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Dossier : Spécial Caraibes
Dossier : Spécial Caraibes
Ruines englouties dans les caraïbes, de nouvelles preuves ?
De plus en plus de preuves s'accumulent sur le fait qu'il existe des constructions antiques humaines englouties au large des îles des Caraïbes, Cuba étant l'une des plus concernées avec Bimini, mais elles sont loin d'être les seules. Plusieurs chercheurs en ont déjà trouvé des traces dans le passé, mais le ressenti scientifique sur le sujet des civilisations antiques disparues est évidemment toujours pris avec des pincettes. Beaucoup de thèses, dissertations et preuves démenties ou non sont venues grossir le sujet mais officiellement, les premières arrivées humaines dans le secteur sont (étaient) censées se situer plusieurs siècles après la remontées des eaux qui ont englouties ces régions. Mais de plus en plus de preuves de migrations bien plus tôt que ne l'envisageaient les archéologues sont établies avec le temps, accompagnées de preuves d'une intelligence beaucoup plus vive de la part des anciens, ainsi que des probabilités de l'invention de la navigation a une période antérieure à celle pour l'instant constatée.
Les images satellites s'améliorant également de plus en plus et devenant accessibles, les chercheurs et archéologues, préparateurs d'expéditions, s'en servent bien entendu pour étudier le terrain quand c'est possible. Voici quelques clichés pris au niveau des Caraïbes grâce à certaines récentes mises à jour de Google Earth qui permettent de relever de sérieux indices (vous pouvez agrandir les photos en cliquant dessus).
Ces clichés sont extraits de la page Facebook d'un chercheur et les coordonnées de ces découvertes ne sont pas données volontairement pour ne pas encourager le pillage. D'un autre côté, direz-vous, sans coordonnées personne ne peut non plus dire si c'est réel ou si même s'il ne s'agit pas de débris ou de structures pour la pêche connus (ou militaires) et bien identifiés... un dilemne pour les chercheurs : donner les coordonnées ou pas...
https://www.facebook.com/media/set/?set=a.479690568764325.114837.100928109973908&type=1
La cité engloutie au large de la péninsule de Guanahacabibes (extrémité ouest de Cuba) :
En 2001, un robot sous-marin de poche équipé d'une caméra de plongée a filmé les structures et révéla des formes de cubes et de pyramides, traversé par des ruelles, tel qu'on pourrait l'imaginer dans un un gros centre urbain, datant d'au moins 6.000 ans. Cette ville engloutie serait située au large de la péninsule de Guanahacabibes (extrémité ouest de Cuba).
http://secretebase.free.fr/civilisations/ruines/caraibes/caraibes.htm
Le port de Bimini ? :
LA PLATEFORME D'ANDROS
Une construction plate fabriquée à partir d' éléments en pierre
La plateforme d'Andros a été découverte tout à fait récemment en 2003 par l'équipe de plongée de Greg et de Lora Litle un peu par hasard alors qu'ils recherchaient d'autres vestiges sous-marins dans les Caraïbes. La plateforme d'Andros est une construction plate fabriquée à partir d'éléments en pierre, la surface totale mesure environ 400 mètres sur 50 mètres. Elle se compose de trois rangées d'environ 15 mètres de large. Chaque rangée commence par une rangée de grands blocs, mesurant environ 10 mètres par 8 mètres.
J'ai moi-même entrepris quelques recherches du côté des Caraïbes et je pense avoir également trouvé quelques indices. En voici quelques-uns (Yves Herbo) :
On remarque sur une bonne partie du bord de cette île des caraïbes un ancien rivage engloutie ou même peut-être les traces d'une antique digue ou d'un mur tentant de protéger de la mer. On devine également une construction à moitié engloutie-ensevelie entre le premier rivage et l'actuel et formant un angle même visible au niveau du mur. Peut-être une autre structure à droite.
Pour finir, voici des photos satellites montrant de probables ruines et cités englouties dans le monde, non encore étudiées à priori :
Yves Herbo, SFH, 02-2013, Up 2018
Recherches dans les Caraibes - MAJ 29-07-2014
On revient sur le thème de l'Atlantide ou d'une civilisation disparue dans l'Atlantique et bordures il y a des milliers d'années. Certains chercheurs pensent que nous connaissons certaines références de cette civilisation ancienne dans le monde entier à travers les traditions orales des autochtones.
Ainsi, il pourrait y avoir des traces importantes de la culture Atlante dans les villes en ruine des Mayas, une civilisation étonnante qui est apparue de nulle part pour produire rapidement des avancées dans les sciences, les mathématiques, astronomie, sciences naturelles et des prouesses techniques qui défient l'homme moderne. Beaucoup pensent que les Mayas sont des descendants directs de la civilisation Atlante, de part leur diversité culturelle, leurs types raciaux et leurs ensembles architecturaux qui les distinguent des autres peuples.
1945 - image aérienne
http://huttoncommentaries.com/article.php?a_id=41
William Michael Donato est un archéologue américain qui détient une maîtrise en anthropologie et est un contributeur régulier dans les magazines parlant de l'antiquité américaine et de la chute d'Atlantis et est un défenseur de la théorie disant que l'emplacement de Bimini est Atlantis. Il était le fondateur de l'Organisation Atlantis (TAO) dont le travail est maintenant poursuivi par l'Institut Apex, qui a été créé en 2001 pour enquêter sur les lieux comme les Bahamas et d'autres endroits dans le monde, qui pourraient fournir des preuves sur l'existence d'anciennes civilisations avancées. La thèse de maîtrise de Donato était titrée " un réexamen de la théorie de l'Atlantide ". Donato était un membre de l'équipe de chercheurs qui prétendent avoir trouvé la preuve définitive de deux ports antiques immergés au large de Bimini en 2005 : Voir ci-dessous :
William Michael Donato a été présentateur sur la chaîne SciFi d'une émission spéciale appelée " Quest for Atlantis: Startling New Secrets" et il est l'un d'un nombre croissant d'archéologues, d'anthropologues et autres scientifiques qui ont rompu avec la «mainstream» des milieux universitaires concernant la vraie nature des structures mégalithiques dans les Caraïbes.
