Statistiques du site depuis mi-2011

Aujourd'hui

266 visiteurs - 652 pages vues

Total

7549266 visiteurs - 17644129 pages vues

Contenu

Nombre de pages : 25
Nombre d'articles : 2518

Les Reliques Etranges du Pérou - interview Thierry Jamin 1

Cliquez sur Blog en haut pour tous les articles, Écrits pour voir mes écrits personnels, Autres Pages pour des Dossiers compilés

Dans OVNI/UFO
OVNIs : Des traces physiques sur des témoins - Partie 1

OVNIs : Des traces physiques sur des témoins - Partie 1

OVNIs : Des traces physiques sur des témoins - Partie 1

2006-ovni-ufo-amarantina-brazil.jpg

Amarantina-Bresil-2006

Nous regrouperons sous cette sous-rubrique les témoignages et études assez nombreux faisant état de traces physiques, parfois de cas psychosomatiques, constatés scientifiquement et les reliant aux phénomènes OVNI. Preuves supplémentaires et études qui montrent que certaines approches scientifiques, y compris la médecine, sont possibles et fonctionnent avec le phénomène OVNI. Yves Herbo

"Très souvent, écrit en substance James M. McCampbell dans son ouvrage "Ufology" (http://www.nicap.org/ufology/ufology.htm), ceux qui ont rencontré des humanoïdes ou ceux qui se sont approchés des soucoupes volantes ont souffert, après leur aventure, de troubles physiologiques ou psychosomatiques dûment constatés par les enquêteurs et les médecins."

Ingénieur, physicien spécialisé dans la technologie nucléaire, telle que la mise au point de réacteurs pour sous-marins et pour centrales électriques, McCampbell s'est acquis une réputation de premier plan parmi ses pairs : il figure en effet en bonne place dans le who's who in Atoms, le gotha des personnalités dans le domaine atomique. (YH : de l'époque bien sûr (1973)). Sa méthode d'approche ne manque pas d'originalité. Alors que la plupart des chercheurs essaient, face aux témoignages relatifs aux OVNI, de faire la part du vrai et du faux, l'ingénieur américain part du principe que les témoins ne mentent pas. "Un zèle excessif dans le passage au crible des témoignages, explique-t-il, a probablement privé les chercheurs et le public de quelques informations de valeur. Une approche différente a été prise ici. La confiance est accordée, non pas tellement aux détails d'un rapport individuel, mais aux corrélations entre de nombreux rapports indépendants."

Aux yeux de McCampbell, les affabulations ou les erreurs de certains témoins ne doivent pas décourager l'homme de science dans sa recherche de la vérité. Il justifie sa méthode en ces termes : " Il est tout à fait approprié pour un chercheur de recourir à toute hypothèse qui lui semble pouvoir aider à clarifier un problème complexe (...) Si la recherche sombre dans la confusion, alors l'hypothèse est jugée inutile et une autre doit être adoptée. En revanche, si l'hypothèse apporte un certain ordre là où régnait le chaos, elle est estimée méritoire. En écartant la confusion et en éclairant un sujet complexe, une hypothèse gagne le droit à la crédibilité jusqu'à ce qu'une autre se révèle accomplir un meilleur travail. Il a été prit comme un fait que l'un ou l'autre phénomène inexpliqué était responsable de la production des rapports d'OVNI (...) Tout rapport individuel est nécessairement fragmentaire, mais les points omis ne seront pas les mêmes dans tous les récits. On peut s'attendre à ce qu'une description complète émerge si on assemble les données de nombreuses observations. A cause du nombre énorme de rapports et de leurs provenances de diverses cultures de par le monde, l'inclusion accidentelle de quelques supercheries et erreurs d'interprétation ne distordrait pas fortement les résultats finaux."

Un point retient particulièrement l'attention du physicien : beaucoup de témoins semblent avoir été "figés", "immobilisés", incapables de faire un mouvement. L'auteur explique ce phénomène de paralysie en faisant appel aux "micro-ondes électromagnétiques".

OVNI : preuves physiques sur des témoins :

Mais la paralysie n'est pas, loin de là, l'unique symptôme observé chez plusieurs témoins d'OVNI. Nous allons ci-dessous découvrir plusieurs récits de rencontres étranges ayant des conséquences inattendues :

Le premier témoin - que nous appellerons JM - est de garde, le 10 août 1959, dans le service des ambulanciers de l’hôpital de Perpignan, France. Peu avant la fin de son tour de garde, un appel d'urgence l'oblige à se rendre auprès d'une victime d'accident de la route. L'épouse du blessé, accourue sur les lieux, manifeste le désir de voir celui-ci ramené chez lui à Rouen, avant que ne survienne l'issue fatale qui lui a été annoncée.

JM quitte donc Perpignan en ambulance Citroën DS pour Rouen, à 18h15, en compagnie de son jeune frère, du mourant et de son épouse. En cours de route, il s'arrête à plusieurs reprises pour régler le débit de sérum et d'oxygène. Hélas ! Tous ces soins se révèlent inutiles. A deux heures du matin, l'ambulancier ne peut que constater le décès du blessé. Grâce à une tolérance particulière dans de tels cas, JM poursuit sa route. Après un arrêt d'environ une heure à Paris, il emprunte la RN13 bis en direction de Rouen. Mais laissons à JM le soin de raconter son aventure :

" Une ligne droite à trois voies matérialisées s'ouvrit devant moi, raconte JM. Je roulais à 145 km/h environ, dans le couloir de droite. Près de moi, mon jeune frère sommeillait sur son siège, étendu en couchette. Ma passagère, le regard vide, contemplait la dépouille de son mari. 

" Je fixait attentivement la route lorsque mon attention fut attirée par un sifflement strident. C'est alors que mon regard se porta vers une sorte de sphère incandescente, brillant comme du mercure, qui se déplaçait à l'horizon, perpendiculairement à mon véhicule. L'objet décrivit un cercle et vint face à moi, survolant la route à une altitude d'environ 400 mètres. Avec curiosité, je regardais cette chose inconnue en essayant de définir à quel arsenal elle pouvait appartenir. Soudain, une autre Citroën DS se présenta face à moi à environ  1800 mètres. Le mystérieux objet céleste parut ralentir sa vitesse et s'immobilisa en point fixe, entre les deux véhicules. Pendant de courtes secondes, je pus me rendre compte qu'il s'agissait d'un engin sphérique surmonté d'un dôme autour duquel un anneau tournait à grande vitesse, dégageant une intense lumière blanche. Le tout ressemblait à la planète Saturne en miniature.

"Quittant l'engin des yeux, je constatai que la voiture qui arrivait en face de moi s'était engagée sur la voie centrale, alors que la portion de route située à sa droite était totalement vide. Elle me fonçait dessus en zigzaguant." JM actionne alors le klaxon de son ambulance tout en faisant des appels de phares. Ses manoeuvres dangereuses continuèrent, poursuit-il, en parlant du conducteur de l'autre voiture. Sa DS zigzaguait de plus belle. Tout me laissait supposer qu'il n'était plus maître de son véhicule. Avec stupeur, je vis que chacune de mes tentatives d'échapper à la collision était contrée par un acte réflexe du conducteur de la voiture folle. En une fraction de seconde, je compris que la voiture qui m'arrivait dessus était télécommandée. Je rétrogradait pour ralentir tout en donnant un violent coup de volant qui amena l'ambulance dans le couloir central. L'autre voiture s'engagea instantanément sur la même voie. Je repris de la vitesse tout en me déportant totalement à droite. Mon adversaire une fois encore apparut devant mon capot !

"Enfin, dans un réflexe désespéré, je lançais la voiture dans le couloir central, espérant qu'à la dernière seconde le "chauffeur fou" parviendrait à me croiser à droite. Ce que je vis me glaça d'effroi. Le véhicule qui arrivait à quelques mètres de moi n'avait pas de conducteur ! Le choc fut terrible car la collision eut lieu de plein fouet. Je roulais à 140 km/h et l'enquête de gendarmerie établit que mon adversaire atteignait, lui, les 160 km/h.

" Avec le recul du temps, je comprends maintenant, explique JM, que le chauffeur de l'autre DS, qui fut décapité dans l'accident, était déjà mort et couché sur son siège, lorsque nos voitures se télescopèrent. Dès que je repris connaissance, plusieurs jours après ce drame, j'eus la certitude que l'engin spatial inconnu qui nous avait survolés quelques minutes avant le télescopage n'était pas étranger à cette catastrophe. Malgré mes tentatives désespérées et la très grande maîtrise dont je fis preuve, j'ai la conviction d'avoir été irrésistiblement attiré vers le véhicule qui me faisait face, comme mon adversaire avait dû l'être par l'ambulance. Incontestablement, nous avons tous deux été pris dans des faisceaux magnétiques dirigés par des pilotes de l'espace. "

JM formule donc un commencement d'explication au jeu diabolique dont lui-même et le malheureux conducteur de l'autre DS ont été à la fois les victimes et les instruments : les deux véhicules auraient été téléguidés. Cependant, aucune des personnes à qui le témoin raconte son aventure ne semble prendre au sérieux l'hypothèse d'une intervention de forces extra-terrestres et, à sa sortie de l'hopital, JM décide de mener une enquête personnelle. Il apprend que le chauffeur de l'autre DS ne se servait de son véhicule que pour se rendre à son travail. Il ne s'agit donc pas d'un spécialiste de la conduite automobile et, en conséquence, rien ne peut expliquer ses réflexes extraordinaires. Par ailleurs, cet homme était un homme corpulent de un mètre quatre-vingts, ancien boxeur, et sa présence au volant ne pouvait passer inaperçue

Contrairement aux gendarmes de Louviers qui concluent hâtivement à un suicide, la famille de la victime écarte énergiquement cette thèse. Cet ensemble de données ne fait que renforcer la conviction de JM : c'est bien une voiture folle qui l'a heurté le 11 août, à 5h25 du matin, sur la route de Paris à Rouen. En outre, un fait demeure rationnellement inexplicable et peut confirmer l'hypothèse du témoin : 5 bouteilles d'oxygène qui étaient à l'intérieur de l'ambulance et qui contenaient chacune 700 litres de gaz se sont entrechoquées, certaines ayant même été éjectées sous la violence du choc, sans qu'aucune n'ait éclaté. De même, un manomètre a laissé échapper, sans causer de dommage, un énorme volume de gaz.

Que faut-il penser de l'accident dont JM a été victime ? Son caractère peu banal suffit-il à justifier la possibilité d'une intervention extra-terrestre ? Nous ne bénéficions, ne l'oublions pas, pour appuyer cette thèse, que d'un certain nombre de faits troublants et de la seule conviction du témoin lui-même...

Par la suite, il devint évident que JM voulut tirer parti de sa nouvelle notoriété dans le milieu ufologique, car il ajouta avoir été contacté plus tard par ces êtres, qui l'avaient évidemment choisi, lui, pour préparer leur arrivée vers la fin des années 90 sur Terre pour sauver la population d'une prochaine destruction de la planète... il affirma que 2 millions de Terriens étaient déjà programmés sans qu'ils le sachent toujours, en préparation des événements à venir...

Fort heureusement, tous les témoins n'ont pas eu à subir les conséquences dramatiques de l'accident survenu à JM : fractures des deux fémurs et du bassin, éclatement de la vésicule biliaire, du foie et de la rate. Cependant, les troubles observés sur Luce Fontaine sont tout de même inquiétants. Cultivateur dans la plaine des Cafres, près de Saint-Denis de la Réunion, marié à une institutrice et père de quatre enfants, Luce Fontaine est, de l'avis de son entourage, un homme modeste, pondéré et digne de foi.

reunion-plainedescafres1968.jpg

Dessin d'après description de Luce Fontaine

" Le 31 juillet 1968, à 9 heures du matin, raconte-t-il, je me trouvais au kilomètre 21 dans une petite clairière au centre d'un bois d'acacias. Courbé vers le sol, je ramassais ce matin-là de l'herbe pour mes lapins, quand j'ai brusquement aperçu dans la clairière une sorte de cabine ovale à 25 mètres de moi, comme suspendue à 4 ou 5 mètres du sol. Ses extrémités étaient bleu foncé, le centre était plus clair, plus transparent, un peu comme le pare-brise d'une 404. Au-dessus et au-dessous, il y avait comme "deux pieds de verre en métal brillant".

" Au centre de la cabine se tenaient "deux individus", le dos tourné vers moi. Celui de gauche a tourné la tête sur lui-même et m'a donc fait face. Il était debout, petit, 90 cm environ, enveloppé des pieds à la tête dans une sorte de combinaison comme les bonshommes Michelin. Celui de droite a simplement tourné la tête vers moi, mais j'ai quand même eu le temps d'entrevoir son visage, en partie masqué par une sorte de casque. Tous les deux m'ont ensuite tourné le dos et il y a eu un éclair aussi violent que celui de l'arc électrique d'un appareil de soudure. Tout est devenu blanc autour de moi, une forte chaleur s'est dégagée, puis comme un souffle et quelques secondes plus tard il n'y avait plus rien.

" Je me suis alors approché de l'endroit où se tenait l'engin ; il n'y avait aucune trace. Cet objet mesurait 4 ou 5 mètres de diamètre et 2.50 mètres de haut environ. Il était de couleur bleutée, blanc sur les parties supérieures et inférieures. J'ai raconté tout cela à ma femme et aux gendarmes, tous m'ont cru tout de suite."

Effectivement, tant la gendarmerie que le Service de la Protection Civile ont pris cette aventure au sérieux. Des enquêteurs se sont rendus sur les lieux de l'apparition de l'engin, munis d'instruments de détection de radioactivité. Les recherches ne sont pas demeurées vaines. En effet, les enquêtes officielles ont relevé une radioactivité anormale dans un rayon de 5 à 6 mètres autour du lieu présumé de l'atterrissage. Bien plus, les vêtements du témoin, examinés eux aussi, ont révélé la présence de traces similaires, du moins sur les côtés se trouvant du côté de l'appareil. " Huit points de radioactivité ont retenu notre attention, a déclaré le capitaine Legros, chef du Service de la protection civile. Sur des touffes d'herbe, sur des galets, nous avons détecté jusqu'à 60 millièmes de Röntgen." (Aujourd’hui encore, aucune explication n’a été fournie publiquement.)

