nuages passant par intermittence sur la zone et obscurcissant d'autres phénomènes célestes.
Le sergent-major Irvin H. Lewis, le Sgt/S John P. Haag, le Sg. Harold E. Olvis et le Sgt./TLeroy Ziegler, 4 membres de l'équipe d'alerte, ont rejoint les opérateurs de la tour de contrôle dans l'observation des phénomènes célestes durant 35 mn environ.
Le 20 Janvier, avis confidentiel du Cpl. Hudson :
PAGE II
STATE OF OHIO ) ) COUNTY OF CLINTON)
Devant moi, l'autorité sous-signée pour administrer les serments de ce type, apparaît personnellement James H. Hudson, Cpl, ASN 13220873 qui, étant d'abord dûment assermenté par moi, dépose et déclare ;
L'information suivante provient du Plan 62:
L'observation fut faite dans le Kentucky sur les lieux du crash du P-51 avec un télescope 8" :
Altitude, 4 miles.
Largeur, 43 feet.
Hauteur de l'objet, 100 pieds.
Vitesse à ce moment, 10 miles/h
Forme, Cone.
Couleur, rouge avec queue verte.
Cette observation fut faite à Godman Field (Kentucky), avec un théodolite :
1854 CST : Elévation, 2.4 Azimut 254.6
1856 CST : Elévation, 2.0 Azimut 253.9
1902 CST : Elévation, 1.2 Azimut 253.0
1906 CST : Disparu.
Ce qui suit est mon opinion : L'objet n'était pas une comète ou une étoile, mais était fait de la main de l'homme. Ce n'était pas un ballon, une comète, une étoile, ou un appareil d'un type quelconque. La lumière ne venait pas des feux de position d'un appareil. L'objet paraissait dans son ensemble entouré d'un gaz brûlant ou de quelque chose qui lui donnait une lumière.
-- schémas --
Further the deponent sayeth not, //signé// JAMES H. HUDSON, Cpl 13220873
Juré et souscrit devant moi ce 20ème jour de janvier 1948 //signé//
GEORGE W. HOHANNESS
Capitaine, USAF
La presse grand public se fait bien sûr écho de l'incident ("Flier Dies Chasing a 'Flying Saucer'", The New York Times, 9 janvier 1948).
Diverses personnes vont se faire l'écho de la tragique fin de Mantell : George Hunt Williamson déclare que les derniers mots de Mantell étaient : Il y a des fenêtres et je peux voir des gens dedans !(Captain, 1954, 4), puis George Adamski (1955) dont un des contact, "Ramu de Mars", parle d'un accident que nous avons regretté... Les membres de l'équipage avaient remarqué que le capitaine Mantell montait vers eux et savaient que son intérêt était sincère, non bélligérant. Ils étaient pleinement conscients de la puissance émanant de leur vaisseau et pensaient qu'elle stopperait son approche sans le blesser. Mais alors qu'ils se rapprochait, l'aile de son avion coupa cette puissance, permettant à une succion d'avion lieu qui tira l'avion entier dedans, provoquant une désintégration immédiate de l'avion et de son corps. Egalement Angelucci, Orfeo en 1955, dont un des visiteurs de l'espace déclare que Mantell entreprit de rattraper et capturer un des disques contrôlés à distance.
Le ballon sonde
La théorie du ballon sonde sera développée plus tard, notamment par Edward J. Ruppelt, qui révèlera que pratiquement aucun des 7 témoins situés dans la tour de contrôle ne s'étaient accordés, non seulement sur la description de l'objet (cornet de glace avec le sommet rouge est la description qui sera reprise par le communiqué de l'USAF comme commune de l'ensemble des observateurs, mais il y eut également rond et blanc, énorme et argenté ou métallique, petit objet blanc, 1/4 de la taille de la pleine Lune<, 1/10ème de la taille de la pleine Lune) mais aussi sur les messages de Mantell (un seul déclara que Mantell qualifia l'ovni de métallique et de taille énorme). Rupplet indiqua également qu'un des aviateurs ne vit jamais rien (il envoya un message radio : Bon sang qu'est-ce que l'on cherche ? Lorsque l'autre atterrit, il décrivit l'objet comme ressemblant à une réflexion de la canopée).
Ruppelt apprit dans le cadre du projet Blue Book plus tard qu'un énorme ballon 0 commentaire
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