Bill Donato a été conférencier et expert souvent cité sur Bimini Road et les théories Atlantes depuis plus de trente ans et il a effectué un certain nombre de voyages dans la région pour examiner des preuves de première main. Ses recherches ont fait un large usage de plongées, sonars à balayage latéral, caméras vidéo sous-marines et sous-marins pour confirmer sa conviction que la structure communément connue comme "Bimini Road" est, en fait, une digue artificielle construite pour protéger un ancien port. La forme et les méthodes de construction à Bimini sont identiques à au moins trois semblables - et tout aussi anciens - brise-lames dans la Méditerranée.
Ce scan de sonar dévoile une pyramide complexe hors de la côte des iles Bimini. William Donato, ainsi que le Dr. Greg Little ont enregistré beaucoup de temps sous l'eau, arpentés de larges portions de l'océan des Caraïbes (au large de la côte de Bimini.) Ensemble, ils ont fait un certain nombre de découvertes remarquables.
Dans cette image, un scan sonar du fond révèle une pyramide complexe qui montre les degrés, les escaliers et les portes d'une pyramide d'un style classique Maya. J'ai joint un balayage par satellite d'une pyramide à degrés de Tikal pour comparaison. - Cette Image a été prise à environ 30,48 mètres (100 pieds) sous l'eau.
William Donato sera l'invité de Earth Ancients Radio, samedi 26 juillet. Le titre de sa discussion est la nouvelle quête d'Atlantis.
http://www.BlogTalkRadio.com/earthancients/2014/07/26/William-Donato-New-Quest-for-Atlantis
Qu'en dit Earth Ancients (Michael Donato) ? : " J'en suis convaincu en suivant mes propres recherches tout au long de la péninsule du Yucatan - les travaux de Paulina Zelitsky et ses découvertes de ruines antiques au large de la côte de Cuba et, plus récemment, les découvertes effectuées par l'archéologue William Donato. Donato m'a envoyé un nombre de balayages sonar surprenant de la zone supérieure de Bimini dans les Caraïbes. Dans ces scans de la côte, on peut voir les vestiges de bâtiments qui seraient à comparer distinctement à ceux des Mayas - et devraient finalement être reclassés comme Atlantes (comme plusieurs autres des anciens pays immergés). "
" Il s'agit de la clé du développement de l'Atlantide - les bâtiments ont été éloignés, dispersés sur des lieux comme des satellites, (pensez aux USA et à ses nombreux États décentralisés comme des satellites, en dehors de la forme du relief continental). Ce serait Hawaii, Alaska, Puerto Rico, etc...). " - (YH : un empire classique donc qui construit quelques infrastructures localement pour montrer son pouvoir sur l'environnement conquis et y rester).
" J'ai décris une petite galerie de numérisations au sonar, que m'a envoyé Donato, qui sont des bâtiments distincts dans la région de Bimini. Pour comparaison, je décris aussi des constructions similaires qui se trouvent sur les terres à travers le Yucatan au Mexique. "
Photo 1: Analyse en eau profonde qui dispose de deux grandes structures (région de Bimini). Photo 2: Grand complexe. Photo 3: Plus petit complexe. Photo 4: Pyramide complexe à Ek Balam (terre ferme), Photo 5: Chichen Itza, Photo 6: Ek Balam.
1999. le projet « Alta ». Notes : Recherches sur une réacquisition des données de juin 1998 des cibles des balayages latéraux au sonar par un nouveau sondage à balayage latéral, une caméra vidéo sous-marine et un sous-marin (le sous-marin de deux hommes "Nekton Gamma"). De nouvelles cibles ont été trouvées.
Cette photo montre le contact du sonar avec une très grande structure.
Au cours de la dernière période glaciaire, l'ensemble GBB était bien au-dessus du niveau de la mer. Les relevés aériens ont identifié plus de 30 structures inhabituelles, sombres en eau peu profonde sur la GBB et les positions GPS ont été prises sur chacune de haut. Toutes sauf une de ces formations ont ensuite été visitées sur l'eau avec le Nord Andros pour servir comme base d'opérations.
Trente sites sombres (formations sous-marines) ont été visités sur le Grand Banc Bahamas, dont certains étaient à près de 50 miles au large sur le GBB. Un navire et des vestiges de ruines ont été découverts sur certains de ces sites et ont été détaillés précédemment. - En général, environ 75% de toutes les formations sombres sont associées à une variété de matériaux non-évalués, ainsi que des objets plus curieux. Par exemple, une tache blanche parfaitement ronde au milieu d'une sombre formation a montré ce qui semblait être une partie d'un ancrage métallique énorme coincé à partir du bas. Cette pièce ne peut pas être déplacée à la main. (voir ci-dessus). Est-ce qu'il y a également un navire réel enterré là ? Nous ne le savons pas, mais la formation autour de l'ancrage a plus de 500 pieds de long.
Environ 25% des formations de Bimini s'est avéré être fabriqués à partir de blocs de pierre. Plusieurs d'entre eux semblaient être d'énormes piles de blocs recouverts de sable et d'herbe de tortue. Dans certains endroits, les blocs ont été largement dispersés dans de longues lignes droites. Les blocs de pierre étaient beaucoup trop grand pour être des ballast de navires, mais auraient pu être des cargaisons. D'autre part, ils pourraient être des ruines de bâtiments qui ont été érigés sur le Grand Banc Bahamas quand il était au dessus du niveau de la mer...
