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Les Reliques Etranges du Pérou - interview Thierry Jamin 1

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Dans Humour
Londres : Un homme déguisé en Batman livre un escroc à la police

Londres : Un homme déguisé en Batman livre un escroc à la police

Londres : Un homme déguisé en Batman livre un escroc à la police

gotham-city.jpg

LONDRES Un homme déguisé en Batman a causé la stupéfaction dans un commissariat britannique en débarquant en pleine nuit pour livrer un individu recherché pour des délits, avant de repartir incognito dans le même accoutrement.

Portant l'uniforme du célèbre super-héros, l'homme a fait irruption dans un poste de police de la ville de Bradford, dans le nord de l'Angleterre, très tôt le 25 février 2013, selon la police du West Yorkshire.

Les forces de l'ordre ont publié une image tirée de la vidéo-surveillance montrant le justicier arriver avec un homme de 27 ans, recherché par la police et qui a été depuis inculpé pour recel et fraudes.

"La personne qui a amené l'homme recherché au poste était habillé d'un déguisement complet de Batman", a déclaré un porte-parole de la police. "Son identité reste toutefois inconnue".

La photo publiée sur Facebook a déclenché une avalanche de commentaires sur les réseaux sociaux, certains suggérant que "Batman" devait connaître son "prisonnier" étant donné l'absence de résistance apparente de la part de ce dernier.

http://www.dhnet.be/infos/monde/article/427022/un-homme-deguise-en-batman-livre-un-escroc-a-la-police.html

A noter que nous avons bien à faire à plusieurs clones du héros américain car celui-ci agit en même temps dans plusieurs villes américaines, même si toutes les autorités n'ont pas accepté son aide en-dehors de Gotham City et qu'il se fait parfois arrêter... Les Britanniques de leur côté ont affirmé qu'ils avaient déjà Doctor Who qui leur faisait souvent des blagues adipeuses et que c'était suffisant. :

Sur une idée de http://leschroniquesderorschach.blogspot.fr/2013/03/londres-un-homme-deguise-en-batman.html

Un peu d'humour noir supplémentaire... :


Pig Destroyer - The Diplomat by BlastroNetworks

SFH 03-2013

Dans OVNI/UFO
OVNI : des rapports de gendarmerie en nombre

OVNI : des rapports de gendarmerie en nombre

OVNI : des rapports de gendarmerie en nombre

ufo-france-1974.jpg

20 MAI 1955: PREMIERS TÉMOIGNAGES DE GENDARMES 

23 mai 1955, Rocroi. Rapport du capitaine G ... , commandant la section, sur l'apparition d'un engin aérien non identifié. 

Le 20 mai 1955 en visite de nuit et se trouvant sur la Nationale 51 entre Givet et le hameau des Trois-Fontaines, les gendarmes N ... et L... ont aperçu dans le ciel, à 2 h 30, un engin aérien inconnu qui volait à basse altitude à 200 ou 300 mètres environ, au-dessus de la région comprise entre Ham-sur-Meuse et le hameau des Trois Fontaines, et suivant la direction sud-est-nord-ouest, Cet engin leur a semblé avoir la forme d'un gros obus ou d'un cigare, de la dimension de la carlingue d'un avion de chasse. L'intérieur était lumineux. De l'arrière jaillissait des projecteurs lumineux, étincelants et multicolores. Sur le moment ils eurent l'impression de se trouver devant un avion en flammes, mais l'engin disparut en vol horizontal en direction du nord-ouest après quelques secondes. Sa vitesse leur a semblé très élevée, supérieure à celle des avions actuels. Au moment où ils l'aperçurent, un autorail qui se dirigeait vers Givet, passait sur la voie parallèle à la Nationale 51. Le bruit fait par cet autorail ne leur a pas permis d'entendre l'éventuel bruit fait par cet engin. La nuit était étoilée et sans lune. La direction du vent était nord.est-sud~ouest, c'està-dire contraire à la direction suivie par l'engin. Ayant fait remarquer à ces gendarmes que cela pouvait être un avion commercial de la ligne Genève-Bruxelles ou Bruxelles-Nice, ces derniers ont été d'accord pour dire qu'il ne pouvait y avoir de confusion, et qu'il ne pouvait s'agir d'un avion. C'est la première fois que le passage d'un tel engin est observé au-dessus de la circonscription de la brigade. 

Rapport de gendarmerie datant du 26/09/1977 Brigade de SEGONZAC

Extrait du rapport de gendarmerie :

Le témoin déclare avoir vu le 18/09/1977, vers 15h45, un nuage de poussière assez opaque. Aussitôt après, alors qu’il travaillait dans son champ, il a aperçu pendant 15 à 20s un objet qui évoluait dans le ciel à 60 –70m du sol, en direction du sud. Il avait une forme cylindrique, genre ballon, ayant à la base un socle en forme d’assiette creuse. Cet objet avait un diamètre de 3-4m. Sur le cote, il a remarqué 2 ou 3 hublots. Ensuite, avec 2 amis, également témoins, il à découvert sur le Chemin vicinal n)18, un cercle tracé sur le sol de 2m de diamètre, qu’il présume être l’aire d’atterrissage et de décollage de l’objet. …..

segonzac-brigade-77.jpg

….Constatations : sur la chaussée du chemin vicinal 18 on remarque un cercle de 2m de diamètre environ. A l’intérieur, à 10cm, un autre cercle est également dessiné. Entre les 2, le sol paraît avoir été compressé……

…..l’analyse du sol (prélèvement du 20/09/77) effectuée le 08/10/77 , révèle un taux de radioactivité supérieur de 50% au taux normal.

Ces photos sont extraites d’un rapport de gendarmerie datant du 26/09/1977 Brigade de SEGONZAC – Charente

Source: http://www.forum-ovni-ufologie.com/t2726-en-1977-le-26-09-brigade-de-segonzac-16-taux-de-radioactivite-anormal#ixzz2MbGx0b1w


1" MAI 1975 : ATTERRISSAGE PRES D'UNE PATROUILLE DE GENDARMES

Procès-verbal, enquête préliminaire, le 11 mai 1975, compagnie de Melle, brigade de Lezay.

Le jeudi 1" mai 1975 à 23 h 10, nous effectuons une patrouille de surveillance dans les communes de Lezay, Saint-Coutant et Sainte-Soline, circulant à bord de notre véhicule sur le chemin départemental 15, dans ie sens Sainte-Soline-Lezay, nous nous trouvons au lieu-dit Bois-de-la-Trouille. Nous apercevons alors dans le ciel une boule lumineuse de couleur jaune vif d'un diamètre apparent de 20 centimètres environ, se déplaçant d'est en ouest. Elle se rapproche du sol à une vitesse régulière. Cet objet lumineux semble vouloir se poser à une faible distance de nous.

lezay-ufo-gendarmes.jpg
Constatations

A 23 h 15, nous nous transportons immédiatement en direction du lieu supposé de l'atterrissage. Arrivés à l'intersection du chemin départemental 15 et du chemin départemental 45 nous observons à travers des haies, direction ouest, à environ 3 ou 4 mètres du sol, un scintillement lumineux. Nous estimons que ce phénomène se situe dans un pré, au lieu-dit Vaugru, en bordure du chemin départemental 105, à 400 mètres de la sortie ouest de Lezay.

A 23 h 17, nous étant approchés des lieux et ne remarquant rien de particulier au premier abord, nous descendons de notre véhicule pour examiner plus particulièrement cette zone. Presque aussitôt nous entendons un léger bruit, genre froissement d'ailes et nous constatons qu'un engin, dont nous ne pouvons déterminer la forme exacte et la couleur, s'élève rapidement suivant une trajectoire est-ouest, laissant apparaître deux lumières rouges de faible intensité, genre dispositif réfléchissant, distantes horizontalement l'une de l'autre d'environ 50 à 60 centimètres.

Bien que le temps soit clair, et le ciel étoile, l'absence de clair de lune ne nous permet pas d'évaluer d'une façon précise la distance approximative nous séparant de l'objet. Toutefois cette dernière ne doit pas excéder une trentaine de mètres. A 23 h 20, quelques instants après le présumé décollage, l'appareil reprend sa couleur initiale jaune vif et se stabilise à une altitude et à une distance que nous ne pouvons apprécier. Il nous apparaît alors semblable à un disque d'un diamètre de 20 centimètres. Devant l'immobilité prolongée de l'OVNI nous l'observons à la jumelle. Nous découvrons que l'appareil est muni de deux ailerons verticaux de 10 centimètres de longueur, placés l'un au-dessus du disque, l'autre en dessous. De plus, l'intérieur de la boule lumineuse semble parsemé de points noirs fixes. A 23 h 25, devant la persistance de ce phénomène, nous nous rendons immédiatement sur la place des Halles de Lezay, où, en compagnie de témoins, nous poursuivons durant trente minutes l'observation. Ce n'est que vers 23 h 45 que l'objet disparaît rapidement vers l'ouest.

Le 2 mai 1975 à 8 heures, nous retournons sur les lieux présumés de station de l'appareil. A 4 mètres de la haie bordant le chemin départemental 105, l'herbe est couchée, en forme de cercle de 3 mètres de diamètre. Aucune autre trace n'est décelable à l'œil nu.

Mesures prises

Nous avons rendu compte des faits à notre commandant de compagnie à Melle par message radio 85 TRS en date du 2 mai 1975. Le 3 mai 1975, à 17 heures, s'est présenté à la brigade M. Chasseigne Jean, délégué régional du groupement international de recherches « Lumières dans la nuit », qui, suite à ses observations sur place, nous a remis les renseignements joints en annexe.

Enquête

Le 3 mai 1975 à 8 h 45, effectuant l'enquête, nous entendons V... Jean-Pierre, trente-six ans, garde-champêtre de la commune de Lezay, Deux-Sèvres.

Dans la nuit du 1" au 2 mai 1975 vers 23 h 15, alors que je me trouvais encore au bourg de Lezay, place de la Halle-aux-Veaux, j'ai vu dans le ciel vers l'ouest une boule jaune semblant se stabiliser. Je ne suis pas le seul à avoir vu cet engin à l'intérieur duquel on pouvait distinguer des points noirs. J'ignore ce que ça peut être, mais une chose est certaine, il ne s'agissait pas d'une étoile. En raison de la distance, il était impossible de distinguer la forme exacte.

3 mai 1975, lecture faite par moi, persiste et signe.

Poursuivant l'enquête, entendons D... Robert, cinquante-trois ans, quincailler.

Au cours de la nuit du 1" au 2 mai 1975 vers 23 h 15, alors que je me trouvais à proximité de la Halle aux Veaux, à Lezay, j'ai aperçu dans le ciel en direction de l'ouest, une boule de couleur jaune vif qui paraissait se stabiliser. En raison de la distance, je ne puis évaluer l'endroit où cet engin se trouvait. J'ai pu constater qu'à l'intérieur de cette boule il existait des points noirs. Après un certain temps d'observation, trente minutes environ, cet engin a disparu en direction de l'ouest.

3 mai 1975, 11 h 15, lecture faite par moi de la déclaration ci-dessus, persiste et signe.

Entendons M... Jacques, cinquante et un ans, adjoint au maire de la commune de Lezay.

Dans la nuit du 1er au 2 mai 1975, alors que j'assistais à la finale du concours de pétanque, place de la Halle-aux-Veaux, vers 23 h 15 en compagnie de mes camarades j'ai vu dans le ciel une boule de couleur jaune vif qui semblait se stabiliser aux environs de La Mothe-Saint-Héray. Cet engin, d'environ 20 centimètres de diamètre présentant des points noirs à l'intérieur ne semblait pas très haut, dans le ciel, mais je ne puis être plus précis car la nuit il est très difficile d'apprécier les distances.
5 mai 1975 à 8 h 45.

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2 SEPTEMBRE 1975 : L'OVNI ET L'ADJUDANT 

Procès-verbal d'audition, gendarmerie de l'Yonne, brigade de Saint-Sauveur. Audition d'un adjudant-chef de l'armée de l'air. M. I ... 

Le 12 septembre 1975 à 22 h 05 j'étais couché, je commençais à somnoler et j'ai été tiré de mon sommeil par un bruit puissant et sourd, que l'on peut décomposer en deux bruits: l'un pouvant être apparenté à un moteur diesel mono-cylindrique et l'autre à un échappement ou suintement continu. Je me suis levé et de ma fenêtre j'ai aperçu une lueur intense blanche et parsemée de jaune qui semblait se situer dans les champs, distants de 100 mètres de mon habitation. Le bruit a cessé et la lueur s'est éloignée assez rapidement en s'élevant suivant un angle assez faible. La lueur ressemblait à une sphère d'environ 1 à 1,50 mètre de diamètre. Sur le pourtour de celle-ci, j'ai pu constater plusieurs genres de petits bâtonnets émettant des grésillements et des étincelles, comme des baguettes que l'on met dans les sapins de Noël. Je précise que l'éloignement s'est fait sans bruit. Ma femme, qui regardait la pièce à la télévision, a vu l'écran perturbé pendant une durée de cinq à six secondes. Je precise que la boule de feu est partie en direction de l'est et a masqué pendant trois ou quatre minutes l'étoile Polaire. 

Lecture faite, persiste et signe . 

Etat des lieux 

Le hameau de Cagnats, sis sur la commune de Moutiers dans l'Yonne, est situé à un kilomètre à vol d'oiseau au sud-ouest de Saint-Sauveur dans l'Yonne. L'habitation de M.I... est implantée en bordure du ... La façade est orientée au sud-est. 

Constatations 

M. I... présent, nous a indiqué le lieu où il a aperçu l'objet volant. Ce lieu se trouvait à 100 mètres au nordest. li s'agissait d'Un petit bois attenant à une plantation de peupliers. D'après ses dires, l'objet volant s'est stabilisé à hauteur des cîmes des peupliers avant de s'éloigner rapidement vers le nord-est. Lors des recherches nous n'avons découvert aucune trace d'atterrissage. 

Enquête 

Nous avons interrogé verbalement toutes les personnes du hameau sans obtenir de renseignements complémentaires. Néanmoins, plusieurs d'entre elles avaient entendu le fort bruit décrit ci-dessus, mais n'étaient pas sorties pour voir d'où il provenait. 

Le 14 septembre 1975, poursuivant l'enquête et les recherches dans la direction donnée, nord-est, Mme T ... , domiciliée à Saint-Sauveur, nous déclare avoir effectivement vu l'objet volant. D'après ses dires, elle se trouvait dans sa chambre, lorsqu'elle a entendu un fort bruit. Elle s'est avancée vers sa fenêtre d'où elle a aperçu une boule lumineuse assez grosse, sans pouvoir en définir la grandeur, cette boule étant en partie masquée par un arbre proche. D'après la direction donnée, l'objet volant semblait se rabattre vers le nord. Après de nouvelles recherches, aucun autre renseignement n'a pu être recueilli. Nous avons rendu compte des faits à notre commandant de compagnie. En outre, la perturbation instantanée de l'image de télévision constatée par Mme I... n'a pas été constatée par d'autres personnes ou n'a pas attiré leur attention. 

Source: http://www.forum-ovni-ufologie.com/

 

L'OVNI de Trans-en-Provence aide de la gendarmerie : extrait de l'émission Temps X 01-04-1984 (12mn) :

OVNI RAPPORTE LE 15 MARS 1974, FRANCE:

Ce document a été reproduit dans la littérature ufologique grand public depuis longtemps disponible.

M.d.L. Chef, Officier de Police Judiciaire et Gendarme, Agent de Police Judiciaire 16 à 20 et 75 du Code de Procédure Pénale.

Le 15 mars 1974 à 5 heures 15, de permanence au poste de Police à la Brigade de Gendarmerie de VI nous, gendarme [G2], sommes avisés téléphoniquement par les sapeurs-Pompiers de [V1] de ce qu'un engin volant non identifié venait d'être aperçu dans le ciel de la localité, se déplaçant lentement en direction du Nord-Est, vers [V2].

Nous sortons alors dans la cour de la caserne et ne constatons rien d'anormal, ni la présence dans le ciel d'un quelconque engin insolite.

