- Accueil
- Escroqueries dans la Gestion immobilière
Escroqueries dans la Gestion immobilière
Escroqueries dans la Gestion immobilière
Escroqueries dans la Gestion immobilière - MAJ 7
Le 1 allée des marronniers au premier plan, le 2 derrière. Il y avait des marronniers sur tous les espaces verts derrière les petites barrières.
Cet article est un appel à l'aide et à la justice. Tous ces faits sont réels et il y a de nombreuses preuves l'attestant. Nous avons eu confiance envers le système judiciaire civil français pour réaliser et contrer ces utilisations frauduleuses de lois douteuses passées à l'aide de jurisprudences ou décrets (hors Parlement) par des détenteurs douteux de pouvoirs anormaux. Nous avons eu tord. Il est évident qu'il est impossible d'avoir confiance en une justice gangrénée par la mafia et les politiques, les intérêts individuels et les fausses valeurs (l'argent et la notion de profit).
Il faut bien préciser ici que moi et ma famille ne sommes pas les seuls concernés par cette même escroquerie plus ou moins accompagnée (en fermant les yeux ?) par les administrations de deux communes parisiennes, et par la "justice". Il s'agit d'une résidence de trois tours de 10 et 11 étages (le dernier étage était à l'origine réservé à des séchoirs individuels) et ce grave problème que je dénonce aujourd'hui concerne donc plusieurs centaines de personnes (4 appartements de 3 ou 4 pièces par étage).
C'est une assez longue histoire, et complexe. Il est probable qu'une majorité d'intervenants dans ses différents volets n'ait pas fait l'effort de vraiment la comprendre et de réaliser les origines et manipulations orchestrées dans cette affaire. Je vous demande donc de la patience devant cette longue suite de faits, même devant parfois des détails à priori sans intérêt : c'est un tout et l'ensemble de ce qu'il se passe dans cette petite résidence est, j'en ai bien peur, le reflet de ce qu'il se passe très souvent au niveau de la gestion de ces parcs immobiliers gérés par des entreprises (subventionnées par l'Etat et donc aussi par les mêmes locataires, en plus !) bien souvent liées à des pratiques anti-sociales, voir mafieuses... et qui utilisent de "bonnes" lois et jurisprudences pour faire monter artificiellement (et sans arrêt) le prix du mètre carré...
Voilà donc les faits dans leur intégralité, ils sont le reflet de l'entière vérité, et je ne suis pas le seul à pouvoir en témoigner. Nous avons pu également obtenir un bon nombre de preuves et de documents évidents, qui ont été ignorés par la "justice". Tous ces preuves (avec les noms ou données identitaires cachés pour respecter les droits) sont disponibles et j'en afficherai en cours ou à la fin de cet article (qui n'a pas encore de fin d'ailleurs étant donné que le problème n'est absolument pas résolu), mais le temps pour y enlever les noms propres de gens que je ne peux citer publiquement est long. Ces documents sont en tout cas consultables chez moi (plusieurs quittances de loyers et copies de jugements prouvant mes dires sur la manipulation des juges par l'OGIF et ses défenseurs, preuve de la tentative de corruption par proposition de paiement d'équipement au noir, témoin de manœuvres douteuses et de non augmentations de certains loyers au même endroit, preuves de non mises au normes électriques et au gaz et des dégâts occasionnés par les travaux et sa vétusté dans l'appartement, preuves des accusés de réception de l'OGIF de mes recommandés auxquels ils n'ont jamais répondu... témoin direct aussi de plusieurs événements : Mr Godron n'était pas de ma famille avant cette année 2013 (mariage cet été avec ma fille) et a été témoin dès 2002 des troubles occasionnés...). Je n'ai personnellement rien à cacher à part une protection minimum de ma vie privée.
Pour retracer l'ensemble de cette affaire, je suis obligé de partir du tout début : mon arrivée au Plessis-Robinson, avec ma femme (à l'époque) et ma fille Delphine (8 ans à l'époque) en août 1992. Contexte : je travaillais depuis 1982, comme employé puis cadre-maison, pour le compte de Thomson-CSF et différentes filiales (Airsys Bagneux, SODETEG), devenue de nos jours Thales, et comme plusieurs dizaines d'employés par an dans ce groupe, j'ai fait appel aux 1% social logements de l'entreprise Sodeteg où je m'étais fait muté en 1990, pour obtenir ce logement. Je précise tout de suite que la tâche de gestion du 1% logement était dévolue à l'époque à la secrétaire principale de notre PDG, Mme L. Le parc immobilier de Thomson-CSF était très important évidemment (énorme entreprise internationale, leader sur plusieurs marchés (armement entre autres)) et j'ai vu des petits pavillons avec jardin partir pour des ingénieurs/cadres avec plus de moyens que ma famille, bien entendu. Mon choix se portait donc sur un assez bel appartement bien clair, situé au 9ème étage d'une de ces trois tours. L'école pour Delphine n'était pas très loin et c'était un plus, ainsi que la meilleure proximité du centre Thomson/Sodeteg où je travaillais à l'époque (Clamart, La Boursidière, et Meudon la Forêt) mais c'est en fait la vue très belle en hauteur sur toute la banlieue sud-est qui a emporté le choix final, l'appartement en question étant tout de même vieux et refait qu'à moitié...
Notez qu'à l'époque (1992), ce sont des francs et non des euros...
Autre particularité importante et non sans conséquences : la résidence est coupée en deux entre deux communes, Chatenay-Malabry avec une tour et Le Plessis-Robinson avec 2 tours. Une voie privée nommée allée des marronniers, à cause à l'évidence des nombreux arbres de ce type qui en font en grande partie le tour (barrée et accessible uniquement pour aménager/déménager et pour les pompiers) fait le tour de la résidence et ne délivre que ces trois tours et cette résidence, les box. Il n'y a donc que 3 adresses possibles pour l'allée des marronniers, le 1, le 2 et le 4 (à Chatenay-Malabry la dernière).
- Lors de notre première visite, l'appartement n'était pas fini d'être rénové. Trois ou quatre ouvriers s'évertuaient alors à reboucher avec du plâtre une grosse fissure transversale dans le mur de soutien (pourtant en béton armé) de la cuisine/salon. Je m'en inquiétais auprès de Mr R., gardien de l'OGIF à l'époque, et celui-ci me rassurait en affirmant que cela ne se verrait plus et que n'importe comment, il n'y avait pas de séismes à Paris en plaisantant. Plus tard, lors de l'état des lieux, le représentant de l'Immobilière Familiale (pas d'OGIF à l'époque) mentionne bien que plusieurs pièces, tapisseries et peintures sont jugées en bon état malgré les 20 ans passés et non refaites, alors que les refaites sont mentionnées en très bon état. Une fenêtre de la chambre principale ne ferme pas mais Mr R. refuse de la mentionner en affirmant qu'elle devrait fermer en insistant (mais un collant d'emballage empêche son ouverture), que des travaux pour les fenêtres et d'autres sont prévus pour 1998 et qu'il y a une garantie décennale à respecter, etc... il mentionne juste des volets cassés à remplacer (qui ne le seront pas avant longtemps !) et un meuble-sous-évier de cuisine vieux de 20 ans mais en bon état (hum !), bien qu'il y manque des planches et un système de fermeture (qui n'a jamais été fourni)...
Pris par le réaménagement qui dure assez longtemps (assez pris aussi par mon travail à Sodeteg en pleine réorganisation), et dans la mesure où les double-rideaux que nous avions posés devant la fenêtre mal fermée me l'ont faite oublier, nous sommes encore dans quelques cartons en décembre quand il commence à faire un peu frais dans notre chambre et que je tente de fermer cette fenêtre pour de bon. J'enlève donc cette bande de scotch d'emballage endurcie et enroulée sur elle-même pour coincer le supérieur gauche de la fenêtre un peu entrouvert. Et je remarque immédiatement que c'est plutôt le bois de la fenêtre qui s'est tordu sur son pourtour supérieur gauche (infiltration d'eau ?)... et que j'ai beau essayer, il n'y a rien à faire pour refermer la fenêtre correctement... Prévenu, le gardien, Mr R., viendra innocemment vérifier la chose (mais je ne peux que supposer qu'il était au courant, d'où sa manœuvre pour que cela ne soit pas marqué dans l'état des lieux) mais se contentera de me prévenir qu'il faudrait sûrement que je patiente pour les changements de fenêtres car il a déjà prévenu son siège de plusieurs problèmes de fermetures de fenêtres et de volets, que c'était prévu (?) mais sans date précise...
Je ne me souviens plus à quelle date au juste, mais je sais avoir mentionné des choses concernant ces problèmes anormaux dans le livre des réclamations disponible alors à la loge du gardien... sans aucune réponse d'ailleurs avant le changement des fenêtres... en 2003 !... 11 ans donc avec une fenêtre de chambre principale qui ferme mal... que j'ai pu recolmater comme j'ai pu bien sûr, mais je ne peux vraiment pas dire que Mr R. ait été le gardien préféré que j'ai connu dans ma vie...
J'écris et mentionne de nombreuses anomalies dans le livre de réclamations du gardien, dont la loge est située à l'époque au 4 allée des marronniers à Chatenay, dont la grosse fissure vite réapparue et les problèmes aux volets et fenêtre... jamais eu de réponses malgré plusieurs visites au gardien représentant de l'Immobilière Familiale à l'époque... sourd et muet... J'ai téléphoné plusieurs fois à l'époque mais j'ai eu à chaque fois une interlocutrice différente qui affirmait s'en occuper... mais non. Je précise ici tout de suite que j'ai commencé à avoir des problèmes de santé peu après la coupe du monde de football et que des soucis supplémentaires personnels se sont ajoutés.