De tels taux sont certes faibles, mais aucune explication rationnelle ne peut justifier leur existence dans l'endroit où ils ont été relevés. Par ailleurs, il faut préciser que les opérations de détection ont été menées plus de dix jours après les événements et pendant la période des pluies tropicales qui n'ont pas manqué de laver abondamment le terrain, contribuant, sans aucun doute, à diminuer très sensiblement le taux de radioactivité.

La conclusion des enquêteurs apparaît d'elle-même : Luce Fontaine a assisté à un phénomène totalement anormal. Cependant, le point qui nous concerne plus précisément est celui de l'effet physiologique provoqué par la mystérieuse apparition. Le témoin a en effet, durant les huit jours qui ont suivi l'observation, été pris d'abondants saignements de nez qui n'ont pas manqué d'inquiéter le praticien consulté à cette occasion. Des analyses de sang n'ont pas révélé de troubles graves.

La Réunion est d'ailleurs un endroit assez privilégié en ce qui concerne les OVNI liés à l'Océan. On peut aussi mentionner une célèbre affaire survenue en 1975, trop proche de celle de Luce Fontaine pour être retenue pour certains, celle de Antoine Séverin :

Voici le procès-verbal de synthèse rédigé par brigade de la Gendarmerie Nationale de Petite-Ile, compagnie de Saint-Pierre, le 3 mars 1975. Ce document est apparu dans la littérature ufologique il y a longtemps.

Le 15 février 1975 à 10 heures, au bureau de notre brigade, se présente Mme S[-] Marie, sans profession, domiciliée à Petite-Ile dans la Réunion. Cette personne porte à notre connaissance que le 14 février 1975, vers 13 heures, son fils Antoine âgé de vingt et un ans a été fortement commotionné par un rayon lumineux provenant d'une boule brillante aperçue sur le piton du Calvaire à Petite-Île. L'intéressé a regagné sa demeure à pied en empruntant le chemin du cratère qui passe près du cimetière. Notre informatrice précise que son fils lui a déclaré avoir vu trois petits bonshommes descendre de l'engin bizarre qui ne touchait pas le sol, les avoir observés puis avoir été projeté à terre par un puissant éclair parti de la partie supérieure de la soucoupe laquelle s'est ensuite élevée en sifflant très fort. Mme S[-] ajoute qu'après lui avoir fait le récit dont il a été témoin, son garçon, très bouleversé et choqué, a perdu l'usage de la parole et que de ce fait le docteur en médecine T[-] de Petite-Île a été appelé au chevet du patient vers 19 heures.

Sur notre demande, Mme S[-] affirme que son fils Antoine, parfaitement équilibré, n'a jamais été soigné pour maladie mentale. Elle ne croit pas à une hallucination. Nous prenons alors contact avec le docteur T[-] Ce praticien nous déclare verbalement que S[-] Antoine victime d'un choc émotionnel important est sous l'effet d'une crise pithiatique. Qu'il jouit de toutes ses facultés mentales, qu'il n'est pas atteint de blessures et ne porte pas de brûlures. L'intéressé est placé sous contrôle médical et un repos de quarante-huit heures lui est imposé. Sous la direction du maréchal des logis P[-], chef de poste, tout le personnel de la brigade participe à l'enquête administrative.

Mesures prises
Au reçu de ces informations, à 10 h 15 le 15 février 1975, nous rendons compte des faits au commandant de la compagnie de gendarmerie à Saint-Pierre. Suivant les instructions de cet officier, nous procédons au recueil de renseignements complémentaires permettant de concrétiser l'affaire et de localiser si possible le lieu de l'apparition de l'objet volant non identifié. Un message établi à 14 heures le 15 février 1975, est adressé à notre commandant de compagnie et ce message fait état de nos premières investigations et constatations.

Etat des lieux et constatations
Selon les dires de Mme S[-] Marie, l'endroit où l'objet a été observé se situe sur le piton Calvaire, territoire de la commune de Petite-Île à la Réunion, à 300 mètres à l'ouest de l'agglomération. Ce piton, couvert sur ses versants de bois de filaos, comporte un plateau cultivé, traversé nord-sud par le chemin du cratère qui dessert quelques cases dissimulées dans la verdure. Compte tenu de l'imprécision du lieu et en raison du relief parfois rocailleux et broussailleux au sol, l'exploration du piton s'avère difficile. Nous ne découvrons aucune trace ou indice laissés éventuellement par le passage d'un objet volant non identifié.

reunion-antoine-severin.jpg

Antoine Severin à l'endroit de l'apparition-Reunion-1975


Enquête
Le 15 février 1975 à 10 h 30, les gendarmes C[-] et C[-] se transportent au domicile de M. S[-] Maximin où se trouve son fils Antoine. Ils s'entretiennent quelques minutes avec l'observateur, celui-ci est alité. Ils constatent que l'intéressé est dans un état de prostration incontestable, ses yeux grands ouverts fixent l'inconnu. Sa mère présente, lui annonce la visite des enquêteurs, il tressaille. Aux questions qui lui sont posées, S[-] ne peut répondre de vive voix. Avec beaucoup d'acharnement par gestes, il décrit avec ses mains une forme ronde et allongée qui brille. Pour expliquer ce fait, il porte plusieurs fois ses mains horizontalement vers ses yeux.

Il montre ensuite quatre doigts de sa main indiquant ainsi qu'il y avait quatre passagers vêtus de blanc et désigne pour cela le drap de son lit. Sa main se maintient à environ un mètre du plancher indiquant la taille des sujets. Des explications muettes, il apparaît que trois personnages équipés d'antennes étaient au sol groupés près d'une échelle à trois marches, le quatrième se trouvait dans la sphère ou coupole. De sa position allongée, S[-] Antoine fait une esquisse de l'engin qu'il a aperçu. Il termine sa démonstration en portant d'abord ses mains aux oreilles, puis au front et ensuite aux yeux. Sa face est grimaçante, il peut alors émettre un sifflement aigu, de très bas en crescendo tout en faisant tourbillonner l'index de sa main droite pointée vers le plafond, expliquant alors que l'engin s'élevait et disparaissait.

Au préalable en décrivant les trois sujets, S[-] Antoine a élevé verticalement les deux index à 20 centimètres au-dessus de sa tête précisant qu'ils étaient équipés de courtes antennes et que celles du troisième ont bougé. A l'issue de l'entretien, S[-] Antoine, très agité, ne s'aperçoit plus de la présence des deux militaires dans la pièce.

Le 16 février 1975 à 9 heures, le lieutenant-colonel, commandant le groupement de gendarmerie de la Réunion, informé la veille des faits par notre commandant de compagnie nous ordonne d'effectuer une enquête, de rédiger un questionnaire OVNI et de procéder à diverses vérifications, notamment auprès des services de la tour de contrôle de l'aéroport de Gillot Saint-Denis, afin de connaître si des avions ou hélicoptères étaient en vol
le 14 février 1975 entre 12 heures et 14 heures. Les instructions émanant de cette haute autorité sont exécutées dans le courant de la matinée du 16 février 1975. Aucun aéronef n'a survolé le département de la Réunion aux dates et heures indiquées. A noter que le 14 février 1975, à 13 heures, heure de l'apparition de l'OVNI, le temps était clair, le ciel dégagé, le soleil non voilé se trouvait pratiquement au zénith, il n'y avait pas de vent, aucune précipitation de pluie n'a eu lieu depuis le 10 février 1975. Le 16 février 1975 à 15 heures, S[-] Antoine est toujours dans un état second, il n'a pas retrouvé l'usage de la parole et de plus sa vue s'est considérablement affaiblie. Il peut faire quelques pas et toujours par gestes tente quelques explications concernant l'OVNI. Nous comprenons alors que cet engin ne touche pas le sol au moment de l'observation et s'est stabilisé à environ 1,50 mètre de la surface.

S[-] Antoine explique que s'approchant du lieu de l'apparition, il a été attiré par des sons "bip-bip" qu'il peut prononcer une douzaine de fois. Il a cherché à savoir d'où venaient ces bruits et a ainsi découvert la soucoupe au fond d'un champ, sur sa droite à une distance de 15 à 20 mètres. S[-] saute à pieds joints pour nous faire comprendre la démarche de trois petits bonshommes se déplaçant sur la terre. Ceux-ci ont rejoint la passerelle qui s'est escamotée sous l'engin. Il explique avoir été renversé par une décharge lumineuse au moment où le troisième sujet qui lui a fait face a actionné ses antennes, les deux autres étant de profil.

st-denis-reunion-1977.jpg

En 1976, un gendarme se retrouve stoppé à St Denis par un nuage étrange. Photo de l'endroit-Réunion

S[-] s'est alors enfui en retroussant son pantalon. Le dialogue avec l'observateur s'avère fastidieux, notamment lorsque nous lui demandons de situer l'endroit de l'apparition. Nous remarquons alors qu'il ouvre plusieurs fois ses mains, sans en comprendre la signification. Un membre de sa famille nous apporte alors un dictionnaire franco-anglais, sur la page de garde vierge, S[-] a tracé au crayon l'objet qu'il a observé mais aussi une sorte de plan des lieux, lequel trop imprécis s'avère inexploitable par nos soins. Le dessin esquissé sur le Larousse, le 14 février 1975, peu après l'observation, est semblable à celui exécuté le 16 février 1975. L'objet volant non identifié a la forme d'un chapeau, type coiffure de la police montée canadienne. Deux hublots rectangulaires apparaissent à la partie supérieure; sous la soucoupe se trouve inclinée une courte échelle comportant trois marches.

Le 17 février 1975 à 8 heures, toujours très agité, encore dépourvu de la parole et de la vue, S[-] Antoine voudrait nous amener sur les lieux de l'observation mais, accompagné d'hommes armés. L'intéressé veut prouver sa bonne foi, mais ce transport est différé en raison du handicap physique du témoin. Avant tout, ce jeune homme doit être remis en confiance. Au début, son histoire a provoqué une certaine hilarité dans son village, puis il a fallu se rendre à l'évidence que les dires de S[-] Antoine pouvaient être pris au sérieux. Les renseignements complémentaires recueillis à son sujet indiquent qu'il est parfaitement équilibré. Plusieurs personnes entendues verbalement, semblent être convaincues de l'existence des soucoupes volantes, ou ne rejettent pas catégoriquement la possibilité de telles apparitions. Le même jour à 9 heures, nous contactons le responsable de la station météorologique de Gillot. il est porté à notre connaissance que dans le département de la Réunion, il n'est pas procédé au lâcher de ballons sondes. En outre, le président de l'aéro-club du Sud nous indique qu'aucun avion n'a décollé de la piste de Pierrefond Saint-Pierre le 14 février 1975 durant la journée.

A 11 h 45, nous rendons compte de la progression de l'enquête à notre chef de corps à Saint-Denis et l'informons de ce que le commandant L[-], directeur de la protection civile, doit se déplacer à Petite-Île. L'officier supérieur de la gendarmerie nous signale qu'il se rendra à Petite-Île le 18 février 1975, à 9 h 30.

A 18 heures, le 17 février 1975, téléphoniquement, le docteur H[-], remplaçant de son confrère T[-] nous dit avoir examiné S[-] Antoine dans la journée et que son diagnostic n'est pas alarmant. Le patient est difficile à questionner et peut rester dans l'état d'anxiété actuel, dû à un fort choc émotionnel, de trois jours à trois mois. L'état général est bon, le plus grand repos lui est conseillé sinon l'intéressé devra être confié à un psychiatre. Les autorités annoncées arrivent à Petite-Île le 18 février 1975 à 9 h 30 et sont conduites auprès de S[-] Antoine. L'intéressé alité, a la tête enfouie dans des coussins et serviettes de toilette. Au bout de quelques minutes et malgré une mise en condition précaire, S[-] Antoine se soumet sans difficulté à l'interrogatoire du lieutenant-colonel commandant le groupement de la gendarmerie.

Les gestes précisant l'OVNI et ceux de l'équipage sont les mêmes que ceux enregistrés les jours précédents. Parallèlement le commandant L[-], muni d'un appareil Geiger procède à une détection de radioactivité sur la personne et les vêtements de l'observateur. Le résultat est négatif. S[-] Antoine, plein de bonne volonté, veut conduire les personnes intéressées sur le plateau du Piton-Calvaire, mais doit y renoncer en raison de sa cécité. C'est alors qu'il nous fait comprendre qu'une voisine, Mme F[-] Albert, présente lors du récit initial, serait en mesure de nous emmener dans le champ de maïs où il a aperçu l'OVNI. Cette personne nous rejoint rapidement et nous dit avoir remarqué trois trous dans le sol. Elle nous guide à l'endroit indiqué, qui se situe non loin de son domicile près du chemin cratère, soit dans le périmètre englobant le plan dressé par le témoin quelques heures après l'observation.

En l'absence du témoin principal, nous nous fions aux dires de Mme F[-]. Cette personne se dirige dans un champ d'une superficie de 13 ares environ, propriété de Mme O[-]. Le sol est dénudé, mais quelques souches de maïs subsistent. Dans l'angle nord-ouest, Mme F[-], accompagnée de ses deux filles retrouve finalement l'emplacement des trois trous qu'elle dit avoir remarqués au début de la matinée du 15 février 1975. Ils sont espacés d'un mètre et disposés en triangle isocèle.

