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Les Reliques Etranges du Pérou - interview Thierry Jamin 1

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Dans Sciences
Inde, légendes et pluies extra-terrestres

Inde, légendes et pluies extra-terrestres

Inde, légendes et pluies extra-terrestres - 2012 - up 07-2015

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J'ai trouvé l'une des premières références aux pluies étranges se produisant en Inde dans l'Histoire Universelle - Livre Inde Védique (de 1800 à 800  AV J.C.) par Marius Fontane (1838-1914), il y cite notamment des pluies d'or et des pluies sanglantes : 

histoire-universelle-1inde-vedique.pdf histoire-universelle-1inde-vedique.pdf

Mais un évènement récent est venu confirmer d'une façon étrange les propos de l'historien :

" En 2001, les habitants de Kerala (sud de l’Inde) ont été témoins d’une pluie rouge pendant une période de (presque) 2 mois. Godfrey Louis, un physicien à la Cochin University of Science and Technology, intrigué par le phénomène, a collecté plusieurs échantillons de pluie rouge pour découvrir ce qui était la cause de la contamination.

L’examen au microscope des échantillons ont montré que la pluie rouge était remplie de cellules rouges qui ressemblaient remarquablement à des insectes traditionnels qu’on trouve sur Terre. Ce qui est étrange est qu’aucune trace d’ADN n’a été trouvée dans ces cellules, ce qui exclut la plupart des cellules biologiques connues (des globules rouges sont une possibilité mais auraient été détruits rapidement par l’eau de pluie).

En 2006, Godfrey Louis a publié ses résultats dans le journal à comité de lecture Astrophysics and Space, avec la suggestion que ces cellules pourraient avoir une origine extraterrestre, peut-être une comète qui se serait désintégrée dans l’atmosphère pour ensuite ensemencer les nuages avec les cellules.

Depuis sa découverte initiale, Godfrey Louis a intensifié son étude des cellules avec une équipe internationale incluant Chandra Wickramasinghe de l’Université de Cardiff (Royaume-Uni), l’un des principaux partisans de la théorie de la panspermie qu’il a développé avec Fred Hoyle.

Les nouvelles recherches de l’équipe ont été publiées sur ArXiv le 29 août 2010

« Nous avons montré que les cellules rouges trouvées dans la pluie rouge survivent et se reproduisent à une température de 121 °C après incubation sur des périodes allant jusqu’à 2h. Dans ces conditions les cellules filles apparaissent dans les cellules mères et le nombre de cellules des échantillons s’accrois avec la durée d’une exposition à 121 °C. Un tel accroissement ne se produit pas à température ambiante, suggérant que l’accroissement des cellules filles est provoqué par l’exposition de la pluie rouge à de hautes températures. Ceci est une confirmation indépendante des résultats rapportés plus tôt par 2 des présents auteurs, affirmant que les cellules peuvent se répliquer à des pressions élevées et à des températures allant jusqu’à 300°C. Le comportement fluorescent des cellules rouges correspond remarquablement aux émissions observées dans la nébuleuse planétaire du Rectangle Rouge et dans d’autres nuages de poussières galactiques et extragalactiques, suggérant, bien que ne prouvant pas, une origine extraterrestre »

Les spores de certains extrêmophiles peuvent survivre à ce type de températures et se reproduire à des températures moins élevées mais jusqu’à ce jour, rien de ce qui a été découvert sur Terre n’a montré un tel comportement à ces températures. "

Traduction d’après l’article de Daily Galaxy - http://guydoyen.fr/2010/09/02/le-mystere-des-pluies-rouges-de-kerala/

pluierouge.jpg

2012 : Encore des pluies rouges :

" Une pluie extrêmement rare de couleur rouge est tombée durant quinze minutes dans la ville de Kannur, à Kerala, tôt dans la journée du 28 juin 2012. Les habitants ont été troublés, mais ce n’est pas la première fois que l’État connaît une pluie colorée.

Cet étrange phénomène a d’abord été enregistré dans le Kerala quelques heures après une explosion de météorites en juillet 2001, quand un rocher venu de l’espace a explosé dans l’atmosphère. Plus de 120 averses de ce type ont alors été signalées, parfois aussi jaunes, vertes voire noires.

L’Astrobiologiste Godfrey Louis, pro-vice-chancelier de l’Université Cochin des Sciences et de la Technologie (Cochin University of Science and Technology, CUSAT) situé non loin du lieu de cette averse, a étudié les échantillons prélevés de cette pluie et y a découvert quelques propriétés étranges, notamment un phénomène d’autofluorescence- lumière caractéristique des structures cellulaires comme les mitochondries. L’analyse scientifique a montré que la coloration rouge vif était due à des particules microscopiques ressemblant à des cellules biologiques, peut-être originaires de fragments de comètes.
Louis estime que ces cellules pourraient être extraterrestres car il existe déjà plusieurs théories reposant sur l’hypothèse que les comètes pourraient avoir un noyau d’eau chaude rempli de nutriments chimiques capables de soutenir la croissance microbienne.

Il a déclaré, par mail à The Epoch Times, que « ce type de comètes peuvent se briser en petits morceaux alors qu’elles se rapprochent du Soleil au cours de leur voyage en orbites fortement elliptiques », en ajoutant que « ces fragments peuvent rester en orbite et plus tard entrer périodiquement dans l’atmosphère terrestre ».

2-0c00040-cellulealien.jpg

Selon Louis les nuages de pluie rouge sont apparus du fait de particules rouges dans l’atmosphère issues d’un météore fragmenté.
« Il peut y avoir une quantité de l’ordre de 100 millions de cellules dans un litre d’eau de pluie rouge », a-t-il déclaré, « la pluie rouge pouvant apparaître sombre comme du café si la concentration de ces cellules dans l’eau de pluie est plus dense ». Ces cellules «aliens» ressemblent à des cellules normales, mais il leur manque les molécules biologiques habituelles comme l’ADN et on s’attend à y découvrir un système biochimique relativement différent.

Louis explique que « contrairement à d’autres cellules biologiques, ces microbes de pluie rouge peuvent résister à des températures très élevées », et il ajoute qu’« il est possible de les cultiver à des températures aussi élevées que 300 degrés centigrades ». « Même les bactéries appréciant la chaleur, dites thermophiles, les plus résistantes de notre Terre ne peuvent supporter les conditions auxquelles peuvent se soumettre les cellules rouges ». « A l’heure actuelle nous connaissons les microbes hyperthermophiles, mais ceux-ci ne survivent pas au-dessus d’une température de 122 degrés centigrade ».

Auparavant il a été suggéré que cette pluie colorée aurait été le fruit d’un mélange d’eau et de particules de poussière du désert. Cependant cette idée a dû être abandonnée en raison de l’apparition très localisée de ce phénomène malgré les changements climatiques qui durent depuis deux moisLouis a également étudié la pluie jaune, affirmant que celle-ci contient des matériaux dissous qui nous sont inconnus, mais qui ne sont pas les cellules rouges.

« La pluie jaune et la pluie rouge sont liées par le fait qu’elles montrent toutes deux cette caractéristique inhabituelle, à savoir l’autofluorescence », a-t-il déclaré. « On en déduit que les matières dissoutes dans la pluie jaune sont des sous-produits de ces micro-organismes ».

Les chercheurs essayent d’identifier les composants moléculaires des cellules rouges et d’approfondir leurs connaissances en matière de pluies colorées. par Arshdeep Sarao, Epoch Times

Version anglaise: Red Rain in India May Have Alien Origin

http://www.epochtimes.fr/front/12/8/8/n3506811.htm


Autres pluies étranges, mais d'une toute autre nature (apparemment !), dans le sud de la France ! Mais on signale aussi des eaux et pluies rouges au-dessus de lacs canadiens récemment aussi... :

Dans l'Hérault, il pleut des excréments !

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Excédé, Gilles Texier cherche, avec son association, des réponses à un phénomène régulièrement signalé. Il n’en peut plus. Depuis quelques mois, cet habitant de Saint-Jean-de-Védas constate régulièrement sur sa voiture, sa piscine et sa façade, des tâches brunâtres et malodorantes.

Une blague de très mauvais goût pourrait-on croire, si ses voisins ne subissaient pas les mêmes nuisances. " En me rendant à pied à mon bureau de vote, les dimanches d’élections, j’ai constaté sur le parcours que les voitures, les panneaux de signalisation et les façades étaient recouverts de ces traces ", précise-t-il.

" J’ai compris qu’il s’agissait de matières fécales ". Fort de cette constatation, le Védasien se met en quête de réponses et dépose une main courante auprès des services de la police municipale, qui effectuera les premières constatations.

Il porte une nouvelle fois plainte dans le courant du mois de juin 2012. " J’étais dans mon jardin, torse-nu, et j’ai reçu des particules sur moi. J’ai donc touché, senti, et j’ai compris qu’il s’agissait de matières fécales ", déclare-t-il aux gendarmes de Saint-Jean-de-Védas.

Un constat qui fait froid dans le dos et rappelle que des faits similaires avaient été signalés quelques années auparavant dans le Gard et l’Hérault.

Le 12 juillet, ce chauffeur routier devenu apprenti enquêteur prend la tête d’une association. " En son nom, je me suis rapproché d’un avocat et d’un expert judiciaire pour effectuer des prélèvements et enfin prouver la nature de ces particules nauséabondes ", explique-t-il.

En parallèle, il contacte le maire de Saint-Jean-de-Védas, le préfet de l’Hérault et le nouveau ministre de la Santé pour les avertir de ses mésaventures. " Aujourd’hui, tout le monde est au courant et j’attends des réponses ".

DES AVIONS QUI VIDENT LEURS TOILETTES EN PLEIN VOL ?

" Ces matières fécales qui tombent du ciel ne sont pas le fait des oiseaux, mais bien des avions qui dégazent leurs eaux usées en plein vol."

Une accusation portée par Gilles Texier, et vivement contredite par Allain Monadier, responsable montpelliérain de l’entreprise Latecoer, chargée de l’entretien des avions. " La vidange d’un gros-porteur s’effectue à chaque arrêt grâce à un camion." Pour ce faire, la trappe de vidange située à l’extérieur de la carlingue doit être déverrouillée manuellement et mécaniquement. Une explication peu probable donc, d’autant que " toute fuite entraînerait la dépressurisation de l’appareil, automatiquement signalée sur le tableau de bord par un voyant électronique, et consigné au journal des incidents ", précise le professionnel, avant de conclure, catégorique : " Les avions sont hors de cause."

Contacté par le plaignant, l’aéroport de Fréjorgues a cependant effectué les vérifications d’usages.

Sources : Midi-Libre via Wikistrike

MAJ 07-2015 :  " Ce mercredi 27 juillet, il est 5 h 30 du matin lorsque les habitants de Changanassery, ville du Sud-Ouest de l'Etat Indien du Kerala, sont réveillés par une très forte détonation. Dans la nuit qui règne encore, certains perçoivent distinctement un éclair lumineux. Or, à 8 h 30 le même jour et au même endroit, il se met à pleuvoir... du sang ! C'est du moins ce que croit la population, tant la pluie est rouge. Deux mois durant, les habitants de la région de Changanassery auront à subir ces étranges averses, avant que l'ensemble du Kerala ne soit à son tour concerné. Quatorze grandes villes disséminées aux quatre coins de l'Etat seront finalement touchées par un total de 124 pluies rouges. La demière étant signalée le 23 septembre 2001, à plus de 300 kilomètres de Changanassery ; sur la ville de Kannur, dans le Nord, à l'autre extrémité de l'Etat du Kerala.

Le phénomène est si étrange, si peu commun, qu'il suscite dans la population les fantasmes les plus fous. On y voit l'annonce d'une catastrophe imminente et le bruit se répand dans la presse locale que les pluies pourraient être, avec l'effondrement constaté de puits, un signe avant-coureur d'un séisme dévastateur. De fait, en 1884, l'Angleterre connut une série de séismes juste après un cas similaire de pluies colorées - même si les pluies étaient, dans ce cas précis, noires. Plus sérieusement, les habitants. qui utilisent quotidiennement l'eau de pluie, s'inquiètent d'un éventuel danger pour leur santé. A tel point que le gouvernement indien s'empresse de commander un rapport sur l'origine de ce phénomène au Centre for earth science studies (CESS), l'organisme officiel chargé des questions d'environnement au Kerala.
Remis dès le mois de novembre, le rapport, qui se veut rassurant, n'envisage pas que ces pluies puissent être la conséquence d'une pollution chimique et rejette la possibilité de la présence de particules de sable d'origine désertique ou volcanique. L'explication est donc à chercher ailleurs. Et le feuilleton de commencer... Dans un premier temps, les enquêteurs du CESS semblent convaincus qu'un lien de cause à effet unit la déflagration aux pluies rouges. Pour eux, puisque les deux événements se sont produits en même temps et dans un même lieu, c'est qu'ils doivent faire partie de la même histoire. La première question qu'ils se posent est donc : qu'est-ce qui a bien pu causer cette détonation entendue le matin du 25 juillet ? Intuitive, l'hypothèse du tonnerre est pourtant vite écartée. Car si les témoignages des habitants, recueillis sur place, comparent bien la déflagration au tonnerre, tous insistent sur le fait qu'elle était beaucoup plus puissante.

CENT VINGT-QUATRE PLUIES EN DEUX MOIS

Le caractère exceptionnel des pluies rouges a immédiatement focalisé l'attention des journalistes du Kerala. Chaque pluie a ainsi fait l'objet d'un rapport dans la presse locale, ce qui a permis aux scientifiques d'établir un bilan précis du nombre des pluies rouges et de leur localisation. Ils ont ainsi pu déterminer qu'un total de 124 pluies rouges s'était abattu sur l'Etat du Kerala entre le 25 juillet et le 23 septembre 2001. La plupart d'entre elles ont eu lieu dans le Sud de la région, autour de Changanassery, là même ou une détonation a été entendue, le 25 juillet. Au total, les chercheurs estiment à près de 50 tonnes la quantité de particules rouges ainsi apportée par les pluies.

UN ORAGE AUSSI BREF QU'UN "BANG" !

Les murs et les fenêtres des maisons se sont mis à trembler et certains ont cru que le toit de leur habitation allait même s'effondrer. Une sensation rarement éprouvée après un simple coup de tonnerre. Encore plus exceptionnel serait un orage qui commencerait et finirait par un unique "bang" ! Car, comme le souligne le rapport, "aucun orage ne dure l'espace d'un coup de tonnerre". Or, les témoignages sont formels : une seule déflagration a été entendue. Enfin, la saison n'est pas propice aux orages : en juillet, la région se trouve au beau milieu de la mousson de Sud-Ouest et les vents chargés d'humidité provenant de l'océan Indien la balaient continûment, y déversant leurs contenus d'eau. Une fois établi, ce régime de temps ne permet pas le développement de conditions orageuses", lit-on ainsi dans le rapport du CESS.
Alors quoi ? Qu'est-ce qui a bien pu produire un bruit aussi fort ? Pour les rapporteurs, ce pourrait être le bruit caractéristique d'un objet volant à une vitesse supersonique. Et comme ils n'envisagent pas qu'un avion puisse se livrer à une telle manœuvre au-dessus d'une ville comme Changanassery, les stations radars n'ayant rien signalé de particulier, ils avancent que l'objet en question pourrait finalement être un... météore ! Une hypothèse renforcée par le fait que les pluies rouges sont circonscrites à une zone de forme elliptique de 450 km de long sur 150 km de large, qui rappelle la dispersion caractéristique des poussières de comète après une désintégration dans l'atmosphère. De tels événements sont plus fréquents qu'on pourrait le croire. "Chaque année, 40 000 tonnes de matière cométaire arrivent sur Terre", estime André Brack, du Centre de biophysique moléculaire du CNRS à Orléans. Certes, la plupart de ces météores passent inaperçus, parce qu'ils trop petits ou parce qu'ils tombent au-dessus des océans ; mais une petite partie se signale par une traînée lumineuse et tout un ensemble de bruits pouvant consister en des sifflements, des craquements... ou des explosions. Et justement, parmi ces bruits, dûment répertoriés par une étude conduite dans les années 80, on trouve un type de météore qui colle de manière frappante à la description que les habitants de Changanassery ont faite et dont le nom scientifique est éloquent : il s'agit du type "sonic boom", qui correspond aux météores les plus gros.
Et ce n'est pas tout. "On s'est récemment aperçu que certains gros astéroïdes de la ceinrure d'Edgeworth-Kuyper ou du nuage de Oort, les deux principales sources de météores du système solaire, sont rouges", explique Alain Roten, exobiologiste à l'université de Lausanne. Une couleur qui, selon Jacques Crovisier de l'Observatoire de Paris, "est probablement due aux réactions chimiques qu'engendrent les rayonnements UV et cosmique à la surface des astéroïdes". Le bruît, la lumière, la couleur rouge... Les experts du CESS pensent tenir là l'explication du mystérieux phénomène : le 23 juillet, à 5 h 30 du matin, un météore serait entré dans l'atmosphère et s'y serait désintégré, produisant une très grande quantité de poussières rouges qui aurait atteint les nuages, et s'y serait mélangée à l'eau.