- Années 1996-1998 : la commune de Chatenay-Malabry est en faillite et les impôts locaux des habitants du 4 allée des marronniers sont augmentés à l'extrême (rediminueront par la suite, MAIS PAS LES LOYERS, pourtant obligatoirement impactés par ces hausses anormales de taxes locales...). L'immobilier enchaine puisque c'est lié et les propriétaires de logements, ainsi que tous bailleurs font monter les prix pour payer leurs propres impôts et taxes qui ont augmenté (au détriment bien sûr de ceux qui n'ont rien à faire monter pour eux à part des dettes...)
http://www.liberation.fr/libe-3-metro/1996/10/07/-_184747
- Année 1999, je suis en procédure de divorce à l'amiable d'avec ma femme et le jugement accorde la séparation : dès 1999 mon ex-femme part donc à son nouveau domicile à B et donne un avis de départ (jugement de domiciliation) au gardien représentant l'Immobilière Familiale (Mr DS à priori) comme nous l'avons toujours fait (loyer, correspondances pour le bailleur), et je reste avec ma fille à garde dans le 4 pièces. Séparation confirmée légalement en 2000.
- Pas très sûr de la date (voir avec facture retrouvée récemment) mais en 1999, nous avons été obligés de changer par nous-mêmes le système complet de fermeture d'une fenêtre d'une chambre : le système, trop vétuste, s'était brisé, et c'était en plus la fenêtre où le système de blocage des volets n'existait plus (ces derniers étaient liés par des ficelles)...
- Divorce définitif en 2001 et là j'avoue n'avoir pas fait attention si un changement de bail avait été fait entre temps ou pas : L'Immobilière Familiale a subitement disparue entre temps et aucun travaux n'a été fait contrairement aux promesses et elle n'a pas changé le bail, le prolongeant tacitement bien que mon ex-épouse ne soit plus là.
- vers 2000-2001, c'est donc l'OGIF qui reprend le relais de l'Immobilière Familiale, alors que l'état de ces immeubles et l'environnement (les grosses résidences en face avec des tours identiques sont devenues HLM...) auraient dû inciter à une destruction ou une réhabilitation vers des logements sociaux du type HLM. Surtout que la population est essentiellement composée d'employés et petits cadres d'entreprises et qu'il n'y a pas de professions libérales ou de "docteurs" implantés dans la résidence... et que le Plessis-Robinson est censé être un modèle en matière de logements sociaux puisque c'est une ville-test !... mais l'OGIF est plutôt incitée par ses intérêts situés à Chatenay-Malabry à priori car elle gère aussi l'ensemble de l'immeuble situé juste à côté, Ave de Robinson et d'autres logements dans cette ville...
A la même période, mes problèmes de santé s'accentuent et, à l'indication d'un ami assez proche (à l'époque), je vois discrètement un professeur en Belgique. Discrètement car je suis en plein divorce, que le travail a une grosse pointe (rachat/fusion d'une grosse société et déménagement !) et que ma fille est dans ses années de bac. Mais c'est une autre histoire personnelle, qui a bien sûr détourné également mon attention, temps et réactions pendant longtemps, mais qui ne concerne pas notre sujet principal.
- 2001 : La ville de Chatenay-Malabry est l'une des plus endettées de France et les choses ne peuvent qu'empirer : elle prend au fil du temps des emprunts très toxiques des banques américaines JP MORGAN, GOLDMAN SACHS et BANK OF AMERICA (entre autres) pour un montant total de 16 864 000 €, avec un surcoût de 15.67% en moyenne, remboursables avant 2026, 2029, etc... ! (2 642 000 € qui augmentent sans arrêt, les taux varient de 8.56% à 23,23% suivant les crédits !)... au même moment, les augmentations d'impôts locaux (rabaissés légèrement suite à ces emprunts) ont entraîné et entraînent toujours des augmentations de loyers par ricochet car les bailleurs et propriétaires répercutent toujours les augmentations de taxes sur les mêmes locataires (augmentations de loyers qui, je le rappelle ici, font par retour réaugmenter les impôts locaux (au bénéfice de la mairie donc et surtout de ses banquiers) puisque la valeur du mètre carré augmente automatiquement avec les loyers... regardez vos quittances d'impôts locaux, le détail indique la valeur de votre logement en mètres carrés, servant comme une base de calcul (qui augmente donc chaque année avec les augmentations automatiques de loyers au 1er janvier...). Et oui, voilà une réalité dont on ne parle surtout pas quand on parle de liberté, d'égalité, de fraternité : quand les pouvoirs affirment décréter une taxe pour tous, les propriétaires de biens et les actionnaires les font en réalité payer à leurs moutons, quand les pouvoirs autorisent les propriétaires et bailleurs à augmenter chaque année les loyers et charges automatiquement d'un côté, non seulement elle ne s'assure pas du tout que les citoyens puissent obtenir cette même augmentation (négociables éventuellement chaque année et par corporations bien séparées), mais en plus elle accorde aux plus pauvres et démunies des aides moindres que ces-mêmes augmentations aux propriétaires et bailleurs... et en plus, ces augmentations de salaires, de loyers et de taxes reviennent de toute façon en grande partie (y compris les "aides" diverses et subventions) dans les caisses de l'Etat via les TVA et taxes diversifiées de plus en plus...
Le Plessis-Robinson, curieusement et alors qu'il ne me semble pas qu'il y ait eut mention d'un besoin urgent d'argent, tombe dans les bras de la peu scrupuleuse banque de GOLDMAN SACHS en... 2001 pour un emprunt de 1 364 000 € remboursable en 2016 avec un surcoût estimé de 83 000 € à l'époque...
Preuves, regardez les emprunts toxiques (encore récemment 2010) de la commune de Chatenay-Malabry, et ceux du Plessis-Robinson en zoomant sur la carte sur la banlieue sud : http://labs.liberation.fr/maps/carte-emprunts-toxiques/#Communes-0071962
http://h16free.com/2012/12/19/19604-prets-toxique-et-incompetence-crasse-des-politiciens
Juste pour info et affirmation : ce genre de bidouilles potico-financières sur le dos du peuple sans distinction est criminel en soit et mène inévitablement à ce qui se multiplie dans une société menée par l'argent : http://www.leparisien.fr/reactions/informations/chatenay-malabry-menace-d-expulsion-il-se-retranche-chez-lui-11-07-2013-0.php
- Fin 2001 : Ma fille Delphine rencontre Mathieu Godron, jeune technicien vivant à l'époque dans les Yvelines et leur affinité fera qu'il finira par passer plus de temps chez moi, pour venir s'y installer définitivement en 2003 suite à des différents avec sa famille à l'époque.
- Mi 2002 : je quitte définitivement le groupe Thalès, en licenciement économique pour refus de mutation en province officiellement, pour tenter de me soigner d'après les indications du spécialiste (qui décède lui-même plus tard dans un accident). Très peu d'IRM et de techniques de haute pointe disponible à mon niveau en Europe, ce qu'on m'indique à Houston au Texas semble adapté à ce que je veux dans tous les cas : détection éventuelle et destruction immédiate si nécessaire, sans soins destructeurs chimiques ou radiatifs. Je ne pourrai aller aux USA et à Houston que plus tard (le 1er février 2003, une date tragique d'ailleurs !), à cause de la logistique financière et du temps d'absence qui ne peut être trop long (ma fille ne peut pas payer de loyer ou signer en mon absence...).
- 2003 : deux ouvriers d'entretien sonnent à la porte, envoyés par l'OGIF et son gardien (pas de nom à l'époque, nous avons juste un "chef des gardiens", Mr L. au niveau OGIF, mais localement, il s'agit déjà de Mr P. et de sa femme). Ils sont venus faire l'entretien courant des joints et robinets (contrairement d'ailleurs à ce qui est marqué dans mon bail) et j'en profite pour signaler une petite fuite provenant du joint du robinet d'eau chaude de la cuisine. Il s'agit d'un jeune apprenti et d'un ouvrier vétéran. Je les laisse quelques minutes car j'ai la visite d'un ami (T. H.) mais quand je reviens les voir, je surprend l'apprenti, à quatre pattes sous l'évier avec une pince monseigneur, en train de resserrer violemment la bague au-dessus du siphon de l'évier. On entend un gros crac mais rien ne se passe et les deux ouvriers s'en vont assez précipitamment... j'essaie aussitôt le robinet en principe réparé mais dès que j'ouvre l'eau au grand, une grosse fuite se déclare juste au-dessus du siphon dont le tuyau vient d'être brisé... et je n'arrive pas à rattraper les ouvriers évidemment... Je me souviens maintenant avoir eu au téléphone Mme P. immédiatement pour qu'elle intervienne. Le plombier remontera me voir, un homme du type maghrebin, qui niera que quiconque ait touché en-dessous du lavabo (me disant même qu'il n'a pas le droit - alors que c'est le contraire légalement !)... ce crime (car il en s'agit bien d'un) a entraîné des conséquences encore existantes en 2013 ! et nous sommes restés de mars à juin 2003 sans évier de cuisine du tout à cause de la mauvaise foi de la part de l'OGIF (aucune réponse à mon recommandé !) et de ses représentants gardiens... ce sera le chef des gardiens, Mr L. à l'époque, qui prendra l'initiative de faire réparer et changer (avec du plastique) une partie de la vieille plomberie en ruine... à cause de mes appels répétés et après une intervention du Maire du Plessis-Robinson auquel j'avais dû écrire pour avoir un petit appui... a ce jour en avril 2013, le meuble en bois qui date de 40 ans n'a pas supporté cette fuite de 2003 et ses pieds s'évasent, vermoulus et le meuble s'écroule (plus de joint possible entre lui et le mur) mais l'OGIF contacté il y a 3 ans refuse de répondre par écrit (toujours) : les gardiens m'ont proposé un partage du coût au noir de leur propre meuble (qui fait parti du bail !) (600€ par moitié) sur un post-it manuscrit avec un autre courrier de l'OGIF, réponse a une demande d'info pour le gaz (preuve donnée aux avocats et aux débats (en principe mais nous n'avons jamais pu voir un écrit de ces débats !) mais ignorée).