A 5 heures 35, le Commissariat Central de Police de METZ, nous confirme également par la voie téléphonique, que madame [T1] divorcée, domiciliée à [V1] a nettement aperçu un engin volant, de couleur orange se déplaçant à allure très lente et parfaitement visible à l'oeil nu. Ils nous précisent qu'étant sortis à cette même heure, ils ont vu eux aussi un engin circulant sans bruit vers le Sud-Est.

De l'enquête effectuée, par le M.d.L./Chef [G1] et le Gendarme [G2], il ressort qu'aucun autre indice n'a pu être recueilli permettant d'émettre une opinion sur la présence d'un tel engin.

Mentionnons que la dame [T1] nous a remis à l'appui de ses dires, un croquis de l'engin volant, relevé sommairement par elle-même au moment de l'apparition. Il est joint à la présente procédure.

Le sous-Brigadier [G3] signale qu'il a entendu une sirène dans la direction de [V3], sonner sans interruption vers 4 heures 30 minutes le 15 mars 1974. Il ne s'agit que d'une sirène du lotissement de [V4] qui s'est déclenchée toute seule. Les sapeurs-Pompiers de [V1] avisés en temps opportun, n'ont pas eu à intervenir. De toute façon, cet appel ininterrompu n'avait aucun rapport avec l'engin volant signalé.

Des vérifications ont également été effectuées auprès des services météorologistes civils et militaires à la base aérienne de [V1], aucun ballon-sonde ou tout autre objet n'a été repéré ou lâché ce jour-là par la station.

A noter que tout élément nouveau fera l'objet d'une procédure ultérieure.

Le 16 Mars 1974 à 8 heures 40, avons entendu: Madame T1, née le [-] 1939, divorcée, cinq enfants, demeurant à V1, de nationalité française, qui nous déclare à 8 heures 50:

Le 15 Mars 1974 à 4 heures 30, je me suis levée pour donner à boire à mon fils, âgé de sept mois.

Le fait d'avoir les double-rideaux ouverts dans la chambre de mon fils, j'ai remarqué par la fenêtre, un objet au-dessus de l'ancienne pharmacie, située en face de mon appartement.

J'ai tout d'abord regardé à l'oeil nu. Cet objet avait la forme d'une fusée, très estompée à cause de la clarté, de couleur orange très vive. Je peux dire qu'il se trouvait environ à 1500 mètres de hauteur, sa longueur était de 200 à 300 mètres environ. Je ne peux définir sa largeur.

Ensuite, j'ai regardé avec les jumelles pour détailler cet engin. A l'avant se détachait une bande, en forme de boomerang.

Vers 5 heures, j'ai aperçu un disque qui pénétrait dans cet objet et se dirigeait vers l'avant.

A 5 heures 15, l'objet a disparu brusquement, comme si on coupait la lumière. Je peux affirmer que celui-ci est resté stable, vu à l'oeil nu.

J'ai pensé à une projection d'image, comme si on prenait les nuages comme écran.

J'ai téléphoné aux Sapeurs Pompiers de [V1], une première fois, à 4 heures 30 pour les aviser de l'apparition de cet engin et une deuxième fois à 5 heures 30 pour leur signaler sa disparition.

Je ne peux dire si le ciel était couvert ou non, mon regard étant porté sur l'objet.

le 16 Mars 1974 à 9 heures 50.

Lecture faite par moi de la déclaration ci-dessus, j'y persiste et n'ai rien à y changer, à y ajouter ou à y retrancher.

(A signé au carnet de déclarations)

Poursuivant notre enquête, le 18/3/74, nous avons entendu: Monsieur [G3], né le [-] 1928, Sous-Brigadier de Police, demeurant à [V3], marié, un enfant, de nationalité française, qui déclare à 20 heures 05:

Le 15 mars 1974, quelques minutes avant 5 heures, nous sommes avisés téléphoniquement par les Sapeurs Pompiers de [V1], nous signalant qu'une habitante, demeurant à [V1], avait vu un objet insolite dans le ciel.

Vers 5 heures 02, alors que nous nous apprêtions à partir en patrouille et à nous rendre chez madame [T1], nous avons aperçu dans le ciel, un objet volant venant de la direction Nord-Ouest et se dirigeant vers le Sud-Est. Il avait une trajectoire rectiligne et avançait très lentement.

On voyait deux ronds lumineux blancs de huit centimètres de diamètre environ et espacés l'un de l'autre de trente centimètres environ.

Les lumières blanches étaient très nettes, ce qui laisse supposer que cet engin volait à basse altitude; le plafond de nuages étant assez bas.

Il ne produisait aucun bruit.

Aucune comparaison avec la signalisation employée par les avions. Cet engin ne laissait aucune traînée après son passage.

Les feux ne faisaient aucun faisceau lumineux, comme le font les projecteurs.

D'autre part j'ajoute que vers 4 heures 30, les sirènes de V3 ont sonné pendant dix minutes, d'une manière continue.

Le 18 Mars 1974 à 20 heures 20.

Lecture faite par moi de la déclaration ci-dessus, j'y persiste et n'ai rien à y changer, à y ajouter où à y retrancher.

(A signé au carnet de déclarations.)

Le même jour à 20 heures 40, nous avons entendu:

Monsieur [G4], né le [-] 1922, [-] enfants, Sous-Brigadier de Police, demeurant [V1], de nationalité française, qui nous déclare à 20 heures 43:

Le 15 Mars 1974 à 6 heures, sommes avisés téléphoniquement par les Sapeurs Pompiers de [V1] nous signalant que Madame [T1], qui habite [V1], a vu dans le ciel, un engin insolite.

En quittant le Poste, mon regard s'est porté machinalement vers le ciel. J'ai vu deux lumières blanches, venant du Nord-Ouest et se dirigeant vers le Sud-Est. Ce phénomène se déroulait au niveau des nuages. Cet objet ne faisait aucun bruit.

18 Mars 1974 à 20 heures 50

Lecture faite par moi de la déclaration ci-dessus, j'y persiste et n'ai rien à y changer, à y ajouter ou à y retrancher.

(A signé au carnet de déclarations.)

http://ufologie.net/foiafr/g23f.htm

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Gendarmerie nationale, groupement de l'Aveyron, compagnie de Millau, brigade de la Cavalerie.

Procès-verbal de renseignements administratifs, le 6 mars 1974 à 10 heures.

Résumé de l'affaire

Dans la nuit du 5 au 6 mars 1974, trois militaires de l'unité du capitaine C... commandant l'escadron 82 de la gendarmerie mobile d'Hyères dans le Var, ont aperçu, vers la ferme de l'Hôpital, une forme lumineuse non identifiée. Cette lumière a suivi la patrouille dans ses déplacements jusqu'à la Cavalerie où elle a été observée par plusieurs officiers et sous-officiers de l'escadron. Nous rendons compte des faits ci-dessus à notre commandant de compagnie qui nous ordonne d'effectuer une enquête afin de déterminer la nature de la forme lumineuse aperçue par les gendarmes mobiles.

La forme lumineuse aperçue par les gendarmes mobiles était de faibles dimensions. Ces dernières varient d'ailleurs en fonction de l'heure et des points d'observation. Ainsi, d'abord aperçue par les témoins sous la forme d'une sphère très imparfaite, sensiblement de la grosseur d'une balle de caoutchouc d'enfant, la forme lumineuse a été observée un peu plus tard par ces mêmes personnes sous la forme d'un rectangle aux angles arrondis, mesurant environ 25 à 30 centimètres de longueur et 15 centimètres de hauteur. Puis la forme lumineuse a été vue à nouveau sous l'apparence d'une balle de très faibles dimensions, quelques centimètres de diamètre. Cette forme lumineuse émettait une très forte luminosité de couleur blanche. Aucun bruit n'a été perçu par les six témoins qui l'ont observée à des heures identiques et pendant une durée de deux heures environ.

Ces témoins pensent qu'il ne s'agissait pas d'une étoile ni d'un aéronef ou d'un ballon sonde. La forme lumineuse observée le 6 mars 1974 était mobile; elle a parcouru un itinéraire de 10 km environ, puis a accompli une descente vertigineuse vers le sol avant de réaliser une ascension et de se stabiliser dans le ciel. Il est à noter que deux autres formes lumineuses non identifiées ont été aperçues à la Cavalerie dans la nuit du 25 février 1974 par une habitante de cette localité. Toutefois, ces deux lumières n'avaient ni la taille, ni la forme de celles observées dans la nuit du 5 au 6 mars 1974 par les gendarmes mobiles. D'après les dires du témoin, cette forme lumineuse ressemblait à deux cigares qui se maintenaient immobiles dans le ciel, dans une position verticale, au milieu d'un embrasement intense à l'horizon. Aucun autre habitant de la Cavalerie et des environs n'a été témoin de faits semblables.

Source: http://www.forum-ovni-ufologie.com/t2101-en-1974-le-6-03-des-gendarmes-de-la-compagnie-de-millau-et-ovnis#ixzz2McUvob9d

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Le 23 Mars 1974, au cours d'une vague d'apparitions d'Objets Volants Non-Identifiés en France, un médecin, qui a souhaité garder l'anonymat, a photographié un objet d'une extrême luminosité à Tavernes, dans le Sud de la France.

Sources : http://www.forum-ovni-ufologie.com/ - archives SFH

SFH 03-2013 - Archives SFH 03-2013

L'énigme du Thresher et du Scorpion

L'énigme du Thresher et du Scorpion

L'énigme du Thresher et du Scorpion

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USS Thresher

Au milieu du XXe siècle, dans les années 60, deux des plus puissants sous-marins nucléaires américains, l'USS Thresher et l'USS Scorpion, ont disparu dans les profondeurs noires et glaciales de l'Océan Atlantique; tous les deux dans des conditions mystérieuses, bien plus mystérieuses que la Marine américaine a bien voulu le dire...
Si leurs épaves ont bien été retrouvées par la suite, nulle trace des hommes d'équipage n'a pu être repérée. Les 129 hommes du Thresher et les 99 hommes du Scorpion se sont littéralement volatilisés...!

Où sont-ils passés? Que sont-ils devenus? Là est l'énigme...

Rapports des commission d'enquêtes

Avant d'aller plus loin, voyons ce que nous disent les commissions d'enquête de la Marine américaine et quelles sont leurs conclusions "officielles" sur la disparition des ces deux submersibles. Dernier-né des sous-marins nucléaires américains, premier d'une nouvelle classe d'engins super silencieux capables de plonger plus profondément que les autres, le Thresher, inauguré et lancé à Portsmouth, était le nec plus ultra des sousmarins de l'époque. C'était un véritable "Requin-tueur" qui allait donner aux Etats-Unis un énorme avantage militaire face à leurs ennemis soviétiques. On était alors en pleine "Guerre froide" et ce sous-marin était une pièce majeure sur l'échiquier politique mondial sur lequel s'opposaient les USA et  l'URSS. Il était équipé du premier système de contrôle de feu informatisé à bord d'un sous-marin et d'un sonar d'une incroyable portée. Il était doté de missiles inter sous-marins, ce qui était une nouveauté à l'époque.

Le Thresher prit la mer le 9 avril 1963 avec un équipage de 129 hommes. Le matin du 10 avril, à l'aube, le commandant donna l'ordre de plonger. Les ballasts furent remplis et le submersible s'enfonça dans les eaux profondes de l'Atlantique Nord près de Corsair Canyon au large de Boston. Il s'agissait alors de tester la résistance du bâtiment, et le commandant fit plonger son sous-marin le plus profond possible Le Thresher n'était pas seul, il était en communication radio avec l'USS Skylark, un navire équipé pour le sauvetage en mer, mais pas pour celui d'un sous-marin nucléaire en plongé. Ce bâtiment se trouvait sur la zone de manoeuvre du Thresher et pouvait lui porter secours, mais seulement si celui-ci faisait surface.

Tout se passait bien jusqu'à ce que, tout à coup, le commandant du Thresher envoie au Skylark, à 9 h 13 exactement, le message suivant: «Thresher annonce: faisons face à difficultés mineures. Angle ascendant positif. Tentons de chasser. Vous tiendrons informés.».
De toute évidence, le sous-marin avait quelques problèmes, des avaries de peu d'importance qui ne le mettaient pas en danger.

Prudent, le commandant jugea préférable de remonter et de rentrer à la base pour réparer. Il avait ordonné de chasser l'eau des ballasts pour alléger le bâtiment et le faire ainsi remonter en surface. Il n'y avait pas de quoi s'affoler, mais 3 minutes plus tard, un nouveau message arriva, brouillé, inintelligible, suivi d'un bourdonnement à basse fréquence puis... le silence...

A la surface on ne voyait absolument rien. L'équipage du Skylark avait beau scruter les flots à l'oeil nu comme aux jumelles, rien n'apparaissait, pas même une tache d'huile...
Les minutes passaient et l'angoisse finit par s'installer. Ce 10 avril 1963, le commandant du Skylark prit alors la décision d'informer le QG de la Marine que le Thresher ne répondait plus.

C'était la première fois au monde qu'un sous-marin nucléaire était porté disparu. Le coup était rude, c'était une véritable tragédie...!
On pensa tout de suite qu'il avait heurté un haut-fond et qu'il avait ainsi coulé, mais rien n'était sûr. Il fallait absolument trouver la cause du drame. Il fallait comprendre ce qui s'était passé. Les spécialistes de la Navy firent un véritable travail de détective qui dura des mois pendant lesquels les recherches en mer continuèrent inlassablement.
La Marine alla jusqu'à couler une voiture automobile pour voir comment elle descendrait dans les eaux profondes de l'Atlantique; cela, dans l'espoir de trouver un indice quelconque permettant de retrouver le Thresher.

Des caméras télécommandées et des sonars ratissèrent sans relâche les fonds sous-marins, et l'unique vaisseau de plongée profonde dont disposait alors la Marine américaine, le bathyscaphe Trieste, explora les profondeurs océaniques jusqu'à épuisement de son équipage.
Enfin, au bout de 6 longs mois, le Trieste découvrit ce qui subsistait du Thresher... Il avait implosé sous la pression hydraulique avec une telle force qu'il ne restait plus de lui que des bouts de ferrailles éparpillés sur le fond de l'océan.
Pendant ce temps, au cours de ces longs mois de recherche, une commission d'enquête de la Marine avait découvert des choses incroyables...

Le dossier de maintenance du bâtiment a révélé que 14 % des joints de la tuyauterie qui transportait de l'eau de mer sous haute pression sur toute sa longueur n'avaient été soumis à aucun test par ultra-sons. De même, des centaines d'autres joints avaient échappé à toute vérification, alors que sur d'autres sous-marins, des joints de ce type avaient connu des défaillances et causé de graves inondations. A la profondeur à laquelle se trouvait le Thresher, la rupture d'une grosse canalisation aurait fait entrer des dizaines de tonnes d'eau à la minute (!).
La dernière transmission radio du submersible a apporté des indices déterminants qui ont permis à la commission de reconstituer le scénario probable du drame que voici: la rupture d'une canalisation dans la salle des machines a inondé  le compartiment et neutralisé suffisamment de fusibles pour forcer l'arrêt du réacteur nucléaire. Ne fonctionnant plus que sur ses accumulateurs, le submersible n'aurait pas eu assez de puissance pour atteindre la surface.

En dernier recours, l'équipage a dû envoyer de l'air comprimé dans les ballasts pour chasser l'eau et retrouver de la flottabilité, mais le système de ballasts était d'un modèle ancien conçu pour des sous-marins ne descendant pas à une telle profondeur; leur puissance était trop faible pour cela.
Le bâtiment n'aurait donc pas pu s'alléger suffisamment. Il prenait l'eau et devenait de plus en plus lourd. Il n'aurait donc fait que se redresser tandis qu'il descendait vers le fond inexorablement...
A 450 m de profondeur, la coque du Thresher ne pouvant plus résister à l'écrasante pression qu'elle subissait, explosa comme une bombe !

Des fragments de métal tordu, c'est tout ce qui restait du Thresher, le plus extraordinaire sous-marin de l'époque...!

L'épave éclatée en mille morceaux du submersible a été explorée et filmée dans les années 80 par Bob Ballard, un océanographe, au cours d'une expédition secrète; officiellement, il cherchait le Titanic !
La commission d'enquête de la Marine conclut finalement que, trop pressée d'envoyer en mer cette merveille de haute technologie, la Navy a commis plusieurs fautes de conception et de construction.