Ils n'ont pas de forme bien précise en raison de la friabilité de la terre et se confondent avec d'autres cavités ayant la même grosseur semblables à de petits bols profonds de 2 à 3 centimètres, très évasés. Ces creux répartis sur une grande surface du terrain semblent avoir été occasionnés par des oiseaux cherchant de la nourriture. La recherche d'autres indices s'avère d'autant plus compliquée que le sol a été largement foulé par des pas humains, plus particulièrement durant les journées des 15 et 16 février 1975. Le contrôle de la radioactivité effectué à cet endroit par le commandant L[-] est négatif.

Le 19 février 1975 à 22 h 45, au bureau de notre brigade, sommes avisés par M. S[-] Maximin que son fils Antoine a retrouvé, dans la soirée, l'usage de la parole et a retrouvé la vue. L'observateur désire que sa déposition soit rapidement enregistrée car il craint de ne pouvoir rester lucide très longtemps. A cet effet, l'audition de l'intéressé est recueillie à 23 h 50. Pendant près d'une heure, le gendarme enquêteur doit écouter le déroulement des faits vécus par S[-] Antoine le 14 février 1975 vers 13 heures. Il ne se souvient pas être resté six jours dans un état comateux et réalise péniblement cette vérité apportée par les siens. Au cours du récit qui reflète parfaitement les explications fournies par gestes, S[-] Antoine a des coupures. C'est-à-dire que pendant quelques secondes il retombe dans un état second. Lorsqu'il reprend ses esprits son corps tressaille. Il dit alors avoir été en communication avec l'objet, il veut nous conduire sur les lieux de l'observation. En raison de la nuit complète et de l'état de fatigue de l'intéressé, ce transport est reporté au début de la matinée du 20 février 1975.

Nous mentionnons qu'au début de notre entretien, S[-] Antoine porte à notre connaissance que deux jours avant l'apparition, il avait déjà entendu, dans un rêve, les sons "bip-bip" et que cela l'avait intrigué et énervé. Cet élément précurseur des faits est vraisemblable car un habitant de la commune de Petite-Île avait remarqué les 12 et 13 février 1975, l'attitude peu communicative de l'intéressé qui travaillait dans le magasin de son employeur, M. Gabriel A[-] L'observateur précise que l'échelle à trois marches en forme de porte ne touchait pas complètement le sol, que le premier personnage, genre nain Michelin, portait un instrument brillant et le second une sorte de sachet ou cornet également étincelant. Il ne les a pas vus en action de prélèvement d'échantillons de terre. Il a remarqué qu'ils se déplaçaient plus facilement sur l'échelle au contact du métal que sur le sol où leur démarche était gauche.

A 8 h 30, le 20 février 1975, S[-] Antoine, fermement décidé à nous montrer le lieu de l'apparition de l'OVNI, prend place dans la jeep de la brigade de Petite-Île conduite par le gendarme C[-] M. S[-] Maximin est présent, il accompagne son fils sur le chemin de terre aboutissant au sentier qui conduit aux habitations des S[-] et tape sur l'épaule du chauffeur, lui indiquant ainsi le champ de maïs déjà prospecté par les enquêteurs le 18 février 1975. S[-] Antoine fait quelques pas dans le champ, son regard dirigé vers le fond de la parcelle près du bois de filaos, il s'arrête subitement, porte les mains à ses oreilles en appuyant très fort, puis il vacille s'écroulant sur le sol.

huma7a.jpg

Dessin d'après Luce fontaine-Reunion

Son pouls retentit faiblement, ses mains sont froides, ses yeux se révulsent. il est immédiatement ramené chez lui et ne reprend partiellement ses esprits que trente minutes plus tard. Il explique alors qu'une force inexplicable l'empêche d'avancer en direction du lieu précis où il a observé l'objet volant non identifié. Sur prescription du docteur L[-], S[-] Antoine doit être examiné par un psychiatre à l'hôpital Saint-Paul. L'intéressé accepte ce contrôle mais veut être accompagné par sa mère. A 8 h 55, le lieutenant-colonel commandant le groupement de gendarmerie de la Réunion est mis au courant des évolutions de l'enquête et plus particulièrement du comportement physiologique de l'observateur. Le même jour nous apprenons que S[-] Antoine, examiné à l'hôpital psychiatrique de Saint-Paul, a regagné son domicile dans le courant de la matinée.

Un deuxième contrôle de la radioactivité est effectué le 20 février 1975 sur la personne de S[-] Antoine, soit six jours après l'apparition supposée de l'engin non identifié. Le commandant L[-] n'a pas décelé de présence de radioactivité.

Au cours de l'enquête, plusieurs personnes ont été entendues notamment l'employeur, la fiancée, les compagnons de l'observateur ainsi que le maire de la commune de Petite-Île. Unanimement, elles dépeignent S[-] Antoine comme un garçon sérieux, honnête, sobre et jouissant de l'estime générale. L'audition de Mme S[-] Marie confirme sa déposition verbale du 15 février 1975 ayant motivé l'ouverture d'une enquête. Celle de Mme F[-] Marie précise que l'intéressée a été témoin d'un deuxième malaise survenu à S[-] Antoine le 22 février 1975 alors qu'il s'approchait du lieu où il avait observé la soucoupe volante. Malaise analogue à celui du 20 février mais d'une durée de deux heures. Dans divers témoignages, tant verbaux qu'écrits, il est précisé que S[-] Antoine n'est pas passionné de télévision (il n'en possède pas), ni de lectures à caractère scientifique ou humoristique traitant des soucoupes volantes ou autres phénomènes extra-terrestres.
 
Enfin le 24 février 1975 à 16 h 30, au cours d'une interview officielle accordée à un journaliste de Saint-Denis de la Réunion, S[-] Antoine accepte de se rendre sur le terrain du Piton-Calvaire. Aucune objection n'est formulée par les membres de sa famille. Arrivés à destination, c'est-à-dire dans le champ décrit plus haut, l'observateur, dès qu'il foule le sol, est victime d'une syncope inexplicable. Comme les deux fois précédentes il est possédé, semble-t-il, par la vision initiale, qui l'a profondément choqué. L'observateur agite ses mains parallèlement au sol, ses yeux se révulsent, son pouls ralentit et les extrémités des membres refroidissent. Ramené à sa demeure, il reprend ses esprits trente minutes plus tard.

Entendu à nouveau le 25 février 1975, S[-] Antoine ne peut expliquer ses pertes de connaissance chaque fois qu'il se rend sur place. Il entend encore les sons "bip bip", l'obligeant à se boucher les oreilles. Il affirme n'avoir jamais entendu parler d'une soucoupe volante aperçue en 1968 dans la plaine des Cafres (île de la Réunion) et déclare ne pas lire ou feuilleter des revues de science fiction.

De l'enquête effectuée, il ressort que S[-] Antoine, de bonne conduite et moralité, normalement équilibré, n'est pas un simulateur. Les personnes entendues ne croient pas à une hallucination de l'observateur et ses dires sont pris au sérieux. D'ailleurs deux personnes dignes de foi ont été témoins de l'observation d'un objet volant non identifié dans le ciel réunionnais. Il s'agit de M. P[-] Guy, déjà entendu, qui a aperçu

Suivi archeologie 2 - 2011 updated 2015

Suivi archeologie 2

Suivi archéologie 2 - Update 02-2015

jerusalem-v.jpg

Une découverte surprenante a été récemment faite par des archéologues israéliens lors d'une fouille à Jérusalem. Ils ont trouvé trois gravures en forme de V, mesurant chacune 50 cm, à l'intérieur d'un dédale de pièces creusées à même le roc.

«Ces marques sont vraiment étranges, vraiment intrigantes, a expliqué Eli Shukron, l'un des responsables de la fouille. Je n'ai jamais vu de marques comme celles-là.»

"Selon un article de l'AFP, les archéologues sont à ce point surpris par cette découverte qu'ils ne sont pas en mesure d'avancer une hypothèse sur l'origine ou la fonction de ces gravures vieilles d'au moins 2800 ans
L'équipe d'archéologues a consulté quelques autres experts afin de percer le mystère, mais sans succès, les gravures demeurent toujours énigmatiques. Cette absence d'explication est inusité dans le monde de l'archéologie puisque les chercheurs arrivent habituellement à développer une théorie au sujet de la nature d'une trouvaille inattendue. (YH : théories misant sur le mythe quand il n'y a pas d'explications !)


Cette découverte a eu lieu pendant l'excavation des fortifications qui entourent la seule source d'eau de la Cité de David, le plus vieux quartier de Jérusalem. Les archéologues s'attendent à découvrir une autre marque du genre au cours de leurs recherches. Ils ont en leur possession une carte ancienne produite lors d'une expédition menée sur ce site au début du siècle dernier. Sur l'un des couloirs souterrains, un V y est dessiné."

Les archéologues doivent faire appel à d'autres compétences pour étudier ce qu'ils découvrent, c'est évident... par exemple, ils devraient savoir que le V dans la kabbale vaut 6 : nous avons donc là peut-être un "666" connu... mais est-ce bien des V en fait ? Car aucun n'est gravé de la même façon si on regarde bien. Des gravures au sol ou des encoches dans ce dernier pour soutenir un objet encastré dedans et qui a disparu ? Une étude des particules contenues dans ces rayures pourraient peut-être permettre de voir si un objet ou autre y a été introduit...

 Update : Où en est cet archéologue très impliqué aujourd'hui ? :

" Dans le deuxième livre de Samuel, il est écrit que le roi David s'empara de Jérusalem, alors sous contrôle Jébuséens, en utilisant une conduite d'eau souterraine, un puits, pour pénétrer les défenses de la ville.

Aujourd'hui, un archéologue israélien croit qu'il a découvert ce tunnel d'eau, ainsi que la citadelle légendaire du roi David, a rapporté Associated Press.

L'Archéologue biblique Eli Shukron, anciennement avec l'Autorité des Antiquités d'Israël, a déclaré à l'AP que sa fouille a découvert un puits étroit où l'eau coulait et où ceux qui vivaient à Jérusalem vennaient puiser de l'eau. Le tracé du tunnel conduit jusqu'à l'enceinte de la ville, au point où il croit que les forces de David ont eu accès à Jérusalem.

Archaeologist eli shukron ap puits

(AP/Sebastian Scheiner)

Shukron a déclaré à l'AP que dans son estimation, aucune autre structure dans la région ne correspond à la citadelle que David a capturé dans sa conquête.

L'AP a rapporté : La fouille de Shukron, qui a débuté en 1995, a révélé une fortification massive de pierres de cinq tonnes empilées sur 21 pieds (6 mètres) de large. Des tessons de poterie mis au jour ont aidé les murs de fortification à être datés à 3.800 années. Ce sont les plus grands murs trouvés dans la région d'avant l'époque du roi Hérode, le constructeur ambitieux qui a élargi le complexe du Second Temple juif à Jérusalem il y a près de 2100 années.

Archaeologist eli shukron ap

(AP/Sebastian Scheiner)

La fortification, construite 800 années avant que le roi David ne s'empare du Jérusalem des Jébuséens - est soupçonnée avoir protégé l'accès à l'eau de la ville.

Shukron a dit que ses conclusions correspondent à des indices dans le récit biblique sur la conquête de David de la ville à partir de cet emplacement particulier.

" C'est la citadelle du roi David, c'est la citadelle de Sion, et c'est ce que le roi David a pris aux Jébuséens ", dit Shukron. " L'ensemble du site, nous pouvons le comparer à la Bible parfaitement."

Mais un autre archéologue qui a été autorisé à travailler avec Shukron, a dit que plus de tessons de poterie de l'époque du règne du roi David, lors du 10ème siècle avant JC, auraient dû être trouvés sur le site, afin de placer la trouvaille plus définitivement à cette époque.

" La connexion entre l'archéologie et la Bible est devenue très, très problématique ces dernières années ", a déclaré l'archéologue Ronny Reich.

Shukron dit qu'il a trouvé deux morceaux de poterie datés proches de ce moment-là, qu'il croit être dus à leur utilisation continue dans le secteur et que les anciennes pièces de poterie auraient été autorisées à sortir (ailleurs) dans les années intermédiaires.

" Je connais chaque petite chose dans la ville de David. Je ne vois pas dans aucun autre lieu une énorme fortification comme cela ", a déclaré Shukron.

Doron Spielman, vice-président de la Fondation à but non lucratif Elad, qui supervise le parc archéologique de la Cité de David, dit à l'AP, " Nous ouvrons la Bible et nous voyons comment l'archéologie et la Bible se réunissent en ce lieu. "

Shukron a fait des fouilles dans la Cité de David - qui est située à Jérusalem-Est - pendant deux décennies. Alors qu'Israël considère Jérusalem comme une ville unie qui est sa capitale, les Palestiniens de Jérusalem-Est la revendiquent comme leur future capitale. Pratiquement tous les lieux saints, y compris l'Eglise du Saint-Sépulcre, le Mur occidental et le Mont du Temple, sont situés dans la vieille ville, qui est dans la partie orientale de la ville...

Un outilutilise pour le secondtemple peut etre chisel tazpit

Archaeologist Eli Shukron believes this chisel was used during construction of the Second Temple. The ruler below shows its length in centimeters. (Photo: Clara Amit, Israel Antiquities Authority via Tazpit News Agency)

Shukron était dans les nouvelles du mois dernier après avoir déclaré qu'il croyait avoir trouvé un ciseau utilisé dans la construction du Second Temple, une découverte que les médias israéliens ont décrits comme «extraordinaire» et «étonnante»...

Source : http://www.theblaze.com/stories/2014/05/06/israeli-archaeologist-believes-hes-found-a-biblical-site-linked-to-king-david/

Septembre 2014, le découvreur explique sa trouvaille

UNE ÉCRITURE CUNÉIFORME RARISSIME TROUVÉE SUR L'ILE DE MALTE

Des fouilles, dans ce que de nombreux spécialistes considèrent comme les plus anciens bâtiments sur l'île de Malte, continuent de dévoiler des surprises et soulèvent de nouvelles questions sur la signification de ces structures mégalithiques et sur les gens qui les ont construit.

malta-inscription2.jpg

La pierre d'agate avec des inscriptions cunéiformes. Crédit: Cultura Italia 

La dernière découverte concerne une petite et rarissime pierre d'agate en forme de croissant de lune comportant une inscription cunéiforme du 13ème siècle avant notre ère; c'est normalement un genre épigraphique que l'on retrouve beaucoup plus à l'est en Mésopotamie.