Autre satellite atlante ou en descendant ? : Île de Yonaguni au Japon : Beaucoup plus de gens connaissent seulement les mégalithes qui se trouve sous l'eau au large de l'île de Yonaguni, mais en surface il y a beaucoup à découvrir. Cette petite galerie révèle le travail pratique d'une civilisation inconnue, qui, le spécule Dr Robert Schoch, date d'environ 23 000 ans avant J.-C. ou au minimum vers 19 000 avant JC. Ils étaient des travailleurs de pierres mégalithiques avec des compétences avancées :
MAJ du 29-07-2014 : D'autres analyses de scans pris en 2006 au large de Bimini rèvèlent une évidence refusée par la science moderne : une antique civilisation a bien sombré dans l'Océan Atlantique. Une fois de plus, la science moderne héritée des franc-maçons scientifiques des 19ème et 20ème siècle s'est trompée (ou préfère cacher des données...).
" C'est le dernier d'une série de numérisations d'images de sonar sous-marin sortie par William Donato et l'Institut de l'Apex. L'image révèle deux structures très larges et grandes au large de la côte des îles Bimini. Remarquez les ombres longues qui donnent une idée de la taille et les formes possibles de l'architecture érigée et de bâtiments. Celles-ci et beaucoup d'autres images présentées par l'Institut de l'Apex, sont la meilleure preuve d'une civilisation perdue qui a péri dans l'océan Atlantique. "
Cuba, Ile Junventud
Vers la fin des années 1930, un pictogramme étrange a été trouvé dans une grotte à Punta del Este, Isla de la Junventud, Cuba. Les scientifiques ne savent pas qui a créé l'image ou ce que cela signifie, mais nous avons quelques notes de William Donato.
" Montre l'orbite elliptique d'un système solaire héliocentrique. La Flèche semble montrer une éjection de masse solaire, une comète ou un autre événement extraterrestre. Notez la qualité rafinée de l'exécution de cette peinture de la grotte, comme si cela avait été fait par une culture sophistiquée, essayant de transmettre par ces enregistrements un événement important. »
Cuba-Ile Junventud - d'après la publication de 1939
Des pyramides à Bimini ? : Le sonar à balayage de recherches de William Donato est extrêmement précis pour ramasser les restes de construction de bâtiments et des objets aussi petits que quelques pieds de diamètre. Il est également excellent pour la chasse sous-marine de pyramides.
Dans cette image révélatrice, prise en 1998, nous pouvons voir les formes distinctes d'un toit avec des piliers et un long escalier et deux section de niveaux. La structure entière semble être un complexe de bâtiments, construits dans un ouvrage unique unifié. Cette analyse est-elle un exemple d'architecture Atlante ?
Un Antique Port Americain (plus de 2 000 ans)
Un ancien chercheur américain, John Jensen a découvert des preuves du développement avancé d'un port, des milliers d'années avant l'apparition de n'importe laquelle des tribus amérindiennes. Ici, nous avons un exemple d'un grand port en Floride.
Ce port, désigné «H-1» est la plus importante découverte des sites antiques construits par les Canal Builder. C'est l'équivalant de trouver Troie. H-1 est à environ 2,2 miles (3,5 km) au large, dans l'océan ouvert. Il n'est pas connecté à un aménagement du territoire en aucune façon.
Il repose sur un épaulement de marée haute à côté d'un canal de sortie. La Longueur du corps principal du port est d'un peu plus de 9.000 à 10.000 pieds (2,74 à 3.05 km), avec un port creusé à la gauche, et une «sortie de canal supplémentaire pour le NW de 3000 pieds (914 m). En nous basant sur les ports d'une taille similaire aujourd'hui, nous pouvons estimer que la profondeur du port doit être de 35' à 45' (10,67 à 13,72 m) de profondeur.
Le volume de matériaux découpés, transportés et éliminés est d'environ 45.000.000 (quarante cinq millions) de mètres cubes. À un coût moyen en dollars d'aujourd'hui d'environ 12 $ par mètre cube, ce projet ressemble au début d'un projet d’ingénierie colossal, dans la gamme de $ 538 000 000 (millions) de dollars
A ce niveau de la matière, un minimum de techniques, y compris des machines de dragage, de la tuyauterie, des barges et toute une gamme de matériel serait nécessaire. Bien que des méga projets de cette taille ont été accomplis dans le passé, en utilisant la main-d'œuvre seule, (comme la grande muraille de Chine), rien de cet ordre n'a été démontré avoir jamais été fait dans la découpe et le dragage des ports de cette taille, tandis que dans le même temps, ils étaient impliqués dans plusieurs autres projets similaires, comme l'a démontré le Port 'H-2', à environ 65 miles de distance, et d'autres sur les sites. Basé sur la seule observation, il est évident que ce port n'a pas été achevé avec de la main-d’œuvre seule, mais avec un peu de machines et de matériel très sophistiqué.
La profondeur de l'océan à la montée de marée est estimée entre 6 pieds et 9 pieds de profondeur, mais pourrait être autant que 12 'à 15' de profondeur. Ces profondeurs accordent une certaine date, sur la base de l'élévation du niveau de l'océan, de entre 7200 et 7400 années avant le présent.
Nous pensons que cette civilisation a été détruite par un super-méga cataclysme, et si c'est le cas, il est tout à fait plausible, sinon probable, que certains objets de résidus en pierre, de la poterie et éventuellement d'autres matériaux inconnus, soient conservés dans la boue et la vase au fond de ce port. Nous avons l'intention d'être les premiers à le savoir.
Nous ne publions PAS les coordonnées de l'emplacement de ce site en attendant notre propre plongée d'une expédition. Si vous êtes intéressé à vous joindre à l'expédition de ce site, s'il vous plaît laissez-nous savoir.
NOTE : Google "peint" systématiquement sur l'emplacement des sites que je montre. Heureusement, Google ne possède pas les images d'origine, ni l'emplacement réel du port. Celles-ci peuvent être indépendamment vérifiées. Nous avons les coordonnées GPS exactes pour chaque point de ce port.
Le Port H-2
Ce port offshore coulé est d'environ 5 200 pieds (1,58 km) de longueur et d'environ 700 pieds (213 mètres) de large en moyenne. Ce port est d'environ un tiers de la taille du port submergé à 65 miles (104 km) de cet endroit. C'est un relativement petit port, mais aurait géré des navires de tailles moyennes de l'ordre de 100 à 150 pieds (30 à 45 m) assez facilement. Sur le plan technique nautique standard, il semblerait raisonnable d'envisager une profondeur originale pour ce port d'au moins 25 pieds (7,62 m), compte tenu des fluctuations de la marée.