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Tout le monde jura que cela n'arriverait plus jamais, mais 5 ans plus tard, au printemps de 1968, la tragédie frappa de nouveau...

L'USS Scorpion

Après la disparition tragique du Thresher, la Marine américaine surveillait désormais de très près tous ses sous-marins nucléaires. Aussi, lorsque l'USS Scorpion ne lança plus aucun message le 21 mai 1968, un vent de panique monta au sein du Quartier Général de la Navy...

Le Scorpion était parti pour une mission de routine en Méditerranée (pour espionner les navires soviétiques, selon le rapport officiel qui fut publié par la suite) et repartait ce jour-là vers sa base de Norfolk en Virginie. C'est alors qu'il traversait l'Atlantique Nord qu'il cessa tout à coup d'émettre.
Il était attendu ce jour à 13 h 00 à Norfolk au terme de sa mission en mer, et aucun message de détresse n'avait été lancé par son équipage. Tout allait bien, mais il fallait pourtant se résoudre à l'évidence: il s'était passé quelque chose de grave...

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Les autorités militaires de la Navy lancèrent immédiatement des recherches en haute mer. Des dizaines de bateaux, de sous-marins et d'avions sillonnèrent la zone d'où il avait envoyé son dernier appel radio, mais ces fouilles méthodiques ne donnèrent aucun résultat. On décida alors d'élargir la zone de recherche, mais là encore les investigations restèrent infructueuses.

A 1300 km à l'est des Açores, un avion aperçut une tache d'huile (comme il y en a beaucoup sur l'Atlantique) à laquelle personne ne prêta d'importance, mais découvrit aussi un "mystérieux objet orange" qui resta malheureusement introuvable pour les navires qui se lancèrent à sa recherche.

Le Scorpion, avec un équipage de 99 hommes et un armement ultra-moderne et super-puissant, s'était littéralement volatilisé dans l'immensité de l'océan Atlantique...!

Au bout de 10 jours, la Marine annonça que le Scorpion était porté disparu et que tous les hommes à bord étaient vraisemblablement morts.

Ce n'est que des mois après la cérémonie à la mémoire des disparus que l'on découvrit enfin ce qu'il restait du submersible. La Marine annonça alors que rien n'établissait que le sous-marin fut victime d'un quelconque acte d'hostilité (sous-entendu de la part des Soviétiques, car nous étions toujours en pleine "Guerre froide"), mais refusa d'en dire davantage. Quelles que fussent ses conclusions quant aux causes de l'accident, elles étaient classées "Secret Défense".
C'est grâce à un immense réseau de microphones sous-marins installés, dès les années 60, dans tous les océans du monde, afin de détecter les mouvements de la flotte soviétique et les essais nucléaires, que les restes du Scorpion ont pu être localisés.

Grâce à ces hydrophones, une explosion sous-marine inexpliquée a été découverte par une équipe de spécialistes installée aux îles Canaries, au large de la Mauritanie, en Afrique, sous la direction de John Craven, un scientifique de la Marine.
Cet enregistrement montrait un pic qui était peut-être lié au Scorpion, puis un silence de 91 secondes suivi d'une série d'environ 17 pics pouvant correspondre à l'implosion des différents compartiments du sous-marin, mais ces informations étaient insuffisantes pour conclure quoi que ce soit. C'est lorsqu'on découvrit le même type de tracé sur les enregistrements de deux hydrophones installés au large de Terre-Neuve, à 300 milles de là, qu'il devint possible, par triangulation, de localiser le lieu de l'explosion. L'épicentre se situait près des Açores.

Mais s'il s'agissait bien du Scorpion, cela faisait un mystère de plus à élucider...!

En effet, on pensait que le sous-marin se dirigeait de la Méditerranée vers Norfolk; or, à la grande surprise de tout le monde, les explosions enregistrées par les hydrophones s'éloignaient de Norfolk... comme si le sous-marin avait fait demi-tour et repartait vers la Méditerranée!

Le Scorpion avait-il rebroussé chemin, et si oui, pourquoi ?

Pour tenter d'en savoir plus, on envoya le bathyscaphe Trieste sur les lieux supposés du naufrage, et celui-ci, après de longues recherches, finit effectivement par retrouver l'épave du Scorpion échouée dans les eaux profondes de l'Atlantique par 3000 m de fond...

Le sous-marin nucléaire USS Scorpion

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L'USS Scorpion retrouvé

Dans les années 80, Bob Ballard, cet océanographe qui avait exploré et filmé l'épave éclatée du Thresher, explora et filma à son tour l'épave du Scorpion au moyen d'un minisubmersible.
A la différence du Thresher, le Scorpion était relativement intact. Il s'est certainement rempli d'eau avant de sombrer à la profondeur d'écrasement. Sa tourelle a été totalement arrachée de la coque, probablement en heurtant le fond. L'extrême pression a sectionné la partie arrière et l'a littéralement enfoncée dans la partie avant comme une antenne télescopique qu'on referme.

Aucune des images prises alors par Bob Ballard n'a été montrée avant 1993, date à laquelle la Marine a enfin commencé à déclassifier les informations relatives au Scorpion.

C'est à cette époque (en 1993, 25 ans après le drame) que la Marine communique ses conclusions et donne sa version officielle—son "scénario le plus probable"—sur le naufrage du Scorpion.
Selon la Navy, tout aurait commencé alors qu'un courant électrique parasite aurait amorcé l'une des torpilles à bord du submersible. Le commandant aurait ordonné aussitôt un virage à 180° dont il espérait qu'il allait déclencher un mécanisme de sécurité et désarmer la torpille. Puis il aurait ordonné l'éjection de celle-ci, mais la torpille n'aurait pas été désarmée et elle aurait commencé à se chercher une cible. Comme il n'y avait rien alentour, c'est le sous-marin lui-même qui aurait été pris pour cible par la torpille qui était dotée d'une tête chercheuse.
Comme le sous-marin était un peu plus rapide que la torpille, il avait une chance de lui échapper. Il aurait essayé de la distancer, mais la torpille aurait été finalement plus rapide que prévu et l'aurait ainsi frappé en faisant un énorme trou dans la coque, coulant ainsi le Scorpion. Toutefois, ce scénario ne satisfait pas tout le monde...!

A l'époque où il était un jeune lieutenant de la Marine, Ross Saxon a examiné l'épave du Scorpion depuis le bathyscaphe Trieste et voici ce qu'il nous dit :

« J'ai plongé sur le Scorpion et je n'ai absolument rien vu indiquant qu'il ait été coulé par une torpille. Aucun élément de la structure ne suggérait cette hypothèse. Les portes de tous les tubes avant étaient fermées. Le sous-marin s'était cassé sous l'effet de la pression et rien n'établissait qu'il avait été coulé par une torpille

Une enquête fut menée par Stephen Johnson, un journaliste d'investigation du Houston Chronicle. Celui-ci récupéra des lettres de divers membres de l'équipage du Scorpion qui s'inquiétaient de l'état mécanique du bâtiment. L'un d'eux a même démissionné pour cette raison. Après des années d'effort, Stephen Johnson déterra un élément déterminant du passé du Scorpion. A la suite de multiples demandes auprès de la Flotte sous-marine de l'Atlantique, ce journaliste a fini par obtenir ce qu'il cherchait.
Il a alors découvert, parmi les pages relatives à l'historique de maintenance du Scorpion, des documents montrant comment ce dernier avait été choisi pour un programme secret réduisant considérablement la maintenance qu'il aurait dû avoir. Pour économiser du temps et de l'argent, la Marine américaine avait supprimé une bonne partie de la révision du submersible.
Seulement 3 millions de dollars avaient été dépensés pour la maintenance alors qu'il aurait fallu normalement dépenser environ 20 millions de dollars !

Un autre secret de la Marine a été révélé par deux autres journalistes américains—Christopher Drew et Sherry Sontag—auteurs du livre "Blind Man's bluff" dans lequel ils racontent leur enquête. Ces journalistes apprennent, en effet, à la suite d'investigations à partir d'une lettre qui leur à mis la puce à l'oreille, que lors d'essais, la batterie actionnant la torpille MARK 37 avait parfois surchauffé et pris feu. Des ingénieurs, ayant travaillé dans l'usine de torpille de Kyport dans l'état de Washington, disent avoir mis en garde la Marine à propos d'une possible explosion à bord suffisamment importante pour couler un sous-marin.

Ce laboratoire a fait divers essais indiquant que ce type de torpille était dangereux, mais la Marine n'a tenu aucun compte de leur avertissement. Est-ce la défaillance d'un équipement insuffisamment vérifié ou l'explosion d'une torpille défectueuse qui a coulé le Scorpion? Impossible de trancher avec certitude...

En tout cas, à la suite de ce désastre, la Marine américaine renonça à son expérience de maintenance réduite et modifia la torpille MARK 37. Depuis, elle n'a plus jamais perdu un seul sous-marin nucléaire!
Voilà donc les conclusions "officielles" de la Marine américaine sur la disparition des sous-marins nucléaires Thresher et Scorpion et les résultats des contre-enquêtes menées par des journalistes à propos du Scorpion.
Pour nous, à notre avis, la Marine américaine a bien fait de prendre ces mesures après la disparition du Scorpion, car ces défaillances techniques auraient pu, effectivement, être à l'origine de graves accidents chez d'autres sous-marins nucléaires, mais... nous ne pensons pas que s'il n'est plus jamais rien arrivé après cela, c'est qu'il s'agit bien là de la cause de ces deux drames. Non, c'est une pure coïncidence !

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Avarie ou défaillance technique ?

Rien, absolument rien ne prouve que le Thresher comme le Scorpion ont coulé à la suite d'une avarie due à une défaillance technique quelconque.
Certes, ils avaient de sérieux problèmes de maintenance, des tuyauteries fragiles, des torpilles défectueuses.., mais cela ne prouve rien. Si un conducteur perd le contrôle de sa vieille voiture à cause d'un malaise cardiaque et tombe dans un ravin où il trouve la mort dans l'explosion de son automobile, tout le monde dira que la voiture était trop vieille, que ses freins ont lâché ou qu'elle a eu une quelconque défaillance mécanique. Le conducteur n'étant plus là pour témoigner, on sera tous d'accord pour dire que c'est l'état désastreux de la voiture qui est responsable de cet accident mortel. Et pourtant, c'est faux ! C'est le coeur malade du conducteur qui a fibrillé et provoqué ainsi cet accident.

Eh bien ! C'est exactement la même chose pour le Thresher et le Scorpion : ce n'est pas une défaillance mécanique qui est responsable de leur naufrage. Mais alors qu'est-ce qui a provoqué la destruction de ces deux superpuissants sous-marins nucléaires? Les Services secrets des Etats-Unis comme ceux de la Russie et de la Grande-Bretagne savent très bien que de "mystérieux vaisseaux noirs" rôdent silencieusement dans les eaux de toutes les mers et les océans du globe. Les ministères de ces pays possèdent d'énormes dossiers secrets contenant des rapports d'enquêtes et d'observations ainsi que des statistiques sur ces "mystérieux submersibles".

Les Etats-Unis ont perdu deux sous-marins nucléaires, mais la Russie en a perdu au moins sept. La Grande-Bretagne en a perdu plusieurs également et la France a perdu le Minerve au large de Toulon le 25 janvier 1968 et l'Eurydice au large de Saint-Tropez le 4 mai 1970, alors qu'ils étaient tous deux révisés et en parfait état de marche.

Tous ces sous-marins auraient-ils subi le même sort que le Thresher et le Scorpion? C'est possible...

Les mystérieux vaisseaux noirs

Ces "mystérieux vaisseaux noirs" qui rôdent sous les mers seraient-ils la cause de la disparition de ces sous-marins ?

Rien ne le prouve de manière absolue, mais nous pensons, nous, que ce sont bien les responsables ! Qui sont ces "étranges vaisseaux sous-marins" ?

D'après les témoignages, ces "mystérieux vaisseaux noirs" sont d'une taille beaucoup moins imposante que celle des "roues lumineuses". Ces dernières ont un diamètre d'environ 500 à 600 m alors que les "mystérieux vaisseaux noirs" ont une taille 5 à 6 fois plus petite (100 m en moyenne). S'agirait-il, dans ce cas, de petits sous-marins lâchés par ces gros submersibles lumineux pour effectuer diverses missions de surveillance et... d'attaque? En l'absence d'autres informations, nous ne pouvons rien affirmer, mais l'hypothèse est séduisante. C'est bien possible.

Au début du XXe siècle, le 28 octobre 1902, au cours d'une nuit calme et étoilée sur l'Atlantique Sud, des marins du navire Fort Salisbury aperçurent, à quelques dizaines de mètres du bateau, un "long objet sombre"... Le commandant fut rapidement alerté et lui comme les hommes présents cette nuit-là, constatèrent que cet "objet sombre" était long d'environ 150 à 180 m, que sa surface n'était pas unie, mais "écailleuse" (un peu comme celle d'un poisson), qu'il y avait un feu à chaque extrémité et qu'un mécanisme agitait l'eau (comme les nageoires d'un poisson, là encore)...!

De nombreuses vérifications ont été faites par la suite, mais rien ne permit d'identifier ce mystérieux "objet sombre". Lorsque le Minerve disparut en Méditerranée en janvier 1968, les recherches intenses menées par la Marine française révélèrent plusieurs fois un mystérieux écho sonar correspondant à une "énorme masse métallique" d'environ 60 m de long faisant penser à un submersible. L'exploration des fonds ne montra pourtant rien qui ressemble à un sous-marin.

Ces échos étaient pourtant bien réels et semblaient se déplacer... intelligemment.

En avril 1970, au large de la Nouvelle-Guinée, des centaines de personnes furent témoins de l'apparition d'un "engin inconnu" qui semblait glisser à la surface de l'eau... D'après les indigènes, des "objets mystérieux" de ce type visitent les lieux depuis des siècles...!

En novembre 1972, dans les eaux d'un fjord norvégien, au nord de Bergen, un "mystérieux objet" fut repéré. Il resta immobilisé sous ces eaux pendant une quinzaine de jours (!). Les autorités norvégiennes déclarèrent que "le mystérieux objet immergé et détecté par une frégate de la Marine n'était pas un sous-marin." Puis, sans que l'on puisse comprendre comment, le "mystérieux objet" se volatilisa...! Ce n'était pas la première fois qu'un tel "objet non identifié" était repéré dans cette région. Depuis des années déjà, de tels "objets" avaient été signalés dans ces eaux.

Les sous-marins nucléaires Thresher et Scorpion ont très certainement, selon nous, subi l'attaque de ces "mystérieux submersibles" qui n'en voulaient, en fait, qu'à leurs équipages (qui ont totalement disparu)... Dans le cas du Thresher, un de ces "mystérieux vaisseaux noirs" aurait foncé sur lui et aurait brouillé ses émissions radio; d'où la très mauvaise qualité du dernier message envoyé au Skylark. Les hommes de l'équipage auraient alors été enlevés non pas dans un abordage sanglant, mais en douceur par téléportation (!), c'est-à-dire par  dématérialisation et rematérialisation au sein du "submersible"...

Le transfert des hommes d'un submersible à l'autre par onde porteuse (c'est le principe de la téléportation) se serait passé au moment de la remontée du sous-marin vers la surface.
Laissé sans équipage, le bâtiment serait retombé vers les profondeurs, ses ballasts n'ayant pas été chassés à fond, et aurait explosé sous la pression.
Dans le cas du Scorpion, un "mystérieux vaisseau noir" aurait été détecté par les sonars, et se rendant compte du danger, le commandant aurait ordonné de faire demi-tour afin de tenter de lui échapper. Mais, malheureusement, ce fut inutile... L'équipage tout entier aurait été enlevé par téléportation, lui aussi, peu de temps après la manoeuvre. Laissé sans équipage, le sous-marin aurait plongé peu à peu pour une raison technique inconnue et se serait brisé sous la pression, permettant à l'eau d'entrer, empêchant ainsi son explosion sous l'énorme pression.