- Fin 2003 : les fenêtres sont enfin changées après 11 ans de promesses... mais les fissures s'élargissent un peu partout dans tous les appartements... surtout en hauteur. Ma voisine d'en face à l'époque (le mari travaille chez Bouygues) devient folle à cause des multiples fissures qui émaillent son appartement... ils partiront d'ailleurs avant même les travaux. Important : les volets déroulants sont enfermés dans un gros coffre en plastique (moche) qui fait la largeur des double-fenêtres et 20 cm de largeur : ils ont tous été montés A L'INTERIEUR des logements, enlevant autant de M2 utilisables (mais toujours payés en loyer et impôts locaux depuis !) à chaque logement (7 fenêtres avec ces coffres pour le mien)...
- Autrement dit, la valeur de cet ensemble et de ces logements aurait dû diminuer avec évidence en l'absence de tout travaux et en application de la vétusté et leurs loyers avec... ce qui n'a jamais été le cas bien évidemment... il semble bien que les juges sont toujours prêts à accorder une augmentation des valeurs (même fausse) dans l'immobilier plutôt que l'inverse, sans aucune réalité et en contradiction totale avec les lois de la nature et de la physique... les choses sont laissées à l'abandon et en ruine mais ne diminuent pas de valeur mais par contre, il suffit de mettre une "rustine" à l'immobilier pour qu'il augmente de 50 %... : c'est de l'abus et de l'escroquerie de base, tout simplement, et il y a trop de décisionnaires qui sont à la fois juges et parties... combien de juges et politiques sont locataires ????
- En 2003, le Maire du Plessis-Robinson, Mr Pemezec a adressé un courrier à l’Ogif l’intimant d’effectuer les travaux en retard (en précisant qu’il l’avait déjà réclamé à l’Immobilière Familiale) - j’en ai une copie.
Les travaux principaux n’ont commencé qu’en 2005, avec comme premier objectif pour l’OGIF d’éliminer certains services inclus dans les baux de l’époque : disparition des vides-ordures, non remplacement puis finalement disparition des jeux et jardins pour enfants (le 1er au niveau du « bac à sable » (avec sable non prévu et inchangé) actuel a vu ses jeux disparaître par non remplacement bien avant que l’OGIF ne supprime officiellement les jardins d’enfants. La plupart des marronniers de la cité (qui ont donné son nom à l’allée) ont été enlevés par l’OGIF et non remplacés…j’ai un courrier de l’OGIF, signé du chef des gardiens de l’époque, qui affirme que les disparitions de ces services (inclus dans les loyers et charges), vont engendrer une diminution de charges… personnellement, je n’ai vu qu’une augmentation régulière des charges au niveau de la quittance de loyer et une diminution des ajustements annuels de charges, toujours en ma défaveur…
Octobre 2003 : L’OGIF prévient enfin qu’elle va entamer une partie des travaux (une partie seulement sur tout ce qu’il y a de retard d’après la loi), dans les 6 prochains mois (2004 donc). (pièce 10). Dans ce courrier, il est aussi fait mention de la disparition des vides-ordures, afin de réduire les charges. Ce qui est faux car les charges n’ont pas cessé d’augmenter considérablement (voir les pièces sur les ajustements annuels de charges).
2004 : ravalement, changement (enfin !) des fenêtres et volets. Malgré le ravalement, on constatera après un affaiblissement au niveau du balcon, ainsi que la détérioration de la pierre au-dessus du balcon. (pièce 11).
2005 : travaux de peintures des halls et cages d’escaliers (parties communes - hors appartements).
L’OGIF a enfin procédé (ou fait semblant ?) en 2005-2006 à des travaux d’étanchéité du toit du parking souterrain, derrière le 2 marronniers, qui présentait de larges fuites d’infiltration d’eau et de calcaire sur les voitures y stationnant (y compris la mienne)… Travaux non finis en 2013 ! : il y a encore à l’heure actuelle des fuites d’eau et de calcaire sur les toits de certaines voitures (l’OGIF, suite à plainte à mon assureur a fait poser en 2006, comme à d’autres, des plaques de tôles (en principe provisoires) sur les plafonds au-dessus des voitures, sans procéder à de réelles réparations définitives de ce parking… d’ailleurs l’eau et le calcaire commencent à s’écouler des tôles (j’ai à nouveau quelques tâches blanches sur la peinture arrière de ma voiture) et je pense qu’avec les intempéries qui ne vont pas manquer de venir, ça ne va pas arranger les choses…
- 2005 : je repréviens moi-même (écrit et signé sur une quittance de loyer si ma mémoire est bonne) du fait que je suis divorcé depuis 2001 et que le fiancé de ma fille, Mathieu Godron, vit chez moi à titre gratuit question logement. En 2006, le nom de mon ex-femme est enfin enlevé des quittances de loyers (preuve apportée lors des débats) mais l'OGIF ne propose pas de nouveau bail et feint d'ignorer les choses à ce sujet, et n'a jamais voulu répondre à mon courrier de 2003... (copie apportée lors des débats)...
Pour finir, l’OGIF a accéléré son programme d’augmentation générale des loyers de la résidence sans aucune justification réelle, à part le contexte que voici : La commune de Chatenay-Malabry a été mise en redressement suite à sa faillite il y a quelques années (les habitants de Chatenay pourront me confirmer l’année, que je pense être 1997-1998 - au moment des décisions d'attributions de plans de logements sociaux). Les conséquences ont été rapides pour les habitants de Chatenay-Malabry : augmentations énormes des taxes locales, des loyers et charges… L’OGIF en a donc profité dès 2008 je pense (ou 2005-2006 et les lois Sarkozy citées par l'OGIF qui ont, en quelque sorte, invalidé les protections sociales liées aux 1% patronaux et à mon appartement et des autres ?) pour tenter et réussir par tricheries à aligner les loyers de toute sa résidence (qu’ils appellent « Chatenay », alors qu’il n’y a qu’une tour (celle du gardien et des transmetteurs Bouygues sur son toit) à Chatenay, les deux autres étant au Plessis-Robinson, sur les loyers pratiqués à Chatenay-Malabry.
Contre toute logique (mais il y a des doutes parfaitement exprimés, y compris dans la presse et sur internet, sur l’intégrité de certains juges du Tribunal d’Antony…), l’OGIF a présenté des références de loyers pratiqués essentiellement à Chatenay-Malabry, alors que dans la résidence même, se trouvaient obligatoirement un nombre conséquent de loyers aux même prix que ceux contestés par l’OGIF, et les tribunaux ont tous été en faveur de ce dernier, essentiellement à cause de ces fausses informations, ces tricheries mafieuses, voir des complicités politiques ou d'entreprises liées au bâtiment…
2008 : mise aux normes électriques (très en retard). Un encadrement en carreaux de la baignoire dans la Salle de bains empêche la mise à la terre de la baignoire. Cet encadrement ne m’appartient pas, je ne suis pas demandeur des travaux, ni propriétaire : je dis au travailleur de voir avec l’OGIF (seul maître d’œuvre), mais il déclare avoir des délais et ne pas avoir le temps. Je refuse de signer la fiche qu'il me tend. C'est un très grand personnage et très puissant et il se met presqu'en colère mais part devant ma détermination. Il reviendra plus tard (je n'arrive plus à me souvenir si c'était le même jour ou un autre), accompagné de tous les ouvriers, d'un contrôleur de Véritas et d'un représentant de l'OGIF (le responsable des travaux ?). Grosse pression donc de la part de 7 personnes (de mémoire) qui me demandent de signer et de laisser faire les travaux. Je demande juste à l'assemblée que quelqu'un m'amène un papier signé par l'OGIF autorisant cette destruction pour l'autoriser, mais on me répond que non. Point. Je déclare donc que je ne peux signer ou accepter quoique ce soit au niveau de la baignoire et de son coffrage qui ne m'appartiennent pas puisque en même temps, j'en prendrais la responsabilité, et moi seul... Devant mon refus réitéré, le grand technicien (qui fait le plombier et tous les métiers du bâtiment puisqu'il est d'ailleurs toujours présent dans les divers travaux de la résidence) se met en colère et me met sa fiche dans les mains, un stylo et me crie dessus de signer sa fiche, que la baignoire soit faite ou pas. Devant la menace et l'immobilité du groupe, je prends sa fiche et gribouille une signature sur le mur vertical, et j'ajoute en-dessous le texte "NON MIS AUX NORMES". Il se met encore plus en colère et froisse le papier que je lui ai tendu. Quelqu'un le calmera je pense et je ne me souviens plus trop de la fin de cette entrevue qui m'a fortement surpris à l'époque. Ils partiront et, malgré mes remarques aux mêmes représentants ou fournisseurs de l'OGIF et aux gardiens, je n'en entendrais plus parler avant que je le fasse (en vain et dans l'indifférence) auprès de mes avocats et de la court civile... Les normes électriques ne sont toujours pas appliquées à ce jour (09-2013) dans la Salle de Bain... je précise qu'on m'a toujours déconseiller de faire mention de cette scène dans la mesure où j'étais absolument seul contre sept "ennemis", mais dans la mesure où les détails ont fini par ce préciser à force de faire appel à ma mémoire et où je suis certain de la vérité, et que j'ose espérer qu'au moins un employé travaillant pour Véritas ne soit pas un "ennemi" avec intérêt (quoique Véritas a intérêt a donner éventuellement de bons contrôles pour être rémunéré...), je ne vois pas de raison de ne pas en parler ici.