Dirigée par le professeur de paléontologie, Cazzella Alberto, de l'Université de Rome «La Sapienza», l'équipe archéologique a trouvé la pierre avec l'inscription lapidaire dans le sanctuaire de Tas-Silg, un temple mégalithique construit à la fin du Néolithique, et qui a été utilisé à des fins religieuses et cérémonielles depuis le troisième millénaire avant JC jusqu'à l'époque Byzantine.

Après traduction, il s'avère que l'inscription est une dédicace au dieu-lune mésopotamien Sin, le père de Ninurta, qui, pendant des siècles, a été la principale divinité vénérée, beaucoup plus loin à l'est, dans la ville de Nippour en Mésopotamie.Nippour était considérée comme une ville sainte et un lieu de pèlerinage avec une école de scribes qui a généré des textes littéraires.L'emplacement de la découverte, fait de cette ancienne écriture la plus éloignée jamais trouvée à l'ouest, soulevant des questions sur la façon dont elle s'est retrouvée dans cet emplacement aussi distant.

Certains chercheurs émettent l'hypothèse que la pierre avait probablement été volée dans un temple de Nippour au cours de conflits militaires et ensuite transportée vers l'ouest par des marchands chypriotes ou mycéniens dont on pense qu'ils ont pu avoir avoir des relations commerciales avec la Méditerranée centrale à l'époque.

Par ailleurs, une inscription cunéiforme sur une agate devait avoir une grande valeur durant l'Age du bronze tardif; aussi, sa présence dans le site de Tas-Silg, d'après certains chercheurs, suggère que le sanctuaire avait une signification dont l'importance ne s'arrêtait pas à la population qui vivait sur Malte à cette époque. Le sanctuaire est déjà connu pour avoir été un important lieu de culte dans la région méditerranéenne au cours des époques phéniciennes et romaines.

Source: Popular Archaeology: "Rare Cuneiform Script Found on Island of Malta"

Update : un document (en anglais) très intéressant sur les sites fortifiés de l'Age du Bronze dans le sud de l'Italie et en Sicile par le même auteur :

http://www.academia.edu/7530012/Bronze_Age_fortified_settlements_in_southern_Italy_and_Sicily

 "La Révélation des Pyramides" 2009-2011

Pour les passionnés, curieux, et dans le soucis de préserver le droit à la connaissance et à la culture, voilà, présentée en vidéo, de nouvelles théories concernant les pyramides, ainsi que sur l'existence d'un tronc commun à la plupart des antiques civilisations du monde, via des "couloirs" civilisateurs faisant le tour du monde très précisément. Ces "couloirs civilisateurs" (c'est moi qui invente ce terme) semblent constants et non-liés au Temps : les mêmes choses se produisent en quelque sorte dans ces couloirs à des époques différentes, mais qui se complètent en quelque sorte l'une les autres... Une chose étonnante (je ne connaissais pas ce documentaire) est que le tracé du "couloir civilisateur" principal - un peu comme un équateur disposé autrement que le notre actuel - est pratiquement identique à la "Pierre du Monde" trouvée en Equateur et décrite dans deux autres articles présents sur ce blog ! :

 

Equateur-mana_6.jpg

"Pierre du Monde" trouvée en Equateur dans un souterrain

http://sciences-fictions-histoires.com/blog/preuves-autre-histoire/beaucoup-d-artefacts-etranges-trouves-en-equateur.html


Notez que ce documentaire d'origine française a été diffusé dans plusieurs pays du monde mais pas dans les pays francophones et n'est pas prévu à la vente non plus dans ces derniers. Ces liens étaient sur Dailymotion, peut-être provisoirement, avec une version inédite sous-titrée en français. De très belles images et la construction d'une théorie en grande partie basée sur les mathématiques et l'astronomie (la plupart des calculs et formules tirées de la Grande Pyramides ne sont pas nouveaux (la coudée égyptienne + Pi + le Nombre d'Or + la vitesse de la lumière !)) et l'étude précise de certaines constructions typiques mégalithiques, qui sont effectivement parfaitement identiques dans 7 endroits différents du monde très éloignés, l'étude de certains artefacts révèlent les preuves de l'utilisation de l'électricité de façon plus moderne qu'on ne le pense encore actuellement...

alignement1.jpgalignement2.jpgalignement3.jpg

Les interviews de plusieurs sommités scientifiques françaises ou non, nous montrant parfois un peu trop l'acharnement de certains à faire appel aux coïncidences ou hasards quand les explications précédentes logiques "tombent", voir même la surprise et l'inquiétude quand un artefact assimilé à un support de vase en forme de fleur de lotus se révèle, aux rayons X, être pourvu de mécanismes proches de ceux d'un support d'ampoule électrique... Ces images expliquent peut-être la non-disponibilité de ce reportage en France (il date de 2009 à priori et n'inclus donc pas la dernière découverte de hiéroglyphes cachés dans la Grande Pyramide de cette année 2011)...

Le reste de la théorie m'a semblé beaucoup plus complexe et inachevée en final : je suis resté plutôt sur ma faim et indécis, voir peu convaincu. Si les Grands Anciens avaient voulu nous laisser un message concernant une destruction cyclique de la Terre, suite à leur propre destruction, ne nous auraient-ils pas en premier lieu indiqué l'instant temporel précis de cette destruction mondiale ? D'après la théorie (et qui rejoint donc plus ou moins les théories "2012"), les Grands Anciens ont, à travers plusieurs monuments, dont la Grande Pyramide (qui est encore à l'heure actuelle, avec quelques autres murs cyclopéens, le seul bâtiment en surface capable de résister aux séismes extrêmes), laissés des messages à travers des données mathématiques et architecturales pour les civilisations futures (ou leurs descendants survivants). Leurs trouvailles mènent à priori à un avertissement concernant le grand cycle de l’équinoxe cosmique de 26.000 ans, chose que les Anciens n'étaient pas censés connaître, mais pour l'instant sans vraiment nous aider à situer la catastrophe dans le temps par rapport à ce cycle connu, donc notre propre situation temporelle vis-à-vis de ce dernier et de la prochaine catastrophe...

Les déductions mathématiques (situation d'un autre équateur et d'autres tropiques, donc d'autres endroits pour les pôles) font apparaître un basculement de la Terre sur son orbite de 30% au moment de la précédente catastrophe, nous amenant à la situation présente avec notre équateur et pôles à leurs places actuelles... Cette théorie à l'avantage d'expliquer beaucoup de mystères de la préhistoire, à commencer par la congélation instantanée des mammouths sibériens : il a été prouvé qu'une grande partie était tranquillement en train de manger de l'herbe bien grasse quand ils ont été congelés en quelques minutes. Un déplacement rapide des Pôles ou de la masse d'air très froid qui l'accompagne peut expliquer le phénomène. Un tel basculement engendrerait également un gigantesque tsunami, faisant le tour de la Terre plusieurs fois et noyant absolument tout, de grands séismes et volcanisme associé, un changement climatique dans pratiquement toutes des régions de la Terre (avec cyclones et tornades assorties...).

j-l-basdevant.jpg

Très intéressant en tout cas, avec aussi, trop rares, les avis d'ingénieurs et de scientifiques autres que des archéologues (attention, les avis de ces derniers sont bien sûr importants, mais pas uniques et souvent trop restreints à leur spécialité), surtout des spécialistes de la construction et de la pierre. Donne à réfléchir en tout cas, et confirme le fait que les spécialistes officiels sous-estiment complètement les capacités de l'être humain à des périodes reculées...

Update sur les données liées aux reportages "La Révélation des Pyramides" : se reporter aux déclarations de Patrice Pooyard et Jacques Grimault, les réalisateurs/auteurs et réfléchir par soi-même sans influences... :

https://www.facebook.com/notes/451608874900767/

https://www.facebook.com/LaRevelationDesPyramidesParPooyardEtGrimault

Yves Herbo traductions (de l'italien et anglais), Sciences, F, Histoires, 12-2011, update 27-02-2015

Sur les traces du tsunami perdu

Sur les traces du tsunami perdu

SUR LES TRACES DU ‘TSUNAMI PERDU’

 

tsunami.jpg

"PLUSIEURS SCIENTIFIQUES ET VOLCANOLOGUES ITALIENS TENTENT ACTUELLEMENT DE RÉUNIR UN MAXIMUM DE PREUVES POUR CONSOLIDER UNE NOUVELLE HYPOTHÈSE GÉOLOGIQUE MAJEURE : UNE ÉRUPTION DE L’ETNA JUSQUE LÀ INCONNU, IL Y A 8000 ANS AURAIT ENGENDRÉ UN TSUNAMI GÉANT ET DÉVASTATEUR POUR LES PAYS CÔTIERS DE L'ENSEMBLE DE LA MÉDITERRANÉE, RAVAGEANT TOUT SUR SON PASSAGE, DE L’AFRIQUE JUSQU’À LA TURQUIE !


Une énigme intrigue depuis longtemps les géologues : une traînée de sédiments, longue de plusieurs centaines de kilomètres, relie la Sicile à l’Afrique du Nord. La thèse officielle explique qu’il s’agit des débris de l’explosion du volcan de l’île Santorin, survenue il y a 3600 ans. Mais pour Maria Pareschi et ses collègues italiens de l’Institut National de Géologie et de Volcanologie, ce serait plutôt les restes d’une autre éruption beaucoup plus vieille, celle de l’Etna.

Et les sédiments analysés au carbone 14 fixent la date du cataclysme à environ - 8 000 ans. La colère du volcan aurait alors déclenché un glissement de terrain à une vingtaine de kilomètres de la Sicile, engendrant un gigantesque tsunami et des vagues de plusieurs dizaines de mètres de hauteur. L’équipe de Maria Pareschi a entré ces nouvelles données dans un ordinateur pour proposer une simulation informatique du ‘Tsunami perdu’, nom de l’étude parue dans les colonnes de la revue ‘Geophysical Research Letters’.

Lors de l’éruption, le flanc Est du Mont Etna s’est effondré ; 6000 mètres cubes de roches se sont alors déversés dans la Méditerranée, à une vitesse de 350 kilomètres/heure. L’onde de choc s’est ensuite propagée en direction de l’Europe du Sud, de l’Afrique du Nord, et de l’Asie Mineure. « Le long du littoral calabrais, les vagues créées par le tsunami ont atteint des tailles allant jusqu'à 40 mètres. Les côtes de la Grèce et de la Libye ont été affectées par des vagues de 13 à 15 mètres de haut, tandis que les côtes de l'Egypte, la Syrie et d'Israël étaient inondées par des vagues de 4 mètres » explique Pareschi.

tsunami2.jpg

« Selon les simulations informatiques des géologues, le mégatsunami aurait ravagé le littoral de 3 continents en moins de 4 heures ! »

"L’Etna est le plus haut volcan d’Europe ; il culmine en effet à 3300 mètres d’altitude. Toujours en activité aujourd’hui, il est surveillé de très près par les vulcanologues du monde entier…"

Les côtes littorales de ces 3 continents ont donc été dévastées par le mégatsunami, mais il est compliqué de réunir les preuves d’un tel événement près de 8000 ans plus tard : « Il est difficile de réunir des preuves terrestres de la catastrophe, car depuis le niveau de la mer a augmenté d’environ 10 mètres. Mais sous l’eau, les preuves sont évidentes, notamment au niveau du plancher de la Mer Ionienne et des plaines abyssales d’Afrique » commente Maria Pareschi. Son équipe a effet mis en relief une liquéfaction des couches épaisses de sédiments marins sous la pression du mégatsunami. D’importantes coulées de boue sous-marines confirment également la réalité de la catastrophe antique. Plus important encore : la trace d’un ancien village brusquement abandonné il y a 8000 ans a été mise à jour sur le site de Atlit-Yam, dans l’actuelle Israël. La zone repose désormais par 10 mètres de fond à quelques centaines de mètres de la côte : tout indique que les habitants ont quitté précipitamment le village il y a environ 8000 ans, abandonnant provisions et effets personnels. Cela fait penser à une évacuation soudaine, que l’équipe de géologues et vulcanologues italiens explique par le déferlement du tsunami."

Sourcehttp://onlinelibrary.wiley.com/enhanced/doi/10.1029/2007GL031155/

Ce tsunami pourrait donc également justifier les traces marines (y compris fossiles récents) décelées jusque vers Giseh, s'il a pu remonter le Nil suffisamment loin... mais repousserait la construction du Sphinx et de certains temples Egyptiens à environ -6 000 ans avant J.C., puisque certaines de ces traces marines ont été trouvées au-dessus de ces temples. Plusieurs textes égyptiens mentionnent également de fortes inondations du Nil et des traces montrent qu'une grande partie de la nécropole a été inondée par le passé. On sait aussi que les côtes d'Alexandrie ont été ravagées par un tsunami, probablement celui provoqué par Santorin et qu'il existe des ruines et constructions englouties aussi bien dans le Nil que dans tout son delta et côtes. Evidemment, avec la découverte de ce tsunami antique supplémentaire dans la région, les défenseurs de l'Atlantide de Platon vont avoir de nouvelles dates et suppositions à faire...

 

Yves Herbo et Traductions, S,F,H, 12/2011, 02-2015

 

Panama, ses mystères et aussi un grenier précolombien ?

Panama, ses mystères et aussi un grenier précolombien ?

Panama, ses mystères et aussi un grenier précolombien ?