Fin du mystère ? Pas vraiment. Car à l'époque, les analyses chimique et microscopique des pluies rouges n'étaient pas encore disponibles. Or, une fois effectuées, celles-ci vont compliquer la donne et renforcer le mystère. Et pour cause : ces analyses mettent en évidence que ce qui a coloré la pluie est de nature organique et ne peut pas être de la poussière cométaire. Plus précisément, cela ressemble à des spores, c'est-à-dire à des cellules vivantes. Pour en avoir le cœur net, les experts du CESS décident de mettre en culture les particules récupérées lors des différentes pluies de l'été 2001. (voir plus haut les résultats...)

D'AUTRES CAS RESTENT INEXPLIQUÉS


Le phénomène des pluies rouges n'est pas aussi rare qu'on pourrait le penser. Même en France, on connaît aujourd'hui au moins un ou deux épisodes de ces pluies chaque année. Dans la plupart des cas, leur couleur est due à la présence de poussières de sable venues du Sahara. Mais les poussières désertiques n'expliquent pas tout. Il existe bien d'autres exemples de pluies rouges restées inexpliquées et auxquels l'écrivain américain Charles Fort (1874-1932) avait, en son temps, dédié un chapitre de son ouvrage intitulé : Le livre des damnés. Son but : faire une liste de tous les faits étranges rapportés par les grandes revues scientifiques de l'époque et qui, n'ayant pu être expliqués, ont été rejetés par la science. En voici un florilège :
En 1812, les Annales de Chimie évoquent une pluie visqueuse et rouge à Ulm, en Allemagne.
En 1872, la revue Chemical News rapporte un cas de pluies rouges en Sicile contenant de la matière organique. A l'époque, on pense déjà à une origine météoritique.
En 1877, c'est le magazine Nature qui relate une pluie rouge survenue en Italie et qui tache les vêtements.
En 1887, L'Année scientifique publie le cas de pluies rouges en Cochinchine (actuel Vietnam) contenant une substance ressemblant à du sang coagulé.
Enfin, en 1888, L'Astronomie rapporte plusieurs cas de pluies sur la Méditerranée, colorées par une substance rouge non-identifiée qui émet une odeur animale lorsqu'on la brûle... Depuis, personne n'ayant pris la relève de Charles Fort, on ne connaît pas le compte exact de ces pluies...

Michel Viso, vétérinaire de formation et animateur du groupe d'exobiologie au Centre national d'études spatiales (Cnes), observe que certains pays utilisent de la poudre de sang déshydraté, riche en azote, comme fertilisant. Serait-ce le cas de l'Inde ? Il est intéressant de noter que le Kerala est, avec le Bengale Occidental, le seul Etat indien à autoriser l'abattage des animaux, dont les vaches. Chaque année, il voit ainsi arriver des millions de bovins des quatre coins du pays. "

ET S'IL PLEUVAIT DU SANG DE BOVIN ?

La mise à mort de tant d'animaux génère une quantité phénoménale de sous-produits, dont le sang, pour lequel il faut trouver des débouchés. Or, le Kerala est aussi une grande région agricole dont les besoins en engrais sont élevés. L'université agricole du Kerala propose ainsi de se servir de ce sang comme fertilisant. Aujourd'hui, il est utilisé dans les champs de coton et les plantations de noix de coco, deux des principales cultures de la région. Comme l'explique le Docteur Nybi, de l'université agricole, "la technique consiste à mélanger de 20 à 50 litres de poudre de sang à la terre, au pied des arbres, en une seule fois, au moment de la mousson du Sud-Ouest". La bonne couleur, les bonnes caractéristiques physico-chimiques, le bon timing... Force est de constater que l'hypothèse du sang n'est pas la moins crédible de toutes, même si, là encore, il reste à expliquer la présence du sang dans l'atmosphère. Pour Michel Viso, une seule explication : entre deux pluies, la poudre de sang déposée à la surface du sol aurait été soulevée par le vent et emportée au loin". Ce qui pourrait écarter la question des moindres précipitations, au cours de l'été 2001, dans la région. Une théorie à laquelle Annie Caudichet, spécialiste des aérosols au CNRS, a toutefois du mal à croire : "L'érosion éolienne nécessite des sols secs et nus ; or le Kerala est très humide et son couvert végétal, très développé."

L'enquête en est là. Les pluies rouges tombées sur Changanassery contenaient-elles du sang de vache déshydraté ? Des spores de l'algue Trentepohlia ? De la poussière d'une comète de la ceinture d'Edgeworth-Kuyper ou du nuage de Oort ? De particules biologiques d'origine extraterrestre ? Pour l'heure, impossible de trancher. Des études sont toujours en cours en Inde, mais également en Ecosse... "

LA VIE VIENT-ELLE DE L'ESPACE ?

Pour les tenants de la panspermie, la vie n'est pas "née" sur Terre mais elle l'a colonisée à partir de l'espace. Littéralement, panspermie signifie "germes partout" : selon cette théorie, les germes de la vie sont partout disséminés dans l'espace interplanétaire, voire interstellaire. Les panspermistes "modernes" pensent que ce sont les comètes qui véhiculent ces germes et qu'en s'écrasant sur les planètes, elles les ensemencent. Ils font remarquer que l'apparition de la vie sur Terre est généralement datée à 3,8 milliards d'années, soit, "juste après" une période d'intenses bombardements cométaires. Certes, cette vieille théorie, qui remonte à Anaxagore, un philosophe grec du Vè siècle avant notre ère, est plus que jamais d'actualité. De plus en plus d'études montrent qu'il est possible à la vie terrestre de se maintenir, au moins un temps, dans les conditions du vide interplanétaire ; des bactéries terrestres ont pu être transportées sur Mars et sur la Lune par des sondes... D'un autre côté, l'eau liquide, considérée par beaucoup comme une condition sine qua non à la vie, serait présente, au moins par intermittence, sur les comètes. Reste qu'aucune comète analysée sur Terre n'a encore montré la moindre trace de vie extraterrestre. "
 

Source (extraits) : http://planete.gaia.free.fr/climat/hydrologie/pluies.rouges.html

 

Yves Herbo pour S,F,H, 09-2012, up 07-2015

Nevada USA des pétroglyphes datés d'entre 14800 et 10500 ans

Nevada, USA, des pétroglyphes datés d'entre 14800 et 10500 ans

Nevada, USA, des pétroglyphes datés d'entre 14 800 et 10 500 ans

 

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Un groupe d'archéologues a découvert une série de pétroglyphes abstraits près du lac Winnemucca, au Nevada occidental. Selon les chercheurs, les gravures datent au moins de 10.500 années, mais ils ne peuvent exclure une datation plus ancienne encore qui pourrait en faire remonter certains à 15.000 années, les faisant les plus anciens pétroglyphes connus en Amérique du Nord.

Winnemucca petrogliphes1

Credit: University of Colorado

L'équipe, dirigée par l'archéologue Larry Benson de l'Université du Colorado, a effectué la datation au radiocarbone des couches de carbonate trouvées dans les pétroglyphes sculptés par les anciens Amérindiens, près du lac asséché.

" Qu'elles soient vieilles de 10.000 ans, ou de 15 000, se sont les plus anciennes gravures rupestres connues dans le nord de l'Amérique pour l'instant," dit Benson. Pourtant, même s'ils ont découvert la date approximative de leur création, les chercheurs n'ont aucune idée de ce que pourrait représenter ces anciens glyphes. " Nous ne savons pas ce qu'ils veulent dire ", admet Benson.

Les pétroglyphes sont composées de gros points et de rainures gravés profondément dans le calcaire, formant de nombreux dessins complexes.

Bien qu'il n'y ait pas vraiment de personnes, d'animaux ou de symboles d'empreintes de mains représentés, les conceptions des pétroglyphes comprennent une série de symboles verticaux, comme des chaînes et un certain nombre de petites fosses profondément gravées avec une sorte de disque racleur de roc.

Benson et ses collègues ont utilisé plusieurs méthodes pour dater les pétroglyphes, y compris pour déterminer quand le niveau d'eau du sous-bassin de Winnemucca Lake - qui à l'époque était un corps unique d'eau reliant le lac à sec maintenant Winnemucca et le lac Pyramid toujours existant - avait atteint l'élévation spécifique de 3.960 pieds. (1.2 kilomètre).

L'élévation était la clé de l'étude parce qu'elle a marquée la hauteur maximale que l'ancien système du lac a pu avoir atteint, avant de commencer à déverser l'eau en excès sur Emerson col au nord. Lorsque le niveau du lac était à cette hauteur, les blocs de pétroglyphes gravés ont été submergés et donc pas accessibles pour la sculpture, dit Benson, conservateur adjoint d'anthropologie à l'Université du Colorado du Musée d'Histoire Naturelle.

Un document sur le sujet a été publié ce mois-ci dans le Journal of Archaeological Science. Les co-auteurs de l'étude comprenaient Eugene Hattori du Musée Nevada State à Carson City, Nevada., John Southon de l'Université de Californie, Irvine et Benjamin Aleck du Musée Pyramid Lake de la tribu Paiute et Centre de séjour à Nixon, Nev. Le Programme National de Recherche de la Commission géologique des États-Unis a financé l'étude.

Winnemucca petrogliphes2Certains détails sont très étranges, on devine une feuille de palmier ou une fougère à l'envers, une silhouette humaine sur un paysage montagneux (?), une fleur, ou le soleil, ou une roue à rayon en bas, et plusieurs "puits" comme les ont appelé les archéologues ou trous apparemment profonds... une carte montrant une région traversée par les migrants indiens n'est pas impossible. Credit: University of Colorado

Benson et ses collègues ont utilisé diverses méthodes pour dater les gravures rupestres, y compris l'identification du niveau de l'eau du lac de Winnemucca avant son assèchement, sur les roches décorées au sommet, laissant une fine couche de carbonate blanc, puis l'ont utilisé pour la datation au radiocarbone.

Les datations au radiocarbone sur des échantillons prélevés dans la couche sous-jacente de carbonate des pétroglyphes les font remonter à il y a environ 14.800 ans. Ces dates, ainsi que des données géochimiques supplémentaires sur une carotte de sédiments du sous-bassin adjacent de Pyramid Lake, ont indiqué que les blocs de calcaire contenant les pétroglyphes ont été exposés à l'air libre il y a entre 14 800 et 13 200 années et encore entre environ 11 300 et il y a 10 500 années. " Avant notre étude, les archéologues avaient déjà deviné que les pétroglyphes étaient extrêmement vieux," dit Benson. " Notre recherche montre que ce sont les pétroglyphes les plus anciens jamais découverts en Amérique du Nord."

Winnemucca petrogliphes0Ce très vieil ensemble de glyphes sur roches ressemble à une grande sculpture qui a mal supporté le temps et l'érosion... Credit: University of Colorado

" Nous ne savons pas ce qu'ils veulent dire," dit Benson. " Mais je pense que ce sont absolument de beaux symboles. Certains semblent représenter des pierres précieuses ou diamants, des arbres ou d'autres, des ramifications d'une feuille. Il y a peu de pétroglyphes gravés profondément dans le sud-ouest américain, et très peu de cette même dimension. "

L.V. Benson, E.M. Hattori, J. Southon, B. Aleck. Dating North America's oldest petroglyphs, Winnemucca Lake subbasin, Nevada. Journal of Archaeological Science, 2013; 40 (12): 4466 DOI:10.1016/j.jas.2013.06.022

Source : http://www.sciencedaily.com/releases/2013/08/130813121622.htm

 

Yves Herbo traductions, Sciences, Faits, Histoires, 10-07-2015

Dans OVNI/UFO
OVNI : Operation Mainbrace en Mer Baltique

OVNI : Operation Mainbrace en Mer Baltique

OVNI : Operation Mainbrace en Mer Baltique - 2012 - up 07-2015

 

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Photographie de Wallace Litwin prise le 20 septembre 1952 depuis le point de l'USS Roosevelt

 

Avec les recherches actuelles sur des anomalies au fond de la Mer Baltique, les hypothèses fusent de partout, d'autant plus que le mystère s'est plutôt épaissi au lieu de l'inverse... Je me suis moi-même souvenu avoir entendu et lu des rapports (et encore aussi dans les années 80 où des sous-marins fantômes et impossibles à intercepter par la marine suédoise ou l'OTAN, assimilés à des russes à l'époque par la presse, avaient été repérés par des radars et sonars et même vus par des pêcheurs) sur une étrange affaire de rockets ou missiles tombés sur la Mer Baltique et pays environnants en 1946, plus d'un an après l'arrêt des hostilités... Je viens d'apprendre qu'une équipe de chercheurs suédois vient de se constituer pour effectuer des recherches sérieuses sur cet événement de plus de 60 ans, à l'aide de plusieurs témoignages : http://www.ghostrockets.se/    http://www.ghostrockets.se/clips/

J'ai retrouvé ce document du 12 août 1946 parlant des événements de juillet 1946

Explorations en Bosnie, le rapport EPR-2 - Partie 3

Explorations en Bosnie, le rapport EPR-2 - Part 3

Explorations en Bosnie, le rapport EPR-2 - Partie 3

Canal tunnel bosnie mini

Petit rappel, en juillet 2014, l'explorateur Dominique Jongbloed donnait un premier avis à la suite de l'expédition EPR2 d'avril 2014. Vous pouvez revoir ce premier avis dans la vidéo visible ici : http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/pyramides-de-bosnie-le-point-de-vue-de-l-explorateur-dominique-jongbloed.html

Le rapport d'expédition European Pyramids Research de NordSud Institute a été envoyé à de nombreuses adresses, intervenants (dont le président de Bosnie Herzégovine Mladen Ivanic) ou presses écrites, télévisées et radiophoniques bosniaques, françaises et américaines, et Mr Dominique Jongbloed m'en a également envoyé une copie pour information et publication. Ce rapport faisant plus de 80 pages, je répondrais donc à la volonté de Mr Jongbloed d'informer le public et les intervenants d'une probable intéressante suite à donner à son expédition en en publiant de très larges extraits et sans modifier d'aucune façon ces écrits et conclusions comme il me l'a demandé : il ne s'agit ici que de citations et de copies conformes de ce rapport, sans parti pris ni opinion préétablie. Juste de l'information donc, en soulignant toutefois qu'il y a déjà des probabilités plus anciennes de pyramides en Europe, historiquement, puisqu'on en a parlé tout aussi bien pour la France, l'Italie, la Grèce, la Bulgarie, l'Ukraine, la Serbie, la Turquie, la Russie et autre Roumanie... Je signale aussi au passage le petit travail effectué par mon correspondant, Mr Albert Fagioli, déjà cité dans plusieurs articles de ce site sur d'autres lieux qu'il a analysé avec ses dons et instruments.

1ère Partie : http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/explorations-en-bosnie-le-rapport-epr-2-partie-1.html

2ème Partie : http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/explorations-en-bosnie-le-rapport-epr-2-partie-2.html

 

D jongbloedD. Jongbloed

N'oublions pas que toutes les croyances populaires, même les plus absurdes en apparence, reposent sur des faits réels, mais mal observés. En les traitants avec dédain, on peut perdre la trace d'une découverte. Alexander Von Humboldt

 

RAPPORT D’EXPEDITION EUROPEAN PYRAMIDS RESEARCH

Par NORDSUD INSTITUTE

Expédition dirigée par Dominique Jongbloed

NORDSUD INSTITUTE : 264, avenue André Lechatelier – BP 108
83060 TOULON LES ROUTES CEDEX
infos@nordsud-institute.com + www.nordsud-institute.com

(... reprise du texte...) Tout le monde chuchote car les murs et le plafond du tunnel n’ont aucun soutènement et risquent à tout moment de s’effondrer sur elle. Bientôt elle disparaît à la vue des trois hommes, prenant le coude du tunnel qui tourne vers la droite. Un silence total se fait alors. Plus personne ne parle et l’équipe, placée derrière Semir Osmanagich et l’explorateur, retient son souffle...