- en 2008 et 2009, quelques voisins (dont le mien à gauche, Mr Ropiquet) viennent me voir pour tenter de comparer leurs loyers au mien devant leur réception de nouveaux baux avec augmentations très conséquentes (peu sont augmentés de 50 € par mois question salaire alors que la loi autorise de le faire aux bailleurs (alors qu’ils bénéficient déjà d’augmentations annuelles automatiques sans rien faire - scandaleux) ! C'est d'ailleurs criminel en soi d'autoriser des augmentations supérieures à l'inflation et aux augmentations des minimas sociaux, surtout en période de crises incessantes... point...). Mais il s'agit d'un trois pièces et il ne peut le comparer trop avec notre quatre pièces (bien qu'il soit évident qu'il n'y ait pas plus de 30 à 50 € de plus en loyer pour cette pièces en plus, et que tous les loyers des trois pièces sont identiques, comme tous ceux des quatre pièces, à l'époque...). D'ailleurs, curieusement, nous ne recevons rien du tout de notre côté (ni les 4 pièces apparemment) car d'autres personnes ayant un trois pièces (au 6ième étage *) nous demande également le service de comparer leurs loyers au notre (ce que nous faisons en vain puisqu'ils ont un trois pièces - du même prix que celui de Mr. R.* d'ailleurs, notre voisin, mais il s'est apparemment enfui vers la même époque, laissant ses meubles, devant les augmentations de loyers excessives pour un retraité seul... Nous n'avons plus aucune nouvelle de notre côté de cette histoire, un peu isolés peut-être en haut de la tour... et par les plans machiavéliques de l'OGIF qui "dispatche" discrètement les augmentations de loyers entre les trois tours et les 3 pièces/4 pièces...
* = Nous avons récupéré comme preuve formelle les montants exacts des loyers de ces deux familles habitant dans notre tour des logements identiques (avec d'autres), via les pièces apportées aux débats lors des jugements civils
Début 2009, je préviens les gardiens que le meuble sous-évier, ainsi que l’évier de cuisine et la plomberie liée, sont vétustes et que le meuble s’affaisse de plus en plus, menaçant d’entraîner le lourd double-évier dans sa chute. J’ai même la représentante de l’OGIF sur la résidence au téléphone à ce sujet, et je lui parle des dégâts occasionnés par l’apprenti, non réparés pour ma part. Elle me dit qu’elle ne connaît pas le chef des gardiens de l’époque qui a réparé (donc reconnu les tords de l'OGIF), qu’il n’y a pas eu plainte à l’époque et que donc pour elle, ça n’a pas existé (Mr le Maire du Plessis-Robinson qui était intervenu, appréciera…). Pour finir, l’OGIF, consciente de sa responsabilité mais ne voulant pas payer le remplacement d'un objet inclus pourtant dans le bail (et restant dans l'appartement) et vétuste de 40 ans, propose un arrangement discret et sans factures par l’entremise des gardiens. (pièce 12).
Autres travaux en 2009 : suppression du bac à sable et des jeux pour enfants (pour économiser des charges ! pour qui ?). Subite maladie des marronniers (hum) et abattage de la majorité des marronniers et arbres de la résidence (sans remplacement) en face des deux tours situées au Plessis-Robinson (un hasard ?) et le parking du 2. Installation de portes d’entrées d’immeuble avec interphone et clé magnétique (non demandée par les résidents). été 2009 : Installation de barrières aux 2 entrées principales de la résidence : ce matériel a dû coûter très cher… et n’a jamais été mit en fonction jusqu’à présent (+ d'un an : septembre 2010 !). Pour info, je n'arrive plus, ou avec beaucoup de difficultés, à ouvrir cette barrière avec la clé magnétique en juillet. Je ne suis pas le seul car un ouvrier tente de régler l'ouverture de la barrière et c'est lui qui me l'ouvre d'ailleurs : j'en profite donc pour faire changer la pile à une mercerie de Chatenay proche et elle ouvre au quart de tour quand je reviens... mais, la semaine d'avant le 15 août 2013, je suis bloqué un moment devant la barrière par le même ouvrier, en train de creuser au marteau-piqueur devant, Mr P. le gardien à ses côtés... je pense que la barrière est à nouveau en panne, bien qu'avec mon changement de pile, celle-ci s'ouvrait même de loin encore récemment... on m'ouvre... mais à mon retour, ma clé magnétique avec sa pile neuve ne fonctionne plus... ou presque plus : il faut que j’insiste 10 minutes et que je place ma voiture à un seul endroit 'lisible" maintenant pour ouvrir la barrière... je me suis absenté seulement deux jours cet été pour aller voir mon père en province : je pars la semaine d'après le mercredi matin, en mettant encore 10 minutes pour réussir à ouvrir la barrière "automatique" (impossible a manœuvrer à la main), avec de la chance apparemment (pour une fois !)... quand je reviens jeudi soir, plus de barrière du tout ! Celle-ci a été apparemment arrachée ou découpée à raz par des gens voulant rentrer chez eux, mais le gardien a choisi de faire ses travaux de barrière juste avant de s'absenter lui-même...
Du 31/08/2009 au 06/01/2010 : remplacement des 3 ascenseurs des tours : notre tour au 1 marronniers (9 étages) est totalement privée d’ascenseur pendant près de 3 mois ! Aucune déduction des charges n’a été effectuée pour cette période, en infraction avec l’article 1724 du code civil. (que j’ai mentionné en vain lors du 1er jugement).
L’OGIF a enfin commencé à remplacer les vieux gros radiateurs (mais qui fonctionnaient très bien chez moi : il fait + froid maintenant !), après avoir remplacé les chaudières au fuel par des chaudières au gaz de ville. Mais ces remplacements ont curieusement été très étalés dans le temps : la majorité sont fait seulement à l’occasion d’un changement de locataire. Commencés dès 2005 en nombre calculé (11 par an de provisionné seulement - j’ai les chiffres transmis par l’OGIF lors des procès) ces changements de radiateurs duraient encore en 2011 ! L’OGIF m’a envoyé une assignation en mai 2010 car il trouvait mon loyer sous-évalué (c’est un comble quand on pense qu’ils osent comparer ces vieux logements a des logements neufs ou refaits à neuf, alors que le mien, en 1992 quand j’y suis entré, n’a vu que deux de ses pièces repeintes et retapissées (les + petites) et la peinture de la cuisine refaite pour masquer principalement une grande fissure qui traverse un mur porteur (fissure qui est réapparue seulement deux ans après mon entrée !). La plupart de mes voisins à l’époque se sont plaints également de ces fissures récurrentes dans les étages supérieurs des tours, ainsi qu’en extérieur sur le balcon… personnellement, je les ai toujours, y compris sur le balcon (une fissure est réapparue récemment sur un morceau du balcon, réparé lors des derniers travaux, mais l’immeuble n’est pas très récent…). J’ai le mur mitoyen du salon et de la cuisine qui présente une fissure (non pas de la peinture, mais bien du mur), un mur qui se déforme (il gonfle) entre deux chambres et des fissures aux plafonds des chambres.
- en mai 2010 donc, l'OGIF m'envoie un courrier avec un nouveau bail (comportant le nom de mon ex-femme !) et surtout une proposition d'augmentation de loyer assez énorme pour mes pauvres moyens : aucune réelle augmentation du pouvoir d'achat depuis 10 ans mais plutôt une diminution constante, alors qu'à l'inverse, tout doit augmenter selon le cercle destructeur de cette société décadente...
- En août 2010, les gardiens affolés et "gênés" appellent pour m'informer que mes radiateurs doivent être changés. Estimant ne pouvoir interdire des travaux du bailleur, plusieurs ouvriers sont donc attachés à changer en catastrophe et en une journée l'ensemble de mes radiateurs. Sur ce fait, ils sont d'ailleurs assez brutaux et des trous assez importants sont agrandis entre certaines cloisons (photos) mais les radiateurs sont changés. Je signe donc une réception des radiateurs à l'un des ouvriers, daté d'août 2010 et je remarque que le nom de l'entreprise de la fiche sur laquelle je signe comporte l'adresse du 4 allée des marronniers : l'adresse de l'immeuble de l'appartement du gardien (la loge a elle été déménagée entre-temps dans une résidence attenante à la notre et aussi gérée par l'OGIF (50 Avenue de Robinson) !!
Début septembre 2010, je reçois une convocation officielle à une Commission de Conciliation qui se tient dans une semaine et à l'autre bout du département (Nanterre) ! Je ne suis pas en très bonne forme physique à l'époque (j'ai eu le pied droit en partie écrasé par un accident domestique stupide (comme toujours) et j'ai du mal parfois à rester debout ou marcher) mais je pars donc (un peu juste en temps et après une nuit blanche à ressasser le sujet), et tente, devant la forte circulation de l'A86, de rejoindre Nanterre directement par le sud et l'A14 je pense, qui passe par un tunnel où il y a personne car il est payant... mais c'est complètement immobilisé bien avant et je suis coincé un moment... plus tard, je me retrouve sans trop le savoir sur la route menant au tunnel payant, que je paye donc (comme si j'étais riche : encore des "aides" récupérées automatiquement par l'Etat...) et j'arrive en vue du plateau de Nanterre lorsque je me faits prendre en léger excès de vitesse (- de 10) aux jumelles par un gendarme (et re-pas de chance ou hasard douteux !), alors que je sortais de l'autoroute à 110 km/heure et que j'ai bien freiné en voyant un subit panneau à 90 et 70 plus loin... il a dû me prendre pile sur le panneau ou était mal positionné par rapport à moi (je rappelle que Thomson où j'ai travaillé (Bagneux) fabrique et à fabriqué beaucoup de radars de toutes sortes, y compris pour la police, et que je pourrai en redire sur la fiabilité des radars...dont je n'ai reçu aucune preuve d'ailleurs). Je recevrai donc une petite amende (allez-y, je suis riche...) en plus de cette visite à la Préfecture, un voyage de 1h30... je trouvais difficilement dans ce dédale le parking et, en plus de mon déjà retard, les contrôles intensifs et la queue à l'entrée de la préfecture n'arrangeaient pas les choses : quand je trouvais enfin la bonne salle dans le dédale de la préfecture, la secrétaire de la Commission m'empêchait d'entrer (pourtant il s'agissait bien d'une affaire de l'OGIF qui était aussi conciliée là, je l'ai entendu (d'ailleurs, ce 9 septembre 2010, il y avait plusieurs personnes attaquées par l'OGIF aux commissions) car mon tour était dépassé et que les représentants de l'OGIF pour mon cas étaient déjà repartis... malgré mes protestations et mon dossier avec photos, le fait que mon ex-femme divorcée soit encore sur ce nouveau bail, rien n'y fait et la secrétaire accepte de noter ma présence (donc mon excuse) et me dit que la commission n'a pu dire que l'augmentation de 40% de loyer indiquée au minimum était trop élevée à leur avis... point final.