En plus de cet artefact sous-marin étonnant, il y a une chaussée ou une route existante, qui s'étend du nord-est du bord du port, se terminant à la montée de la marée secondaire de la rive actuelle. Pour une estimation approximative, cette structure, comme un projet d'ingénierie, serait composée de déblayages, dragages, enlèvements et l'élimination d'environ 8,100,00 mètres cubes de matériaux. Le coût total du projet en dollars d'aujourd'hui, avec environ 6 $ par mètre cube de moyens matériels de ce projet, aurait un budget d'un peu moins de 50 millions de dollars.
Le Port 2, se trouve sur la montée de la marée tertiaire et semble être de l'ordre de 6' à 9' (1,83 m à 2,74 m) en-dessous du niveau moyen de la marée actuelle. Si c'est le cas, cela signifie que sa construction et son utilisation par rapport à la date devait être dans une fenêtre très serré, il y a entre 7200 et 7300 années. A cette époque, la Troisième Montée du niveau de l'eau de fonte de l'océan montait au taux de plus de 5 pieds (1,52 m) en 100 ans. Depuis, la montée de l'océan s'est établie à un peu plus de 5 pieds (1,52 m) au-dessus des 7000 dernières années, un montant supplémentaire de 3-5 pieds indiquerait qu'une profondeur de 6-9 pieds serait à peu près équivalente à il y a 7200 années.
La route ou une jetée qui s'étend du port au nord-est de la rive est d'environ 2,0 miles (3,22 km) de longueur, et est dégradée et recouverte de sable en plusieurs endroits. Cette section est plus dégradée au plus proche du port approprié, puis conserve sa forme originale, plus au nord, ou vers la section la plus proche du littoral.
Ce port dispose de nombreuses fonctionnalités similaires au Port 1, qui est à environ 65 miles (104 km) de distance; la plus évidente étant que les deux sont très proches, ou sur le bord d'un canal d'eau profonde qui sort à travers le plateau continental de l'océan. Les bords du port sont actuellement estimés être à entre 6 'et 9' pieds du niveau moyen de la marée de la mer. Sa profondeur suggère qu'il est contemporain de la route de Bimini, ainsi que d'autres ports et des canaux à cette profondeur. La datation de l'élévation du niveau de l'océan suggère que ce port a été inondé il y a entre 7000 et 7100 années.
Nous n'avons pas l'intention de libérer les coordonnées de ce site jusqu'à ce que nous ayons eu la chance d'essayer de récupérer des objets du fond de ce port.
Photos John Jensen.
Il s'agit de l'article en entier : http://www.ancientcanalbuilders.com/Florida/2/index.html
A suivre...
https://www.facebook.com/pages/Earth-Ancients/208845839237411?focus_composer=true&ref_type=bookmark
http://www.genesisquest.org/bahamas/
http://www.bibliotecapleyades.net/atlantida_mu/esp_atlantida_26.htm
https://www.facebook.com/pages/Earth-Ancients/208845839237411?hc_location=timeline
https://www.sciences-faits-histoires.com/blog/archeologie/cite-engloutie-de-cuba.html
https://www.sciences-faits-histoires.com/blog/archeologie/nouvelles-hypotheses-sur-l-atlantide.html
Yves Herbo Traductions, Sciences, Faits, Histoires, 16-07, 29-07-2014
Caraibes et archéologie : les découvertes en République Dominicaine
Quand on parle des Caraïbes, on cite souvent les pirates et les corsaires, le rhum, Christophe Colomb, les tropiques et le sable fin. Certains parlent parfois du Triangle des Bermudes, ou encore de l'Atlantide et de Bimini, de pyramides englouties au large de Cuba... mais on n'entend jamais personne se soucier d'antiquité ou de préhistoire dans ces régions. Pour une majorité de gens, ces territoires sont jeunes et étaient vierges, voir inconnus avant les débuts de l'esclavagisme et de l'arrivée des conquistadores espagnols...
Quelle ne fut donc pas la surprise de Sir Robert H. Schomburgk lorsqu'en 1849, il découvrit les grottes de Borbon ou " del Pommier " et leurs peintures rupestres étonnantes. Ses écrits, publiés en 1854 à Londres, restent parmi les plus anciens connus parlant des peintures rupestres au niveau mondial. C'était tellement inattendu d'ailleurs pour la science de l'époque, que cette découverte faite en République Dominicaine (ou île Hispaniola, où Colomb établi ses quartiers à son arrivée) retomba assez vite dans l'oubli... : Voir ci-dessous :
Situées à environ 35 kilomètres à l'ouest de Santo-Domingo (Saint-Domingue) et à côté du village de Borbon, c'est 55 cavités qui ont été localisées dans un petit karst composé de collines boisées atteignant les 170 mètres de hauteur. Ces grottes sont en majorité des abris sous roche, des grottes horizontales d'environ 200 mètres de développement, ou de grottes plus importantes accessibles par des puits et des dolines d'effondrements (sur 10 à 40 mètres) et recoupant des galeries ou tunnels importants.
Ce sont dans ces sanctuaires que des amérindiens, identifiés d'abord comme des Arawaks (Caribs) et des Tainos, mais aussi depuis par les Igneri, considérés comme les vrais indigènes pré-colombiens, habitant les Bahamas, les Grandes Antilles et quelques petites îles antillaises, et qui ont laissé des peintures et des témoignages de leur lointaine culture. Des datations ont confirmé un âge étalé sur 8000 à 2000 ans pour ces peintures, et on sait aussi qu'un peuple s'est installé très tôt à Cuba par exemple puisque des traces très anciennes y auraient été découvertes récemment...