Plusieurs minutes passent ainsi, dans un silence pesant et intenable. L’angoisse est palpable et même Semir Osmanagich scrute nerveusement le tunnel, balayant de sa torche les côtés de celui-ci. Après quelques minutes, la lumière de la torche frontale posée sur le casque de notre spéléologue, réapparaît à nouveau du coude et informe l’équipe que notre compagne d’aventures est sur le retour. Elle surgit soudain du coude, prudente, le corps immergé jusqu’aux épaules.

Elle a l’air toutefois d’être heureuse de cette exploration mais répète à petite voix, à toute l’équipe, de chuchoter car le plafond s’effrite du seul fait de ses mouvements dans l’eau. Elle a, entre temps, rempli les burettes de cette eau vierge et, alors qu’elle remonte dans la galerie, les remet au chef d’expédition. Devant les questions de Semir Osmanagich, elle marque un temps de décalage pour souffler et se réchauffer puis lui répond que le tunnel fait au moins cent mètres de long. Il y a un effondrement au-delà, mais il n’est pas important car elle a pu observer avec la torche frontale que le tunnel se poursuivait derrière celui-ci. Semir Osmanagich est heureux de cette nouvelle et la congratule. Les membres de l’équipe la laissent alors passer afin qu’elle rejoigne la sortie, et notamment la cabine qui lui a été attribuée à l’extérieur du labyrinthe Ravné®. Il faut en effet qu’elle se réchauffe vite et retrouve des couleurs car elle a un teint livide du fait du froid qui règne dans ce tunnel jusqu’à présent vierge de toute visite humaine. La température de l’air et de l’eau est étonnamment la même ! Encore un mystère à expliquer.

Une belle victoire cependant pour la fondation bosniaque et pour l’EPR2. C’est en effet la première fois, dans l’histoire de ces recherches sur la vallée de Visoko, qu’une équipe étrangère, en l’occurrence française, accède à ce niveau d’investigations au sein du parc archéologique. La France, encore une fois, se distingue. L’adjoint de Dominique, récupère alors la caméra utilisée lors de cette exploration et visionne les images pour essayer d’en tirer quelque chose par rapport à la théorie que l’explorateur met en place sur le labyrinthe Ravné®.

5 Mai 2014 - Où grimper sur la pyramide de la lune s’avère moins facile que prévu.

Le ciel est gris et cette journée démarre par une pluie abondante. L’objectif du jour est d’explorer la singularité dite pyramide de la Lune®. Pour ce faire, l’équipe et Dominique font appel à un ami qui sera leur guide, Emir Subicz, l’un des plus compétents guides du parc archéologique et un habitué des lieux depuis la création de celui-ci. Rejoignant l’hôtel, il guide l’équipe et son minibus avec son véhicule personnel jusqu’au parking réservé aux touristes qui viennent visiter la singularité.

Dès les premiers pas, sortant leur matériel et équipement, vu ce que le ciel leur envoie (une bruine qui commence à tomber), ils pataugent dans la boue, au pied du minibus. Soudain la pluie se renforce et devient rapidement diluvienne (le mot n’est pas trop fort). L’ascension de la pyramide promet alors d’être difficile et il est vrai qu’elle tient toutes ses promesses car les difficultés débutent au pied même de la singularité, où les chaussures de randonnées des membres de l’EPR2 se remplissent très vite d’une épaisse semelle de boue qui fait perdre, à toutes et tous, la précieuse adhérence nécessaire pour atteindre le sommet sans encombre.

L’expédition malgré tout avance et évolue avec prudence pour ne pas sortir du chemin tracé car elle ignore si les champs alentours ne sont pas dangereux. Le détecteur de métal, emporté avec l’équipe, se révèle finalement inefficace, vu la pluie abondante, et est remisé au sein du minibus. Le groupe ne pourra se protéger des mines éventuelles car l’humidité crée ce que l’on appelle un « effet de sol » qui neutralise la détection des métaux.

L’ascension se fait péniblement et l’équipe alterne la marche cadencée sur le sentier avec une marche plus hasardeuse sur la bordure herbeuse de celui-ci afin de décrotter, du moins partiellement, les semelles de chacun pour retrouver un peu d’adhérence. L’arrivée au premier niveau permet, dès les premières minutes, de visualiser rapidement un dallage au sol qui est difficile à départager entre construction artificielle et résultat géologique naturel. Le doute plane et l’équipe est divisée sur le diagnostic à donner.

DECOUVERTE N°21 – La singularité « Pyramide de la Lune » pourrait être d’origine naturelle, le doute persiste malgré les mesures faites.

Pyramides lune1 bosnie

C’est en évoluant sur le chemin qui monte jusqu’au sommet, et en rencontrant une nouvelle section de ce « dallage », que des doutes naissent petit à petit dans l’esprit de Dominique Jongbloed. En effet à un moment donné le « dallage », qui suit le relief de la singularité dont il semble avoir été dégagé de sa gangue de terre, subit une pliure caractéristique due aux mouvements géologiques du terrain.

Pyramides lune2 bosnie

Sur la tranche dégagée du pan de la singularité l’on retrouve cette pliure. C’est cela qui dérange Dominique dans son interprétation de cette possible « construction ». En effet, si le « dallage » était antique, voir antédiluvien (pourquoi pas), il aurait été construit posé à plat, à l’horizontal, sur un sol terrassé. Dans ce cas de figure, en cas de mouvements sismiques, la « table » qu’il constituait aurait du casser nette avec, soit une disparition totale de la suite du « dallage » par broyage du sol lié au séisme, soit cela aurait donné une rupture franche, avec un décalage entre la première partie de cette « table » et la seconde, décalées du fait du séisme.

Or il n’en est rien. Le « dallage » épouse parfaitement la pliure. Ce qui tend à faire considérer celui-ci comme étant en fait une plaque géologique qui a subi, elle aussi, la pliure supportée par le terrain. Dans ce cas, le « dallage » ne peut en être un, il est au mieux une plaque de roche brisée sous l’effet des torsions et tensions du sol. Ce type de relief est connu dans d’autres parties du monde.

Certes, Dominique Jongbloed n’est pas géologue et son analyse relève plus du bon sens et de la logique que d’une parfaite connaissance de cette science. Toutefois, de retour en France, il a présenté les photos faites sur place à des géologues professionnels. Ceux-ci ont approuvé le raisonnement de l’explorateur et adhéré à son point de vue.

Continuant plus loin, le groupe arrive à un abri où le sol semblait reproduire ce type de « dallage ». Même si les « dalles » ici coïncidaient les unes aux autres, il n’apparaissait pas évident que cela puisse relever du schéma de pensée d’un quelconque bâtisseur. La pluie rendant le terrain quasi impraticable, les marches de terre et les planches de bois, jouant les contremarches, ne résistant pas à l’eau qui les entrainait, voir accélérait leur détérioration, Dominique Jongbloed décide de stopper l’ascension et demande à une partie de l’équipe de poursuivre celle-ci (surtout parce qu’ils étaient les plus agiles visiblement sur cette nature de terrain) afin d’atteindre le plateau supérieur puis le sommet, pour effectuer les photographies nécessaires à l’expédition, ainsi que les vidéos.

Pyramides lune3 bosnie

Le reste de l’équipe assurent la sécurité en bas des vestiges d’escaliers, sérieusement détériorés par la pluie, et se tiennent prêts à intervenir si le groupe monté au sommet de la singularité avait le moindre problème pour en redescendre. La matinée se passe donc à attendre que le premier groupe ait atteint les trois niveaux de la singularité puis qu’il arrive au sommet de celle-ci où se trouve une zone qui, selon le parc archéologique : pyramide bosniaque du Soleil®, aurait reçu autrefois un autel cultuel.

Après une attente assez longue, le groupe annonce au talkie-walkie qu’il redescend et rejoint la seconde partie de l’expédition où il fera son rapport de situation. Après celui-ci l’équipe, au complet cette fois, redescend vers le parking (prudemment vu le sol glissant). Alors que les équipes scientifiques étrangères avaient déclaré forfait, au vu du temps proprement exécrable, l’EPR2, elle, a accompli sa mission contre vents et marées.

Dominique Jongbloed fixe, comme second objectif de ce jour, la mesure, avec l’Ion Counter®, des ions négatifs émis par les mégalithes et/ou distribués dans l’atmosphère des tunnels du labyrinthe Ravné®. C’est avec un courage retrouvé que l’équipe reprend le minibus qui a, à présent, tout l’aspect d’un 4x4 sortant de la jungle, avec de la boue jusqu’au milieu de la hauteur des portes.

Tandis que Dominique Jongbloed, Paul Sabbe et Gwenaël Charrier, mesurent la densité d’ions négatifs, le reste de l’équipe mitraille chacun des tunnels de centaines de photos destinées à reproduire le relief mesuré auparavant pour pouvoir recréer la texture du labyrinthe en 3D.

Mesure ions megalithes bosnie

A chaque mesure, l’équipe passe derrière le premier groupe et photographie du sol au plafond ce qui se trouve dans la tranche de mesure. Cela prend évidemment un certain temps et l’équipe se retrouve à chaque fois perturbée dans son travail par des groupes de touristes, de toutes nationalités, qui visitent le labyrinthe.

Les premières mesures que le premier groupe prend sont alarmantes. Si l’on se base sur les affirmations et les mesures faites en 2013 par Timothy Moon, le responsable archéologique du parc, nos mesures indiquent une perte d’émissions d’ions négatifs allant jusqu’a moins 25% par rapport aux mesures précédentes. Les zones à 11.000 ions n’en comptant plus que 7 à 8000 ions/cm3 et la fameuse zone des 43.000 n’affichant plus que 37.000 ions/cm3.

Avertissant Semir Osmanagich de cette situation, ce dernier semble ne pas s’alarmer de la chose et tente de rassurer Dominique Jongbloed en lui disant qu’en fait la nuit, du fait de l’absence de visiteurs, les tunnels se rechargent naturellement. C’est une affirmation que l’explorateur semble prendre avec beaucoup de scepticisme. Dominique Jongbloed veut en effet rester fidèle à son image : pragmatique, rationnel, objectif, même s’il reste ouvert aux possibilités diverses. Rien n’est impossible en ce monde et tout dogme peut à chaque instant être remis en cause … mais il y a des choses qui ne souffrent d’à peu près. L’EPR2 décide ensuite de visiter les laboratoires du parc archéologique : pyramide bosniaque du Soleil®. Petite exposition des artefacts trouvés sur place qui ont paru suffisamment intéressants pour figurer dans cet ouvrage.
 

DECOUVERTE N°22 – Etranges artefacts très élaborés découverts par l’équipe de Timothy Moon.

Artefact1 bosnie

Un « oeuf » en céramique, équipé d’un « bouchon » d’apparence métallique, a été retrouvé sur le site du labyrinthe Ravné®. Il existe une réelle disproportion entre son apparence volumétrique et son poids qui représente au moins quatre à cinq fois le poids que cet oeuf devrait peser. Un « oeuf » plus petit a été également exhumé et, cassé, il prouve la construction creuse, théorisée sur les mégalithes, et ouvre une possibilité que ceux-ci soient artificiels, un point que l’on ne peut plus ignorer.

Artefact2 bosnie

Un autre artefact étrange pose problème. Malgré son apparence de pierre, il est composé de deux minéraux insérés l’un dans l’autre. Le coeur est chargé en quartz et la « coque » est une sorte de céramique à forte teneur en fer. Pour quel usage ? (16)

La journée s’achève vers dix-huit heures … Les membres de l’équipe décident de se changer et d’aller se distraire ensemble au restaurant posé au pied de la face Nord de la pyramide du Soleil.

(16). Ces artefacts ont été présentés à Dominique à l’occasion du voyage inaugural de Nordsud Institute® en Aout 2014.

6 Mai 2014 - Où Dominique et son équipe prouve l’existence des fréquences au Vratnica … et soupçonne une filature

En ce matin du 6 mai, l’équipe est bien décidée à finir un certain nombre de travaux qui, depuis le début de cette expédition, n’ont pas été complètement achevés. Parmi ces travaux, l’enregistrement, sur au moins six minutes, de la fréquence ultrason située au sommet de la pyramide du Soleil® (copie jointe sur le cd) et qui se retrouve, à sa dernière lecture, avoir disparue du point haut de 27,4KHz pour être remplacée par une porteuse à 45KHz, le jour de notre premier test de lecture. Bien décidé de comprendre les raisons de cette disparition, l’équipe reprend l’ascension du sommet de la pyramide non sans tenter, une fois encore, quelques vols de reconnaissance sur la partie Nord et Ouest de la vallée qui entoure la pyramide.

Après avoir pris le matériel nécessaire à l’enregistrement dans le minibus, le groupe reprend sa marche vers le sommet qu’il atteint assez rapidement. Toutes et tous sont désormais des habitués de ce lieu et l’entraînement des derniers jours a même augmenté de manière significative la capacité de chacun et chacune à l’effort. Arrivés au sommet, après une préparation minutieuse, c’est Paul qui lance la procédure d’enregistrement.

Tout le monde est surpris quand soudain celui-ci annonce avoir détecté, à la bonne place, sur le point haut, la fréquence 27,4 KHz. Elle est à nouveau enregistrable ! Malheureusement cela ne durera pas car, au bout de trois minutes, une porteuse émise de l’on ne sait où « écrase » littéralement la fréquence et la rend à nouveau inaudible. Si l’équipe avait des doutes en ce qui concerne l’existence réelle de cette fréquence, il est clair qu’ils viennent d’être levés. Toutefois son « aplatissement », si net et sans bavures, fait comprendre au groupe qu’une volonté extérieure et inconnue ne désire pas que l’on étudie plus avant les détails de cette fréquence et sa localisation.

Dominique Jongbloed est de plus en plus persuadé que la fréquence n’a rien d’antique mais qu’elle est peut être, pour des raisons inexplicables en l’instant, liée aux activités de l’OTAN dans la région. Cette analyse de la situation pourrait paraître teintée de paranoïa si Semir Osmanagich, quelques semaines plus tard, n’avait vu voler au dessus de la vallée de Visoko d’étranges hélicoptères entièrement noirs (les fameux black Hawks), sans marquages, et qui effectuaient visiblement des rotations au dessus de la vallée dont personne ne comprenait ni le sens ni l’utilité.

L’explorateur avait vu sur le Net une photographie de ces hélicoptères mais malheureusement il a réagit trop tard car elle a disparu. Depuis l’arrivée de l’EPR2 à Visoko, l’équipe semblait faire l’objet d’une filature. On pourrait croire que nos aventuriers s’imaginait des choses mais Paul Sabbe et Dominique Jongbloed, ainsi que Valérie Duffau, se sont aperçus qu’au cours des déplacements de l’équipe, sur les diverses singularités, se trouvaient à proximité plus ou moins évidente, les mêmes personnages (filles et garçons) qui semblaient suivre de loin le déroulement du travail effectué. Plusieurs fois des personnes assises à la terrasse du bar ont observé le groupe, certaines tentant de se rapprocher discrètement pour capter les conversations entre membres et plus particulièrement les conversations que l’explorateur pouvait avoir avec Timothy Moon, l’archéologue en chef du parc, Semir Osmanagich, le découvreur, ou d’autres personnes qui venaient aux nouvelles et qui, eux-mêmes, faisaient des travaux sur les lieux. Des personnes ont même été surprises en train de photographier à distance l’équipe, à la sortie du parking souterrain de l’hôtel, et qui se sont enfuies, en démarrant en trombe, lorsque quelques membres de l’équipe ont fait mine de se déplacer vers eux. Là où se trouve l’hôtel, il n’y a que le fleuve Bosna et des immeubles d’habitation. Rien de touristique ou de culturel. Que tentaient donc de photographier (avec un appareil équipé d’un téléobjectif) ces gens si ce n’est l’équipe ?