Vers novembre 2010, de mémoire, quelqu'un sonne à la sonnette de l'appartement, le temps que j'aille ouvrir, personne, l'ascenseur se referme déjà... plus tard, je découvre un pli dans ma boîte aux lettres mentionnant qu'un huissier est venu et a déposé en mon absence (!!) une assignation à aller retirer à l'office des huissiers, à Montrouge ! Avec un coût assorti de 80 € de mémoire (voir sur le document)... la suite est au niveau des "jugements"...
Nous irons tous les trois, ma fille, Mathieu Godron et moi-même dans l'agence de la Matmut à Antony pour convenir d'une assistance juridique, dans la mesure où je cotise à cette aide avec l'assurance de l'appartement et voiture fin 2010 pour obtenir un avocat nommé par la Matmut. Le jugement sera repoussé à la demande de la défense de l'OGIF jusqu'au 15-12-2011.
L’adversaire a été (le 13 octobre 2011) obligé de donner certaines pièces intéressantes pour appuyer sa plaidoirie pour le (1er) jugement du 15 décembre 2011. Ces pièces supplémentaires (des jugements précédents de personnes ayant comme moi refusé cette escroquerie déguisée et qui n’auraient pas dû perdre !) m’ont apporté confirmation de ce que je soupçonnais et avait déjà trouvé : La grande majorité des logements de la résidence (beaucoup de 1% logement d’entreprises) étaient exactement dans les mêmes prix question loyers et charges (qui sont en principe réparties) jusqu’en 2008… jusqu’à ce que l’OGIF, ne respectant pas l’esprit de la loi de 1989 mais son seul intérêt, profite des augmentations de loyers à Chatenay-Malabry (dûes essentiellement à la hausse des taxes locales envers les propriétaires et bailleurs (sic)) pour faire augmenter individuellement les loyers (et en en proposant des plus chers aux nouveaux entrants, que les travaux extérieurs soient finis ou non). L’OGIF a notamment triché en ne proposant comme références comparatives aucun ou peu de loyers comparables de la résidence ou même au Plessis (alors majoritaires !), mais essentiellement des loyers de Chatenay-Malabry (plus chers, on sait pourquoi), dans des logements d’immeubles de 4 étages refaits à neufs ou d'entrées récentes… Il y avait effectivement, dans la résidence de trois tours et pendant ces assignations, des logements parfaitement comparables, y compris en loyers ! - je ne dirai bien sûr pas les noms des personnes concernées, mais j’ai bien trouvé dans les jugements de quelques personnes ayant perdu (injustement) face à l’OGIF et à un tribunal abusé par de fausses informations, des loyers de : 551,23 € aux 1 et 4 allée des marronniers, des loyers de 558,98 € au 1 allée des marronniers et 1 loyer à 550,85 € au 4 allée des marronniers… et grâce au dossier d'un autre voisin, nous en avons encore d' autres... il s'agit bien de plus de 100 appartements (donc familles) qui ont vu leur valeur augmenter complètement artificiellement et sans aucune justification réelle à l'aide de logements cités systématiquement depuis 2008 - et encore en 2013 dans mon jugement avec les mêmes lieux !) comme étant comparables alors que la preuve a été faite qu'ils ne l'étaient pas : moins de 4 étages pour 100% dès logements "comparatifs", tous dans le secteur huppé et classé de la Vallée aux Loups et à + d'un km, refaits à neufs ou ne correspondant pas sur l'ancienneté d'occupation... les textes ne sont pas respectés par les juges dans leur intégralité, bien volontairement...
- Nous avons perdu le premier jugement (alors qu'il a été fait mention d'une erreur de date et donc d'une erreur de procédure flagrante, qui a entraîné à notre connaissance, et exactement pour le même motif, des annulations pures et simples des procédures identiques lors de précédents jugements ou lors de conciliations). Nous avons également apporté les preuves (avec photos datées) et expertises, que les travaux attestés par l'OGIF n'avaient pas été faits dans les temps, ni même finalisés (toujours pas aux normes électriques et de gaz en avril 2013 !), et avaient occasionné des dégâts. Et également que les soi-disant loyers apportés par l'OGIF via l'OLAP (des références mentionnant des logements tous en Bon Etat - il y a plusieurs références suivant les états proposés par l'OLAP et elles ne sont pas toujours comparables légalement, mais les tribunaux n'en tiennent même pas compte !) sont pour la plupart distants de plus d'1,5 km et sans comparaisons visibles et constatées (photos datées, témoins) par rapports aux textes de loi (il n'y a pas que le prix du m² qui compte, surtout quand ce prix a été monté par tricheries ou erreurs/complicités !). Et ce n'est pas parce que un bailleur ou un propriétaire rattrape enfin son retard en travaux OBLIGATOIRES que la valeur d'une habitation doit automatiquement augmenter (alors qu'elle n'a pas diminué avant !)... une défense jeune et complètement laxiste de la part de mon assureur qui n'a même pas défendu les photos et preuves d'une manipulation sur plusieurs logements voisins par rapport à des logements lointains.
- Nous avons perdu l'appel par un arrêt stupide et inapplicable qui a même refusé de vraiment discuter des preuves (expertises, photos, autres quittances de loyers, autres loyers que ceux de l'OLAP ( où est-il mentionné qu'il n'y a que l'OLAP qui est acceptable et comparable ?) et du manque de comparaison entre les appartements proposés par l'OGIF (dont une fausse adresse systématique sur plusieurs jugements, dont le mien, retirée - étonnant car l'OLAP n'a pas ce genre d'erreur depuis 2008 !) et également l'annulation d'autres de part leur manque de comparaison (étage, entrée dans les lieux), pour ne conserver qu'une toute petite partie du texte légal (assez criminelle comme "souveraineté"...) concernant le dieu de l'immobilier mafieux, le prix du mètre carré...
- L'arrêt n'est pas applicable puisqu'il confirme d'un côté le 1er jugement (reconduction du bail aux conditions données par le jugement) alors qu'il affirme que mon ex-femme n'aurait jamais dû être citée - elle n'a d'ailleurs jamais pu recevoir aucune assignation lors de sa propre condamnation au 1er jugement (contrairement à ce qu'a affirmé l'adversaire) et n'est pas concernée par ce même bail avec son nom dessus... le bail ne peut donc être reconduit, en infraction avec le jugement en question... sauf grâce à un mensonge...
- De plus, l'arrêt n'apporte aucune réponse concernant les expertises au niveau des dégâts (murs, meubles fournis...) et du manque de mises aux normes du gaz ET ELECTRIQUE, ainsi qu'au niveau des parkings inondés régulièrement... ni au manque de comparaison réelle entre les logements cités par l'OGIF et les 100 logements de la résidence des marronniers qui sont tous semblables et étaient tous au même prix avant cette tricherie que la justice semble ne pas vouloir reconnaître (plus pratique !) : il y a beaucoup de révisions de jugements à faire sur ce dossier...
- D'autres sujets sont apparus comme l'abattage systématique de pratiquement tous les marronniers de la résidence (l'allée des marronniers en comportant sur tout son pourtour à l'origine et ne méritant plus son nom !) par le gardien, ainsi que la pose (quand ?) d'une antenne-relais Bouygues au sommet du 4 allée des marronniers, immeuble du gardien représentant l'OGIF...
- Bientôt plus qu'un mois pour faire tout annuler en cassation, avec deux motifs parfaitement reconnus par cet type de Cour attachée aux textes et procédures : erreur de procédure par une fausse date lors d'une assignation, mention fausse de la présence d'un assigné à une adresse (mon ex-femme) et donc assignation nulle (par second jugement) puisque non délivrée/délivrable. Et non réponses a des conclusions importantes concernant les comparaisons réelles entre les logements et aussi les dégâts matériels et vétusté faisant obligatoirement baisser la valeur d'une chose, y compris avec réparations... Jugement non applicable en final (à mon sens seulement à priori) : le bail ne peut être renouvelé dans l’état puisque mon ex-femme y figure toujours et que l’OGIF n’a pas appliqué le jugement de mars 2013 (signature d’un autre bail) à cette date (09/09-2013)… et je n'ai même pas d'argent officiellement pour payer un simple recommandé (il est hors de question de perdre presque une journée de rémunéraion (ou aides) vu le prix d'un simple recommandé... envoyé pour rien du tout, voir les 5 autres...).
Yves Herbo 04-2013 - révisé avec quelques corrections.
Mise à jour 05-2013 : ce courrier ci-dessus a été remis en main propre à Mr. Philippe Pemezec, Maire du Plessis-Robinson le 25 avril 2013. Il m’a dit avoir reçu 3 personnes habitant la résidence concernées par ce même sujet : 3 appartements de + dans la résidence avec des loyers normaux augmentés anormalement donc… mais qui ne l’ont pas été ! Il m’a dit qu’il allait voir le problème (probablement directement avec l’OGIF). J’ai rencontré avec Mr Godron une professeure d’école (erreur) qui habite au 1er étage de mon immeuble, Mme T-C (nom ajouté par rapport à la version remise au Maire du Plessis) : elle m’a confirmé tous ces faits pour elle-même et son mari (ou conjoint), mais une erreur de date lors de la procédure a fait tout annuler immédiatement ! (où est l’égalité ventée par la Constitution à cet égard étant donné mon traitement ?) et donc son loyer n’a pas été augmenté du tout : encore un de plus dans mon immeuble… cette personne est d’accord pour tenter de monter une association de défense des locataires dans la résidence et nous devons nous revoir. Cette personne a aussi formellement reconnu l’écriture du gardien de l’OGIF, Mr P., sur le post-il proposant un partage du coût du meuble sous-évier en liquide… Notons que cette personne nous a signalé des « vidages » étonnants des sèches-linges loués avec les appartements étaient survenus assez récemment. Elle-même a vu sa « cave » de secours (c’est ainsi que ces grands espaces étaient utilisés par tous les locataires, situés au dernier étage de chaque tour) complètement vidée : elle n’a pas porté plainte car elle ne sait même pas quand cela a été fait à priori (et il n’y avait peut-être rien de valeur). Mais cela me fait tout de même soupçonner un « vidage » forcé de ces caves de la part de quelqu’un… a ce demander si l’OGIF n’a pas l’intention de récupérer ces espaces loués (et envahis depuis 40 ans par la poussière (c’est très aéré), les vents et « bestioles », pour en faire des appartements… et en effet, les nouveaux contrats de location ne semblent pas inclure ces vieux espaces, loués pourtant pendant 40 ans avec les logements… (mais n'ayant plus aucun moyens financiers - toutes mes aides sont données à l'OGIF, je ne peux monter aucune association ni même envoyer un recommandé pour me défendre : il me reste MOINS 200 € après avoir payé le loyer, c'est ma fille qui doit compléter !!)