Ce n'est qu'en 1955 qu'un prêtre, Tarciso Villanueva, accompagné de jeunes scouts, redécouvrira la " Cueva del Corral ", et ce n'est qu'en 1976 qu'une mission du Museo del Hombre Dominicano, dirigée par Dato Pagan Perdorno, réalise les premiers relevés topographiques et photographiques de ces cavités, ce qui provoque en même temps leur classification en tant que "parc national". Depuis, Domingo Abreu Collado (président du seul groupe spéléologique de l'île), lutte pour la reconnaissance et protection de ces sites. Car malgré leur classement comme parc national, le site archéologique n'a jamais fait l'objet de protection réelle ni d'attention particulière.
La scène internationale avait été alertée lors du 8ème symposium international d'art rupestre américain qui s'était déroulé à Saint-Domingue en juin 1987. En 1992, Robert Bednarik écrivait dans le rapport INORA (t17) l'importance de ces sites et faisait état de demandes répétées auprès de l'IFRAO pour une intervention directe de cet organisme. Malheureusement, cela est resté sans suite et les préjudices causés à ces sites se poursuivent et atteignent un degrés de risques pouvant provoquer leur destruction pure et simple.
Des carriers sans scrupules dynamitent au-delà de leurs limites d'exploitation à l'intérieur même du parc national. Des tirs ont eu lieu à 6 - 8 mètres de l'entrée de la Cueva la Cigua, provoquant le détachement des parois d'un bloc de 50 à 60 tonnes...
YH : peintures rupestres dans les grottes et interprétations des archéologues concernant ces rites dits "chamaniques" (cliquer dessus pour lire)
On note que ce n'est qu'en 1996 que ces sites ont enfin reçu une protection officielle, après quelques endommagements malheureusement irréversibles...
Ceci est un extrait de la Lettre Internationale d'informations sur l'Art Rupestre (I.N.O.R.A en anglais) N° 7 de 1994, une édition du Dr. Jean Clottes qui est intéressante car l'une des rares publications archivée de l'époque sur ce qui se trouve dans les Caraïbes au niveau antique, voir préhistorique.
" Given the international importance of these caves for the study of Amerindian groups that inhabited the Caribbean Islands for nearly 8,000 years prior to the arrival of western culture, the caves are being considered for the unique category of Capital Prehistoric De Las Antillas (Prehistoric Capital of the Antilles) and the rehabilitation of one of its caves and its surrounding area to match this new category. "
Autre source : https://en.wikipedia.org/wiki/Pomier_Caves
YH : on ne peut s'empêcher de faire la relation entre ces dessins de silhouettes d'oiseaux et les dessins similaires trouvés sur l'ïle de Paques, ainsi que toutes les légendes (mondiales) parlant des hommes-oiseaux ou dessinant des hommes-oiseaux... à ce titre, il est encore difficile d'appuyer la thèse de "culture locale" ou "d'un peuple"... mais bien plutôt d'une culture très ancienne et mondiale, trouvable sur tous les continents, et à des périodes pas très éloignées les unes des autres en final...
Ile de Paques-l'Homme-Oiseau
Yves Herbo Archives, Sciences, Faits, Histoires, 19-11-2014
Caraibes et structures englouties
Un bloc géant de Bimini reposant sur des petits piliers de pierre...
J'ai déjà parlé à plusieurs reprises des revendications de plusieurs chercheurs, dont de réels scientifiques, concernant des structures artificielles qui seraient englouties à divers endroits de la région des Caraïbes, Floride, Bermudes et Antilles. Cette vaste zone de l'Atlantique, en face du Mexique et de la mosaïque de petits états de l'Amérique Centrale recèle bien des mystères et légendes depuis que Christophe Colomb lui-même ait décrit dans son journal de bord, à son arrivée dans les parages, une observation étrange de lumière "non-naturelle" (ce que certains recensent comme une des plus anciennes observations d'OVNI historique) et que les premières annales des mystérieuses disparitions de navires (ou d'avions) du Triangle des Bermudes soient enregistrées...
Vous trouverez d'ailleurs en bas de cet article toute une série de liens qui vous enverront vers les différents articles déjà publiés ici sur cette région.
Je suis loin d'avoir encore pu détailler toutes les légendes et histoires de cette région néanmoins, car il y en a toujours à découvrir ou à préciser, comme vous le montre ce nouvel article qui ajoute donc encore quelques lignes et images à celles déjà produites, pour mon plus grand plaisir et le votre je l'espère.
Je n'en avais pas encore parlé car cette histoire recèle maintenant peu de "surprises" et de nouveautés... mais il est tout de même intéressant de la rappeler car cette réelle cité engloutie nous permet tout de même d'affirmer, avec preuves, que si la chose s'est bien produite il y a peu de temps (relatif mais historique), il a très bien pu aussi se produire dans une période plus lointaine dont nous n'avons plus le souvenir... tout comme les futurs montées des océans dans ces régions assez basses sur l'eau peuvent malheureusement reproduire dans l'avenir les mêmes catastrophes...
Port Royal englouti - Jamaïque
Il y a bien eu, historiquement, une cité d'engloutie ici, et il s'agit de la ville de Port Royal en Jamaïque :
C'est en 1494 que Christophe Colomb met les pieds à Xamaica, comme l'appelaient les véritables originaires de l'île, les Indiens Arawaks, arrivés probablement depuis des millénaires mais qui seront tous pratiquement massacrés sous le joug de la couronne d'Espagne en 150 ans. Les conquistadors espagnols vont y fonder un comptoir important nommé Spanish Town. Mais les lieux intéressent également la couronne britannique et, dès 1655, les anglais débarquent dans le sud de l'île et finissent par l'occuper. Dès l'année suivante, ils fondent Port-Royal et sa garnison qui empêchera désormais les espagnols de reprendre l'île malgré deux tentatives en 1657 et 1658... Les britanniques n'hésitent pas à demander la participation des corsaires et autres flibustiers de participer à la défense de l'île contre les espagnols et les français, et Port-Royal devient également la capitale des pirates, dont le célèbre (et cruel) Henry Morgan en profitera pour y régner et y créer le code des pirates et même d'y être officiellement nommé gouverneur de l'île. En effet, bien qu'emprisonné et emmené en Angleterre en 1672 pour piraterie et cruauté, une étrange chance lui sourit toujours et il est finalement fait chevalier en 1674 par Charles II, grâce à son allégeance envers les Stuart ! Il retourne en Jamaïque et est nommé Lieutenant-Gouverneur, avec l’octroi de deux grandes plantations de cannes à sucre. Bien que la piraterie se calme et que les flibustiers commencent à partir dès son retour, c'est ici que l'étrange et la légende apparaissent : des prophéties affirment que la ville est maudite à cause de la cruauté et des blasphèmes perpétrés par les pirates et leurs trafics de prostituées et d'esclaves. Néanmoins, Morgan sera nommé gouverneur général de l'île en 1684, un très grand honneur pour un ancien pirate, et l'est encore quand il y meurt mi 1688...