Cette dernière a du déjouer par un subtil jeu de cache-cache, les filatures qu’elle subissait. L’on est en droit alors de se demander si en fait la vallée ne serait pas au coeur d’un système militaro-technologique, sous contrôle de l’OTAN, et que les fréquences pourraient, du coup, ne pas être antiques mais le fait d’appareillages que l’organisation ne souhaite pas rendre publiques. Sinon, il faudrait imaginer un scénario que l’EPR2 refuse d’emblée : une découverte essentielle, faite par le gouvernement ou les différentes instances opérant sur son territoire, et que celle-ci soit digne du film Rencontre du troisième type. Mais laissons là les spéculations et reprenons les investigations.

Quittant la rampe d’accès Ouest de la pyramide du Soleil® l’équipe se dirige vers le tumulus de Vratnica® où elle est bien décidée à refaire, là aussi, un enregistrement fiable des deux fréquences détectées en 2013, pour voir s’il est possible de les capter à nouveau. Après une arrivée dynamique, le minibus se gare tandis que l’équipe se subdivise immédiatement : une première partie débute des mesures métriques nécessaires, ainsi que des prélèvements, l’autre partie monte au sommet du tumulus pour enregistrer les fréquences. C’est à nouveau la stupéfaction : les deux fréquences sont effectivement retrouvées et, contrairement à la pyramide du Soleil®, celles-ci ne sont pas interrompues par une porteuse destinée à les couvrir.

Réalisant ainsi les six minutes d’enregistrement continu et nécessaires pour les laboratoires, Gwenaël Charrier rapporte à Dominique Jongbloed la preuve qu’en 2013 ces fréquences existaient déjà : même sons et même fréquences. L’explorateur dispose à présent d’un son continu sur plus de six minutes. L’origine naturelle du signal va devenir compliquée à confirmer pour les acousticiens puisque c’est eux-mêmes qui ont dit à Dominique Jongbloed : « au-delà de cinq minutes un son continu ne peut être soutenu par aucun animal, quelque soit l’espèce à laquelle il appartient ».

7 Mai 2014 - Où nous découvrons des ruines non répertoriées sur la face Nord de la pyramide du Soleil et finissons nos mesures de ions négatifs dans les tunnels du labyrinthe Ravné.

Alors que Dominique Jongbloed lance le drone à la verticale du sommet de la pyramide du Soleil®, debout sur le mur de la « forteresse », il envoie deux membres de son équipe explorer la face Nord, depuis le sommet, à la recherche d’éventuelles traces d’arêtes. L’EPR2 a trouvé ces arêtes au premier tiers de la hauteur de cette singularité il y a quelques jours. Il serait intéressant de voir s’il n’est pas possible de faire de même en partant du dernier tiers.

Pour rester en contact avec eux il leur confie l’un des talkies-walkies puis, avec l’aide de Paul Sabbe qui géo localise le point vertical de cette pyramide, il ajuste le vol du drone pour qu’il soit parfaitement dans l’alignement de l’apex. Dès son décollage, l’Adjoint de l’explorateur a activé la caméra qui filme donc ce qu’elle voit. Et ce qu’elle voit est stupéfiant. La caméra, filmant à la verticale exactement de la pyramide, met en évidence la parfaite verticalité des quatre faces qui apparaissent clairement sur les images enregistréesSi du sol l’on ne peut discerner clairement ces quatre faces, à plus de trois cents mètres d’altitude il n’en est pas de même.

La face Ouest, soi-disant inexistante, apparait nettement, bien mieux que lorsque l’équipe essayait de la discerner depuis le sommet de la pyramide, avec ses yeux ou ses jumelles. La rampe, et sa juxtaposition avec la face Ouest, est sans contestation possible identifiée de cette hauteur. Il semble même que sur cette rampe apparaissent des vestiges de deux constructions circulaires, à moins que ce ne soient d’antiques cromlechs, car les traces, presque imperceptibles, totalement invisibles du sol en tous cas, sont à cette altitude parfaitement identifiables. L’indication de l’inclinaison de chacune des faces de la pyramide a été facile à déduire à partir de photos extraites du film.

De retour en France, Dominique et Nordsud Institute® ont effectué ces mesures et ont trouvé : 

  • 45° d’angle pour les faces Ouest et Est
  • 43° d’angle pour la face Nord
  • 42° d’angle pour la face Sud.

 

Il faut se plier aux évidences : il y a au moins deux pans symétriques. Cela ne peut donc être un fait naturel. Dans le même temps, un membre de l’équipe signale la découverte de vestiges étranges sur le pan Nord, exactement dans la ligne médiane séparant la face Nord de la pyramide en deux parts égales. Il semblerait que cela soit ancien mais de là à dire que c’est antédiluvien il est peut-être un peu tôt pour l’affirmer. Ces vestiges seraient-ils les fameuses entrées, les voies d’aérations, détectées par Albert Fagioli ? Il est également prématuré d’affirmer quoi que ce soit à cette heure.

Une dernière expédition serait nécessaire pour s’en assurer mais il est peu probable qu’elle ait lieu car Dominique Jongbloed, pris par des contingences matérielles, doit se tourner vers d’autres cieux, à titre professionnel du moins. A moins qu’un miracle ne se produise et qu’un généreux mécène ne finance ce voyage décisif pour la vallée. Si toutefois une dernière expédition se réalisait là-bas, il est parfaitement clair que Nordsud Institute® devrait collaborer avec les nouveaux explorateurs, et fournir les mesures et les localisations qui n’ont pu être faites ou identifiées, faute de temps, par l’EPR2.

Il faudrait alors explorer ces points de Mr. Fagioli qui restent aujourd’hui un mystère. Il faut également lever le doute et confirmer ou infirmer les entrées, les tunnels, les salles souterraines, etc.

La matinée ayant été chargée en découvertes, l’équipe pense que l’après-midi sera plus calme, c’est mal connaître les journées à Visoko. Explorant une nouvelle fois les tunnels du labyrinthe, mesurant les ions négatifs présents lorsque le public devient plus rare, les membres de cette expédition constatent à nouveau une perte importante de production d’ions négatifs. Les résultats sont plus alarmants que la dernière fois : la production d’ions est maintenant près de trois fois moins importantes que lorsque l’explorateur était venu en 2013 mesurer, en se servant du matériel du parc pyramide bosniaque du Soleil®.

L’EPR2 refait les mesures par sécurité puis avertit à nouveau Semir Osmanagich de l’anomalie qui s’aggrave. Ce dernier, venu avec un groupe de touristes sur les lieux, tente à nouveau de rassurer l’explorateur et son équipe et leur dit que la production remonte chaque nuit, qu’il n’y a pas lieu de s’inquiéter. Le scepticisme s’empare alors de l’expédition toute entière qui se demande pourquoi le découvreur de cette vallée s’obstine à ne pas voir l’évidence.

9 Mai 2014 - Où nous avons subitement réalisé que nous avions oublié de mesurer les arches dans les tunnels du labyrinthe Ravné

Tandis que Dominique Jongbloed fait le point avec Paul Sabbe sur les travaux réalisés durant ces deux semaines franchement humides (pour ne pas dire plus), il met le doigt sur un point qui était resté dans l’ombre : avaient-ils fait la mesure des arches latérales lorsque l’équipe avait mesuré les tunnels du labyrinthe Ravné ?

Une rapide consultation du planning met en évidence cet oubli et c’est un peu gêné que l’explorateur prévient l’équipe, qui était déjà dans l’esprit du repos. C’est un oubli important qu’il faut réparer sur l’heure sinon une grande partie du travail fait sur le labyrinthe Ravné® sera inutilisable. Contre toute attente, c’est de manière très dynamique et volontaire que chacun(e) se propose de venir effectuer cette dernière tâche. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, l’équipe repart de bon coeur pour une énième fois au labyrinthe. Après une matinée chargée et une après-midi toute autant, c’est sur le coup de dix-sept heures que les mesures oubliées sont enfin achevées et que tout le monde peut rentrer serein à l’hôtel.

Les travaux qui pouvaient être faits sur cette vallée l’on été, dans les temps qui leur étaient impartis. Certes il y a des explorations qui ne purent être achevées car l’EPR2 du récupérer, en plus de son travail, le travail confié à l’EPR1 (seuls trois personnes sur sept firent de leur mieux sur ce premier voyage, mais incomplètement malheureusement), mais tout le monde reste quand même satisfait du travail réalisé.

Bien sûr il reste aussi de nombreux points restés obscurs, faute de temps :

• Les mesures métriques précises des singularités dite pyramide de la Lune®, du Dragon®, du temple de Gaia® ;
• Le survol de ces singularités afin d’avoir des images aériennes parlantes ;
• L’exploration des singularités, à la recherche des points de Fagioli©, qui aurait peut être permis de découvrir des voies d’aération, des entrées de tunnels, de souterrains, des salles profondément enfouies.

Point fagioli bosnie

EPILOGUE

On pourra débattre des heures sur les résultats obtenus, que ce soit sur la part exploration ou sur la part analyses des prélèvements et des échantillons de fréquences, toujours est-il que les faits sont là et sont indéniables. Ils ont été constatés, mesurés, analysés, par les plus grands spécialistes des disciplines qui étaient en jeu : acoustique, bioacoustique, analyse géologique, chimique et chimie des composés, radiocarbone, imagerie 3D. Tous étaient nécessaires pour une bonne compréhension de l’enjeu.

La vallée de Visoko est-elle le lieu de constructions antédiluviennes ou non ? Telle était la question … et la réponse est dans ce rapport :

Deux singularités retiennent sérieusement l’attention de l’explorateur car elles présentent toutes les conditions pour qu’elles puissent être qualifiées de monuments construits avant le Déluge : la pyramide du Soleil® et le labyrinthe Ravné®.

Il n’appartient pas à un explorateur comme Dominique Jongbloed de faire la part des choses. Son rôle se borne à « trouver ce qui a été perdu », conforme en cela à la maxime de Henry Rider Haggard, l’écrivain qui donna naissance à Allan Quatermain©. Une fois retrouvé, le ou les monuments ne sont plus de son ressort, de sa tâche, mais de celle des archéologues.

Il faudra sûrement des années pour étayer de manière indiscutable ce que cette exploration a découvert. Le voile, qui a commencé à se lever sur les analyses, demande à être déchiré. C’est toutefois un début prometteur et c’est ce qui est encourageant pour ce qui reste à découvrir. Les analyses de la céramique et du béton d’argile iront jusqu’à leur plein accomplissement.

Dominique Jongbloed et son équipe, ses partenaires scientifiques, parmi les plus crédibles au monde, et les laboratoires d’analyses, parmi les plus professionnels qui soient, ses sponsors et ses mécènes, tous ont rempli leur contrat. Il sollicite à présent l’envoi d’une équipe de contre-expertise pour valider ces travaux exploratoires et demande la reconnaissance de Semir Osmanagich comme découvreur de ces monuments. Il demande également la mise en sauvegarde de cet endroit, au titre du patrimoine de l’humanité, avec nomination comme directeur des travaux archéologiques le Dr. Semir Osmanagich.

Etabli le 28 Avril 2015 à TOULON, certifié sincère et pour servir et valoir ce que de droit.

Dominique JONGBLOED
Explorateur

Fin Partie 3 - FIN rapport EPR2
 
 
 
 

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/pyramides-de-bosnie-le-point-de-vue-de-l-explorateur-dominique-jongbloed.html

 

Yves Herbo Relai, Sciences, F, Histoires, 05-07-2015 - Part 1, 06-07-2015 - Part 2, 07-07-2015 - Part 3

Explorations en Bosnie, le rapport EPR-2 - Partie 2

Explorations en Bosnie, le rapport EPR-2 - Partie 2

Explorations en Bosnie, le rapport EPR-2 - Partie 2

Vondaniken jongbloed osmanagigh mini

Petit rappel, en juillet 2014, l'explorateur Dominique Jongbloed donnait un premier avis à la suite de l'expédition EPR2 d'avril 2014. Vous pouvez revoir ce premier avis dans la vidéo visible ici : http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/pyramides-de-bosnie-le-point-de-vue-de-l-explorateur-dominique-jongbloed.html

Le rapport d'expédition European Pyramids Research de NordSud Institute a été envoyé à de nombreuses adresses, intervenants (dont le président de Bosnie Herzégovine Mladen Ivanic) ou presses écrites, télévisées et radiophoniques bosniaques, françaises et américaines, et Mr Dominique Jongbloed m'en a également envoyé une copie pour information et publication. Ce rapport faisant plus de 80 pages, je répondrais donc à la volonté de Mr Jongbloed d'informer le public et les intervenants d'une probable intéressante suite à donner à son expédition en en publiant de très larges extraits et sans modifier d'aucune façon ces écrits et conclusions comme il me l'a demandé : il ne s'agit ici que de citations et de copies conformes de ce rapport, sans parti pris ni opinion préétablie. Juste de l'information donc, en soulignant toutefois qu'il y a déjà des probabilités plus anciennes de pyramides en Europe, historiquement, puisqu'on en a parlé tout aussi bien pour la France, l'Italie, la Grèce, la Bulgarie, l'Ukraine, la Serbie, la Turquie, la Russie et autre Roumanie... Je signale aussi au passage le petit travail effectué par mon correspondant, Mr Albert Fagioli, déjà cité dans plusieurs articles de ce site sur d'autres lieux qu'il a analysé avec ses dons et instruments.

Merci de lire tout d'abord la partie 1 si ce n'est déjà fait : http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/explorations-en-bosnie-le-rapport-epr-2-partie-1.html

D jongbloedD. Jongbloed

N'oublions pas que toutes les croyances populaires, même les plus absurdes en apparence, reposent sur des faits réels, mais mal observés. En les traitants avec dédain, on peut perdre la trace d'une découverte. Alexander Von Humboldt

 

RAPPORT D’EXPEDITION EUROPEAN PYRAMIDS RESEARCH

Par NORDSUD INSTITUTE

Expédition dirigée par Dominique Jongbloed

NORDSUD INSTITUTE : 264, avenue André Lechatelier – BP 108
83060 TOULON LES ROUTES CEDEX
infos@nordsud-institute.com + www.nordsud-institute.com

(... reprise du texte...) Dominique Jongbloed est sûr que nous sommes à l’aube d’une découverte scientifique majeure sur la chronologie des civilisations en Europe qui va changer les lignes de la science et modifier en profondeur les paradigmes. Il sait le tollé que son opinion va créer – surtout qu’il n’est pas un scientifique et ne veut en aucun cas être assimilé comme tel mais il pense que, lorsque les fouilles archéologiques et scientifiques seront enfin réalisées avec les moyens adéquats, ceux que le parc archéologique : pyramide bosniaque du Soleil® réclame depuis le début de son existence, une découverte majeure sera effectuée et renversera nombre de dogmes établis.

Vondaniken jongbloed osmanagighLes analyses par un laboratoire français de l'eau prélevée  :

Eau bosnie analyses1Eau bosnie analyses2Eau bosnie analyses3Eau bosnie analyses4

La fin de l’après-midi s’annonce difficile, en cette journée du 28 avril. L’équipe de l’EPR2 rencontre de sérieuses difficultés à mettre en place son processus de mesures. Un nombre important de touristes envahit les tunnels et perturbe immanquablement l’équipe qui renonce au bout d’une heure de tentatives désespérées.

DECOUVERTE N°10 – Découverte d’une seconde pierre anthropomorphe.

L’expédition gagne cependant un nouveau point lorsque Dominique Jongbloed découvre, à l’occasion du périple de reconnaissance à l’intérieur du labyrinthe, une seconde pierre anthropomorphe, profondément enterrée mais dont l’une des faces émerge encore faiblement du sol. Elle semble avoir subi les outrages du temps et être presque complètement lisse.

Anthropomorphique2 bosnie

Elle est sculptée dans le même esprit que celle découverte au sein de la salle du K5, lors de la visite des personnes du Fond Monétaire International®, et présente elle aussi, de toute évidence, des traits anthropomorphes. Interrogatifs, l’équipe prend plusieurs photos et la localise dans ce labyrinthe de tunnels afin de pouvoir revenir l’examiner plus en détail. C’est ensuite la sortie du labyrinthe Ravné® … Il devient plus qu’évident que seule l’exploration nocturne permettra à ce travail minutieux de se réaliser sans encombre…

 

Journée du 29 Avril 2014 - Dominique Jongbloed et son équipe partent aujourd’hui explorer le tumulus de Vratnica.