Tout cela n’empêche pas bien sûr l’OGIF n’appliquer ces augmentations outrageuses (automatiques chaque année sans justification et en plus celles approuvées par la « justice » et les lois passées par des politiques véreux…aux vieux logements refaits qu’à moitié en 40 ans, avec de beaux extérieurs (après avoir empoisonné probablement les marronniers pour n’avoir qu’une belle pelouse (souvent jaune) à tondre…) fait avec du plastique et du béton de base et des revêtements bidons (j’ai travaillé de 1990 à 2002 dans une entreprise de bâtiment (entre autres), et je sais de quoi je parle…).
A ce jour (09-09-2013), l’OGIF n’a JAMAIS répondu par écrit à aucun de mes courriers, y compris ceux en recommandés, concernant ces réclamations : preuves apportés lors des débats : courrier recommandé sans réponses de 2003, écrits dans livres des réclamations (non réclamés par le tribunal à l’Ogif à priori !), coups de téléphone (Une Mme V. de l’OGIF entre autres à l'époque), un post-it des gardiens en réponse, 2005-2006 avec la Matmut sur les fuites parking, rien d’écrit de l’OGIF, 2011 un courrier recommandé sans réponse, fin 2012 un autre courrier recommandé sans réponse… mais le Tribunal se contente de dire : il faut demander … par contre, et c’est encore plus scandaleux de cette parodie de justice, aucun tribunal n’a demandé à l’OGIF des preuves réelles des travaux effectués dans les appartements « jugés » : ils se sont contentés de provisions et de factures concernant l’ensemble de la résidence (surtout l’extérieur) mais absolument pas sur le réel appartement concerné ! Ils n’ont surtout pas voulu vérifier la réalité des travaux effectués car l’OGIF aurait été incapable de le prouver. Et pour ces différences de loyers pour des 3 ou 4 pièces, rien de comparable en réalité car ces taux ont été montés artificiellement et en trichant avec les lois... Tous ces vieux logements ont été rentabilisés depuis longtemps et vétustes : ils ne doivent que baisser en valeur...
Que faire maintenant ? Mon assurance fait le mort depuis juin (de mon côté j'ai attrapé une infection en juin et je suis mal foutu depuis, bien que les antibiotiques donnés par mon médecin (mais j'avoue détester les médecins maintenant, instinctivement) donnent de l'effet maintenant. Elle n'a même pas pris en compte le fait que je réclamais aussi pour des dégâts depuis au moins le début des jugements (2010) et 2005 pour le parking, 2003 pour la fuite, qu'elle les a prouvés elle-même avec un expert... étrange assurance pour laquelle on cotise pour des dégâts prouvés mais non pris en charge en final et des conseils juridiques totalement absents en matière d'immobilier...
On me conseille d'écrire au Président de la République, de prendre un avocat et d'attaquer à mon tour... ou d'arrêter de payer le loyer et de se laisser attaquer... et on ne m'entend pas quand je dis que je n'avais en moyenne pour vivre par mois que 200 euros (quand tout allait bien), que je ne suis qu'un artiste écrivain qui travaille pourtant souvent plus que du temps où il était salarié dans une entreprise gouvernementale (et oui, Thomson/Thalès a toujours été sous main-mise de l'Etat français, c'est tout de même son fournisseur d'armes...) qui a été mêlée a des affaires disons douteuses... ma fille et Mathieu font se qu'ils peuvent pour aider mais ils sont tout aussi dépassés et écœurés par ces parodies de justice qui qualifient de plus en plus l'Etat français, à la botte des banquiers et du dieu argent... tout comme les habitants de la résidence, qui ont tous perdus injustement (et individuellement) à la suite de mêmes parodies de procès d'une république bananière... situés en majorité au tribunal d'Antony, comme par hasard...
Nous comptions tenter de monter une association de locataires mécontents (il y a de quoi), mais beaucoup d'anciens sont partis, incapables de payer les augmentations chaque année (alors que les gens ne sont jamais augmentés d'autant, eux !), ceux qui ont perdu leur procès ou cédés directement à la menace font la tête et il ne reste que plusieurs nouvellement arrivés et quelques loyers inchangés pour quelques privilégiés (chance et le Maire)... j'ai écris un texte dans ce sens pour tous nos voisins mais j'ai l'impression d'être le seul à y être encore motivé ici ! Scoop de dernière minute : l'OGIF a tout tenté jusqu'à présent (et réussi) pour "déguiser" ces vieux bâtiments en résidences de luxe... dernière trouvaille : une affiche mise à l'entrée annonçant la pose prochaine de portes blindées avec serrures spéciales posée à l'entrée de l'immeuble début septembre avec des travaux devant débuter sous peu... mais l'affiche a disparu quelques jours après, et plus de nouvelles...
Ce texte va être envoyé à quelques rédactions d'informations et journalistes, et j'espère aussi que certains voisins me liront et prendront conscience qu'il est toujours possible d'agir pour que la vérité sur ces opérations crapuleuses éclate... et que quelqu'un donne une issue à ce problème de plus en plus critique (les loyers concernés sont censés encore monter de 100 € par mois (!) environ... intenable et criminel pour quelqu'un qui n'a pas connu une augmentation de revenus ou d'aide supérieure à 15 € par mois et par an depuis des années (2008 !)...
Le parking souterrain régulièrement inondé depuis 2005 à droite, on voit le toit. Il y avait une file de marronniers sur l'espace vert devant le parking et à gauche aussi. L'une des deux entrées principales avec barrière et le 2 marronniers à gauche.
Une partie des dégâts et preuves de vétusté avancé (plomberie) et de la non-mise en conformité de l'électricité et du gaz.
Capture sur internet du site officiel : il est mentionné une antenne-relais de Bouygues sur le 4 allée des marronniers... il est même mentionné HLM ! erreur ou fausse déclaration ?
Le parking "réparé" depuis 2005 (ils l'ont jurés devant des juges...)
MAJ 03-10/2013 : Ajout documentations et preuves - toujours aucune aide de quiconque...
Deux experts différents attestent que tant l'électricité que le gaz n'ont pas été mis aux normes (travaux soit-disant faits en 2008 suivant les "dépenses" de travaux présentées au Tribunal)... le Tribunal s'en moque... je rappelle qu'il s'agit ici du robinet d'arrivée du gaz sortant du tuyau d'arrivée (qui sort lui-même du sol) qui n'a toujours pas été mis aux normes : le locataire n'a pas l'obligation ou même le droit d'y faire des travaux d'après son contrat, mais ce n'est pas grave... le tribunal s'en moque... le constat dit " doit être fait rapidement " idem pour l'électricité (alors qu'un simple courrier de l'OGIF, qui est à 100% de mauvaise foi à ce sujet car bien au courant, pourrait régler le problème...)...
Vous lisez bien, ces volets sont déjà signalé lors de l'état des lieux comme défaillants en 1992 : malgré mes demandes verbales aux gestionnaires pendant des années, ils ne sont changés qu'aux dates indiquées ci-dessus, début 2000 ! - les fenêtres fermant mal sont signalées également à ce moment - en vain... et je signale déjà les problèmes de fuites au parking sous-terrain (1999 !), toujours non résolus (malgré les mensonges de l'OGIF au Tribunal) à ce jour d'octobre 2013...
On ne peut pas dire que Mr le Maire du Plessis-Robinson ne soit pas au courant... j'ai trouvé ceci dans mon courrier comme tout le monde en 2003.
courrier2003arsansreponse-1.pdf
Courrier envoyé en Recommandé AR en avril 2003 (je rappelle que ça tout ça tombait aux moments de mon voyage aux Etats-Unis pour me soigner !) à l'Immobilière Familiale, à la Mairie du Plessis-Robinson, à la Matmut - seul le Maire a répondu clairement et par courrier, a sûrement tenté quelque chose.... La fuite n'a été réparée par l'OGIF qu'en juin 2013 (qui a donc "reconnu" sa responsabilité) après avoir pu joindre enfin un responsable de l'OGIF mais sans tenir compte du sous-évier abîmé.
reponsemairefuiteetmeuble-1.pdf
Voici ci-dessus la seule et unique réponse à ma réclamation auprès de la gestionnaire de l'OGIF (lors de la réclamation de cette attestation) au sujet du sous-meuble en train de s'écrouler à cause des manipulations orchestrées par l'OGIF et ses représentants... Une voisine de la résidence a formellement reconnu l'écriture d'un représentant de l'OGIF sur ce post-it. J'ai fourni l'intégralité de tous ces documents à la "justice"... en vain...
A suivre. Les originaux sont tous disponibles bien sûr, certains fichiers pdf sont coupés et seront refaits. Notez que pour prouver tout ceci, les locaux ont été laissés en état depuis 2008, les dégradations faites par les envoyés de l'OGIF sont toujours visibles et intouchés. Je n'ai pas du tout d'argent pour faire quoi que ce soit puisque je n'ai eu aucune augmentation de revenus en 10 ans pratiquement, ce qui n'empêche pas l'Etat (et sa "justice !) d'augmenter automatiquement les choses pour d'autres... Seul l'extérieur de la résidence fait semblant de rajeunir, comme une prostituée pour mieux se vendre... mais les arbres ne sont jamais revenus...