Port-Royal englouti - Jamaïque
Et c'est peu après (semble-t-il) le quatrième anniversaire de sa mort, que la malédiction est activée : Morgan est enterré au cimetière de Palisadoes, près de Port Royal, mais un énorme séisme, accompagné d'un raz-de-marée survient peu avant midi le 7 juin 1692. Lors de la troisième secousse, un éboulement sous-marin entraîne sous les flots le port et le centre-ville. Palisadoes est maintenant une île et l'ancien cimetière a disparu. Lors de cette catastrophe, plus de 2000 personnes vivant sur place ont été tuées. La légende parle également d'une énergie mystérieuse à l'origine de l'incident...
Port-Royal englouti - Jamaïque
Autre mystère : Morgan est mort sans enfants, laissant toute sa fortune à Mary, sa femme. Malgré tout, il est, pour les spiritualistes britanniques du xixe siècle, l'un des esprits principaux à se manifester, en tant que « John King ». Les esprits de sa femme et sa fille, toutes deux appelées « Katie King » firent aussi d'importantes apparitions. « Katie King » (sa fille) fut rendue célèbre par la médium Florence Cook...
Notons aussi pour compléter que la célèbre série de films "Pirates des Caraïbes", avec l'acteur Johnny Depp, montre à plusieurs reprises la ville de Port-Royal reconstituée...
Un autre endroit, dont j'ai déjà parlé dans d'autres articles (voir ci-dessous), est l'île de Bimini et (au moins) une structure étrange nommée "la Route de Bimini" par les chercheurs, depuis sa découverte dans les années 1960... Pour plusieurs chercheurs, il s'agirait plutôt d'un ancien port. Je pense qu'il n'est pas inutile de rappeler ici la visite, dans les années 1970, de l'équipe du célèbre Commandant Cousteau et de son fils Philippe Cousteau. Cette visite avait tout de même permis de valider l'hypothèse d'une structure artificielle grâce à deux preuves filmées sur place, et dont voici quelques photos tirées du documentaire de l'époque qui est en ma possession encore. Même s'il a été apparemment établi grâce à un carottage que ces pierres calcaires sont du même type que celui couvrant tout le sous-sol de la région, il a également été établi (et filmé) que ces gros blocs de pierre (certains de 15 tonnes !) ne sont pas homogènes avec le sous-sol : ils reposent sur des petits piliers et pierres, il y a un espace entre ces blocs et le sous-sol. Il est donc très probable qu'ils aient été en effet taillés sur place, mais tout aussi probable qu'ils aient été soulevés artificiellement afin qu'un espace soit ménagé sous eux (pour évacuation des eaux lorsque ces blocs étaient en surface ?) et des piliers glissés en-dessous. La deuxième preuve est tirée du plan de la structure établi par l'équipe de Cousteau, qui dénote une série et organisation d'une nombre de blocs trop répétitive pour être le fait de la nature. De plus, une coïncidence étrange laisse apparaître les chiffres 6 et 5 à la suite, chiffres cités par Platon lui-même quand il a décrit leur importance au niveau du calendrier des atlantes. Je vous laisse redécouvrir les images du port de Bimini (en forme de J inversé ou de trombone non fermé selon les commentaires), qui, en tout cas, ferme bien l'accès d'une ancienne baie engloutie (vers le néolithique selon la montée des eaux !) que l'on devine derrière lui... :
Sous les gros blocs, des piliers de pierre ménageant un espace : les gros blocs ne reposent pas "naturellement" sur le fond... il semble que le "pont" englouti de blocs de pierre entre l'Inde et le Sri Lanka, le Pont d'Adam-Rama, dispose des mêmes aménagements que visible ci-dessus...
Sur ce plan établi sur place, on découvre qu'il y a une série de 5 très gros blocs de 15 tonnes suivis d'une série de 2 X 6 (12) blocs plus petits disposés à l'un des endroits-clés de la structure (dont une partie est toutefois probablement ensevelie sous les sables) : cet aménagement a peu de chance d'être naturel... et la coïncidence avec les chiffres de l'Atlantide de Platon est étonnante ! Le scientifique accompagnant l'équipe Cousteau est pratiquement certain de son artificialité et suppose qu'il ne pouvait s'agir de l'Atlantide en elle-même mais plus probablement d'une colonie, d'un port avancé de cette civilisation disparue...
Images tirées du documentaire "A la Recherche de l'Atlantide" par le Commandant Cousteau (année 1978).
Autres liens sur cette même région :
https://www.sciences-faits-histoires.com/blog/archeologie/cite-engloutie-de-cuba.html
https://www.sciences-faits-histoires.com/blog/archeologie/decouvertes-dans-les-caraibes.html
Plus large : https://www.sciences-faits-histoires.com/pages/cites-englouties-donnees-compilees.html
Yves Herbo, Sciences, Faits, Histoires, 12-10-2015, Up 12-2018
Caraibes, Montserrat : premiers pétroglyphes découverts
Ce sont les premiers pétroglyphes découverts sur cette petite île britannique des Caraïbes, par des randonneurs qui effectuaient une balade sur l'île antillaise de Montserrat. Les pétroglyphes - qui semblent représenter des dessins géométriques ainsi que des êtres humains - ont été creusés dans le flanc d'un rocher moussu dans les collines densément boisées du nord de l'île. Les archéologues croient qu'ils pourraient offrir des informations précieuses sur l'histoire pré-coloniale de l'île.