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Mais qui a fait coulé ces navires ?

Nous sommes convaincus que la Marine américaine sait ce qui s'est réellement passé, qu'elle connaît tous les faits et qu'elle a caché tout cela aux médias et au grand public.
Mais, dans tout cela, le plus important est de savoir pourquoi ces hommes auraient été enlevés et par qui exactement? Sur ces questions, la Navy ne possède peut-être pas toutes les réponses, mais il est bien possible qu'elle en possède au moins quelques-unes...

En ce qui nous concerne, nous pensons qu'il s'agit d'êtres extra-terrestres installés dans les eaux profondes de divers océans et mers du globe, dans d'immenses citées sous-marines...! Depuis quand sont-ils là et pourquoi? Il est bien difficile de le dire! Les indigènes de Nouvelle-Guinée affirment qu'ils sont visités par ces "mystérieux vaisseaux noirs" venus du fond des mers depuis des siècles...!

Etranges rencontres sous les eaux

Dans les eaux du Golfe Persique, en mai 1880, au cours d'une nuit extrêmement noire, le Patna, un steamer de la fameuse Compagnie des Indes britanniques, fit une incroyable rencontre...

Le capitaine Avern, le 3e officier M. Manning et J.W. Robertson virent, en effet, cette nuit-là, apparaître brusquement sur la mer sombre, de part et d'autre du navire, deux énormes "roues" lumineuses...!
Ces monstrueuses "roues" de lumière venues d'on ne sait où, tournaient sur elles-mêmes, d'après les calculs, à environ 160 km/h (!). Leurs immenses rayons (environ 200 à 300 m de long!) paraissaient frôler le navire... Les témoins purent compter les rayons de ces gigantesques "roues" lumineuses qui se distinguaient nettement les uns des autres: 16 rayons à chaque roue!
La lueur de ces énormes "roues" de 500 à 600 m de diamètre (!) paraissait glisser à plat sur la surface de la mer, sans aucune lumière visible dans l'air, un peu comme lorsque l'on fait tourner une lanterne horizontalement au-dessus de l'eau et que sa lumière se reflète en cercles concentriques sur cette eau. Ces deux "roues" lumineuses accompagnèrent le navire pendant 5 minutes puis disparurent comme elles étaient venues...

Ces "roues" n'étaient certainement pas faites de lumière pure... il s'agissait probablement d'objets matériels issus d'une très haute technologie qui se déplaçaient sous les eaux, et dans le cas présent, sous leur surface. Oui, mais en cette fin de XIXe siècle (nous sommes en 1880, ne l'oublions pas) la Science était incapable de concevoir et encore moins de fabriquer de telles machines! D'ailleurs, au XXe siècle, malgré tous les progrès accomplis, la Science en était toujours incapable! Aujourd'hui, en ce début de XXIe siècle, les scientifiques en sont encore incapables !

Alors ! De quoi s'agissait-il ? Mystère...

Un mois plus tard, en Juin 1880, dans cette même région du Golfe Persique, au large de la côte de Malabar, le même phénomène se reproduisit...
En fin de soirée, par mer calme et ciel dégagé, le commandant Harris, du vapeur Shahjehan, eut tout à coup le souffle coupé... Il donna l'ordre de stopper les machines et d'arrêter le navire. Il venait en effet d'apercevoir sur les eaux une chose absolument fantastique !

Une matière inconnue flottait sur l'eau, paraissant éclairée par de gigantesques rayons lumineux sans projeter de lumière ! 

Comme le commandant Harris le déclara lui-même: « Ondes sur ondes se succédaient en l'un des spectacles les plus grandioses et les plus solennels qui se puisse imaginer...! ».

Des dizaines d'apparitions de ce type purent être observées dans le Golfe Persique au cours du XXe siècle. Rien que durant les années 60, une cinquantaine d'observations de "roues" lumineuses furent enregistrées dans cette région !

Ce phénomène mystérieux n'est cependant pas cantonné à ce lieu; bien d'autres régions du monde sont également touchées par ces apparitions remarquables.

En 1907, dans le détroit de Malacca, à bord du vapeur Delta, M.S.C. Patterson observa sous la surface de l'eau, durant environ trente minutes, "des rayons qui semblaient pivoter sur un centre, comme les rayons d'une roue"! Ces rayons paraissaient mesurer environ 300 m de long...!
La même année (semble-t-il) on aperçut dans le Sud de la Mer de Chine, sur la surface de l'eau, des sortes d'éclairs lumineux en rotation...
Un témoin déclara: «On eût dit une roue horizontale tournant rapidement au-dessus de l'eau et produisant sur l'équipage un profond sentiment de malaise.».

En juin 1909, tandis qu'il se promenait sur le pont du paquebot Bintang de la Compagnie East Danish, le capitaine Gabe aperçut dans le détroit de Malacca une "sphère de lumières mouvantes", selon sa propre expression, située juste sous le niveau de la mer.
Le capitaine déclara par la suite qu'il vit ce qui lui paraissait être de longs bras décrivant des cercles à partir d'un centre commun. Cet "objet" était absolument gigantesque. Selon le capitaine Gabe, «celui-ci était si grand qu'on n'en voyait qu'une partie, l'autre étant dissimulée par l'horizon...!». Cette immense "sphère de lumière" s'approcha lentement du navire en s'atténuant, en diminuant son intensité lumineuse, jusqu'à finalement s'évanouir totalement dans les eaux... comme un sous-marin qui plonge sous un bateau dans les eaux profondes.

En mars 1931, dans la Mer d'Oman, plusieurs marins de la fameuse Canonnière du Yang-Tse Kiang furent également  les témoins d'un étrange phénomène. Tandis que ces marins faisaient route vers Colombo à bord du Doudart de Lagrée et qu'ils se trouvaient alors entre Gardaful et les Maldives, ils virent tout à coup surgir des profondeurs d'étranges lumières qui les fascinèrent... La nuit était tombée et ils purent voir distinctement d'immenses rayons lumineux jaunâtres qui tournaient autour d'un axe invisible situé, semble-t-il, à une très grande distance du bateau. On pourrait allonger ainsi la liste des témoignages. Ces immenses "roues lumineuses" venues des profondeurs ont été vues sur presque toutes les mers et océans par de très nombreux témoins dignes de foi.

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De quoi s'agit-il exactement? L'hypothèse la plus logique d'après toutes les descriptions qui en ont été faites, est celle d'énormes submersibles construits et dirigés par des formes de vie intelligentes...! Des êtres intelligents Humains ou Humanoïdes vivraient-ils sous les eaux, au sein d'immenses citées englouties, dans un Monde sous-marin parallèle au nôtre? Rien ne permet de l'affirmer, mais c'est bien possible... "

Extraits de " Ces Mondes Parallèles que l'on nous cache " de Delsaut Patrick

SFH 03-2013

Dans Paranormal
Le Peuple des Sidhe

Le Peuple des Sidhe

Le Peuple des Sidhe

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La plupart des récits de la tradition celtique présentent les fées non comme un ensemble disparate d'entités isolées et de puissances individuelles intervenant de façon accidentelle ou arbitraire dans le destin des hommes, mais bien comme les représentants d'une race à part, d'un peuple qui possède ses propres coutumes, qui livre ses propres guerres et, surtout, qui règne sur son propre monde. Ce peuple, qui regroupe en son sein différentes tribus, différents royaumes, est connu sous le nom de peuple Sidhe, terme gaélique désignant à l'origine un tertre ou une colline : dans l'imaginaire celte, les tertres et les collines marquaient souvent les frontières visibles du monde invisible et les croyances populaires situaient volontiers les demeures et les palais des fées sous la surface des collines. A quoi ressemblent donc les Sidhe ? Dans la plupart des textes qui les décrivent, ils sont présentés comme des êtres à l'apparence humaine, mais particulièrement beaux, vigoureux et brillants, parés de dons prodigieux et éternellement jeunes... Certains d'entre eux, toutefois, sont particulièrement laids,
ou étrangement difformes, voire franchement monstrueux : dans un cas comme dans l'autre, l'ordinaire n'a pas cours, et les extrêmes constituent la norme.

Et qu'en est-il de l'organisation sociale de cette gent des collines ? Le plus souvent, les Sidhe vivent à la manière des tribus celtes, avec des guerriers, des bardes, des artisans, des rois et des reines, et présentent en quelque sorte une version idéalisée de la société celtique, parfois agrémentée de quelques étrangetés typiquement féeriques... En revanche, les Sidhe néfastes et malveillants tendent à vivre selon des coutumes qui ne sont en réalité que de grossières transgressions ou inversions des grandes lois communes au monde celtique : l'illusion remplace la vérité, la fausseté se substitue à l'honneur et les règles sacrées de l'hospitalité sont détournées à l'encontre des invités, retenus contre leur gré ou contraints de se plier à des coutumes infamantes par "respect" pour leurs hôtes.

Seelie et Unseelie

A l'instar des paysages de cet Autre Monde qui est le leur, la société des Sidhe est bâtie sur ce qu'on pourrait appeler une dualité des extrêmes : d'un côté, des êtres "brillants", dispensateurs de dons et d'inspiration, vivant dans un monde d'enchantements et de prodiges; de l'autre, des créatures "ténébreuses", parodiant et bafouant les lois humaines, porteuses de mauvais sort et semeuses de discorde. Si certains sidhe adoptent volontiers l'un ou l'autre comportement de façon capricieuse et imprévisible, la plupart d'entre eux relèvent clairement de l'un ou l'autre aspect. La tradition gaélique écossaise concrétise un peu plus cette bipartition en nommant précisément ces deux factions : d'un côté, la cour brillante des Seelie, de l'autre, la meute ténébreuse des Unseelie. Il est amusant de constater que ces deux termes, manifestement contraires, n'ont, en eux-mêmes, aucune signification propre, le mot seelie n'étant que la transcription de sidhe : seelie pourrait donc se traduire en français par fée ou faé et unseelie par un terme comme "infaé".

La Légende de Thomas le Rimailleur

Dans certains cas, un séjour chez les fées peut même avoir des conséquences globalement positives pour l'invité-captif, comme dans l'histoire de Thomas le Rimailleur (Thomas the Rhymer). Selon la légende, Thomas était un poète écossais qui fut enlevé par les fées et revint de l'Autre Monde doté du don de prophétie, un don qui, dans la grande tradition du pays de Féerie, peut parfois être source de bien des tourments. Ici, la Légende se confond avec l'Histoire, puisque Thomas le Rimailleur a bel et bien existé : né Thomas de Learmouth, ce noble écossais du XIIIème siècle composa de nombreuses prédictions sous forme de poèmes, souvent énigmatiques. Certaines de ces prophéties se révélèrent exactes, notamment celle concernant la mort du roi d'Ecosse Alexandre III et les graves troubles qui s'ensuivirent pour le royaume. Cette véracité lui valut le surnom de "True Thomas", c'est à dire Thomas le Véridique. Fallait-il être devin pour prophétiser de tels événements ? Une prédiction, une fois établie et rendue, ne constitue-t-elle pas, pour ceux qui y accordent foi, le plus impérieux des commandements ? Il ne nous appartient guère de trancher... Quittons donc les rivages de l'Histoire pour rejoindre à nouveau l'autre bord, celui de la Légende : selon certains récits, Thomas le Véridique ne serait pas mort mais aurait rejoint l'Autre Monde, où il serait devenu le barde attitré de la Reine des Fées...

Charmes et Enchantements

Enchanteurs par nature, les sidhe pratiquent une forme de magie particulière, le glamour. Avant d'examiner de plus près les caractéristiques de cet art typiquement féerique, attardons-nous quelques instants sur la définition du mot lui-même... A l'origine, le terme glamour désigne, en anglais, une forme de magie destinée à embellir la réalité : le glamour peut ainsi donner à une poignée de feuilles mortes l'apparence d'une bourse remplie de pièces d'or, ou faire passer la plus humble des masures pour le plus majestueux des palais. Ce type de magie remplit donc une double fonction : abuser et séduire, tromper et attirer, en un mot, charmer au moyen d'artifices secrets, définition qui s'applique également au sens moderne, beaucoup plus restreint, de ce mot. On pourrait donc traduire glamour par "charme" ou "enchantement", deux mots qui appartiennent eux aussi à ce double registre de la magie et de la séduction; signalons également que le mot français prestige désignait lui aussi autrefois des artifices magiques destinés à leurrer ou à fasciner.

L'étymologie du mot glamour est encore plus tortueuse que sa définition, puisqu'il est issu du mot français... grammaire ! Autrefois, le terme grammaire ne désignait pas uniquement le modus operandi d'une langue, mais pouvait s'étendre à n'importe quel domaine de connaissance jugé extrêmement abstrait, complexe ou ésotérique : le mot a ainsi donné naissance à grimoire, terme désignant un ouvrage savant empli de connaissances vaguement mystérieuses; puis, le sens de grimoire s'est peu à peu limité au seul champ de la magie; c'est chargé de cette signification que le mot est passé en Grande Bretagne, après la conquête de l'Ile par les Normands francophones. Là, il s'est peu à peu déformé et son sens est progressivement passé de "livre de magie" à "magie". Dans certains vieux textes anglais parlant de magie et de féerie, on rencontre parfois des termes comme gremayre, qui attestent de cette improbable évolution linguistique, digne des sortilèges les plus étranges de l'Autre Monde.

Il serait tentant de ne voir dans le glamour qu'un art magique constituant à travestir l'apparence des choses, ou à créer des illusions de toutes pièces, mais cette forme de magie typiquement féerique entretient des rapports beaucoup plus subtils avec les notions de réel et d'imaginaire. Dans son acception la plus générale, le terme glamour désigne non seulement la technique magique proprement dite que la "matière première" que cette technique permet de manipuler, cette fameuse "étoffe dont sont faits les rêves" (Shakespeare, La Tempête), cette substance qui imprègne chaque être, chaque lieu, chaque objet issu de l'Autre Monde, où tout est plus beau, plus fort, plus vif... plus vrai, serait-on tenté d'ajouter. Comme on le voit, l'art de tisser le glamour consiste moins à créer des illusions qu'à évoquer au sein de notre monde un peu de l'éclat et de la splendeur de l'Autre...

Les Fées et la Foi

Si les croyances concernant les sidhe trouvent leurs racines dans le paganisme celtique, la chrétienté médiévale, loin de nier l'existence des fées, chercha souvent à les intégrer de manière plus ou moins heureuse au sein de la cosmogonie biblique. Cette démarche syncrétique, peu prisée des autorités ecclésiastiques romaines, fut en revanche une des grands caractéristiques des diverses églises celtiques, notamment au Pays de Galles, en Bretagne armoricaine, en Ecosse et, bien évidemment, en Irlande : le récit pathétique du retour d'Oisin et de son trépas témoigne ainsi de la volonté des hommes d'Irlande d'établir un passage, une transition harmonieuse entre leur nouvelle foi et les traditions de leurs ancêtres, de concilier en une seule histoire mythique le souvenir des héros et des fées de jadis, et les enseignements de la religion chrétienne. Il est intéressant de noter qu'à partir du moment où la religion et la morale chrétiennes s'en mêlent, les frontières entre les différentes espèces d'êtres féeriques ont tendance à s'estomper et tous, qu'ils soient beaux ou laids, fascinants ou effrayants, brillants ou ténébreux, se trouvent jetés dans le même sac et frappés du même anathème : pour la plupart des gens d'église du moyen-âge, fées, elfes et autres "hafelins" (littéralement "demi-hommes") ne sont que des démons déguisés, des esprits infernaux dont le seul but est de perdre les hommes, de les éloigner de la seule vraie foi en les soumettant à diverses
tentations.