Venus with child statue from sitio barriles volcan chiriqui panama1

On sait assez peu de choses finalement sur les peuples qui vivaient entre le Mexique (c'est-à-dire les Aztèques quand les conquistadors sont arrivés) et le continent sud-américain où régnaient les Incas vaincus par Pizarro. A priori, tous les pays actuels entre le Mexique et la Colombie étaient occupés par diverses tribus autonomes passées de l'état de chasseurs-cueilleurs à celui d'agriculteurs entre 3000 et 2500 avant JC. Au Panama, il a été recensé 3 cultures principales ayant précédé l'arrivée des espagnols et qui se sont succédées tout en continuant toutes à exister localement, d'ouest en est. Archéologiquement parlant, il y a des traces très anciennes de l'homme à Panama puisque des outils de pierre (pointes de flèches et projectiles de poings) y ont été datés de 12.000 ans avant JC. Assez curieusement, c'est aussi à Panama que l'on a trouvé l'une des plus anciennes poteries de tous les continents américains, celle des cultures Monagrillos qui sont datées de -2500 à -1700 avant JC. Ces cultures ont apparemment évolué, comme beaucoup d'autres, vers le monolithisme monumental puisqu'on trouve des sculptures et tombes monumentales dans ces mêmes régions jusqu'aux dates de 900 après JC. Quand les espagnols y arrivent vers 1501, il y reste trois peuples et cultures distincts mais pratiquant le même type de monolithisme monumental, les peuples Chibchan, Chocoan et Cueva, avec une mention spéciale pour les magnifiques poteries polychromes du style Gran Coclé, sans oublier les statues grandeur nature de Barilles, le haut-lieu de la culture antique de Chiriqui. Le site a été initialement appelé ainsi à cause des multiples petits barils de pierre trouvés dans la région, bien que ceux-ci ont également été trouvés ailleurs, dans la vallée du Rio Chiriquí Viejo et au Costa Rica. Ce site est supposé avoir été autrefois un centre cérémonial avec une population résidentielle importante, entre 500-1000 individus. Il contient un petit monticule qui était autrefois associé à une rangée de 14 statues.

Barriles

Barriles

Dix de ces individus sont représentés comme des gens solitaires, tandis que quatre comprenait un individu souvent plus gras, plus grand, coiffé d'un chapeau conique et possédant des ornements, assis sur les épaules d'un homme nu, dont certaines de ces personnes portaient également des chapeaux coniques. De nombreux chercheurs ont interprété ces statues individuelles doubles comme une preuve de l'existence de groupes sociaux supérieurs et inférieurs dans Barriles. Un grand metate (mortier de meule) dont le pourtour a été orné par de minuscules têtes de pierre a également été interprété comme une preuve de violence ou de sacrifices humains dans le passé. (YH : mais, encore une fois, et comme souvent en Amérique Latine, il s'agit surtout d'interprétations de la part de scientifiques (influencés par la franc-maçonnerie dès le 19ème siècle), voulant à l'époque prouver le barbarisme et infériorité morale des civilisations anciennes, sans aucune preuve réelle... le problème étant que la notion de sacrifices humains est, de cette façon, passée dans les "à priori" et "connaissances" sur ces peuples (souvent fausses et encouragées par l'Eglise chrétienne malheureusement...)). Il faut tout de même rappeler ici que nous sommes très très loin d'avoir trouvé et prouvé les "nombreux et multiples sacrifices humains" revendiqués par certains ouvrages et affirmations sans aucune preuve (il y a en fait beaucoup moins de preuves de sacrifices humains dans les amériques... par rapport à l'Europe (voir en Espagne médiévale !)), mais principalement de l'interprétation...

Barilles1http://www.aroundtheworldineightyyears.com/travel-in-panama-barriles/

Statuesdebarrilesaumuseedepanama

quelques-unes des statues de Barriles visibles au Museo Antropológico Reina Torres de Araúz de la ville de Panamá

Une autre interprétation de la part de David Childress de History Channel : " En Amérique centrale, ils étaient connus comme les Olmèques. Nous avons visité leurs sites antiques au Mexique et sommes tombés sur quelque chose d'inattendu à Volcan, province Chiriqui au Panama (YH : en fait, Barilles et la ville de Volcan sont situés sur les flanc d'un volcan): la statue d'un prêtre chinois porté sur les épaules d'un guerrier africain. Lorsque nous avons consulté David Childress sur l'origine de la statue, il l'a reconnu comme incontestablement olmèque. Puis nous avons regardé autour du site, situé sur une petite propriété privée et les résultats, il y avait d'incroyables... pierres chargées magnétiquement, comme des cartes avec des coordonnées GPS exactes... où ce voyage nous a-t-il mené ? Nous avons remarqué que la ville voisine avait un nom juif, David. Et puis il regarda dans les légendes locales qui parlent d'un dieu du tonnerre qui, à la demande des indigènes, leur parlait à travers une boîte en or au sommet de la montagne. Serait-ce l'Arche de l'Alliance ? Des chercheurs indiquent qu'une grotte vers Volcan, Chiriqui, située sur le territoire de la République actuelle de Panama est précisément là où l'Arche a été cachée après avoir été "utilisée par les Phéniciens clandestinement en Amérique centrale par Malkiah".

Barrels1

 

Barrels12

Trois cultures distinctes ont habité ce seul domaine dans un laps de 2,600 années. Des cultures distinctes si leurs images et les artefacts sont indicatifs. Il est théorisé que l'une était asiatique et une autre venait d'Afrique sur le même laps de temps. Et puis les mayas vers environ 900 après JC...

Barrels11

 

Barilles2

Il y a aussi un certain mystère lié à la culture ou civilisation peu connue et découverte tardivement dite los Guerreros de Oro. Les cimetières débordant d'or trouvés à El Caño et à Sitio Conte pourraient en fait être l'équivalent de la Vallée des Rois panaméens... Une culture qui a emmené ses secrets et trésors dans ses tombes uniquement, trésors qui sont visibles en partie au Museo Antropológico Reina Torres de Araúz de la ville de Panamá, et dont vous avez quelques exemplaires photographiques ci-dessous (et lire l'article au sujet de cette découverte sur ce site via le lien ci-dessus) :

Photograph by David Coventry

Photograph by David Coventry

David Coventry

Photograph by David Coventry

Panama2

Panama4

Sitio barriles museum

Venus with child statue from sitio barriles volcan chiriqui panama1

étonnantes statues panaméennes, que l'on pourrait rapprocher de leurs équivalentes d'Inde ou d'Egypte... les légendes liées à des phéniciens voyageurs associées à ces statues font indubitablement méditer...  et les datations qui s'étalent de -12000 ans à + 900 aussi, bien sur !

La Première preuve que les précolombiens ont entretenus de grands champs en Amérique centrale

par Juan Martín G., Tomás Mendizábal, Rainer Schreg, Dolores Piperno et Richard G. Cooke

introduction

Panama figure1 canauxantiques (Figure 1)

La photographie aérienne a été reconnue comme un outil précieux pour la prospection archéologique depuis près d'un siècle. Au cours des dernières années, cependant, elle a pris une importance croissante pour deux raisons : la disponibilité de photographies aériennes de haute qualité via Internet a facilité les enquêtes archéologiques même dans des zones reculées ; et ces perspectives archéologiques sur les anciennes sociétés humaines ont changé les problèmes écologiques modernes, ont stimulé un intérêt croissant pour l'archéologie du paysage. Dans cet article, nous rapportons l'identification par Rainer Schreg de la première preuve de fossiles de structures sur le terrain de Chinina, Panamá oriental, à l'aide de photographies aériennes en ligne. Cette découverte est le résultat d'une recherche systématique inspirée par un projet précédent, portant sur la période coloniale, qui a soulevé des questions au sujet de la dynamique des paysages régionaux (Figure 1).

Au Panama, les études paléoécologiques ont d'abord été effectuées par Dolores Piperno et son équipe dans les années 1980 (Piperno 1985, 1994). Les résultats de cette recherche ont contribué à la connaissance du développement agricole en Amérique centrale et, en particulier, la manipulation et la domestication des plantes. Malgré l'importance des données panaméennes pour une discussion plus large du développement de l'agriculture en milieu tropical, il n'y a pas eu de travaux sur les tendances dans le pays des pratiques agricoles et sur l'utilisation des terres.

Partout en Amérique du Sud, les créations des champs ont été documentés dans plusieurs régions. Ils sont bien connus en Colombie (Parsons 1966; Broadbent 1968; Plazas & Falchetti 1981; Plazas et al., 1993), l'Equateur (Parsons 1969; Bouchard & Usselmann 2006; Gondard 2006; Marcos 1987), le Pérou (Pozorski et al 1983) , Bolivie (Denevan 1963, 2001; Smith et al 1968; Erickson 1995, 1996), Venezuela (Zucchi & Denevan 1979; Gasson & Rey 2006) (Iriarte et al 2010, 2012; McKey et al., 2010) et le Surinam. Ils ont été documentés dans diverses régions climatiques des Andes à la côte des Caraïbes (Denevan 2001; Rostain 2008), et il peut y avoir eu plusieurs raisons pour que les gens construisent ces types de champs : ils atténuent les niveaux d'eau élevés dans les plaines inondables et peuvent contrôler le drainage de l'eau ; ils enrichissent le sol en nutriments frais ; et ils aident à contrôler le microclimat en influençant l'humidité et l'albédo (reflètant l'énergie solaire).

En ce qui concerne Panamá, l'exemple le plus proche géographiquement d'un système hydraulique vaste connu, réside dans les basses terres des Caraïbes de la Colombie. Ce système complexe couvre environ 500 000 ha de la plaine inondable de la rivière San Jorge (Parsons 1966; Plazas & Falchetti 1981; Plazas et al., 1993). Les recherches archéologiques approfondies ont daté la première occupation humaine dense de cette région et le début de la transformation du paysage au premier millénaire de notre ère (Plazas & Falchetti 1981; Groot 2009).

Comme les relations pré-hispaniques entre les plaines des Caraïbes de Colombie  et le Panamá oriental sont bien documentées, l'existence de champs surélevés au Panama n'est pas une surprise. En plus du commerce de l'or (Bray, 1984; Falchetti 1995; Cooke 1998) et d'autres biens, il y avait aussi un échange de symboles, des idées et des modes de vie.

Panama figure 2 canauxantiques(figure 2)

Champs surélevés dans le Chinina

Les photographies aériennes mises à disposition par Google montrent des structures élevées sur le sol près de Chinina, un petit village, à environ 55 km à l'est de Panama City, près de l'estuaire de la rivière Bayano, à quelques centaines de mètres de la côte du Pacifique. Les champs se trouvent sur la plaine alluviale de la rivière Bayano et des cours d'eau locaux adjacents (figure 2).

Les structures soulevées du terrain sont constituées d'au moins 22 blocs de bancs et des fossés parallèles. Les bancs ou les crêtes sont d'environ 50 mètres de longueur, 2,5 m de large et 0,6 m de hauteur. Entre les crêtes, il y a des canaux parallèles qui permettaient de protéger les cultures et retenir assez d'eau pour la saison sèche. L'ensemble du système est alimenté par un flux descendant de basses collines derrière la plaine alluviale.

Panama figure 3 canauxantiques(Figure 3)

Les crêtes les plus visibles couvrent une superficie d'environ 30 ha, mais il y a peut-être plus de complexes sur le terrain dans la zone environnante. Juste à 1,5 kilomètre à l'est-sud-est de la région décrite, il y a encore, bien que moins claires, des structures visibles sur les photographies aériennes (Figure 3).

Le paysage est aujourd'hui des pâturages avec de petites zones boisées, et il est principalement utilisé pour le pâturage du bétail. Les photographies aériennes des années 1970, cependant, montrent que la région était couverte de forêt tropicale dense. Les fortes précipitations d'environ 5000 mm par an, la proximité de la mer et les conditions des eaux souterraines locales se combinent pour signifier que la zone est inondée pendant la majeure partie de l'année. L'utilisation agricole a donc nécessité une transformation complexe du paysage.

Le complexe a été daté par radiocarbone à 570 ± 40 ans avant le présent (Beta 303616:. entre 1299-1428 après JC à 95,4%, date modélisée dans v.4.2 OxCal, en utilisant la courbe d'étalonnage IntCal13 (Bronk Ramsey 2009, Reimer et al 2013)) . Cela serait, chronologiquement, correspondant à la phase tardive de l'occupation pré-hispanique de la soi-disant culture Gran Darién (Martin 2002a, 2002b). En tant que concept, la Gran Darién décrit une «interaction de sphère culturelle», ou l'une des trois "zones de tradition sémiotique" différentes (voir Cooke 1973, 1976: 122, 1984: 263-65); elle a été créée en collaboration avec la Gran Coclé et la Gran Chiriquí afin de comprendre et expliquer la diversité culturelle évidente dans l'enregistrement archéologique préhispanique panaméen. Parmi les trois zones ou régions, Gran Darién est la moins étudiée par les archéologues, en raison principalement de facteurs pratiques et logistiques tels que la difficulté d'accès, le couvert forestier dense et, récemment, les conflits armés. (YH : c'est là où l'on se rend compte que nos spécialistes, armés de leurs seules doctrines liées aux datations de poteries associées à des cultures par exemple... sont complètement perdus quand ces doctrines ne tiennent pas la route à cause de la diversité culturelle et de la réutilisation de connaissances et même outils (et voyages) de plusieurs cultures et peuples différents à travers les âges...)

La présente enquête a été limitée aux zones où la visibilité était élevée, comme les pâturages et autres aires ouvertes. Il y a probablement plusieurs champs semblables à ceux identifiés au Chinina, ainsi que des sites d'occupation, ailleurs dans la région. Le défi pour la prochaine phase de recherche est d'identifier les zones d'occupation à l'intérieur et de caractériser ces domaines d'activités grâce à une vaste excavation.