Des pétroglyphes ont été laissés par les peuples autochtones des Caraïbes et ont été trouvés dans toute la région, mais jusqu'à présent, aucun n'avait jamais été vu sur Montserrat ou à proximité d'Antigua.
Photograph: mhmon
Les promeneurs ont trébuché sur les sculptures lors d'une randonnée à travers les collines densément boisées de l'île en janvier, mais les responsables ont retardé l'annonce de la découverte jusqu'à ce que l'authenticité des pétroglyphes pourrait être confirmée par les scientifiques.
" Nous avons des artefacts amérindiens sur l'île, mais on n'avait pas vu de pétroglyphes ", dit Sarita Francis, directeur de la National Trust Montserrat. " Ce sont les premiers que nous connaissons, qui ont été trouvés ici."
" L'analyse initiale suggère que les pétroglyphes de Montserrat peuvent avoir entre 1.000 et 1.500 ans, a dit Francis, " bien que la datation au carbone va peindre une image plus claire de l'origine de ces images ". (YH : c'est assez surréaliste cette affirmation, car comment dater une gravure ? : la pierre en elle-même a probablement des millions d'années (ou c'est une roche volcanique et son analyse donnera la date de l'éruption !), et la mousse se renouvelle assez fréquemment : on ne voit pas ce qu'une analyse au carbone 14 pourra donner sur des gravures inorganiques !)
Photograph: Montserrat National Trust
Sur les médias sociaux, les Montserratiens ont commenté sur les similitudes des pétroglyphes avec ceux qui ont été trouvés sur St Kitts, une autre île voisine. George Mentore dit que des pétroglyphes des autochtones Arawaks et d'autres preuves de sites précolombiens ont été trouvés aussi loin au nord que Cuba, Puerto Rico et Hispaniola (Haïti/St Domingue).
Francis a dit qu'elle espérait que d'autres études révéleront les messages, le cas échéant, codés dans les sculptures. " Ils ajoutent vraiment à l'histoire unique de Montserrat " dit-elle. " Sur l'histoire des peuples se trouvant sur Montserrat, à travers le temps ".
Des preuves archéologiques suggèrent que des peuples anciens ont d'abord vécu à Montserrat - aujourd'hui un territoire d'outre-mer britannique - il y a entre 2500 et 4000 ans. Les Arawaks parlent de peuplades qui habitaient l'île auparavant, mais qui sont supposés avoir libéré les lieux vers la fin des années 1400, après des raids perpétués par un autre groupe d'autochtones, les Caraïbes. (Et question datations, ces Karabs (guerriers) et ces Arawaks (peuple pacifique) proviennent probablement également à l'origine d'amérindiens très anciens du Venezuela, probablement plusieurs milliers d'années avant JC - voir les migrations d'Amériques centrale et du Sud...)
Woodlands beach à Montserrat, près de l'endroit où les gravures ont été découvertes. Photograph: Bob Oliver/Getty Images
Montserrat, qui a environ 16 km (10 miles) de long et 11 km de large, est devenue sous contrôle britannique en 1632. Aujourd'hui, la majorité de la population sont des descendants de l'époque coloniale, mélange des colons irlandais et des esclaves africains.
George Mentore, un anthropologue de l'université de Virginie, qui étudie les cultures autochtones des Caraïbes et de l'Amazonie a dit que des gravures similaires avaient été trouvées le long des rivières dans le nord de l'Amérique du Sud où les Arawak, et les groupes Caribs francophones, vivent aujourd'hui.
« Ce sont des déclarations évidentes de la présence humaine ", a-t-il dit. " Je pense qu'il est assez évident qu'ils sont sacrés, d'une manière ou d'une autre ".
photographie art attribué aux arawak en Guadeloupe - la ressemblance n'est pas flagrante...
Source : https://www.theguardian.com/world/2016/jun/03/montserrat-petroglyphs-ancient-stone-carvings-hikers
Yves Herbo, Sciences et Faits et Histoires, https://herboyves.blogspot.fr/, 19-06-2016
Cité engloutie de Cuba ? - MAJ 27-10-2012
Paulina Zelitsky regardant la pyramide filmée
En mai 2001, une étonnante découverte a été faite par Advanced Digital Communications (ADC), une entreprise canadienne chargée de cartographier le fond marin des eaux territoriales cubaines. La lecture sonar a révélé 2.200 pieds plus bas des pierres disposées selon un motif géométrique qui ressemblait beaucoup aux ruines d'une ville. Une équipe de chercheurs canadiens et cubains ont découvert les restes de ce qui peut être une ville antique. En utilisant un équipement vidéo et des radars sophistiqués au large des côtes l'ingénieur Paulina Zelitsky, et son mari, Paul Weinzweig, ont trouvé des mégalithes "d'un genre que vous pouvez trouver à Stonehenge ou à Chicken Itza au Mexique."
Ils montrent des formes très distinctes et des dessins symétriques de type non-naturel. L'âge précis du site sous-marin est également inconnu, bien que les archéologues cubains aient excavé en 1966 une structure terrestre mégalithique sur la côte ouest, à proximité de la nouvelle découverte sous-marine, qu'on dit dater de 4000 ans avant Jésus Christ. "Sur la base de données géologiques, nous spéculons que ces structures ont au moins de 6 à 10.000 ans". Plus vieilles que la Samarie et les Pyramides Egyptiennes. Une pyramide sous-marine a été mesurée à 35 mètres de haut. History Channel a fait une mise à jour qui inclut Linda Moulton Howe. Il est prouvé qu'un bouleversement gigantesque s'est produit sur Terre il y a 8000 ans, de gigantesques inondations ont recouvert une grande partie de la Terre, des millions d'animaux, et de gens ont été tués *. Les inondations ont soulevé des terres de centaines de mètres le long de la côte Sud-Américaine et englouti d'autres régions comme cette zone au large de Cuba.