Cela fait un moment, depuis sa première reconnaissance en 2013, que l’explorateur n’était pas revenu en cet endroit. L’arrivée se fait sur une petite route où deux véhicules auraient bien du mal à se croiser. Une constante dans ce pays dès que l’on quitte les grands axes. Sur la gauche, le minibus longe l’un des nombreux cimetières improvisés qui furent créés lors de cette guerre épouvantable et où les gens furent enterrés là où ils moururent.

La première initiative de l’équipe : déblayer ce que l’équipe archéologique de la fondation pyramide bosniaque du Soleil® appelle « une terrasse ».

Tumulusvratnika1

Le tumulus de Vratnica®. - ©2013/2015 Parc archéologique : pyramide bosniaque du Soleil – F-Y Perricone

Le temps n’est pas génial car la pluie est présente depuis plusieurs jours et le sol est détrempé. Malgré cela tous les membres de l’expédition se sont équipés de balais en paille et nettoient l’amas incroyable de gravillons qui recouvre cette « terrasse », tout en retirant précautionneusement les éclats de roches qui tapissent également cette surface. Ce travail permet de mettre la terrasse à nu et ainsi de pouvoir admirer le « pavement » supposé, sans crainte de mauvaises interprétations quand à l’origine de celui-ci. Il est clair qu’un doute plane cependant sur l’artificialité de cette terrasse et les photographies, prises par l’équipe, ne viennent pas diminuer cette impression.

Le manque de régularité, le fait que peu de « dalles » aient un format identique, ne prêche pas en faveur d’une construction, antédiluvienne ou non. Un survol du drone mettra d’ailleurs fin au suspens dans les prochains jours.

L’équipe poursuit malgré tout l’exploration par une prise de photographies minutieuse, sous tous les angles, et avec toutes les approches possibles et imaginables (plan général, gros plans, perspectives parfois), de ce qui pourrait être une muraille ou une succession de couches géologiques et qui borde la terrasse au pied du tumulus. Entamant l’ascension de la singularité, l’EPR2 atteint des escaliers mis en forme par les bénévoles de la fondation bosniaque pour permettre de rejoindre, malgré le sol boueux et glissant les jours de pluie, le sommet du Tumulus. Ceux-ci semblent recouvrir partiellement d’autres marches, plus anciennes, qui pourraient être les vestiges d’un escalier plus ancien ou encore d’un dallage formant en fait, autrefois, un sentier de pierre permettant d’accéder au sommet sans s’enterrer dans la boue.

Il faut reconnaître que le tumulus de Vratnica® ressemble beaucoup plus à une colline naturelle qu’à un monument ancien. Certes, cela pourrait être un tertre, une construction de type mausolée, sur la tombe d’un chef ou d’un homme remarquable de son temps, mais certainement pas un tumulus au sens où l’archéologie l’entend actuellement et a fortiori encore moins un cairn.

Choisir le mot « tumulus » pour désigner la colline de Vratnica, haute de trente deux mètres, n’est pas anodin. Un tumulus entraîne le fait que la construction est obligatoirement seminaturelle : mi construit mi existant. Or ce n’est pas ce que l’EPR2 constate au fur et à mesure de son exploration.

Dominique Jongbloed n’est ni géologue ni archéologue et ne souhaite pas que l’on attache ces titres à sa personne, que ce soit de près ou de loin, mais il estime cependant que le simple bon sens permet de voir que de sérieux doutes peuvent être exprimés quand à la bonne appellation de cette singularité. Bien sûr, on y trouve de la terre naturelle (une sorte de glaise assez comparable à celle avec laquelle on fait des poteries) mélangée à des concrétions plus dures, plus semblables à de la pierre, sous forme d’importantes plaques, certaines étant assez épaisses, mais de là à qualifier ces concrétions de pierres taillées (ou tout au moins polies), de chemins dallés, il y a un pas que la prudence impose de ne pas faire, pas encore du moins, et pas sans de vraies études géologiques de l’endroit.

Il est vrai que, arrivés à mi-chemin, les membres de l’équipe rencontrent une sorte de plateforme rocailleuse, fragmentée en plusieurs morceaux titanesques qui donnent une première sensation de construit, dès l’arrivé à sa hauteur. Cela pose donc immédiatement la question de savoir si cette plateforme est construite ou naturelle. L’explorateur espérait bien trouver là quelque chose qui donne de l’eau à son moulin antédiluvien mais un examen plus approfondi de ladite plateforme, appelée ici chemin processionnaire, le laisse pour l’instant perplexe.

En effet, habitué aux vestiges inexpliqués parsemés sur la planète, ruines qu’il a étudié depuis plus de trente ans et sur lesquelles il s’est parfois rendu lorsque cela était possible, il ne retrouve pas certaines constantes qu’il avait déduites de toutes ses observations et études, même à distance. Son oeil, exercé sur la méthode de construction dite cyclopéenne, a défini une sorte de base référentielle qui lui permet, d’un simple coup d’oeil, de savoir si oui ou non ce qu’il voit pourrait être un vestige artefactuel datant de cette époque lointaine qu’est l’ère antédiluvienne.

Deux détails le dérangent :
1. Les fractures sur les bordures des « pierres d’assemblage » sont trop nettes. Les pierres ne sont pas plaquées les une sur les autres (ou l’une contre les autres) sans espace possible pour qu’un corps étranger puisse s’immiscer. Au contraire, ici la séparation est franche, de quelques centimètres à plusieurs dizaines de centimètres, selon les pierres et leur « assemblage ».
2. Les lignes de fractures donnent plus l’impression d’une pierre unique qui se serait brisée sous des efforts géologiques dus aux mouvements du terrain plutôt qu’un assemblage de pierres disposées au gré de leurs formes.

Chemin processionnaire bosnie

De plus, sur la façade de la paroi qui borde à gauche le chemin processionnel, l’on retrouve, émergeant de celle-ci, des blocs entiers très ressemblants à ceux qui nous sont présentés complètement dégagés de toute terre.

Remontant jusqu’au sommet, grâce à l’escalier de terre et de planches de bois réalisé par les volontaires qui viennent ici rechercher la vérité, comme l’EPR2, l’équipe atteint enfin le sommet du tumulus. La vue y est très dégagée et la première chose que saute aux yeux de l’expédition c’est la visibilité sur le vallon et la proximité immédiate du cimetière au pied de ce monticule (les morts peuplant celui-ci furent probablement les assaillants d’une pièce d’artillerie posée ici, au sommet du tumulus, durant la guerre).

DECOUVERTE N°11 – La singularité appelée « tumulus de Vratnica » est en fait un tertre que l’imagerie aérienne démontre de manière magistrale.

Ce qui apparaît également (et qui sera confirmé par les images aériennes produites par le drone), c’est l’effet en forme de cercles concentriques des différents niveaux qui ont permis à l’équipe, partant de la terrasse à la base du tumulus, de parvenir jusqu’au sommet. Il met en évidence la possibilité que ces cercles soient le résultat d’un tassement du tumulus, essentiellement composé de glaise, du aux pluies et à divers causes de nature géologique.
Cette interrogation sera levée les jours suivants, lors du vol du drone à la verticale du sommet de ce tumulus. Une imagerie aérienne confirmera les soupçons de Paul Sabbe et Dominique Jongbloed : le tumulus est en fait, au mieux, un tertre.


Une chose incroyable est toutefois à relever :

Lorsque l’explorateur est venu en reconnaissance, en 2013, il avait enregistré plusieurs émissions de fréquences ultrasons au sommet de cette singularité (copie jointe à ce rapport). En effet, au sommet de cette colline, il avait identifié deux fréquences ultrasons qui s'intercalaient bizarrement entre elles, un peu comme cette technique de chant pratiquée dans les chorales, où la première rangée de chanteurs est décalée d’un ton avec ceux de la seconde rangée. On appelle cela le chant « en canon ».

La première fréquence émettait sous 16,5 KHz et semblait bizarrement « orientée » plein Sud, avec zéro degré, zéro minute d'écart azimutal par rapport au point cardinal magnétique (le contrôle avait été fait à la boussole LENSATIC®). C’était comme si elle défiait la physique en n’émettant non pas en cercles concentriques de plus en plus grands et à trois cent soixante degrés (ce qui est la diffusion naturelle de toutes ondes connues), mais comme si elle se diffusait au travers d’un cylindre invisible, empêchant toute propagation en dehors de celui-ci.
La seconde fréquence, qui émettait elle sous 18,6KHz, était « orientée » plein Nord magnétique avec la même précision et la même caractéristique. Ce qui est étonnant c’est que le 28 avril, premier jour d’exploration de la vallée, lorsque les membres de l’équipe allèrent explorer la pyramide du Soleil®, et alors que Paul Sabbe proposait de réenregistrer la fréquence ultrason, tous avaient constaté qu’elle avait disparue. A sa place se trouvait un grésillement étrange qui prenait toute la gamme de fréquences, de 25KHz jusqu’à 45KHz, avec cette dernière fréquence comme « point haut ».

Ici, le lendemain de ce contrôle de fréquence sur la pyramide du Soleil®, les deux fréquences du tumulus de Vratnica furent également absentes et, devinez quoi, un grésillement étrange couvrait également la gamme de fréquences de 25KHz jusqu’à 45KHz, avec cette dernière fréquence également comme « point haut » !

45KHz au sommet de la pyramide du Soleil®, 45KHz au sommet du tumulus de Vratnica® et sur ses deux fréquences. Etrange, non ?
Paul Sabbe remarqua une antenne radio sur le coteau voisin. Il posa la question à Dominique Jongbloed quand à savoir si elle était déjà là lorsqu’il vint en 2013 mais l’explorateur ne s’en est pas souvenu. Ces fréquences ont toutes réapparues les jours suivants, sur leur fréquence d’origine, sans explication logique, comme si quelqu’un avait posé durant un moment une « porteuse » sur elles pour les effacer puis s’était ravisé.

De là à penser que se trouvent peut être dans cette vallée des installations militaro-industrielles avec lesquelles l’OTAN travaille il n’y a un pas. Dominique Jongbloed hésite cependant sérieusement à le franchir, même si une sorte d’intuition lui dit qu’il ne doit pas être loin de la vérité. Peut être, finalement, que ces fréquences ne sont pas si antiques que cela …

Que peut-on dire cependant des fréquences émettant sur le Tumulus ? Ces sons, remis dès le retour de l’expédition à Alain Ghio, acousticien du CNRS d’Aix en Provence, laboratoire parole et langage, ont d’abord été accueillis avec un certain intérêt par le scientifique. Il les a analysé puis a transmis à l’explorateur, par email (ci-dessous), son point de vue premier sur la question. Mais ensuite il est revenu dessus sans donner pour autant d’explications sur ce revirement.

Ce qui trouble l’explorateur, c’est qu’au moment où celui-ci a sollicité de l’expert un rapport officiel détaillé (même à titre onéreux) sur ce qu’il pensait de ces fréquences (à savoir s’il les jugeait artificielles ou naturelles, le tout sans s’engager plus que cela), celui-ci a subitement modifié son attitude, perdant toute cordialité, tout en opposant fermement une fin de nonrecevoir.

Comment interpréter ce revirement ? Dominique Jongbloed pense que l’expert a, soit été pris de doutes sur ses résultats, soit a essayé de se départir de son premier avis, pris d’anxiété vis-à-vis de sa hiérarchie. Ce n’est bien sûr qu’une supposition. Voici donc, ci-dessous, l’avis premier de l’acousticien lors des échanges réalisés entre l’explorateur et lui. Ce n’est là pas grand-chose mais au moins cela a le mérite d’exister et de poser encore une fois la question au monde scientifique…

Emails acousticien bosnie

Ces deux émissions d’ultrasons, enregistrées lors de la reconnaissance de l’EPR1 en 2013, semblent évoluer au dessus des fréquences les plus élevées pour les petits orthoptères (criquets et cigales). C’est du moins ce qu’en a conclu, le 2 novembre 2013, Michel Barataud, bio-acousticien français et référence en ce domaine. Le plus surprenant étant, comme dit plus haut, que ces deux fréquences, émettent légèrement à contretemps.

Concernant les sons enregistrés lors de l’EPR2, d’avril à mai 2014, sa réponse est plus détaillée : Tout d’abord, en complète opposition avec ce que répandent comme rumeurs les détracteurs de cette exploration, Michel Barataud confirme que le Magenta BAT 5.0 est tout ce que l’on veut sauf un jouet.

Il est équipé d’une large bande permettant d’enregistrer de nombreuses espèces de chiroptères (Chauve-souris) mais aussi d’orthoptères (Sauterelles, criquets, cigales, grillons, ...), avec une gamme de fréquences courant de 10KHz à 130KHz. Il dispose d’un lecteur digital qui assure une précision avérée du calage de la fréquence. Il est également muni d’un éclairage nocturne, d’un haut-parleur incorporé, et d’une prise micro permettant d’enregistrer les sons perçus tandis que la prise casque, elle, permet, d’écouter sans être troublé par les bruits extérieurs.

Il est clair, pour lui comme pour l’EPR2, que c’est aujourd’hui l’un des meilleurs appareils pour identifier les émissions de fréquences ultrasons en ce qui concerne les chiroptères (chauves-souris) et les orthoptères (grillons, cigales, criquets et sauterelles). Bio-acousticien de réputation internationale, formant ses collègues venus du monde entier pour apprendre avec lui l’analyse des sons émis par ces espèces, son expertise dans le domaine bioacoustique ne souffre d’aucune contestation.

Pour lui, la fréquence ultrason enregistrée au sommet de la pyramide du soleil® n’est pas une fréquence artificielle. Elle pourrait être, en fait, la signature sonore d’une espèce de sauterelle très rare, aujourd’hui disparue d’Europe de l’Ouest, mais qui vivrait visiblement encore, et contre toute attente, en Bosnie-Herzégovine. Quand aux fréquences du tumulus de Vratnica®, il ne veut surtout pas envisager que ces fréquences puissent être artificielles, sans pour autant expliquer l’origine possible de ces sons.

Il semble être en possession d’un enregistrement très ancien du son émis par le fameux type de sauterelles qui vivrait au sommet de la pyramide du Soleil® et a dit à Dominique Jongbloed que la comparaison des spectres des enregistrements faits par l’EPR1 et l’EPR2, et celui qu’il détient, sembleraient concorder. Toutefois, lorsque l’explorateur lui a demandé de lui fournir, même à titre onéreux, une copie de cet enregistrement si rare et si spécifique, il refusa poliment, lui disant que ce n’était pas en son pouvoir de transmettre une copie de cet enregistrement.

DECOUVERTE N°12 – Les fréquences émises n’appartiennent à aucunes espèces de chiroptères ou orthoptères vivant en Europe et une infime probabilité reste qu’une espèce de sauterelle soit à l’origine des fréquences de la Pyramide et du Tumulus mais la seule indication possible ne nous est pas fournie.

Une chose est sûre cependant, et son avis est d’importance : les fréquences émises ne correspondent toutefois à aucune espèce de chiroptères (et encore moins d’orthoptères) observée en Europe occidentale, en dehors de cette unique espèce de sauterelles.

Concernant les orthoptères, un commentaire intéressant de sa part est à retenir pour la question qui nous occupe (la fréquence des 27,4KHz est-elle utilisée par un animal sur terre, et si oui, lequel et quelle est sa distribution géographique et démographique dans le Monde ?) :

Parlant tout d’abord des détecteurs à ultrason, puis de la spécificité des espèces, il répondit : « En fait tous les modèles de détecteurs conviennent pour les orthoptères, dès qu'ils ont une bande passante comprise entre 5KHz (grillons et criquets) et 40KHz (Leptophyes punctatissima, qui est la sauterelle la plus haute en fréquence en Europe à ma connaissance) ». Le Magenta Bat 5.0 couvrant un spectre allant de 10KHz à 130KHz, il dispose donc d’une large bande, en tous cas suffisamment large pour couvrir toutes les fréquences émises par toutes les variétés de chiroptères et d’orthoptères actuellement répertoriées. Ceci dit, si le but est de faire de l'identification de sauterelles (le criquet le plus « haut » – « Euthystira brachyptera » - n’émettant qu’au maximum sur 15KHz, tous les autres sont en-dessous de 10 KHz) ou de cigales, il est indispensable d'avoir le système d’expansion de temps pour ralentir les émissions parfois très courtes et/ou très semblables » (7) .