La masse de documents et photos est importante depuis 2010, nous avions aussi acheté - facture à l'appui (mais l'OGIF se sert, elle, toujours des mêmes documents sans les payer, d'après tous les jugements vus !) des documents de l'OLAP (organisme spécialisé dans ce suivi des loyers) donnés à notre avocat (mais les juges ont préférés ne retenir que les plus élevés alors qu'il y avait de vrais comparables de montrés, et + de 3 comme demandé !) et donc aussi plusieurs preuves de loyers identiques ou même encore inchangés dans la résidence...
MAJ 22-10-2013 : J'ai beaucoup de mal à me remettre d'une infection curieuse contractée en mai ou juin et qui ne s'est vraiment déclarée et soignée qu'en août. J'ai toujours l'impression de prêcher la vérité dans le désert mais je comprends et sais aussi que peu de gens peuvent réellement comprendre tous les aspects du problème (qui dépassent de loin mon seul exemple). Nous avons donc la preuve formelle que cette (et probablement toutes ?) entreprise de gestion immobilière fait sans arrêt monter artificiellement et à son seul profit (et celui de l'Etat via les taxes ^^) les prix du mètre carré, enlevant sans arrêt le pouvoir d'achat du peuple, sans réelle justification (et en trichant sur les comparaisons de marchés, avec la complicité de la "justice" et des politiques qui ont fait passer des lois accompagnant cette mafia dans cette escroquerie manifeste (et déjà prouvée à Paris contre l'OGIF !!)... mais les pauvres de banlieue n'ont bien sûr pas le droit à la même justice qu'à Paris apparemment...
Mais une nouvelle preuve vient de tomber ce soir : un autre locataire de mon immeuble, avec un logement identique au mien, a reçu aussi récemment une même énorme augmentation de loyer, à laquelle il n'est pas d'accord et n'a pas répondu. Reste à comparer les loyers mais il est évident que si l'OGIF a attendu la fin de mon appel et l'aval de la justice pour continuer son escroquerie flagrante (pour tous ceux qui se donnent le peine de regarder les faits) et relancer son programme d'augmentation de toutes ses parcelles gérées... en cachant la vérité et en mentant sans relâche...
La suite beaucoup plus vite avec les loyers effectivement pratiqués ici, au même endroit (et pas à + de 500 mètres !) et volontairement non pris en compte par la "justice" (vu les multiples exemples et procès)...
Nous avons la preuve formelle que, grâce à des manœuvres frauduleuses avérées sur une fausse faillite de la ville de Chatenay-Malabry qui a fait monter artificiellement, sans justifications réelles et frauduleusement tous les loyers de la ville, ceux-ci devenant OBLIGATOIREMENT SUREVALUES par rapport aux autres communes... et que les gestionnaires immobiliers, grandement approuvés par la "justice" sur cette escroquerie manifeste, a fait en sorte (et continu) de faire monter les loyers frauduleusement (car Chatenay EST SUREVALUE !) à l'aide de lois passées par des politiques véreux ou inconscients d'aider cette forme de mafia...
D'abord, voilà des copies des Accusés de Réception aux courriers envoyés à l'OGIF surtout : j'affirme que l'OGIF n'a jamais répondu par courrier à toutes ces demandes et est incapable de prouver une réelle réponse...
A suivre avec preuves de nombreux loyers identiques dans cette même résidence (et TOUS inférieurs à ceux de Chatenay-Malabry !) mais "oubliés" ou volontairement écartés tant par l'OGIF que par la justice, malgré les évidences criantes... malgré la loi, la justice reconnaît le faux "sous-évalué" mais pas le vrai sur-évalué !!... la justice n'a pas fait son travail : les loyers de Chatenay auraient du diminuer fortement (et pas seulement les impôts locaux !!) suite aux réajustements judiciaires et fiscaux sur la commune...
J'ai également une preuve que l'OGIF a utilisé ce stratagème à Paris, notamment en mélangeant des 4 et des 5 pièces dans leurs tableaux pour faire croire à une sous-évaluation !!, et une autre prouvant qu'ils ont montré aux tribunaux (pour mon affaire) des montants de loyers qui ne correspondent pas aux mêmes types de logement (on ne mélange pas des loyers PLI et des loyers libres (qui sont apparus subitement dans notre résidence !)), c'est contraire à la loi... mais cela a été approuvé par le Tribunal apparemment lors des débats (dont je n'ai jamais eu le moindre écho)...
Et aussi à venir : copies de 3 jugements de voisins de la même résidence (qui ont donc perdu aussi complètement injustement !) en plus du mien, prouvant des loyers inférieurs à ceux de Chatenay-Malabry... autrement dit, nous avions une résidence avec des loyers parfaitement conformes (mais non aux normes et vieux !) et aux mêmes prix - augmentés chaque année déjà à la faveur des propriétaires automatiquement (et sans justification réelle) par l'Etat - plusieurs centaines de foyers donc... et la "justice" a tout simplement approuvé le fait que, individuellement, chaque loyer soit jugé "anormalement" inférieurs à ceux réellement anormalement élevés... de plus, elle approuve des lois criminelles (et oui !) accordant des possibilités d'augmentation de + de 10% (20% en fait ! - quand votre patron (éventuel) arrive avec un sourire avec une augmentation de 1,5 % ^^) à des citoyens qui ne sont JAMAIS eux, augmentés d'autant... et ils voudraient relancer la consommation ? Je rappelle que des entreprises en difficultés n'augmentent pas du tout les salaires de leurs effectifs... et alors, ces tribunaux s'en moquent et accordent non seulement les augmentations automatiques légales, mais en plus des bénéfices aux propriétaires ou bailleurs pour que eux, fassent payer en réalité leurs impôts par les plus pauvres... Mensonges et escroqueries...
MAJ prouvant la mauvaise foi et même une certaine malhonnêteté de la part de l'OGIF en ne précisant même pas les règles légales concernant les comparaisons d'appartements et les références données : parce qu'elle ne les respecte pas du tout et ment littéralement à tous ses locataires, lors de ces renouvellements approuvés scandaleusement par cette "justice" à sens unique. Voici l'une des propositions de renouvellement de loyers envoyées par l'OGIF dans son secteur de Paris 13 (procès PERDU par l'OGIF), mélangeant allègrement des 4 et 5 pièces et des surfaces disparates... comme ici, une majorité de locataires TROMPES dans leurs droits par ces requins, ont accepté le nouveau loyer ou sont partis d'eux-mêmes... mais, heureusement, certains locataires ne se laissent pas si facilement arnaquer par ces traîtres qui n'hésitent pas à ruiner leurs semblables :
80-cs-recap-et-en-reponse-n-2-c.doc
Notez bien que, comme le Tribunal d'Antony, celui de Versailles a refusé de prendre en considération absolument toutes les preuves fournies, et les loyers comparables moins élevés trouvés et a préféré couvrir l'escroquerie manifeste. Même les jugements comportent en soit des mensonges éhontés et appuient une mauvaise foi et de fausses preuves de l'OGIF (des documents de l'OLAP concernant des appartements en bon état de 4 étages et ne respectant pas les articles de loi sur la comparaison, non situés dans le même quartier (alors que c'est affirmé par le Tribunal d'Antony et de Versailles donc - mensonge), des provisions à la place de travaux réellement effectués, la non-mention du non-respect des garanties décennales grâce à un changement de nom (OGIF à la place de Immobilière Familiale), etc...)... je rappelle que la simple mention au début de chaque jugement (le mien et celui des autres de la résidence) " est manifestement sous-évalué " est un mensonge en soi étant donné justement le nombre de logements déjà "jugés" et augmentés par rapport à ceux fournis par l'OGIF, non conformes et dans un autre quartier...
- J'ai donné ma carte visite avec l'adresse de mes blogs (avec cet article donc) au voisin récemment menacé d'une énorme augmentation de loyer en décembre, mais je n'ai eu aucune nouvelle depuis de lui... il faut dire que mon état de santé n'est pas au beau fixe depuis un moment déjà... et que l'Etat semble s'acharner contre moi car j'ai perdu subitement ma seule mutuelle (la CMU complémentaire) sans aucun motif ni réelle justification puisque ma situation n'a pas changé du tout... je ne peux donc plus me soigner en plus...
D'autre part, j'ai investi en 2010 près de 2000 euros pour faire publier l'un de mes romans et travaille d'arrache-pied sur mes blogs (dont l'un où j'ai investi aussi de l'argent) et d'autres romans à publier (" Quatre Eternités pour une Rose Immortelle " devrait sortir ce trimestre), mais il faut bien dire qu'il n'y a pour l'instant aucune rentabilité sur ces investissements (le blog pourrait devenir enfin rentable en 2014 et me permettre de le repayer donc à la date échéance !) et je n'ai donc aucun revenu pour mon travail pour l'instant, sauf si mon éditeur m'annonce des ventes étonnantes en mars 2014 sur " Je n'étais qu'un Androïde "... (et ne parlez pas des "aides" inexistantes dans la mesure où elles sont empochées à 100% par l'OGIF d'un côté, et récupérées à 50% par l'Etat via les impôts locaux, les diverses taxes (y compris celles de solidarité qui restent à 70% à l'Etat (voir EDF) !) et la TVA... je signale que, question aide, l'Etat donne moins de 15€ par mois en + comme augmentation chaque année, et qu'en ce qui me concerne, tout va dans l'aide au logement et est versé directement à l'OGIF... alors qu'il autorise aussi en plus chaque année depuis ces jugements scandaleux et criminels une augmentation au 1er janvier automatique pour les mêmes de 20 à 30€ + un nouveau rappel chaque mois de 20% du tout aubout du compte ! (jamais personne n'est augmenté d'autant, même en 10 ans, surtout en net...)
Le plus amusant, c'est que dans le jugement de Versailles, il est fait mention de la loi Sarkozy sur l'accession à la propriété (non rétroactive donc inutile sur des vieux immeubles comme ici!)... et qu'en plus, renseignement pris, c'est réservé aux HLM... mais ces tours ne sont pas des HLM ^^... tribunal à la noix non compétent...