Certains théologiens firent toutefois preuve d'une plus grande imagination et virent la confirmation de l'existence d'une race féerique à part dans l'allusion que fait le Livre de la Genèse aux Nephilim, ces mystérieux "faiseurs de prodiges" qui arpentaient la Terre lorsque celle-ci était encore jeune. Selon une théorie fort répandue dans les traditions celtique et germanique christianisées, les êtres féeriques seraient en fait des anges exilés sur terre par Dieu : dans la grande révolte déclenchée par Lucifer avant la Chute, ces anges n'auraient pris parti ni pour Dieu ni pour le futur souverain de l'Enfer. Dieu aurait donc banni dans le monde des hommes ces anges coupables d'être restés neutres, qui ne pouvaient décemment demeurer au Paradis, mais qui ne méritaient pas pour autant d'être jetés dans l'Abîme. Selon d'autres sources, le royaume de Féerie verserait un tribut régulier aux Puissances de l'Enfer, afin de conserver son indépendance et de rester à l'écart de la grande lutte entre les forces du Bien et du Mal. Il est intéressant de noter que, même aux yeux de ces théoriciens pourtant chrétiens, sidhe, elfes et consorts ne sont ni bons ni mauvais, mais incarnent un compromis pour le moins inhabituel dans un système de croyance et de pensée pourtant strictement codifié : le véritable
caractère des fées demeure un mystère, même pour ceux qui prétendent expliciter le monde, de sa création à sa fin.

Les Sidhe et les Mortels

Seelie ou unseelie, les sidhe semblent en tous les cas éprouver une vive curiosité à l'égard des mortels et vont parfois jusqu'à inviter quelque promeneur solitaire ou voyageur égaré à les rejoindre dans leurs réjouissances. Dans la plupart des cas, ces réjouissances prennent la forme d'une grande ronde joyeuse ou d'un banquet où l'on sert des mets délicieux. Rappelons-nous au passage que la danse et la bonne chère sont deux symboles traditionnels des plaisirs de la chair : l'appel des fées est donc une invitation au plaisir et à l'abandon. Comme il est évidemment fort difficile de refuser quoi que ce soit à des êtres aussi séduisants, le mortel ne tarde pas à rentrer dans la danse ou à rejoindre la fête, ce qui va évidemment entraîner de fâcheuses conséquences, comme chaque fois qu'un interdit se trouve transgressé ou que la frontière entre les deux mondes est franchie...

Lorsqu’il entre dans la ronde des fées, le mortel se trouve emporté par une farandole de plus en plus frénétique et étourdissante : dans certains récits, le malheureux est ainsi condamné à "danser jusqu'à la fin des temps"; dans d'autres, il parvient à quitter la danse, ou bien s'en trouve éjecté par malice, à moins que le lever du jour ne provoque la disparition des danseurs faés : le malheureux mortel constate alors qu'il a vieilli de plusieurs années en quelques heures, sans même avoir connu une vie d'abondance et de félicité, comme Oisin en Tir Na n’Og. La signification cachée de cette ronde des fées est aisée à déceler : l'homme qui cède aux plaisirs vit sa vie comme une grande farandole, comme un tourbillon, sans voir le temps passer, et se réveille un jour, vieux, seul, au terme d'une existence qui ne lui a rien appris, rien apporté. Dans d'autres cas, le danseur est finalement changé en pierre : plusieurs cercles de pierres levées, en Grande Bretagne et en Bretagne armoricaine, sont liés à des histoires de danseurs pétrifiés victimes de la malice des sidhe ou des korrigans.

Dans le cas du banquet des fées, l'expérience vécue par l'invité mortel est plus élaborée, riche de sensations diverses et de plaisirs variés : les plats, la boisson, la musique, la beauté des convives, tous ces éléments font de ce festin féerique un moment magique et inoubliable. Mais on ne goûte pas impunément les mets et les breuvages de l'Autre Monde : un des premiers conseils que l'on donnait jadis aux enfants et aux voyageurs était de ne jamais accepter quoi que ce soit, et tout particulièrement à manger ou à boire, qui soit offert par une fée ou par un être de même nature. On retrouve à nouveau l'éternel principe de l'interdit : en acceptant un cadeau offert par une fée, en goûtant un plat préparé dans l'Autre Monde, le mortel imprudent se laisse en quelque sorte contaminer par la magie des fées... Ceux qui cèdent à la tentation subiront bien souvent le même réveil brutal, le même douloureux retour à la réalité que le danseur de la ronde des fées... Ils ne verront plus le temps passer et, lorsqu'ils prendront congé de leur hôte, ils trouveront un monde méconnaissable, où de nombreuses années se sont écoulées durant l'espace d'un soir à la cour des fées.

Dans certains récits, le convive égaré se voit épargner le châtiment de son propre vieillissement accéléré, mais l'expérience qu'il a vécue et le fait qu'il ne soit plus tout à fait de son temps le laissent à jamais marqué et le placent à l'écart des autres hommes. Comme ceux qui ont aimé passionnément une fée et que leur amante a quitté pour rejoindre l'Autre Monde, il restera à jamais "sous le charme" (au sens magique du terme), "fae-struck" comme disent les Anglais, soit littéralement "frappé par les fées" : il a pris un "coup de féerie" comme on peut prendre un coup de soleil ou un coup de lune...

Ce thème de l'enlèvement déguisé en invitation n'est pas l'apanage des seuls unseelie, loin s'en faut. Ce constat permet de confirmer, si besoin était, que la division seelie/unseelie ne correspond pas, répétons-le, à une division bien/mal : peut-être la différence entre seelie et unseelie est-elle à chercher du côté de l'intention et des conséquences de l'invitation dans l'Autre Monde. Les seelie inviteront le mortel dans leur ronde ou à leur banquet en dépit des fâcheuses conséquences que cela peut entraîner pour lui, tandis que les unseelie agiront dans le but délibéré de provoquer ces fâcheuses conséquences. Comme toujours chez les fées, les nuances sont subtiles et les frontières fragiles...

De Prestigieux Ancêtres

Même s'ils semblent vivre en dehors du temps, les Sidhe préservent, comme tous les peuples, la mémoire de leurs origines. Dans la mythologie irlandaise, les Sidhe sont les descendants des Tuatha dé Danan (littéralement "la tribu ou les gens de Dana", Danu étant l'un des noms de la grande déesse mère des Celtes), une race d'êtres divins eux-mêmes originaires des lointaines "Iles de l'Ouest", souvent identifiées avec la terre enchantée de Tir Na Nog. L'arrivée des Tuatha dé Danan en Irlande et les batailles épiques qu'ils y livrèrent contre d'autres races légendaires, comme les monstrueux géants Formoire ou la mystérieuse tribu des Fir Bolg, sont relatées dans le Lebor Gabala (Livre des Invasions, ou des Conquêtes), qui regroupe les grands mythes fondateurs de la culture celtique irlandaise. Immortels, les Tuatha excellaient dans les arts de la guerre et de la magie et comptaient dans leurs rangs les plus grands bardes, médecins et artisans que l'Irlande ait jamais connus.

Le plus fameux d'entre eux fut certainement Lugh, le "dieu brillant". A la différence de la plupart des Tuatha, son culte s'étendait bien au-delà de l'Irlande, dans tout le monde celtique, comme le prouvent les innombrables lieux auxquels il a laissé son nom (un des plus célèbres étant la ville de Lyon, alias Lugdunum). Voici une de ses plus célèbres descriptions, tirée du Cycle d'Ulster, qui conte les exploits du héros irlandais Cuchulainn : "Un homme haut et bien fait. Ses cheveux sont épais et courts taillés sur sa tête, blonds et bouclés par derrière. Un manteau vert l'enveloppe. Une broche de blanc argent tient le manteau sur sa poitrine. Sur sa peau blanche, il porte une tunique de soie, digne d'un roi, entretissée d'or vermeil, et tombant aux genoux. Il a une grande épée à un seul tranchant dans un poing, un écu noir à bordures de bronze argenté, une pique à cinq barbes à l'autre poing, deux javelines fourchues au côté. C'est merveille, en vérité, de voir les tours d'adresse, de force et de prouesse qu'il fait. " Lorsqu'il l'aperçoit, le héros Cuchulainn (qui est en fait le propre fils de Lugh, mais n'a jamais eu l'occasion de le rencontrer) ne le reconnaît pas en tant qu'individu, mais l'identifie immédiatement pour ce qu'il est : un guerrier sidhe, venu de l'Autre Monde.

Le héros explique ainsi à l'un de ses compagnons : " C'est un des miens, qui du Pays des Fées vient m'apporter aide et pitié..."

Ce passage prouve, si besoin était, qu'il n'existait pas dans l'imaginaire gaélique traditionnel de distinction clairement établie entre les dieux et les fées : ainsi Lugh est-il présenté dans le même récit à la fois comme un "dieu" et comme un "jeune guerrier du pays des Fées" : Lugh constitue le modèle idéal du peuple des Sidhe : d'une beauté prodigieuse, à la fois combattant, poète, chasseur et magicien, il est le dieu brillant, dans tous les sens du terme. Champion infaillible, paré de tous les dons, doté de toutes les qualités et maître de tous les arts, Lugh
appartient à la catégorie des dieux et des héros solaires, ce qui n'empêche pas son mythe de receler quelques zones d'ombres... Ainsi, il est intéressant de noter que, bien qu'étant le champion de ce peuple, Lugh n'est pas un "pur" Tuatha dé Danan : sa mère, en effet, n'est autre que la fille du roi des Formoire, race ennemie des Tuatha traditionnellement rattachée à la nuit et au monde souterrain...

Peut-être faut-il voir dans le double héritage de Lugh une des racines mythiques du caractère changeant souvent attribué aux Sidhe, enfants de l'ombre et de la lumière, à la fois fascinants et inquiétants, capables des plus grands prodiges, mais porteurs d'une "part étrange", inconnaissable et donc dangereuse...

Les Trésors des Tuatha dé Danan

En plus de leurs prodigieux pouvoirs, les Tuatha dé Danan avaient en leur possession de puissants objets magiques : ainsi, la redoutable épée de leur roi Nuada à la Main d'Argent, la lance infaillible de Lugh ou la harpe d'or du dieu Dagda, dont la musique envoûtante pouvait provoquer la joie, le chagrin ou le sommeil... Mais le plus précieux trésor des Tuatha dé Danan était sans nul doute le chaudron d'abondance, qui permettait non seulement de nourrir une infinité de convives, mais aussi de ramener à la vie les guerriers morts au combat. De nombreux érudits ont vu dans ce chaudron de fertilité et de résurrection un archétype archaïque et païen de ce mystérieux Graal que les Chevaliers de la Table Ronde recherchèrent avec tant d'ardeur : nous verrons plus loin que cet exemple n'est pas isolé, et que de nombreux trésors mythiques originellement liés aux ancêtres des fées ont survécu dans les romans de chevalerie sous forme d'objets enchantés offerts aux valeureux héros par de belles et mystérieuses damoiselles...

Les Peuples Ennemis

Les Tuatha dé Danan possédaient également de nombreux ennemis. Les trois principales races légendaires qu'ils combattirent furent les Fomoriens, les Fir Bolg et les Milésiens.
Les Fomoriens (ou Formoiré, Fomori, Fomorach etc) étaient des géants malfaisants et difformes, issus du fond des mers et des profondeurs de la terre : leur chef, le terrible Balor, pouvait foudroyer ses ennemis d'un seul regard de son oeil unique. De l'apparence des Fir Bolg, les légendes ne disent pas grand chose : certaines sources tardives font d'eux un peuple de géants brutaux et stupides, très proches des anciens trolls des mythes scandinaves. Leur nom reste un mystère : "hommes-ventre" ou "hommes-foudre"... à moins qu'il ne s'agisse plus prosaïquement de la tribu celte des Belges, largement répandue dans les Iles Britanniques. Quant aux Milésiens, ou Fils de Mil, les légendes font d'eux les ancêtres des Irlandais actuels. Ce sont eux, de simples mortels, qui vaincront les Tuatha et les forceront à s'exiler définitivement dans l'Autre Monde.

Des Dieux aux Fées

En cédant la place aux hommes, les Tuatha dé Danan vont perdre leur essence divine, ainsi qu'une grande partie de leur puissance magique pour devenir les sidhe, le peuple caché des tertres, réfugié dans les profondeurs des forêts, des lacs, des collines creuses, des galeries souterraines... et de l'inconscient collectif. Comme il est inconcevable d'oublier ceux qui furent autrefois les rois du monde, les hommes continueront à respecter leur mémoire, à entretenir les lieux qui leur sont liés et à perpétuer leurs légendes. Il est intéressant de noter que cette perte de souveraineté divine, cette acceptation du règne des simples mortels, se manifeste physiquement par une érosion de la taille supposée des êtres mythiques : décrits comme des "géants" lorsqu'ils régnaient sur le monde, les Tuatha dé Danan vont, en devenant les sidhe, être réduits à une échelle plus humaine, au propre comme au figuré. Nous nous trouvons face à un étrange processus de dégénérescence des peuples imaginaires, où le pouvoir magique, la taille physique et la place occupée dans les croyances humaines semblent n'être qu'une seule et même donnée. Ce processus va continuer durant tout le moyen-âge ainsi qu'à l'époque moderne, sous l'influence de la religion chrétienne d'abord, puis du rationalisme scientifique, qui réduisent toujours plus la place que l'homme peut accorder aux êtres féeriques dans sa vision du monde. Peu à peu, l'héritage des sidhe s'érode, lui aussi : les terribles sortilèges de jadis se muent en simples mauvais tours, les fées deviennent des créatures fluettes ou courtaudes, et le peuple caché va devenir le petit peuple, sans doute parce qu'une taille de miniature paraît la seule explication rationnellement explicable au fait que les fées soient, par nature, "invisible à l'oeil humain", à l'instar des insectes (...) ou de la fée Clochette (...).

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L'Héritage des Sidhe

Cela dit, l'héritage mythique des Tuatha dé Danan et de leurs descendants les Sidhe n'est pas entièrement perdu, et se perpétue notamment à travers les dons fabuleux et les prodigieux exploits que la tradition celtique attribue à nombre de ses héros, à commencer par les Fiana, ces intrépides cavaliers qui accompagnèrent le légendaire héros irlandais Finn dans ses quêtes, ses chasses et ses batailles ; mais on trouve également des traces de cet héritage sidhe dans nombre de textes rattachés à l'immense Matière de Bretagne, c'est à dire au cycle du Roi Arthur et des Chevaliers de la Table Ronde. Ainsi, le conte gallois médiéval Kulhwch et Olwen nous présente cette étonnante description des compagnons du Roi Arthur, dépeint ici sous les traits assez archaïques d'un chef de guerre en quête d'aventures périlleuses :

"(...) Morvan fils de Tegid - personne n'osa le toucher de son arme à la bataille de Camlan tellement il était laid, tout le monde croyait que c'était un démon venu à la rescousse, il était couvert de poils semblables à ceux d'un cerf (...) Scilti Pieds Légers, lorsqu'il marchait à bonne allure pour une mission de son seigneur, ne cherchait pas le meilleur chemin par où passer, mais s'il rencontrait des bois, il marchait sur la cime des arbres, et s'il rencontrait des collines, il marchait sur l'extrémité des roseaux, et jamais une fois dans sa vie il ne fit plier un roseau sous son pied (...) Drem fils de Dremidyt qui voyait de Kelliwig en Cornouailles (c'est à dire la pointe sud-ouest de l'Angleterre) jusqu'à Penn Blathaon chez les Pictes (c'est à dire en Ecosse) le moucheron se lever avec le soleil (...)" 

Le texte évoque ensuite un guerrier capable d'enjamber les montagnes, un autre dont le pied frappant le sol provoque autant d'étincelles qu'une forge, un autre encore capable d'aspirer toute l'eau d'une baie abritant trois cents navires... Pour le lecteur moderne, ces attributs fantastiques relèvent avant tout de l'hyperbole ou de l'exagération poétique, mais il faut rappeler ici que les conteurs d'autrefois ne distinguaient pas comme nous le faisons aujourd'hui l'irrationnel du rationnel, le légendaire de l'historique, ou le réel du merveilleux : en dotant les guerriers d'Arthur de dons aussi outrageusement fantastiques, les conteurs qui perpétuèrent l'histoire de Kuhlwch et Olwen cherchaient avant tout à ancrer leur récit dans un temps primordial, le temps du mythe, lorsque les limites entre les hommes et les dieux, ou entre ce monde et l'autre, n'étaient pas aussi nettement établies.