La conversation téléphonique (8), en date du 2 novembre 2013, compléta cette information : « Dans l’état actuel des connaissances, je vous confirme que les criquets ne peuvent émettre sur des fréquences supérieures à 14 ou 15KHz. Les cigales, elles, émettent dans la bande des 15/20KHz au maximum. De plus, le son émis par les cigales est très long et continu, sans rythme particulier, notamment de type séquence répétée. La seule hypothèse restante est donc la sauterelle.

Les sauterelles, quant à elles, n’émettent généralement que dans la bande des 42KHz. Toutefois deux espèces seulement peuvent émettre des sons dans la gamme courant de 20 à 40KHz : la sauterelle « Antaxius » et la sauterelle « Rhacocleis ». Si l’on dilate le temps d’un enregistrement, on va constater que le son d’une sauterelle est généralement multifréquences (un peu comme lorsqu’on passe l’ongle sur les dents d’un peigne) et que, dilaté, le son apparaît alors comme une sorte de grattement, de chuintement. Ce son, de plus, est discontinu car aucun animal ne peut émettre de son continu, pas plus les sauterelles que les autres … ».

DECOUVERTE N°13 – Les fréquences sont continues et vérifiées constantes sur plus de six minutes : ce ne peut être émis par un animal, quelque soit l’espèce !

Les sons de la pyramide du Soleil® et du tumulus de Vratnica® étant continus et vérifiés comme tels sur plus de six minutes désormais, ce ne peut donc être un son animal de ce type. Qu’est-ce alors ?

Concernant les chiroptères, sa réponse est encore plus nette : Plusieurs chercheurs indépendants ont mis en avant le fait que le son perçu au sommet de la pyramide du Soleil® pouvait peut être provenir de chauve-souris. Qu’en dites-vous ? lui demanda Dominique Jongbloed.

« Cette théorie ne peut d’emblée tenir car ces animaux n’émettent que très peu lorsqu’ils sont en sommeil (de jour donc) et, lorsqu’ils émettent de nuit, il apparaît que ce n’est pas du tout sur le « canal » qui nous intéresse. De plus la fréquence varie : le son n’est pas constant. Il débute directement élevé en fréquence puis décline ensuite rapidement. Il n’y a donc pas la constance qui existe sur les fréquences enregistrées que vous m’avez soumis ».

La première étape étant franchie, il s’agissait de récupérer tout d’abord une gamme de fréquences permettant de situer les espèces placées dans le champ de la fréquence des 27,4KHz. C’est auprès du site Internet du Groupe Chiroptères de Provence® que Dominique Jongbloed a obtenu cette précieuse information.

(7). Citation faite dans le forum de l’ONEM (Observatoire Naturaliste des Ecosystèmes Méditerranéens). Source :http://www.onem-france.org/cigales/wakka.php?wiki=ArchivesOrthoptera
(8). Source : Michel Barataud, bio-acousticien, Groupe chiroptères SFEPM.

Frequences chauves souris bosnie

Après une lecture complète des espèces existantes, 38 exactement (information obtenue auprès du Muséum d’Histoire Naturelle de Bourges, en France (9)) et de leur répartition géographique dans le monde, grâce notamment au travail remarquable fait par l’Office National des Forêts (O.N.F) sur son site Internet (10) mais aussi du site Tela Orthoptera (11), site spécialisé et recommandé par Michel Barataud), Dominique Jongbloed a consulté l’ouvrage du spécialiste auquel étaient accolés des cdrom contenant des enregistrements d’identification des espèces. (12)

Il a ainsi pu déterminer que, si l’on accepte l’affirmation de Michel Barataud, à savoir que ces fréquences ne sont pas artificielles, alors seules quatre espèces dans le monde pouvaient être à l’origine de ce signal :

a) Grand et petits murins
La seule espèce de chauve-souris qui évolue dans le spectre ultrason des 25/35KHz. Ces deux espèces ont des aires de répartition géographiques qui se chevauchent, avec un doublement de superposition si l’on tient compte du petit murin du Maghreb. Le grand murin est plutôt occidental, avec des populations qui vont d'Espagne jusqu'au bord de la Scandinavie et de la Pologne mais il couvre également la Bosnie-Herzégovine. Le petit murin se rencontre, lui, plutôt aux abords des régions méditerranéennes, du Sud de l’Espagne au Sud de la France, en passant par le Nord du Maghreb et jusqu’en Turquie.

(9). http://www.museum-bourges.net/chauve-souris-généralités-33.html,
(10). www.onf.fr
(11). http://tela-orthoptera.org
(12). Ballade dans l’inaudible – édition SITTELLE

Toutefois la banque de données publiée par Michel Barataud aux éditions Sittelle®, en 2002, ballades dans l’inaudible – identification acoustique des chauves souris, donne non seulement des spectres totalement distincts du signal de l’ultrason enregistré au sommet de la pyramide du Soleil® mais, de plus, les sons émis par l’espèce de référence, à savoir le grand Murin (Myotis myotis ) ou le petit Murin dans ses deux déclinaisons (Myotis blythii et Myotis punicus) sont produit sur des fréquences bien plus élevées.

Myotis myotis : 26,5 - 33 et 35KHz, (à chaque fois en vol nocturne).
Myotis blythii : 25 et 30KHz. On a bien une fréquence en 27KHz mais elle a été prise au cours d’une chasse nocturne sur prairie (la fréquence enregistrée sur le sommet de la pyramide du Soleil® l’a été vers 15h donc en plein après-midi !).

Il est donc clair qu’en aucune façon le son enregistré ne pouvait être celui d’une chauve-souris, même si l’espèce en question peut résider sur place. Une chauve-souris ne chasse pas le jour. De plus les spectrogrammes des fréquences de la pyramide ou du tumulus, mis côte-à-côte avec les sons émis par l’animal, sont totalement différents.

b) Sérotine commune
Elle est présente dans toute l'Europe, du Nord jusqu'en Angleterre et même au Danemark. Elle est méconnue dans le Sud. (13) Cependant, on ne trouve aucun d’individu en Bosnie-Herzégovine. Voilà qui clôt le débat sur cette espèce et ses possibilités d’être à l’origine du son émis au sommet de la pyramide ou du tumulus.

c) Sérotine bicolore
Seulement quatre noyaux de reproduction sont connus : l’un est en Suisse, l’autre au Danemark, et un troisième dans les pays Baltes (autrement dit Nordiques). La Sérotine bicolore est une espèce des régions tempérées froides. Son aire de répartition s'étend du Nord de l’Europe, à la Scandinavie et jusqu’aux Balkans, de la Suisse à la Sibérie également. En France, elle est localisée (quatrième lieu) dans les zones montagneuses des Vosges, du Jura et des Alpes. (14) On ne trouve aucun individu en Bosnie-Herzégovine. Voilà qui clôt également le débat sur cette espèce et ses possibilités d’être à l’origine du son émis au sommet de la pyramide ou du tumulus.

(13). Source www.onf.fr
(14). Source : Arthur & Lemaire, 2005 ; Forget, en ligne.

d) Noctule de Leisler
Elle se rencontre dans la majeure partie de l'Europe, de l'Irlande à la Russie, jusqu'aux Balkans. Sa répartition exacte reste cependant très mal connue. Ce qui est sûr c’est qu’on ne trouve aucun d’individu en Bosnie-Herzégovine. (15) Voilà qui clôt là aussi le débat sur cette espèce et ses possibilités d’être à l’origine du son émis au sommet de la pyramide.

Etant interrogatif sur la question, au vu des nouvelles données, Dominique Jongbloed a repris contact avec Michel Barataud qui lui répondit : «Concernant le fait que cela puisse être une chauve-souris, le son émis et enregistré ne peut être celui d’un chiroptère car celui-ci émet immédiatement un son élevé qui ensuite décline, la fréquence n’est donc pas stable. De plus, l’animal émet plutôt des sons courts et répétés, respectant ainsi cette variation de fréquences à chaque fois. Un son régulier, continu et séquencé, ne peut donc être le fait d’une chauve-souris. De plus, cet animal n’émet de sons que lorsqu’il ne dort pas. De jour, toutes les espèces en Occident sont au repos».

(15). Source : Muséum d’Histoire Naturelle de Bourges – France.

Dans l’après-midi l’équipe explore à nouveau la pyramide du Soleil® mais sur sa face Nord.

Le temps est à la pluie et les membres de l’équipe, équipés pour, gravissent la face Nord avec son premier plateau et ses deux cents marches irrégulières, conçues par les différentes équipes de volontaires qui ont progressé difficilement sur cette face très arborée et couverte d’une épaisse couche de glaise.
La reconnaissance de cette face est pénible et se complique à souhait avec l’arrivée de la pluie qui rend le terrain glissant. C’est alors la découverte, au premier niveau, des premières couches du fameux béton d’argile recouvrant la face de la pyramide.

Pyramide soleil beton bosnie

On a accès à plusieurs variétés de béton, selon le degré d’usure lié aux intempéries qui sont fréquentes en Bosnie-Herzégovine, même en été. Paul Sabbe déploie deux équipes. Lui, fait la jonction entre les deux. L’objectif premier est de photographier et filmer l’ensemble de ce qui pourrait être des vestiges de constructions. Le second est de prélever, si possible, assez de matières pour que les laboratoires d’analyses aient suffisamment de « témoins » pour les différents tests qu’ils devront entreprendre au retour de l’expédition.

Pyramide soleil beton bosnie1

L’explorateur laisse l’équipe au pied de la face Nord et de ses deux cents marches à gravir et rejoins le minibus où il installe le camp de base qui réceptionne, via les talkies-walkies, les données récupérées. Dès les premiers pas, arrivés au premier niveau, l’équipe est impressionnée par la taille du revêtement dégagé. Son épaisseur confirme un travail de titan (si ce béton est déclaré artificiel dans l’avenir).

Pyramide soleil beton bosnie2

Les deux équipes se déploient conformément aux instructions de Paul Sabbe et partent explorer la partie Ouest et la partie Est de la face Nord.

Pyramide soleil beton bosnie3

Plusieurs lieux sont identifiés et photographiés. Paul Sabbe entame aussi une série de prélèvements tandis que Gwen Charrier filme les scènes de prise de matières.

DECOUVERTE N°14 – Découverte de la première arête de la pyramide du soleil, faces Nord et Est

De l’autre côté, la seconde partie de l’équipe explore la face Est et mettent rapidement en évidence l’existence d’une arête de liaison entre la face Nord et la face Est de la pyramide. L’inclinaison du terrain semble correspondre à ce que Dominique Jongbloed s’attendait à trouver. Les mesures prises confirment la possibilité d’un angle de quarante-cinq degrés sur la face Nord et la face Est.

Pyramide soleil arete1 bosnie3

Partant dans l’autre sens, l’équipe, à présent regroupée, découvre une très grande surface de béton d’argile, montant assez haut sur le flanc de la pyramide, dont la qualité du revêtement semble préservée malgré le temps. Dominique demande alors qu’un prélèvement soit effectué en cet endroit également. Se dirigeant, toujours au premier niveau d’une pyramide qui en compte trois, l’équipe atteint la jonction entre sa face Nord et sa face Ouest.

DECOUVERTE N°15 – Découverte de la seconde arête de la pyramide du soleil, faces Nord et Ouest.

Une arête est, là aussi, découverte. Elle semble à l’aplomb de ce que la geolocalisation signale comme étant l’arête de la pyramide !

Trois faces et deux arêtes. L’EPR2 commence à apercevoir une première esquisse de la pyramide se dessiner lentement sous ses yeux. Il est clair à présent que l’expédition devra revenir demain avec du matériel de mesure, de localisation précise, et effectuer encore de nombreux prélèvements pour analyses. Toutefois elle sait maintenant qu’elle travaille sur une forte probabilité de monument et cela motive l’équipe qui retrouve des forces tandis que le groupe redescend vers le parking.

Pyramide soleil arete2 bosnie3

Un bilan est fait avec Dominique Jongbloed, une première « preview » des films tournés et des photographies prises permet de constater que l’équipe n’est pas dans l’erreur. Demain sera un jour important pour cette expédition car elle explorera les faces Ouest et Est, et tentera d’identifier les arêtes de ces côtés en ce qui concerne la face Sud, tout en finalisant les prélèvements restants. Dominique Jongbloed demande alors à Semir Osmanagich s’il est possible de dégager sur les quatre côtés de la pyramide les arêtes, notamment sur celles qui viennent d’être découvertes. Cela mettrait un terme aux spéculations et divagations sur le Net. Le président de la fondation bosniaque, découvreur de cette vallée, lui promet qu’une demande sera faite auprès du parc archéologique pour voir s’il est possible de faire ces travaux courant du mois de décembre 2014. A ce jour l’explorateur n’est pas revenu en Bosnie pour savoir si oui ou non ces travaux ont débuté.

Explorations en Bosnie, le rapport EPR-2 - Partie 1

Explorations en Bosnie, le rapport EPR-2 - Partie 1

Explorations en Bosnie, le rapport EPR-2 - Partie 1

Tumulusvratnika1

Petit rappel, en juillet 2014, l'explorateur Dominique Jongbloed donnait un premier avis à la suite de l'expédition EPR2 d'avril 2014. Vous pouvez revoir ce premier avis dans la vidéo visible ici : http://www.sciences-faits-histoires.com/blog/archeologie/pyramides-de-bosnie-le-point-de-vue-de-l-explorateur-dominique-jongbloed.html

Le rapport d'expédition European Pyramids Research de NordSud Institute a été envoyé à de nombreuses adresses, intervenants (dont le président de Bosnie Herzégovine Mladen Ivanic) ou presses écrites, télévisées et radiophoniques bosniaques, françaises et américaines, et Mr Dominique Jongbloed m'en a également envoyé une copie pour information et publication. Ce rapport faisant plus de 80 pages, je répondrais donc à la volonté de Mr Jongbloed d'informer le public et les intervenants d'une probable intéressante suite à donner à son expédition en en publiant de très larges extraits et sans modifier d'aucune façon ces écrits et conclusions comme il me l'a demandé : il ne s'agit ici que de citations et de copies conformes de ce rapport, sans parti pris ni opinion préétablie. Juste de l'information donc, en soulignant toutefois qu'il y a déjà des probabilités plus anciennes de pyramides en Europe, historiquement, puisqu'on en a parlé tout aussi bien pour la France, l'Italie, la Grèce, la Bulgarie, l'Ukraine, la Serbie, la Turquie, la Russie et autre Roumanie... Je signale aussi au passage le petit travail effectué par mon correspondant, Mr Albert Fagioli, déjà cité dans plusieurs articles de ce site sur d'autres lieux qu'il a analysé avec ses dons et instruments.

D jongbloedD. Jongbloed

N'oublions pas que toutes les croyances populaires, même les plus absurdes en apparence, reposent sur des faits réels, mais mal observés. En les traitants avec dédain, on peut perdre la trace d'une découverte. Alexander Von Humboldt

 

RAPPORT D’EXPEDITION EUROPEAN PYRAMIDS RESEARCH

Par NORDSUD INSTITUTE

Expédition dirigée par Dominique Jongbloed

NORDSUD INSTITUTE : 264, avenue André Lechatelier – BP 108
83060 TOULON LES ROUTES CEDEX
infos@nordsud-institute.com + www.nordsud-institute.com

Historique :

ENVIRONNEMENT DE L’EXPLORATION

En avril 2005 l’anthropologue et chef d’entreprise américano-bosniaque, Semir Osmanagich, émet l’hypothèse selon laquelle la colline de Visocica pourrait être une pyramide car il relève l’existence de quatre faces apparemment assez similaires puis s’aperçoit que celles-ci semblent être parfaitement orientées selon les points cardinaux. Au début, en Europe, l'affaire passe quasiment inaperçue si ce n’est dans certains médias très spécialisés. Pourtant, dès le 31 octobre 2005 quand il confirme son intuition, via une conférence de presse, il vient peut être de faire une découverte qui fera date dans les annales de l'archéologie de son pays et même dans celles du monde entier.

CartevisokoLa vallée de Visoko, en Bosnie-Herzégovine.
©2013/15 Parc archéologique : pyramide bosniaque du Soleil.