Preuves : autres logements trouvés et même donnés aux tribunaux, ou déjà en possession du tribunal d'Antony (qui fait semblant de ne rien voir alors que les faits sont là, dans leurs tiroirs... l'OGIF ment... mais elle a le droit !) :
1 : date entrée : 01-1971 - 4 allée des marronniers Chatenay Malabry 8eme étage : 550,85 € 4 pièces - OLAP donné au tribunal d'Antony par l'OGIF ! - non tenu compte !
2 - date entrée : 01-1971 - allée des marronniers Le Plessis-Robinson - 612,73 € 4 pièces - OLAP donné au tribunal de Versailles - non tenu compte !
3 - date d'entrée : 04-1970 - allée des marronniers Le Plessis-R - 481,80 € 4 pièces - OLAP donné au tribunal de Versailles (avec facture de l'OLAP) - non tenu compte !
4 - date d'entrée : 07-1973 - Fontenay-aux-Roses (ville touchant le Plessis-Robinson, en face de ma fenêtre) - 490,68 € 4 pièces - conforme au "voisinage" car fourni par OLAP donné au tribunal de Versailles (avec facture de l'OLAP) - non tenu compte !
5 - date d'entrée : 08-1992 - 1 allée des marronniers Le Plessis-R - 558,98 € 4 pièces - mon logement ! l'un des jugements fait à Antony et appel à Versailles (en vain) - non tenu compte !
6 - date d'entrée : 1980 - 4 allée marronniers Chatenay-Malabry - 551,23 € - 3 pièces - jugé par le tribunal d'Antony, - repris dans mon jugement par l'avocat de l'OGIF comme justificatif ! Accepté par le tribunal d'Antony, donc j'ai le droit de le reprendre aussi... - non tenu compte !
7 - date d'entrée : 1970 - 1 allée des marronniers Le Plessis-R - 551,23 € - 3 pièces - jugé par le tribunal d'Antony - repris dans mon jugement par l'avocat de l'OGIF comme justificatif ! Accepté par le tribunal d'Antony, donc j'ai le droit de le reprendre aussi... - non tenu compte !
8 - date d'entrée : 02-1980 - 1 allée des marronniers Le Plessis-R - 551,23 € - 3 pièces - jugé par le tribunal d'Antony - repris dans mon jugement par l'avocat de l'OGIF comme justificatif ! Accepté par le tribunal d'Antony, donc j'ai le droit de le reprendre aussi... - non tenu compte !
9 - un autre 4 pièces au 1 allée des marronniers Le Plessis-R, en jugement 2013-2014 au tribunal d'Antony... décidément honteusement très complice ou qui applique des lois très mafieuses...
Tous ces montant de loyers étaient valables lors de mon jugement à Antony (2010-2011) et mon appel 2013 à Versailles... différences minimes entre les 3 et 4 pièces depuis toujours...
PS : je rappelle que je suis père isolé avec ma fille à charge depuis mon divorce en 2000, que j'ai dû quitter 20 ans d'ancienneté chez Thales (licenciement économique) et cas social au Plessis-Robinson depuis 2007, qui ne s'en est jamais souvenu... créateur malchanceux d'activité dès 2003, auteur publié et partageur bénévole, membre d'une association culturelle à buts non lucratifs (et non subventionnée)...
Les preuves papiers :
Preuve 1 - 4 pièces - mon propre loyer et l'affirmation fausse d'une comparaison de logements comparables... qui ne le sont pas !!
Le tribunal de Versailles a reconnu et enlevé cette adresse barrée car très distante... mais on s'aperçoit que c'est une nouvelle escroquerie de la part des avocats de l'OGIF, car elle est systématique sur plusieurs jugements... et l'une des moins élevées volontairement... escroqueries et tromperies, mauvaise foi sont les devises de ces avocats verreux et mafieux...
1 - 4 pièces - Preuve 2 - Donné par l'OGIF au tribunal d'Antony... qui a fait semblant de ne rien voir... ceci est probablement un document trafiqué par l'avocat de l'OGIF et non un document acheté à l'OLAP (payant)... il y a des balcons pour chaque appartements aux Marronniers...
Voici des loyers donnés par l'OGIF, pour "justifier" des augmentations injustifiées, en plus des autres 3 pièces ci-dessous : les locataires n'auraient jamais dû perdre... comptabilisables en +...
Une autre preuve de 2012... comptabilisable en +...
4 pièces - preuve 3 refusée par le tribunal de Versailles malgré l'achat de ma part à l'OLAP ! (voir facture plus haut !)
4 pièces - preuve 4 refusée par le tribunal de Versailles malgré l'achat de ma part à l'OLAP ! (voir facture plus haut !)
4 pièces - preuve 5 refusée par le tribunal de Versailles malgré l'achat de ma part à l'OLAP ! (voir facture plus haut !)
Preuve 6 : ce jugement d'un voisin a été fourni lors de mon jugement au Tribunal d'Antony comme justificatif, et a été accepté tel que... alors qu'il s'agit d'un 3 pièces... j'ai donc le droit de le compter aussi d'après un conseiller juridique... mais ils auraient dû compter aussi pour tous ces jugements injustement perdus de 3 pièces...
Preuve 7 : ce jugement d'un voisin a été fourni lors de mon jugement au Tribunal d'Antony comme justificatif, et a été accepté tel que... alors qu'il s'agit d'un 3 pièces... j'ai donc le droit de le compter aussi d'après un conseiller juridique... mais ils auraient dû compter aussi pour tous ces jugements injustement perdus de 3 pièces...
Preuve 8 : ce jugement d'un voisin a été fourni lors de mon jugement au Tribunal d'Antony comme justificatif, et a été accepté tel que... alors qu'il s'agit d'un 3 pièces... j'ai donc le droit de le compter aussi d'après un conseiller juridique... mais ils auraient dû compter aussi pour tous ces jugements injustement perdus de 3 pièces...
Je demande donc officiellement de l'aide (aucun moyen financier je rappelle) pour la tenue d'urgence du commission de conciliation ramenant mon loyer (et en principe celui de tous les locataires des marronniers !) à MOINS de 600€, avec effet rétroactif au 1-1-2011... ou pour attaquer l'OGIF pour ESCROQUERIE flagrante et avérée (en plus des travaux JAMAIS effectués dans mon appartement à ce jour, ni aux parkings sous-terrains derrière le 2 marronniers qui FUIENT TOUJOURS DEPUIS 2005... En tant que citoyen français, je demande également une enquête de moralité et de compétences envers les tribunaux d'Antony et de Versailles, ainsi que sur les gardiens (preuves de demande de paiement au noir et de mensonges avérés sur les travaux, voir plus haut). Je demande aussi l'étude d'une nouvelle loi sur la vétusté, obligeant une baisse des loyers systématique (et non une augmentation injustifiée chaque année) après un délai raisonnable d'ancienneté/rentabilité d'un immeuble (après 30 ans de construction par exemple et 20 ans de location).
Merci de vos encouragements et aides, merci de partager cet article, de l'envoyer à la presse et aux autorités compétentes, moi, je commence à souffrir de mal-nutrition pour pouvoir économiser sur les prochains loyers......
Voici la réponse de l'Institut de la Justice à ma demande d'aide... :
" Cher Monsieur,
Nous avons bien pris connaissance de votre courriel, dans lequel vous sollicitez notre aide.
Nous ne minimisons pas la gravité des faits qui vous touchent, mais nous travaillons, comme vous le savez, exclusivement à une refonte du systeme pénal, pour tout ce qui releve de l'atteinte physique grave à la personne (crime, agression, agression sexuelle, viol), en proposant amendements et projets de loi aux élus politiques afin d'enrayer le crime et la délinquance, entourés de notre collectif d'experts. En revanche, nous ne pouvons apporter la moindre assistance aux particuliers, que ce soit en rapport ou non avec notre combat, car cela sort de notre périmètre d'action.
Nous vous conseillons de vous adresser au 08 Victimes, plateforme téléphonique dédiée à toutes les victimes d'infractions, quelle que soit la forme de l'agression ou le préjudice subi. Le numéro de téléphone, non surtaxé, est le : 08 842 846 37. Un service d'écoutants professionnels sera en mesure de répondre à vos questions, de vous conseiller, voire même de vous mettre en relation avec d'autres structures aptes à vous aider.
Nous espérons que vous pourrez faire valoir vos droits et vous remercions très sincèrement pour la confiance que vous nous témoignez.
Cordialement
L'Institut Pour la Justice "
Je viens d'apprendre qu'un couple avec bébé au 5ème étage est convoqué à une conciliation pour refus d'augmentation de son loyer... qu'une dame seule au même étage a refusé cette augmentation... mais qu'elle a été appliquée tout de même, sans autre avis... tout ceci dans ma tour... par contre, au 1er étage, il y a une dame qui a eu la chance à la conciliation d'un refus total de la commission suite à une erreur de date : son loyer est toujours proche des 600€/mois...
Et l'OGIF est en train de refaire la même chose en ce moment même dans la résidence de la Pépinière (à côté de l'Hopital Marie Lanelongue)... là où des gens chassés d'ici se sont retrouvés d'ailleurs ! ... et partout où cette entreprise ayant des subventions pour une fausse volonté sociale ! Mais il faudrait d'abord commencer par arrêter d'augmenter les loyers tous les ans alors que ce sont les gens qui entretiennent ces mêmes logements et qui devraient avoir des subventions, pas eux...
Cet article est aussi visible sur d'autres sites internet, dont celui-ci, en cas de panne... : https://herboyves.blogspot.fr/2013/09/escroqueries-dans-la-gestion-immobiliere.html
Autre article concernant l'endroit : https://www.sciences-faits-histoires.com/blog/environnement-planete-terre/dolines-et-systemes-karstiques-en-ile-de-france.html
Yves Herbo - 2010-2014
Date de dernière mise à jour : 07/04/2020
Questions / Réponses
Ajouter un commentaire