Sur la Piste des Pictes

Les sidhe ne sont-ils que pure légende ? Selon certains anthropologues, la tradition celtique concernant le peuple des fées, tout particulièrement sous son aspect de « petit peuple des forêts et des collines », aurait une origine tout à fait réelle, en la personne des Pictes, un peuple d'origine préceltique qui régnait sur la Calédonie avant que les Scots venus d'Irlande n'en fassent l'Ecosse.

Nous ignorons beaucoup de choses sur ces Pictes, à commencer par le nom qu'ils se donnaient eux mêmes, le mot "picte" étant issu du latin "pictus", c'est à dire "homme peint" : les Pictes avaient en effet l'habitude de combattre nus, le corps couvert de peintures à vocation rituelle. En dépit d'un mode de vie apparemment très primitif (ou peut-être en vertu de ce mode de vie), les Pictes furent les seuls "barbares" à tenir tête aux légions de Rome : l'immense Mur d'Hadrien, qui marque traditionnellement la frontière entre l'Angleterre et l'Ecosse et traversait jadis l'île de Bretagne d'est en ouest, ne fut édifié que pour repousser leurs assauts dévastateurs. A cette époque, on les rencontre aussi dans des régions reculées d'Irlande, où on les connaît sous le nom de Cruithni. Les érudits qui postulent un possible rapport entre les hommes peints et le petit peuple des légendes basent leur théorie sur un certain nombre de faits et de conjectures...

Tout d'abord, il est important de préciser que les membres de ce peuple n'étaient vraisemblablement pas des Celtes, et qu'ils étaient très certainement issus d'une vague plus ancienne de peuplement de l'Europe, à l'instar des Basques, dont ils sont peut-être les lointains cousins. D'un point de vue ethnique et culturel, ils étaient donc des étrangers complets pour les Celtes comme pour les Romains. Les Pictes étaient probablement d'assez petite taille, du moins comparés aux Celtes, et avaient apparemment les cheveux sombres et la peau assez brune, autant de traits susceptibles de renforcer leur étrangeté et leur côté "sauvage" aux yeux de leurs voisins et ennemis. "Homme brun" (brown man) est d'ailleurs un titre fréquemment attribué aux esprits de la nature dans le folklore britannique.

Avant l'arrivée massive des Celtes en Grande Bretagne, les Pictes étaient manifestement présents sur toute l'île, comme semblent l'attester certaines traces archéologiques. Repoussés toujours plus au nord par le flux migratoire celte, les "hommes peints" auraient été contraints de se retirer dans les terres les plus reculées de l'île, à l'écart (et à l'abri) de ses nouveaux maîtres. Cette "perte de souveraineté" et ce grand exode "en dehors du monde" pourraient donc être à l'origine des croyances selon lesquelles les "hommes" (les Celtes) auraient succédé à l'ancien peuple ("the Old Folk", les Pictes) après avoir conquis ses terres; celui-ci se serait ensuite retiré à la lisière du monde, dans les forêts et autres lieux sauvages...

Chaque Peuple son Monde

Dans les mythologies germanique et scandinave, l'Homme partage la possession de l'univers avec plusieurs races d'êtres mythiques, à commencer par les dieux, répartis en deux tribus bien distinctes : les Ases (d'où sont issus les divinités les plus connues, comme Odin/Wotan ou Thor/Donar) et les Vanes (lignée plus ancienne de dieux déchus, vaincus par les précédents mais toujours détenteurs de précieux secrets et de puissants sortilèges). Les principaux peuples surnaturels sont les Géants, les Trolls, les Nains et les Elfes. Chaque espèce
habite un monde qui lui est propre : Asgard pour les Ases, Vanaheim pour les Vanes, Jotunheim pour les Géants, Niflheim pour les Nains, Alfheim pour les Elfes...

Quant au monde des hommes, il se nomme Midgard ("la terre du milieu") : tous ces différents mondes sont organisés autour du grand Arbre Yggdrasil, véritable axis mundi garant de l'équilibre cosmique. A première vue, nous nous trouvons donc en présence d'une mythologie organisée, apparemment plus structurée que le grand chaos brumeux des mythes celtes... à première vue seulement, car, en ce qui concerne les Elfes et les autres races surnaturelles "mineures", les légendes germaniques présentent elles aussi leur lot de mystères et de contradictions...

Les Puissances de la Nature

Les elfes nordiques sont étroitement liés au dieu Freyr et à la déesse Freya, deux divinités sur lesquelles il convient de s'arrêter quelques instants, l'examen de leur caractère et de leurs attributions respectives constituant probablement le meilleur résumé des spécificités primordiales du peuple elfique. Tout d'abord, il est important de noter que Freyr et Freya ne sont pas mari et femme, mais frère et soeur, comme le montrent leurs noms presque identiques : il n'est donc pas interdit de penser que Freyr et Freya représentent les deux moitiés, l'une mâle et l'autre femelle, du même principe mythique, principe qui serait inévitablement lié à l'essence même du peuple des elfes. Or, Freyr et Freya n'appartiennent pas à la tribu dominante des dieux, celle des Ases, traditionnellement liés au ciel, à la guerre et à la force, mais à la race des dieux vaincus, celle des Vanes, que les mythes associent étroitement à la terre, à la nature et à la magie, à l'instar des Tuatha dé Danan : elfes nordiques et sidhe celtiques occupent donc bel et bien la même niche mythologique au sein de leurs traditions respectives.
L'examen des attributs spécifiques de chacune des deux divinités confirme ce parallélisme. Freyr, lié au soleil et à la fertilité, était souvent surnommé "le brillant", comme Lugh; Freya, elle, était la déesse ambivalente de l'amour et du désir, régnant sur les sentiments les plus nobles comme sur les passions les plus folles : on retrouve ici l'idée d'êtres ni bons ni mauvais, mais reflétant par leur tempérament variable ou cyclique le caractère changeant et capricieux de la Nature, dont ils sont la vivante incarnation.

Extraits de "Aux Origines de la Féerie" de Olivier Legrand (2004)

SFH 03-2013

Dans Sciences
Haarp crée le plus long nuage de plasma artificiel

Haarp crée le plus long nuage de plasma artificiel

Haarp crée le plus long nuage de plasma artificiel

haarp1

Intéressante nouvelle qui complète et confirme donc une partie de cet article : http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/environnement-planete-terre/rechauffement-ou-guerre-meteorologique.html

En projetant de puissantes ondes radio vers l'ionosphère, le programme Haarp permet d'étudier cette zone très mal connue de l'atmosphère et même d'en tirer parti pour diverses applications. L’une d’elles est la création de nuages de plasma artificiels utilisables pour les télécommunications ou la détection par radar. Avec une stabilité obtenue durant plus d'une heure, Haarp vient de battre son record de durée.

Haarp (High Frequency Active Auroral Research Program) a fait et fera encore couler beaucoup d’encre. Certains y voient plus qu’un simple programme de recherche scientifique (et tout de même en partie militaire) américain portant sur l’ionosphère. Pour eux, il ne s’agit pas d’un projet destiné à mieux comprendre comment les orages magnétiques affectent les communications radio mondiales, les systèmes de navigation par satellite ainsi que les réseaux de transport d'électricité sur de longues distances, que ce soit pour des usages civils ou militaires.

On n’a jamais pu démontrer cette affirmation, même si l’on sait bien qu'Haarp est en partie financé par la fameuse Defense Advanced Research Projects Agency (Darpa), bien connue entre autres pour les travaux en robotique qu’elle soutient.

plasma

Des images dans le visible d'un nuage de plasma artificiel créé à l'aide d'un faisceau de hautes fréquences avec Haarp au-dessus de l'Alaska. Cela s'est passé le 12 novembre 2012, entre 2 h 26 mn 16 s et 2 h 26 mn 43 s TU. © Elizabeth Kendall, SRI International

Les motivations scientifiques derrière Haarp sont simples à comprendre, lorsque l'on sait que l'état de l'ionosphère est en constante évolution sur des périodes de quelques minutes, heures ou jours, voire des saisons et des années. Or, les mesures pour tenter de mieux comprendre ce qui s'y passe sont notoirement difficiles.

Des miroirs en plasma pour réfléchir les ondes radio

Les ballons ne peuvent pas atteindre l'ionosphère parce que l'air y est trop ténu, et les satellites en orbite ne peuvent s'y installer parce que l'atmosphère y est encore trop dense. Par conséquent, la plupart des expériences sur l'ionosphère ne fournissent que des bribes d'informations. La perturber directement avec des faisceaux d'ondes radio adéquats et étudier ses réponses est un moyen de contourner ces obstacles.

Il est certain qu’avec Haarp, on cherche aussi à faire des sortes de nuages de plasma artificiels qui peuvent servir de miroir pour des ondes radar ou des télécommunications à haute fréquence.

Les membres d’Haarp viennent d’annoncer qu’ils avaient battu plusieurs records avec les nuages de plasma qu’ils essayent de créer vers 170 km d’altitude. Il y a d’abord le record de la durée de vie pour ces bulles de plasma. Les précédentes se dissipaient en dix minutes environ, alors qu’actuellement, elles peuvent rester stables pendant une heure. De plus, la densité d’électrons libres est aussi passée de 4 x 105 à 9 x 105 électrons par cm3.

haarp

Une vue de Haarp avec ses 180 antennes. La gamme des hautes fréquences que peut émettre cette installation s'étend de 2,75 à 10 MHz. © High Frequency Active Auroral Research Program

Source : http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/meteorologie-1/d/haarp-crace-le-plus-long-nuage-de-plasma-artificiel_44876/#xtor=RSS-8

Yves Herbo : en faisant une recherche rapide, on tombe sur beaucoup d'observations d'OVNI ce jour-là (12-11-2012), notamment en France, Russie, Japon, au Mexique et en Californie, mais les plus interessantes sont au Texas (peu de rapport à priori mais il s'agit d'une opération miliaro-scientifique, et les bases du Texas sont réputées pour être en lien avec Haarp) : nous voyons des images très intéressantes dans ce journal télévisé texan qui en parle, et montre d'autres vidéos. Non seulement on y voit un objet tout à fait en forme de nuage de plama, mais il semble bien (et les analyses prouvent qu'il n'y a pas de trucages ici) qu'un objet intelligent utilise bel et bien cette technologie des plasmas nommée MHD ou quelque chose de proche... :

MAJ 02-03-2013 : Un lecteur attentif que je remercie m'a envoyé les coordonnées du rapport officiel de Luc Mampaey du GRIP sur HAARP :

http://grip.org/fr/node/15

Un autre lien en relation mais à relativiser sans preuves formelles, plus ancien mais qui parle d'une étude sur le séisme catastrophique de mars 2011 au Japon et d'une énergie décelée 3 jours avant : http://www.alterinfo.net/Une-nouvelle-etude-indique-un-lien-possible-entre-HAARP-et-le-seisme-au-Japon_a59824.html

Yves Herbo SFH 02/03-2013

Dans Sciences
Terres et datations, créations évolutives

Terres et datations, créations évolutives

Terres et datations, créations évolutives

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Pour compléter cet article et voir ce qui pourrait éventuellement rapprocher toutes les théories sur la genèse de notre Terre (après sa création à partir d'une nébuleuse de gaz planétaire - théorie incomplète déjà, on l'a vu récemment par la découverte d'objets astronomiques planétaires ne pouvant provenir de telles nébuleuses)

Tout d'abord, voyons ce que dit la science sur l'évolution de la Terre après un refroidissement suffisant pour que de la matière solide se forme. Les découvertes semblent nous révéler une véritable succession de Terres différentes et ces successions et renouvellements du sols terrestres sont autant d'occasions (loupées précédemment à cause du climat ?) de déclencher la diversification de la vie telle qu'elle est apparue (à priori) vers 555 millions d'années avant maintenant. Histoire très complexe est très imparfaitement comprise encore de nos jours, et pour cause : 

• La "vie" apparaît vers - 3,8 milliards d'années : de simples cellules d'organismes procaryotiques, les bactéries. Leurs descendantes sont toujours parmis nous... et on peut dire qu'elles sont vraiment les plus vieilles habitantes de notre planète ! De cette époque jusqu'à - 2 milliards d'années... il n'y a pas de trace d'évolution. Puis apparaît la cellule eucaryote avec un noyau.

- Le Vaalbara était un supercontinent qui a commencé à se former il y a 3,6 Ga et a existé de 3,1 Ga à 2,5 Ga, précédant le continent Ur, duquel par la suite s'est formé le supercontinent Rodinia, puis les continents Laurasia et Gondwana.

Vaalbara est la contraction de Kaapvaal et de Pilbara, deux cratons identifiés comme ayant appartenu à ce continent. Leur appartenance à une même structure géologique a pu être établie grâce aux quatre impacts météoritiques qu'ils ont subis entre 3,2 et 3,5 Ga.

- La Laurentia ou Laurentie est un paléocontinent, formant la base de l'Amérique du Nord et du Groenland, aussi connu sous le nom de craton nord-américain. Le bouclier Canadien en est la partie la plus ancienne (datant de la période archéene, entre - 4 milliards  et - 2.500 millions d'années). Son nom provient du fleuve Saint-Laurent.

- Ur est le nom d'un ancien continent supposé s'être formé, il y a environ trois milliards d'années pendant l'Archéen, succédant à un autre supercontinent, le Vaalbara.

Ur englobait ce qui est devenu actuellement une partie de l'Afrique australe, de Madagascar, de l'est de l'Inde et de l'extrême ouest de l'Australie, Ur aurait survécu quasi-intact pendant près de 2 milliards 800 millions d'années, avant d'être déchiré par le morcellement du Gondwana au Jurassique.
Il aurait été associé à d'autres supercontinents qui se seraient succédés jusqu'au dernier, la Pangée.

On pense qu'Ur était à sa formation l'unique continent de son époque, bien que plus petit que l'Australie. Il a probablement été formé à la suite de la collision successive de plusieurs arcs insulaires d'origine volcanique.

Premiere trace d'organisme multicellulaire au Gabon, datés de - 2,1 milliard d'années• Il y a 2,1 milliard d'années des premières formes de vie complexes (multicellulaires) semblent s'être développées : ce sont les résultats d'une découverte réalisée au Gabon, à Franceville, publiée en juillet 2010. Ci-contre les formes de vie fossilisées dans les argiles Gabonais.

- La Rodinia (littéralement « terre mère ») est le nom d'un supercontinent qui a fini de se former puis s'est fragmenté durant le Néoprotérozoïque.

Ce supercontinent, qui contient la plupart ou toutes les masses continentales de cette époque, s'est formé il y a environ 1 milliard 100 millions d'années à partir d'Ur et était entouré d'un océan appelé Mirovia. Les mouvements continentaux avant sa formation sont mal connus. Il y a 750 millions d'années, il se scinde en huit continents et leur dérive provoquera sa dislocation puis un ré-assemblage en un nouveau super-continent : la Pangée, en passant éventuellement par une autre brève phase de super-continent (Pannotia).

La rupture de ce continent serait à l'origine de la période glaciaire du Cryogénien et de la rapide évolution de la vie à l'Édiacarien et au Cambrien.

- La Pannotia ou Pannotie est un ancien supercontinent qui aurait existé à la fin du précambrien, de -600 à -540 millions d'années (Ma) environ et au début du Cambrien. Les terres émergées de LaurentiaBalticaSibéria et la grosse masse de Gondwana en seraient les fragments.

• La faune marine de l'Édiacarien, vieille de 600 Ma, serait une preuve de l'existence de ce supercontinent. On a retrouvé des fossiles de cette faune dans des régions actuellement très éloignées les unes des autres (Australie, Namibie, etc). Ces animaux ne pouvaient pas parcourir de grandes distances, ils devaient vivre sur les marges continentales d'un seul continent. Les fragments issus de Pannotia formèrent plus tard la Pangée.

- Le Gondwana est un supercontinent formé à la toute fin du Néoprotérozoïque (– 600 millions d'années) et qui a commencé à se fracturer au Jurassique (– 160 millions d'années). On distingue le Gondwana du Paléozoïque (appelé aussi Protogondwana) et celui du Mésozoïque. Entre les deux, le Gondwana a fait partie du supercontinent Pangée.

• Les premiers restes de plantes et d'animaux terrestres remontent à environ - 410 millions d'années. Pour les plantes on fait dans la simplicité (pas de racine) et on reste proche de l'eau. Pour les animaux... acariens, insectes et ancêtres des scorpions sont les maîtres sur terre...