En 2006, la fondation sans but lucratif dite « Parc archéologique : pyramide bosniaque du Soleil® » est créée et les recherches s’intensifient.
La vallée de Visoko est devenue, depuis cette date, l’un des chantiers archéologiques les plus actifs au monde et attirent plusieurs dizaines de milliers de touristes chaque année et des centaines de chercheurs, indépendants ou non. La vallée se trouve à proximité de la ville de Visoko, en Bosnie-Herzégovine, à 30km au nord de Sarajevo.
La pyramide du Soleil, selon une étude au radiocarbone (le carbone 14) faite le 18 août 2012 sur du matériel organique découvert enserré accidentellement entre deux couches de «béton d’argile», sur une terrasse, par Michael G. Buzinny du CRDSL (Conventional RadioCarbon Dating Service Laboratory de Kiev en Ukraine), révèle que le matériel organique aurait au moins 24.800 ans (à plus ou moins 200 ans près).

Testradiocarbone2012Certificat d’analyses au radiocarbone du CRDSL.
©2013/15 Parc archéologique : pyramide bosniaque du Soleil

Ce résultat fit naturellement l’effet d’une bombe dans le microcosme archéologique international et depuis la polémique fait rage et s’est même installée durablement.
Dominique Jongbloed, avec Nordsud Institute®, a engagé le plus de moyens techniques dans ces recherches, loin devant les autres groupes scientifiques. De quoi peuvent bien avoir bien peur les détracteurs de la théorie que cet endroit puisse receler de véritables monuments antédiluviens ? Ils ont en fait peur que ce qu’ils considèrent (pour l’instant) comme une escroquerie à l’Histoire ou un gigantesque canular, ne soit en fait - sur le plan historique - parfaitement exact.
On pourrait d’ailleurs se demander – à juste titre - qui serait assez fou pour dépenser des dizaines de milliers d’euros chaque année, juste pour maintenir en place un canular, et cela depuis au moins sept ans.

Dominique Jongbloed n’est ni un scientifique, ni un archéologue, il est un explorateur et il le revendique. Beaucoup de gens veulent lui attribuer des compétences que lui-même ne se reconnaît pas. C’est cependant un passionné d’aventures et d’action qui s’intéresse de près, et cela depuis plus de trente ans, à l’histoire de l’humanité et à ses civilisations passées. Il est vrai qu’il a acquis ainsi une certaine culture sur le sujet et est allé voir personnellement nombre de vestiges inexpliqués sur cette planète. Toutefois, quand il s’agit de donner son avis, il s’en réfère aux spécialistes car, pour comprendre, il faut aller bien au-delà d’une simple visite touristique.

Pour cela il a contacté :

  • L’ONF (Office National des Forêts)
  • Le Groupe des chiroptères de Provence
  • L’O.N.E.M
  • Le Muséum d’Histoire Naturelle de Bourges et de Paris
  • Michel Barataud, bio acousticien de réputation internationale
  • Alain Ghio, acousticien du Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)
  • Le Laboratoire d’Analyses des Eaux de la Société du Canal de Provence, l’un des plus grands spécialistes du traitement et de l’analyse des eaux et experts auprès de nombreux pays dans le monde.
  • Le CIRAM, l’un des plus prestigieux laboratoires d’analyses de France et même d’Europe.
  • Le SETI, chargé de l’étude des ondes en provenance de l’Espace pour déterminer si oui ou non ils proviennent d’éventuelles intelligences extra-terrestres.
  • La NASA, département photographies satellites.

 

Il a fallu en effet examiner, au-delà du premier regard. Puis entreprendre des investigations poussées (certes sans fouilles puisqu’elles sont interdites pour l’instant) : mesurer, enregistrer le maximum de données, comparer, photographier et filmer. Et lorsque des découvertes furent réalisées, alors il ne fut posé aucun avis prématuré sur celles-ci et Dominique Jongbloed prit immédiatement conseil auprès de spécialistes reconnus par leurs pairs pour la qualité de leur expertise. Le point de vue de l’expert est essentiel dans ce genre d’exploration.

On connaît tous la maxime de Von Humboldt : « D'abord, ils nieront la chose. Ensuite, face aux découvertes, ils la minimiseront. Finalement, lorsque la vérité éclatera, ils diront que cela se savait depuis longtemps ».

Dominique Jongbloed est un homme à l’esprit ouvert aux diverses possibilités, même les plus abracadabrantes, même les plus infimes, car rien n’est impossible en ce monde et bien des choses, qui étaient jadis considérées comme de la magie, sont depuis devenues de la science. Les partisans de la réalité d’un site archéologique, eux, affluent de plus en plus nombreux chaque année. Tout l’été, dans les chantiers de fouilles, grouillent de 200 à 300 volontaires venus de tous pays (sic. Parc archéologique : pyramide bosniaque du Soleil®).
Il faut dire que, contrairement aux touristes qui ne peuvent baser leur jugement que sur ce qu’ils peuvent voir (ce à quoi ils ont réellement accès), les volontaires, eux, sont en première ligne avec tous les travaux de fouilles, de terrassements, de consolidations, faits chaque année. Ils peuvent donc voir par eux-mêmes la réalité de ce qui se trouve là-bas.
Si les datations radiocarbone du béton d’argile de la pyramide du Soleil® et celles de la céramique des mégalithes du labyrinthe Ravné®, ramenés par l’EPR2 en France, se confirmaient au travers des prochaines analyses (en cours actuellement mais freinées par un manque de fonds important : plus de 42.000 euros), l’histoire des civilisations occidentales pourrait bien alors nécessiter une réécriture complète et ce serait un bouleversement planétaire et intellectuel sans précédent.
L’enjeu est tellement important qu’il était du devoir de Dominique Jongbloed, en tant qu’explorateur - mais surtout en tant que passionné des civilisations antédiluviennes - d’aller vérifier la réalité des choses qui existent là-bas. Ce fut la principale raison de son voyage en Bosnie-Herzégovine : découvrir la réalité des faits et mettre ainsi fin aux spéculations stériles, aux débats sans fin, aux divagations sur le Net.
Depuis 2005, comme dit plus haut, la vallée a été explorée par les équipes de Semir Osmanagich ainsi que par de nombreuses équipes et chercheurs indépendants (qui, soit dit en passant, n’ont rien à voir avec les pseudo-scientifiques). Un nombre incroyable d’artefacts (photos dans ce rapport) ont été retrouvés sur place, au cours des fouilles, et sont à présent entreposés en l’attente d’un musée officiel dans un immeuble situé à Visoko.
 
Aux dires de Semir Osmanagich, il existait au moins cinq pyramides, de conceptions distinctes, bâties à des dates différentes. Lorsqu’on est sur place on voit effectivement que toutes les collines exposent, de manière plus ou moins évidente, des côtés triangulaires et certaines semblent même posséder des niveaux sur leurs côtés, avec des terrasses planes sur leur sommet. Pourtant, pour Dominique Jongbloed, le nombre de singularités pouvant être étudiées, en tant qu’éventuels monuments datant d’avant le Déluge, doit toutefois être réduit à deux ou trois singularités, si l’on s’en réfère aux « canons » de la recherche en matière de civilisations antédiluviennes (1).
 
(1) : Tous vestiges inexpliqués, de constructions ou artefacts étranges, entrant dans une période de l’histoire inférieure à l’âge de Sumer et du Déluge doivent être considérés comme étant antédiluviens (datant d’avant le Déluge). Le fameux déluge biblique a reçu dans les années 2000 une confirmation historique, lors de travaux océanographiques effectués en mer Noire par le Dr. Robert Ballard, océanographe, explorateur de fonds sous-marins, et célèbre chasseur d’épaves (le découvreur du Titanic). Le Déluge put ainsi être certifié et même daté historiquement de 7.613 ans avant le Présent. Ses travaux servent aujourd’hui de limites temporelles entre les civilisations dites de l’Antiquité (jusqu’à la chute de Rome en 493) et les civilisations ayant existé avant cette période, les civilisations dites antédiluviennes, celles qui existèrent à une période de l’Histoire qu’on appelle - pour l’instant - les âges obscurs.
 
Dans le cas de la pyramide du Soleil®, vue du sol, trois des quatre côtés montrent clairement des faces géométriques. Mais, vous le verrez plus loin dans le rapport, la quatrième face n’a été clairement identifiée qu’au moment du survol du drone de l’EPR2 (au cours des différents survols organisés).
Cette face pourrait avoir subi des dommages importants du fait de glissements de terrain, de secousses sismiques, ou même de prélèvements non négligeables de terre par la population environnante lors du terrassement et de la construction des habitations alentours.
La pyramide bosniaque du Soleil® est, semble-t-il, orientée vers le Nord Céleste, en alignement avec la position de l'Étoile Polaire. La pyramide de Kheops (Koufou), en Égypte, est également alignée de la même façon. Est-ce suffisant pour dire que cette colline de Visoko est une pyramide ?
 
Labyrintheravne
Le labyrinthe Ravné
©2013/15 Parc archéologique : pyramide bosniaque du Soleil
 
On trouve également, au creux de cette vallée, un réseau de tunnels dont le départ se situe dans un endroit qui a donné son nom à ce réseau : Le labyrinthe Ravné®.
Dans ce labyrinthe, long de 12km (pour l’instant identifié uniquement grâce au travail de localisation par georadar), dégagé de seulement 950m, on retrouve d’étranges mégalithes que l’on dit en céramique (1).
 
 
Ils seraient artificiels et auraient également de surprenantes propriétés piézo-électriques.
 
(1). La céramique fut le premier « art du feu » à apparaître, bien avant la métallurgie et le travail du verre. La céramique compose un objet, fabriqué à partir de terre argileuse, qui subit une transformation physico-chimique irréversible au cours d’une cuisson à température élevée. Si les premiers indices d'utilisation de la céramique apparaissent au Paléolithique (- 31.000 BP), son utilisation domestique (plats et jarres) apparait plutôt au Néolithique (- 12.000 BP), avec la sédentarisation des peuples.
Une seconde évolution de la céramique a vu le jour au cours du XX° siècle. Ce sont les céramiques dites "techniques", dotées de nouvelles propriétés (tenue à très haute température, tribologie, conductibilité, etc.). Elles se rencontrent à présent dans les applications médicales, sanitaires ou industrielles.
La découverte de ce dernier type de céramique dans la nature même des mégalithes jette le trouble et est matière à de nombreux questionnements.
 
Tumulusvratnika1
Le tumulus de Vratnica®​
 
Plus à l’Est, se trouve ce que Semir Osmanagich appelle « un tumulus ». Il a été, lui aussi, baptisé du nom de l’endroit où il se situe : Le tumulus de Vratnica®. Il aurait été découvert en 2008. Il fera l’objet d’une étude très précise qui mettra à mal son statut de « construction ».
 
Tumulusvratnika2Le tumulus de Vratnica®
 
 
Première journée de l'exploration de l'EPR2 le 26 avril 2014 : Une vidéo conférence – bilan de la situation, par Semir Osmanagich

Ce que l’équipe apprend à l’occasion de cette conférence n’apportera guère de nouveautés, du moins par rapport à tout ce qui a été dit par Dominique Jongbloed lors du voyage. Par contre bien des contre-vérités, vis-à-vis de ce qui est diffusé sur Internet, s’effondrent et cela modifie sensiblement le regard de certains membres de l’expédition sur ce qu’ils sont venus faire ici. L’affaire est bien plus sérieuse qu’imaginée au départ.
 
Après la projection vidéo, Semir Osmanagich convie Dominique Jongbloed, seul à seul, à la terrasse du bar, pour faire un premier point avec lui sur ce que l’équipe est censée faire sur place et quelles sont les autorisations qui lui seront nécessaires. Dominique Jongbloed en profite alors pour présenter le programme de l’EPR2 et lui fait part de son intention de faire voler un drone là où cela se révèlera nécessaire, et cela malgré les réserves exprimées par l’OTAN et même celles soulevées par le parc archéologique : pyramide bosniaque du Soleil® dont Semir Osmanagich est le Président.
L’explorateur sait qu’il a l’appui du gouvernement de Bosnie sur le sujet, lequel aimerait bien qu’une situation – si possible objective – lui soit donnée sur les lieux. Le Président de la fondation lui accorde, comme à son habitude, toute sa confiance et lui demande simplement de le tenir au courant, jour après jour, de l’avancée des travaux.
 
27 Avril 2014 - Première matinée en Bosnie Herzégovine - Visite surprise du FMI
 
Alors que le groupe entame sa première exploration de la vallée – faisant un tour rapide de situation de chacune des singularités qu’ils auront à explorer dans les jours à venir, Semir Osmanagich appelle Dominique Jongbloed sur son téléphone portable et lui demande de le rejoindre, toute affaire cessante. Il semble que des personnes mandatées par le Fond Monétaire International® (ce n’est pas une blague !) soient venues inspecter, à l’improviste, les tunnels du Labyrinthe Ravné® et qu’ils sollicitent, de plus, des renseignements d’ordre technique vraiment très pointus qui nécessitent la présence du passionné de civilisations antédiluviennes sur les lieux. Semir Osmanagich souhaite la présence de l’explorateur parce qu’il le considère comme un véritable spécialiste de cette période de l’Histoire.
 
L’explorateur ne commentera toutefois que les aspects purement techniques, les différentes choses découvertes en ce lieu restant l’apanage de Semir Osmanagich (sauf quand c’est une découverte faite par l’EPR bien sûr. Dans ce cas, Semir Osmanagich propose courtoisement à Dominique Jongbloed de faire part de celle-ci personnellement, afin de décrire les circonstances dans lesquelles elles eurent lieu). En fait, on apprendra plus tard, une fois sortis à l’extérieur du labyrinthe, que ces personnes sont venues pour vérifier si le gouvernement avait un quelconque intérêt à s’impliquer dans cette affaire de vallée au passé immémorial. Durant leur visite, Semir Osmanagich et Dominique Jongbloed s’enfoncent dans le labyrinthe et présentent tous les tunnels aux visiteurs, exhibant au fur et à mesure les différents mégalithes dégagés de leur gangue de terre lors des excavations :
 
Kt1 bosnie
Kt2 bosnie
Kt3 4 5 bosnie
1ère découverte : La statue du Ravne, proche des statues trouvées à Hambourg en 1957 par l'archéologue Mattes.

C’est au cours de cette visite de présentation que Dominique Jongbloed remarque une protubérance remarquable qui, à la lumière des torches, semble présenter des reliefs anthropomorphes. Cette pierre bizarre, prise encore dans la terre de remblais, semble avoir certaines similitudes avec les pierres qui furent retrouvées en 1957, à Hambourg, par l’archéologue Walter Mattes, lors de travaux d’excavation entrepris pour la construction du métro. Ces sculptures avaient alors été datées de plus de deux cent mille ans. Elles sont décrites dans le célèbre livre de Jacques Bergier « Le matin des magiciens ».
 
Dominique Jongbloed propose à Semir Osmanagich de mettre cette pierre en lieu sûr afin de pouvoir l’examiner plus avant, en toute tranquillité et à l’abri des regards, mais il n’est pas sûr que celui-ci ait été convaincu de la possibilité d’une réelle découverte. C’est dommage car cela aurait peut être permis de la comparer avec les pierres anthropomorphes de Hambourg, même si les originales ont apparemment disparu. Il reste cependant les photographies d’époque… et certains chercheurs au musée de Hambourg qui sont suffisamment compétents pour donner un avis crédible sur cette « chose ». Si cette pierre venait à être détruite ou à disparaître avant son examen, le parc archéologique : Pyramide bosniaque du Soleil® perdrait peut être la seule véritable preuve que les tunnels du labyrinthe Ravné® ne sont pas des vues de l’esprit, qu’ils ne sont pas naturels, comme l’affirment certains détracteurs, mais qu’ils sont peut être bien plus que cela.
 
Statueshambourg 1957
L’existence de cette pierre anthropomorphe, et sa comparaison avec celles découvertes à Hambourg, pourrait changer notre perception du monde tel qu’il était au cours des 30.000 dernières années. Il est essentiel d’aller jusqu’au bout des choses, même si cela doit coûter un peu d’argent car lorsqu’une question se pose à ce degré d’importance pour la région et l’histoire du monde occidental, il ne peut être acceptable d’hésiter sauf à vouloir garder dans ignorance le public de peur d’une découverte encore plus importante.
 