Cette recherche promet de fournir une meilleure compréhension des techniques agricoles préhispaniques régionales et leurs influences culturelles. A cet effet, il sera nécessaire de poursuivre le traitement des données déjà recueillies et de mener d'autres campagnes sur le terrain pour résoudre les problèmes spécifiques liés à la Gran Darién. En outre, nous avons l'intention d'encourager la communauté locale de récupérer et utiliser ces techniques pour améliorer leur mode de vie et l'économie, et à développer des pratiques respectueuses de l'environnement dans cette région écologique fragile de Panamá.

Remerciements
Ce projet n'aurait pas été possible sans le soutien et le financement de la Fondation de recherche sur le Panamá antique et de son directeur, le Dr Patrick Simiskey. Nous avons également eu le soutien de l'Institut national de la Culture de Panamá et son directeur du patrimoine national, qui a autorisé l'enquête.

References
BOUCHARD, J.F. & P. USSELMANN. 2006. Espacio, medio ambiente y significado social de los camellones andinos, in Francisco Valdez (ed.) Agricultura ancestral. Camellones y albarradas. Contexto social, usos y retos del pasado y del presente. Quito: Ediciones Abya-Yala.

BRAY, W. 1984. Across the Darién Gap: a Colombian view of Isthmian archaeology, in F.W. Lange & D.Z Stone (ed.) The archaeology of lower Central America. Albuquerque: University of New Mexico Press.

BROADBENT, S.M. 1968. A prehistoric field system in Chibcha territory, Colombia. Nawpa Pacha 6: 135–47.

BRONK RAMSEY, C. 2009. Bayesian analysis of radiocarbon dates. Radiocarbon 51: 337–60.

COOKE, R.G. 1973. Informe sobre excavaciones en el sitio CHO-3, Miraflores, Río Bayano, Febrero 1973. Panamá: Dirección Nacional de Patrimonio Histórico, Instituto Nacional de Cultura.

– 1976. Panamá: Region Central. Vínculos 2(1): 122–40.

– 1984. Archaeological research in central and eastern Panamá: a review of some problems, in F.W. Lange & D.Z. Stone (ed.) The archaeology of lower Central America: 263–305. Albuquerque: University of New Mexico Press.

– 1998. Cupica (Choco): a reassessment of Gerardo Reichel-Dolmatoff’s fieldwork in a poorly studied region of the American tropics, in A. Oyuela-Caycedo & J. Scott Raymond (ed.) Recent Advances in the archaeology of the northern Andes: 91–106. Los Angeles (CA): Cotsen Institute of Archaeology.

DENEVAN, W.M. 1963. Additional comments on the earthworks of Mojos in northeastern Bolivia. American Antiquity 28: 540–45.

– 2001. Cultivated landscapes of native Amazonia and the Andes. Oxford: Oxford University Press.

ERICKSON, C. 1995. Archaeological methods for the study of ancient landscapes of the Llanos de Mojos in the Bolivian Amazon, in Peter W. Stahl (ed.) Archaeology in the lowland American tropics: current analytical methods and applications: 66–95. Cambridge: Cambridge University Press.

– 1996. Investigación arqueológica del sistema agrícola de los camellones en la cuenca del Lago Titicaca del Perú. La Paz: PIWA.

FALCHETTI, A.M. 1995. El oro del Gran Zenú. Metalurgia prehispánica en las llanuras del Caribe colombiano. Bogotá: Banco de la República.

GASSÓN, R. & J.C. REY. 2006. Cacicazgos cíclicos e intensificación agrícola en los Llanos Occidentales de Venezuela, in Francisco Valdez (ed.) Agricultura ancestral. Camellones y albarradas. Contexto social, usos y retos del pasado y del presente. Quito: Ediciones Abya-Yala.

GONDARD, P. 2006. Campos elevados en llanuras húmedas. Del modelado al paisaje camellones waru warus o pijales, in Francisco Valdez (ed.) Agricultura ancestral. Camellones y albarradas. Contexto social, usos y retos del pasado y del presente. Quito: Ediciones Abya-Yala.

GROOT, A.M. 2009. La visión precolombina del actual territorio colombiano, la ocupación humana y contactos interétnicos. Trayectoria de las comunicaciones en Colombia Tomo I: 5–29. Bogotá: Ministerio de Tecnologías de la Información y las Comunicaciones.

IRIARTE, J., B. GLASER, J. WATLING, A. WAINWRIGHT, J.J. BIRK, D. RENARD, S. ROSTAIN & D. MCKEY. 2010. Late Holocene neotropical agricultural landscapes: phytolith and stable carbon isotope analysis of raised fields from French Guianan coastal savannahs. Journal of Archaeological Science 37: 2984–994.

IRIARTE, J., M.J. POWER, S. ROSTAIN, F.E. MAYLE, H. JONES, J. WATLING, B.S. WHITNEY, & D.B MCKEY. 2012. Fire-free land use in pre-1492 Amazonian savannas. Proceedings of the National Academy of Sciences USA 109: 6473–478.

MARCOS, J. 1987. Los campos elevados de la cuenca del Guayas, Ecuador: El Proyecto Peñon del Río, in William M. Denevan, Kent Mathewson & Gregory Knapp (ed.) Pre-Hispanic agricultural fields in the Andean region (British Archaeological Reports 359): 217–24. Oxford: Archaeopress.

MARTÍN, J.G. 2002a. Excavaciones arqueológicas en el Parque Morelos (Panamá La Vieja), in B. Rovira & J.G. Martín (ed.) Arqueología de Panamá La Vieja—avances de investigación: 204–26. Panamá: Universidad de Panamá—Patronato Panamá Viejo.

– 2002b. Panamá La Vieja y el Gran Darién, in B. Rovira, & J.G. Martín (ed.) Arqueología de Panamá La Vieja—avances de investigación: 230–50. Panamá: Universidad de Panamá—Patronato Panamá Viejo.

MCKEY, D., S. ROSTAIN, J. IRIARTE, B. GLASER, J.J. BIRK, I. HOLST & D. RENARD. 2010. Pre-Columbian agricultural landscapes, ecosystem engineers, and self-organized patchiness in Amazonia. Proceedings of the National Academy of Sciences of the United States of America 107: 7823–828.

PARSONS, J. 1966. Ancient ridged fields of the San Jorge River floodplain, Colombia. Geographical Review 56: 317–43.

– 1969. Ridged fields in the Rio Guayas Valley, Ecuador. American Antiquity 34: 76–80.

PIPERNO, D. 1985. Phytolithic analysis of geological sediments from Panamá. Antiquity 49: 13–19.

– 1994. Phytolith and carbon evidence for prehistoric slash-and-burn agriculture in the Darién rainforest of Panamá. Holocene 4: 321–25.

PLAZAS, C. & A.M. FALCHETTI. 1981. Asentimientos prehispánicos en el Bajo Río San Jorge. Bogotá: Fundación de Investigaciones Arqueológicas Nacionales.

PLAZAS, C., A.M. FALCHETTI, J. SÁENZ & S. ARCHILA. 1993. La sociedad hidráulica Zenú: Estudio arqueológico de 2000 años de historia en las llanuras del Caribe colombiano. Bogotá: Banco de la República.

POZORSKI, T., S. POZORSKI, C.J. MACKEY & A.M. KLYMYSHYN. 1983. Pre-Hispanic ridged fields of the Casma Valley, Peru. Geographical Review 73: 407–16.

REIMER, P.J., E. BARD, A. BAYLISS, J.W. BECK, P.G. BLACKWELL, C. BRONK RAMSEY, C.E. BUCK, H. CHENG, R.L. EDWARDS, M. FRIEDRICH, P.M. GROOTES, T.P. GUILDERSON, H. HAFLIDASON, I. HAJDAS, C. HATTÉ, T.J. HEATON, D.L. HOFFMANN, A.G. HOGG, K.A. HUGHEN, K.F. KAISER, B. KROMER, S.W. MANNING, M. NIU, R.W. REIMER, D.A. RICHARDS, E.M. SCOTT, J.R. SOUTHON, R.A. STAFF, C.S.M. TURNEY & J. VAN DER PLICHT. 2013. IntCal13 and Marine13 radiocarbon age calibration curves 0–50,000 years cal BP. Radiocarbon 55: 1869–87. http://dx.doi.org/10.2458/azu_js_rc.55.16947

ROSTAIN, S. 2008. Le littoral des Guyanes, héritage de l'agriculture précolombienne. Etudes rurales 181: 19–37.

SMITH, C., W.M. DENEVAN & P. HAMILTON. 1968. Ancient ridged fields in the region of Lake Titicaca. Geographical Journal 134: 353–67.

ZUCCHI, A. & W.M. DENEVAN. 1979. Campos elevados e historia cultural prehispánica en los Llanos Occidentales de Venezuela. Montalban 9: 565–736.

Authors
* Author for correspondence.

Juan G. Martín*
Departamento de Historia y Ciencias Sociales, Universidad del Norte, Km 5 via Puerto Colombia Barranquilla, Atlántico, Colombia (Email: jgmartin@uninorte.edu.co)
Tomás Mendizábal
Patronato Panamá Viejo, Avenida Cincuentenario, Centro de Visitantes, Ciudad de Panamá, Panamá (Email: tomas_mendizabal@yahoo.com)
Rainer Schreg
Römisch-Germanisches Zentralmuseum, Forschungsinstitut für Archäologie, Ernst-Ludwig-Platz 2 55116, Mainz, Germany (Email: schreg@rgzm.de)
Dolores Piperno
Smithsonian National Museum of Natural History, 10th Street & Constitution Avenue NW, Washington, D.C. 20560, United States (Email: pipernod@si.edu)
Richard G. Cooke
Smithsonian Tropical Research Institute, Earl S. Tupper Research and Conference Center, Roosevelt Avenue, Building 401, Balboa, Ancon, Panamá (Email: cooker@si.edu)

http://antiquity.ac.uk/projgall/martin343

Sources : Vous trouverez plusieurs photographies intéressantes dans les liens ci-dessous et des vidéos dans le lien juste en dessous :

http://www.shutterstock.com/video/clip-2340074-stock-footage-volcan-panama-ca-barril-culture-excavation.html

http://www.tripadvisor.fr/Attraction_Review-g608647-d3510034-Reviews-Sitio_Barriles_Museum-Volcan_Chiriqui_Province.html

http://www.boqueteguide.com/?s=boquete+map&paged=2

http://www.aroundtheworldineightyyears.com/travel-in-panama-barriles/

http://www.arrivalguides.com/en/Travelguides/North_america/Panama/Panamacity/thecity

http://www.nationalgeographic.com.es/2011/12/23/los_guerreros_oro.html

https://www.sciences-faits-histoires.com/blog/archeologie/decouverte-d-une-culture-inconnue-a-panama.html

 

Yves Herbo traductions, Sciences, F, Histoires, 23-02-2015

 

L'Etre Humain : un pas en avant , deux pas en arrière

L'Etre Humain : un pas en avant , deux pas en arrière

L'Etre Humain : un pas en avant , deux pas en arrière

 

pericard-chapeau.jpg

 

France, 1940, des documents censurés qui prouvent que nos ancêtres, loin d'être des hommes-singes, avaient les traits du visage identiques aux nôtres, et portaient robes, bottes et chapeaux. - grotte de la Marche - Magdalénien - Léon Péricard

 

C'est un fait qui se vérifie de plus en plus tant les preuves s'accumulent : Tout comme la croissance économique n'est pas une expérience positive pour la réussite mondiale, l'évolution du genre humain n'a jamais été linéaire ni progressiste à chaque instant : l'évolution se fait par petits pas en avant mais aussi parfois par de grands pas en arrière... Alors que la logique voudrait que l'être humain tienne compte de ses expériences et s'améliore au fur et à mesure que le temps passe et qu'il est censé apprendre, la logique historique et les preuves matérielles nous obligent bien à constater qu'il n'en est rien : l'intérêt et l'égo de quelques individus ayant un poids sur cette évolution a toujours primé temporellement sur la destinée de l'être humain... et l'histoire contemporaine et actuelle le confirme encore et toujours... 

Beaucoup de théoriciens, encouragés par des politiciens de toutes les époques d'ailleurs, ont voulu tracer une illusoire évolution linéaire et positive du genre humain, ne serait-ce que pour justifier sa place au "sommet" de l'évolution animale... ainsi, ces théoriciens, souvent issus de la Franc-Maçonnerie puissante du 19ème siècle ont asséné pendant des décennies (jusqu'à nos jours en fait) que l'Homme et ses créations, inventions et même arts, ont toujours procédé par croissance et pente ascendante (un peu comme la pente d'une pyramide), allant toujours du plus "primitif" vers le plus "évolué". Et la plus grande partie de notre Histoire (et théories) part de ce principe "établi", au point que les "anomalies" contredisant ce principe sont, la plupart du temps, tout simplement dénigrées, voir effacées ou éliminées, clairement censurées pour certaines... Pour certains, c'est une question de moral et de positivisme exacerbé : si la réalité entrave "l'enthousiasme" et "collaboration positive" du citoyen, du commun des mortels, il peut être nécessaire de "corriger" la réalité... de l'améliorer fictivement s'il le faut, voir, de cacher des choses et de mentir aux "innocents"... à ceux qui n'ont pas besoin de savoir pour œuvrer (travailler) au maintien de la société... 

Mais trop de preuves historiques s'accumulent et ces hommes de pouvoirs, dans leurs convictions sur "l'évolution" que l'Homme doit avoir (pour eux), ont commis des erreurs "techniques" : leur progrès a fait que le-dit "innocent", simple homme du peuple, est de plus en plus capable de "comprendre" que, quelque part, il est trompé et qu'on lui ment. Certains disent que c'est de la faute d'internet, ce système commercial désiré à l'origine qui s'est trop libéralisé, est devenu incontrôlable (provisoirement ?) et qu'il permet à des gens qui n'ont pas besoin de "savoir" et "comprendre" certaines choses (y compris économiques) pour travailler et être utiles, d'avoir un cerveau et de réagir... 