Vers - 250 millions d'années, une baisse du niveau des eaux et une énorme explosion volcanique vont provoquer une extinction en masse de nombreuses espèces. Les océans se vident, et seuls quelques reptiles mammaliens survivent...

C'est à partir des reptiles qu'émerge la branche des mammifères, vers - 200 millions d'années. Les caractéristiques principales sont le sang chaud et les poils... Voilà enfin le temps des dinosaures... qui vont dominer la Terre jusqu'à - 65 millions d'années... Ils occupent le terrain avec les crocodiles, les serpents et les lézards... Mais une intense activité volcanique et une météorite qui heurte la Terre vont avoir raison des dinosaures géants et d'un grand nombres d'espèces...

Profitant de ce vide écologique, les mammifères vont prendre possession du terrain en 10 millions d'années... C'est vers - 55 millions d'années que nous allons retrouver les premières traces de primates... et les premiers hominidés ne datent que de - 6 millions d'années...A noter, la récente découverte de Toumaï repousse les premiers hominidés à - 7 millions d'années !

Sibéria est un craton qui se situe au cœur de l'actuelle Sibérie. Il s'agit d'un craton très ancien, qui était indépendant au Cambrien avant d'entrer en collision avec le Kazakhstania durant le Carbonifère.

- Baltica est le nom d'un paléocontinent, ancien bouclier, aussi appelé Fenno-sarmatia. Il comprend l'actuelle Scandinavie, Pays baltes et côte méridionale de la Mer Baltique (nord-est de la Pologne...) , nord-ouest de la Russie (avec Moscou), la Biélorussie et le nord de l'Ukraine.

D'origine archéenne (notamment des roches trouvées en Finlande), Baltica est définie en tant que continent lorsqu'elle se sépare du supercontinent Pannotia à la fin du Protérozoïque. À la fin de l'Ordovicien, le terrane d'Avalonia entre en collision avec Baltica. Baltica et Avalonia entrent en collision avec Laurentia au Silurien pour former le continent Laurussia, lors de l'orogenèse calédonienne.

Ga = milliard d'année.

- La Laurussiacontinent des vieux grès rouges ou Euramérique, était un supercontinent qui s'est formé au Silurien à la suite de la collision de Laurentia, de Baltica et d'Avalonia (orogenèse calédonienne). Il comprenait les actuelles Amérique du Nord et Europe du Nord et de l'Est.

Après sa formation, la poussée du Gondwana au sud qui élève les montagnes Hercyniennes à la fin du Dévonien fracture la Laurussia le long de la chaîne calédonienne, et la partie est du continent glisse vers le nord dans un processus de faille coulissante. Ces failles sont aujourd'hui visibles en Écosse (le Great Glen, dans lequel se trouve le Loch Ness), ou encore à Terre-Neuve. Ce phénomène de glissement s'arrête au Carbonifère. La collision avec la Sibérie-Kazakhstania à l'Est (au Permien) parachève la formation de la Pangée.

Au Crétacé, la Laurussia, alors partie intégrante de la Laurasia, se fracture lors de l'ouverture de l'Atlantique, suivant plus ou moins le système de faille qui l'avait affaiblie au Dévonien.

La Laurussia tire son nom de « continent des vieux grès rouges » des grès de couleur rouge, dus a la forte présence d'oxyde de fer, dans les strates du Dévonien en Amérique du Nord et dans le nord de l'Europe, ce qui indique qu'une grande partie du continent était émergée.

- La Pangée (« tout »)(« terre ») (littéralement : « toutes les terres ») est un supercontinent. Son nom lui a été donné par le météorologue et astronome allemand de l’université de Marburg, Alfred Wegener. Dans son ouvrage intitulé La Genèse des continents et des océans et publié en 1915, il décrit la Pangée comme rassemblant la quasi-totalité des terres émergées, qui a existé de la fin du Carbonifère au début du Jurassique.

Il aura fallu plus de 200 Ma pour rassembler tous les morceaux de la Pangée, soit de l'Ordovicien au Permien. Il en faudra 200 autres, soit de la fin du Trias à aujourd'hui, pour disperser les morceaux de la Pangée, une dispersion qui se poursuit toujours. Puisque ces événements sont les plus près de nous, en temps, nous avons des détails plus précis, surtout qu'en plus, cette fois, nous connaissons les planchers océaniques. Au Trias et au début du Jurassique, les principaux mouvements se sont faits du côté de la Téthys, un océan à l'est de la Pangée.

Ici plein de cartes montrant l'évolution du globe de -750 millions d'années à aujourd'hui : http://www.uwgb.edu/dutchs/platetec/plhist94.htm

Bon, arrivé à ce point, nous constatons que la dérive des continents ne date pas d'hier, ni même d'avant-hier, et que des continents sont apparus, ont disparu, des continents enjambent ou contiennent d'anciens continents ou mers et que des croûtes océaniques font de même... un vrai mille feuilles par endroits donc ! On le constate d'ailleurs à plusieurs endroits de la planète: ce sont des endroits où la croûte terrestre est beaucoup plus épaisse qu'ailleurs. Pour en arriver à cette constatation, nous avons une théorie qui fonctionne bien à partir de 4 milliards d'années donc jusqu'à nos jours (les datations des périodes pouvant être "élastiques" et affinées dans le futur), mais qui ne fonctionne pas avant (pas de plaques avant mais probablement un océan de magma ?) : c'est la théorie des plaques tectoniques, qui peut être complétée ou pas par celle de la théorie des plaques hydrauliques. Dans la mesure où je ne suis ni évolutionniste ni créationniste mais plutôt simple "adaptationniste" compilateur, je vais faire le point sur ce qui pourrait réunir ou éloigner, confirmer ou infirmer certains arguments, et uniquement à partir de faits constatés par diverses sources. J'ai compris assez rapidement que l'un des principaux problèmes rencontré par la science est la datation des choses par rapport à notre époque. Malgré tous les efforts encore produits à l'heure actuelle par les techniciens pour affiner ou trouver de bonnes méthodes de datations sûres, force est de constater que nos différenciations d'états de la matière, sur lesquelles s'appuient grand nombres d'entre elles, ne sont pas assez efficaces ou ne concerne qu'une petite partie de la matière en question. Or, on sait que chaque année, ce sont bien des tonnes de poussières cosmiques vieilles de milliards d'années qui tombent sur notre planète, venant polluer de ses isotopes très vieux même des surfaces jeunes... un premier calibrage pour éliminer cette première pollution venant de l'extérieur, mais qui est constante, et dure depuis toujours est donc à faire... à moins que cette certaine constante puisse servir bien sûr. Voyons donc comment se date la roche... : tout se trouve ici (pour le carbone 14, une nouvelle calibration existe depuis cet article) : 

http://www.mineral-hub.net/datation-absolue-roches-fossiles-mineraux.html

Voici des exercices réels de datations au carbone 14 pour ceux que cela intéressent d'approfondir (j'ai laissé les corrections !) :  activites-datation-absolue.pdf

Depuis le XIXe siècle, la question de l'âge de la Terre est un sujet de controverse passionnée. En 1921, Henry N. Russell suppose qu'une large portion de la croûte terrestre peut être traitée comme un réservoir unique et datée grâce au rapport entre parents radioactifs (uranium et thorium) et descendants stables (plomb) en supposant que la roche ne contient pas de plomb lors de sa formation. Il calcule un âge de la Terre compris entre 1 et 8 milliards d'années. Un comité sur l'âge de la Terre formé en 1931 conclut à la supériorité de la nouvelle méthode de datation de la Terre sur les anciennes. Suite à l’étude par Alfred O. Nier des isotopes du plomb (1938) puis au modèle proposé par Arthur Holmes et Friedrich Houtermans (1946), les travaux sur l'âge de la Terre aboutissent dans les années 1950 lorsque les chercheurs disposent de tous les outils nécessaires : la connaissance de la chaîne de désintégration des isotopes naturels de longue demi-vie (de l'ordre du milliard d'années) ainsi que les bons instruments de mesure. Comme la roche primordiale a été entièrement détruite par les mouvements de l'écorce terrestre et les processus sédimentaires, les tentatives de mesure directe de l'âge de la Terre sont vouées à l'échec. En 1956, Clair Patterson utilise la méthode uranium/plomb pour dater une météorite en supposant qu'elle vient d'une planète formée à peu près en même temps que la Terre et estime l'âge de la Terre à 4,55 milliards d'années à 70 millions d'années près

Actuellement, l'âge de la Terre est estimé à 4 milliards 550 millions d'années, soit début de l'Hadéen. Les roches les plus anciennes connues ont un âge d'environ 4 milliards années ; rares sont celles dont l'âge dépasse 3 milliards années. Les plus anciens fossiles témoignent de l'existence d'organismes il y a 3,9 milliards d'années.

Nous allons voir que certains faits contredisent plusieurs assertions admises par la science, à commencer par les contradictions relevées par les géologues eux-mêmes sur des datations effectuées aux mêmes endroits avec des procédés identiques, mais à des périodes différentes. Autre exemple flagrant : la datation des terres émergeant de l'eau comme les nouvelles îles volcaniques. On nous explique entre autres que tout ce temps passé explique tout un processus : l’érosion des nouvelles roches forme du sable et de la terre, et que la formation de plages par la mer prend des centaines de milliers d’années par exemple. C’est pourquoi, on ne s’attend pas à voir des plages ou des sols apparaître sur une Terre qui n’est âgée que de cinq ans... en principe...

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Cette île de Surtsey a 50 ans d'existence tout juste en 2013

En 1963, au large de la côte islandaise, à plus de 130 mètres au-dessous de la surface de l’océan, une roche volcanique en ébullition commença à s’infiltrer dans l’eau froide de l’océan. En 1967, environ 800 m² de nouvelle roche brûlante avait formé une île toute neuve, là où il n’y avait autrefois que l’océan. Cette nouvelle île fut appelée Surtsey. L’été suivant, des scientifiques sont arrivés sur l’île pour l’étudier de plus près. Ils découvrirent que la mer avait provoqué l’érosion d’une falaise basaltique sur la plage, sur plus de 100 m vers l’intérieur de l’île en moins de cinq ans. Plusieurs parties de l’île avaient déjà des plages en terrasses de près de 100 m de large. Sur la côte nord de l’île, du sable nouvellement formé avait érigé une dune de sable, qui s’étendait à presque 330 m au-delà de l’île d’origine. Que ce serait-il passé si les géologues n’avaient pas connu l’histoire de Surtsey ? Ils auraient supposé que l’île était âgée de milliers, sinon de centaines de milliers d’années.

La théorie des plaques tectoniques : 

Modèles simples avec schémas et explications : http://www2.ggl.ulaval.ca/personnel/bourque/s1/tectonique.pl.html

tectonique-1.gif

 

Théorie plaques tectoniques : cette carte ne montre pas les problèmes de convergences avec la théorie dans plusieurs endroits du monde, mais indique la "frontière arbitraire" qui est celle de l'incertitude aussi...

750my94r

Ar - - Arabia
Au - - Australia
Bk - - Baikal Block
Br - - Brooks Range
Co - - Cordilleran Accreted Terranes
Ea - - East Antarctica
Eg - - East Gondwanaland
Fl - - Florida and SE USA
Gon - - Gondwanaland
Gr - - Greenland
In - - India
Ir - - Iran
It - - Italy, including numerous small plates that now make up the Balkans.
Ko - - Kolyma Block, present northeastern Siberia
La - - Laurentia
Mz - - Mozambique Belt: eastern and southern Africa
Nc - - North China
Ni - - Niger Block: eastern Brazil plus north-central Africa.
Rp - - Rio De La Plata Craton: northern Argentina.
Sa - - South America: Guyana Craton, consisting of northern and western Brazil and adjacent areas.
Sb - - Siberian Craton
Sb - - Spitzbergen. Part of Laurentia
Sc - - Scotland. Part of Laurentia
Sc - - South China
Se - - Southeast Asia
Sp - - Spain
Tu - - Turkey
Wa - - Western Arabia: Egypt and Arabia adjacent to the Red Sea.
Waf - - West African Craton
Wg - - West Gondwanaland
 

- 750 millions d'années

La théorie des plaques hydrauliques : Cette théorie a été émise par un créationniste réputé, diplômé du MIT, le Dr. Walter Brown, mais il est admis par des scientifiques sans "tendances" appuyés qu'elle a l'avantage d'expliquer certaines choses que la théorie classique ne démontre pas tout en ne la "détruisant" pas du tout, puisque la principale divergence est surtout une question de datations et de rapidité ou non des événements. Autrement dit, les deux théories sont d'accord sur le résultat que nous voyons de nos jours, y compris sur l'existence de ces plaques, ce sont surtout les dates d'événements et les énergies en jeu qui diffèrent. Tout ce que nous avons vu au-dessus est donc bien applicable à la théorie des plaques tectoniques et aussi à celle des plaques hydrauliques, et il n'est pas nécessaire d'ailleurs non plus que les événements hydrauliques se soient passés il y a 4000 ans comme pensent l'avoir compris certains érudits en lisant la Bible (d'ailleurs ces mêmes érudits auraient dû voir qu'on parle aussi d'un Adam et autres personnages cités pour être âgés de milliers d'années... il est donc évident que les années de la Bible ne sont pas des années humaines. Point. On peut donc dire que la Bible parle également de millions, voir de milliards d'années humaines à priori... et de quelques milliers divins.). Je renvoie donc ici les évolutionnistes et les créationnistes dos à dos : ils parlent de la même chose et ergotent sur des détails pas si importants car ils n'ont pas la même échelle de temps à la base...

La théorie Hydroplaques : un aperçu

Comment évaluer les théories

Pour expliquer scientifiquement un événement non observé qui ne peut pas être répété, nous devons d'abord assumer les conditions existantes avant cet événement. A partir de ces conditions supposées de départ, nous avons ensuite tenté de déterminer ce qui devrait arriver selon les lois de la physique. Trois critères devraient être utilisés pour évaluer l'explication proposée.

Critère 1:. Processus 

Si nous pouvons expliquer toutes les observations pertinentes mieux que toute autre explication proposée, la confiance dans nos explications est en augmentation. Toutefois, si ces conditions de départ et le fonctionnement des lois de la physique (ou processus connus) auraient produit des résultats qui ne sont pas prouvés, alors la confiance en notre explication diminue.

Par exemple, une question fréquente et intrigante est: « Quelle est la cause de l'extinction des dinosaures ? " (Nous n'aborderons pas cette question maintenant, mais l'utilisons pour montrer comment évaluer les théories scientifiques qui tentent d'expliquer les événements non observés et irremplaçable.) Certains théories extinction des dinosaures assument d'importants changements climatiques. Alors que de nombreux types de variations climatiques pourraient tuer tous les dinosaures, nous devons aussi (par critère 1) jeter un coup d'oeil à d'autres conséquences de grands changements climatiques. Les plantes à fleurs et de nombreux petits animaux sont plus vulnérables aux changements climatiques que de grands dinosaures. Parce que la plupart des plantes et des animaux n'ont pas disparu avec les dinosaures, les théories sur "le changement climatique" pour justifier l'extinction des dinosaures sont affaiblies.

Critère 2:. Parcimonie (parcimonie signifie ici ". L'utilisation de quelques hypothèses") Si quelques hypothèses permettent d'expliquer beaucoup de choses, alors la confiance dans l'explication sera grande. A l'inverse, si de nombreuses hypothèses sont utilisées pour expliquer quelques observations, ou si nous devons continuellement ajouter de nouvelles hypothèses ou modifier notre théorie proposée, de nouvelles observations sont faites, alors nous devrions avoir peu confiance en notre explication.

Par exemple, certains disent qu'un gros astéroïde ou une comète a frappé la terre et tué tous les dinosaures. Soi-disant, l'astéroïde ou une comète, contenant de l'iridium, un élément rare, a lancé un nuage de poussière qui a bloqué la lumière du soleil à travers le monde pour plusieurs années, réduit la photosynthèse sur terre, et étouffé la chaîne alimentaire des dinosaures. La prise en charge de cette théorie provient de couches d'argile, contenant de l'iridium, en Europe, en Nouvelle-Zélande et ailleurs. Les couches riches en Iridium contiennent parfois des fossiles de dinosaures, qui reposant sur des hypothèses évolutionnistes, sont d'environ 65 millions d'années.