Yves Herbo : Cela pourrait avoir encore plus d'importance, en regardant les datations estimées pour ces sculptures (200.000 ans à 30.000 ans), si l'on considère les toutes dernières découvertes sur l'art des néandertaliens et le fait qu'il était plus proche mentalement de l'homme moderne, qu'on ne le pensait dans le passé. On sait que les premiers néandertaliens archaïques sont probablement apparus vers -500.000 ans et que les derniers ont disparus justement aux alentours de -30.000 à -25.000 ans... Ces sculptures maladroides d'êtres humains déformés pourraient à priori correspondre à de l'art néandertalien (des peintures néandertaliennes ont été découvertes ainsi que quelques gravures, et nous savons qu'il était assez doué dans la taille des pierres et possèdait des outils bien avant Homo Sapiens Sapiens...). Mais notons aussi qu'il semble bien que la diversité humaine en ces lointaines périodes était aussi plus importante qu'on ne le pensais encore il y a peu de temps, et qu'il y a d'autres candidats que l'Homme moderne ou néandertal pour ces sculptures étranges, les denisoviens mais aussi une autre race complètement inconnue (ayant peut-être le crâne naturellement allongé et ayant servi de "modèle" pour certaines civilisations humaines ayant allongé leur crâne artificiellement) : http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/des-analyses-genetiques-des-neandertaliens-et-des-denisoviens-revelent-une-autre-espece-inconnue.html​
 
28 Avril 2014 - Voyage souterrain : le labyrinthe Ravné - La mission du jour : l’exploration de la face Ouest de la pyramide du Soleil®.
 

Après une traversée encombrée de l’avenue principale de Visoko, le minibus sort de la petite ville et se retrouve sur une route de campagne qui mène, quelques kilomètres plus loin, sur la gauche, vers le labyrinthe Ravné®. Montant une légère pente, passant devant de parking des bus puis l’entrée du labyrinthe, l’équipe continue sur une route qui devient de plus en plus étroite et qui s’élève lentement, mais régulièrement, jusqu’au plateau où se situe la base de la singularité. Après avoir dépassé une sorte de petit parc public, avec quelques tables de camping parsemées sur le gazon, l’expédition quitte la route goudronnée pour un chemin de terre plus sauvage et plus caillouteux. De toute évidence ici deux véhicules ne pourraient se croiser.

Finissant, au bout de quelques centaines de mètres, sur un élargissement de la voie qui mène directement sur une sorte de petite plaine, légèrement pentue et surplombant un vallon entouré de collines, l’EPR2 arrive au pied de la singularité en contrebas de la colline de Visocica.

L’EPR2 gare alors son minibus et commence à déployer son matériel d’exploration. Paul Sabbe, adjoint de Dominique Jongbloed, sort le drone tandis que l’explorateur extrait de son sac le matériel cinématographique pour filmer cette première ascension.

Faceouest1 bosnie

L’équipe se scinde alors en deux :
D’un côté, le reste de l’équipe entament leur ascension de la pyramide et cela jusqu’aux ruines surplombant l’apex détruit de cette supposée pyramide. De l’autre côté, Dominique Jongbloed et son adjoint montent le drone et le préparent pour son premier vol. Ils installent également le matériel vidéo pour filmer l’ascension de la première équipe.
A gauche, une sorte de petit chalet, d’aspect bien sympathique, tenue par une dame très serviable. Il semble que l’endroit soit appelé par dérision le grad, c’est-à-dire « la ville », tant l’endroit ici est isolé et loin du centre ville de Visoko. C’est le seul point de rencontre pour ceux qui explorent cette colline. C’est là que l’EPR2 fait son premier briefing avant d’entamer l’exploration de cette petite vallée encaissée et du côté Ouest de la pyramide du Soleil®.
Après celui-ci, la première équipe entame l’ascension de la singularité vers son sommet, filmée par Dominique Jongbloed et Gwen Charrier, le cameraman, pour immortaliser ce moment important de l’exploration : ses débuts.
Paul Sabbe et Dominique Jongbloed débutent les premières images aériennes du lieu tandis que Valérie Duffau, la secrétaire Générale de Nordsud Institute® (qui accompagne l’expédition) filme les essais de vol et que Gwen Charrier rejoint l’équipe au sommet de la pyramide.

Drone bosnie

Ces premiers vols permettent de prendre les premières images en altitude, ce qui en fait une première sur ce lieu car personne n’avait fait - jusqu’à présent - d’images aériennes de cette vallée et du sommet de la pyramide du Soleil®. D’autres imiteront l’EPR2 dans les mois qui suivront mais cette expédition détiendra à jamais le record d’avoir fait le premier survol de la pyramide du Soleil.

1ersurvol pyramide soleil bosnie


Après deux ou trois essais plus ou moins fructueux, L’explorateur et son équipier rangent le matériel dans le minibus, assisté de Valérie Duffau, puis débutent eux aussi l’ascension. Les trois cadres de l’expédition vont rejoindre le reste de l’équipe et démarrer les premiers enregistrements de la fréquence ultrason identifiée pour la première fois en 2011 par Slobodan Mizdrac, et enregistrée en 2013 par Dominique Jongbloed lors du premier voyage EPR1.

Toutefois, c’est en grimpant par l’étroit chemin qui mène jusqu’au sommet, et qui est littéralement face à cette petite plaine, que l’explorateur réalise pour la première fois qu’il y a peut être une possibilité que celle-ci, posée au pied de la face Ouest de la singularité, soit en fait une construction antique.

DECOUVERTE N°2 – La rampe d’accès à la pyramide du Soleil et les deux constructions circulaires.

En effet l’altitude permet de visualiser de manière panoramique le vallon qui entoure la pyramide et la petite plaine qui est disposée à l’Ouest et au pied de celle-ci. C’est quasiment au sommet que Dominique Jongbloed et son adjoint constatent communément qu’effectivement la plaine a bien une forme quadrilatère et que celle-ci est bien trop régulière pour avoir été le fruit du hasard de la nature. On distingue même, depuis le sommet, deux vestiges de constructions circulaires qui pourraient être anciens, voir antédiluviens, mais qui pourraient aussi être des cromlechs (cercle de pierre). Des vestiges de terrassement apparaissent également dès la mi-hauteur de la pyramide.

Il semblerait qu’en fait cette petite plaine puisse être une sorte de rampe d’accès à la face Ouest de la pyramide, destinée à faciliter l’accession au sommet car la face Nord, elle, est carrément dissuasive avec ses deux cents marches irrégulières à gravir sur au moins trois niveaux. La rampe semble également rejoindre le premier tiers de la hauteur de la pyramide (à la hauteur de ce qu’on appelle, en Egypte, la chambre du Roi) et donne ainsi l’impression, vu du sol, au pied de cette singularité, que la pyramide ne possède pas quatre faces.

Pourtant l’un des vols du drone va détruire définitivement cette impression lorsqu’en se plaçant à la verticale de la pyramide du Soleil®, exactement au dessus de son apex, sa caméra fera apparaître indiscutablement sur la vidéo les quatre faces de celle-ci.
Finissant leur ascension, Paul Sabbe et Dominique Jongbloed rejoignent le reste de l’équipe et atteignent ainsi un sommet tronqué : l’apex.


DECOUVERTE N°3 – Le village médiéval supposé être au sommet de la pyramide n’existe pas ! C’est tout juste un fortin datant probablement de la guerre, rénové sommairement.

Pseudo fortin psoleil bosnie

Ce dernier à des contours torturés. Il a été visiblement détruit pour construire, en lieu et place, un pseudo-fortin dont on veut faire croire au public qu’il date de l’époque moyenâgeuse (alors que la population, et plus particulièrement les voisins de la pyramide, vivants ici depuis toujours, affirme à l’équipe que celui-ci n’a guère plus de trente ans et a été récemment restauré, il y a deux ans environ).

Fauxmedieval psoleil bosnie

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studioBabel1.jpg babel2a.jpg

Vous pouvez lire gratuitement ces recueils (et n'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez !) en allant ici :

Studio Babel N°2https://www.calameo.com/books/000788413db1c7a4bbb39

et (si vous l'avez apprécié et voulez aider le groupe (et non l'auteur qui ne reçoit rien !)), vous pouvez le commander en versions imprimées ou téléchargeables ici :

Studio Babel N°1 : https://www.lulu.com/browse/search.php?&fKeywords=Babel+Studio+Fiction

Un aperçu des 10 premières pages y est aussi proposé. Voilà les auteurs pour le N° 1 : Jacques Païonni, Laurent Salipante, Siléas, Sylvain Boïdo, Yves Herbo, Adam Joffrain, Terry Montcalm, Philippe Giroud et illustrateurs : Tony Szabo, Jépéh, Leslie Lavaud.

Un aperçu des 10 premières pages y est aussi proposé. Voilà les auteurs pour le N° 2Claude JégoAdam Joffrain, Yves HerboJacques PaïonniBlanche Saint-Roch, Mehdi Saddra, Anne Springer, Jacqk, Lyvins Frédéric et illustrateurs :Tony SzaboLydie Blaizot.

Et j'en profite pour répéter que mon roman de SF "Je n'étais qu'un Androïde" avait été réédité mi-juillet 2011, après une grossière erreur d'impression de leur part, bien après le BAT, par les Editions Baudelaire... contrat rompu en 2014 pour mauvaise prestation...
 

Quatre éternités pour une Rose immortelle publié !

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Et bien ça y est, le livre vient d'être publié et est dispo sur le site de l'éditeur Edilivre ! Comme il me l'a précisé dans un email (mais il est sorti alors que j'étais en déplacement !), il est déjà en vente sur son site, et est dispo en librairie sur commande, et la Bibliothèque Nationale de France a reçu son exemplaire légal. " il a été mis en vente sur les principaux libraires en ligne à savoir Fnac.com, Chapitre.com, Amazon... De plus, tous les libraires de France, Suisse et Belgique peuvent également le commander à travers Dilicom ou directement auprès d'Edilivre "...

Couv 4eternitesfinale

Cet ouvrage est important pour moi car il a été écrit lors de mon enfance (mais remanié (corrigé surtout) et "modernisé" en partie ces derniers mois pour cette publication) et surtout, à la suite d'événements étranges survenus dans ma tendre enfance, allant de perceptions paranormales (ou religieuses suivant l'interprétation) jusqu'à l'observation très nette et très proche d'une grande sphère lumineuse venant presque à ma verticale, à moins de 15 mètres. Cet ouvrage parle donc de "soucoupes volantes" mais attention, il s'agit à 100% de science-fiction ou d'anticipation, comme l'autre roman écrit à cette période (Je n'étais qu'un Androïde), même si plusieurs passages, termes et idées paraissent "visionnaires" ou "très en avance" pour l'époque (et l'âge de l'auteur), un peu comme s'ils m'avaient été "transmis" mystérieusement... Le fait est bien que je me suis mis à écrire beaucoup d'un seul coup et sans y être spécialement préparé ou attiré précédemment. A tel point que ma prof de français et mon père m'ont fait passer un test de QI dès le début du collège (130 à 13 ans) ! Je ne demande à personne de me croire sur parole, peu importe d'ailleurs, mais les manuscrits d'époque sont encore là, ainsi que mon père (plus maintenant malheureusement), qui peut témoigner de certaines choses  - et il doit y avoir un dossier quelque part à l'Education Nationale !

On me pose aussi de temps en temps des questions sur mon autobiographie (dont vous pouvez lire les premiers chapitres sur mon site ici) et tous les événements surprenant qui s'y enchaînent dès le début, mais tout ce que je peux dire, c'est que tout est absolument vrai et que j'aurai plutôt intérêt à ne rien dire (pour ma paix familiale et citoyenne !), mais que j'estime que c'est un devoir de l'écrire et témoigner...

Vous pouvez lire les 20 premières pages sur le site de l'éditeur et le dos de couverture. Je remercie encore Cyril Cheminade pour son beau dessin de couverture qu'il m'avait proposé généreusement il y a maintenant plus d'un an, ainsi que les personnes qui ont donné un peu d'argent pour qu'il soit intégré par l'éditeur sur cette couverture. Je demande donc à tous mes lecteurs et ceux qui me suivent depuis quelques années maintenant d'acheter ce livre (sur papier ou en ebook) afin de m'aider à continuer à écrire, et à acheter moi-même ce livre (car l'éditeur n'en propose même pas un gratuit pour l'auteur) car je n'ai absolument aucun revenu de mon activité (bien que beaucoup reconnaissent que j'accomplis un travail considérable, c'est du "bénévolat" de fait car notre société, contrairement aux mayas ou incas par exemple, qui ne connaissaient pas le chomage ni la famine, ni l'argent, ne reconnaît pas le travail et l'activité réelle si ils ne sont pas associés à de l'argent (!)... une preuve supplémentaire que l'être humain n'est pas "libre" mais bien esclave de son outil "argent"... et d'une minorité très riche).

Vous pouvez Commander directement chez l'éditeur la version papier et la version ebook et le recevoir très vite :

https://www.edilivre.com/quatre-eternites-pour-une-rose-immortelle-20cfbba6dc.html/

ou sur Amazon : https://www.amazon.fr/Quatre-%C3%A9ternit%C3%A9s-pour-Rose-immortelle/dp/2332857664

Merci pour votre soutien, amicalement, Yves Herbo

PS : Je rappelle que ce livre a été écrit il y a longtemps alors que j'étais enfant et que sa genèse est très étrange : vers mes 7-8 ans, je subi en public une sorte de connexion étrange (une religieuse a pensé que c'était le début d'une sorte "d'ascension" !) lors d'une lecture d'un texte religieux, au catéchisme où j'avais été inscrit d'office. Quelques mois plus tard, une forte voix à l'intérieur de moi me crie de ne pas faire un mauvais acte. Encore quelques mois plus tard, je suis survolé d'assez près par une grosse sphère blanche, que certains me disent être un OVNI, d'autres un ange... finalement je me mets (à partir de 10 ans environ) à écrire deux romans subitement et à en même temps quasiment (un assemblage et tris de textes pendant 4 ans). Cela surprend tellement ma prof de français et mon père qu'ils me font passer un test de QI à mon entrée au collège (130 QI à 13 ans) et veulent me faire sauter une classe... et ce n'est pas tout... Ce roman, Quatre éternités pour une Rose immortelle est le tout premier de ces deux romans chronologiquement, et j'y décris comment notre univers a été créé. J'y parle aussi d'ovni et c'est un assez bon roman d'anticipation je pense... mais comment de telles idées (et celles pour l'autre "Je n'étais qu'un Androïde) ont bien pu me venir à cet âge et époque... alors que je ne lisais que des bd de Rahan et Pif le chien et ne pensais qu'à jouer ?... c'est là pour moi le plus grand des mystères, bien plus que tous ceux auxquels je me suis intéressé (archéologie ancienne) et vous partage depuis quelques années... Notez aussi qu'il n'est pas très important pour ma part d'être cru, je ne revendique pas être "porteur de message", juste partager mon expérience qui me semble importante pour l'Humanité... mais qu'il est tout aussi anormal de travailler... et de mourir de faim car cette société ne prévoit rien pour l'être humain (moins bien traité que l'animal à ce niveau) qui est actif et partage son travail, tout en refusant d'être esclave des banquiers et de l'argent...


 

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09-2016 : Réédition en tant qu'éditeur et auteur de mon livre " Je n'étais qu'un Androïde ", disponible dès maintenant chez LULU.com et chez Amazon, Barnes & Noble, il a été listé auprès du grossiste américain Ingram, qui approvisionne les librairies américaines. Il figure dans de prestigieuses bases de données bibliographiques telles que Nielsen et Bowker.

Vous pouvez l'acheter dès maintenant ici (papier et ebook) : sur Amazon : Je n'étais qu'un androide


 

Sortie début 2017 de la version Epub (pour lectrices donc) de mon livre "Quatre eternités pour une Rose immortelle" chez Edilivre mais aussi chez plusieurs partenaires, dont Amazon, Decitre, Dialogues, FNAC, Mollat, Ombres-Blanches, Sauramps... et Je n'étais qu'un androide chez LULU.com, Amazon et autres libraires.

Voici les liens directs pour acheter les 2 livres en plusieurs versions chez Amazon : 

https://www.amazon.fr/n%C3%A9tais-quun-andro%C3%AFde-Yves-Herbo-ebook/dp/B00KERHJMG/ref=asap_bc?ie=UTF8

https://www.amazon.fr/Quatre-%C3%A9ternit%C3%A9s-pour-Rose-immortelle/dp/2332857664

 

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  • Syyn Le 02/05/2023

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  • mornon jules Le 20/11/2019

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Date de dernière mise à jour : 05/05/2024