Des preuves ? Les meilleures et plus faciles à comprendre sont dans les livres d'Histoire récente, pas dans les manuels politiques... en voici une partie. 

Histoire des Arts. Ces théories assènent encore de nos jours qu'on est parti d'hommes stupides et préhistoriques, d'hommes des cavernes proches du singe, nus et prompts à se donner des coups de massues juste pour prouver leur virilité et se départager la femelle... c'est une image qui s'avère de plus en plus fausse devant les réelles découvertes archéologiques mais qui persiste dans l'éducation (mauvaise) donnée aux enfants via des dessins animés ou bandes dessinées... c'est un peu comme les esclaves de l'Egypte ancienne dont on découvre au fur et à mesure que l'on traduit les hiéroglyphes les plus anciens... que les anciens égyptiens étaient contre l'esclavagisme dans la réalité pendant la majorité de leur histoire. Comme souvent, on généralise à toute une civilisation et peuple les exactions commises par quelques rois et époques... en oubliant que notre propre peuple a procédé de même d'ailleurs, question barbarie... 

Cela faisait bien sûr plusieurs générations que certaines peintures rupestres, dans des grottes, étaient connues et admirées. On parle de certaines d'entre elles dès le 17ème siècle. Mais c'est vers 1879 que les premières sont étudiées "scientifiquement" et que des premières chronologies et datations sont tentées. Les fameuses peintures rupestres d'espagne, à Altamira, sont tellement belles et nombreuses que les scientifiques "évolutifs" en sont sceptiques : comment des hommes-singes auraient-ils pu accomplir un tel art ? Vers 1940, la grotte de Lascaux (et sa mauvaise datation à l'époque) confirme les mauvaises convictions établies : les premières grottes "artistiques" ont commencé vers - 23.000 ans et les premières fresques peintes sont apparues vers - 15.000 ans... la chronologie est "acceptable" pour les théoriciens de l'évolution linéaire, et tient jusqu'aux années 1990 pratiquement ! 

Car tout est remis en question par les découvertes successives des peintures d’Arcy sur Cure en 1990, de la grotte Cosquer en 1991 et de la grotte Chauvet en 1994. La grotte Cosquer, sous le niveau de la mer est datée à - 28000 ans. On y voit des évidentes scènes de chasse à l'époque des âges glaciaires avec des petits chevaux, des pingouins, des méduses ainsi que de surprenantes empreintes de mains décalquées à l’ocre rouge. Coup dur pour ces théoriciens, la grotte Chauvet est datée de – 33000 ans en 1995. (notez qu'il y a eu une calibration du carbone 14 dans les années 2000, faisant reculer les datations de la plupart de ces grottes de quelques milliers d'années ! Elles sont encore plus vieilles !)

Les théoriciens paléontologues se grattent la tête : ils avaient toujours affirmé que l'art préhistorique avait dû s'améliorer au fur et à mesure du temps, respectant "l'obligatoire évolution du genre humain"... car c'est l'inverse qui est constaté : la grotte Chauvet, la plus ancienne (à l'époque)... EST AUSSI LA PLUS EVOLUEE, la plus élaborée artistiquement. En regardant ces fresques, on est obligé d'admettre que ces artistes étaient déjà au sommet de leur art, et non pas aux débuts... Quid de la théorie de plusieurs millénaires d'évolution pour en arriver là ? En plus, on sait maintenant que cette grotte Chauvet est contemporaine de l'arrivée de l'Homme de Cro-Magnon dans cette région, et que celui-ci y cohabitait avec l'Homme de Neandertal... mieux, des découvertes récentes... en Indonésie nous prouvent que le même art élaboré y existait déjà bien avant ! (-46.000 ans !)

Le mystère demeure entier pour l'instant : De qui ou d'où ces hommes ont-ils appris cet art très élaboré ? Pourquoi les grottes plus récentes montrent une dégradation et moins bonne maîtrise des techniques du dessin et de la gravure ?  

Car finalement, on est en droit de se demander 1 ) si l'Homme de Cro-Magnon n'était pas l'héritier d'une plus ancienne civilisation d'avant glaciation, plus évoluée mais qui n'a laissé aucune trace de son existence (engloutie par la montée des eaux ?)... et qui a fini par oublier une grosse partie de ses connaissances ou 2) si l'Homme de Neandertal n'était pas lui-même cet héritier évolué (ou un autre hominidé ?), et que sa disparition ait fait régresser l'humanité d'alors... 

Mais un autre mystère lié aux grottes demeure également : celui lié à la grotte Bernifal. Découverte en 1902, elle est restée dans le domaine privé, bien que classée au patrimoine mondial de l'Unesco... on comprend pourquoi. Située sur la commune des Eyzies en Dordogne ( France ), elle est mondialement connue pour ses 110 gravures et peintures rupestres, notamment un magnifique mammouth tracé à l'argile. Ces dessins sont datés du Magdalénien, donc parmi les plus "récents", c'est à dire entre -17 000 et - 10 000 ans, par rapport à Chauvet par exemple. 

Ce mystère est lié à deux dessins de la grotte, l'un qui montre ce qui ressemble à un dinosaure en train d'affronter un mammouth ! C'est une peinture assez peu montrée, vous devinez pourquoi, mais elle est très troublante pour les spécialistes, même si certains parlent surtout d'interprétation, l'autre qui montre un cheval... harnaché, alors que, à priori, la domestication du cheval s'est effectuée bien longtemps après la disparition des dessinateurs de cette grottes... (voir ci-dessous)

 

Bernifal1

 

Bernifal 2

Bernifal

Bernifal masque 300

Chevalharnachehttp://www.lafrancevuedesgrottes.fr/?p=2460

 

Grotte de Bernifal (France), combat du dinosaure et du mammouth, l'un des nombreux mammouths, l'un des "masques" ou "têtes" présents dans la grotte, le cheval harnaché, ...

 

Grotte des trois freres, france

 

Grotte des trois frères, France, dessin d'après l'original

Le problème aussi est que ce ne sont plus les seules gravures étranges datées de l'art préhistorique ! En effet, des pétroglyphes très anciens découverts en Amérique du Nord (probablement effectués par des hommes de la civilisation "Anasasis" d'amérique, nous montrent également plusieurs "dinosaures" dans l'Utah ! :

Kachinabridge utah

Man bronto

The pterodactyle at san rafael swell in black dragon wash utah

Un ptérodactyl selon certains chercheurs - une étude semble prouver que ce dessin n'était pas l'original

 

Mais nous en avons aussi maintenant au Canada, à Java, à Sumatra, en Chine (dans l'antiquité), en Italie, Amérique du sud, Afrique, Australie... partout dans le monde ! :

Mishi6

Voir la suite ci-dessous :

Dans OVNI/UFO
OVNIs : 1974, Nièvre, encore des Gendarmes et des OVNI

OVNIs : 1974, Nièvre, encore des Gendarmes et des OVNI

OVNIs : 1974, Nièvre, encore des Gendarmes et des OVNI

Cigarederhodeisland 1967a

Cigare filmé à Rhode Island en 1967

Cette fois-ci, il s'agit de trois articles de presse datés de février 1974 concernant la Nièvre, avec notamment le témoignage d'un ingénieur, mais aussi de plusieurs gendarmes, puisqu'il s'agit non pas d'une observation d'un objet, mais de plusieurs, étalées sur plus d'une semaine...

 

Nous avons tout d'abord ces articles paru dans " Le Parisien Libéré " du 12 février 1974 et du 14 février 1974 :

" Objet lumineux dans le ciel nivernais "

Nevers - Un phénomène lumineux a été observé l'autre matin, pendant une heure par plusieurs habitants de Decize (Nièvre). C'est ainsi que M. Cahour, ingénieur, a vu vers 6 h, à haute altitude, un objet de forme oblongue et dégageant une vive lueur, qui se déplaçait dans le ciel dans la direction est-sud-est. 

M. Cahour a déclaré que l'objet ressemblait à un cigare tournant sur lui-même et se plaçant tantôt en position horizontale, tantôt en position verticale

Un phénomène semblable avait déjà été observé à Decize, en novembre 1968.

" Cigare dans le ciel de la Nièvre - Même les gendarmes l'ont vu "

Nevers, samedi - Le dossier " soucoupes volantes " s'épaissit. Le mystère aussi. Les engins lumineux parmi lesquels cigares, cigarillos, disques, sphères, etc, surgissent devant les yeux (de moins en moins étonnés) de témoins pour la plupart dignes de foi. Dans le ciel de la Nièvre, et plus précisément sur la petite ville de Decize, c'est un énorme cigare qui a été aperçu à plusieurs reprises depuis le début de la semaine. L'alerte avait été donnée dès lundi dernier par un ingénieur, M. Cahour.

" Pendant plus d'une heure un cigare lumineux, 20 fois plus gros qu'une étoile, a survolé ma maison ", vint-il affirmer aux gendarmes de Decize qui, sceptiques, n'accordèrent que peu de crédit à cette " révélation".

Mais le mercredi suivant, une habitante d'une commune voisine de 15 kilomètres, Neuville-les-Decize, venait elle aussi témoigner :

" Un objet silencieux entouré d'un halo lumineux survolait ma maison ce matin ", jurait Mme Bonnet.

" Le bidule "

Toujours la même heure : entre 6 heures et 7 h 15. La coïncidence était quand même troublante et les gendarmes décidaient officieusement encore d'ouvrir une enquête. Le lendemain, ils étaient tous avant l'aube dans la cour de la gendarmerie, entourant l'adjudant Auroy.

" Le voilà ! " Hurla soudain Mme Daumas, l'épouse d'un gendarme.

Aussitôt, les quatre gendarmes sortirent leur calepin pour consigner leurs observations : le " bidule " avait une couleur jaune pâle. Très lumineux, son vol était stationnaire, sa forme était celle d'un cigare ou d'un ballon de rugby quand il tournait sur lui-même.

Un télégramme fut envoyé au procureur de la République et à la direction de la gendarmerie qui demandaient un rapport pour ajouter au dossier des OVNI (Objets Volants Non Identifiés).

L'affaire s'est ébruitée et tous les matins, la majorité des 8500 habitants de Decize attendent, entre 6  h et 7 h 15, toutes fenêtres ouvertes.

Dans le journal " La Nouvelle République " du 18 février 1974 :

" Encore un objet mystérieux dans le ciel de la Nièvre "

Nevers - A une semaine d'intervalle, un 2ème OVNI a été aperçu dans le ciel de Decize (Nièvre). Il était 6 h 30, l'autre matin, lorsque l'adjudant de gendarmerie Auroy et 2 de ses hommes ont observé dans le ciel un objet 20 fois plus gros qu'une étoile, qui prenait, tour à tour, tantôt la forme d'un gros cigare, tantôt celle d'une demi-sphère. Cet objet dégageait une forte luminosité.

La semaine dernière, l'objet avait été aperçu par un ingénieur de Kléber-Colombes, et plusieurs habitants de la localité. Des témoins sont retournés sur les lieux, peu après, et ils ont découvert, "imprimée" dans le sol, une petite cuvette circulaire, d'une quinzaine de centimètres de profondeur et des traces de petits pas autour.

Nievre 02 1974a

Nievre 02 1974d

 

Notez bien que toutes ces archives sont librement utilisables (notamment pour la recherche et l'éducation) à la condition absolue que les sources et références indiquées dessus, ainsi que mon nom, prénom et adresse de ces sites internet (https://www.sciences-faits-histoires.com/ et https://herboyves.blogspot.com/) soient mentionnés visiblement.

 

Cigare volant - Un document de 1967 tourné à Rhode Island (USA) - aucun trucage décelé mais trucage difficile à l'époque...

 

Yves Herbo Archives, Sciences, Faits, Histoires, 18-02-2015

Mes publications

Pourquoi ce Site

Etant maintenant artisan dans l'écriture à 100%, et pouvant enfin me consacrer entièrement à mes passions et hoobies, je m'occupe un peu plus de ma vie mais je continue à faire vivre ce blog gratuit mais qui, avec son hébergement, CSS et sécurité, est loué et de plus en plus cher... : merci à l'avance pour votre aide en achats de livres (autres à venir en ebooks probablement), dons et mots d'encouragement.

Vous pouvez également vous procurer l'une de mes dernières nouvelles, La Pierre dans la Montagne publiée dans le Studio Babel 1 en 2011, Sentiments Profonds publiée dans le Studio Babel 2 début 2012, ou encore sur ce blog :
 
 
studioBabel1.jpg babel2a.jpg

Vous pouvez lire gratuitement ces recueils (et n'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez !) en allant ici :

Studio Babel N°2https://www.calameo.com/books/000788413db1c7a4bbb39

et (si vous l'avez apprécié et voulez aider le groupe (et non l'auteur qui ne reçoit rien !)), vous pouvez le commander en versions imprimées ou téléchargeables ici :

Studio Babel N°1 : https://www.lulu.com/browse/search.php?&fKeywords=Babel+Studio+Fiction

Un aperçu des 10 premières pages y est aussi proposé. Voilà les auteurs pour le N° 1 : Jacques Païonni, Laurent Salipante, Siléas, Sylvain Boïdo, Yves Herbo, Adam Joffrain, Terry Montcalm, Philippe Giroud et illustrateurs : Tony Szabo, Jépéh, Leslie Lavaud.

Un aperçu des 10 premières pages y est aussi proposé. Voilà les auteurs pour le N° 2Claude JégoAdam Joffrain, Yves HerboJacques PaïonniBlanche Saint-Roch, Mehdi Saddra, Anne Springer, Jacqk, Lyvins Frédéric et illustrateurs :Tony SzaboLydie Blaizot.

Et j'en profite pour répéter que mon roman de SF "Je n'étais qu'un Androïde" avait été réédité mi-juillet 2011, après une grossière erreur d'impression de leur part, bien après le BAT, par les Editions Baudelaire... contrat rompu en 2014 pour mauvaise prestation...
 