Un astéroïde ou une comète frappant la terre pourrait expliquer l'extinction des dinosaures dans le monde entier et quelques couches d'iridium contenant des fossiles de dinosaures. Cette seule condition de départ (l'impact d'un gros astéroïde ou d'une comète) explique deux observations importantes : l'extinction de dinosaures et des couches d'iridium. C'est une bonne chose.

Mais il y a certaines hypothèses cachées. Alors que la plupart des météorites contiennent de l'iridium, il n'a pas été détecté dans les astéroïdes ou des comètes. Ainsi, les partisans de la théorie de l'impact doivent supposer que les astéroïdes ou les comètes ont de grandes quantités d'iridium (ou que les météorites provenaient de comètes ou d'astéroïdes). D'autres couches riches en iridium ont été découverts depuis, trop au-dessus ou trop en dessous de la couche que l'on pensait être celle de l'extinction des dinosaures. D'autres études ont trouvé peu de couches riches en iridium près de cratères d'impact connus. (Les scientifiques ont récemment découvert que les particules aéroportées expulsées par les volcans contiennent considérablement d'iridium et d'autres éléments chimiques rares que l'on trouve dans les couches riches en iridium.) 31

En outre, de nombreuses plantes marines ont besoin de lumière du jour32 Comment pourraient-elles avoir survécu à un nuage de poussière mondial qui a tué les dinosaures ? Chaque problème peut être résolu en ajoutant de nouvelles hypothèses. Cependant, par le critère 2, cela diminue notre confiance dans la théorie.

Critère 3: Prédiction : Une théorie légitime nous permet de prédire des choses inhabituelles que nous devrions bientôt voir si nous regardons dans les bons endroits et de faire les bonnes mesures.. Des prédictions vérifiées permettra d'accroître considérablement notre confiance en une explication. Prévisions publiées sont le critère le plus important de toute théorie scientifique. Nos théories tectoniques actuelles ne pourront être contrôlées que dans un millier d'années.

Quelles prédictions peuvent être faites sur la base des  théories de «variations climatiques» et de l'«impact» ? Peu, sinon aucune n'ont été rendues publics. Cette n'inspire pas confiance dans ces explications.

Cependant, la théorie de l'impact peut produire des prévisions. Par exemple, un cratère d'impact très important doit être trouvé dont l'âge correspond à l'heure de l'extinction des dinosaures. Les fossiles de nombreuses formes de vie doivent être concentrées près du cratère ou, du moins, dans l'hémisphère contenant du cratère. Cependant, les fossiles de dinosaures sont uniformément réparties dans le monde entier, 33 un point intéressant se rappeler.

Depuis plusieurs années, aucun cratère approprié n'a pu être trouvé. 34 Enfin, en 1990, un site d'impact a été proposé sur la Péninsule Mexicaine du Yucatán, centré près du village de Chicxulub (Chick-shoo-loob). Les évolutionnistes ont initialement daté le site comme étant de 40-50 millions d'années avant que les dinosaures se soient éteintsAucune forme de cratère n'était visible, mais un cratère a été réclamé enterré sur base de motifs circulaires légèrement magnétiques et gravitationnels, beaucoup d'imagination et le désir d'expliquer les extinctions de dinosaures. L'impact préconisé alors redatait la région et, en effet, il était prévu que le forage dans et autour de Chicxulub révélerait une couche d'iridium et un cratère d'impact enterré. Plus tard, les projets de forage n'ont rien trouvé35

D'autres théories sur l'extinction des dinosaures ont encore plus de problèmes. Notre objectif dans cette section n'est pas de régler cette question, mais de montrer comment un raisonnement scientifique doit être appliqué à des événements non observés, non reproductibles. Par ailleurs, une autre théorie sur l'extinction des dinosaures deviendra vite évident - une théorie impliquant un déluge global et des conditions difficiles après. [Pour en savoir plus sur les dinosaures, voir «Qu'en est-il des dinosaures» à la page 429 .

Les explications scientifiques ne sont jamais certaines ou définitives, et le mot galvaudé de «prouver» n'est jamais justifié sauf peut-être en mathématiques ou en tribunal de droit. La science est encore moins certaine lorsqu'il s'agit de choses antiques, des événements non reproductibles, parce que les autres conditions de démarrage pourraient fonctionner tout aussi bien ou mieux que les conditions proposées de départ. Peut-être que nous avons négligé une conséquence physique ou ont mal été appliquées les lois de la physique. Certes, on ne peut jamais envisager toutes les possibilités ou avoir toutes les données.

Donc, pour essayer de comprendre scientifiquement le non observables, des événements non reproductibles, il faut considérer de nombreux ensembles de conditions initiales, évaluer leurs conséquences sur la base des lois physiques, et voir ensuite dans quelle mesure ces conséquences répondent aux trois critères susmentionnés. Les Documents anciens, tels que le récit de Moïse dans la Bible ou des légendes, ne donnent pas un soutien scientifique pour la vérité ou la fausseté d'un événement ancien. Ces relevés peuvent fournir un important soutien historique aux personnes ayant confiance dans un dossier, en particulier antique. Ceci, cependant, n'est pas de la science. Ici, nous allons nous concentrer sur la science.

Les hypothèses de départ, comme expliquées ci-dessus, sont toujours nécessaires pour expliquer les événements anciens, non reproductibles. La théorie hydroplaque a une hypothèse de départ principal. Tout le reste découle de cette hypothèse et des lois de la physique. Les Théories des événements passés ont toujours quelques conditions initiales. Habituellement, elles ne sont pas mentionnées.

Hypothèse : L'eau souterraine

Près de la moitié de l'eau aujourd'hui dans les océans était autrefois dans des chambres interconnectées à environ 10 miles (16 km) sous la surface de la terre entière. En des milliers d'endroits, le plafond de la chambre s'est affaissé et pressé contre le sol de la chambre. Ces vastes contacts solides seront appelés piliers. L'épaisseur moyenne de l'eau souterraine était d'au moins 3/4 mile (5 km). Au-dessus de l'eau souterraine était une croûte de granit ; sous l'eau était le manteau terrestre.

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L'Europe, l'Asie, l'Afrique et les Amériques étaient généralement dans les positions indiquées dans la Figure 52 à la page 115, mais ont été unis à travers ce qui est maintenant l'océan Atlantique. Sur la croûte preflood étaient des mers profondes et peu profondes, et les montagnes, généralement plus petites que celles d'aujourd'hui, mais quelques-unes de peut-être 5000 pieds de haut.

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Figure 53: granite et basalte. Le Granite, la principale roche continentale, a une couleur grisâtre à rose. Les éclats secondaires de quartz, qui ont un éclat vitreux, occupent environ 27% du volume du granit. Le Basalte, la roche la plus commune aujourd'hui au fond des océans, est solidifié en fine roche de lave sombre. La théorie de l'hydroplaque suppose que, avant le "déluge", le granit était au-dessus de l'eau souterraine et le manteau était en dessous. Comme vous le verrez, pendant et après le "déluge" ou inondation, le basalte fondu s'est déversé sur le sol des chambres, donc la plupart des planchers océaniques sont aujourd'hui pavés logiquement de basalte.

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Vous pouvez lire gratuitement ces recueils (et n'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez !) en allant ici :

Studio Babel N°2https://www.calameo.com/books/000788413db1c7a4bbb39

et (si vous l'avez apprécié et voulez aider le groupe (et non l'auteur qui ne reçoit rien !)), vous pouvez le commander en versions imprimées ou téléchargeables ici :

Studio Babel N°1 : https://www.lulu.com/browse/search.php?&fKeywords=Babel+Studio+Fiction

Un aperçu des 10 premières pages y est aussi proposé. Voilà les auteurs pour le N° 1 : Jacques Païonni, Laurent Salipante, Siléas, Sylvain Boïdo, Yves Herbo, Adam Joffrain, Terry Montcalm, Philippe Giroud et illustrateurs : Tony Szabo, Jépéh, Leslie Lavaud.

Un aperçu des 10 premières pages y est aussi proposé. Voilà les auteurs pour le N° 2Claude JégoAdam Joffrain, Yves HerboJacques PaïonniBlanche Saint-Roch, Mehdi Saddra, Anne Springer, Jacqk, Lyvins Frédéric et illustrateurs :Tony SzaboLydie Blaizot.

Et j'en profite pour répéter que mon roman de SF "Je n'étais qu'un Androïde" avait été réédité mi-juillet 2011, après une grossière erreur d'impression de leur part, bien après le BAT, par les Editions Baudelaire... contrat rompu en 2014 pour mauvaise prestation...
 

Quatre éternités pour une Rose immortelle publié !

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Et bien ça y est, le livre vient d'être publié et est dispo sur le site de l'éditeur Edilivre ! Comme il me l'a précisé dans un email (mais il est sorti alors que j'étais en déplacement !), il est déjà en vente sur son site, et est dispo en librairie sur commande, et la Bibliothèque Nationale de France a reçu son exemplaire légal. " il a été mis en vente sur les principaux libraires en ligne à savoir Fnac.com, Chapitre.com, Amazon... De plus, tous les libraires de France, Suisse et Belgique peuvent également le commander à travers Dilicom ou directement auprès d'Edilivre "...

Couv 4eternitesfinale

Cet ouvrage est important pour moi car il a été écrit lors de mon enfance (mais remanié (corrigé surtout) et "modernisé" en partie ces derniers mois pour cette publication) et surtout, à la suite d'événements étranges survenus dans ma tendre enfance, allant de perceptions paranormales (ou religieuses suivant l'interprétation) jusqu'à l'observation très nette et très proche d'une grande sphère lumineuse venant presque à ma verticale, à moins de 15 mètres. Cet ouvrage parle donc de "soucoupes volantes" mais attention, il s'agit à 100% de science-fiction ou d'anticipation, comme l'autre roman écrit à cette période (Je n'étais qu'un Androïde), même si plusieurs passages, termes et idées paraissent "visionnaires" ou "très en avance" pour l'époque (et l'âge de l'auteur), un peu comme s'ils m'avaient été "transmis" mystérieusement... Le fait est bien que je me suis mis à écrire beaucoup d'un seul coup et sans y être spécialement préparé ou attiré précédemment. A tel point que ma prof de français et mon père m'ont fait passer un test de QI dès le début du collège (130 à 13 ans) ! Je ne demande à personne de me croire sur parole, peu importe d'ailleurs, mais les manuscrits d'époque sont encore là, ainsi que mon père (plus maintenant malheureusement), qui peut témoigner de certaines choses  - et il doit y avoir un dossier quelque part à l'Education Nationale !

On me pose aussi de temps en temps des questions sur mon autobiographie (dont vous pouvez lire les premiers chapitres sur mon site ici) et tous les événements surprenant qui s'y enchaînent dès le début, mais tout ce que je peux dire, c'est que tout est absolument vrai et que j'aurai plutôt intérêt à ne rien dire (pour ma paix familiale et citoyenne !), mais que j'estime que c'est un devoir de l'écrire et témoigner...

Vous pouvez lire les 20 premières pages sur le site de l'éditeur et le dos de couverture. Je remercie encore Cyril Cheminade pour son beau dessin de couverture qu'il m'avait proposé généreusement il y a maintenant plus d'un an, ainsi que les personnes qui ont donné un peu d'argent pour qu'il soit intégré par l'éditeur sur cette couverture. Je demande donc à tous mes lecteurs et ceux qui me suivent depuis quelques années maintenant d'acheter ce livre (sur papier ou en ebook) afin de m'aider à continuer à écrire, et à acheter moi-même ce livre (car l'éditeur n'en propose même pas un gratuit pour l'auteur) car je n'ai absolument aucun revenu de mon activité (bien que beaucoup reconnaissent que j'accomplis un travail considérable, c'est du "bénévolat" de fait car notre société, contrairement aux mayas ou incas par exemple, qui ne connaissaient pas le chomage ni la famine, ni l'argent, ne reconnaît pas le travail et l'activité réelle si ils ne sont pas associés à de l'argent (!)... une preuve supplémentaire que l'être humain n'est pas "libre" mais bien esclave de son outil "argent"... et d'une minorité très riche).

Vous pouvez Commander directement chez l'éditeur la version papier et la version ebook et le recevoir très vite :

https://www.edilivre.com/quatre-eternites-pour-une-rose-immortelle-20cfbba6dc.html/

ou sur Amazon : https://www.amazon.fr/Quatre-%C3%A9ternit%C3%A9s-pour-Rose-immortelle/dp/2332857664

Merci pour votre soutien, amicalement, Yves Herbo

PS : Je rappelle que ce livre a été écrit il y a longtemps alors que j'étais enfant et que sa genèse est très étrange : vers mes 7-8 ans, je subi en public une sorte de connexion étrange (une religieuse a pensé que c'était le début d'une sorte "d'ascension" !) lors d'une lecture d'un texte religieux, au catéchisme où j'avais été inscrit d'office. Quelques mois plus tard, une forte voix à l'intérieur de moi me crie de ne pas faire un mauvais acte. Encore quelques mois plus tard, je suis survolé d'assez près par une grosse sphère blanche, que certains me disent être un OVNI, d'autres un ange... finalement je me mets (à partir de 10 ans environ) à écrire deux romans subitement et à en même temps quasiment (un assemblage et tris de textes pendant 4 ans). Cela surprend tellement ma prof de français et mon père qu'ils me font passer un test de QI à mon entrée au collège (130 QI à 13 ans) et veulent me faire sauter une classe... et ce n'est pas tout... Ce roman, Quatre éternités pour une Rose immortelle est le tout premier de ces deux romans chronologiquement, et j'y décris comment notre univers a été créé. J'y parle aussi d'ovni et c'est un assez bon roman d'anticipation je pense... mais comment de telles idées (et celles pour l'autre "Je n'étais qu'un Androïde) ont bien pu me venir à cet âge et époque... alors que je ne lisais que des bd de Rahan et Pif le chien et ne pensais qu'à jouer ?... c'est là pour moi le plus grand des mystères, bien plus que tous ceux auxquels je me suis intéressé (archéologie ancienne) et vous partage depuis quelques années... Notez aussi qu'il n'est pas très important pour ma part d'être cru, je ne revendique pas être "porteur de message", juste partager mon expérience qui me semble importante pour l'Humanité... mais qu'il est tout aussi anormal de travailler... et de mourir de faim car cette société ne prévoit rien pour l'être humain (moins bien traité que l'animal à ce niveau) qui est actif et partage son travail, tout en refusant d'être esclave des banquiers et de l'argent...


 

Jenetaisqu unandroide1 mini

09-2016 : Réédition en tant qu'éditeur et auteur de mon livre " Je n'étais qu'un Androïde ", disponible dès maintenant chez LULU.com et chez Amazon, Barnes & Noble, il a été listé auprès du grossiste américain Ingram, qui approvisionne les librairies américaines. Il figure dans de prestigieuses bases de données bibliographiques telles que Nielsen et Bowker.

Vous pouvez l'acheter dès maintenant ici (papier et ebook) : sur Amazon : Je n'étais qu'un androide


 

Sortie début 2017 de la version Epub (pour lectrices donc) de mon livre "Quatre eternités pour une Rose immortelle" chez Edilivre mais aussi chez plusieurs partenaires, dont Amazon, Decitre, Dialogues, FNAC, Mollat, Ombres-Blanches, Sauramps... et Je n'étais qu'un androide chez LULU.com, Amazon et autres libraires.

Voici les liens directs pour acheter les 2 livres en plusieurs versions chez Amazon : 

https://www.amazon.fr/n%C3%A9tais-quun-andro%C3%AFde-Yves-Herbo-ebook/dp/B00KERHJMG/ref=asap_bc?ie=UTF8

https://www.amazon.fr/Quatre-%C3%A9ternit%C3%A9s-pour-Rose-immortelle/dp/2332857664

 

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  • Syyn Le 02/05/2023

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  • mornon jules Le 20/11/2019

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Date de dernière mise à jour : 05/05/2024