En 2002, d'autres relevés ont été pris, ainsi que quelques photos, mais des problèmes financiers ont stoppé les investigations.
Les années suivantes, les efforts ont été consacrés, du côté de l'Etat cubain, sur les recherches terrestres et notamment découvrir l'ancienneté archéologique de l'arrivée de l'homme sur Cuba. En 2005, des relevés archéologiques démontraient l'ancienneté de l'occupation de l'île par des humains, en 2006 des traces, écriture et artéfacts mayas y étaient aussi découverts...
En ce qui concerne les ruines au large de l'île, la principale incrédulité des scientifiques "officiels" (même si les découvreurs en sont aussi !) provient de la profondeur de ces dernières : + de 600 mètres de profondeur : on estime qu'au mieux, la mer s'est élevée de 200 mètres sur ce côté Est des Amériques, à la dernière fonte des glaces. On en est là à l'heure actuelle : plusieurs géologues et les découvreurs pensent que la ville était sur un plateau plus en hauteur, mais que les séismes et glissements de terrains l'ont fait glisser beaucoup plus bas... De plus, les courants et les bans de sables bougent souvent dans la région, recouvrant ou découvrant des zones au hasard... comme pour Yoganumi, beaucoup d'argent et de volonté pour réussir à prouver quoi que ce soit...
Plusieurs images au sonar et en vidéo des endroits concernés
* Key West qui est connue comme étant le point le plus au sud des États-Unis, est à la fois une île et une ville. Le visiteur qui arrive dans la ville peut voir une grosse borne en forme d’obus à l’angle de South Street et Whitehead Street qui marque le point le plus au sud que les touristes peuvent atteindre. Dans les faits, des terrains militaires sont encore plus au sud, mais ne sont pas ouverts aux civils et le véritable point le plus au sud des États-Unis se trouve être « Ballast Key » une petite île qui est un domaine privé. Cette région des Keys fut habitée par les Indiens Calusa bien avant l’arrivée des Européens. Le premier historiquement connu comme tel, étant l’Espagnol Juan Ponce de Leon en 1521. À l’époque, les Espagnols ont donné à Key West le nom de « Cayo Hueso » ce qui signifie littéralement, la « baie ou la crique aux os ». En effet, des ossements humains jonchaient le terrain et l’on ne sait si cela était les restes d’un champ de bataille ou d’un cimetière... (ou d'un ancien tsunami !).
http://www.morien-institute.org/adclarge6.html#14
http://www.examiner.com/architecture-design-in-national/was-there-an-ancient-lost-civilization-cuba
Une entrevue avec la scientifique :
Yves Herbo 03-2012
MAJ 27-10-2012 : Un fidèle lecteur de ce site m'a envoyé un nouveau lien concernant cette mystérieuse cité éventuellement engloutie sur les contreforts de Cuba (merci à lui et heureux de découvrir ainsi l'un de mes lecteurs). En cherchant des nouvelles de Mme Paulina Zelitsky, et de son mari, Paul Weinzweig, j'ai pu trouver des liens récents en anglais ou espagnol relatant le fait que, faute de contrats supplémentaires avec l'Etat Cubain (en difficulté financière comme une grosse partie de la planète), elle et son mari ont dû s'éloigner et partir sur d'autres projets et financements. Ils affirment toujours qu'il y a une cité engloutie et qu'ils en ont les preuves formelles, qu'ils voudraient bien aller repêcher des artéfacts qui s'y trouvent certainement, mais qu'un tel projet coûte au minimum deux millions de dollars pour pouvoir être pris au sérieux, alors que personne n'a les fonds... voici une nouvelle vidéo, afin de ne pas oublier cette découverte de presque 10 ans (!) :
Plus d'infos : http://en.wikipedia.org/wiki/Cuban_underwater_city
Yves Herbo pour SFH 10-2012
Des archéologues cubains découvrent des pierres taillées par des aborigènes
La Havane, (RHC).- Un groupe d’archéologues cubains ont découvert dans la zone protégée de Yara-Majayara, dans la province de Guantánamo, des centaines de pierres taillées par des aborigènes cubains. Il s’agit d’une sorte de calendrier.
Les archéologues ont fait cette trouvaille, considérée comme étant vitale pour la science, lorsqu’ils réalisaient des travaux sur le champ pour la confection du cadastre archéologique de la ville de Baracoa.
Les spécialistes ont fait savoir que les pièces trouvées ont des gravures représentant les 4 phases de la lune, ainsi que des figures d’animaux étroitement liés à des dieux adorés par ces indiens Taïnos.
Les archéologues considèrent que ces pièces doivent apporter des idées novatrices sur les gravures en pierre de la culture pré colombienne, car cette pratique en forme de calendrier n’était connue que dans les cultures Inca et Maya.
Dans la ville cubaine de Baracoa, plus de 200 sites archéologiques ont été trouvés jusqu’à présent.
http://www.cubarte-francais.cult.cu/paginas/actualidad/noticia.php?id=18997
MAJ 03-10-2015 : Un musée archéologique montrant quelques artefacts trouvés sur place a été ouvert. On peut y voir quelques reconstitutions (imaginées) de la vie des indiens locaux (les Taïnos) présents bien avant l'arrivée de Cristophe Colomb et des Espagnols, ainsi que quelques statuettes faites par les Taïnos et une tombe. Les Taïnos, dont on sait assez peu de choses, enterraient leur mort et procédaient à des rituels funéraires. On ne sait pas si les pierres taillées et gravées découvertes de calendriers sont issues des Taïnos ou de visiteurs Mayas ou Incas... ou autres, mais elles ont été trouvées à proximité de représentations animales des dieux des indiens locaux...
Photos prises au Musée archéologique de Baracoa.
Yves Herbo Traductions - S,F,H, 09-2012, Up 10-2015, 12-2018, 04-2020
A suivre
Date de dernière mise à jour : 07/04/2020
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