Quatre éternités pour une Rose immortelle publié !

4eternites1 mini

Et bien ça y est, le livre vient d'être publié et est dispo sur le site de l'éditeur Edilivre ! Comme il me l'a précisé dans un email (mais il est sorti alors que j'étais en déplacement !), il est déjà en vente sur son site, et est dispo en librairie sur commande, et la Bibliothèque Nationale de France a reçu son exemplaire légal. " il a été mis en vente sur les principaux libraires en ligne à savoir Fnac.com, Chapitre.com, Amazon... De plus, tous les libraires de France, Suisse et Belgique peuvent également le commander à travers Dilicom ou directement auprès d'Edilivre "...

Couv 4eternitesfinale

Cet ouvrage est important pour moi car il a été écrit lors de mon enfance (mais remanié (corrigé surtout) et "modernisé" en partie ces derniers mois pour cette publication) et surtout, à la suite d'événements étranges survenus dans ma tendre enfance, allant de perceptions paranormales (ou religieuses suivant l'interprétation) jusqu'à l'observation très nette et très proche d'une grande sphère lumineuse venant presque à ma verticale, à moins de 15 mètres. Cet ouvrage parle donc de "soucoupes volantes" mais attention, il s'agit à 100% de science-fiction ou d'anticipation, comme l'autre roman écrit à cette période (Je n'étais qu'un Androïde), même si plusieurs passages, termes et idées paraissent "visionnaires" ou "très en avance" pour l'époque (et l'âge de l'auteur), un peu comme s'ils m'avaient été "transmis" mystérieusement... Le fait est bien que je me suis mis à écrire beaucoup d'un seul coup et sans y être spécialement préparé ou attiré précédemment. A tel point que ma prof de français et mon père m'ont fait passer un test de QI dès le début du collège (130 à 13 ans) ! Je ne demande à personne de me croire sur parole, peu importe d'ailleurs, mais les manuscrits d'époque sont encore là, ainsi que mon père (plus maintenant malheureusement), qui peut témoigner de certaines choses  - et il doit y avoir un dossier quelque part à l'Education Nationale !

On me pose aussi de temps en temps des questions sur mon autobiographie (dont vous pouvez lire les premiers chapitres sur mon site ici) et tous les événements surprenant qui s'y enchaînent dès le début, mais tout ce que je peux dire, c'est que tout est absolument vrai et que j'aurai plutôt intérêt à ne rien dire (pour ma paix familiale et citoyenne !), mais que j'estime que c'est un devoir de l'écrire et témoigner...

Vous pouvez lire les 20 premières pages sur le site de l'éditeur et le dos de couverture. Je remercie encore Cyril Cheminade pour son beau dessin de couverture qu'il m'avait proposé généreusement il y a maintenant plus d'un an, ainsi que les personnes qui ont donné un peu d'argent pour qu'il soit intégré par l'éditeur sur cette couverture. Je demande donc à tous mes lecteurs et ceux qui me suivent depuis quelques années maintenant d'acheter ce livre (sur papier ou en ebook) afin de m'aider à continuer à écrire, et à acheter moi-même ce livre (car l'éditeur n'en propose même pas un gratuit pour l'auteur) car je n'ai absolument aucun revenu de mon activité (bien que beaucoup reconnaissent que j'accomplis un travail considérable, c'est du "bénévolat" de fait car notre société, contrairement aux mayas ou incas par exemple, qui ne connaissaient pas le chomage ni la famine, ni l'argent, ne reconnaît pas le travail et l'activité réelle si ils ne sont pas associés à de l'argent (!)... une preuve supplémentaire que l'être humain n'est pas "libre" mais bien esclave de son outil "argent"... et d'une minorité très riche).

Vous pouvez Commander directement chez l'éditeur la version papier et la version ebook et le recevoir très vite :

https://www.edilivre.com/quatre-eternites-pour-une-rose-immortelle-20cfbba6dc.html/

ou sur Amazon : https://www.amazon.fr/Quatre-%C3%A9ternit%C3%A9s-pour-Rose-immortelle/dp/2332857664

Merci pour votre soutien, amicalement, Yves Herbo

PS : Je rappelle que ce livre a été écrit il y a longtemps alors que j'étais enfant et que sa genèse est très étrange : vers mes 7-8 ans, je subi en public une sorte de connexion étrange (une religieuse a pensé que c'était le début d'une sorte "d'ascension" !) lors d'une lecture d'un texte religieux, au catéchisme où j'avais été inscrit d'office. Quelques mois plus tard, une forte voix à l'intérieur de moi me crie de ne pas faire un mauvais acte. Encore quelques mois plus tard, je suis survolé d'assez près par une grosse sphère blanche, que certains me disent être un OVNI, d'autres un ange... finalement je me mets (à partir de 10 ans environ) à écrire deux romans subitement et à en même temps quasiment (un assemblage et tris de textes pendant 4 ans). Cela surprend tellement ma prof de français et mon père qu'ils me font passer un test de QI à mon entrée au collège (130 QI à 13 ans) et veulent me faire sauter une classe... et ce n'est pas tout... Ce roman, Quatre éternités pour une Rose immortelle est le tout premier de ces deux romans chronologiquement, et j'y décris comment notre univers a été créé. J'y parle aussi d'ovni et c'est un assez bon roman d'anticipation je pense... mais comment de telles idées (et celles pour l'autre "Je n'étais qu'un Androïde) ont bien pu me venir à cet âge et époque... alors que je ne lisais que des bd de Rahan et Pif le chien et ne pensais qu'à jouer ?... c'est là pour moi le plus grand des mystères, bien plus que tous ceux auxquels je me suis intéressé (archéologie ancienne) et vous partage depuis quelques années... Notez aussi qu'il n'est pas très important pour ma part d'être cru, je ne revendique pas être "porteur de message", juste partager mon expérience qui me semble importante pour l'Humanité... mais qu'il est tout aussi anormal de travailler... et de mourir de faim car cette société ne prévoit rien pour l'être humain (moins bien traité que l'animal à ce niveau) qui est actif et partage son travail, tout en refusant d'être esclave des banquiers et de l'argent...


 

Jenetaisqu unandroide1 mini

09-2016 : Réédition en tant qu'éditeur et auteur de mon livre " Je n'étais qu'un Androïde ", disponible dès maintenant chez LULU.com et chez Amazon, Barnes & Noble, il a été listé auprès du grossiste américain Ingram, qui approvisionne les librairies américaines. Il figure dans de prestigieuses bases de données bibliographiques telles que Nielsen et Bowker.

Vous pouvez l'acheter dès maintenant ici (papier et ebook) : sur Amazon : Je n'étais qu'un androide


 

Sortie début 2017 de la version Epub (pour lectrices donc) de mon livre "Quatre eternités pour une Rose immortelle" chez Edilivre mais aussi chez plusieurs partenaires, dont Amazon, Decitre, Dialogues, FNAC, Mollat, Ombres-Blanches, Sauramps... et Je n'étais qu'un androide chez LULU.com, Amazon et autres libraires.

Voici les liens directs pour acheter les 2 livres en plusieurs versions chez Amazon : 

https://www.amazon.fr/n%C3%A9tais-quun-andro%C3%AFde-Yves-Herbo-ebook/dp/B00KERHJMG/ref=asap_bc?ie=UTF8

https://www.amazon.fr/Quatre-%C3%A9ternit%C3%A9s-pour-Rose-immortelle/dp/2332857664

 

Autres publications (free) en cours :

Faites un don à l'auteur ! - derniers sites ajoutés à l'annuaire

Faites un don pour conserver un site semi-pro et remercier l'auteur de sa contribution à cette société peu évoluée et ses articles et écrits gratuits pendant que d'autres préfèrent ne rien faire du tout, faire semblant de travailler ou casser au contraire tout...

  • UFOmotion Documentaires OVNI videos UFO doc streaming

    UFOmotion Documentaires OVNI videos UFO doc streaming

    Ufomotion Regroupe les documentaires ufologiques francophones et anglophones. Déjà plus de 500 documentaires à voir !
  • Paris Hiking, Nature,  Walk, Sport, Guided visit, Discover

    Paris Hiking, Nature, Walk, Sport, Guided visit, Discover

    Welcome to the site. We are going to visit and to discover unusual places. Free or in various price list Looking forward to enjoying outdoor activities with you very soon … The organizers : Christophe
  • Planete Sciences Infos

    Planete Sciences Infos

    Sciences, Technologies nouvelles, Inventions, Avancées scientifiques ? Vous trouverez tout cela dans les articles de notre site !
  • Le testament du duc d'Enghien. (Albert Fagioli)

    Le testament du duc d'Enghien. (Albert Fagioli)

    Le testament du duc d'Enghien. (Albert Fagioli)
  • parlons ovni - site d'information français sur le phénomène ovni

    parlons ovni - site d'information français sur le phénomène ovni

    Recenser et documenter des éléments incontestables liés au phénomène ovni. Ce site ne juge pas ou de bâtit de grandes théories fumeuse car son objectif est simplement d'aider à démontrer que des éléments inexplicables existent.
  • librairie odyssee

    librairie odyssee

    librairie odyssee, la librairie des parasciences, vous accueille sur son site 24h/24. vente de livres en ligne, livres neufs, livres en français et en anglais, archéologie interdite, archéologie mystérieuse,phytothérapie, dictionnaires, esotérisme, alchi
  • O.D.H Tv - YouTube

    Ovni/Oani.Dans.l'.Histoire Tv vous présente les dernières actualités ovni et oani en France. Nous vous présentons ici les rencontres astronomiques et ufologi...
  • O.D.H Tv - Actualité Ovni/Oani France | .

    Ovni/Oani.Dans.l'.Histoire Tv vous présente les dernières actualités ovni et oani en France) et dans le Monde. Nous vous présentons donc les Observations,...
  • Blog de Odhinn-Hermodr -

    Blog de Odhinn-Hermodr -

    Traduction finalisee de l'ecriture de Glozel.
  • Ovni et vie extraterrestre les mystères des ovnis

    Ovni et vie extraterrestre les mystères des ovnis

    Ovni: Un site d'ufologie consacré à l'étude sérieuse des Ovnis et de leur histoire (informations riches sur le phénomène ovni et la vie extraterrestre en général)
  • Les moutons enragés - Les moutons en ont marre, ils s'informent!

    Les moutons enragés - Les moutons en ont marre, ils s'informent!

    Les moutons enragés - Les moutons en ont marre, ils s'informent!
  • vijoenza

    vijoenza

    création d'images
  •  Médiathèque et Index Ufologique et Spatial

    Médiathèque et Index Ufologique et Spatial

    Médiathèque et Index Ufologique et Spatial
  •  Japon Passion de sylv1

    Japon Passion de sylv1

    ce site proposera divers sujets représentant le pays du soleil levant, la culture ,les traditions nippones, le mode de vie, les mangas, l’actualité quelquefois. J’ai pratiqué les arts martiaux à un niveau très moyen ce qui m’ a permis d’approfondir a
  • Rusty James News

    Rusty James News

    Rusty James News
  • Herbo Yves

    Herbo Yves

    Un blog-miroir de celui-ci mais sous une autre forme et hébergeur.
  • Sciences-Faits-Histoires

    Blog de l'écrivain Yves Herbo axé sur la recherche de la vérité historique et développements sur ces thèmes avec des preuves mais sans limite imaginaire car, comme l'a très bien dit Albert Einstein, l'imagination est plus importante que la connaissance po
  • AgendaCulturel.fr : agenda culturel des concerts, du théâtre, de la danse

    AgendaCulturel.fr : agenda culturel des concerts, du théâtre, de la danse

    Agenda Culturel réunit toutes les dates de concerts, festivals, théâtre, expositions, cinéma, danse, temps forts, rencontres, art de la rue sur 100 portails départementaux dédiés aux manifestations culturelles.
  • Faire un site avec E-monsite.com

    Faire un site avec E-monsite.com

    Créer un site gratuitement sans aucune connaissance en design et en programmation est désormais possibile en utilisant le site e-monsite.com.
  • Dudelire : Humour et Jeux

    Dudelire : Humour et Jeux

    Portail d'Humour & de Jeux & de Quizz. Annuaire de Jeux Online,Humour Sexy,Annuaire de fonds d'écran, 350 vidéos,3500 blagues,des centaines d'images, 350 jeux,des dessins animés,films et séries.
  • Sports.fr

    Sports.fr

    Toute l'actualité sportive en direct est sur Sports.fr ! Ligue 1, championnats européens, rugby, basket, tennis, Hand ball, Volley, Tour de France, transferts ...
  • Guadeloupe

    Guadeloupe

    Guide et bons plan en Guadeloupe

référencements free + Recherches sur le site + Twitter

Recherche Personnalisée

 

 Referencement gratuit dans annuaire special Arts & Cultures

s'abonner aux publications de Yves Herbo sur Facebook

Livre d'Or - Album photos

  • Syyn Le 02/05/2023

    Merci pour les articles très intéressant, j'ai entendu parlé de vous sur le site https://spacia.fr qui ...

  • Hermann Marc Le 29/04/2020

    Bonjour YvesH je voulait juste me présenter, je suit un ami de Thierry Jamin et Stephan Pawlak, j'ai ...

  • yvesh Le 13/04/2020

    Merci à vous, dites-moi ce que vous en pensez à l'occasion. Portez-vous bien.

  • Véronique Le 06/01/2020

    Bonjour, suite à votre passage sur NuréaTV où je vous ai découvert, je viens de commencer "Quatres éternités ...

  • mornon jules Le 20/11/2019

    Bonjour, Voici un podcast qui risque fort de vous intéresser :) https://www.franceculture.fr/e ...

Tous les messages

Lien vers profil Twitter - Tags

The originals s1 Test DVD vidéo

 

 

Date de dernière mise à jour : 05/05/2024